Module «Pilotage de Projet» - Module GPRO-0

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1 Décembre 2014 Module «Pilotage de Projet» - Module GPRO-0 Sujet 4 UNE APPROCHE PROJET POUR L ARCHITECTURE ING1 promo 2017 Cursus S1 Restrictions d utilisation du présent document Ce document est la propriété de Daniel HERVOUET. Toutes les informations présentées ici sont classées Personnel et ne peuvent en aucun cas être copiées ou communiquées à aucune tierce partie sans l accord écrit préalable de Daniel HERVOUET

2 AVERTISSEMENT 2 Cette approche est faite pour un chef de projet, l objectif est de : 1. Proposer une démarche simplifiée d évaluation d une architecture IT et de son poids dans un projet en partant des services fournis au client final (au niveau métiers). 2. Etre pragmatique pour vous permettre d être capable d évaluer l impact et le poids des actions à mener lors de la mise en œuvre d un projet IT. 3. Considérer qu un projet est avant tout piloté par le besoin des utilisateurs, internes ou externes. Nous partons délibérément d une approche simplifiée de l analyse d une architecture. Une fois sur le terrain, avec l expérience, vous pourrez comprendre et traiter la complexité entière d un projet IT. NOTA: Cette formation n est pas un traité d architecture informatique, seuls les aspects les plus classiques d une architecture, matériel et logiciel, sont retenus à titre d exemple. Elle s adresse à de futurs chefs de projet.

3 Principe suivi dans ce module 3 Comment est organisé le module : 1. Introduction à la démarche service : Introduction à la gestion des niveaux de service ( SLR, SLO et SLA), car ils sont fortement utilisés tout au long des projets informatiques et en exploitation. Ils assurent le lien avec le contrat, permettent la facturation et sont les références en exploitation pour garantir la stabilité de la solution dans le temps. 2. Identification des orientations d architecture pour un projet : ces services sont ouverts à l utilisateur final après le déploiement de l architecture étudiée et développée lors du projet. Nous poserons le cadre d une architecture classique et décrirons les composants majeurs nécessaires à sa construction, afin de fournir une base commune pour l analyse du CdC. 3. Démarche suivie du cahier des charges ( CdC) au contrat : comment élaborer une réponse de la DSI, la proposition de projet, acceptable pour le client et la DSI. L accord se traduit par la signature du contrat qui valide officiellement le démarrage du projet : le cycle de vie de réalisation d un projet démarre.

4 Sommaire 4 1. Notion de gestion des services Introduction aux principes des services Mode de gestion des services et lien contrat SLR SLO ET SLA dans le cycle de vie projet IT 2. Les composants d une architecture informatique Service à l utilisateur, Application et Architecture : les liens Les différentes briques ( description) Principe d organisation d une architecture 3. Identification des orientations d architecture pour un projet Introduction au contexte d analyse d un CdC ( cahier des charges) Méthode d analyse simplifiée : s adapter au contexte du client ( son métier) : suivant l analyse des 4 critères de base: géographique, volumétrie, maturité et SLO du projet. Orientations et choix : signature du contrat et démarrage du projet

5 Le cycle de vie des services 5 L approche par le service est déterminante dans l activité d une DSI. A) Dans un projet, l étude et le développement réalisés : 1. Ils sont l objectif à atteindre, ce qu il faut fournir à l utilisateur 2. Ils servent de référence au client lors des recettes pour accepter ou non le projet B) En exploitation ils sont la référence : 1. Qui doit être garantie dans le temps 2. Par des mesures en continu du niveau de services réels atteints. L analyse de ces mesures permet d anticiper, ou de détecter un incident, de facturer le service fourni ( offre Cloud par exemple) Le tout est consigné dans un accord où chaque partie a des droits et des devoirs : le contrat de service ou pour les offres Cloud dans le catalogue de services du fournisseur. Le service final est le résultat d une expression du besoin du client (cahier des charges), rendu réel ( après négociation) grâce au projet.

6 Rappel : Le cycle de vie des services 6 Dans le cycle de vie d un service les principaux acteurs sont : 1. Client : Celui qui paie la facture, habilité à signer les contrats de fourniture de services avec la DSI. Il écrit le cahier des charges. 2. Utilisateur : Celui qui utilise les services IT via son poste de travail. Il attend que les spécifications soient respectées. 3. Fournisseur Celui qui fournit les services IT. Il peut être interne à l entreprise, ou externe. Les métiers ou externes La DSI

7 Le cycle de vie des services 7 Pour maîtriser la réalisation d une architecture, le chef de projet doit maîtriser les étapes de négociation qui vont permettre de définir les objectifs du projet : 1. SLR (service level requirement) : le cahier des charges C est l expression du service attendu par le client, dans son langage. 2. SLO (service level objective) : la spécification fonctionnelle C est le service cible pour le projet en fonction des moyens. 3. SLA (service level agreement) : le niveau accepté par le client à la recette en fin de déploiement (voir démarche projet :VSR,VABF ) C est la concrétisation du service sur le terrain, après la mise en production.

8 Le cycle de vie des services 8 La valeur d un service se définit par : 1. Son utilité : (est-il adapté? Sert-il à quelque chose?) Notion de performance, résulte des effets positifs (valeur ajoutée) et des effets attendus en termes de métier. 2. Sa garantie : (est-il apte à l emploi?) Attentes client et utilisateur Contraintes DSI Architecte Développeur Exploitant Assurance pour le client que le service sera fourni dans les conditions définies (conditions, résultats, délais ). Service fourni au final

9 Le cycle de vie des services : gérer un service 9 Un niveau de service c est : un accord entre deux parties, il décrit une prestation, comment elle est réalisée, suivant quelles modalités d exécution en exploitation la description des niveaux de disponibilité, de performance, la capacité. Pour sa validation on mesure par exemple : l accessibilité au service : taux de disponibilité (par exemple moins de 5% d indisponibilité par mois) la fiabilité du service : % de temps sans erreur la rapidité de réponse : un délai, une performance ou un temps de traversé d un réseau ( par exemple pour une requête de login) la capacité à fournir le service en fonction d une volumétrie donnée ( par exemple supporter 5000 accès utilisateurs par seconde en régime nominal) le délai de restitution du service après un incident en exploitation ( par exemple un serveur doit être dépanné en 8h maximum )

10 Le cycle de vie des services 10 Ce schéma montre les liens du cycle de vie des services avec le cycle de vie IT. Cette démarche permet d établir le catalogue des services du SI. Elle fournit au chef de projet : les SLA que doit fournir l architecture en exploitation. la classification des SLA : pas niveau de service

11 Le cycle de vie des services 11 Un service informatique est dépendant des chaînes de liaison. Définir l architecture est une étape déterminante pour un chef de Projet. Nous allons détailler cette étape dans la suite de cette présentation.

12 Le cycle de vie des services 12 Un exemple de mode de classification simple des niveaux de services, fréquente sur le terrain : Démarche de classification en trois niveaux : 1. Elle consiste à classer par niveau d importance le SLA : 3 pour fort, 2 pour moyen et 1 pour faible (on trouve aussi très souvent or, argent et bronze ). 2. Les composants logiciels et matériels liés au service suivent la même logique. 3. C est le même principe pour les incidents de production suivant qu ils touchent un service, une application ou un serveur, ils sont classés suivant la même logique. 4. Et ainsi de suite Exemple pour une application : on va avoir des grands blocs. Par exemple SAP comprend facturation/vente/production. Exemple pour les serveurs : organisation de la salle d exploitation en 3 zones, avec 3 types de serveurs et 3 catégories de contrat de support et ainsi de suite 3 (OR) X X X X 2 (Argent) X X X 1 ( Bronze) X X X X

13 Sommaire Notion de gestion des services Introduction aux principes des services Mode de gestion des services et lien contrat SLR SLO ET SLA dans le cycle de vie projet IT 2. Les composants d une architecture informatique Service à l utilisateur, Application et Architecture : les liens Les différentes briques ( description) Principe d organisation d une architecture 3. Identification des orientations d architecture pour un projet Introduction au contexte d analyse d un CdC ( cahier des charges) Méthode d analyse simplifiée : s adapter au contexte du client ( son métier) : suivant l analyse des 4 critères de base: géographique, volumétrie, maturité et SLO du projet Orientations et choix : signature du contrat et démarrage du projet

14 Introduction du chapitre 14 Ce chapitre présente les principaux composants utilisés dans la mise en œuvre d une solution d architecture pour un SI. Cette description technique est faite pour des chefs de projet, elle se veut délibérément simplifiée et doit leur permettre d évaluer l importance et les contraintes de chaque brique pour leur projet. Les composants que nous traiterons couvrent deux domaines : 1. Matériel : serveur, poste de travail et réseau 2. Logiciel : les bases de données, le stockage des données et les applications Nous terminerons par une brève présentation des grands modes d architecture pour un SI. Nota: ceci n est pas un traité d architecture

15 Rappel L importance et le rôle du SI 15 Le SI (Système d Information) est à l image de l entreprise. Toute l activité de l entreprise est dépendante du bon fonctionnement du SI, il se doit d avoir : 1. Une exploitation stable et robuste, pour avoir le minimum d incidents lors de l accès aux services informatiques par ses clients. 2. Des capacités d étude et de développement performantes pour modifier rapidement le SI existant afin de réagir à la concurrence ou pour innover. 3. De protéger la donnée, le seul composant du SI qui ne peut être détruit. Le SI fournit des services informatiques à ses clients. Ces services nécessitent la mise en place d une architecture complexe propre à l activité de l entreprise : son métier, sa taille et son organisation. Un chef de projet se doit de bien connaître l entreprise, pour maîtriser le contexte d un service informatique et définir le cadre de réalisation de l architecture.

16 Rappel L importance et le rôle du SI suite 16 Dans ce contexte la mise en place d une DSI doit prendre en compte que : A) L activité d une DSI couvre trois missions majeures : 1. La réalisation de projets de développement 2. La réalisation de projets de déploiement 3. La gestion au jour le jour du SI (exploitation et support) B) Un projet informatique complet est composé de deux grands projets : 1. Un projet de développement (matériel ou logiciel) fait par les études 2. Un projet de déploiement fait par l exploitation, aidé par les études C) Dans le projet de développement la charge de travail est répartie entre : 30% pour le développement de la partie fonctionnelle 70% pour garantir la robustesse du code et fournir les moyens d exploitation et de support

17 Rappel L importance et le rôle du SI suite 17 La réalisation de ces deux types de projets et la gestion au jour le jour se fait tout au long du cycle de vie IT. Le suivi et les mesures des SLA en exploitation permet de faire des bilans et d identifier les axes d amélioration et d apporter les corrections nécessaires. projet projet gestion développement déploiement journalière

18 18 Service à l utilisateur, Application et Architecture vue fonctionnelle Une application fournit des services informatiques à l utilisateur : 1. L accès à l application (login) qui donne accès à tout ou partie des fonctions de l application 2. L utilisation de périphériques locaux : imprimante, scanner 3. Plusieurs services majeurs, par exemple l application comptabilité client comprend plusieurs fonctions : a) La gestion des profils utilisateurs b) Les devis c) La prise de commande d) La facturation e) Les contentieux 4. La capacité à gérer des informations: 1. Accéder et créer des données 2. Echanger des données avec d autres applications imprimante données

19 19 Service à l utilisateur, Application et Architecture vue système L architecture dédiée à l application permet de fournir les services. Les principaux composants matériels utilisés sont : 1. Un serveur(s) applicatif qui héberge le cœur de l application et gère les transactions (Une transaction = une requête et une réponse [un login par exemple] ). 2. Un poste de travail qui accueille la partie client de l application et permet le dialogue (les transactions) avec le serveur applicatif : l accès de l utilisateur au SI. 3. Une base de données, au sens large ( data, document, son et vidéo ), où l application va créer et/ou utiliser des données Sur un PC, avec une application locale, word par exemple, il n y a pas besoin de réseau. 4. Excepté ce cas, pour toute application un réseau est indispensable

20 20 Service à l utilisateur, Application et Architecture Le poids du réseau L évolution de l informatique rendent les applications fortement dépendantes du réseau (capacité à des débits puissants, importants et rapides). C est pourquoi il faut considérer que poste de travail, serveur et base de données d une même application peuvent être n importe où sur le globe. Cette situation conduit à : A. Avoir une architecture éclatée Et impose de B. Répliquer serveur et base de données pour s affranchir des pannes réseau et assurer l autonomie locale d un pays ou d un site vue système C. D avoir un PT avec peu de données en local (l accès par navigateur est idéal)

21 Service à l utilisateur, Application et Architecture vue système Dans le cas d UPS on va avoir une architecture de ce type pour supporter les applications de l entreprise. Pilotage de Projet ING1 Promo 2017 Décembre 2014 V1.0 21

22 22 Cette partie décrit les principaux composants ou briques utilisés dans la mise en œuvre d une solution d architecture pour un SI. Cette description technique est faite pour des chefs de projet, elle se veut délibérément simplifiée et doit leur permettre d évaluer l importance et les contraintes de chaque brique pour un projet. Les composants que nous traiterons couvrent deux domaines : 1. Matériel : serveur, poste de travail et réseau 2. Logiciel : les bases de données, le stockage des données et les applications Nous terminerons par une brève présentation des grands types d architecture pour un SI. Introduction Les différentes briques

23 matériel Les différentes briques 23 Pour les briques matériel d une architecture, trois éléments majeurs sont à prendre en compte : 1. Le serveur 2. Le poste de travail (PT) 3. Le réseau L aspect matériel a un poids relativement faible pour un chef de projet (sauf le coût!). Par exemple un serveur est caractérisé principalement par des aspects technologiques avant l installation d une application.

24 24 matériel Le serveur héberge l application pour : 1. Fournir la puissance pour le cœur de l application : traitement des transactions 2. Gérer la partie client et/ou l accès par un navigateur standard 3. Gérer les accès multiples ( 500 utilisateurs par seconde par exemple ) 4. Garantir la robustesse du service fourni à l utilisateur. Par exemple : Assurer la reprise d une transaction après une rupture réseau Contrôler la cohérence d une requête : envoi de message d erreur 5. Gérer le lien avec les bases de données 6. Fournir tous les outils nécessaires à l exploitation de l application La console d administration qui permet d activer ou d arrêter, de paramétrer et/ou de faire évoluer l application Les tableaux de bord pour suivre le comportement de l application Les différentes briques Nota : Il est recommandé d avoir un serveur par application

25 25 matériel Le serveur qui héberge l application. Si l application hébergée est critique, le serveur sera un composant critique (SLA élevé). Chaque application comprend trois blocs fonctionnels : la présentation vers le poste de travail : client lourd, mode WEB, terminal le traitement des transactions : la puissance de calcul l accès aux données à gérer par l application : en entrée et en sortie Un serveur peut accueillir soit : Les différentes briques 1. Plusieurs applications : à éviter en exploitation 2. Une seule application par serveur : la tendance forte actuellement

26 26 Les différentes briques matériel En fonction des contraintes, il y a différentes organisations de serveur pour une même application, elles sont de trois types : 1. Un seul serveur : les niveaux de services sont peu contraignants et permettent une panne de plus d une journée. 2. Plusieurs serveurs répartis : les niveaux de services sont contraignants et acceptent une panne d une durée inférieure à une journée. Organisation en mode load-balancing ou en redondance, qui permet lors de la panne d un serveur, qu un autre prenne le relai : peu visible pour l utilisateur 3. Plusieurs serveurs étroitement liés : les niveaux de services sont très contraignants, pas de panne ou une panne d une durée inférieure à 4h. Organisation des serveurs en mode très haute disponibilité type cluster : pour obtenir zéro panne vu de l utilisateur.

27 27 matériel Un serveur dédié à une application est un ensemble de matériels et logiciels qui : Fournit de la puissance de traitement ( CPU) Comprend plusieurs disques durs (minimum deux) Un pour le système d exploitation ou OS (Operating System) Un pour les données locales ( sa configuration) et pour le code de l application Possède des outils d exploitation accédés via des consoles. Au minimum deux : une pour l exploitation serveur et l autre pour l exploitation de l application. Les différentes briques

28 matériel Les différentes briques 28 Le poste de travail, est un élément très important pour une application. C est l outil de l utilisateur pour communiquer avec l application et obtenir les services souhaités. Pour identifier le niveau de complexité du poste de travail, le chef de projet devra prendre en compte les principaux aspects suivants : La volumétrie du parc : de 100, 1000 à plus de PT parfois Sa nature (terminal, PC voir ci-après pour plus de détails) Sa répartition géographique (les trois continents) et le nombre de sites S il est multi-langues : plusieurs types de master PT ( un par pays parfois ) S il héberge des données vitales pour l entreprise Quel type de réseau pour les accès au PT

29 29 matériel Le poste de travail permet à l utilisateur d accéder au SI. Il est plus complexe qu il n y parait, car il comprend : Fixe : PC, borne interactive Matériel Logiciel Données Mobile : PC portable, tablette, téléphone Interface locale vers un périphérique : imprimante, lecteur code barre, scanner, appareil photos. L utilisateur gère les transactions via des formulaires Les différentes briques Dépendant de l application: la partie cliente est à développer et à installer sur le poste de travail Indépendant de l application : accès via un navigateur standard du marché Pour Sans : cas de plus en plus fréquent Avec : pour fonctionner hors liaison réseau Problème complexe de mise à jour et de sauvegarde Envoyer ou recevoir : Des données Un document Du son De la vidéo

30 matériel Les différentes briques 30 Le poste de travail existe sous différents types : 1. Le terminal : par principe simple car il ne reçoit qu une image fabriquée en central, il n y a pas de données locales. La complexité (faible) vient des imprimantes ou autres périphériques locaux (lecteur code à barre par exemple). C est l interface à un mainframe. 2. Le PC lourd : beaucoup d anciennes applications ont une interface client, qui traite des données et l affichage en local. Le dialogue avec le serveur est dit lourd car beaucoup de données doivent circuler sur le réseau. Il y a aussi des données en local. Les périphériques locaux (imprimantes ou autres) complexifient encore plus cet environnement. Cas complexe. 3. Le portable est identique au PC, avec un degré de complexité supplémentaire car il n est pas toujours relié au réseau de l entreprise pour sa gestion. 4. Les nouveaux terminaux qui gèrent les applications via une fenêtre. Ces fenêtres sont en fait soit le navigateur internet soit une émulation terminal (Citrix ou TSE de Windows). Ces modes gèrent la présentation d un client lourd sur le serveur et renvoient juste l image écran sur le PT. Les périphériques locaux (imprimantes ou autres) complexifient.

31 31 PC. PC portable matériel Les différentes briques Tablette Le poste de travail Se présente sous des formes de plus en plus variées. Téléphone portable Borne interactive Il faut développer une adaptation de la partie cliente de l application pour chaque type de poste de travail

32 32 matériel Le réseau, c est la révolution des 10 dernières années par la puissance fournie. Maintenant on peut distribuer une application sur le globe terrestre et obtenir les mêmes temps de réaction (ou presque) que si elle était sur un serveur unique. Le réseau est le cœur de la révolution Internet par : 1. La capacité à transmettre des volumes importants très rapidement 2. Les délais de réaction des applications acceptables pour l utilisateur (que ce soit pour des données, du son ou de l image ) 3. La capacité d exploiter une architecture éclatée sur trois continents Les contraintes et risques sont : Les différentes briques A. Les pannes (rupture de réseau, serveur) B. La sécurité (piratage de plus en plus important sur internet)

33 Les briques matérielles 33 Le réseau se décline principalement en deux grands types LAN et WAN : 1. LAN (Local Area Network) : pour les réseaux locaux que l on trouve sur un bâtiment : les débits sont de l ordre de 100 Mbs, donc une bande passante importante. Le niveau de sécurité est fort car ce sont des réseaux privés. Ils ont peu d impact sur la complexité du projet. Maintenant apparaissent les réseaux sans fil tels que Bluetooth, WI-FI. 2. WAN (Wide Area Network) : pour les réseaux distants entre sites. Il y a deux types de WAN : a) Les backbone qui sont des liaisons haut débit entre des points éloignés, par exemple un câble sous la mer, intercontinental ou entre deux grandes villes (10 à 100 Mbs). Ils sont installés et gérés par des opérateurs.

34 Les briques matérielles 34 Le réseau, WAN (suite) b) L accès d un site au backbone par des lignes de débit plus faible. On a deux types : Les lignes dédiées à une entreprise de type LS (ligne spécialisée): sécurisées, bande passante garantie et dédiée à l entreprise. L exploitation est accessible par l entreprise. Le coût de location est élevé en comparaison aux liaisons de type internet. Les liaisons de type internet basées sur le réseau téléphonique, leur bande passante est partagée entre plusieurs entreprises. Leur débit (1 à 20 Mbs) et leur disponibilité ne sont pas garantis et leur sécurité est très faible (piratage fréquent). Leur coût est plus faible. L exploitation n est pas accessible à l entreprise. Pour des raisons de coûts et de relative stabilité des réseaux internet, de plus en plus d entreprises basent leur WAN sur Internet et abandonnent les LS.

35 35 Les différentes briques matériel Le réseau (suite) WAN d un fournisseur établit les liens entre sites distants. C est en réalité un maillage de réseaux physiques. Un nœud de ce maillage est en fait un site dans le monde, avec une salle d exploitation très complexe ( routeur, switch et véritable système d exploitation réseau sur serveurs). Son rôle est de trouver le meilleur chemin pour une requête et de gérer les ruptures de réseau en identifiant un nouveau chemin. Nota: une requête émise par un poste de travail est en fait : découpée en trames réseau Chaque trame va suivre son chemin (1,2,3 ou A,B,C,D,E ) A la réception, le serveur et la base de données reconstruisent la requête

36 36 Les différentes briques logiciel Dans cette première approche, nous traitons trois aspects majeurs des logiciels lors de la construction d un projet IT : les bases de données les moyens de stockage des données les différents types d applications Le logiciel a un poids très important dans un projet, car il est au cœur de la solution. Mais n oublions pas qu un matériel qui supporte un composant logiciel critique, devient critique pour le projet.

37 37 logiciel Les bases de données gèrent les informations de l entreprise. Cet outil informatique gère et stocke les informations sous forme de données. Pour mémoire l information (données au sens large) est le seul composant du SI qui ne peut être détruit! L information est à la fois, une donnée gérée par une application (data, son et vidéo), mais aussi un document comme un mail, un article d une revue, un document Word ou Excel Les différentes briques PS: L histoire de l informatique explique la diversité des différentes organisations de données que l on doit prendre en compte. Il est parfois impossible de remplacer simplement une base de données ancienne.

38 38 logiciel Les différentes briques Les bases de données, leur nature Au départ chaque application crée la propre organisation de ses données sous forme d un ou plusieurs fichiers dépendants de cette application. La communication entre applications est très complexe. Les bases de données pallient ce problème de partage et d exportation des données. On voit apparaître des bases par domaine métier : RH, finances, fabrication ) - Elles structurent toutes les données sur une même base. Par exemple, la gestion financière va mettre sur la même base les données des fonctions très différentes d un point de vue applicatif que sont la base des clients et leurs coordonnées, les offres de contrat, les bons de commande, la facturation et la balance financière, la TVA etc. - Il est toujours difficile et long d avoir une consolidation des données au niveau de l entreprise afin d avoir une vision d ensemble. Ce besoin est déterminant en situation de crise pour obtenir la réactivité nécessaire.

39 logiciel Les différentes briques 39 Les bases de données, le mode d accès Le principe de nos jours est de gérer toutes les données globalement, de toutes les applications de l entreprise en un point : SGBD ( Système de Gestion de Base de Données). Le but est de pouvoir échanger, manipuler et exporter simplement les données. Le principe d une SGBD est d avoir une structure standardisée, reconnue par tous, pour : fournir en une seule vision toutes les données métier au sein de l entreprise (applications RH, finances, fabrication ) permettre de faire des analyses simples et rapides grâce à un seul outil de suivi, de reporting, d alerte sur évènements, etc. partager simplement avec l extérieur des informations ( partenaire, sur internet, client.) Il existe encore beaucoup de bases de données propriétaires dans la vraie vie!

40 40 Les différentes briques logiciel Les bases de données. Une solution SGBD permet : d'enregistrer, rechercher, modifier et créer des données de spécifier les types de données de définir la structure de la base de données de gérer les règles de cohérence, les problèmes de redondance Les SGBD ont des mécanismes pour garantir les transactions : accès concurrents, la sécurité des données, pallier une rupture de réseau et reprendre une transaction (transparent à l'utilisateur) Elles offrent aussi des outils très puissants d exploitation, d analyse et de reporting Une solution SGBD est complexe et d un coût souvent élevé

41 41 logiciel Les bases de données, Les différentes briques La complexité des SGBD varie suivant deux cas : a) si cette base est centralisée sur un seul site : la mise en œuvre et la gestion sont simplifiées et les performances sont bonnes, b) si cette base est répartie sur plusieurs sites, il va être nécessaire d assurer des réplications entre les différentes parties de cette SGBD pour des raisons : de distance géographique de décalage horaire : par exemple pour des usines sur trois continents, le bilan de fin de journée des productions est complexe de processus métiers car toutes les parties de cette SGBD ne sont pas au même état d avancement pour un même processus: par exemple le cycle de fabrication d un produit réparti sur plusieurs usines.

42 42 logiciel Les bases de données sont sur un serveur indépendant* du serveur d application, pour les raisons majeures suivantes : 1. L évolution des structures de base de données logiciel ( Oracle.) et matériel (serveur dédié données type SAN et NAS ) permet de gérer une organisation complexe des données : une seule structure de base de données pour plusieurs applications 2. La puissance du réseau qui permet d avoir une structure de données à la fois unique et aussi complètement éclatée sur plusieurs points dans le monde 3. La capacité d une exploitation d un point unique permet la sauvegarde, le backup (duplication) et l archivage, mais aussi la capacité à synchroniser et répliquer toutes les données éclatées Application 2 (*) : c était l inverse il y a 15 ans Les différentes briques Application 1 Application 3 Vente Logistique Achat SAP Marketing Une base de données

43 43 logiciel Les différentes briques Les bases de données, les composants matériels associés La performance d une transaction applicative dépend : du temps de traitement réel de la transaction elle-même qui est purement liée aux performances CPU du temps d accès pour charger les données de la transaction : réseau, vitesse disque ou performance des mémoires. La solution de stockage est déterminante. Deux types de solution sont utilisés pour une gestion préformante et répartie des données : Le NAS - Network Accessible Storage:. C est le réseau classique qui relie les zones de stockage des données : simple et moins coûteux que le SAN. Le SAN - Storage Area Network. C est un réseau spécifique aux échanges de données. Cette solution est très performante et plus coûteuse qu un NAS. Par contre, les distances sont réduites, allant jusqu à 10km. Un SAN ou un NAS est un ensemble de serveurs et baies de disques. Il est géré par une application propre (dépend du fournisseur) et exploité via une console

44 44 logiciel Les bases de données, les composants matériels associés (suite) Ces solutions permettent : Les différentes briques Une redondance des données simple et performante Une sécurité plus forte d accès aux données Une plus grande souplesse dans la gestion des données et des bases de données Une meilleure optimisation des ressources GENERALEMENT : en cas de crash d une base de données, les données sont sauvegardées à j-1.

45 45 Les bases de données, la problématique Malgré toutes ces avancées, on trouve encore très fréquemment tous les types de regroupement des données au sein de l entreprise. C est un point stratégique pour l entreprise : savoir obtenir une vision précise et globale en temps réel de sa situation, pour prendre rapidement la bonne décision. Paradoxalement, l organisation des données reste un sujet très critique pour les entreprises: Les employés et surtout le management concentrent beaucoup de «savoir faire» et d expertise dans des fichiers créés via office : Word, et surtout Excel. Internet est un vecteur majeur car il fournit des données sous des aspects divers : fichiers PDF, audio et vidéo. La messagerie est devenue déterminante surtout d un point de vue pénal car un mail est reconnu comme pièce juridique: gestion de l historique.. logiciel Les différentes briques Nota : Big data : le problème de la croissance exponentielle et de la disponibilité des données (structurées et non structurées)

46 logiciel Les différentes briques 46 Les types d applications, une classification des applications : 1. Les applications dédiées à l entreprise, bâties autour de son organisation propre : a) Pour les grandes entreprises sur des mainframes ou Unix, avec un mode de présentation en mode terminal pour le PT b) Pour les entreprises plus petites on va retrouver des applications développées en interne, propriétaires, liées à un serveur (Unix ou Windows), avec un mode de présentation client lourd sur le PT 2. Les applications bâties à partir d un progiciel spécialisé sur un métier : comptabilité, finance plus ou moins personnalisable ( si on a une forte personnalisation, leur évolution est très coûteuse et problématique ) 3. Les applications d entreprises (progiciel) pour une vison globale de tous les métiers de l entreprise : ERP (SAP, Oracle ). Ces applications imposent un mode unique à toute l entreprise, elles sont lourdes et très structurantes pour l entreprise. Par contre, elles sont très utilisées dans les grandes et moyennes entreprises.

47 47 logiciel Les différentes briques Les types d applications, la réalité terrain : Dans les entreprises, pour pouvoir gérer et si possible résorber les anciennes bases de données non normalisées, les stratégies adoptées sont : A. On ne touche pas l existant en central et la présentation passe en mode navigateur : le ré-habillage de l application. Par exemple une application mainframe, mode terminal, sera accessible via un navigateur, après un développement complexe pour habiller le mode terminal dans un navigateur B. Tout nouveau service (par exemple un site de vente en ligne) sera bâti sur un nouvel outil et les nouvelles technologies C. Refonte d une application existante, avec la nécessité de prévoir une cohabitation avec l ancienne application et la capacité de revenir en arrière si un problème survient en phase de déploiement. Cette dernière solution est très lourde, coûteuse et risquée. Il faut savoir qu il faut de long mois d utilisation pour stabiliser les données d une base de données importante.

48 Principe d organisation d une architecture 48 Introduction On peut décomposer les architectures rencontrées dans un SI en 3 grands types: 1. Un tiers : mainframe où tout est regroupé au sien d une même machine et installé sur un seul site : mode boîte noire. Tout est géré par le fournisseur IBM, BULL 2. Deux tiers : mode client /serveur (OS Unix, microsoft ) 3. Trois tiers : serveur de traitement, serveur de présentation qui envoie l image écran sur le poste de travail Nota: Les solutions deux et trois tiers imposent la gestion et l intégration des solutions par les DSI contrairement au mainframe. Ces architectures résument en quelque sorte l histoire de l informatique. C est l évolution des réseaux(bande passante,temps réponse ), qui est au cœur de l évolution vers deux tiers et maintenant trois tiers (l éclatement actuel du SI sur plusieurs sites) On trouve encore ces trois solutions fortement implantées dans les entreprises.

49 Principe d organisation d une architecture 49 Organisation des serveurs Un découpage en tiers 1. Un Tiers : a) de type «mainframe» où tout est intégré dans un même système. Le poste de travail est un simple terminal et il n y a aucune donnée en local. Le poids du réseau distant est faible. L intégration est assurée par les fournisseurs : IBM, BULL b) de type «un serveur un niveau», avec un OS de type Unix ou Windows plus sa base de données (sur le même serveur). Le poste de travail est un PC avec des données en local. Le poids du réseau distant est important au niveau du poste de travail. L intégration est à la charge des équipes IT. 2. Deux Tiers : a) un serveur avec un OS de type Unix ou Windows qui gère l application (traitement) b) un serveur de données qui gère les bases de données réparties en local ou sur un autre site (parfois sur un autre continent). Le poids du réseau distant est important pour les serveurs et les postes de travail.

50 Principe d organisation d une architecture Organisation des serveurs 50 Un découpage en tiers : (suite) 3. Trois tiers : a) un serveur de présentation (frontaux web par exemple) avec un OS de type Unix ou Windows. Il envoie l image écran au poste de travail. b) un serveur avec un OS de type Unix ou Windows, qui gère l application (traitement). c) un serveur de données qui gère les bases de données réparties en local ou sur un autre site (parfois sur un autre continent). Le poids du réseau distant est important pour les serveurs et les postes de travail. Si l on a un poste de travail dit lourd : plus que jamais le poids du réseau distant est important, voire déterminant, pour les serveurs.

51 51 Principe d organisation d une architecture Organisation : serveurs d habillage pour mainframe De nombreuses sociétés utilisent et font évoluer des mainframes car : La solidité, la robustesse et la puissance de traitement font toujours leur réputation de nos jours; même comparé au système Unix réputer robuste Leur niveau de sécurité est très élevé car tout est propriétaire de l OS, la base de données et le réseau : difficile à pirater Certaines applications anciennes sont non modifiables, à garder telles quelles : il faut savoir qu une grosse application met des années à être bien rodée et changer n est pas simple C est pourquoi, pour pouvoir associé un mainframe avec d autres systèmes plus normalisés et communiquant simplement entre eux, on intègre des serveurs dits d habillage. Sur une base d un OS Unix ou Microsoft, on développe une application qui a uniquement pour but de traduire les échanges avec le mainframe, aux niveaux : poste de travail base de données réseau

52 Principe d organisation d une architecture Organisation des serveurs En synthèse les grands types d architectures présents dans un SI sont : : données locales Pilotage de Projet ING1 Promo 2017 Décembre 2014 V1.0 52

53 Sommaire Notion de gestion des services Introduction aux principes des services Mode de gestion des services et lien contrat SLR SLO ET SLA dans le cycle de vie projet IT 2. Les composants d une architecture informatique Service à l utilisateur, Application et Architecture : les liens Les différentes briques ( description) Principe d organisation d une architecture 3. Identification des orientations d architecture pour un projet Introduction à l analyse d un CdC ( cahier des charges) Méthode d analyse simplifiée : s adapter au contexte du client ( son métier) : suivant l analyse des 4 critères de base: géographique, volumétrie, maturité et SLO du projet Orientations et choix : signature du contrat et démarrage du projet

54 Introduction à l analyse d un CdC 54 Par définition la demande de services informatiques par un client doit être formalisée dans un cahier des charges (CdC). Que ce soit pour un projet important ou pour une simple évolution ( changement). La réponse au CdC par le chef de projet a pour étapes : 1. L analyse de la demande du client par le chef de projet et son équipe ( architecte, juriste et financier) 2. Les demandes d informations complémentaires ( échange de courriers) et réunion de travail avec le client ( cette étape peut faire l objet de plusieurs réunions) 3. La proposition/négociation d adaptions, d évolutions et d optimisations de la demande : devoir de conseil, réduction de coûts, identification des risques majeurs 4. L accord avec le client sur la réponse : les engagements de services à fournir et les coûts financiers retenus pour la réalisation du futur projet. 5. La rédaction et signature du contrat entre les deux parties. Le projet va pouvoir commencer

55 Introduction à l analyse d un CdC 55 La réponse au cahier des charges ( CdC) comprend des étapes formalisées par des documents. Ils ont valeur juridique une fois le contrat signé. Il y a deux documents majeurs pour cette phase avant siganture du contrat : la demande du client ou CdC la réponse de la DSI (son offre) qui décrit la solution proposée (SLO et architecture ) et le futur projet ( ressource et planning et coût global ) Une fois le contrat signé, la DSI s engage à réaliser le projet

56 Introduction à l analyse d un CdC 56 Avant tout il faut bien connaitre le métier du client. Ensuite il faut identifier quelle type de solution technique retenir le projet du client. Pour cela il faut répondre : En terme technique En terme applicatif Plate-forme matérielle Réseau local et distant Applicatifs middleware Briques applicatives Base de données En terme d implémentation de l architecture et du déploiement Centralisé Décentralisé Identifier la bonne architecture repose sur un bonne analyse du CdC

57 57 Méthode Introduction à l analyse d un CdC Première étape : savoir analyser les données et identifier les points structurants. Souvent il faut analyser et gérer une quantité importante des données. Dans un cahier des charges on trouve trop et pas assez d informations (exemple UPS). Il revient au chef de projet et architectes d identifier les informations pertinentes, d en faire la synthèse en tenant compte du profil du client. Fréquemment on trouve des tableaux de ce type : Pays salariés management finances gestion Pays PT Site base de données dupliquée France oui UK non Allemagne Non Espagne oui chauffeur maintenance commercial France UK Allemagne Espagne

58 58 Méthode Deuxième étape : organiser l information pour la transmettre plus tard aux équipes projet : Introduction à l analyse d un CdC a) Simplifier la lecture des informations clés, en les structurant dans un tableau et en leur donnant des poids : établir simplement une analyse d impact chiffrée b) Organiser et structurer l information dès le début de l analyse des documents client ( il y a beaucoup d informations à intégrer) c) Organiser les informations dans un seul document, par exemple de type Excel, pour faciliter les inévitables calculs et simulations d) Rédiger une synthèse pour montrer au client que sa demande est comprise et maîtrisée (comprendre le métier du client) e) Constituer un dossier de toutes les informations pour le fournir plus tard aux équipes projet, ce sera la référence lors du projet ( ils n auront pas accès au CdC ). Tous partiront de la même base : la vôtre. Ce point est déterminant.

59 59 Méthode Introduction à l analyse d un CdC 1) Analyser le cahier des charges à la lumière de quatre critères : Géographique, Volumétrie, Maturité, Niveaux des services attendus ( SLR) 2) Identifier leur impact sur les cinq briques majeures d une architecture que sont : 1. le serveur 2. le poste de travail 3. le réseau 4. les données 5. L application 3 ) Donner un poids par critère et par brique. Le tableau de synthèse chiffré obtenu montre les composants les plus contraignants dans le contexte du CdC. 4) Comprendre pourquoi. Ensuite identifier comment diminuer ces contraintes pour simplifier la solution, réduire les risques et les coûts. 5) Négocier avec le client les nouvelles orientations Serveur PT Réseau Base de données géographie Volumétrie maturité SLR Application 6) Finaliser votre proposition et obtenir l accord du client par la signature du contrat (le projet pourra commencer). Nota: Cette approche est clairement simplifiée. En entreprise le principe reste le même, mais peut intègrer plus de briques et de critères

60 Introduction à l analyse d un CdC 60 Méthode Le but est de structurer l analyse d un critère de manière répétitive pour tout projet. Pour cela on évalue chaque critère en fonction de son niveau d impact dans sur le projet, suivant trois niveaux. Le tableau suivant propose un exemple de grille d analyse de l impact d un critère suivant trois niveaux; en fonction des aspects techniques, risques, coût s, compétences et d organisation. Poids de l impact Les raisons de l impact du critère sur le futur projet : pendant son développement et lors de l exploitation solution technique très complexe à mettre en œuvre risques d échec importants (ou de dérive) coût très élevé en ressources, compétence, temps de réalisation solution technique complexe à mettre en œuvre risques importants coût élevé en ressources, compétence, temps solution technique classique ou simple à mettre en œuvre risque maîtrisé coût standard pour le type de projet : ressources, compétence, temps Cette grille est à adapter par projet, en fonction de la demande et du métier du client

61 Méthode Introduction à l analyse d un CdC 61 Principe de notation d un critère. 1. Décider du nombre de niveaux d impact souhaité: par exemple ici 3 niveaux. 2. En fonction des 5 briques de base d une architecture, le chef de projet évalue le poids du critère dans le contexte décrit par le cahier des charges. On va obtenir un tableau par critère : 3. Après avoir analysé le cahier des charges à la lumière des 4 critères, on obtient un premier bilan. il permet alors d identifier quel composant a un impact fort pour le projet

62 62 Pour illustrer l application de la méthode d analyse des 4 critères, nous nous baserons sur le cas d un CdC UPS qui demande la mise en œuvre d une messagerie Microsoft dans les conditions suivantes : Méthode d analyse simplifiée UPS comme exemple a) Une application pour tous les employés, accessible de partout même aux employés en déplacement et à tout moment. Elle est fortement utilisée par les clients d UPS. b) L activité est 30% plus forte en: novembre : les entreprises anticipent la période des fêtes de fin d année décembre : beaucoup plus de particuliers avec de petites missions (< à 1000 ). c) Cette application doit être dans la langue du pays. d) employés n ont jamais eu de PT, l arrivée de la messagerie est une nouveauté. e) Peu d applications sont accessibles en mode navigateur f) Messagerie répliquée ( serveur et base de données) par continent et par pays majeur pour permettre un fonctionnement local en cas de rupture réseau. g) Il y a un centre d exploitation par continent. Les équipes sont des spécialistes Unix uniquement.

63 63 Géographie : le contexte L'aspect géographique est déterminant pour les raisons principales suivantes : La puissance des réseaux permet d avoir une architecture facilement répartie sur des site différents. L importance d internet et des offres Cloud en sont des exemples forts. les utilisateurs veulent accéder aux applications de n'importe quel endroit du globe. les équipes d'exploitation peuvent administrer simplement un composant situé sur un autre continent. Le niveau de l impact du critère géographique sur le projet dépend de l'organisation de la société du client. Le tableau suivant donne les points majeurs à identifier, analyser et évaluer : Poids de l impact Méthode d analyse simplifiée géographie Règles de pondération 3 continents (ou 3 fuseaux horaires) Beaucoup de sites et de petits sites Serveurs application ou base de données sur tous les sites 2 continents (ou 2 fuseaux horaires) Beaucoup de sitesmais regroupant beaucoup d utilisateurs 1 serveur application ou base de données par continent 1 continents (ou 1 fuseau horaires) Peu de site regroupant beaucoup d'utilisateurs Serveurs application ou base de données uniquement sur site central Exemple Application mondiale Plus de 100 sites Application qui doit être répliquée partout Entre 100 et 10 sites Réplication uniquement par continent Moinsde 2000 utilisateurs peu actifs Pas de réplication

64 64 Méthode d analyse simplifiée Géographie : les principaux cas Comme évaluer le poids de ce critère? Les principales situations à identifier sont : 1. Un monosite est le cas le plus simple ( impact faible ), ou plusieurs sites, mais avec 70% d utilisateurs sur un seul site on a un cas proche du monosite. 2. Multisite, les caractéristiques de l application orientent la décision. Par exemple si elle est : centralisée: impact faible ou moyen adaptée par pays: langue locale nécessaire, donc impact moyen, souvent fort dupliquée par continent et pays pour préserver une autonomie locale : un serveur applicatif local plus base de données pour s affranchir des ruptures de réseau: impact souvent fort 3. Multicontinents, un contexte qui impose (avec peu ou beaucoup de sites ): Une exploitation et un support 24/24h et 7/7j Une synchronisation des données via le réseau : très fréquent sauf si l application est uniquement sur le site central

65 Méthode d analyse simplifiée Géographie : application à l exemple UPS 65 L application de messagerie : sur beaucoup de sites, avec utilisateurs, sur 3 continents disponible à tout moment et va nécessiter de répartir les composants de l'architecture dans tous les pays (problème de langue). L'exploitation est complexe car il faut synchroniser beaucoup de serveurs et répliquer la base de données Pour le support il faut des personnes parlant la langue locale pour assister les utilisateurs d un pays Bilan : tableau pour le critère géographie et les niveaux d impact par brique : Serveur PT Réseau Base de données Application géographie

66 66 Volumétrie : le contexte Quelles soient fournies ou calculées, les volumétries (tableaux de chiffres) vont caractériser l application et être déterminantes dans le développement d un projet (définir la taille d une base de données ). Le résultat est une synthèse faite par le chef de projet. Ces données concernent surtout l application, elles sont de deux natures : 1. Les données statiques : elles permettent de calculer par exemple combien de baies de stockage il faut pour la base de données par site, quelle puissance CPU mettre dans les serveurs applicatifs, la taille des tables de paramétrage Par exemple on va rechercher des données sur : Le nombre d utilisateurs potentiels par site et combien de sites La taille du catalogue des produits vendus La masse de données à répliquer pour ma base de données répartie Méthode d analyse simplifiée

67 67 2. Les données dynamiques Le nombre d utilisateurs et leur comportement (par jour, mois et année) Les accès simultanés maximum par seconde demandés à l application Le mode de fonctionnement en cas de panne : accès simultanés maximum en mode dégradé sur un seul serveur Le niveau de l impact du critère volumétrie sur le projet dépend de l application attendue par client. Poids de l impact Méthode d analyse simplifiée Volumétrie : le contexte (suite) Le tableau suivant donne les points majeurs à identifier, analyser et évaluer : Volumétrie Règles de pondération Un nombre très important d utilisateurs Garantir des accès simultanés sur 3 continents, 24h/24h, élevés Une base de données volumineuse à répliquer par pays Un nombre important d utilisateurs ( entre 5000 et ) Garantir des accès simultanés par continent : heures d ouverture bureau Une base de données volumineuse à répliquer sur 3 continents Un nombre faible d utilisateurs ( > à 5000 ) Garantir des accès simultanés par continent de 200 utilisateurs/ seconde Une base de données centrale non répliquée Exemple au delà de utilisateurs/ seconde > 1Tera de base de données centrale entre et utilisateurs/ seconde 1 Tera de base de données en central > utilisateurs/ seconde Moins de 1 Tera de base de données en central

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