HSH et relations sexuelles monnayées : un portrait des répondants ayant déclaré des partenaires sexuels occasionnels tarifés

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "HSH et relations sexuelles monnayées : un portrait des répondants ayant déclaré des partenaires sexuels occasionnels tarifés"

Transcription

1

2 HSH et relations sexuelles monnayées : un portrait des répondants ayant déclaré des partenaires sexuels occasionnels tarifés Objet : L enquête en ligne «Net Gay Baromètre» dresse, tous les deux ans, un portait des internautes français fréquentant les sites de rencontre gays et vise à circonscrire la manière dont ces hommes vivent leur sexualité et la prévention avec des partenaires occasionnels ou réguliers. Nous proposons ici d esquisser un portrait contrasté des répondants ayant déclaré avoir reçu de l argent, de la drogue, des biens ou des services en échange de relations sexuelles. Méthode : Les répondants furent recrutés en ligne, entre décembre 2012 et novembre 2013 (n=15 532), à partir de 9 sites de rencontre représentatifs de la diversité des cultures de sexe gay, du réseau social Facebook, ainsi que des réseaux de contenu Google. Furent menées des analyses statistiques de Chi-carre (χ2), de variance (ANOVA) avec un taux de signification de 95 % (p <0,05) ainsi que des régressions logistiques simples et multivariées. Cette analyse permet de dresser un portrait des répondants ayant déclarant avoir tarifé un ou plusieurs partenaires sexuels masculins dans les 12 derniers mois, et permet de mieux comprendre ces formes relationnelles comme d en dégager les enjeux. Résultats Un groupe dont le portrait souligne de nombreuses vulnérabilités Les répondants ayant déclaré avoir reçu de l argent, des biens ou des services en échange de relations sexuelles représentent 5.6 % de notre échantillon (n= 877). La presque totalité de ces hommes 85,6 % déclarent négocier ces relations contre de l argent, 20,1 % contre des cadeaux, 16,9 % contre des services, 7,2 % contre de la drogue et 4,2 % contre de l argent dans le but d acquérir de la drogue. Comparés aux autres répondants, ils sont significativement plus jeunes (M=29.5 vs 38.8 ans), deux fois plus nombreux à avoir moins de 1000 euros de revenu par mois (39,1 % versus 19,6 %), plus souvent issus d une minorité visible (18,7 % vs 7,9 %), alors qu ils déclarent plus souvent un sentiment d appartenance à la communauté gay (42,9 % vs 34.4) en étant plus nombreux à fréquenter régulièrement des espaces identifiés comme «gays» (32,4 % vs 18,2 %), en particulier les établissements et les lieux de sexe (81 % vs 64,9 %). Leur première relation sexuelle a eu lieu plus tôt soit, en moyenne, à l âge de 16 ans versus 19 ans pour les autres répondants, même si leur génération permet d expliquer en partie cet écart. Si 17.5 % se déclarent séropositifs, ils sont surtout plus nombreux à «ne plus être certains d être séronégatifs» (11.5 % vs 5.9 %), ceci pouvant s expliquer par leur grand nombre de partenaires occasionnels. Leur usage du réseau internet est plus intense et sujet à un sentiment de dépendance Fréquentant Internet à des fins de rencontre de manière plus intense, ces hommes ont plus souvent un compte sur les réseaux sociaux (84,8 % vs 77,3 %), utilisent plus souvent des applications géolocalisantes (55 % vs 40,5 %) se sentent plus dépendant des interactions en ligne (51,6 vs 41 %) aux rencontres en ligne (57,6 % vs 45, 7 %), mais aussi à la pornographie (51,3 % vs 39,5 %). 1

3 Grands consommateurs de sexe, leurs partenaires tarifés ne représentent que le tiers de leurs aventures Les répondants du net gay Baromètre ayant au moins un partenaire tarifé dans l année déclarent en moyenne trois fois plus de «plans» (M=97 vs 33) pour une moyenne de 52.4 partenaires différents. Ils sont aussi deux fois plus nombreux à avoir déclaré au moins une partenaire occasionnelle femme dans les 12 derniers mois (22,9 % vs 11,9 %). Leurs partenaires tarifés sont deux fois moins nombreux puisqu ils n en déclarent en moyenne que 26 dans la dernière année. Lorsque nous les interrogeons sur l âge moyen de leurs partenaires occasionnels, celui-ci se situe autour de 32 ans, alors que l âge moyen de leur client est, logiquement, plus élevé se situant autour de 41 ans et demi. Ainsi, leur sexualité semble s organiser de manière intense avec des partenaires de leur âge alors qu ils tarifient leurs partenaires plus âgés. Le registre de leurs pratiques sexuelles est vaste, mais moins intense avec leurs clients Leurs pratiques sexuelles s organisent dans un vaste registre et se distinguent des autres répondants. Avec leurs partenaires occasionnels, ils sont plus nombreux à déclarer la sodomie passive (89 % vs 78 %), le barebacking (69,2 %, vs 44,2 %), le sexe en groupe (74,9 %, vs 52 %), les tournantes comme passif (57,2 % vs 30,9 %), le fist-fucking (38,6 % vs 20,9 %), l urophilie (47,5 % vs 24 %), la scatophilie (11,7 vs 4,1 %) et le BDSM (58,9 % vs 33,7 %). Environ la moitié des répondants ayant déclarée des partenaires tarifés dans les 12 derniers mois précisent que leurs pratiques sont différentes avec leurs clients et ils déclarent avec eux moins souvent de sodomie passive (71,5 %), moins fréquemment de pratiques bareback (37,9 %), moins souvent la pratique du sexe en groupe (40,8 %), moins de «tournantes» de (34,4 %), moins souvent l urophilie (38,4 %) et encore moins souvent la pratique du BDSM (44,6 %). Ainsi, leur vaste registre de pratiques sexuelles se retrouve bien dans leurs activités tarifées, mais semble développé de manière moins intense. Un fort engagement dans la consommation de substances psychoactives Nettement plus engagés dans la consommation de drogues, ils sont 2 à 3 fois plus nombreux à déclarer consommer de grandes quantités d alcool (78,7 % vs 66,6 %), du cannabis (46,4 % vs 24,8 %), le poppers (59,9 % vs 39,7 %), l ecstasy (15,8 % vs 3.9 %), la cocaïne (22,9 % vs 8.0 %), du crack (4,7 % vs 0,6 %), des amphétamines (15,2 % vs 2.9 %), du MDMA (16,2 % vs 5.5 %), du GHB (17.8 % vs 5.7 %), du Crystal Meth (8.2 % vs 2 %), de la kétamine (8,7 % vs 2,4 %), de l héroïne (4 % vs 0,6), du Viagra/Cialis (18 % vs 13,2 %), des produits pharmacologiques (12,1 % vs 4,2 %) et des cathinones (8.3 % v 2 %). Suivant la même logique que précédemment, pour la grande majorité, ce n est pas avec leurs clients que cette consommation a lieu, puis qu ils ne sont que 21,8 % à déclarer que leur consommation se pratique dans le cadre de leurs relations sexuelles tarifées. Il ne semble pas non plus que ce soit leur consommation qui les amène à monnayer leurs relations puisqu ils ne sont que 4,2 % à déclarer avoir tarifé leurs partenaires pour acheter de la drogue et sont seulement 7,2 % à avoir accepté un client en échange de drogue. Des comportements à risque moins fréquents avec les clients qu avec leurs partenaires occasionnels Les répondants, ayant monnayé des relations sexuelles, sont plus nombreux à déclarer au moins une pénétration anale non protégée (PANP) avec des partenaires occasionnels (72,8 % vs 52,4 %) dans les 12 derniers mois, comme à s engager dans des prises de risques régulières (49,2 % vs 33,7 %), voire systématiques (10,4 % vs 5,9 %). Assez logiquement, ils sont nombreux à déclarer des pratiques bareback (62,8 % vs 41,6 %) avec un moindre souci de séroadaptation. Par exemple, ils sont plus nombreux à avoir eu des pratiques bareback avec un partenaire occasionnel au statut sérologique différent du leur (29,2 % vs 20,1 %). Conséquemment, ils ont plus nombreux à avoir déclaré au moins une IST dans l année (30,6 % vs 18,8 %) et à avoir eu recours au TPE (6,8 % vs 2 %). 2

4 Cependant, comme pour les pratiques ou leur consommation de substance, ces hommes semblent s exposer moins souvent avec leurs clients. En effet, ils ne sont que 48.6 % à rapporter au moins une pénétration anale non protégée avec un partenaire tarifé et 39.0 % déclarent des PANP régulières avec des clients (versus, respectivement, 72,8 % et 49,2 % avec leurs partenaires non tarifés). Ils sont cependant 12.1 %, parmi ceux qui ont déclaré une PANP dans un cadre tarifié, à préciser l avoir subie «sans consentement préalable». Les travailleurs du sexe les plus jeunes n ont pas un comportement plus sécuritaire Même si les chiffres montrent des ratios légèrement inférieurs, les travailleurs du sexe âgés de ans sont statistiquement aussi susceptibles que leurs aînés d avoir pratiqué la PANP avec un client, que ce soit au moins une fois (45,6 % vs 51,6 % ; p=0.177) ou régulièrement (35,8 % vs 43,1 % ; p=0.099). Ils ne sont d ailleurs ni plus ni moins préoccupés que leurs aînés par la prévention du VIH (37,6 % vs 41.8 % ; p=0.289) ou les comportements sexuels à risque (43.7 % vs 46,6 % ; p=0.478). En effet ces écarts sont non significatifs dans le modèle statistique. Même en départageant les séropositifs et les séronégatifs, la braguette d âge n a pas d effet statistiquement significatif sur la prise de risque. Les travailleurs du sexe se protégeant avec leurs clients ont des prises de risque régulières «ailleurs» Les HSH monnayant des relations sexuelles et ne rapportant aucune PANP avec leurs clients (donc se protégeant toujours avec eux) sont 32,9 % à rapporter une prise de risque régulière avec leurs partenaires occasionnels non-tarifés. Ils sont cependant beaucoup moins nombreux proportionnellement que les escortes rapportant une prise de risque avec leurs clients ; ceux-ci sont 90,7 % à rapporter une prise de risque régulière avec leurs occasionnels. Ainsi, le tiers des escortes «safe» ne le sont plus dans leur «vie privée» ; et la quasitotalité des escortes «non-safe» ne se protège pas en dehors de leur «travail». Un portrait psychosocial méritant attention, à l intersection de multiples discriminations Le portrait psychosocial de ces hommes mérite une attention particulière. Ils se présentent plus fréquemment en tant que victimes d injures (41,9 % vs 20,4 %) et d agressions (9.5 % vs 3.0 %), ils déclarent plus souvent des idées suicidaires (23,6 % vs 16,1 %), un sentiment de solitude (40,8 % vs 36,0 %), la recherche de sensations fortes (61,9 % vs 42,4 %). 15,8 % d entre eux déclarent cependant avoir régulièrement développé des sentiments envers des partenaires tarifés. Par ailleurs, ce groupe se trouve à l intersection de multiples discriminations. En effet, ils se sentent plus souvent discriminés sur la base de leur orientation sexuelle (38,3 % vs 24,4 %), de leurs origines ethnoculturelles (10,9 % vs 4,2 %), de leur identité de genre (6,5 % vs 1,8 %) ou de leurs manières (19,8 % vs 10 %), de leur séropositivité (8,8 % vs 5,6 %) et, assez logiquement, sur la base de leur activité de «travailleur du sexe» (20,1 % vs 2,4 %) et ce particulièrement dans le milieu gay. Que savons-nous de leurs clients? Parmi ceux qui proposaient une compensation (n=659), l âge moyen était de 45,4 ans et l âge moyen des partenaires tarifés était de 27.3 ans. La recherche d escort s effectuait le plus souvent dans les mêmes espaces que ceux que privilégient les travailleurs du sexe de notre échantillon à savoir : sur des sites de rencontre gays ou mixtes (55,1 %), sur des sites d annonces généralistes (50.8 %) ou sur des sites d escortes spécialisés (31,0 %). Les hommes offrant une compensation déclarent les plus souvent faire affaire avec des hommes qui se présentent les plus souvent comme homosexuels (62,4 %) mais aussi comme bisexuels (21,4 %), voire comme hétérosexuels pour 7,6 % d entre eux. Plus du quart de ces hommes rémunérant certains de leurs partenaires (27,5 %) rapportent avoir régulièrement développé des sentiments envers leurs partenaires tarifés. 3

5 Les clients ne rapportent en moyenne que 5.5 partenaires rémunérés par année, vraisemblablement parce que leur recours à de tels partenaires est relativement rare : 90,7 % (n=598) d entre eux déclarent des relations tarifées seulement «rarement ou parfois». Ainsi, les partenaires rémunérés ne constituent la moitié des partenaires occasionnels que pour moins du tiers d entre eux. Sur le plan des comportements sexuels à risque, 44,5 % des clients ces hommes rapportent au moins une pénétration anale non protégée avec un partenaire tarifé, et le tiers (33,1 %) déclare des PANP régulières. Parmi ceux ayant pris ces risques, ces pénétrations étaient le plus souvent consenties sans condition particulière (68,9 %) ou avec un certain arrangement (28,4 %), mais très rarement «imposées» (3.1 %). Au niveau de leurs pratiques sexuelles, seuls 31 % (n=204) des clients rapportent des pratiques sexuelles différentes (avec les hommes qu ils paient) de celles qu ils ont habituellement avec leurs partenaires occasionnels. Les variables permettant de prédire un plus fort engagement dans l achat de services sexuels (soit de rapporter qu au moins 50 % de leurs partenaires occasionnels étaient des partenaires rémunéré) sont : le fait de ne pas être satisfait de son apparence physique, de chercher à développer des sentiments avec ces partenaires rémunérés et d être plus souvent préoccupé par les comportements sexuels à risque. Ces résultats dressent, eux aussi, un portrait contrasté de ces hommes, très éloignés du cliché véhiculé par les médias. Il va de soi que pénaliser ces hommes ne pourra nullement les aider à retrouver une meilleure estime d eux-mêmes. Conclusion : Travailleurs du sexe ou HSH, très actifs sexuellement, tarifant accessoirement leurs partenaires? Les répondants du net gay Baromètre ayant déclaré des partenaires sexuels tarifés ne sont que 21,8 % à préciser que cette activité représente une part importante de leurs revenus. Il semble donc que ce groupe ne soit pas homogène et que d autres analyses soient nécessaires pour dégager des profils distincts. Ceci est reflété dans le nombre de partenaires tarifés moyen puisque, ceux déclarant un fort revenu associé à ces activités, déclarent en moyenne 52.5 partenaires tarifés par année contre seulement 6 partenaires, en moyenne, chez ceux pour qui cette activité semble moins soutenue et, sans doute, plus circonstancielle. Le portrait de la majorité de ces hommes ne semble donc ne pas rejoindre d image professionnelle affichée par les travailleurs du sexe inscrits comme «escorts» sur des sites spécialisés, le plus important étant, en Europe, Gayroméo. Cet éditeur n ayant pu promotionner notre questionnaire dans sa section Escort, alors que notre équipe avait développé cette section à leur intention première, nous n avons pas eu accès à ces abonnés travaillant comme «escorts» en inscrivant souvent leur activité dans un parcours en migratoire. Les travailleurs du sexe, dont nous parlons ici, proviennent donc de l ensemble des sites de rencontres gay français ou des réseaux sociaux, qui, pour la plupart, ne peuvent que censurer leur activité en application de la loi française sur le proxénétisme. Ils semblent donc plutôt de grands consommateurs sexuels développant un grand registre de pratiques qui, pour la grande majorité, tarifieraient «accessoirement» un certain nombre de leurs partenaires, possiblement trop âge ou pas à trop éloigné de leur goût. Cependant, environ le quart de ces hommes semble bien rejoindre le profil des escorts professionnels. Quoi qu il en soit, les répondants ayant déclaré avoir reçu de l argent, de la drogue, des biens ou des services en échange de relations sexuelles s exposent à des risques clairement identifiés, mais, contradictoirement, nettement moins souvent avec leurs clients. Possiblement rejoints par le biais des sites de rencontres qu ils privilégient pour leurs activités, des études plus poussées sur le plan qualitatif permettraient d orienter les interventions envers ce groupe aux besoins et intérêts spécifiques en matière de santé. Cependant, le renforcement de la position abolitionniste de la France rendra encore plus difficile l accès à ces populations. 4

Sida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test»

Sida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test» Sida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test» Dossier de presse Juin 2008 Sida : le test du dépistage encore trop peu souvent associé à l arrêt du préservatif dans le couple Situation de l infection

Plus en détail

Liste de vérification pour la planification des services d approche

Liste de vérification pour la planification des services d approche Liste de vérification pour la planification des services d approche Janvier 2014 La présente liste de vérification s adresse aux praticiens de la santé publique qui font du travail de proximité auprès

Plus en détail

Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas

Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Prise de position de Caritas_mars 2011 Migration: un plus pour la Suisse En bref: Quel est l effet de

Plus en détail

ACCÉLÉRER METTRE FIN À L ÉPIDÉMIE DE SIDA D ICI À 2030

ACCÉLÉRER METTRE FIN À L ÉPIDÉMIE DE SIDA D ICI À 2030 ACCÉLÉRER METTRE FIN À L ÉPIDÉMIE DE SIDA D ICI À 2030 Mettre fin à l épidémie de sida ces mots renferment de tels espoirs et de telles promesses. Grâce à des engagements mondiaux et à des objectifs précis,

Plus en détail

Sexe au présent : le plus grand sondage mené auprès des hommes gais et bisexuels au Canada

Sexe au présent : le plus grand sondage mené auprès des hommes gais et bisexuels au Canada Sexe au présent : le plus grand sondage mené auprès des hommes gais et bisexuels au Canada Webinaire de CATIE Le 5 février 2015 Ordre du jour Qui sommes-nous? Il était une fois «Sexe au présent» Qu avons-nous

Plus en détail

Estimations 2014 des consommations de produits psychoactifs à 17 ans

Estimations 2014 des consommations de produits psychoactifs à 17 ans Estimations des consommations de produits psychoactifs à 17 ans Stanislas Spilka, Olivier Le Nézet et François Beck Note 2015-02 du 21 avril 2015 L enquête ESCAPAD Cette note présente les premières exploitations

Plus en détail

LA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI

LA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI LA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI? LA MÉTHAMPHÉTAMINE est un produit stupéfiant illicite, synthétisé à partir de substances chimiques, également connu sous le nom de «crystal» ou «crystalmet», «ice»,

Plus en détail

Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction

Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction OFDT Note n 2010-12 Saint-Denis, le 09/08/2010 Introduction Les premières structures

Plus en détail

Chaque Jour, les enfants sont victimes d intimidation.

Chaque Jour, les enfants sont victimes d intimidation. Chaque Matin... Chaque heure de MIDI... Chaque AprÈs-midi... Chaque Jour, les enfants sont victimes d intimidation. Apprenez comment vous pouvez faire cesser l intimidation. Les communautés et les écoles

Plus en détail

La Mutuelle Des Etudiants, 10 ans de lutte contre le VIH

La Mutuelle Des Etudiants, 10 ans de lutte contre le VIH La Mutuelle Des Etudiants, 10 ans de lutte contre le VIH www.lmde.com La Mutuelle des Étudiants - LMDE : mutuelle soumise aux dispositions du livre II du code de la Mutualité. SIREN 431 791 672. Siège

Plus en détail

La cybercriminalité et les infractions liées à l utilisation frauduleuse d Internet : éléments de mesure et d analyse pour l année 2012

La cybercriminalité et les infractions liées à l utilisation frauduleuse d Internet : éléments de mesure et d analyse pour l année 2012 La cybercriminalité et les infractions liées à l utilisation frauduleuse d Internet : éléments de mesure et d analyse pour l année 2012 Jorick Guillaneuf, chargé d études statistiques à l ONDRP DOSSIER

Plus en détail

PROMOUVOIR LA SANTÉ ET LES DROITS SEXUELS ET REPRODUCTIFS

PROMOUVOIR LA SANTÉ ET LES DROITS SEXUELS ET REPRODUCTIFS PROMOUVOIR LA SANTÉ ET LES DROITS SEXUELS ET REPRODUCTIFS Positionnement en vue de la session spéciale des (22 septembre 2014) 2 1. FACE À UN AVENIR INCERTAIN, LES GOUVERNEMENTS DOIVENT SE REMOBILISER

Plus en détail

Sondage d opinion auprès des Canadiens Perception à l égard des couples de même sexe PROJET 12717-014

Sondage d opinion auprès des Canadiens Perception à l égard des couples de même sexe PROJET 12717-014 Sondage d opinion auprès des Canadiens Perception à l égard des couples de même sexe PROJET 12717-014 Table des matières Contexte et objectifs... 6 Méthodologie... 8 Résultats détaillés 1. Perception

Plus en détail

Joël Tremblay, Ph.D Nadine Blanchette-Martin, M. Serv. Soc. Pascal Garceau, étudiant en sociologie

Joël Tremblay, Ph.D Nadine Blanchette-Martin, M. Serv. Soc. Pascal Garceau, étudiant en sociologie Portrait de consommation de substances psychoactives de jeunes consultant en centre spécialisé en toxicomanie (PAJT) et provenant du Centre jeunesse de Québec Joël Tremblay, Ph.D Nadine Blanchette-Martin,

Plus en détail

EFFICACITE DE LA RPP DANS LA DÉTECTION DE SUBSTANCES ISSUES DES FAMILLES DU MDMA, DES AMPHETAMINES ET DES HALLUCINOGENES TYPE 2CB RECUEILLIES EN MILIEU FESTIF PRADEILLE J.L.*, CHAKROUN N.**, BELTRAN V.*,

Plus en détail

D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S

D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les

Plus en détail

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse

Plus en détail

LES DANGERS QUE L ON PEUT

LES DANGERS QUE L ON PEUT LES DANGERS QUE L ON PEUT ENCOURIR SUR INTERNET Table des matières Introduction...1 1 Des pourcentages étonnants et assez effrayants...1 2 La commission nationale de l informatique et des libertés (C.N.I.L.)...2

Plus en détail

Pourquoi inclure la fourniture de services dans la proposition? Eléments à prendre en compte dans l analyse de situation

Pourquoi inclure la fourniture de services dans la proposition? Eléments à prendre en compte dans l analyse de situation Aide technique pour les propositions de la série 8 du Fonds mondial Zone élargie Zone de fourniture de services Prévention Communication pour la modification du comportement écoles et extension communautaire

Plus en détail

Avis d'emploi vacant. Poste(s) supervisé(s) : Date d'affichage : 18 mars 2015. À propos de CATIE

Avis d'emploi vacant. Poste(s) supervisé(s) : Date d'affichage : 18 mars 2015. À propos de CATIE Titre du poste : Service : Relève de : Poste(s) supervisé(s) : Statut : Endroit : Courtier en connaissances, Programmes de santé sexuelle des hommes gais Échange des connaissances Directrice associée,

Plus en détail

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014 L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS Juin 2014 Contacts BVA : Céline BRACQ Directrice BVA Opinion Lilas BRISAC Chargée d études 01 71 16 88 00

Plus en détail

L écart salarial entre les femmes et les hommes en Belgique

L écart salarial entre les femmes et les hommes en Belgique L écart salarial entre les femmes et les hommes en Belgique Rapport 2014 Table des matières Le rapport 2014... 5 1. Différences salariales générales... 6 1.1 L écart salarial en salaires horaires et annuels...

Plus en détail

Les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français

Les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français Les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français Le 18 novembre 2014 Combien de joueurs? Enquête en ligne, réalisée par TNS Sofres, entre le 13 et le 25 septembre 2014, auprès d un échantillon

Plus en détail

La fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de 2007-2008

La fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de 2007-2008 La fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de 2007-2008 Ce document se veut une analyse succincte des indicateurs se rapportant à

Plus en détail

L interchange. Ce que c est. Comment ça fonctionne. Et pourquoi c est fondamental pour le système des paiements Visa.

L interchange. Ce que c est. Comment ça fonctionne. Et pourquoi c est fondamental pour le système des paiements Visa. L interchange Ce que c est. Comment ça fonctionne. Et pourquoi c est fondamental pour le système des paiements Visa. Il n y a pas si longtemps, les consommateurs n avaient d autre choix que d utiliser

Plus en détail

Newsletter. Éditorial. Janvier - février 2012 SOMMAIRE

Newsletter. Éditorial. Janvier - février 2012 SOMMAIRE Newsletter Janvier - février 2012 Éditorial Philippe-Pierre Dornier Président directeur général Alexandre de la Nézière Directeur général Yann Jaouën Manager L année 2012 a débuté pour chacun d entre vous

Plus en détail

LA SANTE DES ETUDIANTS 2011

LA SANTE DES ETUDIANTS 2011 LA SANTE DES ETUDIANTS 2011 Rapports N 1000467- Mai 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 40 00 Fax. (33) 01 44 94 40 01 www.csa.eu SA au capital de 3 387 456 RCS Paris

Plus en détail

Dossier pratique n 6

Dossier pratique n 6 Dossier pratique n 6 Internet, mineurs et législation Contributeurs : Action Innocence France et Maître Ségolène Rouillé-Mirza, Avocate au Barreau de Paris - Mai 2010 www.actioninnocence.org france@actioninnocence.org

Plus en détail

Interview de Vincent Chevallier et de Stéphanie Lucien-Brun, Coprésidents. de Locaux Motiv (Lyon)

Interview de Vincent Chevallier et de Stéphanie Lucien-Brun, Coprésidents. de Locaux Motiv (Lyon) 25/06/2013 Interview de Vincent Chevallier et de Stéphanie Lucien-Brun, Coprésidents de Locau Motiv (Lyon) Coop alternatives 47, rue de la Garde 69005 Lyon - 06 48 03 74 14 - contact@coop-alternatives.fr

Plus en détail

"La santé des étudiants en 2015"

La santé des étudiants en 2015 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2015" 9 ème Enquête Nationale 1999 2015 Enquête Santé d emevia Depuis plus de 16 ans, à l écoute des étudiants 1 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes

Plus en détail

Complément pédagogique

Complément pédagogique Complément pédagogique L intimité de son corps La violence verbale Le racket L égalité L amour L intimité de son corps L enfant, comme l adulte, est maître de son corps et seul juge de ses sentiments.

Plus en détail

INTERNET ET LA LOI. Marie-Ange CORNET (CAL/Luxembourg)

INTERNET ET LA LOI. Marie-Ange CORNET (CAL/Luxembourg) INTERNET ET LA LOI Marie-Ange CORNET (CAL/Luxembourg) QUELQUES PRINCIPES Internet, c est aussi la vraie vie Le monde virtuel est aussi le monde réel : les lois s y appliquent Nous sommes toutes et tous

Plus en détail

Advanzia Bank S.A. Brochure d information sur le compte à vue «Livret Advanzia»

Advanzia Bank S.A. Brochure d information sur le compte à vue «Livret Advanzia» Advanzia Bank S.A. Brochure d information sur le compte à vue «Livret Advanzia» 1. Description générale du produit... 2 1.1 Frais et commissions... 2 1.2 Qui peut ouvrir un Livret?... 2 1.3 Justific a

Plus en détail

Les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français

Les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français Les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français Rappel de la méthodologie mise en œuvre Echantillon Mode de recueil Dates de terrain 2800 individus âgés de 6 à 65 ans. Plus précisément : 2000

Plus en détail

9.11 Les jeux de hasard et d argent

9.11 Les jeux de hasard et d argent 9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,

Plus en détail

STATUTS DE CONTACT PARIS ILE-DE-FRANCE

STATUTS DE CONTACT PARIS ILE-DE-FRANCE STATUTS DE CONTACT PARIS ILE-DE-FRANCE Chapitre 1 - BUT ET COMPOSITION DE L ASSOCIATION Article 1 Il est fondé entre les adhérent-e-s aux présents statuts une association régie par la loi du 1 er juillet

Plus en détail

Novembre 2006. Dépistage anonyme et gratuit du VIH Profil des consultants de CDAG en 2004 - Enquête épidémiologique transversale

Novembre 2006. Dépistage anonyme et gratuit du VIH Profil des consultants de CDAG en 2004 - Enquête épidémiologique transversale Novembre 2006 Profil des consultants de CDAG en 2004 - Enquête épidémiologique transversale sommaire Introduction p. 2 Matériel et méthode p. 3 Résultats p. 5 1 Participation p. 5 1.1 Participation des

Plus en détail

Modèle de phases FlexWork: Sondage des entreprises et administrations suisses sur la flexibilité géographique et temporelle du travail

Modèle de phases FlexWork: Sondage des entreprises et administrations suisses sur la flexibilité géographique et temporelle du travail Institut de recherche et de développement coopératifs ifk Modèle de phases FlexWork: Sondage des entreprises et administrations suisses sur la flexibilité géographique et temporelle du travail Auteurs/Auteure:

Plus en détail

Les recommandations de recherche de l expertise INSERM sur la RdR. Patrizia Carrieri INSERM U912 - ORSPACA

Les recommandations de recherche de l expertise INSERM sur la RdR. Patrizia Carrieri INSERM U912 - ORSPACA Les recommandations de recherche de l expertise INSERM sur la RdR Patrizia Carrieri INSERM U912 - ORSPACA Plan de la présentation Recommandations de recherche de l expertise INSERM Etat d avancement des

Plus en détail

Chez les étudiantes consommatrices de cannabis, 2 fois plus de recours à la pilule du lendemain et 4 fois plus d IVG

Chez les étudiantes consommatrices de cannabis, 2 fois plus de recours à la pilule du lendemain et 4 fois plus d IVG Dossier de presse 11 février 2014 Enquête santé / Vie étudiante / Chiffres clés La sexualité des étudiants en 2013 8 ème enquête nationale Chez les étudiantes consommatrices de cannabis, 2 fois plus de

Plus en détail

Acteur majeur de la lutte contre le sida Antenne genevoise de l Aide Suisse contre le Sida Membre de la Coalition internationale PLUS

Acteur majeur de la lutte contre le sida Antenne genevoise de l Aide Suisse contre le Sida Membre de la Coalition internationale PLUS Acteur majeur de la lutte contre le sida Antenne genevoise de l Aide Suisse contre le Sida Membre de la Coalition internationale PLUS Groupe sida Genève 9, rue du Grand-Pré CH-1202 Genève info@groupesida.ch

Plus en détail

QUESTION 1 Légaliserez-vous le droit au mariage dans sa forme actuelle pour les couples de même sexe?

QUESTION 1 Légaliserez-vous le droit au mariage dans sa forme actuelle pour les couples de même sexe? AVANT-PROPOS Chaque jour, SOS homophobie reçoit quatre témoignages de personnes victimes de lesbophobie, gayphobie, biphobie ou transphobie. En 2012, les discriminations et les attaques envers les personnes

Plus en détail

Comment s y retrouver. La personne victime. dans le. processus judiciaire

Comment s y retrouver. La personne victime. dans le. processus judiciaire La personne victime dans le processus judiciaire Comment s y retrouver Définitions de différents actes criminels : Les crimes contre la personne : Voie de fait (articles 265 à 269 du Code criminel) : acte

Plus en détail

«ENFANTS ET INTERNET» BAROMETRE 2011 de l opération nationale de sensibilisation :

«ENFANTS ET INTERNET» BAROMETRE 2011 de l opération nationale de sensibilisation : avec le soutien de «ENFANTS ET INTERNET» BAROMETRE nationale de sensibilisation : Génération Numérique Fiche technique Le cinquième baromètre et a été réalisé par Calysto dans le cadre de sensibilisation

Plus en détail

Sexualité et VIH. Dr F.Lallemand Hôpital St Antoine-Paris

Sexualité et VIH. Dr F.Lallemand Hôpital St Antoine-Paris Sexualité et VIH Dr F.Lallemand Hôpital St Antoine-Paris Introduction 1 Forte prévalence de dysfonctionnements Davantage de données concernant les hommes homosexuels ou bisexuels Pauvreté des informations

Plus en détail

LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ

LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ 3. Les crédits 3.1 Les crédits en cours 3.1.1 Les ménages ayant au moins un crédit en cours Un peu plus du quart, 31%, des ménages en situation de déclarent avoir au moins un crédit en cours. Il s agit

Plus en détail

POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES

POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement

Plus en détail

Congrès National en Normandie 26, 27 et 28 mai 2016 Deauville. Offre Partenariale. Prix net de taxe

Congrès National en Normandie 26, 27 et 28 mai 2016 Deauville. Offre Partenariale. Prix net de taxe Dirigeants Commerciau de France Normandie Congrès National en Normandie 26, 27 et 28 mai 2016 Deauville L'EXPÉRIENCE CLIENT AUGMENTÉE LE NOUVEL ENJEU DE LA FONCTION COMMERCIALE Offre Partenariale Pri net

Plus en détail

À retenir... 1. Ce qu en disent les acteurs communautaires

À retenir... 1. Ce qu en disent les acteurs communautaires 1 Volet 4 : Ainé-e-s Table des matières À retenir... 1 Ce qu en disent les acteurs communautaires... 1 1. Un portrait des aîné e s du quartier... 2 1.1 Répartition des personnes âgées de 65 ans et plus...

Plus en détail

La communication interne se professionnalise mais il reste de nombreux horizons à explorer

La communication interne se professionnalise mais il reste de nombreux horizons à explorer Communiqué de presse La communication interne se professionnalise mais il reste de nombreux horizons à explorer Bruxelles, le 6 décembre 2012 Qui gère la communication interne en entreprise, quels sont

Plus en détail

Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles

Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et

Plus en détail

Pourquoi le Canada a besoin de services bancaires postaux

Pourquoi le Canada a besoin de services bancaires postaux Pourquoi le Canada a besoin de services bancaires postaux Symposium international sur les services bancaires postaux John Anderson 613-290-0016 andersjs1@gmail.com «Ils sont des millions à ne pas avoir

Plus en détail

Z I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor

Z I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE

Plus en détail

Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise*

Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise* INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise* Denis Hamel, statisticien Unité Connaissance-surveillance MISE

Plus en détail

1. Les comptes de dépôt et d épargne

1. Les comptes de dépôt et d épargne 1. Les comptes de dépôt et d épargne 1.1 Les comptes de dépôt 1.1.1 Le taux de possession d un compte de dépôt Le premier constat est celui d un accès important aux comptes de dépôt, quelle que soit la

Plus en détail

Parkdale Community Health Centre 2015 Client Experience Survey

Parkdale Community Health Centre 2015 Client Experience Survey Parkdale Community Health Centre 2015 Client Experience Survey Chers clients du PCHC, Nous aimerions que vous nous aidiez à évaluer nos services et nos programmes. Nous voulons savoir ce que vous pensez

Plus en détail

Sondage sur le phénomène de la cyberintimidation en milieu scolaire. Rapport présenté à la

Sondage sur le phénomène de la cyberintimidation en milieu scolaire. Rapport présenté à la Sondage sur le phénomène de la cyberintimidation en milieu scolaire Rapport présenté à la Mars 2008 Tables des matières Contexte et objectifs.... 2 Page Méthodologie.3 Profil des répondants...6 Faits saillants..10

Plus en détail

Liste des principales abréviations

Liste des principales abréviations 2014-2019 2 Liste des principales abréviations ART CRS DMG DPG FSF HSH IST LGBTQI MAS NONOPEP OPEP PMTCT PrEP PVVIH SIDA TasP TPE VIH Thérapie antirétrovirale Centres de référence Sida Dossier médical

Plus en détail

La finance, facteur d inégalités

La finance, facteur d inégalités La finance, facteur d inégalités Olivier GODECHOT Cette étude montre que, contrairement aux idées reçues, les PDG et des superstars du sport ou du divertissement ne sont pas les premiers responsables de

Plus en détail

Analyse Financière Les ratios

Analyse Financière Les ratios Analyse Financière Les ratios Présenté par ACSBE Traduit de l anglais par André Chamberland andre.cham@sympatico.ca L analyse financière Les grandes lignes Qu est-ce que l analyse financière? Que peuvent

Plus en détail

1 ère manche Questions fermées

1 ère manche Questions fermées Quiz VIH 2011 1 ère manche Questions fermées Crips Ile-de-France / Mise à jour : août 2015 Thème : Dépistage Un test VIH négatif indique toujours que la personne qui a fait le test n est pas contaminée

Plus en détail

Politique Institutionnelle. Politique de protection de l enfance. Direction Générale Fédérale 2007 PI 01

Politique Institutionnelle. Politique de protection de l enfance. Direction Générale Fédérale 2007 PI 01 Politique Institutionnelle Politique de protection de l enfance Direction Générale Fédérale 2007 PI 01 Politique Institutionnelle Politique de protection de l enfance 2 1. PRINCIPES : PRÉVENTION DES ABUS

Plus en détail

Observatoire Gleeden de l infidélité

Observatoire Gleeden de l infidélité 16 janvier 2014 N 111 730 Enquêtes auprès d un échantillon national représentatif de 804 Français âgés de 18 ans et plus Contacts : 01 72 34 94 64 / 94 13 François Kraus / Anne-Sophie Vautrey Prenom.nom@ifop.com

Plus en détail

VIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000

VIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000 CENTRE DE DÉPISTAGE ANONYME ET GRATUIT DE MONTPELLIER VIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000 Juin 2002 Observatoire régional de la santé du Languedoc-Roussillon Hôpital Saint-Eloi

Plus en détail

ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL. Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble

ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL. Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble Définition d un AES Sang ou liquide biologique potentiellement contaminant Sécrétions vaginales / sperme

Plus en détail

Outil d évaluation basée sur le genre des interventions nationales de lutte contre le VIH/SIDA

Outil d évaluation basée sur le genre des interventions nationales de lutte contre le VIH/SIDA GUIDELINE 2014 Outil d évaluation basée sur le genre des interventions nationales de lutte contre le VIH/SIDA Vers des interventions de lutte contre le VIH/SIDA prenant en compte la dimension de genre

Plus en détail

Search. L'innovation dans la recherche de cadres et d information stratégique. contact@inovasearch.com. www.inovasearch.com. cv@inovasearch.

Search. L'innovation dans la recherche de cadres et d information stratégique. contact@inovasearch.com. www.inovasearch.com. cv@inovasearch. L'innovation dans la recherche de cadres et d information stratégique 01 83 64 88 78 contact@inovasearch.com cv@inovasearch.com INOVA Search 8 rue de berri 78008 PARIS INOVA search INOVA Search innove

Plus en détail

COMMISSION DE L ÉQUITÉ SALARIALE

COMMISSION DE L ÉQUITÉ SALARIALE COMMISSION DE L ÉQUITÉ SALARIALE Dossier n o : 36455 FRA Québec, le : 17 février 2015 Membre : Sophie Raymond, commissaire Commission de l équité salariale et 9061 1674 Québec inc. (connue sous le nom

Plus en détail

QUELS ÉCRANS UTILISENT LES 13-24 ANS ET POUR QUELS USAGES?

QUELS ÉCRANS UTILISENT LES 13-24 ANS ET POUR QUELS USAGES? QUELS ÉCRANS UTILISENT LES 13-24 ANS ET POUR QUELS USAGES? Colloque «Les écrans et les jeunes : quelle place, quelle offre, quelles évolutions?» 9 décembre 2014 Direction des études et de la prospective

Plus en détail

Code de Conduite des Fournisseurs de Microsoft

Code de Conduite des Fournisseurs de Microsoft Code de Conduite des Fournisseurs de Microsoft Microsoft aspire à être davantage qu une bonne entreprise elle souhaite être une grande entreprise. Pour atteindre cet objectif, nous nous sommes fixé pour

Plus en détail

Sondage sur le climat. scolaire. Sondage auprès des élèves de la 4 e à la 6 e année sur : l équité et l éducation inclusive l intimidation/harcèlement

Sondage sur le climat. scolaire. Sondage auprès des élèves de la 4 e à la 6 e année sur : l équité et l éducation inclusive l intimidation/harcèlement Sondage sur le climat scolaire Sondage auprès des élèves de la 4 e à la 6 e année sur : l équité et l éducation inclusive l intimidation/harcèlement Nom de l école Numéro d identification de l école Nom

Plus en détail

BAROMETRE DES FEMMES ENTREPRENEURES

BAROMETRE DES FEMMES ENTREPRENEURES BAROMETRE DES FEMMES ENTREPRENEURES Rapport d étude 1200783 version n 1 Septembre 2012 n 0901523 20 novembre 2009 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris Cedex 02 Tél. : (33) 01 44 94 40 00 Fax : (33)

Plus en détail

Préoccupations, attentes et prévoyance des travailleurs non salariés et des dirigeants de très petites entreprises

Préoccupations, attentes et prévoyance des travailleurs non salariés et des dirigeants de très petites entreprises Préoccupations, attentes et prévoyance des travailleurs non salariés et des dirigeants de très petites entreprises Institut CSA pour Metlife Novembre 2014 Sommaire Fiche technique 3 Profil de l échantillon

Plus en détail

Venez découvrir nos nouvelles formations

Venez découvrir nos nouvelles formations Centre de estion Agréé Bords de Seine Agrément N 103760 du 04/08/2006 renouvelé le 20/07/2009 www.cga-bords-de-seine.cerfrance.fr La formation, une stratégie gagnante pour l entreprise Venez découvrir

Plus en détail

Introduction de technologies d information et de communication

Introduction de technologies d information et de communication Enquête 2000 Introduction de technologies d information et de Centre de recherches conjoncturelles de l EPFZ ETH-Zentrum, 8092 Zürich Téléphone 01 / 632 42 39 Numéro de fax 01 / 632 12 18 Toutes les données

Plus en détail

L analyse de la gestion de la clientèle

L analyse de la gestion de la clientèle chapitre 1 - La connaissance du client * Techniques utilisées : observation, recherche documentaire, études de cas, études qualitatives (entretiens de groupes ou individuels, tests projectifs, analyses

Plus en détail

Préparation de votre mariage. Service de photographes. Organisation d enterrement de vie. Traduction, intérprétariat,

Préparation de votre mariage. Service de photographes. Organisation d enterrement de vie. Traduction, intérprétariat, Préparation de votre mariage de rêve Service de photographes Organisation d enterrement de vie de jeune fille Traduction, intérprétariat, accompagnement Préparation de votre mariage de rêve! Si vous avez

Plus en détail

Information, confiance et cohésion sociale dans un conflit environnemental lié à un projet de parc éolien au Québec

Information, confiance et cohésion sociale dans un conflit environnemental lié à un projet de parc éolien au Québec Information, confiance et cohésion sociale dans un conflit environnemental lié à un projet de parc éolien au Québec Résumé des résultats et conclusions de la recherche Marie-Ève Maillé, Ph. D. Centre de

Plus en détail

Sommaire. L usage des TIC au sein des entreprises bourguignonnes

Sommaire. L usage des TIC au sein des entreprises bourguignonnes Enquête TIC Sommaire Introduction I. Contexte de l étude 1. Qu est ce que les TIC? 2. Les TIC, facteur de vitalité économique 3. Le double retard français 4. Des acteurs institutionnels bourguignons impliqués

Plus en détail

Les jeunes non mariés

Les jeunes non mariés Les jeunes non mariés et les grossesses non désirées Introduction Il est important de veiller à ce que les jeunes non mariés disposent d informations et de services de contraception. Les grossesses non

Plus en détail

Agence Thomas Marko & Associés. Du 3 au 8 septembre 2010.

Agence Thomas Marko & Associés. Du 3 au 8 septembre 2010. Octobre 00 Nobody s Unpredictable Sondage effectué pour : Agence Thomas Marko & Associés Echantillon : 000 personnes, constituant un échantillon national représentatif de la population française âgée de

Plus en détail

VIH : Parlons-en franchement!

VIH : Parlons-en franchement! VihCouv_vert(2011_02) 08/02/11 13:27 Page1 DESSINS PHILIPPE DELESTRE VIH : Parlons-en franchement! VIH : Parlons-en franchement! LE VIH C EST QUOI? Le VIH est un virus. C est le virus du Sida. VIH ÇA VEUT

Plus en détail

Brochure. À propos des prêts hypothécaires de B2B Banque LA BANQUE AU SERVICE DES COURTIERS

Brochure. À propos des prêts hypothécaires de B2B Banque LA BANQUE AU SERVICE DES COURTIERS Brochure Réservé aux courtiers en prêts hypothécaires à titre d information À propos des prêts hypothécaires de B2B Banque LA BANQUE AU SERVICE DES COURTIERS La Banque au service des courtiers. À propos

Plus en détail

NOUS SOIGNONS CEUX QUE LE MONDE OUBLIE PEU A PEU

NOUS SOIGNONS CEUX QUE LE MONDE OUBLIE PEU A PEU 1/ Résultats de l enquête sur la couverture vaccinale et l accès aux soins de santé des populations roms sur Bruxelles 2/ Quelques bonnes pratiques: «film» 3/ Piste pour la suite NOUS SOIGNONS CEUX QUE

Plus en détail

Le VIH-sida, qu est-ce que c est?

Le VIH-sida, qu est-ce que c est? LES DROITS DE l ENFANT FICHE THÉMATIQUE Le VIH-sida, qu est-ce que c est? UNICEF/ NYHQ2010-2622 / Roger LeMoyne Chaque jour dans le monde, plus de 7 000 nouvelles personnes sont infectées par le VIH, 80

Plus en détail

Le ConseiL GénéraL du Bas-rhin au de vos vies. pour les jeunes. www.bas-rhin.fr

Le ConseiL GénéraL du Bas-rhin au de vos vies. pour les jeunes. www.bas-rhin.fr Le ConseiL GénéraL du Bas-rhin au de vos vies pour les jeunes www.bas-rhin.fr Les bons plans jeunes du 67 Tu as entre les mains tous les bons plans «jeunes» proposés et financés par le Conseil Général

Plus en détail

L impact du vieillissement sur la structure de consommation des séniors : assurance IARD, santé et SAP entre 1979-2030(P)

L impact du vieillissement sur la structure de consommation des séniors : assurance IARD, santé et SAP entre 1979-2030(P) L impact du vieillissement sur la structure de consommation des séniors : assurance IARD, santé et SAP entre 1979-2030(P) Auteurs : Hélène Xuan, Déléguée générale de la Chaire Transitions Démographiques,

Plus en détail

Une étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris

Une étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris Une étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» A l'initiative de Réalisée par Pour le compte de Une étude basée sur un nombre significatif

Plus en détail

Code à l intention des partenaires commerciaux

Code à l intention des partenaires commerciaux Code à l intention des partenaires commerciaux Groupe Axpo Code à l intention des partenaires commerciaux 02 03 Table des matières Introduction... 05 I. Éthique commerciale et intégrité... 07 II. Respect

Plus en détail

ENFANTS ET INTERNET BAROMETRE 2009-2010 de l opération nationale de sensibilisation : Un clic,déclic le Tour de France Des Etablissements Scolaires

ENFANTS ET INTERNET BAROMETRE 2009-2010 de l opération nationale de sensibilisation : Un clic,déclic le Tour de France Des Etablissements Scolaires ENFANTS ET INTERNET BAROMETRE de l opération nationale de sensibilisation : Un clic,déclic le Tour de France Des Etablissements Scolaires 1 Fiche technique Le quatrième baromètre et a été réalisé par Calysto

Plus en détail

CONVENTION DE REPRÉSENTATION sur la protection des adultes et la prise de décisions les concernant, Partie 2

CONVENTION DE REPRÉSENTATION sur la protection des adultes et la prise de décisions les concernant, Partie 2 Pour des renseignements supplémentaires concernant des conventions de représentation, veuillez consulter la brochure intitulée Conventions de représentation. Une convention de représentation est une convention

Plus en détail

Ne vas pas en enfer!

Ne vas pas en enfer! Ne vas pas en enfer! Une artiste de Corée du Sud emmenée en enfer www.divinerevelations.info/pit En 2009, une jeune artiste de Corée du Sud qui participait à une nuit de prière a été visitée par JésusChrist.

Plus en détail

Étude auprès de la génération X. Le paiement virtuel et la gestion des finances personnelles

Étude auprès de la génération X. Le paiement virtuel et la gestion des finances personnelles Étude auprès de la génération X Le paiement virtuel et la gestion des finances Rapport Présenté à Madame Martine Robergeau Agente de Développement et des Communications 11 octobre 2011 Réf. : 1855_201109/EL/cp

Plus en détail

MONITORING DE LA COMPÉTITIVITÉ DU TRANSPORT AÉRIEN SUISSE

MONITORING DE LA COMPÉTITIVITÉ DU TRANSPORT AÉRIEN SUISSE MONITORING DE LA COMPÉTITIVITÉ DU TRANSPORT AÉRIEN SUISSE 2015 Résumé Le niveau et la dynamique de développement du transport aérien suisse sont analysés et évalués dans le cadre d un vaste monitoring

Plus en détail

USAGE ET PERCEPTION DE L ADMINISTRATION ELECTRONIQUE EN LIGNE PAR LES PROFESSIONNELS

USAGE ET PERCEPTION DE L ADMINISTRATION ELECTRONIQUE EN LIGNE PAR LES PROFESSIONNELS USAGE ET PERCEPTION DE L ADMINISTRATION ELECTRONIQUE EN LIGNE PAR LES PROFESSIONNELS - Sondage de l'institut CSA - N 0501353 Novembre 22, rue du 4 Septembre BP 6571 75065 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44

Plus en détail

Les défauts et «fautes impardonnables» des candidats à l élection présidentielle

Les défauts et «fautes impardonnables» des candidats à l élection présidentielle COMMUNIQUE DE PRESSE Les défauts et «fautes impardonnables» des candidats à l élection présidentielle Sondage Harris Interactive pour M6-MSN-RTL Enquête réalisée en ligne par l'institut Harris Interactive

Plus en détail

Evolution de l équipement technologique des ménages Bretons entre 2008 et 2012 : Chiffres clés Emilie Huiban et Adrien Souquet, OPSIS, M@rsouin.

Evolution de l équipement technologique des ménages Bretons entre 2008 et 2012 : Chiffres clés Emilie Huiban et Adrien Souquet, OPSIS, M@rsouin. Evolution de l équipement technologique des ménages Bretons entre 2008 et 2012 : Chiffres clés Emilie Huiban et Adrien Souquet, OPSIS, M@rsouin. Les principaux points à retenir La fracture numérique de

Plus en détail

Compas études. compas. Les enjeux du vieillissement. n 7 - juin 2013

Compas études. compas. Les enjeux du vieillissement. n 7 - juin 2013 n 7 - juin 2013 Compas études compas Au service du sens Les enjeux du vieillissement La population française vieillit. Ce phénomène n est pas nouveau mais le processus va s accélérer dans les années à

Plus en détail