Plongée : quels bénéfices pour les enfants?
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- Mathieu Lachapelle
- il y a 8 ans
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1 1 Plongée : quels bénéfices pour les enfants? La plongée enfants : une pratique née avec le scaphandre autonome Jacques-Yves Cousteau, peu après l invention du scaphandre autonome, fit découvrir la plongée à ses deux fils, Jean-Michel et Philippe. Il s exprime ainsi dans Le Monde du silence en 1953 : «Pendant l été qui suivit la Libération je revins un jour de Paris avec deux minuscules scaphandres autonomes pour les enfants, Jean-Michel et Philippe, âgés respectivement de sept et de cinq ans. L aîné apprenait à nager, quant au second, il ne savait que barboter dans l eau. J étais certain qu ils prendraient goût aux plongées, car il n est absolument pas nécessaire de savoir nager pour descendre avec un scaphandre autonome. Les yeux et le nez restent secs sous le masque, la respiration est instinctive et le coup de pied le plus maladroit vous propulse. A Port-Issol, au bord de l eau, je fis à mes garçons un petit cours technique, très simple, mais qu ils n écoutèrent pas. Sans hésitation, ils m accompagnèrent dans une petite crique peu profonde, pleine d algues, d oursins épineux et de petits poissons. L eau tranquille retentit vite de leurs cris de joie tandis qu ils me désignaient du doigt toutes ces merveilles. Impossible de les empêcher de parler. Philippe perdit son embout : je le lui replantai vite dans la bouche et je bondis aussitôt vers Jean-Michel, dont je remis en place le tuyau respiratoire. Ils se précipitaient sur moi, me harcelaient de questions et je n arrêtais pas de faire la navette de l un à l autre pour leur éviter de boire la tasse. En très peu de temps, ils eurent avalé une bonne quantité d eau de mer; mais il me fallut me rendre à l évidence : seule une vraie noyade aurait pu arrêter leur langue. Saisissant les deux marmots par le bras, je les hissai sur la berge. Alors, je leur fis un deuxième discours pour leur expliquer que la mer est un monde silencieux et que les petits garçons doivent se taire dès qu ils entrent dans l eau». Assurément, Jean-Michel et Philippe Cousteau sont les deux premiers enfants au monde à avoir plongé en scaphandre autonome. L épisode relaté ici est évocateur à la fois d une époque lointaine, celle des pionniers et, dans le même temps, de la facilité d accès à la plongée. Et si aujourd hui de nombreuses précautions sont fort heureusement prises dans la plongée enfants, cela ne doit pas nous empêcher d adopter d un certain «naturel» dans son enseignement qui, sans concession sur les règles de sécurité, doit être idéalement tourné vers le jeu, la découverte, la connaissance et la protection du monde subaquatique. Source : La plongée enfants : des bénéfices sur de nombreux plans Les enfants sont curieux par nature et accèdent au milieu aquatique avec une facilité déconcertante. Cela commence généralement avec des palmes, un masque et un tuba, durant des vacances d été au bord de la mer. Ainsi équipés, ces petits aventuriers vont observer la vie sous-marine, ramasser des coquillages, s immerger en apnée. C est à partir de ces premières incursions que vont naître des passions et l envie de poursuivre l aventure. Les bénéfices de la plongée pour les enfants sont multiples : L activité favorise le développement de l enfant sur le plan psychomoteur par la découverte de sensations nouvelles, dans un univers à 3 dimensions. Sous l eau, la poussée d Archimède nous porte. Bien équilibrés, nous pesons le même poids que l eau, ce qui nous permet de rester sans efforts entre deux eaux, de monter ou descendre, de mettre sans efforts la tête en bas, bref, d être libres de nos mouvements dans toutes les dimensions, d être légers dans l eau, «comme un 2
2 2 Plongée enfants : spécificités et âge minimum Spécificités sur le plan physiologique Sur le plan physiologique, l enfant se caractérise par : Un pourcentage de tissu adipeux plus faible que chez l adulte, un rapport surface corporelle-poids plus élevé et une forte déperdition de chaleur au niveau de la tête et du cou. Il en résulte une plus grande sensibilité au froid qui nécessite une protection particulièrement efficace (voir fiche n 10), et des règles de pratique adaptées selon l âge et la température de l eau (voir fiche n 3). Une masse d eau plus faible que celle de l adulte et donc une apparition plus précoce du phénomène de déshydratation en plongée (voir fiche n 11). Des oreilles qui n ont pas encore atteint leur maturité avec des risques accrus d otites séro-muqueuses et des difficultés à équilibrer les pressions au cours de la descente (voir fiche n 12). Des sinus en cours de formation (voir fiche n 12). Un appareil pulmonaire en plein développement avec une faible élasticité pulmonaire, une résistance au passage de l air plus forte que chez l adulte et une hypoxie physiologique qui persiste jusqu audelà de 14 ans (voir fiche n 14). Un appareil cardio-vasculaire qui n a pas encore atteint sa maturité, ce qui suppose une vigilance particulière vis-à-vis de la désaturation (voir fiche n 13). Un appareil dentaire non encore définitif, fragile, qui nécessite des précautions particulières concernant les embouts de tubas et de détendeurs (voir fiche n 15). Un appareil ostéo-articulaire en pleine croissance qui nécessite d éviter le port de charges lourdes (bouteilles de plongée adaptées) et les mauvaises postures (voir fiche n 16). Spécificités sur le plan psychologique Sur le plan psychologique, entre 6 et 8 ans, l enfant se caractérise par un apprentissage ludique centré sur l imitation et par une pensée encore peu structurée. Entre 8 et 12 ans, alors que la pensée se structure, la maîtrise de la troisième dimension apparaît et l apprentissage coordonné devient possible. Cependant, la capacité d attention reste faible et les risques de panique «sans raison» demeurent. A partir de ans, l apprentissage des brevets «adultes» devient possible. Dans tous les cas, la motivation de l enfant, sa volonté à pratiquer la plongée est le point clef. Âge minimum Tous ces éléments ont conduit les différentes organisations à définir un âge minimum d accès à la plongée, le plus souvent différent en plongée libre (palmes, masque, tuba) et en plongée avec scaphandre (voir tableau ci-contre), ainsi que des règles de sécurité spécifiques (voir fiche n 3). 4
3 L E C A D R E R É G L E M E N T A I R E Organisation des sorties et accueil collectif de mineurs (ACM) La première question à se poser est de savoir si la sortie que vous comptez organiser entre ou non dans le cadre de l accueil collectif des mineurs (ACM). Le décret du 26 juillet 2006 définit les «accueils» comme ceux organisés par toute personne morale (association, entreprise, société, collectivité), tout groupement de fait ou par une personne physique si cette dernière perçoit une rémunération. Accueils sans hébergement Entrent dans ce cadre : «L accueil de loisirs» (précédemment dénommé «centre de loisirs» ou «centre aéré»), qui est l accueil organisé pour 7 à 300 mineurs et qui fonctionne pendant le temps extrascolaire ou périscolaire au minimum 14 jours par an, pour une durée minimale de deux heures par journée de fonctionnement. Il se caractérise par une fréquentation régulière des mineurs inscrits auxquels il offre une diversité d activités organisées. «L accueil de jeunes» qui est l accueil organisé pour 7 à 40 mineurs âgés de 14 à 17 ans et qui fonctionne au minimum 14 jours par an. Il est destiné à répondre à un besoin social particulier explicité dans le projet éducatif. Accueils avec hébergement Entrent dans cette catégorie : le «séjour de vacances» (précédemment dénommé «centre de vacances» ou «colonie de vacances») qui est l accueil organisé d au moins 7 enfants et/ou adolescents pour une durée minimale de 4 nuits. le «séjour court» qui est l accueil organisé d au moins 7 enfants et/ou adolescents pour une durée comprise entre 1 et 3 nuits. le «séjour spécifique» qui est l accueil organisé d au moins 7 enfants âgés d au minimum 6 ans et/ou adolescents. Il ne peut être organisé que par des personnes morales dont l objet est le développement d activités particulières définies réglementairement (séjours sportifs, séjours linguistiques, séjours artistiques et culturels, rencontres européennes de jeunes et chantiers de jeunes). le «séjour de vacances» dans une famille (précédemment appelé «placement de vacances») qui est l accueil organisé de 2 à 6 mineurs pour une durée minimale de 4 nuits. Pour vérifier si le séjour que vous prévoyez de réaliser entre dans la catégorie des ACM, contactez la direction départementale de la cohésion sociale (DDCS) /direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations (DDCSPP) du département de votre résidence si l organisateur est un particulier ou du département du siège social si l organisateur est une personne morale. Si vous entrez dans la catégorie des Accueils Collectifs de Mineurs (ACM), les 5 obligations réglementaires suivantes en découlent : 1. Obligation de déclaration (accueil et local d hébergement). Les accueils collectifs de mineurs (article L à 4 et R227-1) doivent être obligatoirement déclarés auprès de la DDCS/DDCSPP, soit du siège social de l organisme, soit du lieu de résidence pour un particulier. Les accueils ne rentrant pas dans cette définition ne peuvent pas être déclarés. De même, les locaux servant à héberger les mineurs doivent être déclarés à la DDCS/DDCSPP du lieu d implantation. La procédure de déclaration des accueils de mineurs est définie par un arrêté du 03/11/2014. Elle doit être effectuée en ligne : 11
4 6 L apprentissage chez l enfant : entre émotion et raison L apprentissage Pour Reuchlin 1, l apprentissage est une transformation stable et durable sous l effet d une pratique répétée. Il n est possible que si trois conditions sont réunies : 1. L enfant comprend qu il apprend. Dans certaines conditions, lorsque le sport est synonyme de défoulement, de détente physique et de plaisir, l enfant oublie ou ne sait pas qu il est en train d apprendre. Cette difficulté peut se rencontrer dans les jeux en plongée. La création de situations ludiques ne doit donc pas se faire au détriment de la conscience, chez l enfant, qu il est en phase d apprentissage. 2. L enfant sait pourquoi il est en train d apprendre. Le sens de l apprentissage est essentiel, sachant que si l enfant est «en échec», ce n est pas parce qu il ne sait pas, mais parce qu il ne sait pas se servir de ce qu il sait. 3. L enfant comprend comment il apprend. L encadrant doit prendre le temps de faire analyser et comprendre à l enfant les procédures qu il emploie afin de le stabiliser et de les rendre reproductibles. Chez l enfant, l apprentissage revêt des caractères particuliers selon les tranches d âge. La tranche des 5/7 ans Selon Piaget 2, c est vers 5/6 ans que débute sur le plan affectif la phase dite de «latence», propice à l ouverture au monde extérieur et à la découverte de nouvelles activités. C est une période propice à l investissement dans des activités scolaires, sportives et sociales où s expriment la curiosité et le besoin de compétition. Avant 8 ans, c est également le moment où apparaissent la vie scolaire et le groupe de jeu, avec une augmentation en variété et en intensité des activités physiques. Les activités ludiques doivent alors se concentrer sur le développement des qualités d observation, d équilibre, de coordination et d adresse; sans oublier qu à cet âge l enfant est attiré par toute stimulation extérieure et que ses capacités d attention et d effort soutenu restent limitées. La tranche des 8/10 ans Vers l âge de 8 ans, le cerveau a presque atteint sa taille adulte, même si la ramification et la différenciation des structures cérébrales ne sont pas encore totalement terminées. Le système nerveux central possède déjà un haut niveau d analyse qui se manifeste par une excellente capacité d apprentissage et de performance. Cette étape du développement se caractérise par : une activité motrice débordante et un fort intérêt pour les sports; une croissance taille/poids rapide («pic pré-pubertaire») sans différenciation entre filles et garçons jusqu à 9/10 ans; une grande amélioration des capacités de coordination et d équilibration avec une image corporelle précise, ce qui constitue une bonne période pour l apprentissage de gestes sportifs et le développement d habiletés motrices Reuchlin M., Psychologie, PUF, Piaget J., La psychologie de l enfant, PUF, 1989.
5 Exemples de jeux et de mises en situation Fantômas Thème : palmage. Les enfants mettent un bandeau de nuit sur les yeux puis leur masque par-dessus. En aveugle, ils doivent parcourir une distance en étalonnant leur palmage. Un binôme est constamment présent à côté pour éviter de cogner les autres ou les murs. Ce jeu peut se dérouler en surface ou en bouteille. Matériel : PMT, bandeaux de nuit. Intérêt pédagogique : travail du palmage, de l équilibre, de l orientation. La tour infernale Thème : palmage. Disposer des planches de natation sur l eau. L enfant doit empiler les planches les unes sur les autres afin de construire sa tour sans la faire s écrouler. Matériel : Palmes, planches. Intérêt pédagogique : travail du palmage de sustentation et, notamment, de sa verticalité afin de ne faire s écrouler la tour. Initiation à l immersion en phoque puisque l enfant est obligé d accroître sa sustentation et de lever les bras lors de l élévation de la tour, afin de poser les planches les plus hautes. Le bateau de plongée Thème : qualification «bateau». Les enfants apprennent le comportement à avoir sur un bateau de plongée, ainsi que la façon de se mettre à l eau et de remonter sur l embarcation. Matériel : banc, échelle de piscine afin de matérialiser le bateau, matériel de plongée. Intérêt pédagogique : travail de la qualification bateau 2 (FFESSM), notion d entraide, d organisation et de rangement. Variante : le jeu de rôle permet à chacun d endosser le rôle du plongeur, du moniteur et du capitaine avec les exigences et responsabilités propres à chacun. Le bateau pneumatique Thème : qualification «bateau». Les enfants apprennent, sans bloc, à se mettre à l eau et à remonter sur un amoncellement de tapis matérialisant un bateau pneumatique. Matériel : tapis d épaisseur variable ou bateau gonflable, PMT. Intérêt pédagogique : travail de la qualification bateau 1 (FFESSM), notion d entraide. 18
6 8 Les qualités de l encadrant En plongée, l encadrant est tout à la fois un plongeur, un guide, un pédagogue, un éducateur et un psychologue. Il doit non seulement être compétent mais également avoir les qualités requises pour encadrer des enfants. Avec, en premier lieu, une motivation entière. Une motivation entière La motivation de l encadrant est l élément premier de la qualité de son enseignement. Il ne s agit pas de répondre aux contraintes de son club désireux de disposer d une section «enfants» et manquant d encadrants, mais bien d une réponse à une envie profonde et personnelle d enseigner la plongée à des enfants. Ne pas forcer sa nature La personnalité de l encadrant joue un rôle important. Certains traits de caractère favorisent les relations avec les enfants, d autres les rendent difficiles. Mieux vaut être lucide sur la question et reconnaître, lorsque c est le cas, son incapacité à encadrer des enfants. Cela évite bien des conflits et frustrations. Des compétences spécifiques, en particulier sur le plan affectif L encadrant doit constamment garder à l esprit que l enfant se caractérise par son immaturité psycho-affective, son émotivité et son manque d expérience. C est pour cela que, face au danger ou à tout incident, la réaction de l enfant est imprévisible. D où la nécessité de développer, encore plus que pour l adulte, ses capacités de prévention des risques et d anticipation. L encadrant doit donc avoir une compétence affective envers les enfants. Il s agit de leur témoigner l intérêt, l affection et l écoute intelligente dont ils ont besoin pour s épanouir. Les aimer, c est comprendre qu ils appartiennent d abord à eux-mêmes et c est savoir leur laisser la marge de liberté nécessaire à leurs conquêtes, laisser libre cours à leur spontanéité, sans trop les protéger mais sans jamais les mettre en situation de risque. En particulier, l encadrant doit veiller à adapter : son vocabulaire; son attitude; son approche pédagogique; la nature et la progression des exercices proposés. Cela peut passer par une remise en question de ses habitudes. Par exemple, être limité à une faible profondeur (2 m, 3 m) peut frustrer certains encadrants. Il faut être capable de dépasser cela en faisant abstraction des notions de profondeur, de temps, de brevets, de technique. Les finalités, les objectifs, les méthodes et les éducatifs ne peuvent pas être une simple transposition de l enseignement auprès des adultes, ils doivent être repensés spécifiquement et correspondre aux besoins et aux contraintes du public enfants. Une grande capacité d écoute Plus qu une obligation de résultat, l enseignant doit se fixer une obligation de moyens. Il doit savoir répondre aux attentes de l enfant, écouter et satisfaire ses demandes avant de l initier. Il faut laisser ou faire s exprimer les enfants de façon à partager leurs émotions et mieux comprendre leurs difficultés. Ces échanges doivent permettre de renforcer la confiance de l enfant envers son encadrant. 22
7 10 La régulation thermique chez l enfant Le froid est le principal facteur limitant la plongée enfants. Il convient d y être particulièrement attentif, à la fois en termes d organisation (température de l eau et de l air, durée de la plongée, réchauffement après la sortie de l eau) et d équipement (combinaison). Froid et thermorégulation : des spécificités chez l enfant L enfant se caractérise par : un pourcentage de tissu adipeux plus faible que chez l adulte ; un rapport surface corporelle-poids plus élevé que l adulte; une forte déperdition de chaleur au niveau de la tête et du cou. Il est donc plus sensible au froid que l adulte. Sachant que dans l eau nous nous refroidissons 25 fois plus vite que dans l air et que la neutralité thermique est à 34 C contre 24 à 26 C dans l air, il faut particulièrement en tenir compte avec de jeunes publics. Un des aspects insidieux du froid est que les déperditions caloriques ne sont pas toujours ressenties. Par exemple, il n est pas rare de voir des enfants s ébattre dans l eau après la plongée alors que leur température corporelle a fortement baissé. Des mesures de température tympanique effectuées par le Dr Atthar 1 sur 69 enfants de 8 à 14 ans ont permis d observer, pour des plongées de 25 min à 10 m, des températures de 35 C pour les enfants de poids inférieur ou égal à 35 kg quel que soit leur âge. Selon le Dr Marc-Alain Panchard, une étude a montré qu un séjour prolongé dans une eau à 20 C ne modifie pas la température centrale de l adulte mais qu elle fait chuter celle de l enfant. Ces spécificités entraînent une moins bonne isolation thermique que l adulte. L enfant compense par un métabolisme plus élevé, ce qui favorise l essoufflement et l épuisement (fatigue). Il convient donc : de prendre en compte la température de l eau; d avoir une combinaison de plongée appropriée ; de limiter la durée de plongée; de réchauffer l enfant après la plongée. Combinaisons Les combinaisons humides offrent une protection contre le froid car : elles emprisonnent une couche d eau qui est réchauffée par le corps; elles isolent le corps de l eau environnante par du néoprène (caoutchouc gorgé de bulles) plus ou moins épais. Elles réduisent donc les phénomènes de déperdition de chaleur, que ce soit par convection ou par conduction. Refroidissement par convection La circulation de l eau sur l extérieur de la combinaison et, plus encore, dans la combinaison ellemême, oblige le corps à réchauffer sans cesse une nouvelle pellicule d eau. Pour limiter ce phénomène, il faut une combinaison ajustée au plus près du corps, avec des manchons aux poignets, aux chevilles et sur la cagoule. Une cagoule est d autant plus importante que, comme nous l avons déjà vu, la déperdition de chaleur par la tête et le cou est très importante chez les enfants P. Atthar, Variations de température en plongée scaphandre chez l enfant, 6 e colloque national de la plongée enfants, 2000, FFESSM.
8 12 La sphère ORL de l enfant Les oreilles Chez l enfant, l'otite barotraumatique est la source principale d'incidents ou d'échecs en plongée. A. Bylander 1, qui a étudié la physiologie comparée de la trompe d'eustache chez l'enfant et l'adulte, a constaté qu il existe des pressions d'ouverture et de fermeture tubaire voisines, mais une fonction d'ouverture de l'orifice musculaire nettement moins bonne chez l'enfant. Autres éléments notables chez l enfant : La trompe d'eustache est «plus large, l isthme moins marqué et l orientation des muscles péristaphylins différente de celle de l'adulte. Ceci explique que la perméabilité tubaire soit plus grande, avec pour conséquence des otites plus fréquentes, et que l équilibrage de l oreille moyenne soit difficile à contrôler» 2. Avant 8 ans, les végétations hypertrophiques peuvent boucher la trompe d'eustache, de même que des affections rhinopharyngées. L otite séro-muqueuse, fréquente chez le jeune enfant (25 % des enfants selon une étude américaine rapportée par le Dr Delonca), peut également constituer un risque. Il s agit d une inflammation chronique de la muqueuse de l oreille moyenne entraînant un épanchement liquidien de l oreille moyenne et une dépression dans les cavités aériennes. Sur le plan statistique, M. Tessier 3 relate qu'une étude finlandaise, se basant sur des examens systématiques effectués auprès de enfants de 7 à 8 ans scolarisés, a montré que 50 % ont présenté au moins une otite. L étude, menée de 1987 à 1992 par le Dr J.-P. Pham-Van 4 auprès de 140 enfants plongeurs de la région toulousaine âgés de 8 à 17 ans, indique : 4 cas de contre-indication définitive et 12 temporaire pour motif ORL. 2 cas de contre-indication définitive et 3 temporaire pour motif respiratoire. 3 cas de contre-indication temporaire pour motif locomoteur. 1 cas de contre-indication définitive pour motif cardiaque. Une autre étude, menée par le G. Vandenhoven et coll. 5, s'est intéressée de 1985 à 1992 à 234 enfants belges âgés de 6 à 13 ans souhaitant faire de la plongée en scaphandre. L'examen médical initial comportait des tests fonctionnels pulmonaires, des électrocardiogrammes de repos et d'effort, ainsi qu'un examen électroencéphalogramme. 29 enfants (12,4 %) ont été recalés par cet examen initial. Parmi les 205 enfants restants, pendant l'entraînement en piscine, les problèmes les plus fréquemment rencontrés ont été : un dysfonctionnement de la trompe d'eustache (12,2 %) ; l'accumulation de cérumen dans le conduit auditif externe (5,4 %) ; une otite externe (3,9 %). Il y a eu également 4 perforations tympaniques et une syncope hypoxique (2,4 % des plongeurs qualifiés), tous suivis d'un rétablissement complet. 1 A. Bylander, Eustachian tube function in normal children and adults, J.-P. Bonnin et coll., Plongée sous-marine et milieu subaquatique, Masson, 2003, p M. Teissier, Recherche d un coefficient de survie en eau froide, Médecine du sport, J.-P. Phan-Van, Suivi médico-sportif de 140 enfants plongeurs de 1987 à 1992, Thèse de Médecine, Toulouse, G. Vandenhoven, F. Collard, E. Schamp, Children and diving : medical aspects, SPUMS J 2003 ; 33 :
9 L E M A T É R I E L ( S Y N T H È S E ) MATÉRIEL INDIVIDUEL COMMENTAIRES Bloc 4 à 10 litres selon gabarit. (voir fiche n 16) Gilet Adapté à la taille et à la morphologie de l enfant (gilets spécifiques). Réglage facile sur le ventre et les épaules. Direct-system facile à presser. Purges faciles à localiser. (voir fiche n 16) Détendeur Faibles résistances respiratoires. Léger en bouche. Embout de petite taille voire orthodontique lorsque nécessaire. Embout anti-allergénique (ex. 100 % silicone). (voir fiches n 14 et 15) MATÉRIEL PÉDAGOGIQUE (EXEMPLES) (voir fiche n 7) Demi-cerceaux lestés. Photo Abysse Sport Cerceaux lestés. Photo Abysse Sport Planches de natation Photo Abysse Sport Boules et figurines Tapis Jeux (lettres) Tunnel lesté. Photo Abysse Sport Tunnel 41
10 18 La plongée en milieu scolaire La plongée en école primaire La circulaire du ministère de l Education nationale n du portant sur «l organisation des sorties scolaires dans les écoles maternelles et élémentaires publiques» prévoit que la plongée subaquatique puisse faire partie des activités d animation pratiquées en dehors de l école. Justifiées par le fait qu elles «contribuent à donner du sens aux apprentissages en favorisant le contact direct avec l'environnement naturel ( )», ces sorties scolaires sont soumises aux conditions suivantes : Les activités pratiquées à l'occasion d'une sortie scolaire viennent nécessairement en appui des programmes (art. 1.2). La plongée subaquatique, classée en «discipline dite à risque» (annexe 5), doit faire l objet d un encadrement renforcé (art. II ) qui peut être constitué, au choix : d éducateurs ou conseillers territoriaux des APS pour les personnels titulaires; d un breveté d Etat de la spécialité pour les personnels non-titulaires ou rémunérés sous contrat de droit privé; de bénévoles qualifiés (ex. monitorats fédéraux), après un stage d information ou une journée d information. TAUX MINIMUM D'ENCADREMENT RENFORCÉ POUR CERTAINES ACTIVITÉS D'ENSEIGNEMENT D'ÉDUCATION PHYSIQUE ET SPORTIVE PRATIQUÉES PENDANT LES SORTIES RÉGULIÈRES, OCCASIONNELLES AVEC OU SANS NUITÉE École maternelle, classe maternelle ou classe élémentaire avec section enfantine Jusqu'à 12 élèves, le maître de la classe plus un intervenant, qualifié ou bénévole, agréé* ou un autre enseignant. Au-delà de 12 élèves, un intervenant, qualifié ou bénévole, agréé* ou un autre enseignant supplémentaire pour 6 élèves. École élémentaire Jusqu'à 24 élèves, le maître de la classe plus un intervenant, qualifié ou bénévole, agréé* ou un autre enseignant. Au-delà de 24 élèves, un intervenant, qualifié ou bénévole, agréé* ou un autre enseignant supplémentaire pour 12 élèves. * L'agrément d'un intervenant bénévole est lié à la participation à un stage spécifique ou à des journées d'information organisées par la commission départementale pour l'éducation physique et sportive dans le premier degré. Chaque sortie doit être déclarée et avoir obtenu une autorisation, selon les cas (voir encadré), de la direction de l école ou de l inspecteur d académie. Une équipe d encadrement doit être formée. Elle est constituée obligatoirement (hors enseignement) de deux adultes au moins dont le professeur en charge de la classe. Ce dernier assume la responsabilité de la sortie. Lorsque la sortie se déroule à bord d une embarcation ou qu elle comprend au moins une nuitée, la présence d une personne titulaire d un diplôme de secouriste est obligatoire sur les lieux (mais pas pendant le transport). 42
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