Physique Radiologique

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Physique Radiologique"

Transcription

1 Physique Radiologique Première Partie : Radiologie Cours Physique MEM 2ème Année 1 Plan 1. Production de Rayons X en radiologie 2. Formation de l image radiologique 3. Qualité de l image radiologique Cours Physique MEM 2ème Année 2 1

2 III. Qualité de l image radiologique Cours Physique MEM 2ème Année 3 III. Qualité de l image radiologique A. Contraste et Flou Cours Physique MEM 2ème Année 4 2

3 A. Contraste Radiologique Définition du contraste : Différence de signal entre deux zones adjacentes de l image Il constitue la base informative de l image radiologique La qualité de l image et la pertinence du diagnostic sont directement liées au contraste On distingue différents types de contraste : Contraste de l objet Contraste du détecteur Contraste de visualisation Cours Physique MEM 2ème Année 5 A. Contraste Radiologique 1. Contraste de l objet : Lié à la capacité du faisceau de RX d interagir avec les tissus Rappels : L image radiologique repose sur le principe de l atténuation différentielle des RX par les tissus de l organisme Cours Physique MEM 2ème Année 6 3

4 A. Contraste Radiologique Rappels : A travers chacun des tissus, l intensité du faisceau transmis vaut : I(E) = I 0 (E)e - µx µ : Coefficient d atténuation global x : épaisseur de tissu traversée I : quantité de RX transmis (RX primaire) e - µx : proportion de RX atténués De plus µ = τ + σ + π Deux tissus sont correctement individualisés si les termes µx de chaque tissu sont significativement Ces coefficients dépendent de la densité des tissus et de l énergie du rayonnement Le contraste est directement lié à la différence des coefficients d atténuation linéaire Cours Physique MEM 2ème Année 7 A. Contraste Radiologique 1. Contraste de l objet : Considérons 2 milieux constitués par des tissus : Exemple : Tissus osseux noyé au sein de tissus mous Avec I 1 et I 2 les flux radiants en dehors et au niveau de la structure osseuse Cours Physique MEM 2ème Année 8 4

5 A. Contraste Radiologique 1. Contraste de l objet : Par définition, le contraste de l image est égale : Avec I 1 et I 2 les flux radiants en dehors et au niveau de la structure osseuse D après la loi d atténuation, I 1 et I 2 valent respectivement : I 1 = I 0 e -µ1d = I 0 e -(µ1x +µ1(d-x)) et I 2 = I 0 e -(µ2x+µ1(d-x)) L image apparaîtra très contrastée si I 2 est nul (atténuation totale) => C = 1 L image n aura aucun contraste si I 1 = I 2 (atténuation équivalente) => C = 0 Cours Physique MEM 2ème Année 9 A. Contraste Radiologique 1. Contraste de l objet : Par conséquent, le contraste dépend essentiellement de : Épaisseur de la structure que l on veut observer (ici l os) et non de l épaisseur totale traversée + la structure est fine, plus le contraste sera faible Pas possible d agir directement sur cette grandeur pour améliorer le contraste Différence d atténuation entre la structure et le milieu environnant => µ = µ 1 - µ 2 Aux énergies utilisées, la d atténuation par effet Compton entre les milieux est négligeable Elle est due à l effet Photoélectrique qui est donc susceptible de participer au contraste L amélioration du contraste de l image passe donc par µ Cours Physique MEM 2ème Année 10 5

6 A. Contraste Radiologique 1. Contraste de l objet : Par conséquent, le contraste dépend essentiellement de : Influence de la tension d accélération : Variation de la tension en fonction du milieu à comparer : Pour différencier muscle/graisse, il vaut mieux utiliser des basses énergies ( µ 70kV > µ 150kV ) Pour différencier poumon/os, il vaut mieux utiliser des hautes énergies et garder un bon contraste car µ 150kV est suffisamment grand Cours Physique MEM 2ème Année 11 A. Contraste Radiologique 1. Contraste de l objet : Par conséquent, le contraste dépend essentiellement de : Influence de la tension d accélération : Problème : Basse tension bonne différenciation des tissus => hν des basses énergies arrêtés dans le patient=> dose au patient A noter le problème de durcissement des faisceaux de RX en progressant en profondeur dans la matière : => de l énergie moyenne => µ entre les tissus => contraste Cours Physique MEM 2ème Année 12 6

7 A. Contraste Radiologique 2. Contraste du détecteur : Capacité du détecteur à convertir le faisceau de RX transmis à la sortie du patient en amplitude signal (détecteur électronique) ou en différente densité optique (film) Il dépend : Composition et épaisseur du matériau Processus physique par lequel le détecteur converti les RX en signal optique ou électronique Spectre de RX à la sortie du patient Cours Physique MEM 2ème Année 13 A. Contraste Radiologique 3. Contraste de visualisation : Contraste des images numériques qui peut être modifié en changeant les paramètres de visualisation Les paramètres sont modifiés à partir de la table de conversion LUT On peut modifier deux types de paramètres : La fenêtre : gamme de contraste que l on va sélectionner + ou importante selon la zone à visualiser Le niveau moyen : caractérise le centre de la fenêtre de visualisation Cours Physique MEM 2ème Année 14 7

8 A. Contraste Radiologique 4. Radiologie avec produits de contraste : Produits de contraste utilisés pour majorer le contraste naturel des compartiments dans lesquels ils sont distribués ou éliminés Leurs actions est liés à leurs Z ou leurs poids moléculaire élevé Iode => Z = 53 Sulfate de Baryum => Baryte : PM = 233 Ces produits sont responsables d un certain nombres de complications et sont considérés comme des médicaments Allergie à l iode => CHOC ANALPHYLACTIQUE La radiographie avec produits de contraste se traduit par une opacification qui apparaîtra blanche sur l image => densité de type os Technique double contraste => existence d une ligne noire entourant la cavité étudiée => densité aérienne et osseuse Cours Physique MEM 2ème Année 15 A. Contraste Radiologique 4. Radiologie avec produits de contraste : Produits de contraste iodés (PCI) utilisés pour opacifier : Structures vasculaires (coronarographie, artériographie ) Le LCR (radiculo-saccographie, myélogrpahie ) Les voies d éliminations (UIV ) Des cavités (cystographies, hystérographie ) Baryte est réservé aux explorations digestives (œsophage, estomac ) Contraste peut être augmenté en insufflant dans un 2 ème temps de l air => Technique en double contraste Cours Physique MEM 2ème Année 16 8

9 A. Contraste Radiologique 4. Radiologie avec produits de contraste : Artériographie sélective de l'artère rénale droite Le produit est injecté à l aide d un cathéter placé dans les artères fémorales => Iliaque externe => Aorte Abdominale => Artère rénale droite Il existe une sténose de l artère rénale Cours Physique MEM 2ème Année 17 III. Qualité de l image radiologique B. Facteurs de Flou Cours Physique MEM 2ème Année 18 9

10 B. Facteurs de Flou Contraste représente l élément sémiologique à la base de toute interprétation radiologique L image peut être altérée par les conditions d acquisition des images. Plusieurs facteurs peuvent créés un flou pénalisant sur l image qu il faut savoir limiter. Quatre types de flou : Flou géométrique Flou liée au détecteur Flou cinétique Flou lié au rayonnement diffusé Cours Physique MEM 2ème Année 19 B. Facteurs de flou Ces 4 facteurs sont la conséquence de l altération de la résolution spatiale et du bruit Résolution spatiale : Plus petite distance séparant deux objets qui apparaissent toujours distinct Bruit : Incertitude ou imprécision avec laquelle le signal est enregistré. Ce signal indésirable perturbe le signal utile Correspond à l écart type des mesures du signal ou de la densité optique de l image dans une région homogène Inversement proportionnel à la racine carrée du nombre de photons Cours Physique MEM 2ème Année 20 10

11 1. Flou géométrique : B. Facteurs de Flou Du au caractère non ponctuel du foyer du tube utilisé Altération de la résolution spatiale Bords de l organe sont interceptés par des RX provenant de différents points du foyer Flou des bords de l image est réduit : En approchant le patient le plus proche possible de la plaque En éloignant le tube En diminuant la taille du foyer en agissant sur le diaphragme Cours Physique MEM 2ème Année 21 B. Facteurs de Flou 2. Flou lié au détecteur : La qualité de détection peut influencer la qualité de l image en modifiant la résolution spatiale et le bruit Qualité de détection selon le détecteur : Taille des grains des films d argent Résolution spatiale des détecteurs numériques Pouvoir de résolution fini des détecteurs Cours Physique MEM 2ème Année 22 11

12 3. Flou cinétique : B. Facteurs de Flou Tout mouvement du patient ou de l organe provoque un flou Altération de la résolution spatiale Si mouvement volontaire => Immobilisation du patient Soit de manière coopérative Arrêt de la respiration Soit par contention ou préméditation Personnes âgées ou pédiatrie Si le mouvement est involontaire => Battements cardiaque Réduction du temps de pose Cours Physique MEM 2ème Année 23 B. Facteurs de Flou 4. Flou lié au rayonnement diffusé : Tous les RX qui interagissent avec l organisme ne sont pas totalement arrêtés par Effet Photoélectrique Certains d entre eux vont diffuser par Effet Compton et changer de direction => Jusqu à 5 fois le rayonnement direct Points d origine : Patient Table Détecteur Accessoires à proximité du faisceau RX Cours Physique MEM 2ème Année 24 12

13 B. Facteurs de Flou 4. Flou lié au rayonnement diffusé : Ceci provoque un flou sur l image : La position de détection de ces photons ne correspond pas à un trajet en ligne droite 1. Trajet direct d un photon non atténué => Pas de flou 2. Diffusion Compton : le photon semble avoir suivi le trajet en pointillé => flou Cours Physique MEM 2ème Année 25 B. Facteurs de Flou 4. Flou lié au rayonnement diffusé : Le rayonnement diffusé varie avec : Taille du faisceau Distance source objet Épaisseur et la composition (Z) du patient Énergie du faisceau Pour le diminuer, il faut : Diminuer le volume irradier => Compression Diminuer la taille du champ => Localisateur et collimation Utiliser une grille anti-diffusante Éloignement récepteur patient : Rayt Diffusé + vite que le Rayt directe => phénomène air gap Plaque de plomb derrière le film Cours Physique MEM 2ème Année 26 13

14 III. Qualité de l image radiologique C. Moyens de réduction du rayonnement diffusé Cours Physique MEM 2ème Année 27 C. Moyens de réduction du Rx diffusé 1. Localisateurs et collimateur : But : Réduire le champ d exposition Diminue la surface exposée => Diminution de l irradiation inutile du patient Diminue le rayonnement diffusé => Parasite pour la qualité de l image Collimateur : Accolés à la fenêtre de sortie du tube Composé de volets radio-opaques généralement en plomb Réduit le champ d exposition à sa base Cônes localisateurs : S adaptent à la sortie du tube Adaptent la forme du champ à la forme de la zone à radiographier Composés de plomb et sont de formes et de dimensions diverses Cours Physique MEM 2ème Année 28 14

15 C. Moyens de réduction du Rx diffusé 1. Localisateurs et collimateur : Cours Physique MEM 2ème Année 29 C. Moyens de réduction du Rx diffusé 2. Grilles anti-diffusantes : Principe : Inventée par Bucky Série de lamelles de plomb fines opaques au RX, séparées par d autres lamelles d un matériaux radio-transparent. Lamelles orientées vers le foyer radiogène Rôle : Sélection du rayonnement primaire Les rayons arrivant perpendiculairement aux lames de la grille peuvent la traverser si ils passent par les espaces transparents Le rayonnement diffusé émis dans toutes les directions est arrêtés par les lamelles de plomb. La quasi totalité du rayonnement diffusé est arrêté 30 à 40 % du rayonnement directe l est également => du nombre de photons utile au niveau du détecteur => du nombre mas => Dose patient Cours Physique MEM 2ème Année 30 15

16 C. Moyens de réduction du Rx diffusé 2. Grilles anti-diffusantes : Cours Physique MEM 2ème Année 31 C. Moyens de réduction du Rx diffusé 2. Grilles anti-diffusantes : Il existe deux types de grilles selon la disposition des lames :» Grilles non focalisées : les lamelles sont parallèles» Grilles focalisées : les lamelles sont orientées vers le foyer Il existe alors une distance focale (tube-cassette) à respecter Cours Physique MEM 2ème Année 32 16

17 C. Moyens de réduction du Rx diffusé 2. Grilles anti-diffusantes : Remarque : Lorsque l on utilise une grille, les lames de plomb apparaissent sur le cliché Pour palier à ce phénomène, on fait vibrer la grille dans une direction perpendiculaire à celle des lames Les zones du film occultées par les lames de plomb changent à tout instant On fait alors disparaître la grille Cours Physique MEM 2ème Année 33 C. Moyens de réduction du Rx diffusé 2. Grilles anti-diffusantes : Performances des grilles : Rapport de grille ou Rapport d anti-diffusion : Détermine la qualité de la grille Dépend de la hauteurs des lames H et de la la distance entre deux lamelles de plomb D R = H / D Varie entre 5 et 16 + R est élevé => meilleure est du rayonnement diffusé Meilleur quand H ou D Cours Physique MEM 2ème Année 34 17

18 C. Moyens de réduction du Rx diffusé 2. Grilles anti-diffusantes : Performances des grilles : Rapport de transmission : Dépend de la distance entre deux lamelles de plomb D et de l épaisseur des lames de plomb d T = d / (d + D) Plus T est petit meilleure est la transmission de la grille Meilleur quand D ou d Ce rapport est inversement proportionnel à la qualité de la grille Cours Physique MEM 2ème Année 35 C. Moyens de réduction du Rx diffusé 2. Grilles anti-diffusantes : Performances des grilles : Facteur de Bucky : Chiffre par lequel doit être multiplié le temps de pose pour compenser l utilisation de la grille anti-diffusante B = mas AVEC grille / mas SANS grille L emploi d une grille triple ou double le temps d exposition par rapport à un usage sans grille mais avec rayonnement diffusé De l ordre de 2 à 6 Cours Physique MEM 2ème Année 36 18

19 C. Moyens de réduction du Rx diffusé 2. Grilles anti-diffusantes : Performances des grilles : Sélectivité : Représente le rapport du rayonnement primaire qui passe au travers de la grille et du rayonnement diffusé qui la traverse aussi Σ = Primaire / Diffusé Ce rapport augmente pour des kv + faible et avec R croissant Facteur d amélioration du contraste : Correspond au rapport entre le contraste avec et sans grille Cours Physique MEM 2ème Année 37 III. Qualité de l image radiologique D. Exposeur automatique Cours Physique MEM 2ème Année 38 19

20 D. Exposeur Automatique 1. Définitions et principes : Permet de régler automatiquement l exposition du film radiologique donc son noircissement afin qu il ne soit ni sur exposé ni sous exposé au RX Il intègre la quantité de RX ayant traversé le patient et arrête l alimentation du tube lorsque l irradiation du film est suffisante Ceci est réalisé à l aide de détecteurs appelés «Cellules» Situé devant la cassette et dirigé par le générateur HT Cours Physique MEM 2ème Année 39 D. Exposeur Automatique 1. Définitions et principes : Plusieurs réglages sont possibles au niveau de l exposeur automatique : Réglage un point : + courant le manip estime les kv nécessaire pour la réalisation de l image Les ma et le temps de pose sont déterminés par l exposeur Réglage deux points : Manip détermine les kv et les ma Le temps de pose est déterminé par l exposeur Son emploi n est pas adapté aux cas particulier qui nécessitent certains réglages Cours Physique MEM 2ème Année 40 20

21 D. Exposeur Automatique 1. Définitions et principes : Cours Physique MEM 2ème Année 41 D. Exposeur Automatique 2. Les constantes d exposition : L exposition est réalisée en fonction de : La région à radiographier L épaisseur du patient Les caractéristiques du détecteur Les filtres, collimation Les constantes : kv, ma et s peuvent être prédéfinies en fonction de ces critères Seule l épaisseur du patient n est pas prévisible Cours Physique MEM 2ème Année 42 21

22 D. Exposeur Automatique 2. Les constantes d exposition : Les kv : déterminent : La qualité du faisceau => durcissement du faisceau L énergie des RX Le contraste Les ma règlent le noircissement du film sans en altérer le contraste L erreur de noircissement est très fréquente et est palliée par l exposeur automatique placé juste devant le récepteur Le temps de pose : règle la durée de l exposition Elle doit être la + courte possible pour : Diminuer la dose au patient Diminuer le flou cinétique Cours Physique MEM 2ème Année 43 D. Exposeur Automatique 3. Les éléments constitutifs : Les récepteurs : Éléments qui vont détecter le flux de rayonnement à la sortie du patient et en amont du film => Cellules Deux types de récepteurs : Chambre d ionisation Photo-détecteur Cours Physique MEM 2ème Année 44 22

23 D. Exposeur Automatique 3. Les éléments constitutifs : Les récepteurs : Chambre d ionisation Cavité contenant un gaz (Ar, Xe), dans laquelle règne un champ électrique établit entre deux feuilles très fines d aluminium En traversant cette cavité, les RX ionisent le gaz et créés des paires électrons ions. Les ions migrent vers l anode et les e- vers la cathode Formation d un courant électrique à la quantité de RX ayant traversés la CI Cours Physique MEM 2ème Année 45 D. Exposeur Automatique 3. Les éléments constitutifs : Les récepteurs : Chambre d ionisation Cours Physique MEM 2ème Année 46 23

24 D. Exposeur Automatique 3. Les éléments constitutifs : Les récepteurs : Photo-détecteur Chambre de mesure constituée d un élément sensible luminescent de nature voisine d un écran renforçateur Le flux de rayonnement à la sortie du patient traverse le photodétecteur est par interaction forme des photons lumineux Ces photons lumineux sont ensuite envoyés vers un photomultiplicateur qui convertit ces photons en e- et en courant électrique Peu utilisé Risque de visualisation sur le film pour des tensions faibles Cours Physique MEM 2ème Année 47 D. Exposeur Automatique 3. Les éléments constitutifs : Les récepteurs : Cours Physique MEM 2ème Année 48 24

25 D. Exposeur Automatique 3. Les éléments constitutifs : L intégrateur : Élément situé juste après les récepteurs Mesure la quantité de courant électrique délivré par les récepteurs Transmet à la minuterie du générateur le signal de fin de pose quand la quantité nécessaire de RX programmée est atteinte La minuterie : Interrompt la production de RX lorsque : l intégrateur lui envoi le signal de fin de pose La capacité thermique du tube est atteinte même si la dose d exposition est insuffisante Cours Physique MEM 2ème Année Le matériel : D. Exposeur Automatique Cas standard : Lors de la prise du cliché, le manip active ou non un ou plusieurs cellules Cellules de tailles rondes ou quadrangulaires de 100 cm² de surface Trois cellules : une centrale et deux latérales En fonction de la région à radiographier ou région dominante du cliché, on fera le chois de la ou des cellule(s) à utiliser Cellule centrale : rachis, hanche, thorax de profil Deux cellules latérales : thorax de face, bassin Trois cellules : ASP Cours Physique MEM 2ème Année 50 25

26 4. Le matériel : D. Exposeur Automatique Cas particuliers : Matériel pédiatrique : Taille des cellules réduites pour être adaptés à la taille des nourrissons Matériel en mammographie : Cellule placée non pas devant le film mais derrière L utilisation des basses en mammographie rendrait visible la trame du détecteur Cours Physique MEM 2ème Année 51 D. Exposeur Automatique 5. Corrections de l exposition : Correction en fonction du détecteur : Les écrans renforçateurs et les plaques ERLM n ont pas la même sensibilité pour toutes les valeurs de kv. L exposeur dispose donc de corrections différentielles selon le kv affiché. Un changement d écran ou de plaque peut exiger une modification de ces réglages Correction en fonction de l épaisseur du patient : Exposeur reçoit le rayonnement primaire et diffusé Le diffusé augmente avec la masse et l épaisseur du patient L exposeur propose une correction qui prend en compte la morphologie du patient => Patient mince, moyen, épais Cours Physique MEM 2ème Année 52 26

27 D. Exposeur Automatique 5. Corrections de l exposition : Correction en fonction du noircissement du film : Un correcteur permet de modifier le noircissement par pas de 25% en plus ou en moins (4 à 5 pas) Ceci assure toute la souplesse de réglage si le cliché n est pas suffisamment exposé Rappel : Un cliché trop blanc restera trop si l on ajoute quelques kv sans corriger le noircissement de l exposeur => Ionisation n est pas modifié Cours Physique MEM 2ème Année 53 D. Exposeur Automatique 5. Limites d emploi de l exposeur : Si le patient est mal positionné» La zone anatomique à radiographier ne se situe pas sur la cellule» On peut obtenir des clichés trop blanc ou trop noir Si la zone à radiographier ne couvre pas la totalité de la cellule» Une partie de cette dernière va recevoir un rayonnement direct => plus intense car n a pas subit d interaction dans le patient» Arrête prématurément la production des RX => Poignet Si un problème de noircissement persiste, la solution est de passer en mode manuel avec les constantes manuelles Cours Physique MEM 2ème Année 54 27

Les bases physiques de l'imagerie radiologique

Les bases physiques de l'imagerie radiologique Les bases physiques de l'imagerie radiologique Radiographie 1895 Röentgen Découverte des propriétés des rayons X par Roentgen. Les rayons X permettent de voir uniquement l'os, le poumon et les produits

Plus en détail

Les rayons X. Olivier Ernst

Les rayons X. Olivier Ernst Les rayons X Olivier Ernst Lille La physique pour les nuls 1 Une onde est caractérisée par : Sa fréquence F en Hertz (Hz) : nombre de cycle par seconde Sa longueur λ : distance entre 2 maximum Sa vitesse

Plus en détail

Ensemble léger de prise de photo sous UV-A Tam Photo Kit n 1 pour appareil photo compact

Ensemble léger de prise de photo sous UV-A Tam Photo Kit n 1 pour appareil photo compact Ensemble léger de prise de photo sous UV-A Tam Photo Kit n 1 pour appareil photo compact Phone +33 (0)130 808 182 - Fax. +33 (0)130 808 199 /15 rue des Frères Lumière - ZI des Ebisoires BP136-78374 PLAISIR

Plus en détail

DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h

DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme

Plus en détail

- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation

- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour

Plus en détail

Microscopie de fluorescence Etat de l art

Microscopie de fluorescence Etat de l art Etat de l art Bibliométrie (Web of sciences) CLSM GFP & TPE EPI-FLUORESCENCE 1 Fluorescence Diagramme de JABLONSKI S2 S1 10-12 s Excitation Eex Eem 10-9 s Émission Courtoisie de C. Spriet

Plus en détail

Le cliché thoracique

Le cliché thoracique Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2

Plus en détail

La Photographie - Page 1 / 13

La Photographie - Page 1 / 13 La Photographie - Page 1 / 13 Table des matières 1. Généralités sur la lumière... 3 2. La photographie... 5 2.a. Le support... 5 2.a.i. L argentique... 5 2.a.ii. Le numérique... 6 3. L outil appelé appareil

Plus en détail

MODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE

MODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE Collège des Enseignants en Radiologie de France MODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE Paris, 3 et 4 Février 2015 PROTECTION DES OPERATEURS EN RADIOLOGIE INTERVENTIONNELLE

Plus en détail

Veraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D)

Veraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D) Veraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D) Thinking ahead. Focused on life. Veraviewepocs 3De Le générateur à Rayons X pour tous vos besoins

Plus en détail

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un

Plus en détail

Comment suivre l évolution d une transformation chimique? + S 2 O 8 = I 2 + 2 SO 4

Comment suivre l évolution d une transformation chimique? + S 2 O 8 = I 2 + 2 SO 4 Afin d optimiser leurs procédés, les industries chimiques doivent contrôler le bon déroulement de la réaction de synthèse menant aux espèces voulues. Comment suivre l évolution d une transformation chimique?

Plus en détail

Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques

Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................

Plus en détail

Interactions des rayonnements avec la matière

Interactions des rayonnements avec la matière UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

HIGH INTENSITY DISCHARGER KIT XENON KIT XENON - EQUIPO XENON - SATZ XENON TARIF ET DOCUMENTATION TECHNIQUE

HIGH INTENSITY DISCHARGER KIT XENON KIT XENON - EQUIPO XENON - SATZ XENON TARIF ET DOCUMENTATION TECHNIQUE HIGH INTENSITY DISCHARGER KIT XENON KIT XENON - EQUIPO XENON - SATZ XENON TARIF ET DOCUMENTATION TECHNIQUE HIGH INTENSITY DISCHARGER KIT XENON KIT XENON - EQUIPO XENON - SATZ XENON LES AVANTAGES En comparant

Plus en détail

CHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques

CHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques CHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques IX. 1 L'appareil de mesure qui permet de mesurer la différence de potentiel entre deux points d'un circuit est un voltmètre, celui qui mesure le courant

Plus en détail

Le droit à l image???

Le droit à l image??? Le droit à l image??? Dans ma propre philosophie, je peux parler de DROIT sans évoquer les DEVOIRS.. Vous me permettrez donc de vous en entretenir de prime abord avec cependant les nuances suivantes: Le

Plus en détail

Ni tout noir, ni tout blanc Consignes Thème I - Observer

Ni tout noir, ni tout blanc Consignes Thème I - Observer Ni tout noir, ni tout blanc Consignes Thème I - Observer BUT : Etudier les synthèses additives et soustractives Comprendre la notion de couleur des objets COMPETENCES : Rechercher et trier des informations

Plus en détail

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin

Plus en détail

IFO. Soleil. Antoine COUSYN 29/07/2012 08/02/2015. Vidéo. Manipur, Inde. Saturation du capteur CMOS. 19 Juin 2011. 15h11 heure locale.

IFO. Soleil. Antoine COUSYN 29/07/2012 08/02/2015. Vidéo. Manipur, Inde. Saturation du capteur CMOS. 19 Juin 2011. 15h11 heure locale. Rapport d expertise IPACO Nom de l expert Antoine COUSYN Date du rapport 29/07/2012 Dernière mise à jour 08/02/2015 Type IFO Classe A Explication Saturation du capteur CMOS Complément Soleil Document Lieu

Plus en détail

Travaux d adaptation du logement pour les personnes âgées

Travaux d adaptation du logement pour les personnes âgées Fiche pratique Personnes âgées Travaux d adaptation du logement pour les personnes âgées Accéder à son logement - utiliser les escaliers - prendre l ascenseur - accéder aux équipements Profiter de son

Plus en détail

ORTHOPHOS XG 3 DS. Systèmes de radiographie. ORTHOPHOS XG 3 l accès facile à la panoramique numérique.

ORTHOPHOS XG 3 DS. Systèmes de radiographie. ORTHOPHOS XG 3 l accès facile à la panoramique numérique. ORTHOPHOS XG 3 DS Systèmes de radiographie l accès facile à la panoramique numérique. Conception clichés panoramiques avec technologie XG. technique et design en harmonie. fiable économique 1 Profitez

Plus en détail

Scanner de film numérique

Scanner de film numérique HD-CR 35 NDT Le nouveau standard de la radiographie numérique avec la technologie TroisFocales Scanner de film numérique Données techniques HD-CR 35 NDT Taille ajustable des spots laser : 12,5-25 - 50

Plus en détail

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant

Plus en détail

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation. LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus

Plus en détail

LE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE

LE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE LE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE Enseignement : 1 ère STL Mesures et instrumentation Thème : Instrumentation : Instruments de mesure, chaîne de mesure numérique Notions et contenus :

Plus en détail

DIFFRACTion des ondes

DIFFRACTion des ondes DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène

Plus en détail

Les bases de l optique

Les bases de l optique Vision to Educate Les 10 pages essentielles Edition 2014 Introduction Edito Si résumer le métier d opticien dans un livret de 12 pages n est pas possible, nous avons essayé dans ce document d apporter

Plus en détail

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre

Plus en détail

L ÉLECTROCUTION Intensité Durée Perception des effets 0,5 à 1 ma. Seuil de perception suivant l'état de la peau 8 ma

L ÉLECTROCUTION Intensité Durée Perception des effets 0,5 à 1 ma. Seuil de perception suivant l'état de la peau 8 ma TP THÈME LUMIÈRES ARTIFICIELLES 1STD2A CHAP.VI. INSTALLATION D ÉCLAIRAGE ÉLECTRIQUE SÉCURISÉE I. RISQUES D UNE ÉLECTROCUTION TP M 02 C PAGE 1 / 4 Courant Effets électriques 0,5 ma Seuil de perception -

Plus en détail

INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE

INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE Le schéma synoptique ci-dessous décrit les différentes étapes du traitement numérique

Plus en détail

www.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage

www.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage 2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits

Plus en détail

Les résistances de point neutre

Les résistances de point neutre Les résistances de point neutre Lorsque l on souhaite limiter fortement le courant dans le neutre du réseau, on utilise une résistance de point neutre. Les risques de résonance parallèle ou série sont

Plus en détail

PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE

PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE Un microscope confocal est un système pour lequel l'illumination et la détection sont limités à un même volume de taille réduite (1). L'image confocale (ou coupe optique)

Plus en détail

Contribution des faisceaux d ions à l élaboration de dispositifs pour l électronique souple

Contribution des faisceaux d ions à l élaboration de dispositifs pour l électronique souple Comité National Français de Radioélectricité Scientifique Section française de l Union Radio Scientifique Internationale Siège social : Académie des Sciences, Quai de Conti Paris Journées scientifiques

Plus en détail

- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE

- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE - MANIP 2 - - COÏNCIDENCES ET MESURES DE TEMPS - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE L objectif de cette manipulation est d effectuer une mesure de la vitesse de la lumière sur une «base

Plus en détail

Les dangers de l électricité

Les dangers de l électricité Faculté des Sciences et Techniques de l Ingénieur (STI) Laboratoire de réseaux électriques (LRE) Les dangers de l électricité Table ronde du 22 janvier 2009 Pierre Zweiacker Plan de la présentation La

Plus en détail

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle

Plus en détail

Sillage Météo. Notion de sillage

Sillage Météo. Notion de sillage Sillage Météo Les représentations météorologiques sous forme d animation satellites image par image sont intéressantes. Il est dommage que les données ainsi visualisées ne soient pas utilisées pour une

Plus en détail

PLATE-FORME COMMUNE UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ. Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR

PLATE-FORME COMMUNE UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ. Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ Vous pouvez faire confiance aux systèmes CR et DR de Carestream pour leur qualité de prise d images. Maintenant

Plus en détail

RVG 6100/5100. Un standard. Deux solutions.

RVG 6100/5100. Un standard. Deux solutions. RVG 6100/5100 Un standard. Deux solutions. Doublement innovants À la recherche de l excellence Les systèmes de radiologie numérique RVG 5100 et 6100 vous apportent une technologie d'imagerie de pointe.

Plus en détail

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance

Plus en détail

1STI2D - Les ondes au service de la santé

1STI2D - Les ondes au service de la santé 1STI2D - Les ondes au service de la santé De nombreuses techniques d imagerie médicale utilisent les ondes : la radiographie utilise les rayons X, la scintigraphie utilise les rayons gamma, l échographie

Plus en détail

Objectifs pédagogiques : spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre Savoir changer l ampoule d un

Objectifs pédagogiques : spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre Savoir changer l ampoule d un CHAPITRE 6 : LE SPECTROPHOTOMETRE Objectifs pédagogiques : Citer les principaux éléments d un dun spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre p Savoir changer l ampoule

Plus en détail

Opérations de base sur ImageJ

Opérations de base sur ImageJ Opérations de base sur ImageJ TPs d hydrodynamique de l ESPCI, J. Bico, M. Reyssat, M. Fermigier ImageJ est un logiciel libre, qui fonctionne aussi bien sous plate-forme Windows, Mac ou Linux. Initialement

Plus en détail

contributions Les multiples de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores

contributions Les multiples de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores Les multiples contributions de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores Jean-Charles Flores est spécialiste de l électronique organique au sein de la société BASF

Plus en détail

Radiographie Industrielle Etat de l Art et Alternatives Des exemples. ASN Orléans 01/04/2011 www.cofrend.com

Radiographie Industrielle Etat de l Art et Alternatives Des exemples. ASN Orléans 01/04/2011 www.cofrend.com Radiographie Industrielle Etat de l Art et Alternatives Des exemples 1 Contexte Rappels sur les techniques selon les longueurs d ondes Etat de l art de la Radiographie Numérique Quelques éléments de compréhension

Plus en détail

MOTORISATION DIRECTDRIVE POUR NOS TELESCOPES. Par C.CAVADORE ALCOR-SYSTEM WETAL 2013 10 Nov

MOTORISATION DIRECTDRIVE POUR NOS TELESCOPES. Par C.CAVADORE ALCOR-SYSTEM WETAL 2013 10 Nov 1 MOTORISATION DIRECTDRIVE POUR NOS TELESCOPES Par C.CAVADORE ALCOR-SYSTEM WETAL 2013 10 Nov Pourquoi motoriser un télescope? 2 Pour compenser le mouvement de la terre (15 /h) Observation visuelle Les

Plus en détail

Physique, chapitre 8 : La tension alternative

Physique, chapitre 8 : La tension alternative Physique, chapitre 8 : La tension alternative 1. La tension alternative 1.1 Différence entre une tension continue et une tension alternative Une tension est dite continue quand sa valeur ne change pas.

Plus en détail

Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information

Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information I. Nature du signal I.1. Définition Un signal est la représentation physique d une information (température, pression, absorbance,

Plus en détail

LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION

LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION ) Caractéristiques techniques des supports. L infrastructure d un réseau, la qualité de service offerte,

Plus en détail

La malvoyance d un instant n est pas celle d une vie

La malvoyance d un instant n est pas celle d une vie La malvoyance d un instant n est pas celle d une vie La malvoyance, un handicap grave Une personne malvoyante est une personne dont la vue est déficiente malgré le port de lunettes ou de lentilles, ou

Plus en détail

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance

Plus en détail

Chapitre 13 Numérisation de l information

Chapitre 13 Numérisation de l information DERNIÈRE IMPRESSION LE 2 septembre 2013 à 17:33 Chapitre 13 Numérisation de l information Table des matières 1 Transmission des informations 2 2 La numérisation 2 2.1 L échantillonage..............................

Plus en détail

Système de surveillance vidéo

Système de surveillance vidéo Conrad sur INTERNET www.conrad.fr N O T I C E Version 12/01 Entretien Pour un fonctionnement correct de votre système de surveillance vidéo, prenez note des conseils suivants : 1/ Tenez la caméra et le

Plus en détail

AC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x =

AC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x = LE NOMBRE D OR Présentation et calcul du nombre d or Euclide avait trouvé un moyen de partager en deu un segment selon en «etrême et moyenne raison» Soit un segment [AB]. Le partage d Euclide consiste

Plus en détail

Module d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere

Module d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere Module d Electricité 2 ème partie : Electrostatique Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere 1 Introduction Principaux constituants de la matière : - protons : charge

Plus en détail

Panneau solaire ALDEN

Panneau solaire ALDEN SOMMAIRE 1. Présentation... 1.1. Mise en situation... 1.2. Analyse du besoin... 4 1.. Problématique... 4 1.4. Expression du besoin... 5 1.5. Validation du besoin... 5 2. Analyse fonctionnelle... 2.1. Définition

Plus en détail

M1 - MP057. Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Imagerie

M1 - MP057. Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Imagerie M1 - MP057 Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Imagerie Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Le microscope électronique en transmission : - colonne,

Plus en détail

Télémédecine. F. Brunet 28 octobre 2010

Télémédecine. F. Brunet 28 octobre 2010 Télémédecine F. Brunet 28 octobre 2010 Définition Idée générale : Faire voyager les informations plutôt que les patients Selon le CNOM (Conseil National de l Ordre des Médecins) : La télémédecine est une

Plus en détail

Séquence 1. Physique Couleur, vision et image Chimie La réaction chimique. Sommaire

Séquence 1. Physique Couleur, vision et image Chimie La réaction chimique. Sommaire Séquence 1 Physique Couleur, vision et image Chimie La réaction chimique Sommaire 1. Physique : Couleur, vision et image Résumé Exercices 2. Chimie : La réaction chimique Résumé Exercices Séquence 1 Chapitre

Plus en détail

.4..ESCALIER. Critères d'accessibilité répondant aux besoins des personnes ayant une déficience visuelle. 4.1 Concept de base

.4..ESCALIER. Critères d'accessibilité répondant aux besoins des personnes ayant une déficience visuelle. 4.1 Concept de base énovation.4..escalie. 4.1 Concept de base S assurer que l emplacement des escaliers soit uniforme d un étage à l autre pour que leur localisation soit prévisible. egrouper l'escalier et les principaux

Plus en détail

UE 503 L3 MIAGE. Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique. A. Belaïd

UE 503 L3 MIAGE. Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique. A. Belaïd UE 503 L3 MIAGE Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique A. Belaïd abelaid@loria.fr http://www.loria.fr/~abelaid/ Année Universitaire 2011/2012 2 Le Modèle OSI La couche physique ou le

Plus en détail

Les atouts et faiblesses des caméras TEP dédiées, TEP corps entier, TEP-CT, TEMP pour la quantification

Les atouts et faiblesses des caméras TEP dédiées, TEP corps entier, TEP-CT, TEMP pour la quantification Les atouts et faiblesses des caméras TEP dédiées, TEP corps entier, TEP-CT, TEMP pour la quantification Irène Buvat U494 INSERM CHU Pitié-Salpêtrière, Paris buvat@imed.jussieu.fr http://www.guillemet.org/irene

Plus en détail

Exemple d acquisition automatique de mesures sur une maquette de contrôle actif de vibrations

Exemple d acquisition automatique de mesures sur une maquette de contrôle actif de vibrations Exemple d acquisition automatique de mesures sur une maquette de contrôle actif de vibrations Valérie Pommier-Budinger Bernard Mouton - Francois Vincent ISAE Institut Supérieur de l Aéronautique et de

Plus en détail

OP200 D ORTHOCEPH ORTHOPANTOMOGRAPH OC200 D. VT Tomographie Volumétrique OP200 D OC200 D VT. VT Tomographie Volumétrique

OP200 D ORTHOCEPH ORTHOPANTOMOGRAPH OC200 D. VT Tomographie Volumétrique OP200 D OC200 D VT. VT Tomographie Volumétrique OP200 D OC200 D VT Imagerie panoramique numérique Imagerie céphalométrique dentaire numérique VT Tomographie Volumétrique ORTHOPANTOMOGRAPH OP200 D ORTHOCEPH OC200 D VT Tomographie Volumétrique 1 À la

Plus en détail

Dr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes.

Dr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes. La photographie intra buccale : méthode de réalisation. Dr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes. La photographie numérique est un formidable outil de communication pour nos patients

Plus en détail

FRANCAIS. Distributé par : QR srl - Via Silvestrini, 20-37135 Verona Italy Tel. +39 045 8202727-045 583500 info@newtom.it www.newtom.

FRANCAIS. Distributé par : QR srl - Via Silvestrini, 20-37135 Verona Italy Tel. +39 045 8202727-045 583500 info@newtom.it www.newtom. GiANO - R14.1 - FR FRANCAIS Distributé par : QR srl - Via Silvestrini, 20-37135 Verona Italy Tel. +39 045 8202727-045 583500 info@newtom.it www.newtom.it Produit par : CEFLA S.C. - CEFLA DENTAL GROUP Via

Plus en détail

Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE

Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE LAURENT Rémy laurent@clermont.in2p3.fr http://clrpcsv.in2p3.fr Journées des LARD Septembre 2007 M2R

Plus en détail

SÉCURITÉ, HYGIÈNE & CONFORT

SÉCURITÉ, HYGIÈNE & CONFORT SÉCURITÉ, HYGIÈNE & CONFORT ARMOIRES À CLÉS PORTE-CLÉS & CADENAS CAISSES & CASIERS À MONNAIE DÉTECTEURS DE FAUX BILLETS RAMASSE-MONNAIE SUPPORTS EXTINCTEURS CENDRIERS MURAUX PHARMACIE ESCABEAU ALU & REPOS-PIEDS

Plus en détail

W 12-2 : haute performance et savoir-faire compact

W 12-2 : haute performance et savoir-faire compact Barrières W - Détecteurs réflex, élimination de premier plan EPP Détecteurs réflex, élimination d arrière-plan EAP W - : haute performance et savoir-faire compact Détecteurs réflex énergétiques fibres

Plus en détail

Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs

Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs COURS 1. Exemple d une chaîne d acquisition d une information L'acquisition de la grandeur physique est réalisée par un capteur qui traduit

Plus en détail

Electron S.R.L. - MERLINO - MILAN ITALIE Tel (++ 39 02) 90659200 Fax 90659180 Web www.electron.it, e-mail electron@electron.it

Electron S.R.L. - MERLINO - MILAN ITALIE Tel (++ 39 02) 90659200 Fax 90659180 Web www.electron.it, e-mail electron@electron.it Electron S.R.L. Design Production & Trading of Educational Equipment B3510--II APPLIICATIIONS DE TRANSDUCTEURS A ULTRASONS MANUEL D IINSTRUCTIIONS POUR L ETUDIIANT Electron S.R.L. - MERLINO - MILAN ITALIE

Plus en détail

Les Conditions aux limites

Les Conditions aux limites Chapitre 5 Les Conditions aux limites Lorsque nous désirons appliquer les équations de base de l EM à des problèmes d exploration géophysique, il est essentiel, pour pouvoir résoudre les équations différentielles,

Plus en détail

DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR

DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer

Plus en détail

Ligne de produits Comparaison

Ligne de produits Comparaison Ligne de produits Comparaison Eric Meola ColorMunki Photo est une solution de gestion des couleurs pour une correspondance écran/imprimante précise, incluant également des outils de création de couleurs

Plus en détail

Fonctions de deux variables. Mai 2011

Fonctions de deux variables. Mai 2011 Fonctions de deux variables Dédou Mai 2011 D une à deux variables Les fonctions modèlisent de l information dépendant d un paramètre. On a aussi besoin de modéliser de l information dépendant de plusieurs

Plus en détail

Dossier table tactile - 11/04/2010

Dossier table tactile - 11/04/2010 Dossier table tactile - 11/04/2010 Intro Je vais brièvement exposer dans ce document: Ce que j'ai fait, comment je l'ai fait, combien ça m'a couté, et combien de temps j'ai mis à fabriquer, dans le cadre

Plus en détail

CREATION D UNE CHAINE DE REFERENCE POUR

CREATION D UNE CHAINE DE REFERENCE POUR CREATION D UNE CHAINE DE REFERENCE POUR LA MESURE DE LA PRESSION ARTERIELLE La mesure de la pression artérielle par méthode auscultatoire au moyen d un sphygmomanomètre est l une des méthodes les plus

Plus en détail

Une ère nouvelle d imagerie dentaire

Une ère nouvelle d imagerie dentaire FRANÇAIS Une ère nouvelle d imagerie dentaire L appareil à rayons X révolutionnaire Planmeca ProMax permet un vaste choix de modalités d imagerie radiographique extra-orale pour répondre aux besoins de

Plus en détail

Exposition. VLR plongée e commission photo

Exposition. VLR plongée e commission photo Exposition VLR plongée e commission photo Agenda Définitions Exposition / analogie du verre d eau (de vin?) Ouverture Vitesse Sensibilité La notion d EV Pourquoi cela ne suffit pas? Dynamique des capteurs

Plus en détail

TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE

TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE Exercice en classe EXERCICE 1 : La fibre à gradient d indice On considère la propagation d une onde électromagnétique dans un milieu diélectrique

Plus en détail

GE Healthcare. Senographe Crystal Un choix aussi clair qu un cristal

GE Healthcare. Senographe Crystal Un choix aussi clair qu un cristal GE Healthcare Senographe Crystal Un choix aussi clair qu un cristal Senographe Crystal Un choix aussi clair qu un cristal. Le mammographe Senographe* Crystal facilite la transition vers la mammographie

Plus en détail

MESURES D'ÉNERGIE ÉLECTRICITÉ

MESURES D'ÉNERGIE ÉLECTRICITÉ P R O J E CENTRALISATION et EXPLOITATION des MESURES D'ÉNERGIE ÉLECTRICITÉ GAZ EAU T MISES EN JEU DANS LE LYCEE JEAN PROUVE Description du projet Mesure des énergies et fluide Les contraintes des milieux

Plus en détail

Fluorescent ou phosphorescent?

Fluorescent ou phosphorescent? Fluorescent ou phosphorescent? On entend régulièrement ces deux termes, et on ne se préoccupe pas souvent de la différence entre les deux. Cela nous semble tellement complexe que nous préférons rester

Plus en détail

Union générale des étudiants de Tunisie Bureau de l institut Préparatoire Aux Etudes D'ingénieurs De Tunis. Modèle de compte-rendu de TP.

Union générale des étudiants de Tunisie Bureau de l institut Préparatoire Aux Etudes D'ingénieurs De Tunis. Modèle de compte-rendu de TP. Union générale des étudiants de Tunisie Modèle de compte-rendu de TP Dipôle RC Ce document a été publié pour l unique but d aider les étudiants, il est donc strictement interdit de l utiliser intégralement

Plus en détail

ROBOT ET CHIRURGIE AORTIQUE:

ROBOT ET CHIRURGIE AORTIQUE: ROBOT ET CHIRURGIE AORTIQUE: FAISABILITÉ ET PERSPECTIVES FUTURES Fabien THAVEAU, Nabil CHAKFE, Jean-Georges KRETZ Service de Chirurgie Vasculaire, Strasbourg INTRODUCTION CHIRURGIE MINI-INVASIVE: but:

Plus en détail

Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés S.D.I.

Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés S.D.I. Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés Le Code du Travail R 232-1-13: La signalisation relative à la sécurité et à la santé au travail doit être conforme à des modalités déterminés par

Plus en détail

Les lieux. Trajet - RER B. 20 km. Qu est-ce qu on fait au LPQM? La croix de Berny. Châtenay-Malabry. La salle de Manip. Le bureau

Les lieux. Trajet - RER B. 20 km. Qu est-ce qu on fait au LPQM? La croix de Berny. Châtenay-Malabry. La salle de Manip. Le bureau Trajet - RER B Paris 20 km La salle de Manip La croix de Berny Les lieux Le bureau Châtenay-Malabry Le Laboratoire de Photonique, Quantique et Moléculaire Qu est-ce qu on fait au LPQM? On y étudie la photonique

Plus en détail

Caractérisations des nanomatériaux par microscopies électroniques

Caractérisations des nanomatériaux par microscopies électroniques GDR Verres GDR 3338 Caractérisations des nanomatériaux par microscopies électroniques Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Partie 1 - Le microscope électronique

Plus en détail

Cours d électricité. Circuits électriques en courant constant. Mathieu Bardoux. 1 re année

Cours d électricité. Circuits électriques en courant constant. Mathieu Bardoux. 1 re année Cours d électricité Circuits électriques en courant constant Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Objectifs du chapitre

Plus en détail

INTÉRÊT DU SCANNER 3D DANS LA MESURE DE L'ANTÉVERSION DES COLS FÉMORAUX

INTÉRÊT DU SCANNER 3D DANS LA MESURE DE L'ANTÉVERSION DES COLS FÉMORAUX INTÉRÊT DU SCANNER 3D DANS LA MESURE DE L'ANTÉVERSION DES COLS FÉMORAUX F. COLAS, R. CARLIER, C. LE BRETON, D. SAFA, D. MOMPOINT, F. ROFFI, E. M. KOCHEIDA, S. MOKHTARI, S. M KAOUAR, C. VALLÉE HÔPITAL RAYMOND

Plus en détail

Transmission de données. A) Principaux éléments intervenant dans la transmission

Transmission de données. A) Principaux éléments intervenant dans la transmission Page 1 / 7 A) Principaux éléments intervenant dans la transmission A.1 Equipement voisins Ordinateur ou terminal Ordinateur ou terminal Canal de transmission ETTD ETTD ETTD : Equipement Terminal de Traitement

Plus en détail

Systeme d alarme intrusion mixte. i-on40. La Sécurité Partagée

Systeme d alarme intrusion mixte. i-on40. La Sécurité Partagée Systeme d alarme intrusion mixte i-on40 La Sécurité Partagée I-ON 40 est un sytème d alarme destiné à la protection des sites résidentiels et tertiaires. Le système gère de manière transparente 16 zones

Plus en détail

Conditions Particulières

Conditions Particulières Le 18 février 2015 Modèle de Convention d exploitation pour un Site de consommation raccordé au Réseau Public de Distribution HTA ou HTB Conditions Particulières Résumé La Convention de Conduite et d Exploitation

Plus en détail

Ondulo ZE. Ondulo B1 LPO. Radium T5. Encastrés fluorescents. Architecture et technique 4,2 4,2 4,2 4,3 4,3 20 960 F

Ondulo ZE. Ondulo B1 LPO. Radium T5. Encastrés fluorescents. Architecture et technique 4,2 4,2 4,2 4,3 4,3 20 960 F Architecture et technique B3056 Encastrés fluorescents Ondulo ZE Plafonnier encastré avec caisson métallique Réfracteur écran en tôle microperforée Couleur : blanc Eclairage direct/indirect à lumière réfléchie.

Plus en détail

Quelleestlavaleurdel intensitéiaupointm?

Quelleestlavaleurdel intensitéiaupointm? Optique Ondulatoire Plan du cours [1] Aspect ondulatoire de la lumière [2] Interférences à deux ondes [3] Division du front d onde [4] Division d amplitude [5] Diffraction [6] Polarisation [7] Interférences

Plus en détail

Orthopantomograph OP100 D Orthoceph OC100 D. Imagerie dentaire

Orthopantomograph OP100 D Orthoceph OC100 D. Imagerie dentaire Orthopantomograph OP100 D Orthoceph OC100 D Imagerie dentaire Imagerie panoramique et céphalométrique en acquisition digitale directe Orthopantomograph OP100 D et Orthoceph OC100 D L Orthopantomograph

Plus en détail

Master IMA - UMPC Paris 6 RDMM - Année 2009-2010 Fiche de TP

Master IMA - UMPC Paris 6 RDMM - Année 2009-2010 Fiche de TP Master IMA - UMPC Paris 6 RDMM - Année 2009-200 Fiche de TP Préliminaires. Récupérez l archive du logiciel de TP à partir du lien suivant : http://www.ensta.fr/~manzaner/cours/ima/tp2009.tar 2. Développez

Plus en détail