BIO2 EGG. Reproduction asexuée ou sexuée Origine et maintien de la reproduction sexuée Modes de détermination du sexe

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "BIO2 EGG. Reproduction asexuée ou sexuée Origine et maintien de la reproduction sexuée Modes de détermination du sexe"

Transcription

1 BIO2 EGG Reproduction asexuée ou sexuée Origine et maintien de la reproduction sexuée Modes de détermination du sexe

2 REPRODUCTION ASEXUÉE OU SEXUÉE

3 La reproduction asexuée Elle date de 3.8 milliards d années peut-être 1 individu 2 individus identiques C est un processus qu un ingénieur pourrait concevoir: Copier les instructions Empaqueter les instructions, de manière adaptée, de sorte qu un nouvel organisme puisse être fabriqué

4 La reproduction sexuée Elle date de 800 millions d années??? 1.5 milliards d année??? Plus? 2 individus 1 individu génétiquement différent de ses parents

5 Isogamie et anisogamie Les gamètes sont de même taille: Types sexuels Un exemple: la levure, MATa et MATα Les gamètes sont de taille très différentes Deux sexes: mâle et femelle Des rôles très différents tenus par les individus L anisogamie serait à l origine de la sélection sexuelle

6 L anisogamie a-t-elle ouvert la voie à la sélection sexuelle? Les deux sexes ont-ils des gamètes de taille différente et produits en nombre différent? Isogamie Anisogamie Coût de production Différences des investissements des deux sexes: notion de conflits d intérêt Tous les mâles ne trouveront pas de partenaire Toutes les femelles auront un partenaire La variance sera plus grande pour les mâles que pour les femelles Les mâles doivent se battre pour féconder un nombre limité d œufs Wikimedia Commons département de biologie 6

7 La reproduction sexuée n est pas un moyen efficace d augmenter la taille d une population: la production des mâles ralentit la reproduction d une espèce sexuée est indépendante de la notion de genre (masculin ou féminin, par exemple

8 La parthénogenèse ou reproduction asexuée secondaire ou reproduction uniparentale Il y a des cellules germinales On la trouve Chez les plantes (angiospermes) Chez les animaux (des insectes, rares cas de vertébrés) Ni chez le gymnospermes, ni chez les mammifères Potentiellement efficace, pourquoi n est-elle pas alors plus répandue? Puceron Northland Green Gecko Pissenlit Lézard à queue en fouet Cnemidophorus tigris multiscutatus

9 -Genes in conflict, the biology of selfish elements, A. BURT et R. TRIVERS, BELKNAP PRESS of HARVARD UNIVERSITY PRESS, 2006, -The cooperative gene, M. RIDLEY, FREE PRESS, The red queen. Sex & the evolution of human nature, PENGUIN BOOKS, Power, sex, suicide. Mitochondria and the meaning of life. N. LANE, OXFORD UNIVERSITY PRESS, 2005 POURQUOI LA REPRODUCTION SEXUÉE? département de biologie 9

10 Sex is the queen of problems in evolutionary biology (BELL, 1982) La reproduction sexuée est complexe inefficace coûteuse Pollinisation d'un pissenlit par une abeille Wikipédia Saturnia pavonia 2.htm Et pourtant, elle est répandue!

11 Pourquoi la reproduction sexuée? Elle est coûteuse Exemples: Les traits soumis à la sélection sexuelle réduisent parfois la survie du porteur Et aussi parfois la survie de la femelle Trait du mâle Avantage pour le mâle (exemples) Coût pour la femelle (exemples) Réponse de la femelle (exemples) Garde de la partenaire Retarde le nouvel accouplement des femelles Risque de blessures Risque de prédation Restriction du choix Évitement des mâles Regroupement des femelles Dissimulation de l ovulation Choix des mâles peu combatifs Transfert d anti-aphrodisiaques Empêche ou retarde un autre accouplement Empêche un nouvel accouplement dégradation Toxines du liquide séminal Élimination de spzoïdes d un prédécesseur Diminution de l espérance de vie Insensibilité aux substances Dégradation de celles-ci 11

12 Alors, pourquoi??? Le contre Les coûts sont manifestes à courtterme Le coût de la production des mâles Le génome des femelles est dilué La complexité L inefficacité La porte ouverte aux éléments cytoplasmiques «égoïstes» La recombinaison élimine des mutations favorables Le pour La recombinaison accélère la vitesse de l évolution La recombinaison élimine les mutations délétères La recombinaison créé des combinaisons favorables Les bénéfices sont manifestes à long-terme En quoi la reproduction sexuée serait-elle meilleure que l asexuée? Quelle est alors sa valeur adaptative? Et si le maintien de la reproduction sexuée n était-il pas toujours dû à l action de la sélection naturelle?

13 ORIGINE ET MAINTIEN DE LA REPRODUCTION SEXUÉE

14 La reproduction sexuée L enjeu de la reproduction est-il vraiment la propagation des gènes? (LODE) Éléments de réflexion: Le sexe n a probablement pas été «inventé» pour la reproduction Serait-il la conséquence d un mécanisme permettant d échapper à la famine L association sexe et reproduction serait alors un «état dérivé» Pour WILLIAMS: une espèce, une fois engagée dans le mode de reproduction sexuée, ne peut plus faire marche arrière

15 Origine de la méiose et sa fonction primitive Pour résister au stress de l environnement?? Pour corriger les erreurs dans l ADN??? accidentelle?? Phagocytose en période de famine?? D après T. Cavalier Smith, Heredity, 2002 Syngamie Origine du sexe??? -écologique? -génétique? Origine de la méiose??? Invention des cohésines méiotiques? Et méiose à 2 étapes? Retour à l état initial Endomitose Correction des erreurs dans l ADN?? Département de Biologie 15

16 Et de nouvelles questions Autres pistes: HENG, Genome, 2007, 50, La reproduction asexuée peut donner naissance à des génomes divers: recombinaisons entre régions non homologues, par exemple La reproduction sexuée donne naissance à des génomes très stables: le processus peut éliminer les anomalies chromosomiques, par exemple Conséquences : la reproduction sexuée réduit fortement la diversité génomique et chromosomique l identité de l espèce se maintient WILKINS and HOLLIDAY, Genetics, 2009, 181, 3-12 The conclusion is surprising: the initial function of chromosome pairing was to limit, not enhance, recombination. Département de Biologie 16

17 Comment expliquer le maintien de la reproduction sexuée? C est-à-dire, quels sont/seraient les avantages à long terme? Elle permet de s adapter à un environnement variable dans le temps et dans l espace? (Darwin, 1859: Entangled Bank) Elle permet d éliminer les mutations délétères? Elle permet de lutter contre les parasites?

18 MODES DE DÉTERMINATION DU SEXE

19 Détermination du sexe Gènes et chromosomes sexuels Le nombre de chromosomes (femelles 2n et mâles n chez les hyménoptères)

20 Détermination du sexe Environnement : température, densité de population, disparition du partenaire place dans la hiérarchie âge Différentes modalités de détermination du sexe par la température D'après C.Pieau, "Temperature variation and sex determination in reptiles" in BioEssays, vol.18, no1, 1995 Bonellia viridis Poisson clown Amphiprion ocellaris

21 Les variations du mode de L haplo-diploïdie détermination du sexe Les femelles sont 2n Les mâles sont n (œuf non fécondé se développant par parthénogenèse) L élimination d un chromosome X comme mode de détermination du sexe : les pucerons Les femelles (2n) sont XX Leurs fils parthénogénétiques (2n) sont XO

22 Le sex ratio Le sex ratio 1:1 Chez (quasiment toutes), les espèces à reproduction sexuée exclusive le rapport mâle : femelle est très voisin de 1 : 1 Et pourtant, chez les espèces où le père ne contribue pas à l élevage, les mâles consomment inutilement des ressources. La mécanique de la méiose n explique pas tout (et l argument mécanique peut être considéré inversement) 23

23 Le sex ratio Nasonia vitripenis Les mâles n ont pas d ailes et meurent in situ La «manipulation» du sex ratio 1:1 (Werren 1980, et d autres) Exemple d'une guêpe parasitaire: la guêpe-bijou, Nasonia vitripenis C est la femelle qui décide quels œufs seront fécondés ou non Le sex ratio des œufs pondus par les deux femelles successives est différent Il dépend aussi de nombre d œufs pondus par la première femelle (conditional sex ratio behavior) 24

1 les caractères des êtres humains.

1 les caractères des êtres humains. Quelques rappels des classes précédentes ACTIVITÉ livre pages 8 et 9 : apprendre le bilan de la page 9 Les êtres vivants sont répartis en espèces. Chaque être vivant est formé de cellules. schéma d une

Plus en détail

Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek

Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE

INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE Partie 1, Chapitre 4 INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE Constat : à l'exception des jumeaux, chaque individu est unique. Ses caractères héréditaires dependent des info génétiques (allèles) portées

Plus en détail

De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)

De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression

Plus en détail

Les OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier

Les OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert

Plus en détail

Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA. «Anexplo» Service Transgenèse. Catalogue des prestations

Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA. «Anexplo» Service Transgenèse. Catalogue des prestations Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA «Anexplo» Service Transgenèse Catalogue des prestations 04/01/12 - Page 1 sur 8 Présentation du service de Transgenèse Le service de Transgenèse

Plus en détail

Les tests génétiques à des fins médicales

Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Nous avons tous hérité d une combinaison unique de gènes de la part de nos parents. Cette constitution originale et l

Plus en détail

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés

Plus en détail

The Exploration of HIV Fitness Landscapes

The Exploration of HIV Fitness Landscapes Diss. ETH No. 20486 The Exploration of HIV Fitness Landscapes A dissertation submitted to ETH Zurich for the degree of Doctor of Sciences presented by João Zambujo Ramos Martins Dipl.-Ing. INSA Lyon, France

Plus en détail

12. À chacun son point de vue

12. À chacun son point de vue 12. À chacun son point de vue Secondaire, cycle 1 Durée : 60 min. L agriculture est en crise partout sur la planète. Alors que certains louent les bénéfices de l agriculture conventionnelle moderne, d

Plus en détail

Séquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment.

Séquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment. Sommaire Séquence 6 Nous avons vu dans les séances précédentes qu au cours des temps géologiques des espèces différentes se sont succédé, leur apparition et leur disparition étant le résultat de modifications

Plus en détail

Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles

Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles http://perso.univ-rennes1.fr/serge.hardy/ utilisateur : biochimie mot de passe : 2007 L'ARNm, simple intermédiaire entre le

Plus en détail

LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE

LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Biologie LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Février 2006 I. L'INTRODUCTION Chaque cellule d'un organisme supérieur provient de la multiplication d'une cellule préexistante (cellule

Plus en détail

Préface. Les étudiants de l Association des Médecins et Pharmaciens du Coeur (AMPC)

Préface. Les étudiants de l Association des Médecins et Pharmaciens du Coeur (AMPC) Préface Notre association regroupe les énergies bénévoles d étudiants en médecine et en pharmacie, avec pour objectif d aider et accompagner enfants, adolescents et jeunes adultes confrontés à la maladie.

Plus en détail

Que faire lorsqu on considère plusieurs variables en même temps?

Que faire lorsqu on considère plusieurs variables en même temps? Chapitre 3 Que faire lorsqu on considère plusieurs variables en même temps? On va la plupart du temps se limiter à l étude de couple de variables aléatoires, on peut bien sûr étendre les notions introduites

Plus en détail

Information génétique

Information génétique chapitre 3 Information génétique et division cellulaire L étude de la division cellulaire est abordée pour découvrir comment est transmise et conservée l information génétique portée par les chromosomes.

Plus en détail

2009 Postdoc, Columbia University (New York), sur le thème de la pensée et du comportement évaluatifs

2009 Postdoc, Columbia University (New York), sur le thème de la pensée et du comportement évaluatifs Christine Clavien Nationalité : Suisse Naissance : 1975 Deux enfants (nés en 2010 et 2012) Langue maternelle : français Très bonne maîtrise parlé/écrit : anglais, allemand, suisse-allemand Site web: www.christineclavien.ch

Plus en détail

Environnement et outils pour un nouvel espace public

Environnement et outils pour un nouvel espace public Environnement et outils pour un nouvel espace public A travers les outils d'annotation et commentaires sur les textes Philippe Aigrain Atelier internet ENS, 11 février 2008 Ces transparents peuvent être

Plus en détail

T2GC. Enseignement secondaire technique Régime de la formation de technicien. Date: 06.08.2014 ANGLA6. Anglais 6

T2GC. Enseignement secondaire technique Régime de la formation de technicien. Date: 06.08.2014 ANGLA6. Anglais 6 Date: 06.08.2014 Enseignement secondaire technique Régime de la formation de technicien T2GC ANGLA6 Anglais 6 Division génie civil Section génie civil Nombre de leçons: 2 Semestre: 6 Langue véhiculaire:

Plus en détail

Le Bien-être et les jeunes professionnels

Le Bien-être et les jeunes professionnels Le Bien-être et les jeunes professionnels Contexte La conférence sur le thème le bien être et les jeunes professionnels s inscrit dans le cadre du forum de l entreprise édition 2014 sous le thème générique

Plus en détail

QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR?

QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR? QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR? Source: DUMONT, Nicole. Femmes d aujourd hui, Vol. 1 No. 8., janvier 1996. On dit de certaines personnes qu elles n ont pas de tête ou qu elles n ont pas de

Plus en détail

Laurier Fortin, Ph. D., professeur, Université de Sherbrooke Titulaire de la Chaire de recherche de la Commission Scolaire de la Région de Sherbrooke.

Laurier Fortin, Ph. D., professeur, Université de Sherbrooke Titulaire de la Chaire de recherche de la Commission Scolaire de la Région de Sherbrooke. Engagement scolaire et persévérance rance au secondaire : Modèle théorique, types, évaluation et intervention Laurier Fortin, Ph. D., professeur, Université de Sherbrooke Titulaire de la Chaire de recherche

Plus en détail

Coordinateur Roland Calderon

Coordinateur Roland Calderon SVT-3 e -/Sciences de la Vie et de la Terre-/ erre-/-programme 2008 LIVRE DU PROFESSEUR Coordinateur Roland Calderon Les auteurs Vincent Béranger Professeur à Paris Louis-Marie Couteleau Professeur à Paris

Plus en détail

La mobilité professionnelle revêt

La mobilité professionnelle revêt Mobilité professionnelle 17 Du changement de poste au changement d entreprise, en passant par la promotion : la mobilité des Franciliens Les salariés franciliens, notamment les cadres, ont une propension

Plus en détail

Introduction aux bases de données: application en biologie

Introduction aux bases de données: application en biologie Introduction aux bases de données: application en biologie D. Puthier 1 1 ERM206/Technologies Avancées pour le Génome et la Clinique, http://tagc.univ-mrs.fr/staff/puthier, puthier@tagc.univ-mrs.fr ESIL,

Plus en détail

Thématiques Questions possibles berufsfeld/fach

Thématiques Questions possibles berufsfeld/fach LEARNING FOR THE PLANET Liste des sujets Vous cherchez une inspiration pour votre sujet Vous pouvez lire la liste ci-dessous et voir quel thème éveille votre intérêt. Examinez les questions correspondantes.

Plus en détail

Les débuts de la génétique

Les débuts de la génétique HPITRE 9 DES DÉBTS DE L ÉNÉTIQE X ENJEX TELS DES BIOTEHNOLOIES 1 Les débuts de la génétique est avec les travaux de regor Mendel vers la fin du XIX e siècle que furent posées les bases de la génétique.

Plus en détail

À retenir... 1. Ce qu en disent les acteurs communautaires

À retenir... 1. Ce qu en disent les acteurs communautaires 1 Volet 4 : Ainé-e-s Table des matières À retenir... 1 Ce qu en disent les acteurs communautaires... 1 1. Un portrait des aîné e s du quartier... 2 1.1 Répartition des personnes âgées de 65 ans et plus...

Plus en détail

Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis

Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis L espace d un an suffit pour constater la richesse et la diversité des populations d insectes qui prospectent dans le moindre carré de jardin.

Plus en détail

Association des. Objectifs. convivialité, réunir les habitants autour du jardinage. action sociale, action environnementale,

Association des. Objectifs. convivialité, réunir les habitants autour du jardinage. action sociale, action environnementale, Objectifs Association des convivialité, réunir les habitants autour du jardinage action sociale, création de jardins familiaux action environnementale, promouvoir un jardinage respectueux de l environnement

Plus en détail

Enquête auprès des parents

Enquête auprès des parents Projet Brosse à dents débutant Institut für Hygiene und Arbeitsphysiologie ETH-Zentrum, Clausiusstr. 25 8092 Zürich Adresse électronique: www_zahnbuerstenergonomie@web.ethz.ch Enquête auprès des parents

Plus en détail

Demande de règlement assurance vie - Directives

Demande de règlement assurance vie - Directives Demande de règlement assurance vie - Directives **Afin d éviter des retards inutiles dans le traitement de cette demande, veuillez lire attentivement les directives. Pour une réclamation d assurance-vie

Plus en détail

Toxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup

Toxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup A l attention de toutes les personnes qui se méfient des jugements de valeur fussent-ils émis par des scientifiques- et qui préfèrent capter les informations à leur source pour s en faire une opinion personnelle.

Plus en détail

Gènes Diffusion - EPIC 2010

Gènes Diffusion - EPIC 2010 Gènes Diffusion - EPIC 2010 1. Contexte. 2. Notion de génétique animale. 3. Profil de l équipe plateforme. 4. Type et gestion des données biologiques. 5. Environnement Matériel et Logiciel. 6. Analyses

Plus en détail

Actualités sur la sélection des pondeuses Prospections futures. Dr. Matthias Schmutz, Lohmann Tierzucht

Actualités sur la sélection des pondeuses Prospections futures. Dr. Matthias Schmutz, Lohmann Tierzucht Actualités sur la sélection des pondeuses Prospections futures Dr. Matthias Schmutz, Lohmann Tierzucht Alimentation et démographie mondiale Augmentation annuelle de 80 millions Croissance surtout dans

Plus en détail

BAREME sur 40 points. Informatique - session 2 - Master de psychologie 2006/2007

BAREME sur 40 points. Informatique - session 2 - Master de psychologie 2006/2007 BAREME ur 40 point Informatique - eion 2 - Mater de pychologie 2006/2007 Bae de donnée PRET de MATERIEL AUDIO VISUEL. Remarque : Le ujet comporte 7 page. Vérifier qu il et complet avant de commencer. Une

Plus en détail

ALGORITHME GENETIQUE ET MODELE DE SIMULATION POUR L'ORDONNANCEMENT D'UN ATELIER DISCONTINU DE CHIMIE

ALGORITHME GENETIQUE ET MODELE DE SIMULATION POUR L'ORDONNANCEMENT D'UN ATELIER DISCONTINU DE CHIMIE ALGORITHME GENETIQUE ET MODELE DE SIMULATION POUR L'ORDONNANCEMENT D'UN ATELIER DISCONTINU DE CHIMIE P. Baudet, C. Azzaro-Pantel, S. Domenech et L. Pibouleau Laboratoire de Génie Chimique - URA 192 du

Plus en détail

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits 2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose

Plus en détail

Nouvelle version de Zonecheck, la 3.0, avec tests DNSSEC

Nouvelle version de Zonecheck, la 3.0, avec tests DNSSEC Nouvelle version de Zonecheck, la 3.0, avec tests DNSSEC Stéphane Bortzmeyer Première rédaction de cet article le 22 juin 2010 Le 22 juin, une nouvelle version de Zonecheck

Plus en détail

Annexe 1. Glossaire... 19 Annexe 2. Éléments de gestion de la PFQ de produit GM dans le grain... 22

Annexe 1. Glossaire... 19 Annexe 2. Éléments de gestion de la PFQ de produit GM dans le grain... 22 Projet de politique nationale sur la gestion de la présence de faibles quantités de cultures génétiquement modifiées dans les importations et son cadre de mise en œuvre connexe Septembre 2012 Table des

Plus en détail

Sondage d opinion auprès des Canadiens Perception à l égard des couples de même sexe PROJET 12717-014

Sondage d opinion auprès des Canadiens Perception à l égard des couples de même sexe PROJET 12717-014 Sondage d opinion auprès des Canadiens Perception à l égard des couples de même sexe PROJET 12717-014 Table des matières Contexte et objectifs... 6 Méthodologie... 8 Résultats détaillés 1. Perception

Plus en détail

Les jeunes non mariés

Les jeunes non mariés Les jeunes non mariés et les grossesses non désirées Introduction Il est important de veiller à ce que les jeunes non mariés disposent d informations et de services de contraception. Les grossesses non

Plus en détail

Big data et sciences du Vivant L'exemple du séquençage haut débit

Big data et sciences du Vivant L'exemple du séquençage haut débit Big data et sciences du Vivant L'exemple du séquençage haut débit C. Gaspin, C. Hoede, C. Klopp, D. Laborie, J. Mariette, C. Noirot, MS. Trotard bioinfo@genopole.toulouse.inra.fr INRA - MIAT - Plate-forme

Plus en détail

THEME : CLES DE CONTROLE. Division euclidienne

THEME : CLES DE CONTROLE. Division euclidienne THEME : CLES DE CONTROLE Division euclidienne Soit à diviser 12 par 3. Nous pouvons écrire : 12 12 : 3 = 4 ou 12 3 = 4 ou = 4 3 Si par contre, il est demandé de calculer le quotient de 12 par 7, la division

Plus en détail

Les futures techniques de lutte contre les punaises de lit Taz Stuart 204.292.8444 tdts@tdts.ca

Les futures techniques de lutte contre les punaises de lit Taz Stuart 204.292.8444 tdts@tdts.ca Les futures techniques de lutte contre les punaises de lit Taz Stuart 204.292.8444 tdts@tdts.ca Phéromones d alarme. En phase de recherche. Aldéhydes 4-oxo-hexénal et 4-oxo-octénal chez les punaises de

Plus en détail

MOHAMAD Rihab 4 rue de la Bergeonnerie 37300 Joué-Lès-Tours, FRANCE 33 (0)6 20 85 90 65 dib305@hotmail.com

MOHAMAD Rihab 4 rue de la Bergeonnerie 37300 Joué-Lès-Tours, FRANCE 33 (0)6 20 85 90 65 dib305@hotmail.com MOHAMAD Rihab 4 rue de la Bergeonnerie 37300 Joué-Lès-Tours, FRANCE 33 (0)6 20 85 90 65 dib305@hotmail.com (31 ans) Statut civil : mariée avec 2 enfants SITUATION ACTUELLE 2008-2012 Doctorat : Etude de

Plus en détail

L analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves

L analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves L analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves Cet atelier portera sur 1. la recherche dans la documentation de sources pertinentes; 2. l évaluation

Plus en détail

Guide pratique. Pour une recherche efficace de sponsors

Guide pratique. Pour une recherche efficace de sponsors Guide pratique Pour une recherche efficace de sponsors Guide Pratique Association Interfédérale du Sport Francophone asbl Quai de Rome 53 4000 LIEGE Tél.: 04/344 46 06 Fax: 04/344 46 01 E-mail: info@aisf.be

Plus en détail

LA A RESPIRATION CELLULAIRE

LA A RESPIRATION CELLULAIRE Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles

Plus en détail

Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola

Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Août 2014 l enfance aux enfants Organisation mondiale de la Santé 2014 Tous droits réservés. Les appellations employées dans la présente

Plus en détail

Canevas d aide au montage et cahier des charges de votre action de formation

Canevas d aide au montage et cahier des charges de votre action de formation Canevas d aide au montage et cahier des charges de votre action de formation FINALITÉS DE L ACTION (à établir avec le commanditaire) Quels sont les objectifs finals du commanditaire (ses finalités : économiques,

Plus en détail

Philosophie de l esprit L esprit des animaux non humains

Philosophie de l esprit L esprit des animaux non humains PHI-7302 Philosophie de l esprit L esprit des animaux non humains Professeure : Renée Bilodeau I BUT DU COURS Les découvertes scientifiques récentes nous ont conduits à revoir en profondeur notre conception

Plus en détail

ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE

ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE Épreuve commune aux ENS de Cachan, Lyon, Paris et de l ENPC Durée

Plus en détail

Master 2 Droit des NTSI Exposé du 28 janvier 2013 QUEL TAUX DE TVA DOIT-ON APPLIQUER EN EUROPE?

Master 2 Droit des NTSI Exposé du 28 janvier 2013 QUEL TAUX DE TVA DOIT-ON APPLIQUER EN EUROPE? Master 2 Droit des NTSI Exposé du 28 janvier 2013 QUEL TAUX DE TVA DOIT-ON APPLIQUER EN EUROPE? Sébastien Faure Géraldine Blanadet Sommaire I. Introduction II. L'actuel traitement fiscal du livre numérique

Plus en détail

Quels sont les droits des enfants?

Quels sont les droits des enfants? Quels sont les droits des enfants? L enfant devrait à tout le moins commencer par bénéficier de l amour, de l affection et de la bienveillance de ses parents, (ainsi que de ses proches et des intervenants

Plus en détail

Nom et prénom Date de naissance Téléphone (privé/prof./natel) Joignable quand? Genre de véhicule (Auto/Moto etc.) Marque Plaque de contrôle

Nom et prénom Date de naissance Téléphone (privé/prof./natel) Joignable quand? Genre de véhicule (Auto/Moto etc.) Marque Plaque de contrôle AVIS d accident pour l assurance des véhicules automobiles et des cyclistes inconnus et non assurés Art. 76 de la loi sur la circulation routière (LCR) en relation avec l art. 52 de l ordonnance sur l

Plus en détail

Analyses de Variance à un ou plusieurs facteurs Régressions Analyse de Covariance Modèles Linéaires Généralisés

Analyses de Variance à un ou plusieurs facteurs Régressions Analyse de Covariance Modèles Linéaires Généralisés Analyses de Variance à un ou plusieurs facteurs Régressions Analyse de Covariance Modèles Linéaires Généralisés Professeur Patrice Francour francour@unice.fr Une grande partie des illustrations viennent

Plus en détail

SELLE Masse d'eau AR51

SELLE Masse d'eau AR51 SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution

Plus en détail

CHAPITRE 2. Les variables

CHAPITRE 2. Les variables CHAPITRE 2 Les variables 1. La nature des variables Définition 2.1 (Variable). Une variable est une caractéristique étudiée pour une population donnée. Le sexe, la couleur préférée, le nombre de téléviseurs

Plus en détail

Le montant des garanties constituées aux fins du STPGV est-il excessif?

Le montant des garanties constituées aux fins du STPGV est-il excessif? Le montant des garanties constituées aux fins du STPGV est-il excessif? Kim McPhail et Anastasia Vakos* L e système canadien de transfert des paiements de grande valeur (STPGV) sert à effectuer les paiements

Plus en détail

AVANT-PROPOS CREATIVITE, FEMMES ET DEVELOPPEMENT L'EXEMPLE QUI VIENT DES AUTRES...

AVANT-PROPOS CREATIVITE, FEMMES ET DEVELOPPEMENT L'EXEMPLE QUI VIENT DES AUTRES... AVANT-PROPOS CREATIVITE, FEMMES ET DEVELOPPEMENT L'EXEMPLE QUI VIENT DES AUTRES... Tellement à la mode depuis quelques années, le mot de créativité est peut-être déjà démodé. La publicité, la médiatisation,

Plus en détail

SYSTÈME ARIANE Gestion des données d identification de l élève

SYSTÈME ARIANE Gestion des données d identification de l élève SYSTÈME ARIANE Gestion des données d identification de l élève SOMMAIRE DES CHANGEMENTS APPORTÉS PAR LE SYSTÈME ARIANE PAR RAPPORT AU SYSTÈME GIDE Document préliminaire 17 septembre 2004 TABLE DES MATIÈRES

Plus en détail

Coup d oeil sur. Les services de garde de qualité : Un milieu stimulant et chaleureux pour l enfant

Coup d oeil sur. Les services de garde de qualité : Un milieu stimulant et chaleureux pour l enfant Coup d oeil sur Les services de garde de qualité : Un milieu stimulant et chaleureux pour l enfant Les services de garde de qualité : Que savons-nous? «Il doit aussi favoriser la coopération, le respect

Plus en détail

Les Maladies Tropicales, la Société de Pathologie Exotique. et l Institut Pasteur

Les Maladies Tropicales, la Société de Pathologie Exotique. et l Institut Pasteur Les Maladies Tropicales, la Société de Pathologie Exotique et l Institut Pasteur Un partenariat qui a bien plus de 100 ans Beaucoup des grands noms de la recherche française sur les maladies tropicales

Plus en détail

Nicolas DEPRUGNEY Julien CARTON 1 SA TPE 1 S. Les Phéromones de la Fourmi

Nicolas DEPRUGNEY Julien CARTON 1 SA TPE 1 S. Les Phéromones de la Fourmi Nicolas DEPRUGNEY Julien CARTON 1 SA TPE 1 S Les Phéromones de la Fourmi 1 Introduction... p.3 Comment les fourmis communiquent-elles entre elles? I. Mise en évidence des phéromones p.4 Expérience avec

Plus en détail

Les Français et la nature

Les Français et la nature Les Français et la nature Contact Frédéric Micheau Directeur des études d opinion Directeur de département Tel : 01 78 94 90 00 fmicheau@opinion-way.com http://www.opinion-way.com Mars 2015 1 Méthodologie

Plus en détail

La gale d été arrive à grands pas que faire?

La gale d été arrive à grands pas que faire? La gale d été arrive à grands pas que faire? Enfin chaque année - le printemps arrive, chevaux et cavaliers peuvent enfin retourner dans la nature verdoyante. Mais c est aussi le cas des moustiques et

Plus en détail

PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ?

PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? à propos de : D Aristote à Darwin et retour. Essai sur quelques constantes de la biophilosophie. par Étienne GILSON Vrin (Essais d art et de philosophie), 1971.

Plus en détail

Gestion et réingénierie des processus (GPA) Tirez le maximum de vos systèmes d informations

Gestion et réingénierie des processus (GPA) Tirez le maximum de vos systèmes d informations Gestion et réingénierie des processus (GPA) Tirez le maximum de vos systèmes d informations Objectifs de la formation Se familiariser avec: Comment une meilleure gestion de vos processus d affaires est

Plus en détail

La production de Semences potagères

La production de Semences potagères La production de Semences potagères Intérêts de l autoproduction de semences Les producteurs qui se lancent dans leur propre production de semences le font pour diverses raisons. Maintien d une biodiversité

Plus en détail

Logitech Tablet Keyboard for Windows 8, Windows RT and Android 3.0+ Setup Guide Guide d installation

Logitech Tablet Keyboard for Windows 8, Windows RT and Android 3.0+ Setup Guide Guide d installation Logitech Tablet Keyboard for Windows 8, Windows RT and Android 3.0+ Setup Guide Guide d installation English.......................................... 3 Français.........................................

Plus en détail

Logiciel «My-Labo Cool!»

Logiciel «My-Labo Cool!» Capitalisez vos Connaissances et votre Expérience des Compléments Alimentaires! Logiciel «My-Labo Cool!» La Solution pour optimiser votre Compétence sur les Compléments Alimentaires, que vous soyez Thérapeute

Plus en détail

Cairnalys est une société spécialisée dans le développement de la connaissance client et l analyse des campagnes d Emailing.

Cairnalys est une société spécialisée dans le développement de la connaissance client et l analyse des campagnes d Emailing. Mille lecteurs, Mille besoins différents 1- Société Qui sommes-nous? Cairnalys est une société spécialisée dans le développement de la connaissance client et l analyse des campagnes d Emailing. Notre méthode

Plus en détail

Lois de probabilité. Anita Burgun

Lois de probabilité. Anita Burgun Lois de probabilité Anita Burgun Problème posé Le problème posé en statistique: On s intéresse à une population On extrait un échantillon On se demande quelle sera la composition de l échantillon (pourcentage

Plus en détail

RAPPORT D AUDIT INTERNE

RAPPORT D AUDIT INTERNE RAPPORT D AUDIT INTERNE Transcriptomique Génomique Marseille Luminy ontexte Dates d'audit : 1 au 2 octobre 2014 Périmètre d'audit : ensemble du système de management intégrant un SMQ Objectif de l'audit

Plus en détail

EVALUATION DU DISPOSITIF DEPARTEMENTAL EDUCATIF DE FORMATION ET D INSERTION (D 2 EFI)

EVALUATION DU DISPOSITIF DEPARTEMENTAL EDUCATIF DE FORMATION ET D INSERTION (D 2 EFI) EVALUATION DU DISPOSITIF DEPARTEMENTAL EDUCATIF DE FORMATION ET D INSERTION (D 2 EFI) Note méthodologique relative à l outil de suivi en continu du projet de formation et du projet professionnel La direction

Plus en détail

La culture L épreuve du Bac

La culture L épreuve du Bac L épreuve du Bac Synthèse des concepts rencontrés dans les textes... 80 Sujets de dissertation... 81 Méthode d analyse d un sujet de dissertation... 82 Sujet 1 Méthode d analyse d un texte : texte de Freud...

Plus en détail

Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique

Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations afin de comprendre les caractéristiques et les limites de la modification

Plus en détail

1. Pourquoi Anne et George s embarquent-ils à bord d un bateau?

1. Pourquoi Anne et George s embarquent-ils à bord d un bateau? 1 re Arrêt Événement A 1. Pourquoi Anne et George s embarquent-ils à bord d un bateau? 2. Où vont-ils? 3. Que doivent-ils s exercer à faire? 4. Qui les aide pendant qu ils sont à bord du bateau? Événement

Plus en détail

Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH

Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH 4 e Rencontres de l eau 20 mars 2015, UNIL Nathalie Menétrey Hydrobiologiste Bureau d étude aquatique et

Plus en détail

Endettement des jeunes adultes

Endettement des jeunes adultes Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la statistique OFS 20 Situation économique et sociale de la population Neuchâtel, Août 2012 Endettement des jeunes adultes Analyses complémentaires

Plus en détail

Quand la peur nous prend, qu est-ce qu elle nous prend? Vivre la crainte, l inquiétude, la panique, l affolement ou la terreur; la peur est

Quand la peur nous prend, qu est-ce qu elle nous prend? Vivre la crainte, l inquiétude, la panique, l affolement ou la terreur; la peur est Quand la peur nous prend, qu est-ce qu elle nous prend? Vivre la crainte, l inquiétude, la panique, l affolement ou la terreur; la peur est une émotion à la fois si commune et si unique que la langue française

Plus en détail

BILAN DE L EDUCATION PHYSIQUE A L ECOLE PRIMAIRE RAPPORT DE LA COMMISSION DES INSPECTEURS DU VALAIS ROMAND (CPI)

BILAN DE L EDUCATION PHYSIQUE A L ECOLE PRIMAIRE RAPPORT DE LA COMMISSION DES INSPECTEURS DU VALAIS ROMAND (CPI) Département de l'éducation, de la culture et du sport Service de l enseignement Inspectorat de la scolarité obligatoire BILAN DE L EDUCATION PHYSIQUE A L ECOLE PRIMAIRE RAPPORT DE LA COMMISSION DES INSPECTEURS

Plus en détail

QUESTIONNAIRE ENTREPRISE

QUESTIONNAIRE ENTREPRISE ENQUETE CREATION CRECHE INTERENTREPRISES QUESTIONNAIRE ENTREPRISE 1. Votre entreprise Nom... Commune :... Nom, coordonnées et fonction de la personne répondant au questionnaire : Secteur d activité :...

Plus en détail

Tableau de recueil des données concernant l auto évaluation. Nom de la structure :

Tableau de recueil des données concernant l auto évaluation. Nom de la structure : Tableau de recueil des données concernant l auto évaluation Nom de la structure : : 1 = très vrai, 2 = plutôt vrai, 3 = plutôt pas vrai, 4 = pas vrai du tout PRINCIPES DE DELIVRANCE DES SERVICES Principe

Plus en détail

Qu est-ce que la pragmatique peut apporter à l étude de l évolution du langage?

Qu est-ce que la pragmatique peut apporter à l étude de l évolution du langage? A paraître dans Jean-Marie Hombert (ed) L'origine de l'homme du langage et des langues Dan Sperber & Gloria Origgi Qu est-ce que la pragmatique peut apporter à l étude de l évolution du langage? La pragmatique,

Plus en détail

00.008 e Projet Gen Lex (droit de la responsabilité civile)

00.008 e Projet Gen Lex (droit de la responsabilité civile) Ständerat Conseil des Etats Consiglio degli Stati Cussegl dals stadis 00.008 e Projet Gen Lex (droit de la responsabilité civile) Session d automne 2001 Rapport de la Commission de la science, de l éducation

Plus en détail

Eco-système calcul et données

Eco-système calcul et données Eco-système calcul et données M. Daydé Dr du Comité d'orientation pour le Calcul Intensif (COCIN) Délégué Scientifique INS2I en charge HPC / Grille / Cloud Calcul / données : un enjeu stratégique Calcul

Plus en détail

eduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel

eduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel eduscol Ressources pour la voie professionnelle Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel Français Présentation des programmes 2009 du baccalauréat professionnel Ces documents

Plus en détail

Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.)

Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Protection Biologique Intégrée Lutte phytosanitaire De la lutte «systématique» à la lutte raisonnée La lutte «systématique»

Plus en détail

Demande de prestations AI pour adultes: Allocation pour impotent AI

Demande de prestations AI pour adultes: Allocation pour impotent AI Demande de prestations AI pour adultes: Allocation pour impotent AI 1. Renseignements personnels 1.1 Indications personnelles Nom indiquer aussi le nom de célibataire Prénoms tous les prénoms, prière d

Plus en détail

E-monitoring : intégrer l émotionnel dans votre «balanced scorecard»

E-monitoring : intégrer l émotionnel dans votre «balanced scorecard» E-monitoring : intégrer l émotionnel dans votre «balanced scorecard» Par Daniel Held, Dr. Es Sc. écon. et Benoit Moransais, lic. ès Sc. écon., associés du cabinet Qualintra SA, Genève Le «balanced scorecard»

Plus en détail

Montréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare

Montréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare Montréal, 24 mars 2015 David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting 1 RSSPQ, 2013 2 MÉDECINE INDIVIDUALISÉE Médecine personnalisée Médecine de précision Biomarqueurs Génomique

Plus en détail

Photographie statistique des accidents de travail, des accidents de trajet et des maladies professionnelles en France selon le sexe entre 2001 et 2012

Photographie statistique des accidents de travail, des accidents de trajet et des maladies professionnelles en France selon le sexe entre 2001 et 2012 Photographie statistique des accidents de travail, des accidents de trajet et des maladies professionnelles en France selon le sexe entre 2001 et 2012 Des tendances d évolution différenciées pour les femmes

Plus en détail

IV. La ressemblance entre apparentés

IV. La ressemblance entre apparentés IV. La ressemblance entre apparentés La ressemblance entre apparentés est un phénomène de constatation courante chez l homme. Cependant, les proverbes «tel père, tel fils» et «à père avare, fils prodigue»

Plus en détail

L ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ

L ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ L ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ INTRODUCTION Données : n individus observés sur p variables quantitatives. L A.C.P. permet d eplorer les liaisons entre variables et

Plus en détail

Première partie. Introduction Générale

Première partie. Introduction Générale Première partie Introduction Générale IX L amélioration des espèces cultivées a pour but de produire des variétés présentant des caractéristiques nouvelles pour des caractères d intérêt agronomique (création

Plus en détail