PROJET CULTUREL ET ARTISTIQUE
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- Marie-Jeanne Renaud
- il y a 8 ans
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1 Association ADRAMA-Chabada - Projet culturel et artistique Scène de Musiques Actuelles Angers PROJET CULTUREL ET ARTISTIQUE Association ADRAMA-Chabada 56 Bd du Doyenné Angers
2 Association ADRAMA-Chabada - Projet culturel et artistique
3 Association ADRAMA-Chabada - Projet culturel et artistique NOTE D INTENTION > LE CHABADA ; QUEL PROJET POUR DEMAIN? > PHILOSOPHIE GéNéRALE (VALEURS ET PRINCIPES)
4 Association ADRAMA-Chabada - Projet culturel et artistique LE CHABADA ; QUEL PROJET POUR DEMAIN? Depuis 1994, année de l ouverture du Chabada sous les responsabilités de l ADRAMA-Chabada ont constamment évolué. Il nous revient en effet de veiller régulièrement à l actualisation de notre projet, de l enrichir d actions nouvelles en adéquation avec l évolution du secteur des musiques actuelles ainsi qu avec les cahiers des charges de nos partenaires publics et tout particulièrement de la Ville d Angers. Nos missions nous invitent à d agir bien entendu et de façon privilégiée, en faveur d un territoire, celui de l agglomération angevine. Elles nous conduisent également, compte tenu de l interdépendance de l aire urbaine avec ses territoires voisins, mais aussi de la mobilité des populations, des artistes, des acteurs, à travailler à d autres échelles : départementale, régionale, nationale et de plus en plus, internationale. Ce projet culturel et artistique s inscrit naturellement dans la suite de ceux mis en œuvre par l association ADRAMA-Chabada depuis Les missions déléguées par la ville d Angers à notre association, globalement constantes, dessinent une continuité d action selon 4 axes, au bénéfice des populations ; - la diffusion musicale, dans et hors les murs, en propre ou dans le cadre de coopérations avec des partenaires locaux ; - le soutien des artistes - le soutien des initiatives culturelles et de l écosystème local - la sensibilisation des publics Ces actions constituent un ensemble d activités que nous entendons poursuivre avec conviction. Mais ce projet, doit nécessairement innover et se renouveler. Après avoir constitué à l ouverture du Chabada un élément fort de l actualisation des politiques culturelles locales, il lui revient désormais de s actualiser à son tour de façon à répondre au mieux à des enjeux bien différents de ceux auxquels nous étions confrontés il y a 20 ans. La question de la reconnaissance des musiques actuelles comme composante de la culture contemporaine ne se pose plus comme ne se pose plus également la question des lieux adaptés aux comportements des artistes et des publics. Leur capacité à constituer de puissants leviers d expression et de création fait des musiques actuelles des outils formidables pour l action culturelle ainsi que pour l éducation artistique. Ceci est désormais assez bien perçu et Le Chabada a pris sa part dans l évolution des mentalités à ce sujet. Il en va de même s agissant de leur aptitude à constituer un élément de choix dans la NOTE D INTENTION
5 Association ADRAMA-Chabada - Projet culturel et artistique construction des identités territoriales. Mais nous sommes confrontés désormais à d autres enjeux. Tout d abord, si un secteur professionnel s est construit depuis plusieurs décennies à partir d équipes et de lieux comme Le Chabada, la recomposition des intérêts économiques autour des productions et manifestations musicales a bouleversé la place du spectacle vivant (du «live») et multiplié les pressions sur les «scènes» et les acteurs qui entendent, comme nous, défendre une diversité d expressions culturelles. Parallèlement, il apparaît de plus en plus que les activités des salles comme Le Chabada et celles des entreprises avec lesquelles nous travaillons (producteurs / tourneurs, labels, ) ou qui participent à la dynamique musicale locale, constituent à la fois un secteur économique non négligeable, une filière pour les artistes qui peuvent y trouver un écosystème favorable au développement de leurs projets et une ressource pour l attractivité ainsi que pour le rayonnement du territoire. Enfin, les technologies numériques ont bouleversé les pratiques des publics comme celles des artistes. Elles n invalident pas les sorties aux concerts mais elles obligent néanmoins à revisiter nombre de nos façons de penser et d agir. Face à ces différents enjeux, le projet du Chabada peut être aujourd hui reformulé et réorienté, dans une continuité d actions autour de ses 4 axes principaux. (cf. plus haut) En articulant son projet associatif avec les politiques publiques locales et nationales, Le Chabada s est inscrit dans le cadre mixte de l économie sociale et solidaire. À travers notre statut de délégataire privé d un service public, nous prenons acte de l économie marchande au sein de laquelle évoluent aujourd hui les productions musicales qui nous intéressent. Mais notre souci premier n est pas celui des profits éventuels à en tirer. Il est d abord de soutenir le rôle des musiques actuelles comme champ d expressions culturelles et d innovations artistiques qui participe au développement culturel du territoire tout en constituant une dynamique de filière locale. Une structure comme Le Chabada doit en effet renforcer son rôle d équipement impliqué aux côtés des associations et des entreprises locales pour organiser les conditions propices au développement d un écosystème relationnel, favorable à l éclosion de projets artistiques (prioritairement musicaux), encourageant l expression des identités et de la créativité, mais aussi générateur d échanges économiques et donc d emplois. Il consiste ensuite à défendre un projet qui a émergé au sein de la société civile et qui entend maintenir cet ancrage. Ainsi, en 2012, nous avons mis en place notre propre Agenda 21 intitulé «Le Chabada ; quel projet pour demain?». Ce cadre participatif a permis, en collaboration avec différents partenaires locaux, de réinterroger le projet en cours au regard des enjeux du développement durable et de l évolution du secteur des musiques actuelles. Le projet que nous portons désormais a donc été ouvert à des contributions extérieures, soumis à débats, internes et externes. Dans le même ordre d idées, parce que la diffusion est la colonne vertébrale du Chabada autant que sa vitrine, nous avons réalisé en 2014 une enquête professionnelle sur les publics des concerts du Chabada afin de vérifier la cohérence entre nos intentions et NOTE D INTENTION
6 Association ADRAMA-Chabada - Projet culturel et artistique la réalité des usages de fréquentation. En ce qui concerne les typologies de public, les résultats sont très cohérents avec les données nationales disponibles mais vont nous permettre d affiner, entre autres, nos intentions sur les publics les plus jeunes. Par ailleurs, ils sont satisfaisant en ce qui concerne la mesure de l attachement de la population à «leur» salle de concert. Le projet culturel et artistique proposé ici est donc le résultat d une histoire non seulement associative mais aussi locale, régionale et nationale. Il témoigne également d une réelle volonté de faire évoluer nos actions, d explorer de nouvelles pistes. Il s agit donc d un document formalisant des intentions autant que des évolutions concrètes, mais sans figer les actions pour les années à venir. PHILOSOPHIE GéNéRALE (VALEURS ET PRINCIPES) 1 Considérer le rôle des musiques actuelles amplifiées comme champ d expression culturelle et d innovations artistiques. 2 Placer au cœur de notre projet, l accès du plus grand nombre possible d individus et de groupes sociaux aux modes d expression que les musiques actuelles proposent. 3 Envisager la place du Chabada au cœur d un écosystème local des entreprises culturelles et créatives, plus particulièrement celui des musiques actuelles, et le considérer comme un équipement structurant au service du développement culturel et économique du territoire. 4 Faire nôtres les valeurs de l économie sociale et solidaire. 5 Rechercher à faire évoluer nos façons de faire pour prendre de plus en plus en compte les enjeux du développement durable (Agenda 21 - Chabada : Quel projet pour demain?) 6 Garder en conscience la responsabilité que nous confère la délégation de service public en tant qu association issue de la société civile. NOTE D INTENTION
7 Association ADRAMA-Chabada - Projet culturel et artistique Photo Franck Potvin NOTE D INTENTION
8 Association ADRAMA-Chabada - Projet culturel et artistique
9 Association ADRAMA-Chabada - Projet culturel et artistique sommaire NOTE D INTENTION Page 3 SERVICE PUBLIC DÉLÉGUÉ PAR LA VILLE D ANGERS Page 10 CONTEXTUALISATION Du projet Page 14 PROJET CULTUREL ET ARTISTIQUE Page 17 LEXIQUE Page 20 ORGANIGRAMME DES MISSIONS Page ORGANISER DES CONCERTS Page SOUTENIR LES MUSICIENS Page SOUTENIR L écosystème Page SENSIBILISER LES PUBLICS Page 60 sommaire
10 Association ADRAMA-Chabada - Projet culturel et artistique SERVICE PUBLIC DÉLÉGUÉ PAR LA VILLE D ANGERS > DOCUMENT PROGRAMME, DÉLÉGATION DE SERVICE PUBLIC, CHABADA (Extraits) Photo Franck Potvin
11 Association ADRAMA-Chabada - Projet culturel et artistique Titre I - Le service public délégué Article Objet de la délégation et missions Le service délégué porte sur : 1 - La découverte, la promotion et la diffusion des musiques actuelles, à travers la programmation d artistes angevins, français, européens et internationaux, dans un souci constant de faire découvrir les nouvelles tendances artistiques. L équipement Le Chabada est titulaire du label SMAC (Scène de Musiques Actuelles) du Ministère de la Culture ; le délégataire est tenu de respecter le cahier des missions et des charges du label SMAC conçu par l Etat (cf. annexe 1). 1a - Diffusion : une programmation partagée Productions Chabada (minimum 40 concerts par an) Affirmer la cohérence du projet artistique tout en veillant à la diversité des esthétiques. Assurer une prise de risque artistique sur des artistes en découverte français ou étrangers, en présentant des artistes encore peu médiatisés, voire non distribués en France, et avec une volonté d être une étape sur leur parcours de développement. Trouver un dosage cohérent entre des concerts «tête d affiche» (locomotives dans le secteur marchand, plus médiatisés) et des concerts «découvertes». Rester attentif à la provenance des groupes : trouver un équilibre entre la programmation des groupes internationaux, européens, français et locaux afin de défendre et valoriser le riche vivier artistique international, national et local. Réserver une place aux formes alternatives et indépendantes des musiques actuelles, notamment en programmant des groupes émergents et/ou de labels indépendants Développer les rencontres entre des artistes nationaux et régionaux et locaux, en proposant par exemple des cartes blanches ou scènes ouvertes, et en favorisant les échanges culturels et le croisement des publics et des artistes Favoriser l expérimentation de nouvelles formes artistiques croisant différentes disciplines artistiques (arts plastiques, vidéo, numérique...) SERVICE PUBLIC DÉLÉGUÉ PAR LA VILLE D ANGERS
12 Association ADRAMA-Chabada - Projet culturel et artistique Accueil de concerts produits et organisés par les acteurs du territoire (10 au minimum) Gérer la mise à disposition de la salle pour des spectacles organisés par d autres structures ou acteurs culturels locaux, dans la mesure ou les propositions correspondent au cadre défini dans le projet artistique et culturel. Dans ce cadre, la mise à disposition de la salle équipée et du personnel permanent est accordée à titre gracieux mais l association accueillie prend en charge les coûts liés à la régie technique, à la sécurité et au nettoyage. Conforter la collaboration avec les diffuseurs locaux (développeurs d artistes, associations locales spécialisées), afin d inscrire Le Chabada dans un réseau professionnel à l échelle du territoire. Accueil de concerts produits par les producteurs privés Dans ce cas, le délégataire gère la location du lieu, comprenant le système de diffusion son et lumière en fixe dans la salle. Pour rappel, pour l ensemble des activités de diffusion, le délégataire doit être vigilant sur le niveau des recettes, l objectif étant d assurer l équilibre économique du contrat. 1b - Diffusion hors les murs dans le cadre de partenariats avec des structures culturelles ou de participation à des évènements locaux. Assurer l organisation de spectacles pour renforcer l image du Chabada comme pôle de compétences professionnelles au service des collectivités et des acteurs culturels du territoire, dans un objectif de développement des publics et des partenariats (ex : accroche-cœurs, etc.). 2 - La création et l accompagnement des pratiques artistiques locales (résidence d artistes, accueil des amateurs, etc.). Contribuer à l émergence artistique et à la professionnalisation des talents du territoire, en cohérence et en complémentarité avec les dispositifs de soutien mis en œuvre par les collectivités. Veiller à la mise en œuvre et à l adaptabilité d actions d accompagnement en direction des artistes professionnels d une part, et des amateurs et émergents, d autre part. 3 - L encouragement d initiatives locales en matière de promotion et de développement des musiques actuelles amplifiées, y compris émergentes. Pour être en phase avec son environnement, Le Chabada doit développer des partenariats avec les autres acteurs du territoire situés sur le même secteur d activités. Il doit également être un lieu ressource auprès des porteurs de projets Plus globalement, il doit participer au développement des musiques actuelles au niveau local, départemental, régional et national, en étant notamment présent dans les réseaux professionnels. SERVICE PUBLIC DÉLÉGUÉ PAR LA VILLE D ANGERS
13 Association ADRAMA-Chabada - Projet culturel et artistique Le développement de l action culturelle et de la sensibilisation auprès des publics (scolaires, monde associatif, quartiers). Proposer des actions permettant d élargir et de diversifier les publics, notamment en direction des publics jeunes, en favorisant des croisements avec les acteurs de l éducation artistique. Proposer des actions de prévention sur les conduites à risque. SERVICE PUBLIC DÉLÉGUÉ PAR LA VILLE D ANGERS
14 Association ADRAMA-Chabada - Projet culturel et artistique CONTEXTUALISATION Du projet Photo Franck Potvin
15 Association ADRAMA-Chabada - Projet culturel et artistique L ASSOCIATION ADRAMA-CHABADA L Association pour le Développement du Rock et des Autres Musiques à Angers (ADRAMA) a été créée en 1988 (elle est devenue par la suite ADRAMA-Chabada). L association a fédéré les différents acteurs musicaux de la ville afin de devenir l interlocuteur de la mairie pour la création de locaux de répétitions (La Cerclère ouverture en 1990). Au terme d une délégation de service public culturel (DSP) à laquelle l association avait répondu, c est elle à qui a été déléguée la gestion d une salle de concert adaptée au rock et aux autres musiques (Le Chabada ouverture en 1994). Depuis, c est elle qui est reconduite à chaque nouvel appel d offre. La dernière DSP couvre du 1 er juillet 2015 au 30 juin CONTEXTUALISATION TERRITORIALE Sur une aire urbaine comme celle d Angers ( habitants), Le Chabada est la seule «grande salle» dédiée à la programmation régulière des musiques actuelles. Il n existe pas d autre acteur institutionnel des musiques actuelles sur le territoire. Depuis quelques années, la vie associative y est beaucoup plus active et quelques cafés concerts sont fortement impliqués et très actifs en termes de programmation. Cette position centrale du Chabada participe à construire une forme de responsabilité qui guide notre projet ; tant dans la diversité de la programmation que dans l accompagnement des projets artistiques locaux. Angers n est pas une capitale régionale. En conséquence, nous rencontrons régulièrement des difficultés à programmer des artistes importants à nos yeux comme à ceux du public car les tournées des artistes étrangers en France privilégient trop souvent les capitales régionales. SUR NOS RELATIONS AVEC LE SECTEUR PRIVÉ LUCRATIF Le Chabada fonctionne dans le cadre d une délégation de service public culturel et son territoire d action s arrête théoriquement lorsque le secteur privé lucratif est efficient. Même si dans son immense majorité, le secteur des musiques actuelles est constitué d associations, Le Chabada est quotidiennement en contact avec les entreprises privées à but lucratif, principalement avec les producteurs (aussi appelés tourneurs et/ou agents d artistes) pour l achat des droits d exploitation des spectacles (via des contrats de cession). Dans leur diversité de forme juridique, ce sont majoritairement de très petites entreprises (TPE) non-dépourvues d objectifs comparables aux nôtres (souci de l innovation et de la qualité artistiques, intérêts pour les artistes en découverte, ). À l échelle d un territoire, l écosystème des musiques actuelles est relativement interdépendant et génère sa propre dynamique dans laquelle la place d un équipement type SMAC est en mesure de jouer un rôle structurant important (mais non-hégémonique). S il existe une répartition naturelle des rôles avec ces acteurs, il est absolument incontournable de construire des coopérations, partenariats avec eux. C est l essence même de notre mission structurante sur le territoire. CONTEXTUALISATION Du projet
16 Association ADRAMA-Chabada - Projet culturel et artistique COHÉSION SOCIALE Les musiques actuelles sont très souvent chargées et investies de valeurs et de sens au travers des engagements qu elles suscitent (militantisme associatif, communauté artistique...). Les activités multiples dont elles sont le centre doivent être interprétées pour ce qu elles sont : des interventions au sein de l espace public, des prises de paroles témoignant de visions du monde plurielles, de valeurs alternatives, tant sur le plan esthétique que social ou même politique. Ces engagements suscités, ces passions traduites en actes au-delà de la simple consommation de musique, sont autant de vecteurs de cohésion sociale. DÉVELOPPEMENT DURABLE La mise en place d un Agenda 21 propre au Chabada en 2012 a permis de rappeler que les musiques actuelles portent majoritairement des valeurs ou la dimension citoyenne, sociale est très fortement présente et que le secteur associatif des musiques actuelles a aussi su développer des modes de gouvernance relativement ouverts (place des adhérents, fonctionnement des équipes, prise en compte des acteurs du territoire). Avec l organisation de la démarche participative «Le Chabada ; quel projet pour demain?», l association a joué le jeu de la transparence en pariant sur l appropriation du projet du Chabada par l équipe, les adhérents, les acteurs partenaires, les citoyens. Au delà de l étape importante de l écriture du Projet , cette démarche a vocation a être relancée, animée autour de nouvelles questions / actions (accueil des publics, filières courtes, économies d énergies, ) C est une démarche encore atypique en terme de développement durable car, bien souvent, seule la dimension environnementale est prise en compte. CONTEXTUALISATION Du projet
17 Association ADRAMA-Chabada - Projet culturel et artistique PROJET CULTUREL ET ARTISTIQUE Le Chabada doit être attentif à la qualité et à la diversité des propositions artistiques accueillies mais il doit aussi porter un projet culturel global étroitement articulé aux enjeux culturels et sociaux dont les musiques actuelles se font l écho, tout comme il doit contribuer au développement du territoire en tant qu acteur structurant de l écosystème des musiques actuelles.
18 Association ADRAMA-Chabada - Projet culturel et artistique PROJET CULTUREL & PROJET ARTISTIQUE Le projet artistique cherche à décrire les priorités des choix artistiques et les éventuels enjeux liés aux formes et innovations de la création artistique. Le projet culturel cherche à décrire le cadre dans lequel le projet artistique sera proposé ainsi que les médiations utilisées. Il décrit également les finalités de ces propositions artistiques. Projet artistique et projet culturel sont intimement liés. Si vouloir sensibiliser des publics très divers aux musiques actuelles relève bien du projet culturel, l histoire de notre association, l histoire de notre secteur se sont construites sur des engagements artistiques singuliers, en opposition aux propositions formatées de l industrie de la musique et des grands médias. Un projet culturel ne fonctionne qu alimenté par un projet artistique fort et identifié. Inversement, un projet artistique exigeant mais lisible n a de sens que s il est relayé par un projet culturel généreux. ENJEU CULTUREL & ENJEU ARTISTIQUE En prenant en compte la construction des projets locaux et pas seulement la qualité de leur aboutissement (l œuvre éventuelle), les musiques actuelles apparaissent comme un terrain d expression artistique mais aussi comme un support de construction et de cohésion sociale, voire de formation à la vie sociale et associative. Le Chabada doit pouvoir témoigner de cette double lecture des projets ; enjeu artistique & enjeu culturel. C est pour cela qu une attention particulière est toujours portée aux musiciens et acteurs locaux. REVALORISATION DES AMATEURS Nos actions doivent intégrer une des spécificités importantes des musiques actuelles : le très grand nombre de musiciens (dans leur diversité de postures et de statut, de l amateur au professionnel). Si nous devons accompagner tous les niveaux de pratique musicale, nous avons une responsabilité toute particulière dans la revalorisation d une pratique musicale en véritable amateur. Tous les musiciens ne pourront pas vivre de la musique. Si nous devons encourager les plus talentueux, les plus impliqués, ceux qui ont fait de la musique une forme de «projet de vie», nous avons une responsabilité pour encourager les autres à faire progresser leur projet artistique, avec une démarche quasi-professionnelle, mais sans fantasmer sur la «réussite» possible, en valorisant une pratique de loisir exigeante. PROJET CULTUREL ET ARTISTIQUE
19 Association ADRAMA-Chabada - Projet culturel et artistique INTENTIONS GÉNÉRALES DU PROJET CULTUREL ET ARTISTIQUE 1 Contribuer à favoriser la diversité des musiques actuelles dans la pluralité de leurs formes esthétiques avec une attention très affirmée aux musiciens et acteurs locaux. 2 Soutenir la création et les pratiques musicales des amateurs, des «émergents», des professionnels avec une attention très affirmée aux musiciens locaux. 3 Contribuer au développement culturel et économique du territoire en tant qu acteur structurant de l écosystème des musiques actuelles. 4 Favoriser l accès du plus grand nombre possible d individus et de groupes sociaux aux modalités d expression que les musiques actuelles proposent. 5 Participer au rayonnement et à l attractivité du territoire. PROJET CULTUREL ET ARTISTIQUE
20 Association ADRAMA-Chabada - Projet culturel et artistique LEXIQUE RÉSIDENCE Si l on s en tient à la définition que propose le Ministère de la Culture et de la Communication (héritée du théâtre et des Scènes Nationales), les résidences n existent pas en musiques actuelles. Seul le programme géré par le CNV «résidence musiques actuelles» s en approche parce qu il exige une dizaine de journées de travail de création scénique rémunérées et un volet d actions culturelles significatif. Le vocable s est banalisé et pour les musiciens, venir travailler une journée sur la scène du Chabada ou dans le grand Studio Tostaky, c est déjà être en résidence. Pour Le Chabada, si le vocabulaire n est pas mis en avant, le principe du travail dans la durée (sur plusieurs mois), autant de fois que nécessaire, la recherche commune de financement de salaires sur ces temps de travail, la mise en place d action culturelle autant que faire se peut, s approchent de l esprit de résidence. ENTREPRISE Par entreprise, nous entendons les structures, les personnes qui entreprennent au sens noble et premier du terme, quelle que soit la forme juridique (société, association, entreprise individuelle, coopératives, travailleur indépendant...). ÉCONOMIE Par économie, nous entendons les échanges économiques générés par les acteurs quels qu ils soient. Nous voulons donc prendre en compte toute la diversité de ces échanges, de ces modèles économiques, y compris l Economie Sociale et Solidaire. Il nous semble indispensable de ne plus occulter la dimension économique des projets artistiques, puisqu elle existe systématiquement. Que la structure soit à but lucratif, lucratif limité, ou non. FILIÈRE LOCALE Au delà des artistes eux-mêmes, elle est composée des acteurs qui travaillent directement sur le champ des musiques actuelles : les développeurs d artistes ou tourneurs/producteurs, les labels phonographiques, éditeurs, studios, associations ou sociétés (dédiées à un ou des projets artistiques musicaux), attachés de presse, managers, consultants, médias spécialisés, métiers de la formation musicale... Cette filière comporte un second cercle plus «technique» : les prestataires de services (sonorisation et lumière, studio d enregistrement, constructeurs de décors et éclairages spécialisés), et les très nombreux salariés techniciens «intermittents». Elle comporte un troisième cercle connexe avec les métiers reliant à l image (graphistes, photographes, vidéo, cinéma), au numérique (développeurs,...). Nous entendons ici le terme filière comme réunissant des métiers, des entreprises. ÉCOSYSTÈME Au delà de la filière, l écosystème local englobe tous les acteurs des musiques actuelles, y compris ceux de la l enseignement, de l éducation artistique, du socio-culturel, les actions des collectivités... C est un réseau de territoire qui se développe via de multiples interconnections, incluant souvent des acteurs d écosystèmes connexes (image, numériques...) ENTREPRISES CULTURELLES ET CRÉATIVES (DU SECTEUR CULTUREL ET CRÉATIF) (arts graphiques et plastiques, musique, spectacle vivant, cinéma, télévision, radio, jeux vidéo, livre et presse) Selon le programme Europe Créative, la reconnaissance et le développement des ECC* est subordonné au principe d une économie duale, conciliant investissements publics et investissements privés avec comme objectif le développement économique et culturel des territoires, le renforcement de la cohésion sociale, le soutien à l innovation et à entrepreneuriat culturel. *Il est fait officiellement mention des Entreprises et des industries culturelles et lexique
21 Association ADRAMA-Chabada - Projet culturel et artistique ORGANIGRAMME DES MISSIONS ET ACTIONS MISSIONS DÉLÉGUÉES PAR LA VILLE D ANGERS (synthèse) 1 La découverte, la promotion et la diffusion des musiques actuelles 1a Une programmation partagée La découverte, la promotion et la diffusion des musiques actuelles amplifiées à travers la programmation d artistes angevins, français et étrangers dans un souci constant de montrer les nouvelles tendances artistiques. Une programmation partagée entre Le Chabada, les associations, les producteurs privés. 1b Diffusion hors les murs pour renforcer l image du Chabada comme pôle de compétences professionnelles ( ) dans un objectif de développement des publics. 2 La création et l accompagnement des pratiques artistiques locales (résidences, d artistes, accueil des amateurs ) - contribuer à l émergence artistique et à la professionnalisation des talents du territoire. - veiller à la mise en œuvre et à l adaptabilité d actions d accompagnement en direction des artistes professionnels et des amateurs et émergents. 3 L encouragement d initiatives locales (en matière de promotion et de développement des musiques actuelles amplifiées y compris les cultures émergentes) - en partenariat avec les acteurs du territoire - à travers l accompagnement de jeunes porteurs de projets - en participant à la structuration du secteur (en fédérant, mutualisant, reliant,...) - en participant au développement des musiques actuelles au niveau local, départemental, régional, national et en étant présents dans les réseaux professionnels. 4 Le développement de l action culturelle et de la sensibilisation auprès des publics (scolaires, monde associatif, quartiers) amplifiées y compris les cultures émergentes) - Proposer des actions permettant de d élargir et de diversifier les publics ( ), en favorisant des croisements avec les acteurs de l éducation artistique (conservatoire, Galerie Sonore,...) - Proposer des actions de prévention sur les conduites à risques LES 4 AXES D ACTIONS DU PROJET ADRAMA-CHABADA ORGANISER DES CONCERTS 2 Soutenir les musiciens 3 SOUTENIR L écosystème 4 SENSIBILISER LES PUBLICS Contribuer à favoriser la diversité des musiques actuelles dans la pluralité de leurs formes esthétiques avec une attention très affirmée aux musiciens et acteurs locaux. 1- Partager l organisation des concerts Partager entre 3 types d organisateurs principaux : L ADRAMA-Chabada (objectif : 45 à 50 concerts par an, y compris les co-productions) Associations locales (obj: répondre à la demande) Producteurs privés (obj : répondre à la demande) 2- Diversifier les types d artistes programmés Artistes singuliers, novateurs, en démarrage et n ayant pas (encore) un large public > concerts en club Artistes ayant déjà trouvé un public et acquis une notoriété >concerts en salle Artistes locaux professionnels et amateurs (soutien à la scène locale) > concerts en salle ou club 3- Définir les priorités esthétiques Rock, pop et l héritage du blues. Les musiques électroniques Les musiques dites «groove» (rap, soul, reggae, funk) La chanson plutôt pop Les musiques du monde 4- Proposer un ou des temps forts, y compris hors les murs Festival Levitation-France 5- Développer des partenariat avec les acteurs locaux, y compris hors les murs S appuyer sur l expertise des acteurs locaux (partenariats, coproductions, cartes blanches,...) Structures culturelles (Premiers Plans, La Paperie, Musée des Beaux Arts, Le Quai...) Filière locale (producteurs, labels, café-concerts, associations,...) Soutenir la création et les pratiques musicales des amateurs, des «émergents», des professionnels avec une attention très affirmée aux musiciens locaux. 1- Soutenir la création Proposer des moyens adaptés à la diversité des besoins : Accueil d artistes en phase de création, de répétition, de travail scénique. Co-production de créations 2- Contribuer à la formation musicale, artistique et technique des musiciens Offre de modules pédagogiques ouverts à tous (stages, ateliers, master-classes, rencontres avec des pros...) Partenariats avec les structures du territoire qui accompagnent des musiciens et des projets artistiques (CRR, maisons de quartier, écoles de musique, Trempolino,...) Dispositif «On Stage» d accompagnement pour les groupes amateurs Organisation de formations à la carte pour les musiciens professionnels 3- Soutenir le développement des groupes émergents (en synergie avec les acteurs locaux de la filière musicale) Equipe Espoir Chabada-Angers : dispositif de soutien au développement d artistes angevins à potentiel national Organisation d ateliers, rencontres pros, ouverts à tous (Bizness Class, Bizness Academy) Contribuer au développement culturel et économique du territoire en tant qu acteur structurant de l éco-système des musiques actuelles. 1- Accompagner les acteurs du secteur et les projets locaux (maisons de quartier, collectivités territoriales, structures d enseignement,...) Organisation de stages, rencontres, temps d information Conseils et orientation 2- Participer au développement de la filière musicale et de l économie créative du territoire Accès privilégié des acteurs locaux aux équipements (tarifs réduits,...) Recherche de partenariats sur l accompagnement d artistes (Équipe Espoir, co-productions,...) Implication dans des projet transversaux sur le champ de l ECC. Implication dans Austin Angers Créative 3- Valoriser les projets locaux Publications dédiées (Yéty, site Internet du Chabada) Relais d informations (site Chabada, newsletter, reseaux sociaux) 4- Participer aux réseaux et regroupements d intérêt général Au niveau local (avec la Ville d Angers sur les amateurs, les cafésconcerts, la filière des entreprises culturelles et créative, l international) Au niveau régional (avec Le Pôle, Trempolino, Conférence Régionale Consultative Culture) Au niveau national (SMA, Fédélima, CNV,...) Favoriser l accès du plus grand nombre possible d individus et de groupes sociaux aux modalités d expression que les musiques actuelles proposent. 1- Faciliter l accessibilité Politique tarifaire modérée, et incitative et plafonnée (tarifs étudiants, CE,...). Une offre de fidélisation (Carte Chabada) Un dispositif de médiation (Charte culture et solidarité) 2- Sensibiliser les publics Avec une attention très affirmée aux jeunes publics. Une programmation régulière d évènements pédagogiques (concerts dédiés, rencontres avec des artistes, ateliers de découverte musicale, visites pédagogiques, ) Projets en partenariat et/ou coproduction avec des établissements scolaires (Parcours musical en collège, lycées, Universités,...) 3- Prévenir les conduites à risques Sensibilisation aux risques auditifs (Peace & Lobe,...) Limitation des risques (bouchons d oreille anatomiques, politique tarifaire préférentielle sur les boissons sans alcool,...) ORGANIGRAMME DES MISSIONS ET ACTIONS
22 Association ADRAMA-Chabada - Projet culturel et artistique organiser des concerts Contribuer à favoriser la diversité des musiques actuelles dans la pluralité de leurs formes esthétiques avec une attention très affirmée aux musiciens et acteurs locaux. #Concerts #DiversitéCulturelle #Artistes #Associations #Publics #Partenariats #Locations #Auteurs #Découverte #CarteBlanche #Vitrine #Local
23 Association ADRAMA-Chabada - Projet culturel et artistique Contexte de la programmation LA PROGRAMMATION EST LA PARTIE VISIBLE DU CHABADA La programmation définit l identité du lieu, donc son identité culturelle vis-à-vis des populations en général, des publics en particuliers. Elle détermine donc autant un champ socioculturel de publics prédisposés à venir comme elle détermine par défaut un champ socioculturel de publics qui ne se sentent pas concernés, ni par l offre proposée ni par le lieu. " Dans sa diversité d esthétiques et de notoriété, la programmation participe à l élargissement des publics " LA PROGRAMMATION PARTICIPE À L ÉLARGISSEMENT DES PUBLICS Dans sa diversité d esthétiques et de notoriété, la programmation participe à l élargissement des publics : diversité des esthétiques qui va d une soirée musique électronique tardive à un concert de chanson et qui concerne des publics d âges très différents. diversité des esthétiques très spécialisées au sein même des grandes familles «rock» ou «musiques électroniques», et qui peuvent concerner des publics très différents et ne se croisant pas. diversité de notoriété avec des points de repères «grands publics», des artistes s étant constitué un public relativement large. Ces «têtes d affiches» peuvent être vécues comme des envies à revenir sur des découvertes, mais surtout comme un moyen de garder un lien entre Le Chabada et des publics non-spécialistes. diversité de notoriété au sein même des niches spécialisées en accueillant des «têtes d affiches» qui sont pourtant inconnues du «grand public». diversité des acteurs qui organisent des projets locaux et qui drainent des publics reliés à des réseaux associatifs par exemple. " Nous voulons soutenir... des «artistes auteurs» comme on dit «cinéma d auteur»." LA PROGRAMMATION EN CONTREPOIDS À «L INDUSTRIE MUSICALE» Nous voulons soutenir d abord et avant tout des artistes qui défendent une vraie création originale, des auteurs compositeurs interprètes en général dont le talent n est pas formaté par une demande de rentabilité commerciale immédiate, des «artistes auteurs» comme on dit «cinéma d auteur». Environ 85% des artistes que nous voulons continuer à programmer ne sont pas sous contrat discographique avec les «majors» de l industrie du disque mais surtout qui ne répondent pas aux codes de la musique dite de variété. Pour autant, les critères esthétiques pouvant être considérés comme subjectifs, les frontières ne sont pas étanches. Ce qui n empêche pas de souhaiter voir les artistes ORGANISER DES CONCERTS
24 Association ADRAMA-Chabada - Projet culturel et artistique accueillis à leurs début rencontrer le succès auprès d un large public à l exemple de C2C, Louise Attaque, Zebda, M, Cali, Pony Pony Run Run... " Leur «valeur en soi», celle fixée par les professionnels de la musique (programmateurs, labels, médias et critiques...) ne peut être seule prise en compte. " "... ces musiques sont aujourd hui, pour une part importante de la population, un terrain privilégié de rapport à l art, de rencontre avec une «vraie» création artistique " LA PROGRAMMATION REPOND À DES ENJEUX ARTISTIQUES Comme dans les autres domaines artistiques, les musiques actuelles vivent et se développent par référence à leur déjà longue histoire. Elles se nourrissent également de métissages incessants entre les différentes formes des musiques populaires dont les échanges sont désormais mondialisés. Elles doivent aussi beaucoup aux innovations techniques qui font du travail en studio comme sur la scène un lieu de création. Le Chabada se doit donc d avoir une bonne connaissance des innovations artistiques dans ce domaine, d être en mesure de choisir parmi l offre musicale ce qui peut constituer des orientations futures particulièrement fécondes. Il doit aussi refléter des courants musicaux qui sont ou ont été déterminants. Cependant, ce qui se joue d artistique dans ces musiques est aussi en relation avec un certain nombre de phénomènes sociaux et culturels. Leur «valeur en soi», celle fixée par les professionnels de la musique (programmateurs, labels, médias et critiques...) ne peut être seule prise en compte. On ne peut aussi oublier que ces musiques sont aujourd hui, pour une part importante de la population, un terrain privilégié de rapport à l art, de rencontre avec une «vraie» création artistique. Même si la qualité de ce rapport est sans cesse parasitée par les enjeux économiques de l industrie musicale, tendant à limiter l invention artistique au profit de la préservation des formes esthétiques économiquement «rentables». Nous devons donc veiller à contribuer à la préservation de cette diversité esthétique et de favoriser l accès du plus grand nombre possible d individus et de groupes sociaux tant aux créations, aux formes singulières qu aux aspects les plus méconnus de ces cultures musicales. LA PROGRAMMATION EST CONTRAINTE PAR DES LOGIQUES FINANCIÈRES L histoire récente de notre secteur avec ses pratiques militantes nous a poussés à proposer un grand nombre de concerts au regard des moyens financiers disponibles relativement modestes. Le choix pourrait être fait d utiliser les moyens financiers contraints pour un nombre beaucoup plus réduit de soirées afin d accueillir des artistes de grande renommée, des projets plus ambitieux. Ce serait aux dépens de la diversité. Ce choix que nous avons fait jusqu à présent pourrait être remis en cause. En effet, il apparaît de façon de plus en plus affirmée et régulière qu une partie des publics plus «connaisseurs que la moyenne» attend que nous proposions des artistes bien repérés, artistiquement indiscutables, et, n hésitant pas à se déplacer, par défaut, pour aller voir ces mêmes artistes à Nantes ou Paris. C est un des enseignements de l enquête 2014 sur les publics du Chabada. Nous touchons là un point sensible, celui du rayonnement potentiel de dates «prestiges», financièrement coûteuses, même si elles affichent complet. ORGANISER DES CONCERTS
25 Association ADRAMA-Chabada - Projet culturel et artistique " lorsqu un concert affiche complet au Chabada (900 personnes), nous ne sommes jamais déficitaires sur l économie directe de la soirée (billetterie / frais variables liés au concert)... " 1 Le différentiel artistique correspond à la différence entre les recettes billetterie d une soirée et les dépenses directes (artistique, frais d accueil et de technique ), hors fonctionnement général Aujourd hui, l équilibre financier des concerts est construit sur : Le principe de la programmation partagée qui permet de répartir la prise de risques financiers entre différents organisateurs et permet ainsi de proposer plus de concerts. une répartition à 50/50 environ de nos propres concerts entre ceux en club et ceux en salle (en version club, la billetterie limitée par définition ne permet pas d équilibrer les charges directes, alors qu en salle, un équilibre peut être approché ou même parfois dépassé). un différentiel artistique 1 moyen de environ pour chacune des 50 dates annuelles organisées ou coproduites par le Chabada. lorsqu un concert affiche complet au Chabada (900 personnes), nous ne sommes jamais déficitaires sur l économie directe de la soirée (billetterie / frais variables liés au concert) mais pour autant, nous ne dégageons que très peu de marge financière tant les contrats sont négociés. LA PROGRAMMATION S INSCRIT DANS UN PéRIMèTRE Notre réalité de salle de concerts avec un public debout pose directement une limite aux artistes programmables ; certains artistes en chanson ou musique du monde s écoutent assis. D autre part, à la fois en accord avec la mission qui nous est confiée de privilégier les nouvelles tendances artistiques et parce que notre projet artistique s inscrit dans un cadre limitatif, nous ne développerons pas l ensemble des esthétiques du champ des musiques actuelles, particulièrement en jazz, blues et musiques du monde dans leur forme patrimoniale. Et nous n accueillerons pas a priori le champ de la «variété commerciale», même si cette appellation porte un sens différent selon que l on soit public averti, ou non. LA PROGRAMMATION ATTIRE DES PUBLICS Initié dès 2012 dans le cadre de notre démarche Agenda 21, «L étude auprès des publics du Chabada» confiée au Cabinet GECE à Rennes, spécialisé dans ce type d enquête, avait plusieurs objectifs ; - identifier le profil socio-démographique du public des concerts, - connaître la manière dont le public fréquente Le Chabada, - étudier l utilisation des moyens de communication et les sources d information personnelles, - identifier certaines pratiques culturelles. L objectif plus global était aussi de collecter des éléments objectifs à confronter à nos habitudes, à la façon de développer notre projet, à son «pourquoi et pour qui»? ORGANISER DES CONCERTS
26 Association ADRAMA-Chabada - Projet culturel et artistique " Autant masculin que féminin, plutôt jeune (âge médian 31 ans), actif, très qualifié, habitant Angers Loire Métropole... " 2 Le Mouv, ancienne formule de Une synthèse peut être faite de ces résultats dessinant ainsi un portrait type du spectateur du Chabada : Autant masculin que féminin, plutôt jeune (âge médian 31 ans), actif, très qualifié, habitant Angers Loire Métropole, ayant une pratique culturelle (autre que musique) importante et variée et une pratique musicale intense, n hésitant pas à aller voir des concerts dans d autres villes, relativement fidèle dans le temps, et qui vient 3 fois par an en moyenne. En croisant notre expérience et les résultats de l enquête, nous nous permettons de regrouper les publics du Chabada en trois grandes familles. 1 Les publics spécialisés (1 er cercle) Des «assidus» ou «super assidus». Des «experts» qui sont des passionnés, alimentés par la presse et les réseaux spécialisés, spécialement intéressés par les nouveaux artistes, les anglo-saxons, les musiques extrêmes, les nouveaux courants. Ils sont souvent ouverts à différents styles et très mobiles pour aller voir des concerts. Ce sont aussi parfois de jeunes musiciens émergents. Les programmations qui leur correspondent le mieux ne sont pas majoritairement rassembleuses d un large public (concerts donc plutôt en club). Leur rôle de prescripteur auprès des autres publics (ils participent à faire l opinion) fait d eux une catégorie à prendre en compte avec attention. Il est souvent questions de «niches» pour décrire les styles qu ils défendent. Cette catégorie correspond souvent aux centres d intérêts artistiques des journalistes spécialisés et des programmateurs des salles. Ce premier cercle est principalement incarné par la ligne musicale de Radio Nova (citée comme étant écoutée par 50% du public) ou Le Mouv 2 (22%) mais aussi par des radios locales comme Radio Campus ou Radio G. 2 Les publics curieux (2 e cercle) Attentifs à l actualité musicale grâce aux grands médias (principalement la radio), ils écoutent des artistes qui seront souvent notre point de repère «grand public» et fréquentent également les salles de grandes capacités (Parc Expo d Angers, Zénith de Nantes). Cette large catégorie de public «intermédiaire», relativement «cultivé» musicalement, représente notre «réservoir» principal de public potentiel. Ce second cercle est principalement incarné par la ligne musicale de radios comme Virgin Radio (19%), RTL2 (19%). 3 Le grand public (3 e cercle) Cette très grande catégorie de public n est que très peu reliée aux musiques actuelles telles que nous l entendons. Principalement consommatrice de médias de masse, et donc de musiques produites par «l industrie commerciale de la musique». Néanmoins, régulièrement à travers certains artistes fortement reconnus, certains dispositifs d incitation, ce «grand public» franchit les portes du Chabada. ORGANISER DES CONCERTS
27 Association ADRAMA-Chabada - Projet culturel et artistique PARTAGER L ORGANISATION DE CONCERTS " La programmation se nourrit des personnes et acteurs (ressources) locaux à travers des partenariats, coproductions ou cartes blanches à des artistes, des associations, labels, médias spécialisés ou encore de partenariats avec des acteurs culturels locaux." PRéAMBULE Partager l organisation de concerts avec les associations locales s inscrit naturellement dans le prolongement de l histoire militante des musiques actuelles, à Angers comme ailleurs. Partager l organisation de concerts avec les organisateurs privés à but lucratif est une démarche que Le Chabada a toujours eue. Avec la reconnaissance croissante par les pouvoirs publics de la dimension économique des projets artistiques, avec la prise en compte d une dynamique de territoire de l écosystème des musiques actuelles, partager la programmation avec les organisateurs privés prend plus de sens. Mais partager la programmation c est aussi partager parfois les choix de programmation de nos concerts, ceux que l ADRAMA-Chabada organisent. La programmation se nourrit des personnes et acteurs (ressources) locaux à travers des partenariats, coproductions ou cartes blanches à des artistes, des associations, labels, médias spécialisés ou encore de partenariats avec des acteurs culturels locaux. L ensemble de la programmation se veut le reflet du projet artistique et culturel global du Chabada. C est sa vitrine et nous faisons donc le choix d assumer sur nos supports de communication toutes les propositions artistiques accueillies, quelque soit l organisateur du concert. OBJECTIFS Le partage de la programmation a comme objectif à la fois de diversifier les esthétiques et artistes accueillis, de permettre aux associations de mener de façon autonome leurs projets et aux organisateurs privés de développer leur activité professionnelle. OBJECTIFS DE MISE EN ŒUVRE 1 Concerts produits et organisés par L ADRAMA-Chabada Ces concerts donnent l assise du projet artistique global de diffusion. 2 Concerts produits et organisés par les associations Le nombre de concerts de ce type dépend avant tout de la demande (11 par an en moyenne sur les 5 dernières années). Nous n en limitons pas le nombre. ORGANISER DES CONCERTS
28 Association ADRAMA-Chabada - Projet culturel et artistique " De par le prix au-dessous du prix de revient réel, ces locations peuvent être considérées comme des coproductions d intérêt artistique et économique. " Ces concerts impliquent une triple validation avant leur mise en oeuvre : 1 cohérence avec le projet artistique global, 2 expérience des acteurs pour organiser dans un cadre professionnel, 3 viabilité financière du projet (prise de risque limitée). Ce sont souvent des accompagnements de projets plus que des prestations de service. Ces mises à disposition du Chabada (murs, équipements son & lumière), peuvent être considérées comme des coproductions d intérêt artistique et culturel. 3 Concerts produits et organisés par des producteurs privés (sociétés commerciales) Le nombre de concerts de ce type dépend avant tout de la demande (8,6 par an en moyenne sur les 5 dernières années). Nous n en limitons pas le nombre. Ce sont des prestations de service via une location du Chabada (murs, équipements son & lumière). Ces concerts impliquent une validation de la cohérence avec le projet artistique global, avant leur mise en oeuvre. De par le prix au-dessous du prix de revient réel, ces locations peuvent être considérées comme des coproductions d intérêt artistique et économique. OBJECTIFS PRATIQUES (Partager l organisation des concerts) 1 Concerts ADRAMA-Chabada : Objectif de 45 à 50 concerts 2 Concerts partenaires culturels et associations : nombre de concerts sans limitation (10 en prévision) 3 Producteurs privés lucratifs : nombre de concerts sans limitation (entre 5 et 10 en prévision) ORGANISER DES CONCERTS
29 Association ADRAMA-Chabada - Projet culturel et artistique DIVERSIFIER LES TYPES D ARTISTES PROGRAMMéS OBJECTIFS Faire connaître des oeuvres, des répertoires, des artistes qui développent un répertoire d auteur compositeur interprète singulier, non-formaté pour générer des revenus importants et immédiats. Soutenir le développement d une scène musicale locale et régionale portée par des musiciens comme des acteurs. Soutenir les expérimentations et croisements de formes artistiques autour des musiques actuelles. Proposer des points de repère pour les publics, que ce soit des «têtes d affiches grand publics», des «têtes d affiche» pour publics spécialisés, ou encore des «têtes d affiche quasi-patrimoniales». OBJECTIFS DE MISE EN ŒUVRE Développer une programmation diversifiée dans les esthétiques proposées comme dans les degrés de notoriété des artistes, tout en accordant une attention particulièrement aux musiciens, artistes et acteurs locaux. Avant même de parler de choix artistiques, il est possible de décrire la construction de la programmation avec les 3 grandes familles ci-dessous : 1 Artistes singuliers, novateurs, en démarrage, n ayant pas (encore) un large public Ce sont nos «vraies découvertes». Ces propositions correspondent en général aux concerts en club (300 personnes max). 2 Artistes ayant déjà trouvé un premier cercle de public et acquis un début de notoriété Ce sont des artistes qui ont su se constituer une audience plus large. Ce sont en général nos concerts «points de repère». Ces propositions correspondent en général aux concerts en salle (jauge 500 à 900). 3 Artistes locaux professionnels ou amateurs Ce sont des propositions artistiques faites dans le cadre du soutien à la scène locale. Nous accordons une place privilégiée aux musiciens locaux. Ces programmations sont complémentaires de l accueil des amateurs. Ces concerts se jouent en salle comme en club. ORGANISER DES CONCERTS
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