Mars 2000 RECOMMANDATIONS DE LA PROTHÈSES BILIAIRES

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Mars 2000 RECOMMANDATIONS DE LA PROTHÈSES BILIAIRES"

Transcription

1 Mars 2000 RECOMMANDATIONS DE LA PROTHÈSES BILIAIRES

2 Le traitement endoscopique des sténoses des voies biliaires repose sur l utilisation de prothèses plastiques ou métalliques auto-expansibles mises en place au moment de la cholangiopancréatographie rétrograde endoscopique (CPRE). Le drainage biliaire endoscopique est le traitement de référence de l ictère en cas de sténose néoplasique de la voie biliaire principale, chez les patients à haut risque opératoire ou en cas de contre-indication à l exérèse du fait de métastases et/ou de l extension locorégionale. Le calibrage sur prothèse(s) de certains types de sténoses bénignes est une alternative reconnue au traitement chirurgical. La mise en place de prothèse par voie endoscopique devrait être au mieux réalisée dans des centres qui disposent d une équipe de radiologie interventionnelle susceptible de pallier les échecs de la voie endoscopique ou de compléter le drainage si nécessaire. I - PROTHÈSES PLASTIQUES A) CARACTÉRISTIQUES Forme : droite ou légèrement incurvée : - avec orifices latéraux aux extrémités et ailerons latéraux antimigration. - sans orifices latéraux de façon à réduire les turbulences et donc à optimiser le flux biliaire afin de diminuer le pourcentage d obstruction secondaire. Les prothèses Tannenbaum (Wilson-Cook) téflonnées et sans trous latéraux n ont cependant pas clairement démontré une durée de perméabilité supérieure aux modèles classiques dans deux essais randomisés récents. Celle-ci étant peut-être défavorablement compensée par les dysfonctions liées à l absence de trous latéraux, si la prothèse s impacte dans la paroi. Matériau : - polyéthylène ou téflon, ce dernier présumé moins accessible à l adhésion bactérienne et à l obstruction. - prothèses double couche à armature métallique avec revêtement interne perfluoré (Olympus) anti-adhésion protéique en cours d évaluation. Diamètre : Un diamètre de 12 French (impliquant l utilisation d un duodénoscope à gros canal opérateur de 4,2 mm) ou de 10 French est nécessaire pour une efficacité durable. Les prothèses de 12 French n ont pas clairement démontré d avantage en terme de durée de perméabilité par rapport à celles de 10 French. (Le plus important étant leur diamètre interne). Des prothèses de plus petit calibre peuvent être nécessaires (7 ou 8,5 French) pour intuber des sténoses serrées difficilement franchissables mais leur perméabilité est d une durée très raccourcie par rapport à celle des prothèses de 10 French. Longueur : le choix de celle-ci doit tenir compte du siège et de la longueur de la sténose, pour positionner l extrémité supérieure avec son aileron anti-migration au-dessus du pôle supérieur de la sténose, et le pôle inférieur au niveau duodénal, sans contact avec la muqueuse. Elle doit cependant tenir compte du risque migratoire, de la congruence aux conditions anatomiques, et du placement efficace des orifices de drainage. Après détermination théorique du positionnement idéal pour l extrémité supérieure et pour l extrémité inférieure de la prothèse, la longueur idéale de celleci peut être facilement déterminée : par simple retrait de l extrémité d un guide radio-opaque coulissant dans un cathéter préalablement placé au-dessus du pôle supérieur de la sténose. Positionné au niveau du point supérieur souhaité, le guide est retiré jusqu au point inférieur. La distance correspondante du guide retiré à l extérieur de l endoscope est mesurée par l aide. Cette longueur théorique est à interpréter en fonction des marques de prothèses, certaines affichant la longueur totale, d autres la longueur entre les ailerons. B) LES MATÉRIELS ANNEXES Fil guide : 260 à 480 cm, de 0,035 Inch ( soit 0,89 mm) radio-opaque. Extrémité hydrophile ou à rigidité variable. Cathéter pose-prothèse de 5 à 6 French avec repères radio-opaques. Cathéter pousse-prothèse du diamètre de la prothèse. Ces différents éléments sont utilisés séparément et l un après l autre (guide puis cathéter puis prothèse puis pousse-prothèse) ou ils sont insérés ensemble sur le guide : dispositif de pose rapide. Ce dernier système d insertion en un temps n est à recommander que dans les cas simples. C) TECHNIQUE DE MISE EN PLACE Cholangiographie rétrograde : elle précise le siège, le type et l étendue de la sténose. Sphinctérotomie : le plus souvent sur fil guide, elle facilite la mise en place de la prothèse. Elle n est pas obligatoire et peut dans certains cas être remplacée par une dilatation au ballonnet (infiltration tumorale sphinctérienne, trouble de la crase sanguine). Franchissement sous radioscopie de la sténose par le fil guide puis par le cathéter guide. Prélèvements éventuels : bactériologiques (bile), cytologiques (bile pour centrifugation, brossage de la sténose sur guide) voire histologiques (biopsies endobiliaires), surtout importants pour :

3 - décider d une association radiochimiothérapie en cas de sténose d allure maligne, - opter pour un calibrage endoscopique en cas de sténose d allure bénigne, mais en l absence de contexte clinique évocateur. Choix du type de prothèse et de sa longueur (cf. longueur). Dilatation éventuelle de la sténose (bougie du même diamètre ou ballonnet hydraulique). Elle est recommandée pour les sténoses par compression extrinsèque d origine métastatique, pour les sténoses hilaires ou pour les sténoses bénignes. Mise en place de la prothèse : l endoscope doit être maintenu près de la papille pour éviter que la prothèse ne boucle dans le duodénum. L ensemble cathéter-guide doit être en traction mais doit rester au-dessus de la sténose. La prothèse est poussée dans la voie biliaire par le pousse-prothèse aidé par le béquillage et l érecteur. Son bon positionnement est vérifié sous radioscopie. L extrémité supérieure (y compris l aileron) doit être au-dessus de la sténose, l extrémité inférieure dans le duodénum. Retrait du fil et du cathéter guides. Vérification du bon écoulement biliaire par la prothèse. Clichés de contrôle (décubitus). D) RÉSULTATS Cette technique permet l intubation des sténoses malignes sous hilaire dans 90 % des cas. En revanche les sténoses hilaires ne sont intubées avec succès que dans 70 % des cas (6, 7). Les échecs de la technique sont rencontrés en cas d antécédents de chirurgie gastrique (anastomose de type Billroth II) ou en cas d envahissement duodénal tumoral, du fait de la complexité de la sténose ou de sa localisation très basse sur la voie biliaire. Le nonfranchissement de la sténose par la prothèse alors que l opacification biliaire sus-sténotique a été réalisée s accompagne d un risque d angiocholite important, qui doit faire discuter dans de brefs délais, une reprise endoscopique dans un centre de 2ème intention ou un drainage percutané, voire une intervention chirurgicale en cas d impossibilité de recours à ces deux solutions. E) MORBIDITÉ 1) Complications précoces : environ 15 %. Liées à la sphinctéromie : pancréatite, perforation hémorragie plus rares que dans les autres indications. Liées au guide ou à la prothèse : perforations, lésions traumatiques hépato-biliaires ou rétropancréatiques. Angiocholite : malposition de la prothèse avec inefficacité de ses orifices, déplacement ou migration précoce, obstruction précoce (caillots, débris tumoraux, sludge). Cholecystite aiguë : elle est favorisée par l envahissement tumoral du cystique. Eviter dans ce cas une forte opacification vésiculaire lors de la cholangiographie rétrograde. 2) Complications tardives : Lésions duodénales traumatiques par la prothèse. Obstruction de la prothèse par sédimentation biliaire, après un délai de 3 à 4,5 mois suivant les séries. Cette complication est la principale limite des prothèses plastiques utilisées dans le traitement palliatif des ictères par sténose néoplasique de la voie biliaire principale. Souvent révélée par une récidive de l ictère ou par une angiocholite, elle nécessite le remplacement de celle-ci après extraction endoscopique (anse, pince ou extracteur de Soehendra). 3) Mortalité : le taux est d environ 2 %. II - PROTHÈSES MÉTALLIQUES AUTO- EXPANSIBLES A) CARACTÉRISTIQUES Forme : Il s agit : - de treillis auto-expansibles : Wallstent, Diamond (Microvasive), et nombreux produits en cours de développement (Memotherm, Hanaro.) - de spires jointives : Endocoïl (Instent) - de ressorts transversaux : Z stents type Gianturco : Spiral Z, Z.A. stent, (Wilson-Cook). Matériau : Acier ou alliage, nickel titane à mémoire de forme (Nitinol). Couverture : Les prothèses métalliques actuellement commercialisées ne sont pas couvertes d un film plastique. Des prothèses biliaires couvertes sont en cours d évaluation. Le film plastique risque de favoriser la migration. Il génère d autres inconvénients : occlusion possible du cystique, d un canal hépatique controlatéral, voire du wirsung, délamination de la couverture. B) INCONVÉNIENTS Inextirpabilité une fois posée : l indication doit être bien évaluée. Coût unitaire : très supérieur à celui des prothèses plastiques (8 à 10 fois). Possibilité d envahissement du treillis de la prothèse par la tumeur qui peut aussi la dépasser aux deux extrémités. Les Endocoïl ont en outre l inconvénient d un

4 usage difficile (rigidité du cathéter porteur), limité à la partie basse du tractus biliaire. Le dispositif de largage a pu générer des accidents graves. C) AVANTAGES Diamètre : Leur principal avantage commun est leur diamètre interne qui est supérieur aux prothèses plastiques (en général 10 mm, soit 30 French). Les Wallstent ont une durée de perméabilité significativement plus longue que celle des prothèses plastiques, de l ordre de 6 à 7 mois, avec un taux d obstruction inférieur. Dans plusieurs études randomisées, cette caractéristique a permis aux Wallstent de montrer un meilleur rapport coût / efficacité que les prothèses plastiques, pour le traitement palliatif de l ictère par sténose néoplasique de la voie biliaire principale. Les prothèses métalliques génèrent moins de ré-hospitalisation pour reprise thérapeutique et/ou de traitements médicaux associés. Structure : La structure discontinue des prothèses métalliques (non couvertes) réduit le risque de migrations et les rend moins occlusives pour les voies biliaires collatérales (utilisation au niveau du hile et des voies biliaires intra-hépatiques). D) MATÉRIELS ANNEXES. Fil guide de 0,035 (Inch : soit 0,89 mm) radioopaque. En fonction de la méthode utilisée, cathéter de 5 à 6 French avec repères radio-opaques pour faciliter le franchissement de la sténose par le fil guide. E) TECHNIQUE DE MISE EN PLACE. Phase initiale : idem prothèse plastique.. Mise en place : le franchissement de la sténose sur fil guide et sous contrôle radioscopique est plus facile que pour les prothèses plastiques. Au retrait de la gaine protectrice par l aide, l ouverture se fait progressivement, par l extrémité distale avec tendance à l ascension de la prothèse, qu il faut veiller à retenir. Le déploiement diminue sa longueur d environ 30 % (à prendre en compte dans le choix initial de la longueur). L extrémité distale doit être positionnée au-dessus de la sténose, l extrémité proximale dans le duodénum. L expansion est complète en 24 à 48 heures.. Retrait du système de largage.. Opacification de la voie biliaire afin de s assurer d un drainage satisfaisant.. Cliché de contrôle en décubitus dorsal. F) RÉSULTATS. Taux de succès de l ordre de 95 % du fait d une insertion facile. G) COMPLICATIONS. Identiques aux prothèses plastiques. Il existe cependant moins d angiocholites précoces et moins d obstructions secondaires. Celles-ci résultent du dépassement en hauteur, et surtout de l envahissement du treillis par la tumeur. Les prothèses couvertes n ont pas clairement démontré d avantage par rapport aux prothèses non couvertes dans cette complication. Le traitement de cette complication qui présente le meilleur rapport coût / efficacité semble être l insertion d une prothèse plastique dans la lumière de la prothèse métallique obstruée. III - INDICATIONS 1. Sténose maligne de la voie biliaire principale sous hilaire :. La pose d une prothèse biliaire par voie endoscopique est le traitement palliatif de référence de l ictère en cas de tumeur non réséquable (du fait de métastases ou de l invasion locale) ou chez un sujet inopérable.. Dans ce cas l utilisation d une prothèse métallique auto-expansible est recommandée en raison d un meilleur rapport coût/efficacité ; sauf en cas d espérance de vie très limitée : carcinose péritonéale, métastases hépatiques diffuses avec score ASA élevé. En revanche, les essais randomisés n ont montré aucun bénéfice à pratiquer un drainage biliaire préopératoire. Celui-ci n est donc pas recommandé dans cette situation sauf circonstance exceptionnelle : - angiocholite - prurit majeur - état général contre-indiquant transitoirement la chirurgie de résection - découverte fortuite lors de la cholangiographie rétrograde avec opacification sus-sténotique (cf. prévention d angiocholites iatrogènes). 2. Sténose maligne de la convergence non réséquable du fait de métastases et/ou de l extension locale ou chez un patient non opérable. - Le risque d angiocholite est élevé dans cette indication surtout en cas d opacification non suivie de drainage de territoires biliaires intra-hépatiques. Le traitement palliatif endoscopique par prothèse(s) est à tenter uniquement dans les conditions suivantes : Détermination du niveau d envahissement sur les voies biliaires intra-hépatiques (classifications de Klatskin ou Bismuth) par

5 imagerie non invasive, en particulier par bili-irm. Centres disposant d une expertise dans ce domaine et possédant tout l équipement nécessaire au drainage (ballon de dilatation, guides ), Centres disposant d une équipe de radiologie interventionnelle susceptible de pallier les échecs de la voie endoscopique et/ou de compléter le drainage si nécessaire, et d une expertise spécifique. - Deux attitudes sont proposées : Drainage extensif, anatomiquement complet par deux ou plusieurs prothèses des territoires hépatiques (avec participation radiologique éventuelle) à préférer dans les types II de Klatskin. Drainage uniquement du lobe hépatique le moins envahi, en évitant l opacification des voies biliaires qui ne seront pas drainés, à préférer dans les types III de Klatskin. Le choix de l une ou de l autre de ces attitudes est fonction du degré d extension, mais aussi du stade ASA du patient et des habitudes : prothèse(s) plastique(s) ou prothèse(s) métallique(s) dans cette indication topographique. - Récidive tumorale obstructive après chirurgie d exérèse ou de dérivation si l accès endoscopique est possible. 3. Sténoses bénignes post-opératoires - Le calibrage sur prothèse(s) plastique(s) des sténoses bénignes post-opératoires de la voie biliaire principale est une alternative reconnue au traitement chirurgical (anastomose hépatico-jéjunale). - Le traitement qui s associe généralement à une ou plusieurs dilatations par bougies ou ballonnets nécessite une durée de calibrage de un an par une ou plusieurs prothèses, régulièrement remplacée(s) tous les trois mois. - Au terme de cette période, le résultat est évalué sur le plan radiologique par cholangiographie rétrograde après retrait définitif des prothèses ; puis un suivi clinique et biologique sans les prothèses est débuté.. Malgré un succès initial, la chirurgie peut être indiquée secondairement en cas de récidive angiocholitique, après cartographie par bili-irm plus ou moins nouvelle CPRE. - En revanche, les prothèses métalliques auto-expansibles (inextirpables dans leur conception actuelle) sont à exclure dans ce cadre, sauf cas tout à fait exceptionnel. transplantation hépatique envisagée. La mise en place de la prothèse doit être précédée de prélèvements endo-biliaires (cytologie au minimum, biopsies au mieux) pour rechercher un cholangiocarcinome. Ces prélèvements peuvent être renouvelés. 5. Sténoses biliaires des pancréatites chroniques calcifiantes (P.C.C) :. Elles sont fréquentes mais souvent sans conséquence clinique significative ou spontanément résolutives.. La pose d endoprothèse (plastique) n est indiquée qu en cas de choléstase persistante à distance d une poussée aiguë chez un patient inopérable ou d angiocholite.. Les résultats à long terme de la calibration de ces sténoses sont moins bien évalués et paraissent plus inconstants que ceux des sténoses post-opératoires.. L indication est malgré cela non exceptionnelle, en raison de la fréquence des situations d inopérabilité transitoire ou définitive (cavernome par thrombose porte) sur ce terrain éthylique. 6. Fistules biliaires internes ou extériorisées. La prothèse peut servir à faire baisser la pression dans la voie biliaire, à calibrer une sténose ou à shunter la zone de fistule. Les indications sont fonction du type de la fistule et des pathologies associées et sont à discuter au cas par cas. 7. Calculs de la voie biliaire principale inextirpables chez des sujets à très haut risque opératoire de façon définitive ou transitoire La mise en place de prothèse(s) expose à des récidives angiocholitiques. Des changements itératifs du matériel peuvent être nécessaires. Le risque chirurgical doit donc avoir été bien évalué et discuté. Dans certains cas d angiocholite sévère, il est recommandé de ne pas chercher l extraction de la totalité des calculs et de mettre rapidement en place une prothèse pour raccourcir la durée du geste. L extraction endoscopique sera conduite dans un deuxième temps à distance du tableau infectieux. 8. De façon plus générale, rétention de produit de contraste en amont d un obstacle biliaire. Le drainage biliaire est indispensable en raison du risque d angiocholite iatrogène. La pose d une prothèse est une alternative au drainage naso-biliaire, car elle présente l avantage d un meilleur confort et d une plus grande fiabilité en cas d agitation (sujet âgé). 4. Cholangite sclérosante primitive : La pose de prothèse(s) plastique(s) peut être indiquée, en cas de sténose localisée symptomatique (ictère angiocholite), en attente ou en l absence de

6 IV - ASPECTS ÉCONOMIQUES Coût de l endoscopie : SE + prothèse : KC KC 100/2 + K 40. Remplacement de prothèse : K100 + K40. Coût de l anesthésie : K /2 (+ ou 10 pour les patients de plus 80 ans). Forfait de salle (endoscopie + anesthésie) : coefficient multiplié par 190 (endoscopie) + coefficient multiplié par 75 (+ ou 10 ) (anesthésie). TIPS : Prothèse plastique : 700 Francs. Prothèse métallique : Francs. V - BIBLIOGRAPHIE 1 - ANDERSON JR, SORENSEN SM, KRUSE A et al. Randomized trial of endoscopic endoprothesis versus operative bypass in malignant obstructive jaundice. Gut 1989 ; 3O : SMITH AC, DOWSETT JF, RUSSEL RCG Hatfield ARW, COTTON PB. Randomized trial of endoscopy stenting versus surgical bypass in malignant low bile duct obstruction. Lancet 1994 ; 344 : O. 3 - TERRUZZI V, COMIN U, TOTI E, ZAMBELLI A, MINOLI G. Prospective randomized trial of Tannenbaum teflon versus traditional polyethylene stents in malignant biliary stenosis. Gastrointest Endosc 1997 ; 45 : AB MEYERSON SM, GEENEN JE, CATALANO MF, SCHMALTZ MJ,GEENEN DJ et al. Tannenbaum teflon stents versus traditional polyethylene stents for the treatment of malignant biliary strictures : a multicenter, prosprective randomized trial. Gastrointest Endosc 1998 ; 47 : AB REY JF, MAUPETIT P, M GREFF. Experimental study of biliary endo-prosthesis efficiency. Endoscopy 1985 ; 17 : SLIVKA A, CARR-LOCKE DL. Therapeutic biliary endos-copy. Endoscopy 1992 ; 24 : 1OO CHEUNG KL, LAI EL. Endoscopy stenting for malignant biliary obstruction. Arch Surg 1995 ; 13O : 2O DAVIDS PH, GROEN AK, RAUWS EAJ et al. Randomized trial of self-expanding metal stents versus polyethylene stents of distal malignant biliary obstruction. Lancet 1992 ; 34O : KNYRIM K, WAGNER HJ, PAUSCH J et al. A prospective randomized, controlled trial of metal stents for malignant obstruction of the common bile duct. Endoscopy 1993 ; 25 : 2O CARR-LOCKE DL, BALL TJ, CONNORS PJ et al. Multicenter randomized trial of Wallstent biliary endoprosthesis versus plastic stents (abstract). Gastrointest Endosc 1993 ; 39 : 31O. 11- SCHOLF R, BROWNSTONE E, REICHEL W et al. Malignant bile-duct obstruction. Experience with self-expanding metal endoprosthesis (Wallstents) in Austria. Endoscopy 1994 ; HUIBREGTSE K, CARR-LOCKE DL, CREMER M et al. Biliary stent occlusion. A problem solved with self expanding metal stents? Endoscopy 1992 ; 24 : HOEPFFNER N, FOERSTER EC, HOGEMANN B, DOMSCHKE W. Long-terme experience in Wallstent therapy for malignant choledochal stenosis. Endoscopy 1994 ; 26 : 597-6O PRAT F, CHAPAT O, DUCOT B PONCHON T et al. A randomized trial of endoscopic drainage methods for inoperable malignant strictures of the common bile duct. Gastrointest Endosc 1998 ; 47 : BERKELHAMMER Ch, KORTAN P, HABER G. Endoscopic biliary prosthesis as treatment for benign post operative bile duct strictures. Gastrointest Endosc ; 35 : 95-1O DUMONCEAU JM, DEVIERE J, DELHAYE M, BAIZE M, CREMER M. Plastic and metal stents for post operative bile duct strictures : the best and the wast. Gastrointest Endosc 1998 ; 47 : DAVIDS PH, RAUWS AJ, COENE PP, TYTGAT GN, HUIBREGTSE K. Endoscopic stenting for post operative biliary strictures. Gastrointest Endosc 1992 ; 38 : CANARD J.M., FONTAINE H., CHOLLET R. Are expandable metal stents an improvement over plastic stents in the palliative management of malignant stenosis of the common bile duct? : 5 th united European gastroenterology week. Paris 2-6 novembre COUDERC T., CANARD J.M. Résultats des intubations palliatives non chirurgicales par endoprothèse biliaire dans les cancers du pancréas. Gastroenterol. Clin. Biol. 1991, 15, 2 bis. 20- DUMAS R., DEMUTH N., BUCKLEY M. et al.. Endoscopic bilateral metal stent placement for malignant hilar stenoses : identification of optimal technique. Gastrointest Endosc 2000 ; 51, 3 : 1-5. PROTHESES BILIAIRES : fiche réalisé par J.F. REY, R. DUMAS, J.M. CANARD, Th. PONCHON,, D. SAUTEREAU, Th. HELBERT, J.C. ESCOURROU, G. GAY, M. GIOVANNINI, M. GREFF L, J.C. GRIMAUD, J. LAPUELLE, B. MARCHETTI, B. NAPOLÉON, L. PALAZZO

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université

Plus en détail

Janvier 2003 PLACE DE L ENDOSCOPIE DANS LES COLITES MICROSCOPIQUES RECOMMANDATIONS DE LA

Janvier 2003 PLACE DE L ENDOSCOPIE DANS LES COLITES MICROSCOPIQUES RECOMMANDATIONS DE LA Janvier 2003 RECOMMANDATIONS DE LA PLACE DE L ENDOSCOPIE DANS LES COLITES MICROSCOPIQUES L. BEAUGERIE (Paris) Avec la collaboration de : G. GAY (Nancy), B. NAPOLEON (Lyon), T. PONCHON (Lyon), J. BOYER

Plus en détail

Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013?

Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité

Plus en détail

schémas du by-pass gastrique pour obésité morbide

schémas du by-pass gastrique pour obésité morbide Femme de 58 ans, opérée d un by-pass gastrique 2 ans auparavant. Depuis 10jours, nausées et vomissements. Quels sont les éléments sémiologiques significatifs à retenir sur ls images scanographiques après

Plus en détail

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique

Plus en détail

CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE

CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy

Plus en détail

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction

Plus en détail

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique

Plus en détail

Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin

Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée

Plus en détail

Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées

Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des

Plus en détail

ACCIDENTS ELECTRIQUES EN CHIRURGIE COELIOSCOPIQUE. Dr JF Gravié FCVD

ACCIDENTS ELECTRIQUES EN CHIRURGIE COELIOSCOPIQUE. Dr JF Gravié FCVD ACCIDENTS ELECTRIQUES EN CHIRURGIE COELIOSCOPIQUE Dr JF Gravié FCVD CONTEXTE (1) Risques électriques de 0,1 à 0,4% Enquête de pratique * 506 chirurgiens: 18% expérience personnelle, 54% connaissaient un

Plus en détail

J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)

J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) (1) Pôle d Imagerie, service de Radiologie, CHU Caen (2) Pôle Cardio-thoracique, service de Chirurgie

Plus en détail

Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.

Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle

Plus en détail

Module digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :

Module digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien : Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne

Plus en détail

Gastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy

Gastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy Service de Chirurgie Viscérale Centre Hospitalier de Saint Malo Gastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy Chère Patiente, Cher Patient, Vous devez être opéré(e) en raison de votre forte

Plus en détail

Les grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY

Les grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique

Plus en détail

Une avancée majeure dans le domaine de l implantologie. Roxolid SLActive Moins invasif pour de nouveaux standards

Une avancée majeure dans le domaine de l implantologie. Roxolid SLActive Moins invasif pour de nouveaux standards Une avancée majeure dans le domaine de l implantologie. Roxolid SLActive Moins invasif pour de nouveaux standards 1 Excellentes performances scientifiquement démontrées. Roxolid est un matériau unique

Plus en détail

TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES. Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie

TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES. Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Carcinome hépato-cellulaire : Sans traitement : survie à 5 ans < à 5 % (CHC sur cirrhose) Traitement

Plus en détail

PROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE

PROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques

Plus en détail

Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque

Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque O Bruot, V Laurent, P.A Ganne, C Barbary, S Corby, E Kermarrec, S Béot, D Régent Service de Radiologie Brabois Adultes JFR Octobre 2006 CHU NANCY Préface

Plus en détail

Recommandations de la Société française d Endoscopie Digestive pour l organisation et le fonctionnement d un plateau technique en endoscopie digestive

Recommandations de la Société française d Endoscopie Digestive pour l organisation et le fonctionnement d un plateau technique en endoscopie digestive Acta Endosc. DOI 10.1007/s10190-013-0334-4 RECOMMANDATIONS DE LA SFED / SFED RECOMMENDATIONS Recommandations de la Société française d Endoscopie Digestive pour l organisation et le fonctionnement d un

Plus en détail

Positionnement de l implant

Positionnement de l implant HORS SÉRIE Hors série - 2009 Positionnement de l implant Déterminants biologiques et précision NobelActive NobelGuide Chirurgie à minima et esthétique ESTHÉTIQUE ET CHIRURGIE GUIDÉE AVEC NOBELACTIVE PAR

Plus en détail

Cancer des voies biliaires 11/07/2007

Cancer des voies biliaires 11/07/2007 Le Thésaurus est un travail collaboratif sous égide de la Fédération Francophone de Cancérologie Digestive (FFCD), de la Fédération Nationale des Centres de Lutte Contre le Cancer (FNCLCC), du Groupe Coopérateur

Plus en détail

Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009

Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N

Plus en détail

Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations

Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a

Plus en détail

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des

Plus en détail

La présente règle coloscopie (avec. l endoscope. coloscopie en. nécessaire et DIRECTIVES. b. Assurer le. e doit :

La présente règle coloscopie (avec. l endoscope. coloscopie en. nécessaire et DIRECTIVES. b. Assurer le. e doit : Règle de soins médicaux Technique de la coloscopie en duo INDICATION (situation visée) La présente règle de soins médicaux vise à préciser les conditions d encadrement de la coloscopie (avec endoscope)

Plus en détail

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases

Plus en détail

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures

Plus en détail

IRM du Cancer du Rectum

IRM du Cancer du Rectum IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris

Plus en détail

Technique Opératoire. Plaque Fyxis P l aq u e P o u r Arthrodèse MTP du Pre m i e r R ayo n

Technique Opératoire. Plaque Fyxis P l aq u e P o u r Arthrodèse MTP du Pre m i e r R ayo n Technique Opératoire Plaque Fyxis P l aq u e P o u r Arthrodèse MTP du Pre m i e r R ayo n PLAQUE POUR ARTHRODÈSE MÉTATARSO-PHALANGIENNE DU PREMIER RAYON. INDICATIONS CLINIQUES : Hallux Rigidus évolué,

Plus en détail

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt

Plus en détail

Incontinence anale du post-partum

Incontinence anale du post-partum Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop

Plus en détail

Modules optionnels. Passer à l acte en implantologie

Modules optionnels. Passer à l acte en implantologie Passer à l acte en implantologie Modules optionnels est un cycle de formation basé sur des travaux pratiques de chirurgie implantaire, permettant de confirmer les acquis théoriques. À l issue du cursus,

Plus en détail

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe

Plus en détail

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////

Plus en détail

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence

Plus en détail

>> version 23 juin 2008 CANCER DES VOIES BILIAIRES

>> version 23 juin 2008 CANCER DES VOIES BILIAIRES >> version 23 juin 2008 CANCER DES VOIES BILIAIRES CANCER DES VOIES BILIAIRES REFERENTIEL NORD PAS DE CALAIS Le Référentiel adopté par le groupe de travail de cancérologie digestive est le thésaurus «Cancer

Plus en détail

La mesure de la réserve coronaire

La mesure de la réserve coronaire Revues Générales Qu est-ce que la FFR? Comment l utiliser? réalités Cardiologiques # 291_Janvier/Février 2013 Résumé : La mesure de la réserve coronaire (FFR : Fractional Flow Reserve) s est imposée depuis

Plus en détail

Pseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).

Pseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR). Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».

Plus en détail

LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS

LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines

Plus en détail

Un avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes. Système

Un avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes. Système Un avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes Système Nouvelle norme en résection hystéroscopique Truclear apporte une précision, une clarté et une efficacité sans précédents pour réséquer

Plus en détail

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Plus en détail

Traitement médical de l incontinence SIFUD PP FMC 11 01 2008

Traitement médical de l incontinence SIFUD PP FMC 11 01 2008 Traitement médical de l incontinence SIFUD PP FMC 11 01 2008 Traiter un symptôme Position du problème Ampleur de la plainte Histoire naturelle Mode de prise en charge actuelle Règles hygiéniques Rééducation

Plus en détail

Recommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO

Recommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge

Plus en détail

Traitement de l hépatite C: données récentes

Traitement de l hépatite C: données récentes Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le

Plus en détail

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE 1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS

Plus en détail

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal

Plus en détail

Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du

Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du cancer : enjeux et opportunités Début de cartographie des enjeux cliniques et technologiques gq Jean-François MENUDET, Cluster I-Care Cartographie

Plus en détail

Échographie normale et pathologique du grand pectoral

Échographie normale et pathologique du grand pectoral Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement

Plus en détail

Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre

Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre «Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions» R. Kipling??? Geste d angioplastie en 2014 plus de limites

Plus en détail

Revue de la littérature

Revue de la littérature Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction

Plus en détail

TVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile

TVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

LE SYNDROME DE BUDD CHIARI

LE SYNDROME DE BUDD CHIARI CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)

Plus en détail

iliaque ZENITH abdomina aortique ale) 244 février 2015 : COOK France Demandeur Les modèles Indications retenues : Service Attendu (SA) :

iliaque ZENITH abdomina aortique ale) 244 février 2015 : COOK France Demandeur Les modèles Indications retenues : Service Attendu (SA) : COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DEE SANTE AVIS DE LA CNEDiMTS 244 février 2015 CONCLUSIONS ZENITH ALPHA SPIRAL Z, jambage abdomina ale) Demandeur : COOK France

Plus en détail

L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS

L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l

Plus en détail

Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant

Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie

Plus en détail

ROBOT ET CHIRURGIE AORTIQUE:

ROBOT ET CHIRURGIE AORTIQUE: ROBOT ET CHIRURGIE AORTIQUE: FAISABILITÉ ET PERSPECTIVES FUTURES Fabien THAVEAU, Nabil CHAKFE, Jean-Georges KRETZ Service de Chirurgie Vasculaire, Strasbourg INTRODUCTION CHIRURGIE MINI-INVASIVE: but:

Plus en détail

Synthes ProPlan CMF. Service de planification et produits spécifiques de patient pour la chirurgie craniomaxillo-faciale.

Synthes ProPlan CMF. Service de planification et produits spécifiques de patient pour la chirurgie craniomaxillo-faciale. Synthes ProPlan CMF. Service de planification et produits spécifiques de patient pour la chirurgie craniomaxillo-faciale. Exécution en bloc opératoire de procédures planifiées en préopératoire Réduction

Plus en détail

SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES

SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES M. BERLAND Université Claude Bernard Lyon 1 Faculté de Médecine et de Maïeutique Lyon Sud Charles Mérieux 1 METHODES

Plus en détail

Accidents des anticoagulants

Accidents des anticoagulants 30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER

Plus en détail

compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte

compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction

Plus en détail

PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF

PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF Laurent ABRAMOWITZ Unité de proctologie médico-chirurgicale Hôpital Bichat Claude Bernard 95, Rue de Passy 75016

Plus en détail

Cette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.

Cette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise. Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se

Plus en détail

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression

Plus en détail

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation. LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus

Plus en détail

Dépistage du cancer colorectal :

Dépistage du cancer colorectal : Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990

Plus en détail

Les différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07

Les différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel

Plus en détail

RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.

RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes

Plus en détail

Apport de l IRM dans la

Apport de l IRM dans la Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction

Plus en détail

Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.

Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de

Plus en détail

Qu est-ce qu un sarcome?

Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs

Plus en détail

De la chirurgie du nodule aux ganglions

De la chirurgie du nodule aux ganglions De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE

Plus en détail

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme) La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire

Plus en détail

admission directe du patient en UNV ou en USINV

admission directe du patient en UNV ou en USINV Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission

Plus en détail

Maladie des valves. Changer leur évolution. Rétrécissement aortique Insuffisance aortique Insuffisance mitrale Rétrécissement mitral

Maladie des valves. Changer leur évolution. Rétrécissement aortique Insuffisance aortique Insuffisance mitrale Rétrécissement mitral Maladie des valves Rétrécissement aortique Insuffisance aortique Insuffisance mitrale Rétrécissement mitral Quelques repères épidémiologie éditorial Pr Bernard Iung Quelques repères Les maladies des valves

Plus en détail

Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005

Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité

Plus en détail

Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire

Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique

Plus en détail

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?

Plus en détail

Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL)

Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) 2014 1 Table des matières Introduction... 3 1. Historique et actualité... 3 2. Agent pathogène et cycle... 4 3.

Plus en détail

Qui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?

Qui et quand opérer. au cours du traitement de l EI? Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille

Plus en détail

Service évaluation des actes professionnels

Service évaluation des actes professionnels TRAITEMENT DES AGÉNÉSIES DENTAIRES MULTIPLES LIÉES AUX DYSPLASIES ECTODERMIQUES OU À D'AUTRES MALADIES RARES, CHEZ L ENFANT ATTEINT D OLIGODONTIE, AVEC POSE DE 2 IMPLANTS (VOIRE 4 MAXIMUM) UNIQUEMENT DANS

Plus en détail

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT

Plus en détail

Cancer du sein in situ

Cancer du sein in situ traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome

Plus en détail

INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE

INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE Informations générales pour la convalescence Pour vous, pour la vie Ce feuillet est destiné à mieux vous renseigner sur les points à observer après une opération

Plus en détail

Essai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR

Essai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables

Plus en détail

LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris

LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients

Plus en détail

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène 1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients

Plus en détail

admission aux urgences

admission aux urgences Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission

Plus en détail

Sont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) :

Sont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) : Sont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) : a) b) a) b) DERMATO-VENEREOLOGIE Art. 21 pag. 1 SECTION 9. Dermato-vénéréologie.

Plus en détail

Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN)

Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN) UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE DE CRAIOVA FACULTÉ DE MÉDECINE CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE CLINIQUE ET MORPHOLOGIQUE DES CANCERS DU POUMON Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA Doctorant:

Plus en détail

Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients?

Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients? HigHligHts 2012: CHiRURgiE Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients? Lukasz Filip Grochola a, Hubert John b, Thomas Hess c, Stefan Breitenstein d a Clinique de chirurgie

Plus en détail

Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales

Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan

Plus en détail

Traumatologie de l enfant. Joël Lechevallier Saad Abu Amara

Traumatologie de l enfant. Joël Lechevallier Saad Abu Amara Traumatologie de l enfant Joël Lechevallier Saad Abu Amara Plan Spécificités de l enfant Traumatismes de l enfant Cas particuliers Traitement Spécificités de l enfant Traumatismes de l enfant Cas pa Physiologie

Plus en détail

OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE

OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie

Plus en détail

Evaluation d un nouveau vidéo endoscope bronchique à usage unique avec canal opérateur en réanimation

Evaluation d un nouveau vidéo endoscope bronchique à usage unique avec canal opérateur en réanimation Evaluation d un nouveau vidéo endoscope bronchique à usage unique avec canal opérateur en réanimation Mémoire de DESC de réanimation Soutenu le 10 décembre 2014 par le Dr Julie Mankikian Directeur de mémoire:

Plus en détail

Qu est-ce que le cancer de l œsophage?

Qu est-ce que le cancer de l œsophage? Cancer de l œsophage Qu est-ce que le cancer de l œsophage? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique

Plus en détail