PSYCHOSE DE L ENFANT
|
|
- Aurore Pépin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 PSYCHOSE DE L ENFANT Définition Trouble mental (psychique) empêchant l enfant de reconnaître la réalité pour ce qu elle est et de devenir autonome Causes Elles restent discutées : perturbation précoce de la relation mère-enfant, l enfant ne pouvant acquérir une identité stable et restant «collé» avec la mère, trouble de la maturation cérébrale (le cerveau ne s est pas développé normalement) souffrance fœtale (le fœtus a souffert au cours de la grossesse ou au cours de l accouchement) maladies génétiques ou maladie cérébrale Symptômes et signes l enfant supporte mal le changement, Il a une attitude de retrait, Jeux et gestes stéréotypés, voir répétitifs, Retard de langage Ne prend pas conscience de son image Difficulté dans l image de soi (ne se voit pas) Parle à la 3eme personne (on, il, ) Les fonctions psychomotrices ne sont pas évoluées Anxiété majeure Incapacité d agir Relation inadéquate avec l entourage et les autres enfants Vie imaginative, délire envahissant l enfant. Existe-t-il une base organique? Certains auteurs sont convaincus qu il existe une défaillance innée ou acquise très précoce de l équipement biologique, neurologique chez l enfant Les facteurs héréditaires apparaissent dans certaines études généalogiques, et dans le cas de naissance de jumeaux, l incidence de la maladie serait de 8O% chez les jumeaux d un même ovule, à 20% chez les jumeaux nés d un œuf différent Les antécédents fœtaux, des altérations sévères du nouveau-né, des convulsions postnatales, une déshydratation, maladie et accidents divers sont retrouvées dans une grande fréquence de la maladie psychotique Certaines recherches montrent qu il apparaît une déficience mentale importante organique( souffrance encéphalopathique, neurologique) Goldstein (1959) pense que la psychose infantile est due à des troubles neurologiques importants, empêchant l enfant d être en harmonie avec son environnement. 1
2 Pronovost (1966) pense qu a la base il y aurait un trouble de la perception et de l intégration des sons et des phrases par l oreille, la vision,le goût. Selon Rutter et Wing la psychose serait due à un trouble de l intégration de la stimulation auditive ( incapacité relative de comprendre les sons, donc de parler correctement d où parfois une certaine relation avec les malentendants). Bergman et Escalona (1949) incriminent une trop grande sensibilité exagérée aux stimuli sensoriels, visuels et auditifs «barrière protectrice» trop faible Certains auteurs insistent sur des anomalies relationnelles (parents-enfants), sur les perturbations de l organisation de la personnalité de l enfant, sur les fantasmes angoissants et tout un processus de défense contre ces angoisses (cris, gestes stéréotypés ) Cela dit on peut noter de très grandes perturbations dans la prise en charge des enfants par les parents. Chez certains parents, on peut voir des éléments psychotiques, des anomalies du caractère et de la personnalité. Ainsi on peut admettre : Des mères hyperprotectrices, dominatrices, anxieuses, rigides, obsessionnelles ou à l inverse faibles, immatures. Dans cette perspective, on remarque souvent une très nette ambivalence à l égard de l enfant (attitudes d amour possessif et de rejet dans un même temps, une déficience paternelle) Kanner écrit ceci : «De tels parents semblent incapables d éprouver de la joie à voir leurs enfants tels qu ils sont et s efforcent de leur faire acquérir calme, appétit, maîtrise sphinctérienne aussi précoce que possible, un vocabulaire riche ; presque tous ces enfants présentent une attention d automate avec des besoins organiques ou matériels uniquement» Prout et While décrivent la vie étriquée de ces mères, projetant sur leurs enfants, leurs propres désirs, un besoin de «s approprier» leur enfant pour dépasser un sentiment de frustration, combler un sentiment de vide, d incomplétude. Certaines ayant le désir de «tuer» inconsciemment leur enfant. Cela va se voir chez des mères qui vont rejeter l enfant et souhaitent d être comblées simultanément de façon contradictoire Toutes ces thèses de la relation mère-enfant sont encore à l étude. 2
3 Développement Les psychoses de l enfant évoquent un manque, plutôt que celle d un débordement de l imaginaire. Le risque majeur pour un enfant psychotique, est la constitution à plus ou moins longue échéance d un état déficitaire fixé,. On arrive chez l enfant à la mort du tempsde la vie psychique- c est la chronicité. Sur un plan intellectuel Les enfants autistes de type psychotique peuvent atteindre un niveau d âge de 4-5 ans, voir 6 ans pour certains. L échec du psychotique Lorsqu une personne normale dit MOI JE, elle dit qu elle est une, et ce faisant elle distingue ce qui n est pas elle., ( De Soi, de l Autre). Nous avons coupé le cordon ombilical. Quand nous disons MOI-JE, nous sommes donc Moi Corps, mais aussi Moi Esprit. Nous commençons à être riche de notre vie intérieure et à être riche de pensées. Chaque enfant se délimite par rapport à son sexe et s identifie à son genre particulier, de plus un enfant se situe de plus en plus dans sa destinée de petit d hommes, il organise et s organise dans la chronologie du temps, dans la succession des événements qui comptent, ce sentiment de continuité correspond à cette intime conviction d être Moi. Ensuite c est dans la relation parentale que l enfant va se spécifier (Moi garçon, Moi fille) L enfant psychotique ne parvient pas à ce processus, il n accède pas au niveau de l identification sexuelle. Délimitation La mauvaise délimitation témoigne du trouble central de l identité. La confusion Moi/Non Moi représente le fonctionnement habituel d un psychotique. Quand un enfant mord ou se mord, il tente d incorporer en lui les relations parentales, voir de fusionner avec un des deux parents, sans prise de distance, il n y a plus de délimitation enfant-parent. Cette élément est appelé porosité de la psyché elle peut être telle qu un enfant psychotique arrive à se confondre avec le modèle, être une ombre fidèle. On parle alors de conduite en écho : l échopraxie (lorsqu il s agit de gestes), d écholalie (lorsqu il s agit du langage.) Cette mauvaise délimitation explique des conduites de la vie quotidienne, cela renforce l idée que les psychotiques ont des conduites insensées, c est à dire porteurs de non-sens, d absences de sens. Cette mauvaise délimitation développe l angoisse de morcellement. 3
4 Le morcellement Cette mauvaise délimitation, explique le fonctionnement psychotique et en premier l angoisse. Dans la mesure ou la personne est mal délimitée, elle ne possède pas les repères nécessaires qui l assurent que ce qui se sépare d elle (chose, autrui) ou ce qui sort d elle (morve, urine, pensée.).ne sont pas autant de morceaux d elle-même. Et ces éléments sont considérés par la personne psychotique comme une perte de soi. Les stimuli extérieurs peuvent être vécus comme envahissants. Les angoisses du psychotique sont donc celles de morcellement et d envahissement. L angoisse de morcellement peut se localiser au niveau génital et évoquer quelque chose de l ordre de la castration. Ce morcellement peut s exprimer à travers de conduites motrices. Le psychotique peut s exprimer au travers de bonhomme-patate au corps non fermé, il évoque alors un vécu chaotique. Les conduites corporelles Les conduites concernent les problèmes liés à ce qui sort du corps ( urine, morve, fèces, sang menstruel.) Ces transformations corporelles exacerbent le morcellement et majorent l angoisse de manière insupportable. Cela entraîne des conduites d auto mutilations importantes Les conduites d hyperkinésies Ces conduites sont là comme un essai de contrôle de l environnement L automutilation On rencontre l automutilation chez un psychotique déficitaire. L automutilation pour ces enfants serait l ultime recours pour se sentir exister. L enfant l utilise comme l équivalent d une autostimulation pour avoir conscience de la chair, de lui. Une autre forme d automutilation est davantage un éclatement, est souvent utilisée par les autres, l enfant s acharne contre une partie du corps, généralement la même : ( la tête les mains ou les avant-bras.) Tout paraît indiquer que ces patients se sentent habités par des ennemis «les mauvais objets», et qu il est vital de s en débarrasser, de les écraser. L autostimulation, quand elle est une autostimulation, est comparable à une enveloppe qui délimite et fortifie le sentiment d exister tout en protégeant du morcellement. 4
5 Les conduites de destruction Elles évoquent le morcellement, l enfant distingue mal ce qui est lui de ce qui n est pas de lui. Vêtements, cubes vitres peuvent être perçus comme autant de morceaux du chaos qui le constitue et qui l entoure L éclatement agressif C est l émergence de l angoisse, ils sont comme des écorchés vifs, littéralement comme des êtres sans épaisseur, sans peau. L éclatement agressif est un morcellement total de ce qui tient lieu de Soi et de l entourage L envahissement Si la mauvaise délimitation et la fragilité du sentiment d identité impliquent que les parties du corps et de la pensée peuvent s éparpiller, le sentiment de désintégration est vécu comme succédant à une attaque par des éléments extérieurs. L univers est vécu comme menaçant par ces enfants qui se méfient et se tiennent à distance. On a tout lieu de penser que c est l enfant psychotique qui projette sa souffrance et son agressivité sur son entourage perçu comme destructeur Ces vulnérabilités évoquent des carences du sentiment continu d exister. Le temps de l autisme : C est un temps mort et vide, un blanc. Englués dans leurs stéréotypies, ils sont dans la monotonie et la répétition. Enfermés dans une «carapace», les autistes sont coupés du monde qui bouge, se transforme et se renouvelle. Exclus de la vie, hors du temps, ils ont gelé leur pensée et seul le corps vieillit. Ces cloisonnements étanches entre ses capacités, ses manières d être, traduisent un manque important au niveau de la continuité de la personne ; le passage à l acte a remplacé l activité mentale. Pour l autiste la notion du temps est inconnue, la répétition ou il s enferme confère un vécu d éternité, hors du temps La relation Mère-enfant Dans certains cas, ce type de relation ou chacun est englouti et englouti son partenaire. Rattachés l un à l autre, l enfant et la mère semblent partager une pensée unique, l enfant ressent ce que l adulte ressent. On parle alors de projection et d introjection. Le psychotique n accède que très rarement au langage, alors l introjection et la projection servent d osmoses entre les deux partenaires soit entre des partenaires mal délimités (fusionnels) soit à l occasion de circonstances émotionnelles particulières. Projeter consiste à percevoir chez l autre ( a faire ressentir même par l autre ce que l on a y envoyé, sans en être conscients bien sur) Introjecter est le phénomène inverse 5
6 Introjecter et projeter sont deux mouvements successifs. Le psychotique cherche fréquemment à se débarrasser du mauvais qu il ressent en le projetant, en l injectant dans quelqu un ou quelque chose d extérieur, et ce Mauvais le pénètre en retour. L introjection et la projection concernent des sentiments, des idées. Chez le psychotique, le développement de la pensée est difficile, quand il n est pas quasiment nul Chez les psychotiques, les représentations sont du registre de l imaginaire GERARD-YVES CATHELIN Livre de référence : L enfant psychotique de J.P. FAVRE Edition MASSON
Qu est-ce que la maladie de Huntington?
Qu est-ce que la maladie de Huntington? Description sommaire Qu est-ce que la maladie de Huntington? La maladie de Huntington (MH) est une maladie neurodégénérative longtemps connue sous le nom de Chorée
Plus en détailAVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION
AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION NOVEMBRE 2014 La Fédération québécoise de l'autisme (FQA) est un regroupement
Plus en détailles ateliers TOUT-PETITS NOM Petits gestes autour d un thème. DESCRIPTION Découverte de manipulations simples autour d un thème spécifique.
TOUT-PETITS Petits gestes autour d un thème. Découverte de manipulations simples autour d un thème spécifique. Il est intéressant que le thème utilisé soit en relation avec la vie de l enfant : thème travaillé
Plus en détailPRÉPARATION TERMINALE AVANT UNE ÉCHÉANCE MAJEURE
PRÉPARATION TERMINALE AVANT UNE ÉCHÉANCE MAJEURE LA PRÉPARATION PHYSIQUE DES DERNIERS JOURS Les Jeux Olympiques de Londres 2012 Un essai de N. Krantz Mai & juin 2012 LES REPRÉSENTATIONS COMME PORTE D ENTRÉE
Plus en détail«La capacité à être seul», WINNICOTT
«La capacité à être seul», WINNICOTT La capacité d être seul est un signe des plus importants de la maturité du développement affectif. On repère chez le sujet ce qu il éprouve dans des situations de solitude,
Plus en détail[FORMAT AGRANDI DE LA POLITIQUE D ACCESSIBILITÉ POUR LES PERSONNES HANDICAPÉES]
Type de doc. Politique Section Administration Prochain examen Décembre 2016 [FORMAT AGRANDI DE LA ] 1. Portée La présente politique s applique à tous les services et programmes fournis par le Centre de
Plus en détailMIEUX CONNAÎTRE LES HANDICAPS, ADAPTER SON COMPORTEMENT
MIEUX CONNAÎTRE LES HANDICAPS, ADAPTER SON COMPORTEMENT Chaque handicap est différent. Si la classification des handicaps en grandes familles peut, au premier abord, paraître réductrice, elle a cependant
Plus en détailLes aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie.
Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Sarah CAILLOT, Psychologue Réseau Breizh IMC- Pôle MPR St-Hélier (Rennes)- Journée Inter-régionale
Plus en détailLES MATINALES DE LA FONDATION
LES MATINALES DE LA FONDATION «De quelques apories en médecine» Conférence du Professeur Amine BENJELLOUN, Pédopsychiatre à Casablanca, Docteur en Ethique Médicale, Chercheur Associé à l'umr 7268 Anthropologie-Droit-
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailMa vie Mon plan. Cette brochure appartient à :
Ma vie Mon plan Cette brochure est pour les adolescents(es). Elle t aidera à penser à la façon dont tes décisions actuelles peuvent t aider à mener une vie saine et heureuse, aujourd hui et demain. Cette
Plus en détailLE DÉVELOPPEMENT PSYCHOMOTEUR DU NOURRISSON ET JEUNE ENFANT 0-6 ANS
LE DÉVELOPPEMENT PSYCHOMOTEUR DU NOURRISSON ET JEUNE ENFANT 0-6 ANS DE QUELS MOYENS DISPOSE-T-ON? EXAMEN CLINIQUE + QUESTIONS des grandes étapes du développement de l'enfant dans les domaines de : Acquisition
Plus en détailQuelles sont les principales difficultés sociales que rencontrent les enfants et les adolescents?
Quelles sont les principales difficultés sociales que rencontrent les enfants et les adolescents? Questions courantes sur la cognition sociale et les capacités des personnes atteintes du SVCF Par le Dr
Plus en détailAutisme Questions/Réponses
Autisme Questions/Réponses 1. Quelle est la définition de l autisme et des autres troubles envahissants du développement établie dans l état des connaissances élaboré et publié par la HAS? Les définitions
Plus en détailTransformez votre relation au monde!
Transformez votre relation au monde! Formations certifiantes PNL QUEST interactive 2013-2014 Qu est-ce que la PNL? La PNL (Programmation Neuro-linguistique) est une discipline développée dans les années
Plus en détailCommunication par l image chez les enfants autistes Les technologies tactiles dans le monde du handicap http ://bit.ly/discoverindiarose
Communication par l image chez les enfants autistes Les technologies tactiles dans le monde du handicap http ://bit.ly/discoverindiarose Anthony Froissant, José Martins Tuteur : Frédéric Moal Université
Plus en détailGUIDE PRATIQUE pour l AUXILIAIRE de VIE SCOLAIRE. accompagnant un enfant présentant des troubles envahissants du développement
COMMISSION EDUCATION C D C P H (Conseil Départemental Consultatif des Personnes Handicapées) GUIDE PRATIQUE pour l AUXILIAIRE de VIE SCOLAIRE accompagnant un enfant présentant des troubles envahissants
Plus en détailLes enfants autistes ont besoin d apprendre comme les autres
LJ Corporate. Crédits photo : Fotolia - J.B. Mariou - D.R. Nos associations militent pour un accompagnement éducatif et comportemental précoce des personnes autistes, afin de les aider à progresser et
Plus en détailPréface de Germain Duclos
je suis capable! i, Moi auss Marie-Francine Hébert Marie-Claude Favreau Préface de Germain Duclos Moi aussi je suis capable! Texte : Marie-Francine Hébert Illustrations : Marie-Claude Favreau Préface
Plus en détailTROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC)
TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC) Comprendre, prévenir et prendre en charge la clinique du mouvement et de l agir de l enfant Pierre Delion 1. Actualité Les enfants sont préoccupants sur ce point
Plus en détailDevoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire
Devoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire Pourquoi traiter des devoirs et leçons avec les TDA/H? Parce que c est un des problèmes le plus souvent rencontrés avec les enfants hyperactifs
Plus en détailCOUPLE ET PROBLÈMES SEXUELS
COUPLE ET PROBLÈMES SEXUELS Introduction Christine Reynaert et Pierre Collart ont tous deux activement participé à l ouverture de centres spécialisés dans le traitement de troubles sexuels (voir analyse
Plus en détailLES MECANISMES DE DEFENSE
LES MECANISMES DE DEFENSE Table des matières Table des matières 3 I - GENERALITES, DEFINITION 7 A. GENERALITES, DEFINITION...7 II - LES PRINCIPAUX MECANISMES DE DEFENSE 9 A. le refoulement :...9 B. la
Plus en détailLoin de mes yeux. Chaque personne apprivoise la mort à sa façon, ce qui apporte à cette dernière
Loin de mes yeux Chaque personne apprivoise la mort à sa façon, ce qui apporte à cette dernière expérience une dimension unique. Voici un guide tout simple, une carte routière pour vous montrer les chemins
Plus en détailLES BASES DE LA MÉTAPSYCHOLOGIE
Chapitre 1 LES BASES DE LA MÉTAPSYCHOLOGIE I. RAPPEL THÉORIQUE Le terme Métapsychologie désigne le cadre théorique que Freud a élaboré et enrichi tout au long de sa vie. La métapsychologie constitue la
Plus en détailPistes d intervention pour les enfants présentant un retard global de développement
Pistes d intervention pour les enfants présentant un retard global de développement Pistes d intervention pour les enfants présentant un retard global de développement, MELS, novembre 2011 Page 1 Document
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailLA PNL. Programmation Neuro Linguistique
LA PNL Programmation Neuro Linguistique Définition : Programmation «A partir des expériences que nous vivons depuis notre enfance (et peut être avant), nous nous créons des programmes de fonctionnement
Plus en détail7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision.
7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision. 7.1 Pour la myopie (mauvaise vue de loin) : Test de vision de loin Sur le mur d un pièce, fixez l illustration ci-dessous que vous
Plus en détailCommission Polydog Règlement de compétition SportPlaisir Catalogue des disciplines catégorie adresse niveau B
1 FAIRE UNE PIROUETTE SUR UNE PALETTE Description des installations Une estrade plane (palette) est placée au sol à environ 7 pas du point de départ. Pour le CCh, une ligne de démarcation est tracée un
Plus en détailDEPISTAGE DE L AUTISME
DEPISTAGE DE L AUTISME CHAT (Check list For Autism in Toddlers) utilisable dès l'âge de 18 mois : - Evitement du regard - Absence de jeu symbolique (jouer à faire semblant) - Absence de pointer proto-déclaratif
Plus en détailGuide Classes CM1-CM2
Guide Classes CM1-CM2 Vous souhaitez monter un projet d information, un événement, une action en soutien à une association? L association Laurette Fugain a besoin de vous! SOMMAIRE Présentation de l association
Plus en détailQuestionnaire pour les enseignant(e)s
info@educatout123.fr www.educatout123.fr +31 614303399 L enfant qui bouge beaucoup! C est un fait, un enfant bouge beaucoup, il a besoin de se dépenser. Il arrive même parfois qu on n arrive plus à tenir
Plus en détailPROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON
PROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON Pourquoi une structure innovante pour jeunes adultes autistes dits «évolués»? L association Sésame-Autisme Rhône-Alpes souhaite offrir aux
Plus en détailBULLETIN ELECTRONIQUE DU CCC
BULLETIN ELECTRONIQUE DU CCC Octobre 2014 LE BULLETIN ELECTRONIQUE DU CCC Dans ce bulletin: Nouveau logo du CCC Formations: Formations à Gand Belgique en mars/avril et octobre 2015 Article: Autisme : vivre
Plus en détailVotre conférencier. Christian Martineau
Votre conférencier Christian Martineau Immédiatement après l obtention d un diplôme de deuxième cycle (MBA exécutif à l'université de Sherbrooke), M. Martineau entreprend une formation de 3 ans en synergologie.
Plus en détailTroubles du comportement de l enfant et de l adolescent
1 ère partie : Modules transdisciplinaires - Module 3 : Maturation et vulnérabilité - Objectif 39 : Troubles du comportement de l enfant et de l adolescent Rédaction : JP Visier, M Maury et P Bizouard
Plus en détailGuide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite
Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailEvaluation Agi Son 2005. Agi son 2005. Evaluation de la campagne de sensibilisation aux risques auditifs liés à l écoute de musiques amplifiées
Agi son Evaluation de la campagne de sensibilisation aux risques auditifs liés à l écoute de musiques amplifiées 1 Introduction p. 3 Méthode p.4 1. Le public p.5 A. Caractéristique des personnes interrogées
Plus en détailFORMATION : POSTURE COACH, LES METIERS D ACCOMPAGNEMENT
FORMATION : POSTURE COACH, LES METIERS D ACCOMPAGNEMENT Que vous soyez parent, enseignant, formateur, pédagogue, coach, manager Que votre activité professionnelle ou simplement la quête de vous-même vous
Plus en détailLE DÉVELOPPEMENT PSYCHOMOTEUR DE L ENFANT DEPISTAGE DE L AUTISME (TROUBLES ENVAHISSANTS DU DÉVELOPPEMENT OU TED)
LE DÉVELOPPEMENT PSYCHOMOTEUR DE L ENFANT DEPISTAGE DE L AUTISME (TROUBLES ENVAHISSANTS DU DÉVELOPPEMENT OU TED) DÉPISTAGE ENTRE 18 MOIS ET 2 ANS COMMENT REPERER L'AUTISME INFANTILE AVANT 3 ANS troubles
Plus en détailGROUPE DE PAROLE SUR L HYGIENE ET LA PRESENTATION
GROUPE DE PAROLE SUR L HYGIENE ET LA PRESENTATION Programme d éducation et de motivation à l hygiène pour les patients en psychiatrie Cécile GABRIEL-BORDENAVE C.H. St Egrève (38) Problèmes d hygiène corporelle
Plus en détailLa contribution des pères au développement de leur enfant
Activité 1 La contribution des pères au développement de leur enfant Le père: Un rôle en évolution Théorie de l évolution Question de survie! Homme Animaux Christine Gervais, Ph. D., Professeur au département
Plus en détailLe bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009
Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Introduction L attention est une fonction de base dont l intégrité est nécessaire au bon fonctionnement cognitif
Plus en détailDescription des résidants dans les IHP et les MSP
I RAPPORT NATIONAL RPM 1999 Description des résidants dans les IHP et les MSP Données d admission D après le tableau 1 A (p.1), au 30 juin 1999, les initiatives d habitation protégée comptaient 2853 résidants
Plus en détailIl y a un temps pour tout «Il y a un temps pour tout et un moment pour chaque chose», dit l Ecclésiaste signifiant ainsi à l homme qui veut accéder à
Il y a un temps pour tout «Il y a un temps pour tout et un moment pour chaque chose», dit l Ecclésiaste signifiant ainsi à l homme qui veut accéder à la sagesse qu il lui faut, avant tout, adapter ses
Plus en détailHARCÈLEMENT CRIMINEL. Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer!
HARCÈLEMENT CRIMINEL Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer! Qu est-ce que c est? Le harcèlement criminel est un crime. Généralement, il s agit d une conduite répétée durant une période de temps qui
Plus en détailLes troubles spécifiques des apprentissages
Les troubles spécifiques des apprentissages www.apedys78-meabilis.fr En collaboration avec L. Denariaz, psychologue cognitiviste Points clefs Définitions et repérage Quelle est l origine du trouble? Vers
Plus en détailACCUEIL EN CENTRE DE LOISIRS ENFANT PORTEUR DE HANDICAP
ASSOCIATION DES CENTRES DE LOISIRS 11 avenue Jean Perrot - 38100 GRENOBLE Tél. : 04 76 87 76 41 - Fax : 04 76 47 52 92 E-mail : secretariat@acl-grenoble.org Site Internet : http://www.acl-grenoble.org
Plus en détail4720.5560.46 (septembre 2009) 30 %
4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % Prévenir le jeu excessif chez les adolescents C est toujours gagnant! Pourquoi ce dépliant? [ ] Le rôle des parents est déterminant dans la prévention du jeu excessif
Plus en détailApprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici».
1. Apprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici». Près d un enfant sur cinq est victime de violence sexuelle, y compris d abus sexuels. Vous pouvez empêcher que cela arrive à votre enfant. Apprenez
Plus en détailI/ Qu est-ce que l aphasie? French
I/ Qu est-ce que l aphasie? French Vous avez, vraisemblablement, récemment eu à faire à l aphasie et ce, pour la première fois. L aphasie appelle d emblée quelques questions comme : qu est-ce que l aphasie,
Plus en détailPROGRAMME DE FORMATION CONTINUE DES ORTHOPHONISTES. SDOFOLi ANNEE 2015
SDOFOLi Savoirs Des Orthophonistes Formation Ligériens PROGRAMME DE FORMATION CONTINUE DES ORTHOPHONISTES SDOFOLi ANNEE 2015 SDOFOLi - 9 rue de la Calade - 42660 ST-GENEST-MALIFAUX RENSEIGNEMENTS PRATIQUES
Plus en détailOrganiser, plannifier
Dossier HABITAT - Organiser, plannifier Organiser, plannifier 010-011 Les métiers et l organisation Situation de départ : Les travaux de la maison vont commencer, qui doit intervenir en premier, comment
Plus en détailEpilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire?
Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? L épilepsie concerne plus de 500 000 personnes en France, dont la moitié sont des enfants ou des adolescents.
Plus en détailL agénésie isolée du corps calleux
L agénésie isolée du corps calleux Agénésie calleuse Dysgénésie du corps calleux La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus
Plus en détailTROUSSE DE PROMOTION DE LA LECTURE AUX TOUT-PETITS LE MEILLEUR JOUET DES TOUT-PETITS
LE LE MEILLEUR JOUET DES TOUT-PETITS CONTENU DE CETTE TROUSSE 12 CONSEILS AFFICHE ET AUTOCOLLANTS 11 VIDÉOS 5 PAQUETS D AFFICHETTES RONDES DÉCORATIVES LIVRE «AU PARC AVEC CHAMINOU» (LIVRE NON DISPONIBLE
Plus en détailComment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS
Comment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS Intégration était le maître mot de la loi de 75, scolarisation est ce lui
Plus en détailComment se constitue la personnalité? Un bébé heureux a-t-il le plus de chances de devenir un adulte heureux?
Philippe Scialom 1 Un bébé heureux a-t-il le plus de chances de devenir un adulte heureux? La petite enfance est une période beaucoup plus déterminante qu on ne pourrait le penser : tout ce que va vivre
Plus en détailPolitique Institutionnelle. Politique de protection de l enfance. Direction Générale Fédérale 2007 PI 01
Politique Institutionnelle Politique de protection de l enfance Direction Générale Fédérale 2007 PI 01 Politique Institutionnelle Politique de protection de l enfance 2 1. PRINCIPES : PRÉVENTION DES ABUS
Plus en détailFORCE DE VENTE : une approche commerciale efficace
Les formations standardisées voulant mettre le commercial dans un «moule» et formater une personne en appliquant des techniques à la lettre sont bien différentes de ce que nous vous proposons chez Semaphorus.
Plus en détailLes adultes souffrant d autisme ou de syndromes apparentés pris en charge par les établissements médico-sociaux
Ministère de l emploi, du travail et de la cohésion sociale Ministère de la santé et de la protection sociale L enquête ES 2001 recensait environ 5 000 personnes atteintes d autisme ou de syndromes apparentés,
Plus en détailAvoir confiance en soi
Sarah Famery Avoir confiance en soi Nouvelle édition Groupe Eyrolles, 1999, 2001, 2004, ISBN 2-7081-3537-6 Chapitre 2 Mettez-vous en situation et faites votre autodiagnostic L expression du manque de confiance
Plus en détailL E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s
L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s Stéphane Safin Psychologue - Ergonome Lucid Group -
Plus en détailPOURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS?
POURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS? Pourquoi vivons-nous des émotions? Voilà une excellente question! Avez-vous pensé: «Les émotions nous rendent humains» ou : «Elles nous permettent de sentir ce qui
Plus en détailVivre à domicile ou en institution : effets d âge, de santé, mais aussi d entourage familial
Vivre à domicile ou en institution : effets d âge, de santé, mais aussi d entourage familial Gérard Bouvier, Liliane Lincot, Chantal Rebiscoul* En 2009, un peu plus de 600 000 personnes sont hébergées
Plus en détailAutisme : recommandations didactiques et pédagogiques. pour enseigner à un élève atteint d autisme ou autres TED en collège
Page 1 sur 12 Autisme : recommandations didactiques et pédagogiques pour enseigner à un élève atteint d autisme ou autres TED en collège Introduction : Grâce à un diagnostic souvent précoce, et à l évolution
Plus en détailL Edition Pilotée XL
L Edition Pilotée XL Piloter son activité, une nécessité Processus décisionnel: «Exploiter les données de l entreprise dans le but de faciliter la prise de décision» Etre informé en permanence sur l état
Plus en détailBien dans sa tête, bien dans sa peau: pour une école en santé! Fannie Dagenais, Dt.p., Directrice ÉquiLibre, Groupe d action sur le poids
Bien dans sa tête, bien dans sa peau: pour une école en santé! Fannie Dagenais, Dt.p., Directrice ÉquiLibre, Groupe d action sur le poids ÉquiLibre Organisme à but non lucratif fondé en 1986 sous le nom
Plus en détailTroubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003
Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19 Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Plans et objectifs Pendant la grossesse Troubles mineurs, dépressions
Plus en détaildes banques pour la recherche
ADN, cellules, tissus... des banques pour la recherche FÉVRIER 2009 Les banques d échantillons de matériel biologique (tissus, cellules, ADN ), appelées biobanques, mettent à disposition des chercheurs
Plus en détailAssociation Suisse romande de Parents d Enfants et d adultes concernés par le trouble du Déficit d Attention / Hyperactivité
accompagner Association Suisse romande de Parents d Enfants et d adultes concernés par le trouble du Déficit d Attention / Hyperactivité préface table des matières 1 / Définition P. 4 2 / Manifestations
Plus en détailL'ENFANT ET SA FAMILLE.
L'ENFANT ET SA FAMILLE. D. W. Winnicott LES FONCTIONS DE L'ENVIRONNEMENT : Le potentiel inné d'un enfant ne peut devenir un enfant que si il est couplé à des soins maternels. Les mères ne sont pourtant
Plus en détailL univers vivant De la cellule à l être humain
L univers vivant De la cellule à l être humain La cellule humaine Voir : http://www.biologieenflash.net/sommaire.html Voir : http://fr.wikipedia.org/ La cellule humaine Unité de base de tous les êtres
Plus en détailEmplacement de la photo d ouverture du domaine
FORMATION INITIATEUR Emplacement de la photo d ouverture du domaine Commission pédagogique de la Direction Technique Nationale 28/11/03 Une dimension morale «Être responsable» c est accepter et subir,
Plus en détailLE SOMMEIL : QUAND MORPHÉE SE FAIT ATTENDRE
LE SOMMEIL : QUAND MORPHÉE SE FAIT ATTENDRE Le sommeil est très important pour la croissance et le bon développement de l enfant. Toutefois, il arrive que certains bébés aient plus de mal à dormir que
Plus en détailQuelques stratégies pédagogiques pour enseigner à un enfant atteint d autisme ou autres TED en maternelle Communication Interactions sociales
Quelques stratégies pédagogiques pour enseigner à un enfant atteint d autisme ou autres TED en maternelle Ces stratégies ont pour but de permettre à un enfant atteint d un trouble envahissant du développement
Plus en détailOLIVER L ENFANT QUI ENTENDAIT MAL
OLIVER L ENFANT QUI ENTENDAIT MAL «Oliver l enfant qui entendait mal» est dédié à mon frère, Patrick, qui est malentendant, à la famille, aux amis, et aux professionnels, qui s impliquèrent pour l aider.
Plus en détailProtection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004
Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004 Objectifs : indiquer les objectifs de prévention du Service départemental de Protection Maternelle et
Plus en détailLa conduite automobile et le vieillissement
La conduite automobile et le vieillissement Présenté par Martin Lavallière, M.Sc. Étudiant au doctorat, Faculté de Médecine Document préparé par Martin Lavallière, Marie Eve Roussel et Philippe Voyer Bonjour,
Plus en détailROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches
ROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches Le don de cellules souches Jean VIVIN 04/2013 1-Nature du problème : 2- Technique Les leucémies représentent
Plus en détailStratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés
Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement
Plus en détailJE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE!
rétablissement et psychose / Fiche 1 JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE! JJérôme s énerve : «Je ne suis pas psychotique! Vous ne dites que des conneries! Je suis moi, Jérôme, et je ne vois pas le monde comme vous,
Plus en détailARS et Conseils généraux de Bretagne Prestations d études et d analyses de l organisation de la prise en charge des personnes avec TED dans les ESSMS
ARS et Conseils généraux de Bretagne Prestations d études et d analyses de l organisation de la prise en charge des personnes avec TED dans les ESSMS Synthèse des questionnaires destinés aux établissements
Plus en détail313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013
313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,
Plus en détailL ANIMAL PEUT-IL AIDER L INDIVIDU AUTISTE? ETAT DES LIEUX DE L INTERVENTION ANIMALE DANS LA PRISE EN CHARGE DE L AUTISME EN FRANCE
ECOLE NATIONALE VETERINAIRE D ALFORT Année 2008 L ANIMAL PEUT-IL AIDER L INDIVIDU AUTISTE? ETAT DES LIEUX DE L INTERVENTION ANIMALE DANS LA PRISE EN CHARGE DE L AUTISME EN FRANCE THESE Pour le DOCTORAT
Plus en détailDons, prélèvements et greffes
Dons, prélèvements et greffes Donneur : d une vie à une autre... Chaque année, en France, plus de 10000 malades attendent une greffe afin de continuer à vivre ou d améliorer une existence lourdement handicapée.
Plus en détailDocument à destination. des personnels de l enseignement supérieur.
Document à destination des personnels de l enseignement supérieur. Vous trouverez dans ce document différentes informations vous permettant de mieux appréhender l arrivée d un(e) étudiant(e) en situation
Plus en détailQU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR?
QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR? Source: DUMONT, Nicole. Femmes d aujourd hui, Vol. 1 No. 8., janvier 1996. On dit de certaines personnes qu elles n ont pas de tête ou qu elles n ont pas de
Plus en détailUE11 Phonétique appliquée
UE11 Phonétique appliquée Christelle DODANE Permanence : mercredi de 11h15 à 12h15, H211 Tel. : 04-67-14-26-37 Courriel : christelle.dodane@univ-montp3.fr Bibliographie succinte 1. GUIMBRETIERE E., Phonétique
Plus en détailLa migraine : quelle prise de tête!
La migraine : quelle prise de tête! Introduction La migraine est une véritable «prise de tête» pour les personnes qui en souffrent! Bien au-delà d un mal physique, cette réelle maladie engendre également
Plus en détailUn guide à l attention des familles et proches COMA ET ÉTATS DE CONSCIENCE ALTÉRÉE SUITE À UNE ATTEINTE CÉRÉBRALE
Un guide à l attention des familles et proches COMA ET ÉTATS DE CONSCIENCE ALTÉRÉE SUITE À UNE ATTEINTE CÉRÉBRALE Table des matières Introduction...2 Qu est-ce que la conscience?...3 Comment la conscience
Plus en détailMise en route de Cobian Backup
1 Mise en route de Cobian Backup L installation est un peu longue mais vous n aurez à la faire qu une seule et unique fois. Après tout se déroulera sans aucune intervention de votre part. 1. Installation
Plus en détailCet art qu est la psychanalyse
Cet art qu est la psychanalyse Thomas H. Ogden Cet art qu est la psychanalyse Rêver des rêves inrêvés et des cris interrompus Préface de Florence Guignard Traduit de l anglais par par Ana de Staal et Mage
Plus en détailL'aidant familial face à Alzheimer: la tablette un outil simple et pratique
L'aidant familial face à Alzheimer: la tablette un outil simple et pratique Vous trouverez ici notre guide d utilisation et d accompagnement pour l'aidant familial utilisant la tablette et nos jeux de
Plus en détailPatient Diagnostics Tests Rapides Désir d Enfant
Enceinte ou non? Patient Diagnostics Tests Rapides Désir d Enfant Les tests uniques en leur genre d aide à la planification familiale à utiliser chez soi Test d ovulation Test de grossesse précoce Test
Plus en détailLhopitault Aurora PES 09 février 2011. Unité d apprentissage : Les fruits. Unité d apprentissage : les fruits séance 1
Lhopitault Aurora PES 09 février 2011 Unité d apprentissage : Les fruits Niveau : MS Domaine : Découvrir le monde Objectif : Découvrir le vivant : les fruits Organisation : 2 groupes 8 élèves/7 élèves
Plus en détail