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3 HORIZON+ N 49:Mise en page 1 13/09/ :06 Page 3 Conjocture S O M M A I R E Wikileaks est bon pour notre démocratie 3 Questions à Protais AYANGMA Compétences Managériales Comment réussir un entretien annuel d évaluation? Leaders, Managers, Chefs d entreprises... Les enjeux Transfert rapide d argent au Cameroun 10 étapes clés pour réussir ses campagnes s SAFCA : Acquis, Dynamique et perspectives Réformons notre agriculture, et le Cameroun déviendra émergent dès 2020 Interview Bernard NJONGA, président de l Adic Election présidentielle 2011 Pacte pour le développement rural Calendrier Le découpage de l année scolaire 2011/2012 Ce qu il faut savoir de PROMOTE 2011 Photo couverture Vue générale des stands à promote 2008 au palais des congrès de Yaoundé Editeur : Atlantis Direction de la publication : Direction Commerciale : C o n j o n c t u r e A c t u a l i t é Président d e la Fanaf, Fédération des sociétés nationales d assurances africaines M a n a g e m e n t Comment atteindre efficacement ses objectifs? D o s s i e r D o c u m e n t E v è n e m e n t Direction de la distribution : Secrétariat : sh@horizon-plus.com creahorizon@yahoo.fr P.3 P.4 P.6 P.8 P P.14 P.18 P.20 P P P.30 Wikileaks est bon pour notre démocratie. Par Jean Vincent TCHIENEHOM WikiLeaks par-ci, Wikileaks par-là! Vous avez été fatigués par ce nom dont la presse vous a parlé en long et en large ces derniers temps, sans que beaucoup d entre vous comprennent bien de quoi il s agit réellement. Retenez ceci pour l essentiel. WikiLeaks est un site Internet, spécialiste de la révélation de documents secrets. Si on parle autant de lui depuis quelques jours, c est pour au moins trois raisons. D abord, il a encore frappé. Le 2 septembre dernier, il a publié la totalité des télégrammes diplomatiques américains en sa possession, consultables dans leur version intégrale sur son site Internet. Ensuite, alors que jusqu ici, ces documents étaient préfiltrés par WikiLeaks puis filtrés et mis sous une forme journalistique par les média partenaires, afin de préserver la sécurité des personnes impliquées et de rendre les informations plus compréhensibles par le grand public, cette fois-ci, Wikileaks a choisi de diffuser tous les noms présents dans les câbles. C est une véritable bombe qui pourrait potentiellement mettre en danger plusieurs centaines d individus cités dans les câbles et sujets aux représailles. La troisième raison pour laquelle Wikileaks est devenu la vedette des médias camerounais est que le Cameroun a été cité dans ces fuites, puisqu une centaine de télégrammes envoyés à Washington ces cinq dernières années par les anciens ambassadeurs des Etats-Unis à Yaoundé, ont été portés à la connaissance du public. Les documents publiés au début du mois nous apprennent que Mugabe a un cancer de la prostate, que Kim Jong-Il se méfie de la Chine et vend des armes en Birmanie en échange de riz, que des hauts responsables politiques albanais se livrent à des trafics d armes, de drogues et de blanchiment d argent et que le roi du Bahreïn a écrit à ses alliés américains pour leur demander s ils pouvaient couper la diffusion de la chaine Al Jazeera, qui diffuse un peu trop d idées démocratiques pour lui... Au Cameroun, la publication de déclarations de deux ministres a ravivé des tensions ethniques et mis à mal Elecam et l opération Epervier. On a entendu des gens dirent que les propos prêtés à tel ou tel ministre par Wikileaks sont sans doute faux et que les journalistes ont eu tort de les prendre pour parole d évangile. C est ridicule de soutenir un tel argument puisque le département d Etat américain ne conteste pas l authenticité de ces télégrammes diplomatiques. On a aussi entendu des gens dire que le choix de révéler maintenant ces conversations, qui auraient dû demeurer secrètes, visent à nuire à Monsieur Biya à la veille d une présidentielle décisive. Voilà une autre contrevérité que dément l historique de la diffusion des câbles, qui ne concernent pas que le Cameroun, mais plus de 190 autres pays au moins! Certains de nos dirigeants ayant été pris la main dans le sac, doivent se sentir obligés de nous expliquer le sens de leurs déclarations faites à des diplomates étrangers. Wikileaks est décidément bon pour notre démocratie. Il rappelle à ceux qui décident tous les jours en nos noms, souvent pour nous mais parfois contre nous qu ils ont l obligation de nous rendre compte. < Conjoncture

4 HORIZON+ N 49:Mise en page 1 13/09/ :06 Page 4 >4 Actualité 3 Questions à... Protais AYANGMA, Président de la Fanaf, Fédération des sociétés nationales d assurances africaines «Les accidents de la circulation sont la deuxième cause de mortalité en Afrique» Par Jean Vincent TCHIENEHOM Les Etats généraux de la FANAF consacrés à la Prévention routière sont prévus les 26 et 27 Septembre 2011 à Yaoundé. Pourquoi avoir choisi un tel thème? Avant de répondre à votre question, permettez-moi de vous présenter la FANAF qui a choisi la capitale politique et administrative du Cameroun pour cogiter avec ses invités sur la Prévention Routière. Créée le 17/03/1976 à Yamoussoukro, la FANAF regroupe 153 Sociétés d assurances, de Réassurance et du Fonds de Garantie Automobile de 25 pays africains. Les Sociétés de la FANAF qui emploient plus de 8000 personnes ont réalisé en 2009 un chiffre d affaires de 673,05 milliards de francs CFA pays des sinistres pour un montant de 339,12 milliards de francs CFA. Elles ont fait dans les pays membres des placements à hauteur de 1019,157 milliards de francs CFA. La FANAF a pour missions : - la promotion et le développement de l assurance ainsi que de la Réassurance ; - la Représentation de ses membres et défendre leurs intérêts auprès des pouvoirs publics ; - la formation du personnel ; - la Communication et l information du public ; - le développement des échanges d affaires entre ses membres. Nos états généraux en sont à leur troisième édition. La première qui s était tenue à Douala en 2007, avait pour thème «L assurance Vie». A la suite de cette réunion, la branche Vie a enregistré des résultats encourageants dont les plus importants sont : La modernisation de son cadre règlementaire avec la modification ou l adoption d articles du Code CIMA qui concernent la branche vie ; L amélioration de l environnement fiscal de l assurance Vie qui s est traduite par une défiscalisation ou une réduction de la fiscalité ainsi que l adoption de plusieurs mesures fiscales incitatives pour amener les populations à souscrire des contrats d assurances vie ; L élaboration de Tables de mortalité plus conformes aux réalités africaines ; Une forte progression du chiffre d affaires de l assurance Vie dans la quasi-totalité des pays de l espace FANAF. La deuxième édition qui avait pour thème «La Microassurance», réunie à Abidjan en Octobre 2009, a impulsé un développement important à cette branche qui vise à apporter des couvertures aux populations à faibles revenus et à lutter contre la pauvreté. Un comité de pilotage a rédigé des articles qui vont être enregistrés dans le Code CIMA pour régir les activités de microassurance. Enfin la troisième édition va porter sur la Prévention routière, parce que le Bureau Exécutif à l instar des Autorités est ému par la fréquence, le nombre et le coût financier des accidents de la circulation routière dans les pays de la FANAF. Selon les Nations Unies, les accidents de la circulation sont la deuxième cause de mortalité en Afrique après le paludisme, donc bien avant le sida et les autres maladies. Un phénomène aussi grave par le nombre des morts, des blessés, des dégâts matériels et des coûts financiers qu il entraine méritent que des états généraux lui soient consacrés. Quels sont les sujets qui seront discutés, et quel bilan en attendez-vous? A Yaoundé, la FANAF et ses invités se pencheront sur les causes des accidents de la circulation routière, la mise en place d organismes de Prévention Routière et l institution de politiques de sécurité routière. Le bilan attendu : un engagement de tous les usagers et acteurs de la route à instituer des Organismes de prévention et de sécurité routières pour lutter contre les accidents et réduire le nombre de blessés ou de tués sur les routes. Au Cameroun, les 7020 accidents de la circulation en 2009 ont entrainé la mort de 1450 personnes et blessés. Ça suffit et cela ne peut et ne doit pas continuer. Un autre chantier mené par la Fanaf concerne l article 13 du Code Cima dont vous avez obtenu l abolition. Dans quel but? L article 13 n a pas été aboli, il a été modifié par le Conseil des Ministres de la CIMA le 11 Avril 2011 à Ndjamena. Le Règlement 0001/CIMA/PCM CIMA/PCE 2011, qui a été adopté par le conseil des Ministres, n est pas encore entré en vigueur car il n a pas été publié dans le bulletin officiel de la CIMA. L article a été modifié dans le but : - d assainir les marchés d assurance ; - d améliorer la qualité des services et l image de marque de l industrie de l assurance par un paiement rapide et juste des sinistres; - de réduire et de supprimer le montant des arriérés de primes ; de renforcer la crédibilité et la solvabilité des sociétés d Assurances ; - d accroitre le rôle d investisseur institutionnel de l industrie de l assurance. Le but ultime de la réforme est de faire de tous les acteurs de l assurance des gagnants aussi : - l assuré ou la victime va être indemnisé plus rapidement ; - la société d assurances pourra payer sans difficultés ses sinistres grâce aux primes qu elle collecte et qui améliore sa trésorerie ; - les intermédiaires (courtiers et agents généraux) perçoivent dans des délais courts leurs Commissions ; - et enfin l Etat perçoit un volume plus important de primes. L entrée en vigueur de la réforme permettra de faire de tous des heureux gagnants, un véritable WIN/WIN. Horizon Plus Mensuel N 49

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6 HORIZON+ N 49:Mise en page 1 13/09/ :06 Page 6 > Management Compétences Managériales L entretien annuel d évaluation est cet échange au cours duquel le collaborateur se retrouve devant sa hiérarchie pour évaluer ensemble le chemin parcouru en termes de performances développées, de compétences acquises pendant les douze derniers mois. C est un moment de vérité qui doit être soigné, et préparé avec professionnalisme et tact. «Point d ancrage de la relation Manager et Collaborateur» selon Eléonore Marbot, les deux parties font un point déterminant sur les réalisations annuelles de la mission du collaborateur. Outil complet de la gestion des personnes en ce qu il intègre l impact humain dans l efficacité professionnelle d un collaborateur, le binôme qui se met en place s immerge dans un temps de mesure de la contribution du collaborateur à la bonne marche et au progrès de l entreprise. C est une occasion de projection commune des deux parties. Les enjeux et les attentes sont si forts à ce moment que l entretien gagnerait à s inscrire dans un besoin de motivation commune du continuer ensemble après douze mois de collaboration. Ainsi, les deux parties s orienteront solution et non pression. Manager, maillon fort ou Orfèvre La pression n est pas que du côté du collaborateur, le manager y joue aussi sa crédibilité, son savoir-être manager, et sa compétence s il a su concrétiser les orientations de la direction dans son équipe. Actuellement dans les grandes majors, on parle de plus en plus du Manager «Maillon fort» ou «Orfèvre» de la maitrise des outils RH. En clair, c est le besoin de professionnalisation. Surtout que les décisions des entretiens annuels d évaluation sont analysées de manière systémique et servent de «références aux décisions de gestion des personnes». Comment réussir un entretien annuel d évaluation? Malgré l aspect crucial pour le collaborateur qui est évalué par sa hiérarchie, je conseille aux acteurs de se créer le mode C3: Confiance, Choix, Conscience, et ainsi évoluer dans un entretien de qualité. Confiance pour en faire non un moment de démolition des carrières, mais un échange productif. Pour le Choix, c est entrevoir ensemble les nouveaux comportements nécessaires à l accroissement des résultats. Et la Conscience de ce que le collaborateur peut encore apporter à l équipe, la capacité du Manager à être flexible et avoir de la distanciation pour ne pas être juge et partie, ce qui arrive malheureusement parfois. Le Manager intègrera les attentes du collaborateur d où l intérêt de réussir l entretien au risque d installer un pourrissement des relations et de faire le lit du stress. En premier lieu, ne pas confondre l entretien annuel d évaluation et l évaluation de potentiel du collaborateur, qui est de la compétence d un expert externe. Management Comment réussir un entretien annuel d évaluation? Bien définir le fil rouge dont la base est le triptyque: Mission du collaborateur, raison d être de son emploi. Objectifs et Responsabilité. Hors de ce cadre, ce n est plus un entretien annuel d évaluation. Ensuite, maîtriser le processus et sa méthodologie structurée. Préparé à l avance, car il génère une forte attente chez le collaborateur : besoin de reconnaissance, de valorisation auxquelles s ajoutent la rétribution, la promotion mais aussi au lieu de cela, malheureusement de «verdicts déstabilisants». L annonce à une bonne semaine d avance place le collaborateur dans une préparation sereine de son entretien. En réalité, un entretien annuel d évaluation est un savant dosage de communication motivante, d écoute et d empathie. Le manager sera plus factuel pour rendre l échange authentique. Il s agit de clarifier et de valider les acquis, d aboutir à des retombées concrètes pour le salarié et pour l entreprise. Communiquer positif et constructif pendant l entretien, le Manager devra se mettre dans une posture de respect de la personnalité du collaborateur. Il est tout aussi important de faire de ce moment un instant de sincérité, et une occasion d améliorer le dialogue entre les parties, l une qui évalue, reçoit et acte la contribution mesurable d un collaborateur, et l autre qui s exprime et revendique. Le manager devra développer un langage valorisant et une communication in situ qui créent la confiance. Il veillera à ne pas s installer dans un réquisitoire qui n ya pas sa place. Des formations sont prévues à cet effet. Si le Manager sait déceler le bon moment, il en profitera pour annoncer les nouveaux caps au collaborateur tout en lui permettant de donner un avis en fonction des nouvelles orientations. Les parties auront enfin à évaluer ensemble les compétences existantes et à convenir de ce qui devrait aboutir à des conclusions précises et validées par les deux parties. L entretien annuel d évaluation qui sert à valider ou non -les résultats doit respecter scrupuleusement les étapes, une démarche structurée avec des règles connues de tous et partagées afin de répondre aux attentes respectives. Toute improvisation dénaturerait ce puissant levier de la concertation, et de partage des valeurs en entreprise. Marie Claire NGONO MEZANG FEUZE Master Coach Professionnel Institut de Coaching International de Paris - Appreciative Inquiry USA Directrice Erudis Premium BP 2460 DOUALA Contact: erudispremium@yahoo.fr

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8 HORIZON+ N 49:Mise en page 1 13/09/ :06 Page 8 > Management 8 Leaders, Managers, Chefs d entreprises... Horizon Plus Mensuel N 49 Stratégie Comment atteindre efficacement ses objectifs? Ce challenge s impose à tous. Que nous soyons Leaders, Créateurs d entreprises, Managers, Chefs d équipe, Représentants commercial et voire Syndicalistes... Il en est de même des leaders politiques sérieux. D où l urgence et l importance de ce «Comment?». Une urgence de la «Pensée managériale» comme dirait Pr Maurice KAMTO. Il faut dire de prime abord qu il s agit là d une équation polysémique à plusieurs inconnues. En effet, les mathématiciens nous en suggèrent l approche quantitative. Tandis que celle des philosophes et des sociologues est à la fois humaniste et qualitative. Toutefois nous retiendrons une approche fédératrice : l approche psychologique. Les physiciens quantiques parleront d une approche psycho-cybernétique. Mais tous poursuivent un même objectif : l atteinte efficace de nos objectifs globaux. Il convient de rappeler, d entrée de jeu, que l approche psychologique, qui inclut l approche psycho-cybernétique est une approche inéluctable. C est une approche à laquelle tous les décisionnaires sont censés recourir, consciemment ou inconsciemment Pour faciliter l apprentissage, empruntons la démarche prônée par les «marketistes». Qui ont réussi à faire admettre aux autres disciplines des sciences de gestion le postulat suivant : pour qu un objectif soit atteint de manière efficace, il faut que sa conception et sa détermination répondent à une norme qu ils ont baptisé poétiquement «SMART.» : Spécifiques, Mesurables, Acceptés, Réalistes et Temporels. Spécifiez vos objectifs L approche psychologique exige que tout Leader, Manager ou Décisionnaire en quête d efficacité commence par spécifier l objectif qu il envisage d atteindre. Un exemple : établir une filiale en République Centrafricaine. Décrocher l Award africain du Management de son secteur d activité. L approche psychologique suggère de mettre cet objectif par écrit, soit dans un agenda, soit sur tout support ou parchemin que nous plaçons à la portée de notre champ visuel. De manière à ce que notre lentille naturelle le perçoive et le capte régulièrement. En effet, la matérialisation de l objectif, soit par les mots, soit par une image, permet à notre esprit subconscient de faire tout naturellement un travail psychologique indispensable à toute réalisation : le travail de la programmation mentale et de la visualisation. Yannick NOAH en fait le témoignage dans son livre intitulé Secrets, etc.. Le Chrétien, Leader, Manager ou décisionnaire pourra utilement s inspirer du cas de Jacob, dans les Saintes Ecritures. Mesurez vos objectifs Selon cette double approche «marketiste» et psychologique, il est fortement recommandé de donner une mesure quantifiable à son objectif : une filiale centrafricaine réalisant 2000 nouvelles ouvertures de comptes. D un point de vue psychologique, donner une mesure à son objectif est d une importance capitale. En effet psychologues et physiciens quantiques sont unanimes pour dire que notre subconscient, qui est la source d intelligence naturelle de l homme (sans aucune discrimination de race, ni de religion), a tendance à créer les conditions de réalisation des objectifs que nous lui suggérons avec insistance, à l aide des mots et/ou des images mentales. Autrement dit, la mesure que nous lui indiquons a tendance à se réaliser si nous la lui présentons avec insistance par nos dires, notre contemplation mentale et notre croyance. Acceptez et faites accepter vos objectifs Accepter, croire, faire accepter et faire croire à l atteinte possible des objectifs est une habileté indispensable à la mission du Leader, du Manager ou de tout Décisionnaire. D un point vue psychologique, rappelons que si la faculté du Subconscient à faire réaliser les objectifs prioritaires du Leader, du Manager ou du Décisionnaire est réelle et avérée, l expérience a également démontré sans ambages que les objectifs fixés par ce Leader, ce Manager ou ce Décisionnaire ne peuvent être atteints que s il y croit fermement. De surcroît, en tant que Leader ou Manager, notre efficacité se mesure par notre habileté à amener nos collaborateurs à accepter et à croire en l atteinte des objectifs organisationnels que nous avons la charge d élaborer pour l ensemble du personnel des organisations que nous dirigeons. Sinon nos objectifs seront fréquemment voués à l échec. L habileté à faire accepter les objectifs joue, par ailleurs, un rôle catalyseur dans l esprit des collaborateurs ou des suiveurs. Elle emporte à la fois leur adhésion et leur engagement à atteindre les objectifs spécifiés. Les managers et les leaders qui souffrent de la non-atteinte de leurs objectifs devraient veiller à aménager leur style de management et de leadership en développant leur habileté à «partager» la perception des objectifs notamment avec leurs «suiveurs». Sauf que cette habileté au partage s appuie fondamentalement sur une autre habileté tout aussi nécessaire à l atteinte des objectifs. Faites accepter les objectifs par un style de communication efficace. «Je suis entouré par une bande de racailles, «des bons à rien» C est en ces termes, qu a commencé l entretien qu a bien voulu nous accorder un manager désireux de comprendre pourquoi les objectifs de son entreprise ne sont jamais atteints. A un de ses collaborateurs qui jubilait littéralement, parce qu il venait de décrocher un «marché» qu il estimait important pour son entreprise, le même manager n a soufflé aucun mot qui laissait soupçonner une certaine satisfaction, et encore moins un compliment. Bien au contraire, il a répliqué sèchement à son collaborateur joyeux qu il ya longtemps qu il aurait dû décrocher ledit «marché». Et que son succès tardif n était en rien une expérience «paroxystique» au point de s en réjouir tel qu il le faisait! Ledit manager est entré dans une colère noire lorsque nous avons dressé «un diagnostic» qui concluait que c était lui la cause principale de la non-atteinte des objectifs de son entreprise. Evidemment, il nous a congédié presque «manu militari», en justifiant le non-paiement de nos honoraires par le crime de lèse-majesté que nous venions de commettre à son endroit. Ils sont encore nombreux les managers de ce genre, qui ne soupçonnent aucunement l impact de leur style de communication sur le processus d atteinte de leurs objectifs. Il est urgent d informer et de démontrer à ces managers et leaders la lourde «emprunte» positive ou négative des mots sur le processus d atteinte de leurs objectifs. Dr. MOUMI De BAKONDJI Consultant/Leadership Corporation

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10 HORIZON+ N 49:Mise en page 1 13/09/ :07 Page 10 > Management Les enjeux Transfert rapide d argent au Cameroun L état des lieux et les forces en présence ; Le e-money au Cameroun : Comment ça marche? Quels sont les acteurs? Comment en tirer avantage? L état des lieux Depuis de nombreuses années, les Camerounais se sont familiarisés avec des noms comme Western Union (WU) ou Moneygram (MG), principaux opérateurs pour les envois internationaux d argent, et Express Union (EU) ou AfriExchange entre autres, pour les transferts nationaux. Si ces principaux acteurs se limitaient initialement à leurs corridors originels, force est de constater que ces Majors sont pour ainsi dire descendus sur le terrain national du transfert rapide d argent, et que EU par exemple s est déployé en Afrique Centrale et de l Ouest avec plus de 80 guichets. A ceci s ajoute un nombre sans cesse croissant de nouveaux services de transferts rapides d argent opérant tant sur le plan territorial qu international, entre autres cités ci-après par ordre alphabétique : Afex, Africash, Coinstar, Esico, Money Exchange, Money Express, Moneycash, Moneyfirst, Moneyline, Moneytrans, Opportunity Express, Travelex, RIA, etc ; lesquels s appuient généralement sur des Entreprises de messagerie, des Banques et des Etablissements de Microfinance (EMF). A coté des banques commerciales, et à la suite du développement de la Microfinance camerounaise (près de 400 établissements actifs à ce jour), la filière de l envoi rapide d argent a littéralement explosé ; chaque Banque ou EMF disposant désormais de son propre réseau interne de transfert d argent, à coté des Majors comme Western Union, Money- Gram ou RIA. De même, la plupart des opérateurs proposent en outre devises et chèques de voyage, assimilables aux moyens de transfert d argent. Les Principaux acteurs Western Union Considéré comme le plus important opérateur et leader mondial, WU a vu son marché perturbé suite à la cessation d activités de la Compagnie Financière de l Estuaire (COFINEST), son tout premier et principal agent sur la place camerounaise. Cependant la notoriété de cette vieille compagnie du Colorado et son ancienneté sont autant de leviers lui permettant de tenir le cap et de poursuivre son développement local. WU peut en effet compter localement sur plus de 500 agents dont les puissants réseaux de banques que sont la BICEC, la CBC, ECOBANK, la SGBC entre autres et une multitude d EMF. MoneyGram En perpétuelle concurrence avec WU, MoneyGram va probablement tirer des marrons du feu de l épisode Cofinest ; s appuyant sur un total de 600 points agréés, dont les groupes Afriland First Bank, Banque Atlantique, UBA, l immense réseau tentaculaire de Express Union et une bonne centaine d établissements de Microfinance, les MC² et MUFFA. RIA Dernier venu sur ce marché florissant, la firme américaine bien connue dans d autres continents multiplie les efforts pour se faire une place au soleil du Fast money sending market camerounais. Les raisons de l explosion du marché Initialement réservé aux envois des migrants vers leurs proches restés au pays, le transfert d argent s est aussi développé vers l international en raison du financement des études que les nationaux ont eu besoin d effectuer en Afrique et hors d Afrique, et du règlement des factures d importation. La répartition des villes et villages camerounais et la dissémination des populations et des TPE/PE/ME suivant les régions ont progressivement institué une culture d envoi/réception d argent ; les axes de transferts étant généralement entre les grandes villes, des pôles d activités vers les cités universitaires, frontalières et vers les villages. Les raisons de transferts sont multiples mais récurrentes : paiement des salaires, des frais d entretien des familles et de jeunes étudiants, règlements de fournisseurs. Il faut relever que des facteurs tels que l insécurité, mais surtout les coûts des frais d envoi souvent élevés et le peu de diligence des banques qui ont dans un premier temps négligé le créneau avant de s y engouffrer tardivement ont orienté les usagers vers la multitude de services qu offraient les EMF et les offices spécialisés. L expansion du nombre de leurs guichets et d autres Caisses villageoises a accéléré ce cercle vertueux. Finance De rudes batailles sont ainsi menées par ces prestataires afin de proposer des services aux taux de plus en plus faibles, voire nuls dans certains cas. La crise du secteur des banques des années 90, à laquelle a succédé de pénibles restructurations semble avoir jeté une anxiété dans toute la finance. Le bas de laine est revenu au goût du jour, les petits épargnants se méfiant encore du système, et ne confiant leurs dépôts aux institutions que dans les buts bien précis d investissement ou de règlements d obligations (règlements factures fournisseurs). Les contraintes imposées actuellement pour l ouverture de comptes bancaires entretiennent par ailleurs la désaffection envers les banques et une préférence certaine pour les EMF, beaucoup moins exigeantes en la matière. Comment sinon expliquer le si faible taux de bancarisation au Cameroun, estimé entre 5 et 10%, malgré la présence de 13 banques commerciales et de près d un demi-millier d EMF enregistrés? Les solutions nouvelles : le Mobile Banking Pratiquement un an jour pour jour après MTN Mobile Money, Orange Money l a rejoint dans ce qui se présente comme la plus importante révolution en matière de transfert d argent. Avec leurs partenaires financiers respectifs qui comptent parmi les meilleures institutions financières camerounaises, Afriland First Bank pour MTN et BICEC pour Orange, le Mobile Banking fait son entrée au Cameroun par la grande porte. Fondamentalement destiné aux populations non-bancarisées, le Mobile Banking permet à tous d effectuer des opérations bancaires de base via le téléphone portable : dépôt d espèces dans un compte virtuel intégré au téléphone, transfert pour achats divers et décaissement auprès des points agréés. Le téléphone mobile sert désormais de porte-monnaie électronique, comme moyen de paiement sûr et puissant, compensant facilement et largement les contraintes de possession de compte bancaire. A la suite de la crise financière mondiale de 2008, de ses incessants remous et sa résurgence actuelle, ajoutés à l indifférence qu affiche le système bancaire classique camerounais à l endroit des petits épargnants et des TPE/PE/ME, l introduction du portemonnaie électronique/téléphone apparait pour ces derniers comme la solution simplifié, appropriée et sûre de conservation et d utilisation de l argent. 10 Horizon Plus Mensuel N 49

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12 HORIZON+ N 49:Mise en page 1 13/09/ :07 Page 12 >12Management Finance Transfert rapide d argent au Cameroun (Suite et fin) Comment ça marche? MTN Mobile Money propose de vous fournir une puce nouvelle, ou de remplacer l existante par une de plus grande capacité, dans laquelle est logé un menu MobileMoney permettant d effectuer des opérations bancaires de base : versements (Cash in), retraits (Cash out), envoi d argent à des tiers, payer des factures, acheter du crédit de communication (Airtime). Les opérations sont sécurisées via un système de reconnaissance du numéro et un code PIN secret à 5 chiffres. Orange Money quant à elle vous autorise, une fois enregistré, à partir de la commande #150# mais sans changer de carte SIM, d utiliser votre téléphone portable comme Porte-monnaie électronique pour encaisser (Cash in), décaisser (Cash out), envoyer de l argent à des tiers, payer des factures, acheter du crédit de communication. Et si dans ce cas aussi votre argent est sécurisé en cas de vol ou de perte via un code PIN secret de 4 chiffres, l innovation majeure est la possibilité de payer sa facture d électricité AES-SONEL ou d autres services marchands via le mobile. En termes de sécurité et de praticabilité, en l état actuel des contraintes physiques, culturelles et suivant nos habitudes de consommation, le porte-monnaie électronique bat à plate couture tout ce qui se présente comme autre moyen de règlement. Il est quasi-inviolable : l exigence d un code PIN secret et personnel pour valider chaque opération et l identification au moment du retrait assure la sécurité de votre argent. En cas de vol ou de perte de votre téléphone, vous pouvez bloquer votre compte électronique sur simple appel ou à partir d un autre téléphone mobile. Les espèces sonnantes et trébuchantes, de même que les devises ou les chèques de voyage n assurent pas la même garantie de sécurité en cas de perte ou de vol! Par ailleurs, l autre moyen qu est la carte de crédit par exemple n est que très peu usité localement par quelques privilégiés ; et tous les cas de retrait de cash depuis la carte de crédit ou de débit exigent votre présence physique auprès d un distributeur automatique. De plus, la carte de crédit reste falsifiable et les numéros peuvent être dérobés. Le Mobile Banking : les enjeux d une formidable initiative africaine Le jour est arrivé où chaque utilisateur de téléphone portable peut régler, via son mobile, ses factures d électricité, d eau, de loyer, de courses au supermarché, voire les frais de transports, etc. L exemple Kenyan Mobile Banking de référence dénommé M-Pesa (M pour Mobile et Pesa pour Argent) est édifiant : dès leur introduction en 2007, près de 10 millions d utilisateurs ont adopté les solutions d opérations bancaires basiques via le téléphone mobile en l espace de 5 ans, sur une population de 40 millions -et dont 21% seulement est urbanisée! En 2009, l équivalent de 11% du PIB Kenyan a transité par le porte-monnaie électronique M-Pesa. Dans certains quartiers de Nairobi, il n est désormais plus possible de payer sa facture au bar du coin que par son téléphone portable. Du coup, plus de risques de manipuler des espèces, donc peu de risques de perte ou de vol, totale sécurité des fonds dans le porte monnaie-téléphone via un code PIN personnel, facilité des paiements non monétaires entre utilisateurs, traçabilité permanente (relevé des dernières opérations disponibles, interface web), et dans tous les cas de retrait d espèces, obligation de s identifier. Toutes les conditions de sécurité, de disponibilité, de permanence, d instantanéité et de proximité étant remplies, le Mobile Money va à coup sûr, pensonsnous, modifier les habitudes de consommation, les styles de vie et notre rapport à l argent. L informel caractérisant notoirement notre environnement économique, les échanges directs entre individus pour règlements divers (transferts d argent, paiement des factures de la ménagère, des salaires, tontines, etc.) en seront transformés. On peut imaginer à court terme la possible transposition d opérations bancaires simples dans la rue, en dehors des offices réglementaires, par le canal de futurs MoneyBoxes. A fortiori, le transfert rapide d argent tel que nous le connaissons aujourd hui s en trouvera ébranlé. Toutefois, les conditions de mise en place de cette nouvelle ère dépendent autant des opérateurs de téléphonie mobile que de l accueil réservé par les populations au Porte-monnaie électronique. Les opérateurs sont garants du déploiement de ce formidable outil, de la prise en main par les populations, et celles-ci, comptables de son utilisation progressive, régulière, constante et durable. Ceci peut être possible en raison de la facilité d utilisation des menus de gestion et de commandes, mais aussi avec l appui et la patience des hotlines explicatives. Particulièrement friands de nouveaux modèles de portables multimédia High Tech à une, deux, trois voire quatre puces, la ruée des 9 millions d utilisateurs que compte le Cameroun vers le Mobile Money est imminente. Le saut quantitatif et qualitatif accompli dans la filière de la téléphonie mobile en seulement 10 années laisse à penser que les sommes échangées via le M-Banking seraient extraordinaires, colossales, incalculables au jour d aujourd hui! Les opportunités offertes seraient à l aune de ce raz-demarée. La Banque Mondiale elle-même anticipe en déclarant qu en Afrique, l introduction du transfert d argent par mobile est un tournant du développement du continent. Le cas singulier de Express Mobile Leader incontesté du transfert rapide d'argent à l'échelle nationale (près de 400 guichets nationaux) Express Union propose depuis peu Express Mobile, une solution de transfert d argent via le téléphone portable. A l aide de commandes simples, chacun peut envoyer de l argent à destination de tiers, pour décaissement auprès de guichets Express Union ou pour approvisionner un compte Express Mobile. Bien que ce nouveau service reste intra-réseau, il touche progressivement les utilisateurs de ses services classiques. Les autres offres de paiements électroniques Après l infortunée expérience de MyMoney, certaines offres sont proposées depuis peu, avec des succès certes timides, mais tangibles. Il s agit du paiement électronique de Moneytel qui offre un porte monnaie électronique avec la possibilité de dépôts, retraits et envois à des tiers. D autres projets de règlements électroniques sont en préparation et peut-être compléteront ce tableau. A coté de ces solutions sans contact, on peut citer des produits tels la I-Card magnétique, les originaux Flash-Cash de Afriland First Bank et le Gold Chèque de la Commercial Bank of Cameroon, les diverses cartes bancaires de retraits et les cartes de crédit Visa, Mastercard ou American Express. Alors, quid du transfert d argent comme on le connait aujourd hui? De nombreuses questions se posent désormais sur l avenir de l envoi rapide d argent. De même, peut-on déjà envisager des conséquences sur le système bancaire et plus généralement sur les services, au regard du potentiel en présence: interfaçage entre le porte-monnaie électronique/téléphone et le compte bancaire classique, interopérabilité entre réseaux de Mobile Banking nationaux et internationaux, services à la personne et aux entreprises, etc. Eric Serge Dzeukou Consultant dzeukou@yahoo.fr Horizon Plus Mensuel N 49

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14 HORIZON+ N 49:Mise en page 1 13/09/ :07 Page 14 > Management Stratégie 10 étapes clés pour réussir ses campagnes s Qu il s agisse de stratégies d acquisition ou de fidélisation, l marketing est aujourd hui un canal inévitable qui a fait ses preuves. Différentes règles et bonnes pratiques sont cependant à suivre pour que son utilisation soit un succès. Depuis la constitution de la base de donnée jusqu à l envoi final, voici 10 étapes à mettre en place pour une campagne performante. Par Gerard Lewourien EYOUM EYOUM La constitution d une base de données Le plus important dans l acquisition d adresses s est le consentement du contact. Commencez par demander à vos clients s ils souhaitent recevoir vos actualités par et récoltez avec leur accord les adresses s, noms, prénoms, etc. Misez sur votre site Internet pour récolter des adresses s de clients potentiels, mettez en place des jeux-concours ou encore des enquêtes pour développer votre base de données, en pensant bien sûr à toujours obtenir le consentement explicite de ces contacts. Le choix du message Segmentez votre base de données selon une typologie pertinente de contacts (clients, prospects à minima) pour ainsi envoyer des messages s au contenu pertinent, adapté à votre cible et à vos objectifs. Vous conviendrez qu il n est pas vraiment opportun d envoyer une offre pour une épilation du maillot à un homme D autres règles propres au message sont à respecter : choisissez un objet court et évitez les majuscules, ponctuations et spamwords. La personnalisation du message Utilisez les informations dont vous disposez sur vos contacts pour leur envoyer des messages s personnalisés. Par exemple et selon les usages de votre secteur d activité, appelez-les par leurs prénoms ou indiquez le point de vente le plus proche de chez eux. Pensez également à la personnalisation dynamique de contenu qui permet d adapter un encart dans son au profil du contact. Par exemple, sur une même campagne, intégrez dans l encart dynamique l offre épilation maillot pour les femmes et l offre rasoir électrique pour les hommes. La mise en forme du message Créez un message aux formats texte et HTML pour que vos contacts puissent lire vos communications quelles quesoient leurs préférences de consultation. Mettez en place un ratio image/texte équilibré, soignez vos visuels et donnez à vos contacts la possibilité de réagir grâce à différents niveaux d appels à l action. L ajout d une dimension sociale Pensez à intégrer le partage de contenu sur les réseaux sociaux dans vos s. Et faites également la promotion de vos pages sociales grâce à ce canal afin de développer les conversations avec vos contacts. La préparation à l envoi Pour que vos campagnes s aboutissent correctement en boîte de réception, optimisez votre délivrabilité. Parmi les bonnes pratiques : l indispensable lien de désinscription avec un processus de désabonnement simple, l intégrité du code HTML, ne pas faire appel à des feuilles de style externes, ne pas envoyer sur les contacts inactifs depuis longtemps ni sur les adresses en erreur. Les tests Avant l envoi définitif, recherchez la moindre erreur : lien cassé, mauvaise disposition des images, etc.. Prenez le temps de vérifier le rendu visuel de votre message sur les différentes messageries et principaux navigateurs ainsi que l éventuelle présence de spamwords. L envoi Vos communications doivent arriver au meilleur moment dans les boîtes de réception de vos contacts. Par exemple, en fin de journée pour les plus jeunes, en matinée pour les retraités et avant midi pour les professionnels. Mais ces heures sont différentes pour chaque entreprise et secteur d activité, c est donc à vous de vous adapter à votre cible..l analyse des retours Pour constamment améliorer l envoi de vos campagnes s, analysez les résultats des précédents envois. Taux d ouverture, de clic, de transformation, de plainte ou encore de désabonnement, ces indicateurs vous donnent une idée de la réussite ou non de votre campagne. Votre taux d ouverture est en berne : testez la prochaine fois 3 variantes de votre objet auprès d échantillons de votre base avant généralisation à tous vos contacts. Votre taux de clic ne grimpe pas : testez divers niveaux d appels à l action plus ou moins engageants. A chaque point faible découvert, prenez le temps de tester vos idées d amélioration et faites évoluer dans le bon sens vos communications. La campagne multicanale Allez plus loin en mettant en place une stratégie de communication multicanale. Vous toucherez ainsi un maximum de personnes. SMS, réseaux sociaux, mailing papier ou encore affichage publicitaire Envisagez la complémentarité entre différents moyens de communication pour optimiser vos résultats et rejoindre plus rapidement vos objectifs. Gerard Lewourien EYOUM EYOUM Directeur d étude à l Agence de recherche et de développement informatique

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18 HORIZON+ N 49:Mise en page 1 13/09/ :07 Page 18 Entité du groupe FOTSO exerçant dans le domaine de la fabrication et de la distribution des cahiers au Cameroun et dans la sous région Afrique centrale, l entreprise SAFCA a été créée en 1970 à Yaoundé où sont installés son siège social et son usine. Au début des années 80, elle amorce la délocalisation de son usine en direction de la zone industrielle de Bonabéri- Douala. En 1997, la structure leader sur son marché et réputée notamment pour la qualité et la durabilité de ses produits, transfère son siège social à Douala. En 2001, l entreprise SAFCA procède à de nouvelles orientations en vue de consolider son leadership. Elle doit ainsi développer des stratégies afin de faire face aux défis avenirs tout en procédant à la diversification de ses activités. Le Revirement Stratégique En 2002 l entreprise, du fait de sa position sur le marché envisage l extension de ses services au secteur de l imprimerie. Pour ce faire, elle procède à la fusion absorption de l entreprise FABASEM (également entité du groupe FOTSO), challenger dans le secteur de l imprimerie au Cameroun. Suite à cela et forte de son expérience, SAFCA intègre sans trop d embuches le secteur de l imprimerie en offrant un éventail varié de solutions aux attentes des entreprises, des institutions et du grand public ; à travers la production d étiquettes, de boites pliantes d emballage, de magazines, de livres, d affiches publicitaires, etc. En 2004, SAFCA poursuit sa diversification en procédant à une fusion absorption avec SOPICAM, entreprise leader dans le secteur de l'assainissement intérieur des bureaux et des habitations, spécialisée dans la production et distribution des insecticides et désodorisants d'ambiance. Le nouveau challenge SAFCA, leader national et sous-régional de la fabrication de cahiers et la production d insecticides et désodorisants, vient d effectuer une énorme avancée technologique, qui accroit considérablement la qualité de ses services et sa capacité de production en acquérant une unité d impression de dernière génération entièrement automatisée et fonctionnelle depuis février Auparavant obligés de se rendre à l étranger pour réaliser des travaux spécifiques, les industriels, tenus par les délais et la rentabilité, disposent désormais localement de solutions qui leur permettent d accomplir d énormes économies d échelle et de gagner en réactivité, tout en évitant le goulot logistique que constitue l importation. Le capital SAFCA : des ressources au service de la qualité et de l efficience SAFCA est aujourd hui une entreprise pluridimensionnelle disposant d une expérience acquise sur plusieurs décennies pour chacun de ses trois secteurs d activité. SAFCA, s appuie sur une équipe de travailleurs professionnels spécialisés tous acquis à la culture de l entreprise et ayant sans cesse à cœur d offrir des produits et un service de qualité à sa clientèle. SAFCA c est également les agences de Yaoundé, Bafoussam, Maroua et bientôt Garoua, ayant pour objectif premier la proximité avec ses clients, et la réponse rapide et efficace aux besoins spécifiques de chaque région du pays et de la sous-région d Afrique centrale. Vers de nouvelles perspectives La technologie de pointe de SAFCA répondant aux normes internationales, permet à l entreprise de s engager résolument dans le secteur des services d imprimerie de dernière génération. Ceci au bénéfice des entreprises, des industriels et des particuliers, ayant à cœur des valeurs qui reposent sur la qualité, les délais et la rentabilité. L action de SAFCA marque un engagement durable au service du développement dans notre économie en pleine émergence. C est une Aude au dynamisme des entreprises camerounaises et africaines qui s écrit au quotidien à travers les actions de SAFCA, montrant ainsi à ceux qui en doutaient encore que l économie camerounaise, si elle le désire peut se procurer les atouts qui la rendront véritablement performante.

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20 HORIZON+ N 49:Mise en page 1 13/09/ :07 Page 20 > Dossier Agriculture Réformons notre agriculture, et le Cameroun deviendra émergent dès 2020 Par Jean Vincent TCHIENEHOM En prévision de l'élection présidentielle du 09 octobre 2011, trois associations : Actions Paysannes, l'acdic et la COSAC ont élaboré un «pacte pour le développement rural» qu elles invitent les candidats et les électeurs à signer. Se faisant, il s agit d amener les candidats à prendre l'engagement de réaliser les propositions contenues dans ce document stratégique une fois élus à la magistrature suprême. Pour comprendre cette initiative, rappelons quelques chiffres essentiels : l agriculture contribue à près de 35% à la formation du PIB, l agriculture occupe 67% des populations Camerounaises et le secteur agricole demeure le premier utilisateur de mains d œuvre et le principal pourvoyeur de revenus ; 97% des exploitations agricoles au Cameroun occupant d actifs agricoles sont de petite taille (un hectare au maximum), mais ces exploitations dites familiales fournissent près de 95% des produits vivriers consommés au Cameroun. Elles n en tirent pas des revenus suffisants car 80% de la production de ces exploitations familiales vont à l autoconsommation. Convaincues que ces exploitations constituent des unités de production plus efficaces que les grandes exploitations tant en termes de productivité ou de potentiel d emploi qu en termes de gestion durable de l environnement. Parce que toutes les études et experts sont formels pour dire que la bonne agriculture est celle qui est fondée sur l efficacité et l efficience des exploitations familiales, qui permet d assurer la sécurité alimentaire et de procurer des revenus décents à ses actifs, celle qui sort le paysan de l état de précarité constante et qui lui propose un avenir attractif, une agriculture qui donne une nourriture de qualité aux consommateurs à un prix juste et équitable, et qui réduit la dépendance alimentaire nationale dans une perspective de souveraineté alimentaire, les associations qui ont rédigé le pacte font quatre propositions majeures: faciliter l'accès aux facteurs de production, améliorer les techniques culturales et les équipements agricoles, améliorer les techniques de conservation et de transformation des produits et faciliter l'accès aux marchés. Très concrètement, le pacte propose un programme d action en 6 points. (Voir document) Voilà en tout cas un travail bien fait. Qui montre que la société civile est parfaitement outillée pour nous fournir des solutions aux multiples problèmes qui assaillent notre pays. Interview Bernard Njonga, président de l'acdic «Le pacte met l'accent sur les exploitations familiales» 20 Croyez-vous vraiment qu'en agissant sur le seul secteur del'agriculture, le Cameroun peut devenir émergent en 2020? Le Cameroun est un pays à vocation agricole. Nous ne sommes pas les seuls à le dire. Nous avons fait des propositions sur lesquelles nous fondonscette affirmation d un Cameroun émergent en Je vous confirme que le Cameroun devient pays émergent si ces propositions sont appliquées. Vous ne vous imaginez pas combien les productions issues de nos propositions tout en enrichissant les producteurs, boostent l économie nationale et dynamisent le développement des autres secteurs. Prenons l exemple du projet pain enrichi à 5% de farine de patate. Des milliers de producteurs sont engagés dans la production des tubercules. Des usines detransformation de ces tubercules en farine panifiable sont implantées. Le circuit de distribution des cette farine est mis en place. Les boulangers incorporent cette farine dans le pain commercialisé. Ce sont des milliers d emplois et des masses énormes de fonds qui sont engagés dans l opération. Votre pacte est très discret sur les questions essentielles du développement de l'agriculture comme la réforme foncière, la maitrise de l eau, la mécanisation, etc...? Pourquoi? Notre pacte met l accent sur les exploitations familiales qui constituent l ossature de notre production agricole. Même si on peut regretter que ces paysans en soient encore à nous nourrir avec la houe de grand mère. Nous sommes clairs pour dire que «utiliser l agriculture comme base pour la croissance économique dans les pays à vocation agricole nécessite une révolution sur le plan de la productivité des petits paysans». Un petit résultat avec eux est très efficace sur l importance de l augmentation de la production, étant donné leur nombre. «L amélioration de la productivité, de la durabilité et de la rentabilité des petites exploitations agricoles est le principal moyen de sortir de la pauvreté» puisqu ils sont les plus nombreux. «Les gains en productivité dans les petites exploitations agricoles sont d une nécessité absolue, car ces gains servent de base à une croissance économique nationale, sont l instrument d une réduction massive de la pauvreté et contribuent à la sécurité alimentaire et à la souveraineté alimentaire». L amélioration de la productivité de ces exploitations familiales passe par les semences de qualité aux producteurs, les engrais et autres produits phytosanitaires aux producteurs, l accompagnement technique et l amélioration des conditions de séchage, de conservation et de commercialisation. Je vous laisse constater qu on ne parle pas de mécanisation et encore moins du foncier comme problèmes préoccupants des exploitations familiales. C est avec les nouveaux entrants dans l agriculture, qu ils soient nationaux ou étrangers que les problèmes fonciers et ceux de la mécanisation se posent. Combien de partis ont signé le pacte jusqu'ici? Pour l heure, huit partis ont signé le pacte. Huit sur les huit que nous avons approchés. Nous attendons de savoir ceux qui sont définitivement retenus par la cour constitutionnelle pour accélérer notre campagne tant sur le plan de la sensibilisation/information de l opinion, que celui de la soumission du pacte aux candidats. Horizon Plus Mensuel N 49

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