LA FACE CACHÉE DE LA PALETTE BOIS ENFIN DÉVOILÉE
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- Pierre-Marie François-Xavier Beauregard
- il y a 7 ans
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1 LA FACE CACHÉE DE LA PALETTE BOIS ENFIN DÉVOILÉE
2 INTRODUCTION Les réponses à ces questions sont à l'origine du modèle économique de PICK-AND-GO. Il nous est apparu naturel de mettre en ligne notre vision des grands fondamentaux du secteur, à la fois parce que la transparence est l'une des valeurs phare de PICK-AND-GO, mais aussi parce que nous croyons que le partage d'informations entre les différents acteurs d'un métier est souvent la clé du progrès, de l'avancée technique, bref, de la création de valeur. C'est aussi pour nous un moyen d'engager le débat avec vous. Réagissez, donnez votre avis, challengez nous! Nous sommes à votre disposition pour partager votre expérience, votre vision des grands principes de ce métier, de son environnement, et plus important, pour tracer ensemble quelques pistes nouvelles pour que la "Supply Chain" de demain soit plus performante, plus "service oriented", plus durable. C'est notre seule ambition chez PICK-AND-GO. Merci d'avance de nous aider à la porter. Olivier Pagès Président PICK-AND-GO
3 LES 8 QUESTIONS 1. Location de palette bois : Quelle est la structure de coûts d une rotation d une palette bois? Quelle est sa sensibilité au nombre annuel de rotations des produits transportés? 2. Location de palette plastique : Quelle est la structure de coûts d une rotation d une palette plastique? Quelle est sa sensibilité au nombre annuel de rotations de la palette? 3. Quel est le coût réel de la palette échange? 4. Pour quelles raisons une rotation de palette plastique peut-elle être compétitive avec une rotation de palette bois alors que le rapport de prix des supports est à minima de 3,5 contre 1 au profit du bois? 5. La question des pertes dans le pooling de palettes bois. Quelle évolution peut-on attendre? 6. Pourquoi la palette locative bois a du mal à prendre des parts de marché à la palette échange? Est-ce que cette situation peut évoluer et dans quel sens? 7. GMS : Quelles sont les évolutions majeures des process logistiques dans la GMS qui vont impacter le service locatif et le support palette? 8. Industriels : Quelles sont les évolutions majeures des process aval chez les industriels qui vont impacter le service locatif et le support palette?
4 QUESTION 1&2 Location de palette bois : Quelle est la structure de coûts d une rotation d une palette bois? Est-elle sensible au nombre annuel de rotations des produits transportés? Location de palette plastique : Quelle est la structure de coûts d une rotation d une palette plastique? Est-elle sensible au nombre annuel de rotations de la palette? La structure de coûts ci-jointe illustre les principaux composants des coûts d une rotation bois et rotation plastique sous 2 conditions : 4 rotations par an et 8 rotations par an. Les liquides (en particulier eau minérale, soft drinks) et en général les produits à DLUO (Durée Limite d Utilisation Optimale) de plus de 10 à 15 semaines et saisonniers ne peuvent assurer que 3 à 5 rotations annuelles de palettes si on considère l ensemble du cycle : Dépôt loueur > Site industriel > Prestataire logistique industriel > Plateforme GMS > Magasins > Retour palettes en Plateforme GMS > Retour dépôts loueur. Les rotations de plus de 6 jusqu à 20 par an, sont réservées aux produits à DLUO faible comme les produits frais et laitiers. On expliquera plus loin pourquoi les industriels de produits à rotation rapide ont choisi le système Echange au détriment du locatif bois. L explication tient en grande partie à la structure de coûts du locatif bois, peu sensible à l augmentation annuelle de rotations. Les principales conclusions de la comparaison bois/plastique des différentes structures de coûts sont les suivantes : 1. La rotation plastique privilégie un coût d actif plus important, donc une dotation à l amortissement de la palette plus important que pour le bois (de 3 à 5 fois). 2. Un coût de maintenance incluant tri/réparation beaucoup plus important pour le bois que pour le plastique, lié à 2 caractéristiques clés du locatif bois : > 40% des coûts du locatif bois sont liés au taux de casse. > Le taux de casse par rotation est de l ordre de 30% à 40%, soit environ 30 palettes reviennent cassées sur 100 palettes envoyées dans la GMS. 3. Une structure de coûts bois dominée par 90% de coûts fixes quelque soit le nombre annuel de rotations. En bref, que la palette bois «tourne» 4 fois ou 8 fois par an, il faut assurer une collecte, une livraison, le tri, la réparation. Ce qui rend le coût d une rotation bois très peu sensible à l augmentation du nombre de rotations.
5 4. La structure de coûts plastique est caractérisée par des coûts de maintenance (tri/réparation/logistique) faibles par rapport à la rotation bois, ce qui rend son modèle plus vertueux à l augmentation de rotations. 5. Rotation plastique : Cette sensibilité vertueuse à l augmentation de rotations n est réelle que sous certaines conditions : > Des caractéristiques excellentes de résistance à l impact (coups de fourche, chute de plus de 3 mètres de haut ). > Un modèle logistique assurant une réduction des coûts de collecte/livraison en collectant/livrant directement le site industriel à partir des plateformes de la GMS, impliquant une organisation adaptée. > Des pertes d actifs limitées au niveau de la GMS. Comparaison de la structure de couts palettes plastique/bois (80/120) Taux de rotation : 4 par an Plastique Bois 10,35% 3,40% 8,55% 34,50% 31% 40,95% 13,65% 10,35% 13,80% 33,45% Total : 2,90 / Rotation Total : 2,93 / Rotation Pertes palettes (0,30 ) Coûts palettes (0,90 ) Coûts indirects (0,40 ) Coûts maintenance (0,30 ) (casse) Coûts logistiques (1,00 ) Pertes palettes (0,10 ) Coûts palettes (0,25 ) Coûts indirects (0,40 ) Coûts maintenance (0,98 ) (tri/réparation) Coûts logistiques (1,20 ) Pour 4 rotations/ an, le coût par rotation est équivalent quelque soit la nature du support, bois ou plastique.
6 Taux de rotation : 8 par an Plastique Bois 12,25% 3,55% 4,45% 40,80% 18,35% 42,80% 14,25% 16,35% 34,95% 12,25% Total : 2,45 / Rotation = 0,355 soit -12,60% Total : 2,805 / Rotation Pertes palettes (0,30 ) Coûts palettes (0,45 ) Coûts indirects (0,40 ) Coûts maintenance (0,30 ) (casse) Coûts logistiques (1,00 ) Pertes palettes (0,10 ) Coûts palettes (0,125 ) Coûts indirects (0,40 ) Coûts maintenance (0,98 ) (tri/réparation) Coûts logistiques (1,20 ) Pour 8 rotations/ans: gain à la rotation au profit du plastique d environ 0,35 /rotation, soit 12,50% de réduction de coûts.
7 QUESTION 3 Quel est le coût réel de la palette échange? Pour faire accepter le nouveau modèle économique de PICK-AND-GO, l équipe PICK-AND-GO a rencontré depuis 3 ans, de nombreux industriels, mais aussi des membres d enseignes GMS (bases ou services centraux) et prestataires logistiques/ transporteurs. Nous les avons interrogés, en particulier, sur les coûts subis par eux lors de l utilisation de la palette Echange 80/120 ou sa manipulation. Nous restituons les principales conclusions tirées de nos contacts : > Le système Echange est supporté par 3 principaux acteurs : - L industriel qui achète en premier lieu le stock outil nécessaire à sa production durant le délai existant entre la livraison de la Première palette et le retour de celle-ci sur son site. - Le transporteur/prestataire logistique qui assure à la fois le transport de la palette chargée vers le destinataire final mais aussi la logistique retour de la palette vide vers l industriel. - Le Distributeur (GMS) qui assure la maintenance de la palette (tri, réparation, ) avant collecte par le transporteur, ainsi que sa remontée des magasins vers les plateformes, lieux de collecte par les transporteurs pour restitution aux industriels. > Les coûts de chaque acteur sont variables en fonction du type de produits concernés impactant le niveau du stock outil nécessaire, et de la qualité de gestion du système par chacun des acteurs. > En bref, le principal avantage est pour l industriel qui contrairement à la palette locative, ne supporte pas l ensemble des coûts de la rotation mais uniquement ceux de l achat de la palette, et son administration dans son propre périmètre. > Le transporteur et le destinataire GMS sont les 2 acteurs les moins favorisés par la palette Echange (en comparaison avec le locatif) puisque supportant pour l un le coût logistique de retour, l autre la relocalisation (magasins => plateformes) de la palette ainsi que sa maintenance. > Les fourchettes de coûts par palette supportés par les 3 acteurs et observés lors de nos contacts sont les suivants : - L industriel : de 0,70 à 1,40 - Transporteurs : de 1,20 à 2,20 - Distributeurs : de 0,80 à 1,20 Au total, la fourchette de coûts est de l ordre de 2,7 à 4,80, suivant les cas.
8 > Pour les industriels les plus efficaces et à produits à rotation très rapide, la fourchette de coûts totaux pour l ensemble de la prestation est à minima de l ordre de 3 incluant le coût Distributeur. > Conclusion : - Le coût global du système Echange est globalement élevé voire très élevé à la rotation. - Peu d industriels ont une vision complète des coûts engagés par la gestion de la palette Echange dans leur périmètre et dans celui du transporteur. - L Echange est une alternative crédible pour les produits à forte rotation, surtout vu du coté industriel. Dés qu on considère le cout global, la performance du système Echange est largement réduit, même pour les produits à forte rotation. - Vu exclusivement de l industriel, et en particulier pour les produits à forte rotation, c est un service bon marché, inférieur pour certains à 1,40 / mvt. - Malgré l avantage coûts, de nombreux industriels souhaitent sortir du système Echange pour des raisons de besoin d externalisation, de demande de clients, d anticipation de prochaines demandes de la GMS, de qualité de pool, de pression des transporteurs pour répercuter leur coût de gestion sur les industriels, etc. - La palette locative bois peut difficilement concurrencer l échange en terme de tarif à la rotation. (voir question 6)
9 QUESTION 4 Pour quelles raisons une rotation de palette plastique peut-elle être compétitive avec une rotation de palette bois alors que le rapport de prix des supports est à minima de 3,5 contre 1 au profit du bois? Le coût facial d une palette bois est effectivement faible, en comparaison avec le coût d une palette plastique en PP* ou PEHD** recyclé. Actuellement, (4ème trimestre 2010) pour un format 80/120, de type loueur (multi rotations) le tarif ex works usine de production est de l ordre de 8,50 à 9,00 HT par palette bois (30 à 35 par palette plastique). Pour calculer le coût réel de l usage d une palette bois 80/120, il faut rajouter 3 postes de coûts, (tri, réparation, logistique) qui sont inhérents au support bois, tous liés au taux de casse de la palette pendant son utilisation. Ce taux de casse est de l ordre de 30% à 40% par rotation (moins de 1,5% par rotation pour la palette plastique). C'est-à-dire que lorsqu un industriel utilisant des palettes bois (louées ou Echange) envoie 100 palettes dans le circuit GMS, 30 à 40 palettes reviennent endommagées et nécessitent une réparation. A ce chiffre vient s ajouter 1% à 2% de palettes qui reviennent avec plus de 8 éléments cassés, et qui sont considérés comme non réparables, et sont broyées. Ce coût financier de dépréciation (hors coûts de broyage) est compris entre 1% et 2% du coût d achat de la palette soit entre 0,08 et 0,18. Le taux de casse (30 à 40% par rotation) est suffisamment important pour nécessiter un passage obligatoire au travers de dépôts de maintenance (environ 15 à 22 pour un loueur exerçant en France) pour 100 % des palettes, impliquant un coût logistique lié au passage par ces dépôts. Ce coût logistique lié au passage obligatoire par un dépôt peut être considéré de l ordre de 0,30 à 0,50 par rotation. Les autres postes concernent le tri entre palettes cassées/palettes à détruire et palettes indemnes. Il peut être valorisé à 0,30 par rotation. Quant à la réparation, elle concerne environ 30% à 40% des volumes pour un coût de réparation de l ordre de 2,00 par palette, soit par rotation un coût de 0,60 à 0,80. * PP : Polypropylène ** PEHD : Poly Ethylène Haute Densité
10 In fine,les coûts de la palette bois par rotation sont importants et peuvent être décomposés de la façon suivante : Type de coûts Montant mini en /rot Destruction 0,08 Logistique 0,30 Tri casse 0,30 Réparation 0,60 TOTAL COÛTS/rot 1,28 Montant max en /rot 0,18 0,50 0,30 0,80 1,77 En considérant une hypothèse (très minimaliste) de coûts de 1,30 par rotation, et sur une base de 4 rotations par an, le coût minimal réel annuel d usage d une palette bois (loueur ou échange) est de l ordre de 5,20 par an. Le coût réel s éloigne dramatiquement de son coût facial. Si vous considérez qu une palette réparée, s amortit sur une période de l ordre de 10 ans, c est plus de 52 que la palette bois coûte uniquement en coût d usage C est très loin des 8 à 9 du coût d achat de la palette. Et je vous laisse faire le calcul pour des produits (par ex produits frais) qui assurent des rotations de palettes de plus de 15 par an le coût d usage est alors phénoménal. Comparé à un coût facial d achat d'environ 30 à 35 départ usine de production, même avec 2% de taux de casse par rotation, le plastique reste alors compétitif
11 QUESTION 5 La question des pertes dans le pooling de palettes bois. Quelle évolution peut-on attendre? Le coût facial d une palette plastique (à minima 30,00 ) rend le modèle à la fois sensible à l augmentation de rotation (voir question 1 et 2), mais aussi sensible à la perte de palettes dans le circuit prestataires > Usine > Distributeurs GMS > prestataires. Pour l ensemble des acteurs du pooling, la perte d actifs se situe dans le flux aval c'est-à-dire plutôt chez les distributeurs, qu ils fassent partie de la GMS (Grandes et Moyennes Surfaces) ou de ce que les poolers appellent le Hors GD, qui concentrent une part importante des pertes du pooling, mais pertes qui sont maitrisables par contrat. En règle générale, le pooler en boucle ouverte (vers la GMS et le hors GD) est lié à son client (en général l industriel) par un contrat qui lui garantit l intégrité de ses actifs dans le périmètre de l usine de production, mais aussi le prestataire logistique de l industriel qui approvisionne les plateformes de la GMS. Généralement le contrat qui lie le pooler à la GMS est plus flou, moins formalisé, laissant plus de marge de manœuvre au destinataire final, même si le cadre légal du Code Civil prévoit de responsabiliser le end-user (destinataire final) à restituer le support à son propriétaire dans son état initial. Etant de ce fait moins responsabilisés que pour la palette Echange, certains acteurs de la GMS furent, durant les dernières années, moins attentifs à la maitrise des actifs loués dans leur périmètre, ce qui a abouti à des pertes de l ordre de 3 à 5% par rotation. Cette contrainte a eu plusieurs conséquences au niveau des loueurs qui mirent en œuvre les actions suivantes en : > Réduisant le coût facial d achat de la palette louée par la mise en œuvre d actions de réduction de coûts en : - Mettant en forte concurrence les producteurs de palettes, fournisseurs des poolers au risque d une réduction de la qualité. - Challengeant les principaux postes de coûts d achat de la palette : coût du bois, automatisation des process du montage. - Acceptant d assumer un décalage entre taux de casse et taux de réparation, pour réduire le coût complet des palettes, mais générant un appauvrissement de la qualité du pool, au-delà de son vieillissement normal.
12 > Privilégiant le modèle économique traditionnel du pooler caractérisé par des coûts de maintenance et logistique importants et coût d achat réduit d actif. > Ne poussant pas la logique du métier au bout, à la recherche d un modèle de rupture plus adaptée aux besoins actuels des industriels et GMS. Aujourd hui sous l effet de plusieurs facteurs, l ensemble de la filière «Enseignes GMS» reconsidère sa position vis-à-vis des pertes d actifs loués et mis à disposition par les poolers afin de les réduire. Ces facteurs sont les suivants : > La GMS souhaite, pour des raisons liées au coût supporté par la GMS dans le cadre de la gestion de la palette Echange, privilégier la palette locative à la palette Echange, en particulier pour les MDD (Marques De Distributeurs). Elle ne peut le faire que si elle améliore sa gestion globale des actifs mis à sa disposition. > Mise en place chez certaines enseignes de Centres de Consolidation Emballages qui regroupent tous les emballages (perdus et loués) en backload des magasins par les moyens logistiques livrant les magasins (voir réponse 7). > Plusieurs Dr Logistique d enseignes GMS sont convaincus, comme dans d autres industries avant eux, que «Mieux maitriser l ensemble du process» y compris les supports de manutention est facteur de réduction de coûts sur l ensemble de la Supply Chain. Pour l ensemble de ces raisons, la GMS améliore ses moyens de maitrise d actifs d emballage dans son périmètre. L objectif affiché est de réduire le taux de perte par mouvement à moins de 0,5% par rotation pour l ensemble des principales enseignes de la GMS, ce qui est un objectif déjà atteint pour plus de 30% de la GMS en France.
13 QUESTION 6 Pourquoi la palette locative bois a du mal à prendre des parts de marché à la palette échange? Est-ce que cette situation peut évoluer et dans quel sens? Alors que les années 2000 à 2008 ont vu le service locatif prendre des parts de marché au système Echange, les années 2009 et 2010 ont vu un équilibre entre les 2 systèmes se réaliser voire la tendance s inverser au profit de l Echange. Actuellement (4ème trimestre 2010), la répartition au sein de la GMS en France, est la suivante : Pour 100 palettes livrées en GMS, 50 sont sous le service locatif, 50 sont sous le système Echange. Nous ne voyons pas de modification de tendance se réaliser si l offre demeure en l état. Les raisons tiennent à 4 atouts commerciaux au profit de l'echange : > La prise en charge par l industriel dans le système Echange des seuls coûts liés à son périmètre est un formidable atout commercial au profit de l Echange. > Les transporteurs/prestataires logistiques, et jusqu alors, n ont eu ni la volonté, ni la marge de manœuvre commerciale de répercuter sur le tarif/palette transportée le surcoût de la gestion de la palette Echange. C est le 2ème atout commercial au profit de l Echange. > Les distributeurs, malgré leur souhait de privilégier la palette locative, et bien qu ayant conscience du coût de gestion de l Echange, ne raisonnent pas tous en coût global «Acheteur + Logistique». En bref, l acheteur privilégie la palette Echange, sans savoir que son choix fait peser un coût de plus d 1 par palette sur les Plateformes Logistiques de l enseigne. C est le 3ème atout commercial de l Echange. > L offre locative bois n est pas adaptée aux produits à forte rotation (voir réponse aux questions 1 et 2), pour des raisons de structure de coûts majoritairement fixes par rapport au nombre de rotations annuel. C'est le 4ème atout commercial de l'echange.
14 Nous voyons aujourd hui, néanmoins, des raisons qui vont modifier ce rapport de forces dans les années à venir : > Notre offre PICK-AND-GO, modèle vertueux à l augmentation du nombre de rotations, permet d atteindre des tarifs de nature à convaincre les industriels de passer au locatif. > Une tension claire depuis mi 2009 sur l offre Transport va pousser les acteurs du Transport à répercuter le coût de la gestion de l Echange sur l industriel. Ex : STEF TFE. > Enfin, les enseignes sont toutes en train de traquer les coûts de non valeur ajoutée. Un enjeu aisément concrétisable est d exiger de leurs fournisseurs/industriels de passer à la palette locative sans augmentation de tarif. Ceci étant possible si l offre locative s enrichit de nouveaux modèles économiques comme celui de PICK-AND-GO. L enjeu peut être important, de l ordre de 1,20 par palette. Une enseigne, qui détient 20% de PdM, et qui voit environ 12 Millions de palettes Echange dans ses magasins, peut concrétiser une économie d environ 15 Millions d, sans investissement associé.
15 QUESTION 7 GMS : Quelles sont les évolutions majeures des process logistiques dans la GMS qui vont impacter le service locatif et le support palette? La volonté en matière logistique et d emballage dans les enseignes est de mutualiser les moyens entre plateformes et magasins pour assurer, avec un minimum de moyens logistiques, et un maximum d efficacité, la remontée des emballages perdus et retournables sur des Sites de Concentration d Emballages (SCE). Cette remontée d emballages se faisant en backload par les moyens logistiques livrant les magasins et de façon quotidienne. Pour les enseignes, les avantages sont nombreux : > Plus de noria de camions propres à chaque pooler sur les magasins > Mutualisation et optimisation des coûts de remontée d emballages (backload) > Rythme quotidien de ramassage magasins assurant une collecte rapide par les propriétaires d actifs au niveau des SCE > Réduction des pertes d emballages au niveau des magasins par une collecte efficace et quotidienne. > Augmentation des rotations des actifs d emballages réutilisables, pouvant impliquer une baisse des tarifs poolers. Cette tendance est réelle, en particulier chez Carrefour, chez certaines Centrales Leclerc, et certaines régions Système U. Elle favorise des modèles économiques sensibles à l augmentation des rotations, permettant une réduction du coût de la rotation palette répercutable sur la Supply Chain de l enseigne. Elle n est pas adaptée au modèle bois qui nécessite un passage imposé par un dépôt (Echange et locatif), et dont la structure de coûts du service est très peu sensible à l augmentation du taux de rotation des palettes.
16 QUESTION 8 Industriels : Quelles sont les évolutions majeures des process aval chez les industriels qui vont impacter le service locatif et le support palette? Certains industriels qui poussent leur logique industrielle au bout, sont bloqués par la qualité déclinante des palettes bois (échange et loueurs) ou/et par les caractéristiques inhérentes au support bois. Ils rencontrent des problèmes liés à : - L humidité : produits hydrophobes ou emballés en cartons. - La poussière bois : dans zones blanches en cosmétique par exemple. - La vitesse des convoyeurs/palettiseurs limitée par la qualité globale du support bois ou/et son manque de stabilité dimensionnelle. - La qualité globale des palettes louées qui décline pour plusieurs raisons Le hiatus entre taux de casse et taux de réparation Le vieillissement des pools. - L hygiène : extrêmement déficiente en particulier dans la préparation frais. - Le poids des supports 80/120, provoquant des TMS (Troubles Musculo Squelettiques) chez les opérateurs : 19kgs chez PnGO contre 25/35kgs en bois. - La sécurité des opérateurs : clous, échardes, casses - Un besoin de différenciation ou/et d amélioration globale d image par un support différent, plus valorisant, plus high tech. - La difficulté d'allier RFID et palette bois. Il manquait jusque là, une offre sérieuse, amenant une réponse à l ensemble de ces besoins, et permettant au travers d un changement de nature de support, d optimiser les coûts. Olivier Pagès Président de PICK-AND-GO olivier.pages@pick-and-go.eu +33 (0)
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