GY MATERNITE - GYNECOLOGIE LE SEIN
|
|
- Augustin Fortin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 GY MATERNITE - GYNECOLOGIE LE SEIN I - RAPPEL ANATOMO-PHYSIOLOGIQUE A - ANATOMIE Trois parties : La peau La glande La graisse a) La peau Seul système de soutien du sein. Plaque aréolo-mamelonnaire. Mamelon : 15 à 20 orifices : pores des canaux galactophores. b) La glande Acini : canaux alvéolaires galactophores du 3ème ordre Canaux lobulaires qui drainent un lobule (2ème ordre) Canal galactophore draine un lobe (1er ordre) 15 à 20 canaux convergent vers le mamelon, drainant 15 à 20 lobes indépendants du sein. c) La graisse Couche préglandulaire Couche rétroglandulaire Ligament de Cooper B - HISTOLOGIE 1) GENERALITES Glande sudoripare modifiée dont la fonction est d'assurer l'apport nutritionnel au nouveau né. Développement et fonctionnement sont sous contrôle hormonal : Estrogènes : système canalaire Progestérone : système lobulaire Axe hypothalamo-hypophysaire : Prolactine GH HL Placentaire : sécrétée par le placenta de la femme enceinte Chaque canal est tapissé par une double assise cellulaire : Couche épitéliale interne Couche discontinue de cellules myoépithéliales Les lobules sont formés 2) VARIATIONS DURANT LA VIE GENITALE DE LA FEMME a) Cycle menstruel Phase proliférative (J3 à J7) dépend des estrogènes Lobules petits Canicules à lumière étroite Mitoses rares 1
2 Phase sécrétoire (J21 à J27) dépend de la progestérone Augmentation du nombre de canalicules Augmentation du nombre des mitoses cellulaires épithéliales Augmentation des micro-organites Micro-villosités RE granuleux Vacuoles sécrétoires b) Modification de la glande pendant la grossesse Corps jaune et placenta produisent des hormones : Estrogènes Progestérone PRL HLP D'où croissance de la glande mammaire : Prolifération des acini Accumulation du matériel sécrétoire : 2ème trimestre Apparition de la sécrétion lactée : 2 à 5 jours post-partum À l'arrêt de la lactation Retour au repos en 3 à 4 mois : involution progressive des lobules par phagocytose (macrophages). c) La ménopause Atrophie des structures épithéliales : Rétrécissement de la lumière des canalicules Le tissu basal s'épaissit Le tissu palléal se myélinise Disparition complète de certains lobules. Atrophie kystique des canaux Perte du tissu conjonctif de soutien au profit de la graisse II - EXAMEN CLINIQUE A - INTERROGATOIRE a) Facteurs de risques Antécédents familiaux maternels et paternels Hyperœstrogénie relative : vie génitale longue (puberté précoce, ménopause tardive. 1ère grossesse tardive Absence d'allaitement : immaturité des glandes b) Antécédents gynéco-obstétricaux Mastodynies c) Traitement hormonal En particulier contraceptif oral Traitement hormonal substitutif de la ménopause d) Mode de vie Tabagisme Alimentation Obésité B - EXAMEN EN DEBUT DE CYCLE a) Inspection Patiente assise, bras levés Buste droit, puis penché en avant 2
3 Signes cutanés : Voussure Rétraction Ulcération Inflammation b) Palpation Patiente couchée. On palpe les 2 seins, main à plat, cadran par cadran. Indications du cadran, du rayon horaire et de la distance au mamelon en cas de découverte d'une tumeur. Revêtement granuleux. Pincement du mamelon pour vérifier si écoulement anormal. Palpation des aires sous-axillaires et sus-claviculaires. Recherche de ganglions d'aspect anormal. On fait un schéma des anomalies, que l'on date. Tumeur bénigne Bien limitée Contours réguliers Mobile peau et plan profond Rénitente Rétraction du mamelon Ganglion axillaire de plus d'1 cm, peu mobile, dur Tumeur maligne Mal limitée Irrégulière Adhérente peau /muscle pectoral Placard de mastose Kystes plus ou moins douloureux Écoulement multipore verdâtre fluctuant avec le cycle C - CYTOPONCTION 1) L EXAMEN Trépied diagnostic en pathologie mammaire : clinique, mammographie, cytoponction Facile pour un opérateur entraîné. Peu coûteux, peu douloureux, pas de contre-indications Matériel Seringue 5 ou 10 ml Aiguille 6 ou 7 Lames Produits fixatifs : alcool, éther Tubes secs Technique Décubitus dorsal Désinfection à l'alcool Tumeur maintenue entre 2 doigts d'une main Aiguille introduite obliquement de l'autre main Va et viens en rayon de roue Aspiration douce Aiguille retirée, seringue désolidarisée Projection sur une lame du contenu de l aiguille Étalement et fixation Liquide de ponction dans tube sec Envoyer au labo avec renseignements cliniques 2) INDICATION DE LA CYTOPONCTION a) Pour toute anomalie palpatoire Confirmation du diagnostic évoqué. Prévoir un geste chirurgical : mastectomie. Surveiller les lésions bénignes chez les femmes jeunes, par sécurité. Évacuer des kystes sous tension douloureux 3
4 b) Doute clinique ou mammographique Chez les femmes jeunes, la mammographie est souvent illisible. c) Redressement d'un diagnostic Tumeurs faussement bénignes : kyste colloïde médullaire Tumeurs faussement malignes : tumeur phyllode d) Cas particuliers Kyste au sein inflammatoire Sein non opérable : femme enceinte ou âgée : traitement non chirurgical Surveillance des seins cicatriciels : opérés, irradiés Ganglions axillaires ou sus-claviculaires de plus d'1 cm. Lésions multipolaires 3) FIABILITE Faux positifs < 2% Faux négatifs < 5% D - BIOPSIE Recueil d'une carotte de tissu mammaire. Sous anesthésie locale : XYLOCAÏNE spray. Asepsie. Incision cutanée au bistouri. 1) DEUX PROCEDES a) Biopsie par forage : Drill biopsie Aiguille creuse Coût ++ Traumatisant : bruit du moteur Carotte de très bonne qualité. b) Biopsie à l'aiguille : Tru-CUT Aiguille creuse + trocart actionné par pistolet Facile, indolore, pansement compressif Prélèvement de petite taille. 2) INTERET Cytologie douteuse ou en désaccord avec la clinique ou la mammographie Tumeur inflammatoire Pour les diagnostics difficiles IV - CONDUITE A TENIR DEVANT UN NODULE MAMMAIRE Tout nodule mammaire solide doit être biopsé. Cette règle doit être nuancée par : a) Les antécédents personnels et familiaux de cancer du sein b) L'âge de la patiente < 35 ans : fibro-adénome Mais 1% des cancers surviennent avant 30 ans. 35 à 5O ans : mastose fibro-kystose Plus grande incidence du cancer du sein 4
5 > 50 ans : régression incomplète d'une mastose existant avant la ménopause au entretenu par traitement hormonal substitutif (THS) Augmentation importante de l'incidence du cancer du sein c) La clinique Uni ou multifocal Distinguer un cancer d'une mastose : une seule boule isolée est plus évocatrice de cancer. Faux positifs : cytostéatose post-traumatique ou chirurgicale Faux négatifs : cancers colloïdes et médullaires (fibro A) d) La mammographie Faux positifs : opacités stellaires Adénose sclérosante Nodule d'aschoff Cytostéatonécrose Faux négatifs : cancers lobulaires V - LA MAMMOGRAPHIE 1) LES CALCIFICATIONS INTRAMAMMAIRES a) Macrocalcifications > 0,5 mm Toujours bénignes Souvent anciennes b) Microcalcifications Toujours pathologique Bénigne ou maligne Classification de Le Gall c) Polymorphisme Plus elles se ressemblent, plus on a de chances que ce soit bénin. En foyers : cancer Éparpillées : bénin d) Groupement e) Foyer triangulaire à un sommet mamelonnaire : cancer intracanalaire f) Nombre Le risque de cancer s accroît avec le nombre 2) OPACITE À contours réguliers : bénin Contour irrégulier : malin 3) DESORGANISATION ARCHITECTURALE Si l'architecture de la trame du tissu mammaire est désorganisée, c'est évocateur de cancer. 4) IMAGES CLAIRES Plages sombres à la radiographie : tissu à forte composante graisseuse ==> bénin 5) MODIFICATION DES TEGUMENTS Épaississement localisé ou diffus de la peau : Œdème intramammaire 5
6 VI - MALADIES FIBRO-KYSTIQUES Mastose, maladie de Reclus, dystrophie mammaire polykystique. 1% des femmes consultant en gynécologie. 35/50 ans surtout Association au fibrome utérin Contexte psychologique particulier 1) SEMIOLOGIE a) Symptômes Silencieuse : découverte à l'examen systématique Nodules plus ou moins douloureux Mastodynies prémenstruelles Écoulements mamelonnaires lactescents pluri-orificiels Évolution capricieuse b) À l'examen Nodules Placards diffus, bilatéraux, prédominant dans les cadrans supéro-externes Granulations idem c) Mammographie Pas d'aspect spécifique Images micro ou macro-nodulaires localisées ou diffuses d) Échographie Le kyste a une image anéchogène à renforcement postérieur Paroi fine et régulière Grand axe parallèle à la surface cutanée 2) ORIGINE a) Déséquilibre œstroprogestatif Facteur favorisant. Non prouvé comme cause directe. b) Facteurs psychogènes Femmes anxieuses. Problèmes familiaux. c) Exposition solaire intempestive 3) PATHOLOGIE a) Définition Kyste : obstruction d'un canal galactophore, avec stase des produits de sécrétion et distension progressive des acini. b) Kyste et cancer Liquide sanglant : hémorragie Subsistance d'une zone dure après évacuation du kyste Reproduction rapide après ponction Végétations intrakystiques à l'échographie. Aspect hétérogène. Axe parallèle à la surface cutanée. Paroi mal définie sur une partie du contour. Pour certains auteurs, le risque relatif de développer un cancer est 3 fois plus grand en cas de MFK. Ce ne sont pas les kystes eux-mêmes qui dégénèrent, mais des foyers d'hypertrophie atypique, avec adénomatose et dysplasie associées. Pour d'autres auteurs, il faut qu'il y ait des antécédents familiaux associés. 6
7 c) Justifie une surveillance particulière Clinique : 6 mois Mammographie :: tous les 18 mois à 2 ans. c) Traitement Ponction des kystes volumineux et douloureux AINS pour les poussées mastosiques inflammatoires Applications locales d antiflogistine pour décongestionner Dérivés de vitamine P : œdème en augmentation du fait de la perméabilité capillaire Psychothérapie : sédatifs légers Progestatifs de synthèse DANAZOL (dérivé de testostérone) Endométriose Effets secondaires androgéniques Coût ++ PARLODEL (Bromocriptine : anti PRL) 5 mg/j Doses progressives : hypotension, troubles neurovégétatifs, vertiges Chirurgie Exceptionnel Si doute clinique ou mammographie évocatrice de malignité Seins difficiles à surveiller Amélioration spontanée à la ménopause. VII - ADENOFIBROME 1) DEFINITION Hyperplasie d'un ou plusieurs lobules mammaires. Tumeur solide bénigne. Femmes jeunes : de la puberté à 40 ans. 2) CLINIQUE Tumeur arrondie ou ovalaire Bien circonscrite Mobile, ferme, indolore Sans ganglions axillaires satellites 3) EXAMENS a) Mammographie Opacité régulière, homogène Liseré clair, souvent calcifié avec le temps b) Échographie Lacune hypo-échogène homogène c) Cytoponction Caractère solide Amas de cellules épithéliales régulières Pas de cellules malignes 4) ÉVOLUTION L'adénome ne dégénère pas en cancer. Rarement, un cancer se développe au sein d'un adénofibrome. Attention si hyperplasie atypique associée. 7
8 Justifie l'exérèse chirurgicale D'un adénofibrome développé avant 25 ans : tumorectomie simple Pas de traitement médical VIII - ABCES DU SEIN 1) CLINIQUE AEG (altération de l'état général) Fièvre 38/39 Sein douloureux, chaud, inflammatoire Le plus souvent une complication d'un allaitement maternel mal conduit : nécrose négligée du mamelon. 2) TRAITEMENT Arrêt de l'allaitement Drainage chirurgical de l'abcès Antibiotique antistaphylocoque Abcès infectieux rares en dehors du post-partum Souvent un abcès périphérique à distance de l'aréole IX - CYTOSTEATONECROSE 1) DEFINITION Lésion du tissu adipeux intramammaire. Le plus souvent femme ménopausée. Post-traumatique ou post-chirurgical. 2) CLINIQUE Tumeur mal limitée, succédant à une ecchymose, superficielle, parfois adhérente à la peau. Aspect de rétraction suspect. 3) EXAMENS a) Mammographie Image radiotransparente arrondie finement cerclée en "bulle de savon". Rarement image pseudo-stellaire suspecte. b) Cytoponction Sérosité plus ou moins huileuse. Riche en macrophages Absence de cellules malignes 4) ÉVOLUTION Résorption spontanée bénigne. Chirurgie si doute de malignité ou but esthétique. 8
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailDépistage et prévention du cancer du sein
Actualisation du référentiel de pratiques de l examen périodique de santé Dépistage et prévention du cancer du sein Février 2015 État des connaissances sur le cancer du sein Structure anatomique et aspect
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements, soins et innovation OCTOBRE 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein in situ COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome
Plus en détailRecherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches. Les cancers du sein
Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers du sein G R A N D P U B L I C Les cancers du sein Aujourd'hui, en France, comme dans de nombreux pays
Plus en détailSein inflammatoire. Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc
Sein inflammatoire Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc Sein inflammatoire 3 types Mastites infectieuses Mastites non infectieuses Cancer inflammatoire 2 situations cliniques Allaitement Hors
Plus en détailQu est-ce que le cancer du sein?
Cancer du sein Qu est-ce que le cancer du sein? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique de ESMO
Plus en détailLe dépistage des cancers
Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et
Plus en détailComprendre. le Cancer du sein. Mise à jour. Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches
Comprendre le Cancer du sein Mise à jour Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches Ce guide s inscrit dans le cadre d un programme réalisé en partenariat avec
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailUNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN
UNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN Informations générales Pour vous, pour la vie Cette brochure vise à vous fournir des informations générales concernant l intervention chirurgicale que vous
Plus en détailBIOPSIE de MOELLE OSSEUSE
BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE Le prélèvement de moelle osseuse? La moelle osseuse, tissu hématopoïétique situé dans la cavité centrale des os, peut être prélevée de deux façons : -par ponction sternale -par
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailUn test Pap pourrait vous sauver la vie
Un test Pap pourrait vous sauver la vie Un test Pap pourrait vous sauver la vie Vous avez 21 ans ou plus et êtes sexuellement active? Passez un test Pap! Si vous saviez qu un test Pap, qui prend 5 minutes,
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailPLEINS FEUX SUR LE RC EXAMENS SYSTEMATIQUES ET PREVENTION
PLEINS FEUX SUR LE RC SFMG - 2009 EXAMENS SYSTEMATIQUE ET PREVENTION est le résultat de consultation le plus fréquemment relevé par les médecins généralistes de l OMG. Voir là. Pour mieux vous familiariser
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailItem 288 : Troubles des phanères : Onyxis
Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis Collège National des Enseignants de Dermatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières OBJECTIFS... 2 I Atteinte matricielle avec modification
Plus en détailphase de destruction et d'élimination de débris
LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale
Plus en détailOmnipraticiens INDEX F - PEAU - PHANÈRES - TISSU CELLULAIRE SOUS-CUTANÉ
INDEX INDEX Page F - PEAU - PHANÈRES - TISSU CELLULAIRE SOUS-CUTANÉ Abcès......................................................... F-2 Hématome...................................................... F-2
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailBIOPSIE PAR ASPIRATION Sous stéréotaxie
Vous avez appris qu une anomalie a été détectée lors de votre mammographie. Afin d investiguer cette anomalie, le radiologue a pris la décision d effectuer une biopsie par aspiration sous stéréotaxie.
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailA l Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille, Octobre Rose est l occasion de mettre en valeur la filière de soins dédiée au cancer du sein.
OCTOBRE ROSE 2013 La campagne Octobre Rose a pour but d inciter les femmes de 50 à 74 ans à participer au dépistage organisé du cancer du sein. Une femme sur trois ne se fait pas dépister ou pas de manière
Plus en détailLe dépistage du cancer du sein. Une information de la Ligue contre le cancer
Le dépistage du cancer du sein Une information de la Ligue contre le cancer Impressum _Editrice Ligue suisse contre le cancer Effingerstrasse 40 case postale 8219 3001 Berne tél. 031 389 91 00 fax 031
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailPour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir.
Dépistage Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Par contre, nous pouvons tenter de le dépister plus tôt afin d'avoir plus de chances de
Plus en détailLe cancer de la thyroïde GRAND PUBLIC
GRAND PUBLIC Edition actualisée Janvier 2010 SOMMAIRE > Ce livret a été préparé par le professeur Martin Schlumberger, chef du Service de Médecine Nucléaire à l Institut Gustave Roussy (IGR), à Villejuif
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailLa maladie de Verneuil Hidrosadénite suppurée
Hidrosadénite suppurée La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailDOSSIER DE PRÉSENTATION
DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005
Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détail19 thèmes dans 10 villes
SATISFAIRE À VOS OBLIGATION DE DPC FACILEMENT GRÂCE AU CNGOF DPC réalisés par le CNGOF et financée par l Agrément CNGOF : 11 75 32 07 175 - FMC 100 098 Indemnité de 345 par jour et prise en charge hôtellerie
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailPREPARATION A LA PARENTALITE RYTHMES ET BESOINS DU NOUVEAU-NE. «Un bébé a besoin de tendresse, de chaleur, de contact et de lait»
Version 1- Nov. 2012 OBSTETRIQUE Fiche d information N 3 Page 1/8 Validation PREPARATION A LA PARENTALITE RYTHMES ET BESOINS DU NOUVEAU-NE Document 3-3 Condition «Un bébé a besoin de tendresse, de chaleur,
Plus en détailProlapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002
Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Pré-Requis : Connaissance de bases : Anatomie du pelvis Classification des troubles de la statique génitale
Plus en détailTous droits de traduction, d'adaptation et de reproduction par tous procédés, réservés pour tous pays.
LE CANCER DU SEIN Conduite à tenir diagnostique devant une image mammographique infraclinique anormale Conduite thérapeutique devant un cancer du sein infraclinique Suivi des patientes traitées pour un
Plus en détailDocteur, j ai une masse au sein. Est-ce un cancer? UN DIAGNOSTIC DE CANCER est posé chez 11 % des
Le sein Docteur, j ai une masse au sein. Est-ce un cancer? Réjean Duplain, Marie-Michèle Livernoche et Judy Deschesnes 4 M me Massé,45 ans,entre en pleurs dans votre cabinet.elle a trouvé une bosse sur
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailTUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS DES PARTIES MOLLES : QUEL CRÉDIT PEUT-ON ACCORDER À L ÉCHOGRAPHIE?
TUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS DES PARTIES MOLLES : QUEL CRÉDIT PEUT-ON ACCORDER À L ÉCHOGRAPHIE? R.CAMPAGNA, F.THEVENIN, D.RICHARME, H.GUERINI, A.FEYDY, F.LAROUSSERIE, JL.DRAPÉ Service de Radiologie B CHU
Plus en détailSymposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones
Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones d Angéiologie 8 Janvier 2010 Historique 1550 Falloppio
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailGROUPE CLINIQUE DU MAIL
DOSSIER DE PRESSE GROUPE CLINIQUE DU MAIL Le centre d imagerie médicale conforte son implantation sur le site du Mail avenue Marie-Reynoard à Grenoble & présente son nouveau scanner spiralé, issu de la
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailDÉFINITION OBJECTIFS. Information délivrée le : Cachet du Médecin : Au bénéfice de : Nom : Prénom :
Version 2 mise à jour nov 2011 Information délivrée le : Cachet du Médecin : Au bénéfice de : Nom : Prénom : Cette fiche d information a été conçue sous l égide de la Société Française de Chirurgie Plastique
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailTumeurs cutanées épithéliales et mélaniques
Examen National Classant Module transdisciplinaire 10 : Cancérologie, onco-hématologie Tumeurs cutanées épithéliales et mélaniques Mélanomes NOUVEAU P. SAIAG (Ambroise Paré, Boulogne Billancourt), J.-J.
Plus en détailDEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
Cette fiche d'information est un document remis aux patients avant une intervention chirurgicale. Les chirurgiens sont aujourd'hui tenus à fournir une information objective et compréhensible sur les risques
Plus en détailNOTICE : INFORMATIONS DESTINÉES A L UTILISATEUR. Firazyr 30 mg solution injectable en seringue pré-remplie Icatibant
B. NOTICE 1 NOTICE : INFORMATIONS DESTINÉES A L UTILISATEUR Firazyr 30 mg solution injectable en seringue pré-remplie Icatibant Veuillez lire attentivement l intégralité de cette notice avant d utiliser
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailse reconstruire avec ou sans intervention chirurgicale
Des questions que vous vous posez et que vous pouvez poser aux soignants Comment se reconstruire avec ou sans intervention chirurgicale Vous allez avoir ou vous avez eu une ablation du sein (mastectomie),
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailL'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes
L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Chez l'adulte moyen, il fait 25 cm à 30 cm (10 po à 14 po) de long et environ 2 cm (moins d'un pouce) de large. L'œsophage est constitué
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailF us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou
Fausses couches spontanées J Lansac CHU Tours Définition Avortement : expulsion produit de conception avant 22SA ou enfant
Plus en détailAccidents musculaires. Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre
Accidents musculaires Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre I. Lésions musculaires aiguës Classification Clinique
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. JAYDESS 13,5 mg, système de diffusion intra-utérin. Lévonorgestrel
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR JAYDESS 13,5 mg, système de diffusion intra-utérin Lévonorgestrel Ce médicament fait l objet d une surveillance supplémentaire qui permettra l identification rapide
Plus en détailMoyens d étude de la peau
Moyens d étude de la peau Dr. Yannick Le Corre yalecorre@chu-angers.fr Service de Dermatologie Vénéréologie Pr. L. Martin 2011-2012 CHU Angers UE Revêtement cutané Dermoscopie ou Dermatoscopie Examen de
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailCompte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique
Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours
Plus en détailStelara (ustekinumab)
Les autorités de santé de l Union européenne ont assorti la mise sur le marché du médicament Stelara de certaines conditions. Le plan obligatoire de minimisation des risques en Belgique, dont cette information
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailTuméfaction douloureuse
Santé bucco-dentaire Médecin de 1 er recours et problèmes dentaires fréquents Dre May SALMAN, médecin dentiste HUG Dr Jean-Pierre RIEDER, médecin interniste HUG Plan de présentation Santé bucco-dentaire
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailINJECTION INTRAMUSCULAIRE
Prestations de services / Dienstleistungen INJECTION INTRAMUSCULAIRE Fig. 1 1. GENERALITES 1.1. Définition L'injection intramusculaire consiste à introduire une substance médicamenteuse dans le tissu musculaire.
Plus en détailLe mélanome. Ce que vous devez savoir
Le mélanome Ce que vous devez savoir Table des matières À propos de ce livret... 2 La peau... 3 Importance de la peau...3 Couches de la peau...3 La croissance des cellules : les cellules normales et les
Plus en détailanswers Issues and Answers est de retour Nouvel expandeur tissulaire mammaire Contour Profile 6200 de Mentor Un expandeur inégalé!
& INTERNATIONAL AUTOMNE 2002 answers Issues and Answers est de retour Afin de vous fournir les dernières actualités et informations de l industrie relatives à nos produits et services, Mentor est heureuse
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailDERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES
DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES I ECZEMA ET LESIONS ECZEMATIFORMES II LICHEN PLAN III LICHEN SCLERO-ATROPHIQUE IV MALADIE LUPIQUE V PSORIASIS VI AUTRES Parapsoriasis Kératodermies
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailLes cancers de la prostate
Vous cherchez de l aide ou d autres informations? Vous avez besoin de parler? Vous cherchez des informations sur un type de cancer ou ses possibilités de traitement? Vous voulez savoir comment faire appel
Plus en détailLes traitements du cancer invasif du col de l utérus
JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES
Plus en détailTroubles thyroïdiens
Troubles thyroïdiens L hypothyroïdie L hyperthyroïdie Nodules thyroïdiens Goitre exophtalmique ou maladie de Graves ou de Basedow ou thyréotoxicose Thyroïdite chronique d Hashimoto Cancer de la glande
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailIFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015. M. BLOT Ergothérapeute. CHU de NIMES
IFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015 M. BLOT Ergothérapeute CHU de NIMES Introduction Définition de l hémiplégie Causes Evolution Conséquences Description Prise en charge du patient en fonction de l activité
Plus en détailLes conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012
Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012 Faire avancer la sûreté nucléaire Jean-René Jourdain Paris, 28 février 2012 Comment évaluer les conséquences
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailInsulinothérapie et diabète de type 1
Insulinothérapie et diabète de type 1 Introduction: la molécule d insuline L instauration de l insulinothérapie Dispositif d administration de l insuline Les propriétés de l insuline Insuline et schémas
Plus en détailla reconstruction du sein après un cancer Recherche Information - Prévention - Dépistage Actions pour les malades et leurs proches
Recherche PROTHÈSE RÉTRO- PECTORALE LAMBEAU GRAND DORSAL L A M B E A U A B D O M I N A L G R A N D P U B L I C I SIS est un groupe multidisciplinaire de professionnels de santé indépendants, réunis à l
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailLe Lipocontrol contre les amas graisseux
Extrait du BLOG VOTRE BEAUTE Le Lipocontrol contre les amas graisseux La lipolyse laser, nous vous en avions parlé dans la rubrique "Moi j'ai osé" du Votre Beauté de juin 2007. En une seule séance, sans
Plus en détailGUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE. Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique. Cancer du sein
GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique Cancer du sein Janvier 2010 Ce document s inscrit dans un double dispositif : La mise en œuvre de
Plus en détailRISQUES SOLAIRES CE QU IL FAUT SAVOIR POUR QUE LE SOLEIL RESTE UN PLAISIR
RISQUES SOLAIRES CE QU IL FAUT SAVOIR POUR QUE LE SOLEIL RESTE UN PLAISIR PROFITEZ DU SOLEIL EN TOUTE SÉCURITÉ Nous profitons tous du soleil et en connaissons ses bienfaits : il dope le moral et favorise
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD
PRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD Douleurs du post-partum : Douleurs cicatricielles (déchirures ou épisio) Dyspareunies orificielles
Plus en détailIMPORTANT : VEUILLEZ LIRE ATTENTIVEMENT
IMPORTANT : VEUILLEZ LIRE ATTENTIVEMENT PARTIE III : RENSEIGNEMENTS POUR LE CONSOMMATEUR PROMETRIUM Progestérone en capsules Le présent dépliant constitue la troisième et dernière partie de la «monographie
Plus en détail