HSH et relations sexuelles monnayées : un portrait des répondants ayant déclaré des partenaires sexuels occasionnels tarifés
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- Jean Monette
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2 HSH et relations sexuelles monnayées : un portrait des répondants ayant déclaré des partenaires sexuels occasionnels tarifés Objet : L enquête en ligne «Net Gay Baromètre» dresse, tous les deux ans, un portait des internautes français fréquentant les sites de rencontre gays et vise à circonscrire la manière dont ces hommes vivent leur sexualité et la prévention avec des partenaires occasionnels ou réguliers. Nous proposons ici d esquisser un portrait contrasté des répondants ayant déclaré avoir reçu de l argent, de la drogue, des biens ou des services en échange de relations sexuelles. Méthode : Les répondants furent recrutés en ligne, entre décembre 2012 et novembre 2013 (n=15 532), à partir de 9 sites de rencontre représentatifs de la diversité des cultures de sexe gay, du réseau social Facebook, ainsi que des réseaux de contenu Google. Furent menées des analyses statistiques de Chi-carre (χ2), de variance (ANOVA) avec un taux de signification de 95 % (p <0,05) ainsi que des régressions logistiques simples et multivariées. Cette analyse permet de dresser un portrait des répondants ayant déclarant avoir tarifé un ou plusieurs partenaires sexuels masculins dans les 12 derniers mois, et permet de mieux comprendre ces formes relationnelles comme d en dégager les enjeux. Résultats Un groupe dont le portrait souligne de nombreuses vulnérabilités Les répondants ayant déclaré avoir reçu de l argent, des biens ou des services en échange de relations sexuelles représentent 5.6 % de notre échantillon (n= 877). La presque totalité de ces hommes 85,6 % déclarent négocier ces relations contre de l argent, 20,1 % contre des cadeaux, 16,9 % contre des services, 7,2 % contre de la drogue et 4,2 % contre de l argent dans le but d acquérir de la drogue. Comparés aux autres répondants, ils sont significativement plus jeunes (M=29.5 vs 38.8 ans), deux fois plus nombreux à avoir moins de 1000 euros de revenu par mois (39,1 % versus 19,6 %), plus souvent issus d une minorité visible (18,7 % vs 7,9 %), alors qu ils déclarent plus souvent un sentiment d appartenance à la communauté gay (42,9 % vs 34.4) en étant plus nombreux à fréquenter régulièrement des espaces identifiés comme «gays» (32,4 % vs 18,2 %), en particulier les établissements et les lieux de sexe (81 % vs 64,9 %). Leur première relation sexuelle a eu lieu plus tôt soit, en moyenne, à l âge de 16 ans versus 19 ans pour les autres répondants, même si leur génération permet d expliquer en partie cet écart. Si 17.5 % se déclarent séropositifs, ils sont surtout plus nombreux à «ne plus être certains d être séronégatifs» (11.5 % vs 5.9 %), ceci pouvant s expliquer par leur grand nombre de partenaires occasionnels. Leur usage du réseau internet est plus intense et sujet à un sentiment de dépendance Fréquentant Internet à des fins de rencontre de manière plus intense, ces hommes ont plus souvent un compte sur les réseaux sociaux (84,8 % vs 77,3 %), utilisent plus souvent des applications géolocalisantes (55 % vs 40,5 %) se sentent plus dépendant des interactions en ligne (51,6 vs 41 %) aux rencontres en ligne (57,6 % vs 45, 7 %), mais aussi à la pornographie (51,3 % vs 39,5 %). 1
3 Grands consommateurs de sexe, leurs partenaires tarifés ne représentent que le tiers de leurs aventures Les répondants du net gay Baromètre ayant au moins un partenaire tarifé dans l année déclarent en moyenne trois fois plus de «plans» (M=97 vs 33) pour une moyenne de 52.4 partenaires différents. Ils sont aussi deux fois plus nombreux à avoir déclaré au moins une partenaire occasionnelle femme dans les 12 derniers mois (22,9 % vs 11,9 %). Leurs partenaires tarifés sont deux fois moins nombreux puisqu ils n en déclarent en moyenne que 26 dans la dernière année. Lorsque nous les interrogeons sur l âge moyen de leurs partenaires occasionnels, celui-ci se situe autour de 32 ans, alors que l âge moyen de leur client est, logiquement, plus élevé se situant autour de 41 ans et demi. Ainsi, leur sexualité semble s organiser de manière intense avec des partenaires de leur âge alors qu ils tarifient leurs partenaires plus âgés. Le registre de leurs pratiques sexuelles est vaste, mais moins intense avec leurs clients Leurs pratiques sexuelles s organisent dans un vaste registre et se distinguent des autres répondants. Avec leurs partenaires occasionnels, ils sont plus nombreux à déclarer la sodomie passive (89 % vs 78 %), le barebacking (69,2 %, vs 44,2 %), le sexe en groupe (74,9 %, vs 52 %), les tournantes comme passif (57,2 % vs 30,9 %), le fist-fucking (38,6 % vs 20,9 %), l urophilie (47,5 % vs 24 %), la scatophilie (11,7 vs 4,1 %) et le BDSM (58,9 % vs 33,7 %). Environ la moitié des répondants ayant déclarée des partenaires tarifés dans les 12 derniers mois précisent que leurs pratiques sont différentes avec leurs clients et ils déclarent avec eux moins souvent de sodomie passive (71,5 %), moins fréquemment de pratiques bareback (37,9 %), moins souvent la pratique du sexe en groupe (40,8 %), moins de «tournantes» de (34,4 %), moins souvent l urophilie (38,4 %) et encore moins souvent la pratique du BDSM (44,6 %). Ainsi, leur vaste registre de pratiques sexuelles se retrouve bien dans leurs activités tarifées, mais semble développé de manière moins intense. Un fort engagement dans la consommation de substances psychoactives Nettement plus engagés dans la consommation de drogues, ils sont 2 à 3 fois plus nombreux à déclarer consommer de grandes quantités d alcool (78,7 % vs 66,6 %), du cannabis (46,4 % vs 24,8 %), le poppers (59,9 % vs 39,7 %), l ecstasy (15,8 % vs 3.9 %), la cocaïne (22,9 % vs 8.0 %), du crack (4,7 % vs 0,6 %), des amphétamines (15,2 % vs 2.9 %), du MDMA (16,2 % vs 5.5 %), du GHB (17.8 % vs 5.7 %), du Crystal Meth (8.2 % vs 2 %), de la kétamine (8,7 % vs 2,4 %), de l héroïne (4 % vs 0,6), du Viagra/Cialis (18 % vs 13,2 %), des produits pharmacologiques (12,1 % vs 4,2 %) et des cathinones (8.3 % v 2 %). Suivant la même logique que précédemment, pour la grande majorité, ce n est pas avec leurs clients que cette consommation a lieu, puis qu ils ne sont que 21,8 % à déclarer que leur consommation se pratique dans le cadre de leurs relations sexuelles tarifées. Il ne semble pas non plus que ce soit leur consommation qui les amène à monnayer leurs relations puisqu ils ne sont que 4,2 % à déclarer avoir tarifé leurs partenaires pour acheter de la drogue et sont seulement 7,2 % à avoir accepté un client en échange de drogue. Des comportements à risque moins fréquents avec les clients qu avec leurs partenaires occasionnels Les répondants, ayant monnayé des relations sexuelles, sont plus nombreux à déclarer au moins une pénétration anale non protégée (PANP) avec des partenaires occasionnels (72,8 % vs 52,4 %) dans les 12 derniers mois, comme à s engager dans des prises de risques régulières (49,2 % vs 33,7 %), voire systématiques (10,4 % vs 5,9 %). Assez logiquement, ils sont nombreux à déclarer des pratiques bareback (62,8 % vs 41,6 %) avec un moindre souci de séroadaptation. Par exemple, ils sont plus nombreux à avoir eu des pratiques bareback avec un partenaire occasionnel au statut sérologique différent du leur (29,2 % vs 20,1 %). Conséquemment, ils ont plus nombreux à avoir déclaré au moins une IST dans l année (30,6 % vs 18,8 %) et à avoir eu recours au TPE (6,8 % vs 2 %). 2
4 Cependant, comme pour les pratiques ou leur consommation de substance, ces hommes semblent s exposer moins souvent avec leurs clients. En effet, ils ne sont que 48.6 % à rapporter au moins une pénétration anale non protégée avec un partenaire tarifé et 39.0 % déclarent des PANP régulières avec des clients (versus, respectivement, 72,8 % et 49,2 % avec leurs partenaires non tarifés). Ils sont cependant 12.1 %, parmi ceux qui ont déclaré une PANP dans un cadre tarifié, à préciser l avoir subie «sans consentement préalable». Les travailleurs du sexe les plus jeunes n ont pas un comportement plus sécuritaire Même si les chiffres montrent des ratios légèrement inférieurs, les travailleurs du sexe âgés de ans sont statistiquement aussi susceptibles que leurs aînés d avoir pratiqué la PANP avec un client, que ce soit au moins une fois (45,6 % vs 51,6 % ; p=0.177) ou régulièrement (35,8 % vs 43,1 % ; p=0.099). Ils ne sont d ailleurs ni plus ni moins préoccupés que leurs aînés par la prévention du VIH (37,6 % vs 41.8 % ; p=0.289) ou les comportements sexuels à risque (43.7 % vs 46,6 % ; p=0.478). En effet ces écarts sont non significatifs dans le modèle statistique. Même en départageant les séropositifs et les séronégatifs, la braguette d âge n a pas d effet statistiquement significatif sur la prise de risque. Les travailleurs du sexe se protégeant avec leurs clients ont des prises de risque régulières «ailleurs» Les HSH monnayant des relations sexuelles et ne rapportant aucune PANP avec leurs clients (donc se protégeant toujours avec eux) sont 32,9 % à rapporter une prise de risque régulière avec leurs partenaires occasionnels non-tarifés. Ils sont cependant beaucoup moins nombreux proportionnellement que les escortes rapportant une prise de risque avec leurs clients ; ceux-ci sont 90,7 % à rapporter une prise de risque régulière avec leurs occasionnels. Ainsi, le tiers des escortes «safe» ne le sont plus dans leur «vie privée» ; et la quasitotalité des escortes «non-safe» ne se protège pas en dehors de leur «travail». Un portrait psychosocial méritant attention, à l intersection de multiples discriminations Le portrait psychosocial de ces hommes mérite une attention particulière. Ils se présentent plus fréquemment en tant que victimes d injures (41,9 % vs 20,4 %) et d agressions (9.5 % vs 3.0 %), ils déclarent plus souvent des idées suicidaires (23,6 % vs 16,1 %), un sentiment de solitude (40,8 % vs 36,0 %), la recherche de sensations fortes (61,9 % vs 42,4 %). 15,8 % d entre eux déclarent cependant avoir régulièrement développé des sentiments envers des partenaires tarifés. Par ailleurs, ce groupe se trouve à l intersection de multiples discriminations. En effet, ils se sentent plus souvent discriminés sur la base de leur orientation sexuelle (38,3 % vs 24,4 %), de leurs origines ethnoculturelles (10,9 % vs 4,2 %), de leur identité de genre (6,5 % vs 1,8 %) ou de leurs manières (19,8 % vs 10 %), de leur séropositivité (8,8 % vs 5,6 %) et, assez logiquement, sur la base de leur activité de «travailleur du sexe» (20,1 % vs 2,4 %) et ce particulièrement dans le milieu gay. Que savons-nous de leurs clients? Parmi ceux qui proposaient une compensation (n=659), l âge moyen était de 45,4 ans et l âge moyen des partenaires tarifés était de 27.3 ans. La recherche d escort s effectuait le plus souvent dans les mêmes espaces que ceux que privilégient les travailleurs du sexe de notre échantillon à savoir : sur des sites de rencontre gays ou mixtes (55,1 %), sur des sites d annonces généralistes (50.8 %) ou sur des sites d escortes spécialisés (31,0 %). Les hommes offrant une compensation déclarent les plus souvent faire affaire avec des hommes qui se présentent les plus souvent comme homosexuels (62,4 %) mais aussi comme bisexuels (21,4 %), voire comme hétérosexuels pour 7,6 % d entre eux. Plus du quart de ces hommes rémunérant certains de leurs partenaires (27,5 %) rapportent avoir régulièrement développé des sentiments envers leurs partenaires tarifés. 3
5 Les clients ne rapportent en moyenne que 5.5 partenaires rémunérés par année, vraisemblablement parce que leur recours à de tels partenaires est relativement rare : 90,7 % (n=598) d entre eux déclarent des relations tarifées seulement «rarement ou parfois». Ainsi, les partenaires rémunérés ne constituent la moitié des partenaires occasionnels que pour moins du tiers d entre eux. Sur le plan des comportements sexuels à risque, 44,5 % des clients ces hommes rapportent au moins une pénétration anale non protégée avec un partenaire tarifé, et le tiers (33,1 %) déclare des PANP régulières. Parmi ceux ayant pris ces risques, ces pénétrations étaient le plus souvent consenties sans condition particulière (68,9 %) ou avec un certain arrangement (28,4 %), mais très rarement «imposées» (3.1 %). Au niveau de leurs pratiques sexuelles, seuls 31 % (n=204) des clients rapportent des pratiques sexuelles différentes (avec les hommes qu ils paient) de celles qu ils ont habituellement avec leurs partenaires occasionnels. Les variables permettant de prédire un plus fort engagement dans l achat de services sexuels (soit de rapporter qu au moins 50 % de leurs partenaires occasionnels étaient des partenaires rémunéré) sont : le fait de ne pas être satisfait de son apparence physique, de chercher à développer des sentiments avec ces partenaires rémunérés et d être plus souvent préoccupé par les comportements sexuels à risque. Ces résultats dressent, eux aussi, un portrait contrasté de ces hommes, très éloignés du cliché véhiculé par les médias. Il va de soi que pénaliser ces hommes ne pourra nullement les aider à retrouver une meilleure estime d eux-mêmes. Conclusion : Travailleurs du sexe ou HSH, très actifs sexuellement, tarifant accessoirement leurs partenaires? Les répondants du net gay Baromètre ayant déclaré des partenaires sexuels tarifés ne sont que 21,8 % à préciser que cette activité représente une part importante de leurs revenus. Il semble donc que ce groupe ne soit pas homogène et que d autres analyses soient nécessaires pour dégager des profils distincts. Ceci est reflété dans le nombre de partenaires tarifés moyen puisque, ceux déclarant un fort revenu associé à ces activités, déclarent en moyenne 52.5 partenaires tarifés par année contre seulement 6 partenaires, en moyenne, chez ceux pour qui cette activité semble moins soutenue et, sans doute, plus circonstancielle. Le portrait de la majorité de ces hommes ne semble donc ne pas rejoindre d image professionnelle affichée par les travailleurs du sexe inscrits comme «escorts» sur des sites spécialisés, le plus important étant, en Europe, Gayroméo. Cet éditeur n ayant pu promotionner notre questionnaire dans sa section Escort, alors que notre équipe avait développé cette section à leur intention première, nous n avons pas eu accès à ces abonnés travaillant comme «escorts» en inscrivant souvent leur activité dans un parcours en migratoire. Les travailleurs du sexe, dont nous parlons ici, proviennent donc de l ensemble des sites de rencontres gay français ou des réseaux sociaux, qui, pour la plupart, ne peuvent que censurer leur activité en application de la loi française sur le proxénétisme. Ils semblent donc plutôt de grands consommateurs sexuels développant un grand registre de pratiques qui, pour la grande majorité, tarifieraient «accessoirement» un certain nombre de leurs partenaires, possiblement trop âge ou pas à trop éloigné de leur goût. Cependant, environ le quart de ces hommes semble bien rejoindre le profil des escorts professionnels. Quoi qu il en soit, les répondants ayant déclaré avoir reçu de l argent, de la drogue, des biens ou des services en échange de relations sexuelles s exposent à des risques clairement identifiés, mais, contradictoirement, nettement moins souvent avec leurs clients. Possiblement rejoints par le biais des sites de rencontres qu ils privilégient pour leurs activités, des études plus poussées sur le plan qualitatif permettraient d orienter les interventions envers ce groupe aux besoins et intérêts spécifiques en matière de santé. Cependant, le renforcement de la position abolitionniste de la France rendra encore plus difficile l accès à ces populations. 4
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