TÉNODÈSE ET/OU RÉSECTION DE LA PORTION ARTICULAIRE DU MUSCLE LONG BICEPS BRACHIAL, PAR ARTHROSCOPIE JUIN 2006
|
|
- Valérie Joly
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 TÉNODÈSE ET/OU RÉSECTION DE LA PORTION ARTICULAIRE DU MUSCLE LONG BICEPS BRACHIAL, PAR ARTHROSCOPIE Classement CCAM : 13 - Code : Non codé JUIN 2006 Service évaluation des actes professionnels 2 avenue du Stade de France Saint-Denis La Plaine CEDEX Tél. : Fax : http : // N SIRET : Code APE : 751 C
2 Ce rapport est téléchargeable sur Haute Autorité de santé Service communication 2 avenue du Stade de France Saint-Denis La Plaine CEDEX Tél. : +33 (0) Fax +33 (0) Ce document a été validé par le Collège de la Haute Autorité de santé en juin 2006 Haute Autorité de santé
3 L EQUIPE Ce dossier a été réalisé par le Dr Isabelle Gautier-Lhermite, chef de projet au Service évaluation des actes professionnels. La recherche documentaire a été effectuée par Mireille Cecchin, documentaliste, avec l aide de Mme Sylvie Lascols, sous la direction du Dr Frédérique Pagès, docteur ès sciences. L organisation de la réunion et le secrétariat ont été réalisés par Félix Muller Pour tout contact au sujet de ce dossier : Tél. : Fax : contact.seap@has-sante.fr Service évaluation des actes professionnels Chef de service, Dr Sun Hae Lee-Robin Adjoint au chef de service, Dr Denis Jean David, docteur ès sciences - 3 -
4 SYNTHESE INTRODUCTION La ténodèse et/ou la résection de la portion articulaire du muscle long biceps (ténotomie) sont des actes réalisés soit isolément dans le cas de lésions isolées du muscle biceps brachial dans sa portion longue (longue portion du biceps ou LPB), soit en association avec d autres gestes sur les tendons et les muscles de l épaule, lorsque divers éléments de la coiffe des rotateurs sont lésés. La ténotomie ou résection de la portion articulaire est la section du tendon du long biceps, la ténodèse est la fixation du tendon à l os. Ces interventions se déroulent par abord direct (ou à ciel ouvert, technique de référence) ou sous arthroscopie (technique évaluée) ; elles sont proposées en seconde intention après échec du traitement médical. La fréquence de l atteinte bicipitale, associée à une pathologie de la coiffe ou isolée, n est pas connue avec précision dans la population. Les libellés de ténotomie et de reconstruction des tendons de l épaule apparaissaient au chapitre II de la NGAP, sans précision sur la voie d abord, le libellé d exploration arthroscopique apparaissait au chapitre IV, sans précision de localisation. La ténodèse et la ténotomie sont décrites par abord direct dans la CCAM : «PCPA005 - Ténotomie, par abord direct» et «MJDA001 - Ténodèse et/ou résection de la portion articulaire du muscle long biceps brachial, par abord direct». Les dispositifs de fixation par ancre, vis ou agrafes nécessaires à la ténodèse sont inscrits sous lignes génériques, au titre III des Dispositifs médicaux implantables. Les «dispositions générales» de la CCAM version 2 précisent, dans ses articles I-6 et 1-12, les notions d acte global et de procédure, donnant lieu à cotation et à tarification : la ténotomie ou ténodèse est un acte global lorsqu elle est réalisée seule. Par contre dans le cas d une réparation de la coiffe des rotateurs, elle entre dans le cadre d une procédure déjà inscrite à la CCAM, et ne peut pas donner lieu à une cotation séparée supplémentaire. L acte est décrit partiellement ou complètement dans les nomenclatures belges (2005) (sans précision de la voie d abord), et sous arthroscopie dans les nomenclatures américaines (CPT 2004), et québécoises (2005). L évaluation de «Ténodèse et/ou résection de la portion articulaire du muscle long biceps brachial, par arthroscopie» a été demandée par l UNCAM, en vue de son inscription à la liste d actes remboursés ou pris en charge par l Assurance maladie. La Haute Autorité de santé a évalué le Service attendu de cet acte pour rendre un avis sur son inscription à cette liste. MÉTHODE La méthode proposée par la HAS pour évaluer le Service attendu des actes professionnels est fondée sur les données scientifiques identifiées, et l avis de professionnels réunis dans un groupe de travail. Une recherche documentaire sur la période 01/ /2005 a été effectuée par interrogation des principales bases de données bibliographiques médicales (Medline, Embase, Pascal, The Cochrane Library, National Guideline Clearinghouse et INAHTA HTA Database). Trois cent trente-cinq documents ont été obtenus, dont 26 ont été retenus pour le dossier (13 pour les descriptions techniques et indications, 3 études pour le chapitre épidémiologie, et 8 pour l analyse critique des résultats)
5 RÉSULTATS Indications On distingue les lésions isolées de la LPB dans le corps du tendon ou à son insertion (a), et les lésions de LPB dans le cadre d une atteinte plus large de l épaule et de la coiffe (b) a) lésions isolées de la LPB ou lésions d insertion de LPB - Épaule indolore : Les ruptures traumatiques et/ou spontanées de la LPB ne nécessitent pas d'intervention chirurgicale, en dépit du préjudice esthétique et d'une petite baisse de la force musculaire dans la supination et la flexion du coude (deux séries de cas ou SC, niveau IV). - Épaule symptomatique : Lors de l évaluation préopératoire, un geste sur le tendon est proposé dans deux situations (5 SC, niveau IV) : - les lésions du tendon sont irréversibles : rupture supérieure à 25 % du tendon et/ou fragilisation, subluxation du tendon de la gouttière ou diminution de la taille du tendon de plus de 25 % ou 50 % selon les auteurs ; - l autoténodèse est vraisemblable. Selon le type de population (âge et demande fonctionnelle), les indications préférentielles seraient (1 SC, niveau IV) : - la ténodèse chez les sujets jeunes (moins de 55 ans) ; - la ténotomie chez les sujets plus âgés. b) Lésions de la LPB dans le cadre d une atteinte plus large de l épaule et de la coiffe Lors d une atteinte de la coiffe des rotateurs, un éventuel geste sur la LPB (ténotomie ou ténodèse) peut être indiqué, en association au débridement arthroscopique et à la réparation chirurgicale de la coiffe : - une ténotomie est envisagée en cas de lésions importantes du tendon, ne permettant pas sa conservation ou de douleurs associées (2 SC, niveau IV) ; - une ténodèse est associée, si nécessaire, à une réparation de la rupture de coiffe (1 SC, niveau IV). Efficacité a) Chirurgie sous arthroscopie Les indications précises n étant pas décrites dans les SC, les résultats sont donnés par geste chirurgical. - Ténotomie Quatre SC étaient disponibles (n total = 502). L une portait sur les résultats de 210 procédures chirurgicales plus ou moins complètes de réparation de la coiffe des rotateurs. Parmi les 210 patients, 15 ont eu une ténotomie isolée, et 38 une ténotomie associée à une acromioplastie. Les résultats des sousgroupes de patients, ayant eu une ténotomie n étaient pas discernables par rapport à ceux de l ensemble de la cohorte. Les résultats étaient excellents, très bons et bons pour - 5 -
6 71,6 % des patients, selon les critères de Constant 1, pondérés par l âge et le sexe, à un an (niveau IV). Les auteurs ont ensuite analysé le sous-groupe des patients pour lesquels une ténotomie avait été réalisée (n = 53) : pour ces patients, les suites opératoires étaient globalement plus douloureuses, et le retour à une activité normale plus lent. Mais le score de Constant postopératoire ne différait pas de celui de l ensemble de la cohorte, et la mobilité active, ainsi que le niveau d activité étaient significativement plus élevés (p < 0,05) dans ce sous-groupe. Une évolution longue de la pathologie ou le jeune âge étaient des facteurs prédictifs négatifs d'une évolution satisfaisante, après prise en charge chirurgicale (même SC). Une SC décrivait les résultats de 307 ténotomies arthroscopiques pour rupture non réparable de la coiffe, résistant au traitement antalgique. La ténotomie était isolée dans 64 % des cas, et associée à une acromioplastie pour les 36 % autres cas ; avec un recul moyen de 57 mois, les auteurs rapportaient un taux de 85 % de patients satisfaits (critère douleur), et une augmentation significative du score de Constant (p < 0,001). Une 3 ème SC comportait 283 interventions sous arthroscopie pour rupture du sus-épineux, traité par débridement sans réparation tendineuse, associé 116 fois à une ténotomie. Les résultats n étaient pas détaillés, selon la réalisation ou non d une ténotomie, les auteurs obtenaient 94 % de satisfaction des patients (36 % de patients très satisfaits, 43 % satisfaits et 15 % moyennement satisfaits), avec un recul de 4,7 ans. Ténotomie dans le cadre de lésions étendues de la coiffe : 1 SC (n = 26) : 24 des 26 patients étaient satisfaits (douleur et fonction), avec une limitation fonctionnelle mineure en postopératoire à 5 ans. - Ténodèse Deux SC étaient disponibles (n total = 65), les indications n étaient pas précisées : résultats satisfaisants sur la fonction (augmentation significative du score de Constant en postopératoire [p < 0,05], du score ASE 2 ), et sur la douleur (à 12 et 24 mois de recul respectivement). Les lésions de la LPB étaient isolées ou associées à d autres lésions de la coiffe. b) Chirurgie à ciel ouvert Ténodèse sur tendinopathie bicipitale isolée : 1 SC, n = 15, suivi de 7 ans : résultat (sur mobilité, douleur) à court terme (7 mois à un an) excellent ou bon pour 11 (74 %) ; à long terme (7 ans) excellent ou bon pour 9 (60 %). Sécurité a) Complications de l arthroscopie en général ou de l'arthroscopie de l épaule Dans une enquête portant sur 33 centres (Europe, Amérique, Australie) et colligeant arthroscopies, le taux de complications liées à l arthroscopie (tous sites) était inférieur à 1 %. Les types de complications relevées étaient des infections (de plaie, d articulation), des hémarthroses, des thromboses veineuses profondes, des lésions neurologiques, des thrombophlébites. Une revue restreinte aux complications de l arthroscopie de l épaule concluait à un pourcentage de complications compris entre moins de 0,01 % et 3 % (une revue sur 3 SC, n = 2 671). 1 Score basé sur l évaluation de la mobilité, de la force et de la douleur au niveau de l épaule. 2 Score évaluant la douleur, la fonction, la force et la stabilité de l épaule
7 b) Complications spécifiques de la ténodèse/ténotomie sous arthroscopie Les complications étaient rares et de faible gravité : - Après ténotomie, ont été décrites des douleurs postopératoires (1 SC, n = 53). Dans une autre SC (n = 26), étaient observées une distalisation du muscle long biceps et une algodystrophie. La limitation fonctionnelle la plus fréquente concernait la préhension lors de l élévation du bras (même SC). Une SC décrivait une augmentation du taux d arthrose gléno-humérale après ténotomie isolée (1 SC, n = 307, taux augmentant de 38 % en préopératoire à 67 % à 57 mois postopératoire en moyenne). - Deux ruptures de ténodèses ont été décrites après ténodèse sous arthroscopie (1 SC, n = 43). Population-cible Les données de la littérature ne permettent pas d établir avec précision la fréquence de la pathologie isolée ou associée à une pathologie de la coiffe de la LPB. Place dans la stratégie thérapeutique a) Traitement de première intention Le traitement médical est le traitement de première intention des pathologies de la coiffe des rotateurs. Il comporte le traitement fonctionnel (en première intention, selon les recommandations de l Anaes de 2001 «Pathologies non opérées de la coiffe des rotateurs et massokinésithérapie») et médicamenteux. - Le traitement fonctionnel : associe la kinésithérapie (grade C niveau IV), les techniques de reprogrammation neuro-musculaire (accord professionnel). Dans le cadre de la rupture de la coiffe des rotateurs, l'utilisation de techniques de renforcement des muscles rotateurs est recommandée. - Le traitement médical à visée antalgique est associé à la prise en charge de l épaule douloureuse. Il n est pas évalué dans ce dossier. b) Place de l arthroscopie Le choix d une technique d abord dépend principalement de l atteinte clinique, et n est pas systématique par rapport à la chirurgie (3 SC, niveau IV). AVIS DU GROUPE DE TRAVAIL Les experts valident les indications retenues dans le dossier, mais ne retiennent pas la distinction faite dans la littérature entre les différentes indications cliniques. Ils retiennent comme indication générale les «Tendinopathies isolées ou non de la longue portion du biceps brachial de l'adulte», qui décrit l ensemble des situations cliniques rencontrées en pratique. L acte de ténodèse ou ténotomie est un acte efficace dans l expérience des experts dans 70 % à 80 % des cas environ. Il intervient en seconde intention, après échec d un traitement médical bien conduit. La distinction selon les besoins fonctionnels et l âge des patients ne semble pas, pour les experts, être un élément pertinent, car étroitement lié à la clinique et difficile à systématiser. La voie d abord par arthroscopie est une technique appelée à se développer. La réalisation de l acte sous arthroscopie nécessite une formation spécifique en arthroscopie. D après les experts du groupe de travail, le nombre de ténotomies réalisées en France est estimé à environ par an, et le nombre de ténodèses à environ par an
8 Les professionnels ont proposé deux libellés distincts, bien que les indications soient superposables, pour les raisons suivantes : - technicité différente ; le geste de ténodèse est techniquement plus difficile, il nécessite un temps opératoire long, et un dispositif médical (DM) adapté ; - les complications et conséquences du geste sont différentes. Les libellés proposés sont : - «Ténodèse avec résection de la portion articulaire du muscle long biceps brachial, par arthroscopie» ; - «Résection de la portion articulaire du muscle long biceps brachial, par arthroscopie» 1 - Ténodèse avec résection de la portion articulaire du muscle long biceps brachial, par arthroscopie Permet la préservation de la force en supination, évite la distalisation du tendon du long biceps et les crampes musculaires, mais peut induire des douleurs résiduelles, un conflit secondaire. Les autres complications possibles sont liées à l'arthroscopie de l'épaule. Il n existe pas d'alternative chirurgicale en dehors de la ténotomie. 2 - Résection de la portion articulaire du muscle long biceps brachial, par arthroscopie Ses complications possibles sont la distalisation du muscle long biceps brachial, la perte de force en supination et les crampes musculaires. Ses risques sont les risques liés à l'arthroscopie de l'épaule. Il n existe pas d alternative. CONCLUSION Les actes de ténodèse et de ténotomie sont indiqués sous arthroscopie ou à ciel ouvert, en seconde intention, après échec de la prise en charge médicale, dans le traitement des tendinopathies isolées ou non de la longue portion du biceps brachial de l'adulte (données de littérature et consensus d experts, niveau IV). L intérêt thérapeutique est basé principalement sur la littérature et l opinion du groupe d experts : - Le niveau de preuve de la littérature est faible pour les deux voies d abord possibles sous arthroscopie ou à ciel ouvert (6 SC et 1 SC respectivement, avec un total de 557 patients opérés sous arthroscopie, mais différents gestes chirurgicaux ont été souvent associés au geste de ténodèse ou de ténotomie), des résultats à moyen terme (5 ans) étant disponibles pour 116 ténotomies. - Ce sont des actes thérapeutiques à visée curative, efficaces à court et moyen terme et peu morbides, indiqués en seconde intention après échec du traitement médical (dires d'experts). Leurs complications associent aux complications propres du geste (pour la ténotomie essentiellement distalisation du muscle long biceps brachial, perte de force en supination et crampes musculaires, pour la ténodèse ruptures de ténodèse), les complications de l'arthroscopie, mais sont, dans les SC analysées, de fréquence et de gravité modérées. Le choix de la voie d abord et de la technique n est pas systématique sur les données disponibles (données partielles de la littérature, avis du groupe de travail). La ténodèse est un geste de haute technicité, avec un dispositif médical adapté et un temps opératoire long. Une formation en arthroscopie de l épaule est nécessaire pour les deux gestes. Au total, les données recueillies indiquent un Service attendu suffisant. En l absence de données comparatives avec les techniques alternatives, l Amélioration du service attendu ne peut pas être déterminée. Les données recueillies ne permettent pas de mesurer l intérêt en santé publique de cet acte
Service évaluation des actes professionnels
TRAITEMENT DES AGÉNÉSIES DENTAIRES MULTIPLES LIÉES AUX DYSPLASIES ECTODERMIQUES OU À D'AUTRES MALADIES RARES, CHEZ L ENFANT ATTEINT D OLIGODONTIE, AVEC POSE DE 2 IMPLANTS (VOIRE 4 MAXIMUM) UNIQUEMENT DANS
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détailArticulations du coude et de l avant-bras
Articulations du coude et de l avant-bras 1 Articulation du coude 1.1 Définition Le coude est l articulation intermédiaire du membre supérieur. Elle comprend trois articulations distinctes entre l humérus,
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailETUDE QUALITATIVE SUR LES
ETUDE QUALITATIVE SUR LES SÉJOURS CHIRURGICAUX POUR PATHOLOGIES DE L ÉPAULE ET L ACTIVITÉ PROFESSIONNELLE EN SAVOIE ET HAUTE-SAVOIE AVRIL 2009 Observatoire Régional de la Santé Rhône-Alpes Espace Régional
Plus en détailOrientation en rééducation après chirurgie des ruptures de coiffe et arthroplasties d épaule
ÉVALUATION ET AMÉLIORATION DES PRATIQUES PROFESSIONNELLES Orientation en rééducation après chirurgie des ruptures de coiffe et arthroplasties d épaule SÉRIE DE CRITÈRES DE QUALITÉ POUR L ÉVALUATION ET
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailCritères de suivi en rééducation et. d orientation en ambulatoire ou en soins de suite ou de réadaptation
RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Critères de suivi en rééducation et Octobre 2007 Version pré-commission d orientation en ambulatoire ou en soins de suite ou de réadaptation Après chirurgie des ruptures
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULO- SQUELETTIQUES
LES TROUBLES MUSCULO- SQUELETTIQUES DE L EPAULE CHEZ DES TECHNICIENNES DE LABORATOIRE L. MERIGOT, F. MARTIN, Avec la participation des Drs G. DALIVOUST, G. GAZAZIAN 26 Janvier 2010 1 SOMMAIRE 1. Introduction
Plus en détailCOMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE. AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 CONCLUSIONS
COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 Nom : Modèles et références retenus : Fabricant : Demandeur : Données disponibles
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailEVALUATION DE L AUTOSURVEILLANCE DE
EVALUATION DE L AUTOSURVEILLANCE DE L INR CHEZ LES PATIENTS ADULTES TRAITES PAR ANTIVITAMINES K EN VUE DE LA PRISE EN CHARGE PAR L ASSURANCE MALADIE DES DISPOSITIFS D AUTOMESURE DE L INR OCTOBRE 2008 Service
Plus en détailPRADO, le programme de retour à domicile
, le programme de retour à domicile Enjeux et objectifs du programme Répondre à une volonté croissante des patients Adapter et renforcer le suivi post hospitalisation Optimiser le retour à domicile et
Plus en détailRévision des descriptions génériques Comment monter un dossier?
DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008
LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres
Plus en détailPréfaces... 6. Introduction... 8
Préfaces... 6 Introduction... 8 Comment aborder une problématique musculosquelettique chronique?... 10 Termes importants... 12 La douleur... 14 Repérage anatomique... 24 Les principaux syndromes musculosquelettiques...
Plus en détailLes anomalies des pieds des bébés
Les anomalies des pieds des bébés Pierre Mary Consultation d orthopédie pédiatrique Service d orthopédie et de chirurgie réparatrice de l enfant Hôpital Jean Verdier Hôpital Trousseau Comment étudier un
Plus en détailProtocoles canins pour les traitements par ondes de choc radiales STORZ MEDICAL
Delivered by Protocoles canins pour les traitements par ondes de choc radiales STORZ MEDICAL Docteur Artem Rogalev et Spok APPLICATEURS - PARAMETRES MACHINE CERA-MAX C 15 : Grâce à sa composition en poudre
Plus en détailDIPLOME DE CHIRURGIE ORALE
DIPLOME DE CHIRURGIE ORALE ORGANIGRAMME DES SEMINAIRES Promotion 2013 FORMATION COMPLEMENTAIRE EN MEDECINE POUR LES MEDECINS Pour les enseignants, ces enseignements seront à faire tous les 2 ans 1 - Module
Plus en détailMOUVEMENTS DE BASE (global) EN MUSCULATION. bphiver2013 Hamrouni Samy 1
MOUVEMENTS DE BASE (global) EN. bphiver2013 Hamrouni Samy 1 Squat Développé Couché Traction Traction bphiver2013 Hamrouni Samy 2 Un travail de ces mouvements sur appareils guidés est plus sécurisant mais
Plus en détailA.V.C. Solutions aux séquelles neurologiques du membre inférieur et supérieur. d ATTELLES NEURO - ORTHOPÉDIQUES
Solutions aux séquelles neurologiques du membre inférieur et supérieur A.V.C. Gamme innovante d ATTELLES NEURO - ORTHOPÉDIQUES Pour une réhabilitation motrice facilitée SYSTÈME DE RÉGLAGE BLOCABLE LIBERTÉ
Plus en détailTraumatologie de l enfant. Joël Lechevallier Saad Abu Amara
Traumatologie de l enfant Joël Lechevallier Saad Abu Amara Plan Spécificités de l enfant Traumatismes de l enfant Cas particuliers Traitement Spécificités de l enfant Traumatismes de l enfant Cas pa Physiologie
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détail21 mars 2012. Simulations et Méthodes de Monte Carlo. DADI Charles-Abner. Objectifs et intérêt de ce T.E.R. Générer l'aléatoire.
de 21 mars 2012 () 21 mars 2012 1 / 6 de 1 2 3 4 5 () 21 mars 2012 2 / 6 1 de 2 3 4 5 () 21 mars 2012 3 / 6 1 2 de 3 4 5 () 21 mars 2012 4 / 6 1 2 de 3 4 de 5 () 21 mars 2012 5 / 6 de 1 2 3 4 5 () 21 mars
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE
Référence HCL : Titre de l étude : ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Investigateur Coordonnateur : Méthode. Définition du niveau de risque
Plus en détailObjectifs et Modalités. Présentation : Dr M. Hours, INRETS
Objectifs et Modalités Présentation : Dr M. Hours, INRETS Objectifs du projet Identifier les facteurs pronostiques de handicap et/ou de mauvaise réinsertion des victimes d accidents de la circulation Sous-
Plus en détailRecherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines
18. Recherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines KARILA LAURENT - APPRENTISSAGE DE L EXERCICE MÉDICAL + Objectifs
Plus en détailSynthèse accompagnée d une évaluation critique Processus
Synthèse accompagnée d une évaluation critique Processus Mise à jour : avril, 2015 Version 1.0 HISTORIQUE DES RÉVISIONS Le présent document sera régulièrement révisé dans le cadre des activités d amélioration
Plus en détailBiomécanique des pathologies de contraintes de l avant-pied et du médio-pied
Les Entretiens de Bichat Podologie 2013 Biomécanique des pathologies de contraintes de l avant-pied et du médio-pied C. Cazeau* * Clinique Geoffroy saint-hilaire, 59 rue Geoffroy Saint-Hilaire, 75005 Paris,
Plus en détailQuel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical
Information supplémentaire 3 Quel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical Installation Sur table normale, en décubitus dorsal
Plus en détailLes ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique
Les ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique Préparé par: Rose-Anne Buteau, Inf. Ph D. (c) Sylvie Garand-Rochette, M.Sc.. Monique Thibault,
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailSYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE
SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE D. VAN LINTHOUDT La Chaux-de-Fonds Lausanne, le 19.11.2004 SYNDROMES DOULOUREUX PAR SURCHARGE DU MEMBRE SUPERIEUR épaule
Plus en détailLa polyarthrite rhumatoïde est-elle une maladie courante parmi la patientèle d'un rhumatologue?
Association Française des Polyarthritiques & des Rhumatismes Inflammatoires Chroniques 9, rue de Nemours - 75011 Paris E-mail : afp@nerim.net - www.polyarthrite.org Tél. : 01 400 30 200 - Fax : 01 400
Plus en détailMéthodologie documentaire spécifique au repérage d actions de terrain
Méthodologie documentaire spécifique au repérage d actions de terrain Journée de la préventions 2014 Atelier : «Repérer des actions de prévention : l exemple du tabac» Céline DEROCHE, Sandra KERZANET -
Plus en détailMETHODE D APPLICATION DE L OSTÉOPATHIE. Liste des 155 modèles thérapeutiques du Référentiel RÉÉQUILIBRATION FONCTIONNELLE Méthode SOLÈRE
METHODE D APPLICATION DE L OSTÉOPATHIE Liste des 155 modèles thérapeutiques du Référentiel RÉÉQUILIBRATION FONCTIONNELLE Méthode SOLÈRE Notre formation a pour objet la diffusion de connaissances dans le
Plus en détail2. Rechercher les études
Tutoriel «Introduction à l Evidence-based nursing» 1 2. Rechercher les études Objectifs du module Vous devez savoir élaborer une stratégie de recherche bibliographique efficace, en suivant les étapes suivantes
Plus en détailAu programme. Les blessures fréquentes chez les coureurs de fond
Au programme Les blessures fréquentes chez les coureurs de fond Club La Foulée 5 août 2004 Dre Mireille Belzile La lombo-sciatalgie Inflammation du périoste au site d insertion des muscles du mollet Erreur
Plus en détailSupplément du BDK 24 : Aide à la recherche bibliographique
Supplément du BDK 24 : Aide à la recherche bibliographique 1- Introduction 2- Les différentes études 3- Les bases de données 4- Comment chercher un article 5- Lecture critique d article Rédaction : Antoine
Plus en détailPrise en charge médico-technique d une hémiparesie spastique: Evaluation clinique et instrumentale
Prise en charge médico-technique d une hémiparesie spastique: Evaluation clinique et instrumentale Ould Ouali.A, Amari.A, Lyazidi.O, Benbetka.L, Lakrouf.F, Rachedi.M MPR-HMUS-Staoueli 3eme congrès de la
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailRAPPORT DE STAGE S ANNEE SCOLAIRE 2010-2011 B 3EME 5 CABINET DE MASSEUR KINESITHERAPEUTE. MONSIEUR Edouard CHEVALIER
S ANNEE SCOLAIRE 2010-2011 B 3EME 5 RAPPORT DE STAGE CABINET DE MASSEUR KINESITHERAPEUTE MONSIEUR Edouard CHEVALIER 42 Ter Rue Gambetta 58600 FOURCHAMBAULT Collège PAUL LANGEVIN 9, rue Dufaud 58600 FOURCHAMBAULT
Plus en détailL ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS
L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l
Plus en détail9. Les registres d essais cliniques
9. Les registres d essais cliniques Les registres d essais thérapeutiques sont des bases de données qui enregistrent les essais thérapeutiques planifiés, en cours de réalisation ou terminés, possédant
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailTroubles musculo squelettiques. Institut de Formation en Ergothérapie de Nancy Cours Ergonomie 2004 TMS François Cail - INRS
Troubles musculo squelettiques Institut de Formation en Ergothérapie de Nancy Cours Ergonomie 2004 TMS François Cail - INRS 2003 Les TMS sont des pathologies multifactorielles à composante professionnelle
Plus en détailAmputations partielles traumatiques de la main. Colette Gable - Ergothérapeute CDS - IRR Nancy
Amputations partielles traumatiques de la main Colette Gable - Ergothérapeute CDS - IRR Nancy Amputations partielles de la main Introduction Amputation et répercussions psychologiques Principes de rééducation
Plus en détailChirurgie articulaire secondaire Pr. Philippe PELISSIER
Pr. Philippe PELISSIER Service de Chirurgie Plastique Centre F.X. Michelet CHU de Bordeaux www.e-plastic.fr Introduction Kinésithérapie Dénervation Arthrolyse - Artholyse chirurgicale - Artholyse + ligamentotaxis
Plus en détailREEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE
REEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE REEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE Eric HALLARD, Kinésithérapeute La rupture du LCAE est de plus en plus fréquente
Plus en détailRisques liés à l'activité physique au travail Hyper sollicitation articulaire
Risques liés à l'activité physique au travail Hyper sollicitation articulaire Mireille Loizeau Cours DIUST Paris Descartes-20 janvier 2015 1 Définition et facteurs de risque 2 Définition Contraintes bio-mécaniques,
Plus en détailGamme PHENIX Portable. Toute l électrothérapie dans un portable
Gamme PHENIX Portable Toute l électrothérapie dans un portable PHYSIO PHYSIOSTIM URO Les exclusivités de la gamme PHENIX Portable PHYSIO PHYSIOSTIM URO Les PHENIX Portable sont les seuls appareils portables
Plus en détailMuscles de l'avant-bras et de la main
Muscles de l'avant-bras et de la main CHAPITRE PLAN DU CHAPITRE Vue d'ensemble des actions : muscles de l'articulation du coude et des articulations radio-ulnaires, 182 Vue d'ensemble des actions : muscles
Plus en détailtroubles musculo-squelettiquessquelettiques
Unité d Ergonomie Faculté de Médecine Pitié-Salpêtrière 91, bd de l Hôpital 75 634 Paris cedex 13 www.ergonomie.chups.jussieu.fr DIPLÔME D ERGONOMIE ET DE PHYSIOLOGIE DU TRAVAIL option1 Ergonomie du travail
Plus en détailL analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves
L analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves Cet atelier portera sur 1. la recherche dans la documentation de sources pertinentes; 2. l évaluation
Plus en détailDouleurs des mains. Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements. C.Zenklusen septembre 2013
Douleurs des mains Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements C.Zenklusen septembre 2013 Causes de douleurs aux mains Articulations (origine articulaire) Nerfs (origine nerveuse)
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailPROTHÈSE TOTALE DE GENOU
Dr Alain CAZENAVE chirurgien orthopédiste traumatologie sportive 52 rue du Dr calot 62600 BERCK/mer FRANCE tel: 03 21 89 20 44 site web : www.orthopale.org PROTHÈSE TOTALE DE GENOU QUELQUES GÉNÉRALITÉS
Plus en détailLes postures, l appareillage Point de vue du médecin MPR. Dr. P. LUBLIN MOREL CMPR de COUBERT 2011
Les postures, l appareillage Point de vue du médecin MPR Dr. P. LUBLIN MOREL CMPR de COUBERT 2011 Introduction Le rôle du médecin MPR : poser les indications Réflexion pluridisciplinaire Définir les objectifs
Plus en détailEvidence-based medicine en français
Evidence-based medicine en français MÉDECINE FACTUELLE (Office de la langue française) Médecine fondée sur des faits démontrés Médecine fondée sur des preuves Médecine fondée sur des données probantes
Plus en détailInstitut Régional de Réadaptation Nancy DUHAM 2010
C. Gable - DUHAM 2010 Les orthèses provisoires en pathologie traumatique LES FRACTURES DIGITALES LA MAIN COMPLEXE LES ENTORSES DIGITALES Institut Régional de Réadaptation Nancy DUHAM 2010 Colette Gable,
Plus en détailSOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles
NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du
Plus en détailFiche pédagogique Réaliser une FSE en Tiers-Payant Intégral ACS
Fiche pédagogique Réaliser une FSE en Tiers-Payant Intégral ACS CompuGroup Medical Solutions 59A, Avenue de Toulouse, CS 35014 34076 Montpellier Cedex 3 France www.cgm.com/fr - www.cgm-solutions.fr SAS
Plus en détailPATHOLOGIES NON OPEREES
PATHOLOGIES NON OPEREES DE LA COIFFE DES ROTATEURS ET MASSO-KINESITHERAPIE AVRIL 2001 Service des recommandations et références professionnelles Tous droits de traduction, d'adaptation et de reproduction
Plus en détailMarche normale et marche pathologique
Marche normale et marche pathologique Pr. JM Viton, Dr. L. Bensoussan, Dr. V. de Bovis Milhe, Dr. H. Collado, Pr. A. Delarque Faculté de Médecine, Université de la Méditerranée, Fédération de Médecine
Plus en détailAPPORT DE LA MICROKINESITHERAPIE DANS LES TMS
APPORT DE LA MICROKINESITHERAPIE DANS LES TMS 10è Congrès International en Microkinésithérapie, Arcachon 2 juin 2012 André Bonté Daniel Grosjean Introduction: Cette étude a été lancée dans le cadre d'une
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailSOFARTHRO.com. Réparation arthroscopique de la coiffe des rotateurs par bandelettes ou fils : étude comparative et prospective
Réparation arthroscopique de la coiffe des rotateurs par bandelettes ou fils : étude comparative et prospective Boyer P, Bouthors C, Ben Hamida F, Mylle G, Massin P service d orthopédie, Hôpital Bichat
Plus en détailDon d organes. Notre pays a une nouvelle loi sur la transplantation depuis juillet 2007.
Don d organes Donner ses organes et ses tissus à son décès est un geste généreux qui permet de sauver la vie de plusieurs personnes et d en aider de nombreuses autres à recouvrer la santé. La transplantation
Plus en détailLES ORTHESES DE COMPRESSION CONTENTION
LES ORTHESES DE COMPRESSION CONTENTION Parfois sous estimées, les orthèses de compression contention augmentent le niveau de vigilance par leur mécanisme de «rappel à l ordre», préviennent les récidives
Plus en détailLa chirurgie dans la PC
La chirurgie dans la PC GF PENNECOT Marchant ou déambulant Grand handicapé Kinésith sithérapie Appareillage Médicaments Chirurgie neuro ortho LESION NEUROLGIQUE STABLE Spasticité Perte de la sélectivit
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailLe guide de la Santé du. Pied. 1 personne sur 5 a besoin de consulter un professionnel du pied.
Le guide de la Santé du Pied 1 personne sur 5 a besoin de consulter un professionnel du pied. Petit cours d histoire Les origines... À l origine, l homme marchait pieds nus sur des sols irréguliers. Avec
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailProtégez-vous des risques à l origine des troubles musculo squelettiques (TMS) Information prévention. Vous êtes plombier chauffagiste
Information prévention agir pour votre santé au travail Vous êtes plombier chauffagiste Vous ressentez une gène, une douleur, une raideur ou une perte de force de vos bras ; vous avez mal au dos C est
Plus en détailAPONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras
APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras Didier FONTÈS Institut Main, Epaule et Sport Paris Espace Médical Vauban - Paris VII e Séminaire DIU d Arthroscopie 2012 Le
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailCauses d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire
Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité
Plus en détailINFORMATION CONCERNANT L OSTEOTOMIE DU GENOU
INFORMATION CONCERNANT L OSTEOTOMIE DU GENOU Votre état nécessite la réalisation d'une ostéotomie au niveau du genou. Cette fiche est destinée à vous en expliquer les grands principes, le but et les bénéfices
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailLombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat
Lombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat rappeler l examen clinique du rachis Reconnaître les signes d alertes(red flags) Distinguer la lombalgie commune d une lombalgie
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailLa main au travail : exemple du syndrome du canal carpien
La main au travail : exemple du syndrome du canal carpien 27 Mars 2015 Dr Emilie Chazelle, coordonnateur du programme TMS Institut de veille sanitaire Journées d étude de la Société de Réadaptation du
Plus en détailRÈGLEMENT ANNOTÉ SUR LE BARÈME CORPORELS
RÈGLEMENT ANNOTÉ SUR LE BARÈME DES DOMMAges CORPORELS 2010 RÈGLEMENT ANNOTÉ SUR LE BARÈME DES DOMMAges CORPORELS 2010 Le document a été préparé par la Direction des services médicaux en collaboration avec
Plus en détailHaïti, Projet d appui technique en Haïti (PATH) Houcine AKHNIF & Lucien ALBERT Avril 2015
ETUDE DES COÛTS DES ACTES MEDICAUX EN HAÏTI: Résultats préliminaires et perspectives d utilisation dans la prise de décision Haïti, Projet d appui technique en Haïti (PATH) Houcine AKHNIF & Lucien ALBERT
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailSurveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône
Santé travail Maladies chroniques et traumatismes Surveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône Étude du syndrome du canal carpien opéré 2008-2009 Septembre 2011 F. Sillam 1,
Plus en détailSALLES DE TRAITE. et Troubles Musculo-Squeletiques (TMS)
SALLES DE TRAITE et Troubles Musculo-Squeletiques (TMS) Recherche de pistes de prévention des TMS à partir d observations en situation réelle. Cas particulier des exploitantes agricoles. Pourquoi ce travail?
Plus en détailPharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux
Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional
Plus en détailParcours du dispositif médical Guide pratique 2009 011
Parcours du dispositif médical Guide pratique 2009 011 2009 Actualisation 2013 Ce dossier est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service documentation et information des publics
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailDouleur chronique : reconnaître le syndrome douloureux chronique, l évaluer et orienter le patient
RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Douleur chronique : reconnaître le syndrome douloureux chronique, l évaluer et orienter le patient Consensus formalisé ARGUMENTAIRE Décembre HAS / Service des bonnes pratiques
Plus en détailLa main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab
La main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab Rappel anatomique! Phalanges: P1 P2 P3 = os longs! Articulations IP = trochléennes un seul degré de liberté. - tête
Plus en détailPlace et conditions de réalisation de la polysomnographie et de la polygraphie respiratoire dans les troubles du sommeil
TEXTE COURT DU RAPPORT D ÉVALUATION TECHNOLOGIQUE Place et conditions de réalisation de la polysomnographie et de la polygraphie respiratoire dans les troubles du sommeil Mai 2012 Service évaluation des
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailSuivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale
Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude
Plus en détail