Soutenez notre projet pilote DIAVINA :

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Soutenez notre projet pilote DIAVINA :"

Transcription

1 Soutenez notre projet pilote DIAVINA : Survie des mères et nourrissons exposés au virus du sida Phase pilote en Guinée Un projet soutenu par Le Saviez-vous? Aujourd hui en France, une femme enceinte atteinte du VIH peut donner naissance à son bébé sans le contaminer. MAIS En Afrique, 9% des enfants meurent avant 5 ans, majoritairement à cause du sida. Trop souvent, parce-que les maternités n ont pas pu faire face à l urgence de traitement. Or, un traitement dès la naissance a été mis au point pour les sauver : Grâce au projet DIAVINA, la survie de ces nouveau-nés peut devenir réalité. Nathanael Corre Au cœur de ce projet : 8250 femmes enceintes 300 nourrissons exposés au VIH Des maternités en capitale et en région, formées et accompagnées

2 En l absence de traitement, 50% des nourrissons infectés par le VIH décèdent avant d atteindre 1 an. A l inverse, un traitement dès la naissance peut les sauver, et leur donner l espoir d un jour contrôler le virus et se passer de traitement : Eté 2015, les médias annoncent une nouvelle porteuse d espoir : Une jeune Française de 18 ans, infectée par le VIH pendant la grossesse de sa mère, est aujourd hui en rémission depuis 12 ans, après avoir été sous traitement antirétroviral dès sa naissance et jusqu'à l'âge de 6 ans. «Cela montre que diagnostiquer précocement la mère et l enfant, les traiter au moment de la première infection, cela peut leur donner une chance de rémission» se réjouit le Professeur Christine Rouzioux, responsable du laboratoire de Virologie de l hôpital Necker, membre du CA Solthis, et de l équipe d experts Solthis du projet DIAVINA. Objectifs du projet DIAVINA Sauver les nourrissons et leur mère, lorsque celle-ci est infectée par le VIH mais n a pas été dépistée ni traitée pendant la grossesse. Leur donner les mêmes chances de survie, en Afrique comme en Europe. Répondre à l urgence par des tests diagnostiques et un traitement immédiat, dès l accouchement. «Nous constatons trop souvent que des femmes arrivent au moment de l accouchement sans avoir été testées pendant leur grossesse. Dans les maternités, nous ressentons un besoin de formation et d accompagnement, afin de prendre en compte le VIH dans l urgence, à ce moment clé que représente l accouchement» Dr Désiré NEBOUA, Responsable médical et scientifique Solthis Guinée

3 Bénéficiaires femmes enceintes non encore dépistées pour le VIH se présentant pour accoucher sur un an 300 nourrissons exposés au VIH nés de mère non traitée contre le sida. Ces 300 nourrissons et leurs mères seront suivis pendant 12 mois dans le cadre de ce projet avant que le relai soit pris par le programme national. Une fois étendus, les résultats de ce projet pourront bénéficier aux femmes enceintes chaque année en Guinée, dont une majorité n est pas dépistée VIH avant l accouchement. Des maternités en capitale et en région : Leurs équipes bénéficieront de formations et d accompagnements sur leur site de travail. En quoi le projet DIAVINA est-il novateur? Nos équipes Solthis travaillent déjà en Guinée depuis 2008 sur la prévention de la transmission du VIH de la mère à l enfant. Grâce à notre travail avec nos partenaires locaux, des progrès ont déjà été réalisés. Mais les patientes enceintes et leurs nourrissons ne bénéficient pas encore des traitements avancés du Nord, en particulier du dispositif précis proposé par DIAVINA. La phase pilote de DIAVINA permettra 1/ d offrir aux maternités en Guinée un dispositif déjà utilisé au Nord : Proposer systématiquement un diagnostic, grâce à un test rapide dès l arrivée de la mère à la maternité pour accoucher (une attention particulière sera portée au consentement de la mère). Proposer une prise en charge immédiate, du couple mère/enfant si le dépistage VIH de la mère se révèle positif, via : o un traitement donné à la mère (aujourd hui en Guinée seul un traitement préventif transitoire est proposé au moment de l accouchement), o un traitement immédiat donné au nourrisson, avant même les résultats de son propre diagnostic.

4 La dimension novatrice de ce projet réside dans ce traitement immédiat, qui présente un double avantage : Préventif, pour augmenter ses chances de ne pas être contaminé Curatif précoce s il est déjà contaminé Pourquoi un traitement préventif pour le nourrisson? Trop souvent, les maternités attendent de connaitre le résultat du diagnostic pour donner un traitement. Mais dans l intervalle, si l enfant est contaminé, le système immunitaire fragile du nouveau-né est violemment attaqué. Le dispositif de DIAVINA permet de démarrer le traitement avant d avoir le résultat du diagnostic et ainsi de sauver les nourrissons qui ont été contaminés. Par ailleurs, une technique de dépistage avancée est introduite peu à peu dans le pays par Solthis, pour permettre de détecter le virus lui-même, beaucoup plus tôt. 2/ Former les équipes des maternités et les accompagner dans leur pratique quotidienne à ce dispositif 3/Ajuster le dispositif au contexte local, grâce à une meilleure connaissance de la situation: o Affiner les statistiques (% de femmes venant accoucher sans être dépistées, transmission du virus pendant la grossesse ) ; o Evaluer les facteurs qui permettent au personnel de santé et aux mères d adhérer au dispositif au moment de l accouchement, mais aussi pendant la phase de suivi. Seront notamment prises en compte les circonstances et les mécanismes individuels, familiaux et sociaux. 3 années seront nécessaires : o o o 1 an de mise en œuvre du projet pilote 1 an de suivi des nourrissons 1 an réparti en amont et en aval pour accompagner les maternités de façon efficace. Par la suite les mères et les enfants infectés par le VIH seront suivis dans le circuit de soins courant.

5 Impact attendu Améliorer la prise en charge du couple-mère enfant et réduire leur mortalité. En particulier : Augmentation du taux de survie des mères et enfants exposés au VIH Amélioration du taux de dépistage VIH des femmes enceintes et de leur prise en charge Amélioration du suivi des couples mères-enfants dans le système de soins Prise en compte des facteurs permettant d amener les mères à accepter le diagnostic et le traitement Un projet pilote à vocation universelle : Adapté au contexte des pays en développement, ce dispositif pourra être étendu au niveau national en Guinée, puis dans d autres pays. Pourquoi intervenir en Guinée? En Guinée, seulement 15 % des mères infectées par le VIH et leurs enfants bénéficient de traitements contre le sida. Implantée en Guinée depuis 2008, Solthis possède une connaissance fine du contexte et a établi un partenariat avec le Ministère de la Santé de la Guinée, qui sollicite son intervention. Solthis a mené un premier projet pilote en 2014 dans les deux CHU de Conakry, bénéficiant à plus de 6000 femmes. L objectif était de proposer un dépistage systématique du VIH en salle de travail aux femmes enceintes venant accoucher. Ce projet a montré que : - 87% des femmes qui se présentaient pour accoucher n avaient pas été dépistées pour le VIH pendant leur grossesse. - 11% des tests réalisées entre 6 et 10 semaines de vie chez les nourrissons, révélaient une infection au VIH. Ce taux de transmission était lié à un délai tardif de mise sous traitement et des difficultés de suivi de ce traitement. Cependant ce projet a démontré qu une forte implication et appropriation de l activité de prévention du VIH en maternité par les professionnels de santé était possible et que ceux-ci étaient favorable à des projets d amélioration.

6 Notre ONG & l équipe DIAVINA ONG de solidarité internationale, fondée par des médecins chercheurs, Solthis contribue à améliorer la santé de tous en renforçant durablement les systèmes de santé. Depuis 2003, nous avons formé plus de 5000 personnels de santé et plus de 1 million de patients consultent chaque année les centres de soins que nous appuyons. Coordinateurs du projet Expert terrain Pr Mohammed CISSE, Chef de service dermato-vénéréologie, CHU Donka, Conakry Président du Comité Médical Technique qui supervise la mise sous traitement et le suivi des patients séropositifs à Conakry, il est également Vice Doyen chargé des études à la faculté de médecine de l université Gamal Abdel Nasser de Conakry et de l université Kofi Annan. Il est impliqué depuis de nombreuses années dans l élaboration des stratégies nationales de lutte contre le VIH en Guinée. Dr Guillaume BRETON, Directeur Scientifique de Solthis siège Ancien chef de Clinique en Maladies Infectieuse et Tropicale de l Hôpital Bichat puis praticien hospitalier à l hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Particulièrement investi sur les thématiques VIH/sida et Tuberculose, il a déjà effectué plusieurs missions sur le terrain notamment en Afrique subsaharienne. Depuis novembre 2015, il a rejoint l équipe permanente de Solthis pour développer notre activité de recherche scientifique. Dr Désiré NEBOUA, Responsable médical et scientifique, Solthis Guinée Médecin de santé publique, le Dr Désiré NEBOUA est expert en Santé Internationale et allie recherche et action de terrain. Il a notamment travaillé sur le site ANRS au Burkina Faso et a mené différentes missions en tant que consultant associé sur les questions du VIH et de planification familiale. Il a rejoint Solthis fin 2014, au sein de l équipe terrain permanente en Guinée. L équipe de recherche du projet est composée de : Solthis Conakry/Paris L hôpital national de Conakry Ignace Deen et des maternités en région Guinée L Hôpital Necker Enfants Malades (services Virologie et Pédiatrie) Paris Le service de maladies infectieuses de l Hôpital de la Pitié-Salpêtrière Paris L Institut de Santé Publique Epidémiologie Développement (ISPED) Bordeaux L ANRS apporte également son soutien scientifique à ce projet. Agence autonome de l Inserm, l ANRS - Agence nationale de recherches sur le sida et les hépatites virales - mobilise les chercheurs du Nord et du Sud. Son budget lui est attribué par les ministères en charge de la recherche et de la santé.

7 Budget Grâce au soutien financier de l ANRS et la Mairie de Paris, nous pourrons démarrer le projet dès Cependant, sur un budget global de 3 ans à euros, il nous manque euros. Il nous faut financer en priorité : Besoins prioritaires Total Dotation petit matériel aux maternités et services pédiatriques (pèse-bébés, thermomètres, tensiomètres) Matériel pour le diagnostic et le laboratoire (notamment technique de test rapide sur buvard) Formation des équipes soignantes au nouveau dispositif Mission terrain de lancement du directeur médical (10 jours) Prise en charge des participants (transport des couples mère-enfants et collation) Médicaments antirétroviraux pour les enfants et traitement associés aux maladies opportunistes Autres frais de mission (enquêteurs, évaluation, échanges France/Guinée) TOTAL A FINANCER EN PRIORITE Budget détaillé disponible sur demande.

8 Votre soutien est précieux pour eux, merci! A titre d exemple : Avec 500, (170 après réduction d impôts*) vous permettez à 11 nouveau-nés de bénéficier d un traitement contre le sida et les maladies associées, pendant 1 an. Vincent Doubrere Avec 7 000, (2380 après réduction d impôts*) vous permettez aux maternités de se doter de matériel pédiatrique indispensable au diagnostic des 300 nourrissons suivis par le projet (pèse-bébés, thermomètres, tensiomètres). *pour une résidence fiscale en France. Votre contact Solthis Delphine Souffre-Lajus, Responsable Développement & Partenariats Solthis 58 A rue du Dessous des Berges Paris France delphine.lajus@solthis.org

Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME

Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Modérateur : Dr Didier Koumavi Ekouevi INSERM U-897, Université Bordeaux Segalen, PACCI, Abidjan et Université de Lomé

Plus en détail

Solthis en 2011 Quels programmes, quels enjeux, quels partenariats? Paris, le 4 février 2011

Solthis en 2011 Quels programmes, quels enjeux, quels partenariats? Paris, le 4 février 2011 Solthis en 2011 Quels programmes, quels enjeux, quels partenariats? Paris, le 4 février 2011 Ordre du jour 1. Evolution de nos contextes d intervention 2. Orientations générales de l association Renforcer

Plus en détail

Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde

Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Résumé d orientation La tuberculose reste l une des maladies transmissibles causant le plus de décès dans le monde. En 2013, selon les estimations,

Plus en détail

- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à

- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à Information presse Roche, l Agence Nationale de Recherches sur le Sida et les hépatites virales (ANRS), le Baylor Research Institute (BRI) et Inserm Transfert mettent en place une coopération stratégique

Plus en détail

Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * *

Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * République du Sénégal Ministère de la Santé et de l Action Sociale Direction Générale de la Santé Direction des Laboratoires Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * PLAN DE FORMATION DES PERSONNELS

Plus en détail

plateforme de formation à distance

plateforme de formation à distance Utilisation d une d plateforme de formation à distance F. Thiessard ISPED - Institut de Santé Publique, d Épidémiologie et de Développement Université Victor Segalen Bordeaux 2 Enseignement à distance

Plus en détail

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble

Plus en détail

CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES

CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES Formalisation des engagements réciproques entre l EPS Ville-Evrard et les internes Ressources humaines médicales Delphine LEBIGRE AAH NOVEMBRE 2012 Objectifs L établissement

Plus en détail

TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE)

TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE) TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE) PAYS ET REGION DE MISE EN ŒUVRE DU PROJET Ce projet sera mise en

Plus en détail

Définition de l Infectiologie

Définition de l Infectiologie Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage

Plus en détail

La Télémédecine dans le cadre de la Plateforme Régionale Santé de Martinique

La Télémédecine dans le cadre de la Plateforme Régionale Santé de Martinique + La Télémédecine dans le cadre de la Plateforme Régionale Santé de Martinique 15 ème Conférence des Fédérations Hospitalières des Antilles et de la Guyane Y. MARIE-SAINTE Directeur 28/04/2011 V1.0 + #

Plus en détail

ANNEXE I A LA CS12INI202 PLAN D ACTION

ANNEXE I A LA CS12INI202 PLAN D ACTION ANNEXE I A LA CS12INI202 PLAN D ACTION RESEAU DE FORMATION A LA PRISE EN CHARGE GLOBALE DE L INFECTION VIH PEDIATRIQUE EN AFRIQUE FRANCOPHONE Référence : 12INI202 Porteur de projet : GIP ESTHER Membre(s)

Plus en détail

Les rencontres «Acheteurs de la santé» - Auvergne Opportunités d affaires 2014-2015. Bilan

Les rencontres «Acheteurs de la santé» - Auvergne Opportunités d affaires 2014-2015. Bilan Les rencontres «Acheteurs de la santé» - Auvergne Opportunités d affaires 2014-2015 Bilan Contexte : Le marché hospitalier est identifié à la fois comme une source de croissance et d emplois pour les entreprises

Plus en détail

Lettre à l éditeur. Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles. perspectives?

Lettre à l éditeur. Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles. perspectives? Lettre à l éditeur Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles perspectives? HIV Antiretroviral Drug Resistance: What s new in Mali? What is the future? Maiga AI 1,2, Sangare

Plus en détail

Lieux de stage des étudiants du Master 2 en Santé Internationale 2010-2015

Lieux de stage des étudiants du Master 2 en Santé Internationale 2010-2015 Lieux de stage des étudiants du Master 2 en Santé Internationale 2010-2015 Lieux de stage, structures d accueil et sujets de stage des étudiants du Master 2 en Santé Internationale 2010-2015 Pays Structure

Plus en détail

Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC

Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC 1 Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC Dr A. BOUDAK / Dr M.H Trabelssi Dir Hôpitaux et dessoins Ambulatoires/M. Santé 6ème colloque France Maghreb sur

Plus en détail

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055

Plus en détail

DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT

DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT Mise à jour avec rétroinformation technique de décembre 2012 Chaque jour, près de 800 femmes meurent durant la grossesse ou l accouchement

Plus en détail

SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres

SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6

Plus en détail

Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA

Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA Réunion Icône 2015 STRASBOURG Laurence Boyer - PH -SMIT- CHU Nancy Contexte Plan VIH/Sida/IST- 2010/14: Augmenter le dépistage:

Plus en détail

Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015

Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Salon de la Santé et de l Autonomie Pavillon 1 Stand L22

DOSSIER DE PRESSE. Salon de la Santé et de l Autonomie Pavillon 1 Stand L22 DOSSIER DE PRESSE Salon de la Santé et de l Autonomie Pavillon 1 Stand L22 2014 1 BERGER-LEVRAULT, PARTENAIRE INCONTOURNABLE DES ACTEURS DE SANTÉ PUBLICS ET PRIVÉS Dossier de presse 2014 I Page 3 1 BERGER-LEVRAULT,

Plus en détail

Bonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici

Bonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général

Plus en détail

Démarrage du prélèvement d organes et de Tissus sur donneurs décédés au Maroc

Démarrage du prélèvement d organes et de Tissus sur donneurs décédés au Maroc Démarrage du prélèvement d organes et de Tissus sur donneurs décédés au Maroc B.Ramdani Président du coneil consultatif de Transplantation d'organes et de tissus humains benyounsramdani@gmail.com 1 INTRODUCTION

Plus en détail

DIPLOME DE CHIRURGIE ORALE

DIPLOME DE CHIRURGIE ORALE DIPLOME DE CHIRURGIE ORALE ORGANIGRAMME DES SEMINAIRES Promotion 2013 FORMATION COMPLEMENTAIRE EN MEDECINE POUR LES MEDECINS Pour les enseignants, ces enseignements seront à faire tous les 2 ans 1 - Module

Plus en détail

ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains

ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains Adoptée par la 18e Assemblée générale de l AMM, Helsinki, Finlande,

Plus en détail

{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014

{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014 Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA

Plus en détail

REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE

REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et

Plus en détail

santé le parcours de soins Mémento

santé le parcours de soins Mémento santé le parcours de soins Mémento Informations pratiques Qu est-ce que le parcours de soins? Le parcours de soins est un circuit que vous devez respecter pour bénéficier d un suivi médical coordonné,

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

sa Faculté de Médecine : site pilote pour l organisation des épreuves classantes nationales sur tablettes tactiles,

sa Faculté de Médecine : site pilote pour l organisation des épreuves classantes nationales sur tablettes tactiles, L Université Nice Sophia Antipolis toujours à la pointe de l innovation pédagogique au service de ses étudiants sa Faculté de Médecine : site pilote pour l organisation des épreuves Premier examen test

Plus en détail

Soutien pour la formation à la recherche translationnelle en cancérologie

Soutien pour la formation à la recherche translationnelle en cancérologie APPEL A CANDIDATURES 2011 Soutien pour la formation à la recherche translationnelle en cancérologie Action 1.2 Date limite de soumission en ligne du dossier : 06 décembre 2010 http://www.e-cancer.fr/aap/for2011

Plus en détail

Présentation des intervenants et modérateurs

Présentation des intervenants et modérateurs «NOSOPICARD 2015», 20 ème Rencontre d Hygiène Hospitalière, de Prévention et de Lutte contre les Infections Associées aux Soins Présentation des intervenants et modérateurs Roland GORI est : Professeur

Plus en détail

Infection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet

Infection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet Procédure qualité : «VIH et grossesse» Page 1 sur 6 CHU de Clermont-Ferrand Service de Gynécologie-obstétrique Pôle Gynécologie-Obstétrique biologie de la reproduction Procédure médicale Infection VIH

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

Gestion de comptes. - Rapport d étude. Auteur Pôle Banque Finance et Assurance. N étude 1400127. Février 2014. Gestion de comptes

Gestion de comptes. - Rapport d étude. Auteur Pôle Banque Finance et Assurance. N étude 1400127. Février 2014. Gestion de comptes Gestion de comptes - Rapport d étude Auteur Pôle Banque Finance et Assurance N étude 1400127 Février 2014 1 Gestion de comptes Sommaire 1. La méthodologie 3 2. Les résultats de l étude 6 3. Annexes 12

Plus en détail

Introduction au métier d ARC. en recherche clinique

Introduction au métier d ARC. en recherche clinique Introduction au métier d ARC en recherche clinique Déroulement d un projet de recherche clinique Idée Faisabilité Avant Pendant Après Protocole accepté Démarches réglementaires Déroulement de l étude Analyse

Plus en détail

SYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois

SYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois SYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois La télémédecine au service des soins de 1 er recours et de l aménagement du territoire dominique.depinoy@acsantis.com Pourquoi

Plus en détail

«Adaptation de la mise en œuvre des bonnes pratiques cliniques en fonction des caractéristiques de certaines recherches»

«Adaptation de la mise en œuvre des bonnes pratiques cliniques en fonction des caractéristiques de certaines recherches» Synthèse de la table ronde 2- Giens XXI -octobre 2005 «Adaptation de la mise en œuvre des bonnes pratiques cliniques en fonction des caractéristiques de certaines recherches» Pierre-Henri.Bertoye, Soizic.Courcier-Duplantier,

Plus en détail

Vaccinations pour les professionnels : actualités

Vaccinations pour les professionnels : actualités Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???

Plus en détail

Mon traitement n a pas marché.

Mon traitement n a pas marché. tirer profit des différents traitements et soins disponibles être hépatant 13 Mon traitement n a pas marché. Que faire? Nous voulons informer sur l hépatite C, lutter pour une meilleure prise en charge

Plus en détail

PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE

PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE 37 ème Assemblée Générale de la FANAF YAOUDE (CAMEROUN) 23-28 Février 1 ASSURANCE MALADIE 2 - Un des principaux

Plus en détail

Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI

Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI L ASSOCIATION ALIMA The Alliance for International Medical Action (ALIMA) est une organisation médicale internationale, fondée en 2009. ALIMA a

Plus en détail

Pr. Pierre FUMOLEAU Directeur Général du Centre de Lutte Contre le Cancer Georges-François Leclerc (CGFL)

Pr. Pierre FUMOLEAU Directeur Général du Centre de Lutte Contre le Cancer Georges-François Leclerc (CGFL) C Ouverture INTRODUCTION RENCONTRES DES 25 et 26 JUIN 2014 Accueil des Participants Pr. Pierre FUMOLEAU Directeur Général du Centre de Lutte Contre le Cancer Georges-François Leclerc (CGFL) 25 juin 9h30

Plus en détail

Don d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper

Don d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale

Plus en détail

Sélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA. Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005

Sélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA. Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005 Sélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005 Sélection et Évaluation Quantitative Références Sélection

Plus en détail

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute

Plus en détail

WHA63.12 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5

WHA63.12 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5 WHA63/200/REC/ WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins... 9 WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5 La Soixante-Troisième Assemblée mondiale de la

Plus en détail

Perspectives en sciences sociales et santé publique. Bernard Taverne (CRCF/IRD)

Perspectives en sciences sociales et santé publique. Bernard Taverne (CRCF/IRD) Perspectives en sciences sociales et santé publique Bernard Taverne (CRCF/IRD) Journée scientifique ANRS, Dakar 25 juin 2010 Le devenir des patients au delà d un processus de recherche clinique, Organisation

Plus en détail

Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages

Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages Centre Hospitalier Pontoise Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages Chef de service : Dr Hugo GONZALEZ Accueil secrétariat 01 30 75 49

Plus en détail

FINANCEMENT DE L OFFRE DE SOINS EN AFRIQUE. Prof DIE-KAKOU

FINANCEMENT DE L OFFRE DE SOINS EN AFRIQUE. Prof DIE-KAKOU 1 FINANCEMENT DE L OFFRE DE SOINS EN AFRIQUE Prof DIE-KAKOU 2 PLAN INTRODUCTION I- SITUATION II- FINANCEMENT IV- COUVERTURE MALADIE V- DEFIS CMU CONCLUSION 3 INTRODUCTION Services de santé offerts avec

Plus en détail

Précarité sociale et recours aux soins dans les établissements de soins du Tarn-et-Garonne

Précarité sociale et recours aux soins dans les établissements de soins du Tarn-et-Garonne O B S E R V A T O I R E R E G I O N A L D E L A S A N T E D E M I D I - P Y R E N E E S Précarité sociale et recours aux soins dans les établissements de soins du Tarn-et-Garonne Novembre 2007 SYSTEME

Plus en détail

Proyecto Telemedicina

Proyecto Telemedicina Seminario Internacional Desarrollo de Servicios Sociales para Personas Mayores 3-4 octubre 2013 Proyecto Telemedicina Dr Jean-Philippe Flouzat Médico geriatra, Consejero Médico Social de la Agencia Regional

Plus en détail

Compte-rendu de la Réunion CMRR Du 21 Octobre 2004 Les présentations des intervenants sont disponibles sur le site : www.cmrr.vermeil.

Compte-rendu de la Réunion CMRR Du 21 Octobre 2004 Les présentations des intervenants sont disponibles sur le site : www.cmrr.vermeil. Compte-rendu de la Réunion CMRR Du 21 Octobre 2004 Les présentations des intervenants sont disponibles sur le site : www.cmrr.vermeil.org I. Informations diverses présentées par AS. Rigaud & B. Dubois

Plus en détail

Accès équitable aux médicaments essentiels : cadre d action collective

Accès équitable aux médicaments essentiels : cadre d action collective Perspectives Politiques de l OMS sur les médicaments 8 Accès équitable aux médicaments essentiels : cadre d action collective Mars 2004 Organisation mondiale de la Santé Genève L orsqu ils sont disponibles,

Plus en détail

Projet de Loi no 98 Loi modifiant la Loi sur l assurance médicament et d autres dispositions législatives

Projet de Loi no 98 Loi modifiant la Loi sur l assurance médicament et d autres dispositions législatives Projet de Loi no 98 Loi modifiant la Loi sur l assurance médicament et d autres dispositions législatives Présentation à la Commission des affaires sociales Ordre des pharmaciens du Québec 28 mai 2002

Plus en détail

TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO

TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO PLAN DE PRESENTATION BREVE PRESENTATION DES DEUX PAYS - GUINEE/CONAKRY GUINEE BISSAO Population = 7 156 406hbts dont 51% de femmes et 46% de jeunes, - 1 200 000

Plus en détail

LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat

LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat JFR 2007 LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat Xavier Heymans Avocat à la Cour de Bordeaux www.heymans-avocat.com INTRODUCTION Rejet de la fatalité Socialisation du risque Responsabilisation

Plus en détail

Vincent Péters. Président du GT TICS du SNITEM. Directeur Affaires Réglementaires de BIOTRONIK France

Vincent Péters. Président du GT TICS du SNITEM. Directeur Affaires Réglementaires de BIOTRONIK France Vincent Péters Directeur Affaires Réglementaires de BIOTRONIK France Président du GT TICS du SNITEM 5 juillet 2013 Colloque industries du numérique et Santé+ Autonomie Contexte Plus de 60 ans Cardiologues

Plus en détail

Partage des coûts vs gratuité

Partage des coûts vs gratuité Assurance maladie et gratuité des soins en Afrique subsaharienne : quelles bases pour une couverture universelle? Alain Letourmy (CNRS et animateur du réseau RAMUS (Réseau d appui aux mutuelles de santé))

Plus en détail

DON DE SANG. Label Don de Soi

DON DE SANG. Label Don de Soi DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7

Plus en détail

IMMED Monitoring vidéo porté

IMMED Monitoring vidéo porté IMMED Monitoring vidéo porté L indexation vidéo au service du soin des personnes Projet financé par PEPS S2TI CNRS et des bourses BQR de l Université Bordeaux 1 1 Contexte Maladies et dépendances liées

Plus en détail

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication

Plus en détail

Rôle de l ARCl. V Grimaud - UE recherche clinique - 18 mars 2011. Définitions

Rôle de l ARCl. V Grimaud - UE recherche clinique - 18 mars 2011. Définitions Rôle de l ARCl 1 Définitions ARC : Assistant de Recherche Clinique TEC : Technicien d Étude Clinique Promoteur : Personne physique ou morale qui prend l initiative de la recherche Investigateur principal

Plus en détail

Un poste à votre mesure!

Un poste à votre mesure! Titre du poste : INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN SOINS DE PREMIÈRE LIGNE (IPSPL) Direction : Direction des soins infirmiers Statut : Temps complet - 35 heures/semaine Quart : Jour LIBELLÉ DU TITRE D EMPLOI Personne

Plus en détail

MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)

MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix

Plus en détail

EVOLUTION DE CESSIONS DES PSL ET OBJECTIFS 2013 EN AQUITAINE-LIMOUSIN

EVOLUTION DE CESSIONS DES PSL ET OBJECTIFS 2013 EN AQUITAINE-LIMOUSIN REHAL : actualités et perspectives; 10 ème journée 22 novembre 2012 EVOLUTION DE CESSIONS DES PSL ET OBJECTIFS 2013 EN AQUITAINE-LIMOUSIN Dr Azzedine ASSAL Directeur EFS-AQLI LA RÉGION AQUITAINE-LIMOUSIN

Plus en détail

LA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES. Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone

LA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES. Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone LA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone SOMMAIRE 1. La mort aux urgences 2. Les Limitations et Arrêts des Thérapeutiques

Plus en détail

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels

Plus en détail

ABL and Evivar Medical for Strategic Partnership and Alliance in HIV and Hepatitis

ABL and Evivar Medical for Strategic Partnership and Alliance in HIV and Hepatitis ABL and Evivar Medical for Strategic Partnership and Alliance in HIV and Hepatitis Conférence de Presse ABL SA - Chambre de Commerce de Luxembourg - Mardi 29 Septembre 2009, 18h Annonce de Presse ABL and

Plus en détail

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Les dates clés de la Coddem

DOSSIER DE PRESSE. Les dates clés de la Coddem 6 ème séance plénière lundi 14 avril 2014 DOSSIER DE PRESSE La commission départementale de la démographie médicale : l instance incontournable en Lot-et-Garonne pour mettre en place un nouvel exercice

Plus en détail

Syndicat National des Internes en Odontologie

Syndicat National des Internes en Odontologie Syndicat National des Internes en Odontologie Président en charge du Présents : Compte-rendu de la réunon du 19 mars 2014 avec les coordonnateurs des DES Mr le Professeur Robert GARCIA (Président de la

Plus en détail

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé

Plus en détail

Résumé. Contexte. Les résultats. Défis et succès. Le partenariat. Contexte. La recherche

Résumé. Contexte. Les résultats. Défis et succès. Le partenariat. Contexte. La recherche Études de cas sur la recherche en santé mondiale : enseignements tirés de partenariats abordant les iniquités en santé Comparaison des résultats de traitements antirétroviraux entre cohortes prospectifs

Plus en détail

COMPTE À REBOURS JUSQU À zero

COMPTE À REBOURS JUSQU À zero COMPTE À REBOURS JUSQU À zero Y croire Le faire. PLAN MONDIAL POUR ÉLIMINER LES NOUVELLES INFECTIONS À VIH CHEZ LES ENFANTS À L HORIZON 2015 ET MAINTENIR LEURS MÈRES EN VIE 2011-2015 Copyright 2011 Programme

Plus en détail

Nouvelles Technologies d investigation de surveillance du patient dont Télétransmission

Nouvelles Technologies d investigation de surveillance du patient dont Télétransmission Plateforme Médicalisée 24/7 de Services Santé et Télémédecine M.D Jean-Michel Souclier H2AD propose des solutions entièrement sécurisées permettant le maintien et le retour àdomiciledes personnes fragiles:

Plus en détail

Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola

Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Août 2014 l enfance aux enfants Organisation mondiale de la Santé 2014 Tous droits réservés. Les appellations employées dans la présente

Plus en détail

le guide DON D ORGANES : DONNEUR OU PAS, je sais pour mes proches, ils savent pour moi L Agence de la biomédecine

le guide DON D ORGANES : DONNEUR OU PAS, je sais pour mes proches, ils savent pour moi L Agence de la biomédecine le guide L Agence de la biomédecine L Agence de la biomédecine est un établissement public national de l État créé par la loi de bioéthique de 2004. Elle exerce ses missions dans les domaines du prélèvement

Plus en détail

Drug Misuse and Treatment in Morocco

Drug Misuse and Treatment in Morocco Drug Misuse and Treatment in Morocco Fatima El Omari Centre National de Traitement, de Prévention et de Recherche en Addictions, Hôpital Arrazi, CHU Rabat-Salé, Maroc Morocco AFRIQUE Le Maroc Population:

Plus en détail

Les recommandations de recherche de l expertise INSERM sur la RdR. Patrizia Carrieri INSERM U912 - ORSPACA

Les recommandations de recherche de l expertise INSERM sur la RdR. Patrizia Carrieri INSERM U912 - ORSPACA Les recommandations de recherche de l expertise INSERM sur la RdR Patrizia Carrieri INSERM U912 - ORSPACA Plan de la présentation Recommandations de recherche de l expertise INSERM Etat d avancement des

Plus en détail

Règlement des Etudes

Règlement des Etudes Règlement des Etudes Il est toléré 3 jours d absence, pour raisons valables, sur les 12 jours de l enseignement. A partir de 4 le DIU ne pourra pas être validé. Il est nécessaire d obtenir la note minimale

Plus en détail

Enjeux de santé globale à partir de 2015 la Couverture santé universelle accès équitable aux soins pérenne et pour tous»

Enjeux de santé globale à partir de 2015 la Couverture santé universelle accès équitable aux soins pérenne et pour tous» Enjeux de santé globale à partir de 2015 la Couverture santé universelle accès équitable aux soins pérenne et pour tous» Les Amis du Fonds mondial Cycle d information et d échanges Yous Hannah 30/09/2014

Plus en détail

A. Secteur des services aux entreprises

A. Secteur des services aux entreprises A. Secteur des services aux entreprises 1 Services Aux Entreprises I. Diagnostic sectoriel Services Aux Entreprises 1. Contexte des entreprises Démographie des entreprises 382 417 499 286 1845 1838 1271

Plus en détail

Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis

Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron à Saint-Louis Cancers & imagerie médicale Un progrès majeur pour une meilleure prise en charge des patients. Accroitre les possibilités

Plus en détail

Regional Seminar for Certain African Countries on the Implementation and Use of Several Patent-Related Flexibilities

Regional Seminar for Certain African Countries on the Implementation and Use of Several Patent-Related Flexibilities REPUBLIC OF SOUTH AFRICA Regional Seminar for Certain African Countries on the Implementation and Use of Several Patent-Related Flexibilities Topic 9: The Use of Compulsory Licenses Durban, South Africa

Plus en détail

Bilan de la démarche. de certification V 2010. Haute-Normandie

Bilan de la démarche. de certification V 2010. Haute-Normandie Bilan de la démarche de certification V 2010 Haute-Normandie Juin 2013 La certification V 2010 en Haute Normandie Bilan au 1 er juin 2013 Etat d avancement de la démarche Au 1 er juin 2013, 69 établissements

Plus en détail

Burn out des professionnels de santé. Quels facteurs? Comment le mesurer? Quelles conséquences?

Burn out des professionnels de santé. Quels facteurs? Comment le mesurer? Quelles conséquences? Burn out des professionnels de santé Quels facteurs? Comment le mesurer? Quelles conséquences? Docteur Jean-Claude PERREAND Centre Hospitalier de Valence De quoi parle t-on? Burn out, ou syndrome d épuisement

Plus en détail

L observation des aspects non techniques d une simulation

L observation des aspects non techniques d une simulation L observation des aspects non techniques d une simulation Dr François LECOMTE Praticien Hospitalier Urgences SMUR UMJ CHU Cochin Hôtel Dieu Université Paris Descartes francois.lecomte@cch.aphp.fr Mettre

Plus en détail

La biologie médicale en France : présent et avenir. Académie Nationale de Pharmacie Mercredi 4 Février 2015

La biologie médicale en France : présent et avenir. Académie Nationale de Pharmacie Mercredi 4 Février 2015 La biologie médicale en France : présent et avenir Académie Nationale de Pharmacie Mercredi 4 Février 2015 Les fondamentaux de la biologie médicale en France Une discipline jeune, apparue dans les années

Plus en détail

LE PREMIER MAGAZINE GRATUIT INTERCULTUREL

LE PREMIER MAGAZINE GRATUIT INTERCULTUREL LE PREMIER MAGAZINE GRATUIT INTERCULTUREL l actualité prend des couleurs Afriscope, un média citoyen pour communiquer Afriscope n 17 - septembre / octobre 2010 L SPkCIA E QUE FAIR E ANTENAIR S DU CINQU

Plus en détail

Panorama d une filière d excellence : les industries et technologies de santé

Panorama d une filière d excellence : les industries et technologies de santé Panorama d une filière d excellence : les industries et technologies de santé D après les données du Contrat d étude prospective des Industries de Santé 2012 les chiffres clés u Près de 200 000 salariés,

Plus en détail

L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé

L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Trousse d information L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Novembre 2004 L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé L approche populationnelle

Plus en détail

C est quoi le District Health Information Software 2?

C est quoi le District Health Information Software 2? Introduction Actions entreprises C est quoi le Health Information Software 2? Avantages Inconvénients Conclusion Le système d information sanitaire est l un des piliers du Système de Santé Il contribue

Plus en détail

Médecine en 2014. Médecine en 2014. Exigences techniques

Médecine en 2014. Médecine en 2014. Exigences techniques Pierre Bonnet, Félix Scholtes - Université de Liège - Sciences biomédicales Michel Raze - Centre Hospitalier Universitaire de Liège Stéphane Safin - Université de Paris 8 - laboratoire Paragraphe-C3U Médecine

Plus en détail

Liste des principales abréviations

Liste des principales abréviations 2014-2019 2 Liste des principales abréviations ART CRS DMG DPG FSF HSH IST LGBTQI MAS NONOPEP OPEP PMTCT PrEP PVVIH SIDA TasP TPE VIH Thérapie antirétrovirale Centres de référence Sida Dossier médical

Plus en détail

& Melinda Gates et Gavi, qui permettra d améliorer la santé des populations des six pays ciblés et de contribuer à la sécurité sanitaire régionale.

& Melinda Gates et Gavi, qui permettra d améliorer la santé des populations des six pays ciblés et de contribuer à la sécurité sanitaire régionale. Communiqué Santé au Sahel : l AFD, la Fondation Bill & Melinda Gates et Gavi s engagent ensemble pour renforcer la vaccination dans six pays de la région du Sahel Paris, le 26 juin 2015 - L Agence Française

Plus en détail

58 ème CONGRES DE L UIA Florence, Italie 29 octobre 02 novembre 2014

58 ème CONGRES DE L UIA Florence, Italie 29 octobre 02 novembre 2014 58 ème CONGRES DE L UIA Florence, Italie 29 octobre 02 novembre 2014 COMMISSIONS DROIT DES ASSURANCES/ DROIT MEDICAL Vendredi 31 Octobre 2014 LA TECHNOLOGIE MEDICALE DE POINTE ET SON COUT N GANN Supermann

Plus en détail