A.E.S. en laboratoires

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "A.E.S. en laboratoires"

Transcription

1 A.E.S. en laboratoires S.Touche médecin du travail C.H.U. de Reims, commission laboratoire INRS - GERES Circonstances d exposition au risque d A.E.S. en laboratoires Réalisation des prélèvements - au laboratoire - ou par des personnels de laboratoires en établissement de soins ou à domicile Analyse technique des échantillons biologiques - étapes pré-analytique, analytique, élimination

2 Risque d exposition au sang des personnels de laboratoires d analyses médicales lors des prélèvements veineux Enquête en laboratoires privés (2005) Méthode 1. enquête auprès des fabricants de matériels de prélèvements - recueil des types et quantités de matériels commandées par les laboratoires privés en 2004 pour toute la France 2. enquête auprès de biologistes : Association Bio-Qualité - questionnaire mis en ligne sur le site internet de Bio-Qualité 3. enquête d observation sur place par les médecins du travail - recueil des données par questionnaires :. activité du laboratoire. observation des préleveurs et de leur environnement. observation de toutes les phases du geste de prélèvement. auto-questionnaire sur la perception du risque par les préleveurs

3 Méthode : les matériels Les systèmes sous vide sécurisés et non sécurisés Corps de pompe + tube Aiguilles de prélèvement sous vide Méthode : les matériels Les systèmes non sous vide et non sécurisés - aiguille par gravité - aiguille à plateau - seringue + aiguille - aiguille seule

4 Résultats (1) : enquête auprès des fabricants de matériels pour prélèvements veineux 6 fabricants de matériels ont été sollicités et 5 ont répondu matériels de prélèvements veineux commandés Types de matériels % Sous vide 90.5% non sécurisé sécurisé 83% 7.5% Non sous vide non sécurisé 9.5% Résultats (2) : enquête auprès des adhérents à l association Bio-Qualité 348 laboratoires emploient préleveurs techniciens de laboratoires biologistes IDE - autres : 5 médecins, 1 pharmacien réalisation des prélèvements - 80% au laboratoire - 12% à domicile - 8% en établissements de soins

5 Résultats (2) : enquête auprès des biologistes Bio-Qualité activité des laboratoires - faible activité < prélèvements / an : 34% 4 prélèvements / jour / préleveur - activité moyenne [ ] prélèvements / an : 53% 13 prélèvements / jour / préleveur - activité forte > prélèvements / an : 13% 60 prélèvements / jour / préleveur réalisation des prélèvements - 90% systèmes de prélèvements sous vide, dont 6% sécurisés - 10% systèmes de prélèvements non sous vide - tubes en plastique (52%) et avec bouchon coiffants (83.5%) - collecteurs normalisés : 99% des laboratoires Résultats (2) : enquête auprès des biologistes Bio-Qualité 276 AES en un an AES au sein des laboratoires (68%) - 88 AES en dehors des laboratoires (32%) incidence estimée : 2 AES / prélèvements 11 AES / 100 préleveurs / an principaux mécanismes - en manipulant une aiguille : 61% - en manipulant le collecteur de sécurité : 19% - en manipulant des objets piquants souillés : 7%

6 Résultats (3) : enquête par les médecins du travail 65 médecins du travail volontaires ont observé 91 laboratoires répartis en : - 21 de faible activité - 56 d activité moyenne - 14 de forte activité et représentant : salles de prélèvements préleveurs gestes de prélèvements Résultats (3) : enquête par les médecins du travail enquête auprès des préleveurs : 31 AES notifiés en un an - incidence estimée : 1.3 AES / prélèvements 11 AES / 100 préleveurs / an - 19 techniciens, 10 biologistes, 2 IDE : - 23 piqûres - 5 coupures - 3 contacts sur peau lésée

7 Résultats (3) : enquête par les médecins du travail observation des locaux: 230 salles de prélèvements ont été décrites - aménagement globalement satisfaisant : - espace et ergonomie satisfaisants dans 56% des cas - collecteurs présents dans 90% des cas -mais: % des collecteurs > limite de remplissage ou débordants % absence d affichage CAT en cas d AES - gants disponibles dans seulement 68 % des cas Résultats (3) : enquête par les médecins du travail observation des préleveurs : 858 actes de prélèvements ont été observés - 83 % des préleveurs portaient une blouse ou une tunique % des préleveurs ont mis une paire de gants - collecteur à portée de main dans 88 % des cas - matériels utilisés. 80 % sous vide dont 3 % sécurisé. 20 % non sous vide : aiguille + seringue, aiguille à plateau, aiguille queue de rat - tubes en plastique (67 %), avec bouchon coiffant (89.5 %)

8 Résultats (3) : enquête par les médecins du travail pratiques après le prélèvement - élimination immédiate. du matériel souillé dans un collecteur dans 98.5 % des cas -mais:. transvasement du sang dans des tubes observé dans 15 % des cas. désadaptation de l aiguille dans 86 % des cas, dont 10% à la main. recapuchonnage de l aiguile dans 1% des cas Discussion - Conclusion - Les laboratoires de ville sont majoritairement équipés de systèmes de prélèvement sous vide. Ce constat est le même pour les 3 volets de l enquête - Selon l activité des laboratoires, il n y a pas de différence importante concernant la dotation en matériels - Quand ils sont disponibles, les dispositifs de sécurité sont encore peu utilisés - Les précautions standard sont assez bien connues et respectées sauf le port de gants, malgré leur disponibilité - Les laboratoires observés sont majoritairement équipés en collecteurs et leur utilisation est en général conforme aux bonnes pratiques - L incidence estimée des AES est de 11 pour 100 préleveurs ce qui est plus élevé que l incidence des IDE - Les 5 AES survenus lors des observations auraient pu être évités par le respect des précautions standard

9 Risque d exposition au sang en pratique technique d analyses biologiques Commission laboratoires enquête INRS GERES : 26 laboratoires dans 5 hôpitaux A.E.S. déclarés Nombre d A.E.S. documentés / effectif 37 / / 408 Incidence annuelle moyenne / agent audit manipulations (n=101) objets piquants objets tranchants oui (*) 20 dont 5 avec recapuchonnage d aiguille 13 non observé ou sans objet verrerie (*) dans tous les cas un conteneur spécifique était à disposition

10 Laboratoires : enquête INRS GERES Identification des situations à risque. manipulations manuelles directes tubes souillés, débouchage des tubes, étalements sur lames, coupes de pièces fraîches. effractions cutanées bris de verrerie, pipettes pasteur matériel piquant, tranchant. équipements anciens non ou incomplètement sécurisés centrifugeuses,. insuffisance des mesures collectives et individuelles décontamination des paillasses, port d EPI,lavage des mains, Évaluation des expositions Méthodologie proposée commission laboratoire INRS - GERES S. Touche ( CHU Reims), C. Berlie (CHI Alençon), H. Clermont (CRAMIF Paris), C. David (INRS Paris) M. Domart (AP-HP Paris), C. Fabin (ACMS Paris), C. Pochet (ENCPB Paris), A. Leprince (INRS, Paris) état des lieux général inventaire global des conditions matérielles et organisationnelles d activité approche ciblée par procédures de travail identification des dangers potentiels et des circonstances d exposition à chaque étape de l activité prévention des risques identifiés recommandations de bonnes pratiques mesures spécifiques aux risques objectivés

11 Pratiques de prélèvements au sein du laboratoire Équipement et organisation des postes de prélèvements - espace attribué, lave-main, fauteuil de prélèvement, siège du préleveur - plan de travail, disponibilité de gants, de conteneurs à aiguilles, Pratiques de prélèvements - prélèvements veineux sous vide, tubes utilisés, matériel sécurisé, Après le prélèvement - absence de transvasement, de désadaptation d aiguille - modes d élimination du matériel Procédures et conduites à tenir en cas d accident - rédigées, à disposition +/- affichage Acheminement des échantillons biologiques Conditionnement primaire : tubes, flacons, - résistance des matériaux (verre ou matériaux de substitution) - étanchéité des fermetures Conditionnement secondaire - emballages étanches permettant de visualise l état des tubes - bons d examens isolés des prélèvements Conditionnement tertiaire - conteneur rigide et fermé, aisément décontaminable - matériau capable d absorber la totalité du liquide en cas déversement Réception des échantillons biologiques - espace dédié avec poste lavage des mains, personnel formé à cette tâche - déconditionnement en secteur technique Procédures et conduites à tenir en cas d accident - rédigées, à disposition +/- affichage

12 Traitement des échantillons en phase analytique Types d échantillons manipulés - activité de microbiologie? cultures d agents pathogènes? Procédures et organisation du travail - procédures rédigées pour chaque technique, incluant les mesures de protection - encombrement minimal, protection éventuelle et nettoyage régulier des paillasses Déconditionnement des échantillons de leur emballage de transport - en zone dédiée, par des personnels formés à cette tâche - tubes et flacons habituellement propres et en bon état - conduite à tenir connue et appliquée en cas de bris ou souillure Appareillages et techniques - automatisation totale ou partielle des techniques - nécessité d ouverture des flacons? manuellement? bouchons coiffants à vis? - transvasement? Si oui, par pipette automatique? avec protection? - centrifugeuses sécurisées, régulièrement entretenues Hygiène - postes de lavage des mains, tenues de travail, Risques de contamination par voie cutanéo-muqueuse Types d échantillons biologiques manipulés - sang, sécrétions sexuelles, LBA, autres contenant du sang? - diagnostics +/- culture d agents transmissibles par voie sanguine? Modes d analyse et technologie permettant de limiter les contacts / échantillons - automatisation partielle/totale des techniques: sur tubes primaires? sans ouverture? Mesures pour éviter le bris de tubes en centrifugeuses : équilibrage, Choix du petit matériel prenant en compte les risques de piqûres, coupures, - petit matériel à usage unique, pipettes et tubes en matériau peu ou non cassable, matériel sécurisé, lames à bords rodés, tubes et flacons adaptés aux automates - conteneurs adaptés aux matériels à évacuer, disponibles à portée de main Mesures de protection individuelle - port de gants pour les gestes à risques et en cas de lésion des mains - port de lunettes de sécurité en cas de risques de projection

13 Désinfection et maintenance Modalités d entretien des locaux - procédures écrites incluant les fréquences d entretien, les produits à utiliser Personnels en charge de l entretien - en cas de société prestataire : procédure décrivant les zones d intervention, les modalités d entretien, les mesures de prévention à appliquer, les conduites à tenir en cas d accidents Maintenance des appareillages - registre de maintenance - décontamination des appareils avant toute opération de maintenance ou réparation, et remise d un document en attestant aux intervenants extérieurs Élimination des déchets Tri des déchets - en fonction des risques : biologiques, chimiques, assimilés ménagers, - tri des déchets à risques infectieux (DASRI) dès leur production : piquants/coupants, solides, liquides - conditionnement immédiat en emballages adaptés, conformes à la réglementation - sans dépassement de la limite de remplissage Local spécifique à l entreposage Élimination - en interne ou par prestataire extérieur - avec pré-traitement? par incinération? Fréquence d enlèvement - respectant durée maximale réglementaire d entreposage

14 Évaluation des expositions inventaire des conditions globales de l activité approche ciblée par procédures de travail identification des dangers potentiels et des circonstances d exposition à chaque étape de l activité - transport et réception des échantillons biologiques - centrifugation - décantation - étalements sanguins sur lames - examen cyto-bactériologique des urines - identification et culture de bacilles tuberculeux - coproculture Centrifugation modes opératoires dangers risques identifiés prévention mise en place des tubes dans la centrifugeuse tubes en verre bris AES utiliser des tubes incassables ou résistants vérifier l intégrité des tubes tubes préalablement souillés de produits biologiques contacts cutanés contamination manuportée, AES porter des gants décontaminer l extérieur des tubes préalablement souillés (eau javel 1,2 Cl) ouverture manuelle des tubes avant chargement bris et/ ou projections AES, aérosols privilégier le débouchage par automate si débouchage manuel : tubes à bouchons coiffants, de préférence vissés et de taille adaptée pour les centrifuger re-fermés taille des tubes non adaptée aux nacelles bris AES choix de nacelles de différentes tailles mauvais équilibrage du chargement des nacelles bris AES répartition correcte des charges balance pour équilibrer les nacelles

15 Centrifugation (suite) modes opératoires dangers risques identifiés prévention fermeture du (es) couvercle(s), nacelles sans couvercles projections aérosols, AES nacelles étanches réglage, mise en route et arrêt de la centrifugeuse contraintes mécaniques excessives sur les tubes bris AES augmenter progressivement la vitesse : en cas de réglage non automatique ouverture de la centrifugeuse et sortie des tubes effets de la force centrifugeuse : - si récipients ouverts projections aérosols, AES attendre l arrêt complet de la centrifugeuse pour l ouvrir (blocage de sécurité ++) - si tubes cassables bris AES LAVAGE OU DESINFECTION DES MAINS porter des gants pour le retrait des tubes disposer les tubes sur un portoir adapté entretien du matériel risque présence de débris de verre et de souillures de liquides biologiques coupures, piqûres, contacts cutanés AES, contamination manuportée nettoyage, décontamination - immédiatement si bris tube - périodique systématique - avant toute intervention de réparation ou maintenance Obligation de centrifugeuses sécurisées en laboratoires de microbiologie : Arrêté du 26 novembre 1999 relatif à la bonne exécution des analyses de biologie médicale (GBEA) Étalements sanguins sur lames modes opératoires manuels dangers risques identifiés prévention installation du plan de travail, des tubes à prélever et des lames tubes préalablement souillés contact souillure AES port de gants : à changer chaque fois que souillés et à éliminer en conteneur à DASRI tubes en verre + fragilisés ou fissurés préalablement bris AES protection plan travail par matériau absorbant tubes peu ou non cassables prélèvement d une goutte de sang débouchage puis prélèvement à la pipette OU bris, projections AES contact, projections AES bouchons vissés ou à clips pipette automatique à embout jetable adapté au volume prélevé prélèvement au travers du bouchon matériel piquant AES utilisation de dispositifs à aiguille mousse «distributeur de goutte»

16 Étalements sanguins sur lames (suite) modes opératoires dangers risques identifiés prévention étalement de la goutte de sang déposée étalement sur la lame au moyen d une autre lame contacts cutanés AES + protection plan de travail par matériau absorbant port de gants coupures AES lames à bords rodés évacuation lames non étalées en conteneurs adaptés identification de la lame par gravure sur bord dépoli contacts cutanés AES manipulation avec des gants, après séchage de l étalement -disposition en porte-lames coloration manuelle ou automatique des lames nettoyage et entretien du poste de travail souillure de la paillasse + petits matériels résiduels et bris de verre contacts cutanés, piquants / coupants AES LAVAGE OU DESINFECTION DES MAINS élimination, le cas échéant, du matériau recouvrant la paillasse application de la procédure de nettoyage désinfection : - immédiatement en cas de souillure - systématiquement en fin de manipulation lecture au microscope évaluation des risques maîtrise des risques niveaux de confinement : arrêté du 16 juillet 2007 règles générales de bonnes pratiques mesures spécifiques aux situations d exposition

17 Maîtrise des risques bonnes pratiques et conduites à tenir en cas d accident - organisation fonctionnelle du laboratoire - transport des prélèvements au sein du laboratoire - tenue de travail - gants - masques de protection respiratoire - lunettes et écrans faciaux - travail sous poste de sécurité microbiologique - hygiène des mains - nettoyage entretien des postes de travail - élimination des déchets à risques infectieux - plan de prévention à l usage des intervenants extérieurs - C.A.T. en cas d A.E.S. et en cas de souillure et bris de tube ou de flacon Référentiels laboratoires 1. réglementaires - GBEA : novembre mesures de confinement : arrêté juillet actualisation des précautions standard : circulaire 13 mars documents dédiés - conception des laboratoires : INRS, ED évaluation et prévention des risques infectieux en laboratoires : INRS, ED prévention des risques infectieux en laboratoires : SFHH

évaluation des risques professionnels

évaluation des risques professionnels évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire

Plus en détail

Procédures Utilisation des laboratoires L2

Procédures Utilisation des laboratoires L2 N PROCEDURES Personnes page concernées I PROCEDURES D UTILISATION I-1 Entrée/sortie du personnel Utilisateurs 2 I-2 Utilisation d un PSM de type II Utilisateurs 3 I-3 Elimination des déchets solides Biologiques

Plus en détail

IBCP- Service Culture Cell- Règlement Intérieur des laboratoires de culture cellulaire

IBCP- Service Culture Cell- Règlement Intérieur des laboratoires de culture cellulaire IBCP- Service Culture Cell- Règlement Intérieur des laboratoires de culture cellulaire Table des matières I -Liste des laboratoires de culture cellulaire de l IBCP :... 2 II -Conditions requises pour l

Plus en détail

Sécurité au quotidien

Sécurité au quotidien Sécurité au quotidien Version 2010 3R B Livret à destination des personnels de laboratoire de biotechnologie des sections d enseignement technologique et professionnel INRS_3RB.indd 1 03/02/11 05:06 Ce

Plus en détail

MODE OPERATOIRE NORMALISE : Date d application :

MODE OPERATOIRE NORMALISE : Date d application : 1 / 14 Prénom / Nom Date, signature Rédacteur : Tony Jamault Vérificateur : Anthony Loussouarn Approbation : Isabelle Calard Table des matières 1 OBJECTIF DU MODE OPERATOIRE ET DOMAINE D APPLICATION...

Plus en détail

Procédure de tri et traitement des déchets Pro 032

Procédure de tri et traitement des déchets Pro 032 Service de Sécurité Ferme de la Mouline Tél. 021 692 2570 / Fax 021 692 2575 Procédure Procédure de tri et traitement des déchets Pro 032 Contenu 1. Objet... 1 2. Domaine d application... 1 3. Abréviations...

Plus en détail

évaluation des risques professionnels

évaluation des risques professionnels évaluation des risques professionnels Inventaire des risques Etablissement : Faculté de médecine Unité de travail : UMR 1092 INSERM laboratoire de microbiologie Année : 2013 Locaux Dangers ou facteurs

Plus en détail

EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD

EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Dr. Nathalie MAUBOURGUET Lundi 24 novembre 2008 Ministère de la Santé, Salle Laroque Séminaire National sur l Organisation de la Prévention des Infections

Plus en détail

10. Instruments optiques et Microscopes Photomètre/Cuve

10. Instruments optiques et Microscopes Photomètre/Cuve 0. Instruments s et Microscopes GENERAL CATALOGUE 00/ Cuve à usage unique pour spectrophotomètre Cuve jetable, moulée en et en pour UV. Avec parois traitées Kartell ment pour une transparence optimale

Plus en détail

Termes de référence du groupe de travail «Risques professionnels et sanitaires»

Termes de référence du groupe de travail «Risques professionnels et sanitaires» Termes de référence du groupe de travail «Risques professionnels et sanitaires» 1 Contexte et justification du groupe de travail 1.1 Présentation de la Plateforme Re-Sources est une Plateforme pour la

Plus en détail

La version électronique fait foi

La version électronique fait foi Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.

Plus en détail

FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL

FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL LE GOUVERNEMENT DU GRAND-DUCHÉ DE LUXEMBOURG Direction de la Santé FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL Un plan d hygiène permet de garantir la propreté du personnel et éviter toutes contaminations

Plus en détail

Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments

Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité

Plus en détail

Evaluation des risques professionnels dans les établissements de santé (dr.l.sctrick)

Evaluation des risques professionnels dans les établissements de santé (dr.l.sctrick) Evaluation des risques professionnels dans les établissements de santé (dr.l.sctrick) Le danger : propriété ou capacité intrinsèque d un équipement, d une substance, d une méthode de travail, de causer

Plus en détail

Acides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6

Acides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6 Acides et bases Acides et bases Page 1 sur 6 Introduction Sont réputés acides et bases au sens des règles de sécurité en vigueur en Suisse, les solides ou liquides qui ont une réaction acide ou alcaline

Plus en détail

SECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR

SECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR SECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR II-0 INDEX SECTION II Pages Section relative au préleveur Heures d ouvertures des laboratoires pour clients externes Requête régionale II-2 II-2 II-3 Informations requises

Plus en détail

Agent d entretien des locaux

Agent d entretien des locaux Agent d entretien des locaux L entretien des locaux (bureaux, écoles, salles polyvalentes, structures sanitaires, gymnases ) nécessite l emploi de techniques, de produits et de matériels spécifiques qui

Plus en détail

STOP à la Transmission des microorganismes!

STOP à la Transmission des microorganismes! STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions

Plus en détail

Identification et analyse des ruptures de flux en pratique

Identification et analyse des ruptures de flux en pratique Identification et analyse des ruptures de flux en pratique Benjamin GAREL Directeur Qualité CHU GRENOBLE Catherine GUIMIER Pharmacien praticien hospitalier CHU GRENOBLE Contexte Ouverture NSC en 2007 Activité

Plus en détail

NETTOYAGE ET CONDITIONNEMENT DU MATERIEL DE SOINS EN VUE DE LA STERILISATION

NETTOYAGE ET CONDITIONNEMENT DU MATERIEL DE SOINS EN VUE DE LA STERILISATION NETTOYAGE ET CONDITIONNEMENT DU MATERIEL DE SOINS EN VUE DE LA STERILISATION OBJECTIFS SPECIFIQUES : ENUMERER SANS ERREUR LES ELEMENTS QUI COMPOSENT LE MATERIEL COURANT DE SOINS EXPLIQUER CHACUNE DES TECHNIQUES

Plus en détail

Liste de contrôle d auto-évaluation pour le niveau de confinement 1 pour les phytoravageurs

Liste de contrôle d auto-évaluation pour le niveau de confinement 1 pour les phytoravageurs Bureau du confinement des biorisques et de la sécurité Office of Biohazard, Containment and Safety Direction générale des sciences Science Branch 59, promenade Camelot 59 Camelot Drive Ottawa ON K1A 0Y9

Plus en détail

Principaux éléments de l emploi en particulier la filière professionnelle, le cadre d emplois correspondant au poste, la durée de travail, etc

Principaux éléments de l emploi en particulier la filière professionnelle, le cadre d emplois correspondant au poste, la durée de travail, etc MODELE DE FICHE DE POSTE INTITULE DU POSTE : AGENT POLYVALENT DES SERVICES TECHNIQUES OBJECTIF PRINCIPAL DU POSTE : Principaux éléments de l emploi en particulier la filière professionnelle, le cadre d

Plus en détail

Ce guide a été réalisé par la CRAM des Pays de la Loire. Il comprend : Nota : l'anatomopathologie et les rayonnements ionisants ne sont

Ce guide a été réalisé par la CRAM des Pays de la Loire. Il comprend : Nota : l'anatomopathologie et les rayonnements ionisants ne sont Ce guide a été réalisé par la CRAM des Pays de la Loire et les Services de Santé au Travail de la Loire Atlantique et du Maine et Loire. Il comprend : S M I C HÂTEAUBRIANT les principes de l évaluation

Plus en détail

LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention

LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC

Plus en détail

Test d immunofluorescence (IF)

Test d immunofluorescence (IF) Test d immunofluorescence (IF) 1.1 Prélèvement du cerveau et échantillonnage Avant toute manipulation, il est fondamental de s assurer que tout le personnel en contact avec un échantillon suspect soit

Plus en détail

CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES

CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES Compétence du socle : Compétence 6 : Les compétences sociales et civiques. Contribution attendue : Utiliser un produit chimique

Plus en détail

Document unique d évaluation des risques professionnels

Document unique d évaluation des risques professionnels Document unique d évaluation des risques professionnels La loi n 91-1414 du 31 décembre 1991 (article L.230-2 du Code du travail), demande au chef d établissement de prendre toutes les mesures nécessaires

Plus en détail

Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire

Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire 1 2 3 4 Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire Partie 1 Chapitre 3: Locaux et matériel 5 6 7 8 9 10 11 12 13 PRINCIPE Les locaux et le matériel doivent être situés,

Plus en détail

Préparation de repas journaliers pour le service de portage à domicile

Préparation de repas journaliers pour le service de portage à domicile Centre Communal d Action Sociale de CARNOULES Département du Var Préparation de repas journaliers pour le service de portage à domicile CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES MARCHE PUBLIC DE PRESTATION

Plus en détail

Tableau pour la conservation et le transport des spécimens à l externe

Tableau pour la conservation et le transport des spécimens à l externe 1. OBJECTIF : Ce document comprend un tableau indiquant les informations nécessaires la conservation des spécimens, à l externe. Il comprend aussi un tableau indiquant les informations nécessaires pour

Plus en détail

Résumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives

Résumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives Référence : PT/RES/006-B Page :Page 1 sur 5 Objet : Maîtriser les dangers microbiologiques, biologiques, chimiques et physiques lors des opérations d épluchage, lavage et désinfection des légumes terreux,

Plus en détail

SOMMAIRE Thématique : Prévention des risques professionnels - Environnement

SOMMAIRE Thématique : Prévention des risques professionnels - Environnement SOMMAIRE Thématique : Prévention des risques professionnels - Environnement Rubrique : Fonctionnels de la prévention du ministère... 2... 4 Rubrique : Risques psychosociaux...12 1 SOMMAIRE Rubrique : Fonctionnels

Plus en détail

Solvants au Travail. Guide pour travailler en sécurité avec les solvants.

Solvants au Travail. Guide pour travailler en sécurité avec les solvants. Solvants au Travail Guide pour travailler en sécurité avec les solvants. Qu est-ce qu un solvant? De nombreux produits chimiques utilisés pour dissoudre ou diluer d autres produits ou matériaux sont appelés

Plus en détail

Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau

Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau Thierry POLATO Agence Régionale de Santé Pays de la Loire Délégation territoriale de Maine-et-Loire

Plus en détail

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire

Plus en détail

Fiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3

Fiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3 Nr. Article- Produit : 48785 Page: Page 1 En cas d urgence appeler le Centre Suisse d information toxicologique, Freiestr. 16, 8032 Zürich; Tél. des Urgences: ( jour et nuit) 145 ou +41 (0)44 251 51 51.

Plus en détail

Infection par le VIH/sida et travail

Infection par le VIH/sida et travail Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage

Plus en détail

Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente

Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente Examens périodiques de santé pour tout assuré social (sauf RSI) Les examens périodiques de santé Pour qui? En règle générale Pour tous les assurés sociaux

Plus en détail

Qualité Sécurité Environnement

Qualité Sécurité Environnement Qualité Sécurité Environnement FORMATION AUDIT CONSEIL EXPERTISE >> Catalogue 2014 Nos innovations: e-learning, évaluation des compétences personnalisation Formation Hygiène Alimentaire ISO 9001 : 2008...

Plus en détail

BRICOLAGE ET LIBRE-SERVICE DO-IT-YOURSELF AND SELF-SERVICE

BRICOLAGE ET LIBRE-SERVICE DO-IT-YOURSELF AND SELF-SERVICE 183 184 1304015 EN 149 - EN 166 - EN 352-1 - EN 388 Kit de sécurité composé d un protecteur auriculaire, d une paire de gants type américain, des lunettes panoramiques et d un masque jetable FFP2 avec

Plus en détail

Vulcano Pièges Fourmis

Vulcano Pièges Fourmis FDS Conforme au règlement 1907/2006/CE et 1272/2008/CE 16-12-10- Page 1/5 FICHES DE DONNEES DE SECURITE 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Produit : Utilisation : Fournisseur : Vulcano Pièges

Plus en détail

Liste des projets. P 02 : Une centrale de diagnostic, conception et réalisation d ouvrage de génie civile, bâtiments et infrastructures

Liste des projets. P 02 : Une centrale de diagnostic, conception et réalisation d ouvrage de génie civile, bâtiments et infrastructures Liste des projets P 01 : Centre d appel et relation client P 02 : Une centrale de diagnostic, conception et réalisation d ouvrage de génie civile, bâtiments et infrastructures P 03 : Agence de conseil

Plus en détail

Préambule.... 2 Chapitre 1 : Rappel des quelques obligations législatives et réglementaires... 2

Préambule.... 2 Chapitre 1 : Rappel des quelques obligations législatives et réglementaires... 2 Charte professionnelle visant à organiser et assurer l hygiène et la sécurité des salariés en situation de coactivité pendant les opérations de montage et de démontage des manifestations commerciales Préambule....

Plus en détail

Semaine Sécurité des patients «Le mystère de la chambre des erreurs!»

Semaine Sécurité des patients «Le mystère de la chambre des erreurs!» Semaine Sécurité des patients «Le mystère de la chambre des erreurs!» Vous avez été X à prendre le risque d entrer dans notre chambre des erreurs, à présent découvrez les erreurs ou risques potentiels

Plus en détail

Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu

Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Introduction Réorganisation profonde nécessaire de l offre de soins Organisation hospitalière

Plus en détail

Accueil et Formations du personnel recruté en Stérilisation Centrale. Présenté par Dany GAUDELET et le Dr. Julien MOLINA

Accueil et Formations du personnel recruté en Stérilisation Centrale. Présenté par Dany GAUDELET et le Dr. Julien MOLINA Accueil et Formations du personnel recruté en Stérilisation Centrale Présenté par Dany GAUDELET et le Dr. Julien MOLINA PLAN Introduction Réglementation Circuit du personnel Procédure de Formation Accueil

Plus en détail

Utilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses

Utilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses INTRODUCTION H.A.C.C.P. ou A.R.M.P.C. L Analyse des risques et maîtrise des points critique La nouvelle réglementation en matière d hygiène (ar. 09 mai 1995 et ar. 29 septembre 1997) oblige les responsables

Plus en détail

Déchets infectieux Élimination des DASRI et assimilés Prévention et réglementation

Déchets infectieux Élimination des DASRI et assimilés Prévention et réglementation Déchets infectieux Élimination des DASRI et assimilés Prévention et réglementation L Institut national de recherche et de sécurité (INRS) Dans le domaine de la prévention des risques professionnels, l

Plus en détail

Méthodes de laboratoire Évaluation de structures mycologiques par examen microscopique

Méthodes de laboratoire Évaluation de structures mycologiques par examen microscopique Méthodes de laboratoire Évaluation de structures mycologiques par examen microscopique MÉTHODE ANALYTIQUE 360 Applicabilité Cette méthode est utilisée pour l évaluation semi-quantitative des structures

Plus en détail

SOINS INFIRMIERS EN HEMODIALYSE

SOINS INFIRMIERS EN HEMODIALYSE SOINS INFIRMIERS EN HEMODIALYSE PLAN I) Rappels d anatomie physiologie II) IRC: Définition Traitement: hémodialyse, dérivation péritonéale, greffe III) Hémodialyse Définition Principes Législation IV)

Plus en détail

Les risques professionnels en EHPAD Carsat-am, juin 2013

Les risques professionnels en EHPAD Carsat-am, juin 2013 Les risques professionnels en EHPAD Carsat-am, juin 2013 Principaux risques professionnels Risques liés aux manutentions /mobilisation de personnes, lombalgie, TMS Déplacements, mobilisation de personnes

Plus en détail

LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE

LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE Tous les jours, des milliers de Néo-Brunswickois travaillent près de produits chimiques dangereux. Même si

Plus en détail

Bio nettoyage au bloc opératoire

Bio nettoyage au bloc opératoire Bio nettoyage au bloc opératoire Béatrice CROZE Infirmière hygiéniste Service d hygiène et d épidémiologie novembre 2012 Le bio nettoyage au bloc L impression omniprésente de travailler dans l urgence

Plus en détail

Contact cutané. Contact avec les yeux. Inhalation. Ingestion.

Contact cutané. Contact avec les yeux. Inhalation. Ingestion. FICHE SIGNALÉTIQUE 995-01 Canutec 1-613-996-6666 (24 heures) 1. PRODUIT CHIMIQUE ET FOURNISSEUR Identification du produit : 995-01 Nom du produit : Graisse montage pneu Famille chimique : Mélange Fournisseur/Fabricant

Plus en détail

Métallerie / Serrurerie

Métallerie / Serrurerie Votre activité peut être liée à celles de traitement de surface/polissage et de décapage. Si vous êtes dans ce cas, reportezvous aux fiches correspondantes. 1 Les déchets Les déchets issus de votre activité

Plus en détail

Systèmes de distribution robotique des médicaments d ordonnance

Systèmes de distribution robotique des médicaments d ordonnance Systèmes de distribution robotique des médicaments d ordonnance Vos patients comptent sur vous, à titre de pharmacien, pour les conseiller en matière de médicaments. Le manque de temps peut compromettre

Plus en détail

7e ÉDITION. Secourisme en milieu de travail. en milieu de travail. www.csst.qc.ca/secourisme

7e ÉDITION. Secourisme en milieu de travail. en milieu de travail. www.csst.qc.ca/secourisme en milieu de travail 7e ÉDITION Secourisme en milieu de travail www.csst.qc.ca/secourisme Ce document est réalisé par la Direction générale de la prévention-inspection et du partenariat, en collaboration

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

L humain au cœur de l entreprise. De l identification à la gestion des Risques Professionnels

L humain au cœur de l entreprise. De l identification à la gestion des Risques Professionnels L humain au cœur de l entreprise De l identification à la gestion des Risques Professionnels Petit déjeuner Conférence du 17 Mars 2009 Sommaire 1. IDER : Identification des Dangers et Évaluation des Risques

Plus en détail

Précautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux

Précautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux Précautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux Ivana Novakova, Arlin IDF ivana.novakova@sap.aphp.fr arlin.idf@sap.aphp.fr La vie en EHPAD: modèle de tous les paradoxes et

Plus en détail

HAS / Service Qualité de l Information Médicale / Février 2007 1

HAS / Service Qualité de l Information Médicale / Février 2007 1 Référentiel d évaluation des centres de santé HAS / Service Qualité de l Information Médicale / Février 2007 1 Sommaire Introduction p. 3 et 4 Référentiel d évaluation p. 5 à 8 Référentiel d évaluation

Plus en détail

RISQUE CHIMIQUE : VÉRIFIER L EFFICACITÉ DES ACTIONS DE PRÉVENTION COLLECTIVE

RISQUE CHIMIQUE : VÉRIFIER L EFFICACITÉ DES ACTIONS DE PRÉVENTION COLLECTIVE RISQUE CHIMIQUE : VÉRIFIER L EFFICACITÉ DES ACTIONS DE PRÉVENTION COLLECTIVE >> www.cramif.fr RISQUE CHIMIQUE : LE SUIVI DES MESURES DE PRÉVENTION Dans le cas du risque chimique, lorsque la substitution

Plus en détail

Campagne de mesures d exposition aux fibres d amiante par microscopie électronique à transmission analytique (META)

Campagne de mesures d exposition aux fibres d amiante par microscopie électronique à transmission analytique (META) Campagne de mesures d exposition aux fibres d amiante par microscopie électronique à transmission analytique (META) Synthèse des résultats et recommandations F. CLERC 1, C. EYPERT- BLAISON 1, M. GUIMON

Plus en détail

Restauration collective. quelques aspects réglementaires

Restauration collective. quelques aspects réglementaires Restauration collective quelques aspects réglementaires JL Fumery Marseille, 17 mai 2005 1 La restauration collective n est pas vraiment un concept nouveau de la préhistoire au moyen-âge quelles que soient

Plus en détail

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte

Plus en détail

MANIPULATION DES PRODUITS POTENTIELLEMENT DANGEREUX EN PHARMACIE COMMUNAUTAIRE

MANIPULATION DES PRODUITS POTENTIELLEMENT DANGEREUX EN PHARMACIE COMMUNAUTAIRE NUMÉRO 138 : MAI 2003 LINE FONTAINE, PHARMACIENNE INSPECTEURE-CONSEILLÈRE PROFESSIONNELLE MANIPULATION DES PRODUITS POTENTIELLEMENT DANGEREUX EN PHARMACIE COMMUNAUTAIRE La diversité et la quantité de médicaments

Plus en détail

Ingrédients No cas % Contrôlé par SIMDUT. Propane 74-98-6 >90 Oui Propylène 115-07-1 <5 Oui Hydrocarbures, C4+ 68476-44-8 <2.5 Oui

Ingrédients No cas % Contrôlé par SIMDUT. Propane 74-98-6 >90 Oui Propylène 115-07-1 <5 Oui Hydrocarbures, C4+ 68476-44-8 <2.5 Oui FICHE SIGNALÉTIQUE 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA COMPAGNIE NOM COMMERCIAL : PROPANE SYNONYMES : Diméthylméthane UTILISATION DU PRODUIT : Carburant NUMÉRO DE LA FS : 251-300 NOM DU FOURNISSEUR NUMÉROS

Plus en détail

FICHE DE DONNÉES DE SECURITÉ Demand CS

FICHE DE DONNÉES DE SECURITÉ Demand CS 01. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIÉTÉ Nom commercial Code produit Usage envisagé LAMB97201 A UTILISER COMME INSECTICIDE UNIQUEMENT Le produit doit être utilisé conformément à l'étiquette Apparence

Plus en détail

Réseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006

Réseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006 Réseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006 La prévention des AES au Centre Hospitalier Lyon Sud HCL, au travers de 2 expériences de terrain réalisées en 2005 1 Origine de la démarche : Prévention des

Plus en détail

Protection du personnel

Protection du personnel PROTOCOLE POUR L EVACUATION DES EXCRETAS PAR LES ENTREPRISES DE VIDANGE/NETTOYAGE ET LES ONG s (Version 1.0, 23 décembre 2010) Sommaire I. Objectifs du protocole II. Protection du personnel III. Aspects

Plus en détail

EBOLA - épidémie 2014 - Transport en ambulance d'un cas suspect

EBOLA - épidémie 2014 - Transport en ambulance d'un cas suspect Virus Ebola Transmission : de personne à personne lors de contact avec liquides biologiques du malade (sang, excréments, vomissures, urine, salive, sperme). Incubation : de quatre à dix jours, au max 21

Plus en détail

3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux

3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux 3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux (111) Cette section présente une liste d actions recommandées qui devraient être mises en place par le gouvernement central

Plus en détail

Eau (N CAS) 7732-18-5 67.5 Non classifié Urea (N CAS) 57-13-6 32.5 Non classifié. Version : 1.0

Eau (N CAS) 7732-18-5 67.5 Non classifié Urea (N CAS) 57-13-6 32.5 Non classifié. Version : 1.0 Date de révision : 15 mai 2015 Date de parution : 15 mai 2015 Remplace la version datée du : 06/09/2013 RUBRIQUE 1 : IDENTIFICATION 1.1. Identificateur du produit Forme du produit : Mélange Nom du produit

Plus en détail

Aséo. 2, rue Jean Perrin 14460-Colombelles. www.aseo.fr. Tél : 02 31 35 74 20-Fax : 02 31 35 74 22

Aséo. 2, rue Jean Perrin 14460-Colombelles. www.aseo.fr. Tél : 02 31 35 74 20-Fax : 02 31 35 74 22 FACILITY MANAGEMENT Aséo 2, rue Jean Perrin 14460-Colombelles Tél : 02 31 35 74 20-Fax : 02 31 35 74 22 www.aseo.fr SOMMAIRE PRESENTATION DE LA SOCIETE ASEO... 3 PRESTATIONS FACILITY MANAGEMENT... 4 1.1

Plus en détail

Conseils pratiques sur l utilisation des produits chimiques agricoles

Conseils pratiques sur l utilisation des produits chimiques agricoles FONGICIDES HERBICIDES INSECTICIDES PPNU SAMU 114 Police 112 ou 999 Mauritius Fire 115 ou 995 and Rescue Service FAREI (Ex AREU) Nord: 266 2087 Mapou Model Farm Sud: 637 8112 Plaisance Demonstration Centre

Plus en détail

Maxwell 16 Blood DNA Purification System

Maxwell 16 Blood DNA Purification System Manuel Technique Maxwell 16 Blood DNA Purification System Attention, cartouches à manipuler avec précaution, les bords scellés peuvent être tranchants. 2800 Woods Hollow Rd. Madison, WI USA Dispositif

Plus en détail

1 Introduction 2. 1.1 Description 2. 1.2 Accessoires et numéros de pièces 2. 1.3 Caractéristiques 3. 1.4 Aspects réglementaires 3. 2 Mise en service 4

1 Introduction 2. 1.1 Description 2. 1.2 Accessoires et numéros de pièces 2. 1.3 Caractéristiques 3. 1.4 Aspects réglementaires 3. 2 Mise en service 4 Table des matières 1 Introduction 2 1.1 Description 2 1.2 Accessoires et numéros de pièces 2 1.3 Caractéristiques 3 1.4 Aspects réglementaires 3 2 Mise en service 4 2.1 Déballage et inspection 4 2.2 Batterie

Plus en détail

INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE

INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février

Plus en détail

KIT ELISA dosage immunologique anti-bsa REF : ELISA A RECEPTION DU COLIS : Vérifier la composition du colis indiquée ci-dessous en pages 1 et 2

KIT ELISA dosage immunologique anti-bsa REF : ELISA A RECEPTION DU COLIS : Vérifier la composition du colis indiquée ci-dessous en pages 1 et 2 KIT ELISA dosage immunologique anti-bsa REF : ELISA : 0033 (0)169922672 : 0033 (0)169922674 : www.sordalab.com @ : sordalab@wanadoo.fr A RECEPTION DU COLIS : Vérifier la composition du colis indiquée ci-dessous

Plus en détail

Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?

Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France? 53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées

Plus en détail

Fiscalité des médicaments, consommables et équipements médicaux dans les pays membres de l UEMOA

Fiscalité des médicaments, consommables et équipements médicaux dans les pays membres de l UEMOA Fiscalité des médicaments, consommables et équipements médicaux dans les pays membres de l UEMOA Dr Amadou Moctar MBAYE & Gérard FOULON Direction santé - Département du Développement Social 2ème Colloque

Plus en détail

Simulation en aviation

Simulation en aviation Hôpitaux Universitaires de Genève Intérêt de la simulation en pharmacotechnie Pr Pascal BONNABRY Pharmacien-chef JFSPH 23 avril 2015 Etre les premiers pour vous Simulation en aviation 2 1 Simulation en

Plus en détail

Apprendre en pratique - dès le début.

Apprendre en pratique - dès le début. Apprendre en pratique - dès le début. Les unités de simulation de la gamme KaVo permettent une formation optimale grâce à un agencement flexible des composants de l équipement, une ergonomie excellente

Plus en détail

APICIL ALTO Evolution

APICIL ALTO Evolution PARTICULIERS APICIL ALTO Evolution La Santé à la carte des seniors de + 55 ans. Ensemble, dessinons votre Protection Sociale Durable APICIL ALTO Evolution Un large choix de garanties pour construire la

Plus en détail

BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES

BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES Septembre 2014 CARTOGRAPHIE DES MÉTIERS DES PRESTATAIRES BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES DANS LES DOMAINES MÉDICO-TECHNIQUES www.metiers-medico-techniques.fr CPNEFP de la branche Négoce et

Plus en détail

UNIVERSITE MOHAMMED V Rabat Ecole Normale Supérieure

UNIVERSITE MOHAMMED V Rabat Ecole Normale Supérieure UNIVERSITE MOHAMMED V Rabat Ecole Normale Supérieure APPEL D OFFRES OUVERT SUR OFFRES DE PRIX 08/ENS/24 BORDEREAU DES PRIX-DETAIL ESTIMATIF Lot n 2 : Achat et installation de matériel pour l enseignement

Plus en détail

Bleu comme un Schtroumpf Démarche d investigation

Bleu comme un Schtroumpf Démarche d investigation TP Bleu comme un Schtroumpf Démarche d investigation Règles de sécurité Blouse, lunettes de protection, pas de lentilles de contact, cheveux longs attachés. Toutes les solutions aqueuses seront jetées

Plus en détail

Médecine nucléaire Diagnostic in vivo

Médecine nucléaire Diagnostic in vivo RADIOPROTECTION : SECTEUR MÉDICAL Médecine nucléaire Diagnostic in vivo TEP-TDM ou TEP (1) au fluor 18 et autres émetteurs de positons Définition : acte à visée diagnostique utilisant actuellement du fluor

Plus en détail

La matrice emploi- exposition spéci2ique du milieu de soin : application au risque chimique

La matrice emploi- exposition spéci2ique du milieu de soin : application au risque chimique La matrice emploi- exposition spéci2ique du milieu de soin : application au risque chimique C. Verdun- Esquer Service Médecine du Travail et Pathologie Professionnelle - CHU de Bordeaux SFMT 23/01/2015

Plus en détail

BRICOLAGE. Les précautions à prendre

BRICOLAGE. Les précautions à prendre BRICOLAGE Les précautions à prendre Chaque année, près de 300 000 personnes arrivent aux Urgences à la suite d un accident de bricolage et/ou de jardinage. Respecter quelques règles simples de prévention

Plus en détail

SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD)

SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) 1 PSAD: qui sommes nous - 1 200 000 patients toutes prestations confondues, pris en charge tous les jours à domicile en : oxygénothérapie ventilation

Plus en détail

CHARTE HYGIENE & SECURITE

CHARTE HYGIENE & SECURITE L C P CHARTE HYGIENE & SECURITE Laboratoire de Chimie-Physique UMR8000 Bâtiments 349, 350, 201P2 et 207A Octobre 2014 1 Le mot du directeur Octobre 2014 L activité de recherche, pour passionnante qu elle

Plus en détail

Prévention du risque infectieux en EHPAD, MAS, FAM et IME

Prévention du risque infectieux en EHPAD, MAS, FAM et IME Prévention du risque infectieux en EHPAD, MAS, FAM et IME Équipe: Dr Elise Seringe elise.seringe@sap.aphp.fr Ivana Novakova ivana.novakova@sap.aphp.fr 01 40 27 42 53 arlin.idf@sap.aphp.fr C CLINs de FRANCE

Plus en détail

ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL. Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble

ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL. Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble Définition d un AES Sang ou liquide biologique potentiellement contaminant Sécrétions vaginales / sperme

Plus en détail

TECHNOLOGIE APPLIQUÉE. Expérience. KEYWORDS Lab automation, consolidation, integration, clinical chemistry, immunoassay

TECHNOLOGIE APPLIQUÉE. Expérience. KEYWORDS Lab automation, consolidation, integration, clinical chemistry, immunoassay Ronan TALEC*, Daniel BOUIGE** Expérience d automation et de consolidation en biochimie et immunoanalyse au Groupe Hospitalier du Havre Expérience RÉSUMÉ En 2003, le Groupe Hospitalier du Havre a lancé

Plus en détail

VigiClé Système «KeyWatcher»

VigiClé Système «KeyWatcher» DOSSIER TECHNIQUE VigiClé Système «KeyWatcher» SOMMAIRE DESCRIPTION DU «VigiClé» 1.1 Sécurisez vos clés 1.2 Remise des clés 1.3 Les différents modèles 1.4 Spécifications techniques PORTE-CLES 2.1 Conception

Plus en détail

GUIDE pour l aménagement sanitaire des établissements alimentaires. Centre québécois d inspection des aliments et de santé animale

GUIDE pour l aménagement sanitaire des établissements alimentaires. Centre québécois d inspection des aliments et de santé animale GUIDE pour l aménagement sanitaire des établissements alimentaires Centre québécois d inspection des aliments et de santé animale La «marche en avant» consiste à éviter autant que possible le croisement

Plus en détail

Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR

Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Les produits d usage domestique comprennent les produits de nettoyage (p. ex., les nettoie-vitres et les produits de nettoyage

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL DES ARMEES. Edition Chronologique n 41 du 20 septembre 2013. PARTIE PERMANENTE Etat-Major des Armées (EMA) Texte n 4

BULLETIN OFFICIEL DES ARMEES. Edition Chronologique n 41 du 20 septembre 2013. PARTIE PERMANENTE Etat-Major des Armées (EMA) Texte n 4 BULLETIN OFFICIEL DES ARMEES Edition Chronologique n 41 du 20 septembre 2013 PARTIE PERMANENTE Etat-Major des Armées (EMA) Texte n 4 CIRCULAIRE N 2855/DEF/DCSEA/SDO/SDO2/RD2 relative aux contrôleurs en

Plus en détail

Energy Optimization System (EOS) Pour les stations d épurations

Energy Optimization System (EOS) Pour les stations d épurations Energy Optimization System (EOS) Pour les stations d épurations Water EOS par Schneider Electric Water EOS est une solution testée, validée et documentée. Elle est, dans cette version, dédiée et pré-définie

Plus en détail