AGROALIMENTAIRE. Direction de l Innovation. L innovation dans les entreprises en Ariane Voyatzakis
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- Flavie Thomas
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1 AGROALIMENTAIRE Direction de l Innovation L innovation dans les entreprises en 2014 Ariane Voyatzakis
2 Tendances de l innovation En période de crise, le prix est un critère essentiel dans le choix des produits alimentaires. Selon l enquête de TNS Sofres réalisée en partenariat avec le SIAL 2014, le prix est de loin le 1 er critère d achat des consommateurs français. Néanmoins, dans le pays de la gastronomie, l alimentation est avant tout synonyme de plaisir pour 6 Français sur 10. A contrario, la santé n est pas considérée comme une des fonctions premières de l alimentation, même si elle fait l objet de nombreuses innovations de rupture dans les projets soutenus par Bpifrance. Pour rassurer le consommateur en perte de confiance, la naturalité est devenue un argument de vente majeur. Les recettes sont simplifiées, débarrassées au maximum des additifs indésirables, dans l objectif du «clean label». La proximité, voire la production locale, le respect de l environnement et l éthique concourent à la mise en avant du développement durable. Les insectes Dans plusieurs régions du monde, notamment d Afrique et d Asie, les insectes font partie de l alimentation humaine. Les insectes peuvent aussi entrer dans la ration alimentaire des animaux et poissons d élevage, à condition d avoir un prix de revient compétitif par rapport à la concurrence des sources alternatives (soja, farines de poisson, ). La FAO encourage le développement des filières de production d insectes, comme sources de protéines pour nourrir la population mondiale en croissance. En effet, les insectes ont un avantage en termes de durabilité puisque 10 kg de céréales permettent de produire 7 kg d insectes ou 5 kg de poulet et seulement 1 kg de viande bovine. La jeune société YNSECT (lauréate du Concours mondial de l innovation, CMI) développe le concept de bioraffinerie des insectes pour une valorisation en alimentation animale et en chimie (notamment par la chitine). En alimentation humaine, la consommation d insectes se heurte à la réglementation européenne Novel Food. Le microbiote Chacun d entre nous héberge dans son intestin un écosystème composé de milliards de bactéries, qui représentent 200 espèces de bactéries différentes. Ces bactéries, qui forment le microbiote intestinal (ou flore intestinale) sont dix fois plus nombreuses que les cellules de notre corps. Elles contribuent à la conversion des aliments en nutriments et en énergie, à la synthèse des vitamines ainsi qu à la défense immunitaire de l organisme. Ainsi, par une alimentation riche en fibres ou en prébiotiques (ingrédients de type sucre), on peut stimuler la croissance du microbiote intestinal, protecteur vis-à-vis de certaines affections inflammatoires comme la maladie de Crohn ou les allergies. Le microbiote intestinal aurait également un rôle protecteur vis-à-vis de pathologies non digestives, dont certaines en lien avec le fonctionnement cérébral, suggérant un lien «intestincerveau». Les interactions entre l intestin et le cerveau, via le microbiote intestinal, se produiraient dans les deux sens : d une part les bactéries intestinales produisant des substances actives sur le cerveau et d autre part, des perturbations de la chimie du cerveau observées chez les patients souffrant de pathologies neuropsychiatriques pourraient modifier la physiologie du côlon et le transit intestinal avec des conséquences sur la composition de la flore intestinale. Pour explorer les nouvelles possibilités offertes par l analyse du microbiote intestinal, METAGENOPOLIS offre ses services de R&D partenariale, dans le cadre du programme des investissements d avenir (PIA). La société ENTEROME est issue d un essaimage de l INRA, en vue de développer des solutions diagnostiques et thérapeutiques des maladies associées aux anomalies du microbiote intestinal. L économie circulaire Près d un tiers de la production alimentaire est perdu ou gaspillé chaque année, pour moitié dans les pays industrialisés et pour l autre moitié dans les pays en voie de développement. Dans les pays pauvres, il s agit principalement de pertes de matières premières agricoles à cause d un déficit de moyens de logistique et de conservation. Dans les pays développés, le gaspillage se situe plutôt au niveau de la transformation, de la distribution et de la consommation. La réduction du gaspillage alimentaire passe avant tout par des actions de sensibilisation du grand public mais les industriels y contribuent aussi par la mise en œuvre de nouvelles technologies (ex. hautes pressions) permettant une meilleure conservation des aliments, d emballages portionnés, actifs (composés anti-microbiens ou antioxydants) ou «intelligents» (suivi de la fraîcheur des produits), ou encore par la valorisation des co-produits. Ainsi, dans le secteur agroalimentaire, l économie circulaire est une réalité de longue date, en valorisant les résidus de production des céréales, du sucre ou de l huile dans l alimentation animale. Certaines filières comme la vigne ont développé des voies de valorisation innovantes et à fort potentiel comme les ingrédients pour la cosmétique et les compléments alimentaires, l huile de table issue de pépins de raisins ou encore le compost du marc de raisin. Enfin, la méthanisation constitue la voie ultime de transformation des déchets (ex. des abattoirs) en énergie.
3 L agriculture de précision et connectée L apport des nouvelles technologies est désormais essentiel pour la conduite des élevages avec précision. Ces technologies évoluent très vite et surtout sont financièrement de plus en plus accessibles pour les éleveurs. Ainsi des capteurs placés sur les animaux servent à mesurer leur bienêtre, leur santé ou leur besoins nutritionnels. La gestion des données massives (big data) générées par ces capteurs permettent de détecter de manière précoce une maladie et de traiter individuellement l animal en alternative à l administration généralisée d antibiotiques à visée préventive. Ils permettent aussi d adapter les rations alimentaires aux besoins de l animal et limiter ainsi les pertes. De même pour les productions végétales, le «big data» permet de mettre en évidence des phénomènes émergents (ex. alerte précoce d une attaque des cultures par un parasite) et de partager les données entre agriculteurs. Dans l ambition «big data» du CMI, la société FRUITION SCIENCES a été lauréate pour un projet appliqué à la viticulture. Les machines agricoles contribuent à l agriculture mesurée et écologique, en collectant des informations qui sont analysées et valorisées en termes agronomiques. De plus, ces machines sont capables de moduler leurs actions à partir de ces informations («Data Driven Agriculture»). La course au gigantisme des tracteurs a cédé le pas au profit d innovations qui doivent se justifier en termes de rentabilité, d économie de carburant, voire faire plusieurs tâches à la fois. Ainsi, un opérateur peut commander à distance un 2 ième ou un 3 ième tracteur. Les objets connectés permettent de piloter les pratiques agricoles à moindre coût, avec des interfaces simples d utilisation, comme en témoigne le système de traçabilité de l épandage des pesticides proposé par la société HARDI-EVRAD. Pour ce faire, les constructeurs font appel aux technologies des jeux vidéo. La France a une avance technologique dans le domaine des drones, avec des pionniers comme la société AIRINOV, étant un des premiers pays européens à se doter d une règlementation claire en la matière. Les drones sont couplés à des capteurs et des algorithmes pour traduire les données relevées en bonnes pratiques agronomiques. L agriculture de précision fait aussi appel à des robots, qui contribuent par ailleurs à la réduction de la pénibilité des tâches. Le constructeur CARRE s est associé à une start-up NAIO TECHNOLOGIES pour développer un robot de maraîchage autonome, qui effectue le binage et le désherbage, en alternative à l utilisation des herbicides. Il présente un grand intérêt pour l agriculture biologique, en réduisant les tâches manuelles et en augmentant ainsi la productivité. Chiffres clés du secteur 70 Md 1 : la valeur de la production agricole française en 2012, première agriculture en Europe. 158 Md 2 de chiffre d affaires en 2014 (-0.8% par rapport à 2013) et salariés en 2014 (+0,2% par rapport à 2013) : l industrie alimentaire est le premier secteur industriel français. 9,2 Md 3 en 2014 : le solde du commerce extérieur des produits agricoles et transformés est structurellement positif mais en recul de 18% par rapport à 2013 en raison de la baisse des prix agricoles, de l embargo russe, de l arrêt des aides européennes aux poulets grand export et des mesures anti-corruption en Chine qui ont affecté la vente de vins et spiritueux entreprises agroalimentaires, qui sont à 98 % des PME et consacrent, en moyenne, seulement 1,8 % 4 de leur valeur ajoutée à la R&D. 4 géants de la distribution se partagent 90% des parts de marché, suite aux mouvements de concentration des centrales d achat en 2014, à l origine d un déséquilibre patent des relations commerciales avec les entreprises agroalimentaires. -1,1 % 2 : le recul des prix des produits agroalimentaires en 2014, qui fragilise la situation économique du secteur. -5% 3 : la baisse du résultat moyen des exploitation agricoles françaises en Source : Eurostat 2. Source : ANIA 3. Source : Agreste 4. Source : MESR
4 L action de Bpifrance 2014 Agro alimentaire SOUTIEN À L INNOVATION Montant total des aides à l innovation : 26,5 M, dont 16,5 M pour l industrie agroalimentaire et 10 M pour l agriculture, soit 6 % du total des aides tous secteurs confondus Montant des projets du FUI (Fonds Unique Interministériel) : 3 M Montant des projets du CMI (Concours mondial de l innovation, PIA) en phase amorçage : 1,4 M Montant des projets du FSN (Fonds national pour la société numérique, PIA) : 0,8 M PSPC (Projet structurant pour la compétitivité, PIA) MOPAD, porté par BIOVITIS, LIMAGRAIN et le CEA, pour le développement de solutions de biocontrôle mettant en œuvre des micro-organismes contre une maladie fongique du blé : aide de 4,1 M PSPC ALGOLIFE, porté par AMADEITE, SICA, SPECIALITES PET FOOD, TRIBALLAT NOYAL, ANSES et le CNRS, pour le développement d une filière de transformation des macroalgues, qui se trouvent en abondance au large des côtes notamment bretonnes, en vue de l extraction de molécules d intérêt dans la nutrition animale ou humaine : aide de 10,7 M Dans le cadre de l appel à projets «Filières industrielles» (PIA), la plateforme de recherche mutualisée DECIDAIE pour une agriculture écologiquement intensive bénéficiera d une aide de 1,3 M. Montant total du soutien à l innovation au secteur : 48 M (+9% par rapport à 2013). EXEMPLES D INVESTISSEMENTS Bpifrance a participé à hauteur de 15 M à l émission obligataire réalisée par la coopérative SICLAÉ, leader mondial de la transformation de malt et premier acteur français de la meunerie. Bpifrance est entrée au capital de l entreprise familiale FALIÈRES NUTRITION, spécialisée dans la lyophilisation et la nutrition avec une gamme de plats préparés, adaptée à l univers des loisirs, du monde de l extrême, de l urgence et de l alimentation nomade. CRÉATION DU FONDS CAPAGRO INNOVATION Sofiprotéol, Tereos, Bpifrance, Crédit Agricole et AG2R-La Mondiale, se sont associés pour créer CapAgro Innovation, le premier fonds de capital-risque dédié à l agronomie, l agriculture, l agro-alimentaire, la nutrition ainsi qu aux valorisations industrielles et énergétiques de la biomasse. FAITS MARQUANTS Dans la cadre du plan industriel «Produits innovants pour une alimentation sûre saine et durable», l appel à manifestation d intérêt lancé par l Etat en janvier 2014 a suscité un vif intérêt auprès des industriels avec plus de 530 projets recueillis. En 2015, l Etat a confié à Bpifrance, dans le cadre du PIA, le lancement d un appel à projet sur le thème de l alimentation fonctionnelle. Suite aux travaux du Conseil stratégique de la filière alimentaire, auxquels participe Bpifrance, un guide de l innovation alimentaire et un guide de la performance énergétique ont été publiés à destination des professionnels. En septembre 2014, Bpifrance et le ministère de l Agriculture, de l Agroalimentaire, et de la Forêt ont renouvelé leur convention annuelle visant à renforcer le soutien à l innovation pour les industries agroalimentaires. Grâce à ce partenariat, depuis 2007,185 entreprises ont bénéficié d aides, à hauteur de 5,9 M au total. En décembre 2014, Bpifrance a organisé une rencontre des industriels de la chimie et de l agroalimentaire sur le thème des enjeux de l usine durable. Il met son expertise à disposition de ses partenaires industriels ou académiques, notamment la plateforme technologique «Food for Life» animée par l ANIA ; l ACTIA ; les Instituts Carnot «Qualiment» et «Santé animale». En outre, il intervient à l occasion de plusieurs événements de la filière agro-alimentaire, comme les salons professionnels CFIA à Rennes, SIMA à Villepinte, Journées Aliment et Santé à La Rochelle, les jurys du concours Agropole pour la création d entreprises agroalimentaires et du concours Innovafood pour l innovation des filières végétales.
5 Les aides à l innovation 2014 Agro alimentaire Répartition par taille en nombre d entreprises Répartition régionale des aides à l innovation en montants de projets Répartition par âge en nombre d entreprises Près de 90 % des entreprises soutenues sont des PME de moins de 250 salariés. Plus de la moitié d entre elles ont plus de 10 ans et un quart sont des jeunes entreprises de moins de 3 ans. En 2014, le Nord-Pas-de-Calais est largement en tête des régions pour le montant total d aides à l innovation. Répartition des projets par sous-secteurs en montant total des aides à l innovation En 2014, les produits laitiers et les PAI arrivent en tête des aides à l innovation avec des projets axés sur la santé et le bien-être (dont la nutricosmétique). En 2014, l élevage est le premier bénéficiaire des aides à l innovation pour le développement de systèmes d automatisation ou d aide à la gestion de la santé et de l alimentation du bétail, ainsi qu en matière de sélection animale.
6 Contact : ariane.voyatzakis@bpifrance.fr Avril 2015
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