Effets sanitaires des moisissures dans l'habitat (ESMHA) : Pilote d une étude épidémiologique en Île-de-France

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2 Effets sanitaires des moisissures dans l'habitat (ESMHA) : Pilote d une étude épidémiologique en Île-de-France Sabine HOST 1, Dorothée GRANGE 1, Edouard CHATIGNOUX 1, Cécile SOMMEN 1, Stéphane MOULARAT 2, Murielle DUSSEAUX 3, Valérie BEX-CAPELLE 3 1 ORS Ile-de-France, Paris 2 LHVP, Paris 3 CSTB, Champs-sur-Marne N de convention : EST-2006/1/20 Co-financement GRSP Ile-de-France 2/22

3 Contexte et objectifs Contexte : composants des moisissures et leurs métabolites potentiellement responsables d effets sur l homme (allergiques, irritatifs et toxiques) absence d indicateurs d exposition fiables liens entre moisissures de l habitat et certaines affections mais pas de relation causale études principalement nord américaines et scandinaves spécificités franciliennes d habitat : ancienneté, sur-occupation, problèmes d humidité Objectifs : faisabilitéd une enquête épidémiologique en Ile-de-France : pilote sur un échantillon de 150 logements pertinence du plan de sondage validation d un protocole de mesure des expositions 3/22

4 Dérouléde la présentation Méthode Plan de sondage Déroulement du recueil Données environnementales Résultats Faisabilité du recueil Caractéristiques de l échantillon Situations de contamination Déterminants potentiels Typologie de logements Discussion/conclusion Pertinence de la stratégie d échantillonnage Indicateurs d exposition Analyses à poursuivre Perspectives 4/22

5 Sondage stratifiéà2 degrés Sur-représenter les logements contaminés 3 strates d îlot définies selon % de logements àrisque : strate 1: logements récents et peu peuplés strate 2 : intermédiaire strate 3 : logements anciens et/ou surpeuplés Tirage aléatoire (annuaire des pages blanches): Strate 1 Risque (55% des îlots) Île-de-France ~ îlots Strate 2 Strate 3 Risque +/- Risque + (32% des îlots) (13% des îlots) 1 degré: 10 îlots dans chaque strate 2 degré: 5 foyers au sein de chaque îlot îlots Ménages enquêtés 5/22

6 Illustration du découpage en îlots classés dans les 3 strates Strate 1 Strate 2 Strate 3 6/22

7 Déroulement de l enquête Recueil réalisépar l Institut de sondage BVA d octobre 2007 à septembre visite : questionnaire environnemental en face àface et inspection du logement mise en place des prélèvements d air 2 visite (7 à11 jours plus tard) récupération matériel et prélèvements (en cas de moisissures visibles : prélèvements de surface + photos) 7/22

8 Données environnementales Un questionnaire informatisé : caractéristiques du logement problèmes d humidité/moisissures chauffage, ventilation/aération, entretien, généralités environnement domestique Prélèvements air (pendant ~7 jours) (CSTB) : ergostérol intérieur et mycotoxines (2 CIP) ergostérol extérieur (CAP) COVm (1 tube passif ) Prélèvements de surfaces moisies (LHVP) : géloses contact en utilisant un «Biocontact» lame-scotch photos CIP Tube passif Gélose et Biocontact CAP Lame-scotch 8/22

9 Dérouléde la présentation Méthode Plan de sondage Déroulement du recueil Données recueillies Résultats Faisabilité du recueil Caractéristiques de l échantillon Situations de contamination Déterminants potentiels Typologie de logements Discussion/conclusion Pertinence de la stratégie d échantillonnage Indicateurs d exposition Analyses à poursuivre Perspectives 9/22

10 Faisabilitédu recueil : l enquête Taux de participation de 38% (56% de refus, 6% non inclus) 1h30 en moyenne (15% entre 2h et 2h30) Questionnaire environnemental : ~1 h en moyenne jugé long ou répétitif par les enquêtés mais bien renseigné toutes les pièces enquêtées pour plus de 95% des logements (soit ~1000 pièces) Questionnaires de santé: taux de réponse ~ 95% = bonne adhésion 10/22

11 Faisabilitédu recueil : réalisation des prélèvements Indicateurs biochimiques 100 Mise en place systèmes de prélèv ement 92% 92% 100 Données disponibles % % % % % 32% 34% 20 14% 20 0 Tube passif CIP1 CIP2 CAP Prélèvements de surface effectués dans 75% des logements en cas de moisissures visibles 0 Indice COV Ergostérol intérieur Mycotoxines Ergostérol extérieur 11/22

12 Indicateurs de contamination Au moins une trace visible de moisissures ~ 17% Source intérieure d ergostérol ~22% Aucune mycotoxine détectée Indice de contamination fongique (indice COV) positif ~80% 8 6 % ,7% % logements selon la taille des surfaces moisies 6,0% 4,7% >0 à 1/2 A4 >1/2 A4 à 5 A4 >5 A4 à 3m² 12/22

13 Une grande variétéde situations de contamination 7 cas de figure rencontrés (sous-échantillon de 41 logements) : NON Moisissures visibles objectivées OUI Source ergostérol intérieur Source ergostérol intérieur Source intérieure d ergostérol dans 55% des logements moisis vs 14% (p<0,01) Pas de lien entre indice COV et moisissures visibles ni ergostérol NON OUI NON OUI Indice de contamination fongique Indice de contamination fongique Indice de contamination fongique Indice de contamination fongique - 10 % % 2 % 10 % 2 % 7 % 0 % 12 % 13/22

14 Flore fongique dans les logements moisis Fusarium sp. Aspergillus niger 5% 5% Germes infectieux 23% Aspergillus flavus 5% Alternaria sp Acremonium sp 9% 14% Germes toxiques 32% Penicillium chrysogenum Mucor sp Aureobasidium pullulans 14% 14% 18% Germes responsables alvéolite 73% Chaetomium Cladosporium cladosporioïdes 18% 18% Germes allergisants 91% Aspergillus versicolor Ulocladium sp 23% 32% % Cladosporium sphaerospermum 32% Aspergillus sp. 41% Penicillium sp 45% Cladosporium sp. 73% Autres 50% % de logements Non détectés : Absidia sp, Aspergillus fumigatus, Aspergillus ochraceus, Cladosporium herbarum, Epicoccum sp, Rhizopus sp, Stachybotris sp, Trichoderma sp 14/22

15 Déterminants potentiels : sources d humidité(1/2) Moisissures visibles reliées significativement (p<0,001) à: Pb d humiditérécent ou non résolu 56% vs 12% Densité d occupation importante 63% vs 15% >= 3 sources d humidité60% vs 14% Indice COV n est liéàaucun de ces facteurs de risque (sous-échantillon 105 logements) Source intérieure d ergostérol reliée (tendance) à densitéd occupation mais pas avec les autres facteurs (sous-échantillon 55 logements) 15/22

16 Déterminants potentiels : autres (2/2) Aucun lien significatif avec le dispositif de ventilation et habitudes d aération Mauvaise isolation thermique et chauffage insuffisant reliés àla présence de moisissures visibles (p<0,01) et ergostérol intérieur (p~0,01) Aucun lien significatif avec anciennetéet état du bâti 16/22

17 Typologie de logements 17/22

18 Dérouléde la présentation Méthode Plan de sondage Déroulement du recueil Données recueillies Résultats Faisabilité du recueil Caractéristiques de l échantillon Situations de contamination Déterminants potentiels Typologie de logements Discussion/conclusion Pertinence de la stratégie d échantillonnage Indicateurs d exposition Analyses à poursuivre Perspectives 18/22

19 Pertinence de la stratégie d échantillonnage Sur-représentation des logements anciens dans l échantillon Faible proportion de logements surpeuplés / attendu : absence de ligne téléphonique problème compréhension du français refus (peur du propriétaire ) Quel que soit indicateur de contamination considéré (moisissures visibles, icov, ergostérol) : les 3 strates ne sont pas significativement différentes 19/22

20 Indicateurs d exposition Méthodes complémentaires qui permettent de mieux comprendre les différentes situations de contamination Méthodes +/- informatives / exposition : Ergostérol/mycotoxines : quantitatives Prélèvements de surface : qualitatives Questionnaire : estimation indirecte, potentiellement biaisée Indice COV : qualitatif, peu discriminant Contraintes liées à la faisabilité: Coût de l intervention de l enquêteur Lourdeur des dispositifs de prélèvement / manque de fiabilitépour certaines mesures 20/22

21 Des analyses àpoursuivre Approfondissement de la compréhension des différentes situations de contamination Travail de modélisations prédictives des indicateurs de contamination àpartir des déterminants Recoupement avec les résultats d autres études 21/22

22 Bilan Bonne adhésion à l enquête Questionnaires validés en tant qu outils de recueil En l état actuel des techniques de mesures : De nombreuses limites pour estimer les expositions Des développements en cours : nouvelles méthodes, amélioration des dispositifs Nombre de logements concernés potentiellement important Nécessitéd améliorer la connaissance des effets sanitaires et d établir des seuils sanitaires 22/22

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