Clinique du travail : enjeux et pratiques The clinical approach to work
|
|
- Hubert Favreau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Pratiques psychologiques 12 (2006) The clinical approach to work covers a variety of theoretical and methodological approaches which are at the source of the proposed settings, as closely as possible to the emerging demands coming from the world of work. The issues selected unemployment, professional breaks, stress, burn-out, harassment and other features of mistreatment as well as the helping practices that they induce, must be questioned. The increase of the worries and demands related to the link between health and work can inhttp://france.elsevier.com/direct/prps/ Dossier Clinique du travail : enjeux et pratiques The clinical approach to work D. Lhuilier Professeur de psychologie du travail, laboratoire PRIS, clinique et société, université de Rouen, France Reçu le 15 septembre 2005 ; accepté le 30 décembre 2005 Résumé La clinique du travail recouvre différentes approches théoriques et méthodologiques qui fondent les dispositifs proposés, au plus prés de l analyse des demandes émergentes dans le monde du travail et des voies électivement prises par celles-ci. Les problématiques privilégiées, telles que le chômage, les ruptures professionnelles, le stress, le burn-out, le harcèlement et la maltraitance au travail, comme les pratiques d accompagnement qu elles sollicitent, doivent être interrogées : l accroissement des préoccupations relatives à la santé psychique au travail peut conduire à la résurgence d un hygiénisme prescriptif ou à une psychologisation occultant la réalité des situations concrètes de travail. Les dispositifs cliniques proposent une double investigation, de la souffrance au travail, de ses manifestations mais aussi des processus de résistance et de dégagement. Ils accordent une place centrale aux collectifs de travail et aux communautés professionnelles qui assurent potentiellement une fonction de tiers entre le sujet et son activité. Ils constituent des cadres d élaboration symbolique permettant de signifier et d apprivoiser les épreuves du travail Société française de psychologie. Publié par Elsevier SAS. Tous droits réservés. Abstract Adresse dominique.lhuilier@univ-rouen.fr (D. Lhuilier) /$ - see front matter 2006 Société française de psychologie. Publié par Elsevier SAS. Tous droits réservés. doi: /j.prps
2 206 D. Lhuilier / Pratiques psychologiques 12 (2006) deed lead to the come back of a prescriptive hygienism or to a sort of psychologisation (reduction of social issues to psychological ones) likely to hide the reality of concrete situations of work. The clinical settings propose a double exploration of the pain at work, its expressions, and also of the resistance and relief processes. These settings give a central place to the collectives (groupings) at work and to the professional communities which potentially fulfill a function of third (mediators) between the person and her activity. They represent containing spaces allowing for a symbolic working through of work issues and difficulties Société française de psychologie. Publié par Elsevier SAS. Tous droits réservés. Mots clés : Clinique du travail ; Psychopathologie du travail ; Dispositifs d accompagnement ; Intervention ; Espace transitionnel Keywords: Work; Clinical; Work psychopathology; Helping settings; Intervention; Transitional space L analyse des rapports entre travail et psychologie implique de confronter les transformations de celui-ci dans la société et pour le sujet et les contributions de la psychologie aux demandes sociales émergeantes. La sensibilité croissante à la problématique «subjectivité et travail» prend électivement la forme d une attention accrue aux effets délétères du travail. Ainsi, au-delà d une prise en compte des dimensions potentiellement pathogènes du travail pour la santé somatique, les plaintes émergentes signalent un malaise voire une souffrance psychique que de nouveaux dispositifs de prévention et/ou de soins sont censés prendre en charge. Dans un tel contexte, une réflexion sur les enjeux et fondements des pratiques professionnelles des psychologues dans ce champ en développement s impose. Trois perspectives seront ici privilégiées pour contribuer à cette réflexion. Tout d abord une analyse des principales évolutions du travail et de son organisation, abordée à partir des figures contemporaines de psychopathologies du travail. Figures qui témoignent d un alourdissement des contraintes et d une érosion des ressources individuelles et collectives pour y faire face. Ces évolutions, à l origine d un mal-être au travail grandissant et d une marginalisation progressive de nombre de salariés, s accompagnent de la mise en place de dispositifs qui donnent forme et sens aux demandes. L expérience du travail dépend bien sûr de la singularité du sujet, de son histoire, de ses étayages sociaux, mais le sens de l éprouvé est aussi une construction sociale. Aujourd hui les axes retenus pour signifier et «soigner» la souffrance au travail sont essentiellement ceux des ruptures, du stress et du harcèlement. C est donc à partir de ces «lectures» du malaise actuel que sont construits ces nouveaux dispositifs d intervention du psychologue dans le monde du travail. Pourtant, la pratique du psychologue ne peut être définie seulement pas les commandes sociales. Il nous faut aussi penser les cadres théoriques et éthiques sur lesquels fonder ses interventions. Ce qui nous conduit à interroger l héritage laissé par les fondateurs de la psychopathologie du travail et à souligner les ressources offertes par les différentes orientations actuelles en clinique du travail. Ressources essentielles pour préserver la pratique psychologique de l écueil de son instrumentalisation à des fins adaptatives et productives.
3 D. Lhuilier / Pratiques psychologiques 12 (2006) Transformations du travail et souffrance psychique Sans prétendre pouvoir réaliser un diagnostic de l état du monde du travail, la montée des demandes sociales et collectives témoigne bien du malaise actuel dans le monde du travail. Malaise qui tient à la fois aux transformations du travail et des représentations de l homme au travail. La progressive dualisation du salariat conduit à distinguer deux marchés du travail : «d un côté, une main-d œuvre stable, qualifiée, bénéficiant d un niveau de salaire relativement élevé, et le plus souvent syndiquée dans les grandes entreprises ; de l autre, une main-d œuvre instable, peu qualifiée, sous-payée et faiblement protégée» (Boltanski, Chiapello, 1999). Cette opposition entre zones de sécurité et zones de précarité masque une des caractéristiques majeures des transformations observables : la précarisation se diffuse dans toutes les sphères du monde du travail. À celle-ci s ajoute l intensification du travail par l effet combiné d exigences dites de compétitivité et de la réduction des effectifs. La charge de travail comme les rythmes de travail sont accrus et nombre d indicateurs témoignent d une altération de la santé des salariés. Ainsi, depuis les années 1980, les exigences du monde du travail sont devenues plus fortes, et dans le même temps, les moyens nécessaires pour y répondre ont été réduits. Paradoxalement, alors que les exigences d efficacité et de productivité sont accrues, on observe en effet une tendance généralisée à la déqualification. Le morcellement de l expérience professionnelle en une multitude de missions successives ou parallèles, la promotion d une polyvalence qui dissout la référence aux métiers, la dégradation de la socialisation professionnelle et des conditions d apprentissage par l intensification du travail et la précarité des appartenances sont autant de facteurs qui favorisent des phénomènes de déstructuration, d atomisation sociale. La figure du salarié moderne est celle d un «intérimaire permanent» (Castel, 1982), sans tradition, sans racine, apte au changement, disponible et adaptable en toutes circonstances. La valorisation des compétences et la disqualification des repères de métiers comme la promotion de l initiative, de l autonomie et de la responsabilité, suggèrent que les appuis doivent être trouvés sur ses ressources propres. La quête illusoire de l autosuffisance fait écho à l idéologie individualiste qui occulte la nécessité de repères symboliques et qui se déploie dans le déni de l inscription dans une chaîne et une histoire. La généralisation de ce que la psychologie sociale expérimentale désigne comme «norme d internalité» (Beauvois, 1995) conduit à une inflation du psychologisme et à un accroissement de la demande de «psy», y compris sur la scène du travail. Processus d internalisation que Marx ou Habermas ont, sous d autres termes, souligné pour en montrer les dangers. Le premier explique que «séparer l homme du monde extérieur sensible, le plonger dans son intériorité abstraite afin de l améliorer» revient à «lui creuser les yeux» (Marx, 1982). Le second poursuit en écrivant que «les conflits sociaux peuvent être déplacés sur le plan des problèmes psychiques, autrement dit peuvent accabler l individu sous la forme d une affaire privée» (Habermas, 1978). La montée des demandes d accompagnement est à la mesure de la fragilisation psychologique constituée par ces évolutions. Et la prolifération des plaintes actuelles en lien avec le travail et son organisation s accompagne de la recrudescence de grands types de pathologies du travail (Dejours, 2001). Pathologies de surcharge tout d abord, particulièrement signalées par la fréquence des troubles musculosquelettiques (TMS), inflammation des gaines, tendons et articulations. L explosion des TMS que signalent les enquêtes épidémiologiques et les alertes lancées par les médecins du travail montre que contrairement aux idées reçues, les
4 208 D. Lhuilier / Pratiques psychologiques 12 (2006) contraintes physiques du travail n ont pas été résorbées par l automatisation et autres nouvelles technologies. Le travail répétitif sous contrainte de temps est loin de régresser et ses effets au plan sanitaire sont manifestes. L usure physique et l usure psychique sont ici encore indissociables : le corps porte les traces de la cadence imposée mais aussi de ce qui reste non élaboré, non verbalisé et d une autoaccélération au service de l anesthésie de la pensée. Le calibrage et l intensification du geste tentent de réduire l énergie dépensée. Ce faisant, ils contribuent en fait à un accroissement de la charge psychique de travail en contraignant à l inhibition de toute initiative et mouvement spontané. L imposition de ce formatage enferme les potentialités, le «reste» qui est refoulé, voire réprimandé. Il s agit d endiguer l énergie pulsionnelle, de capturer la pensée libre, de contrôler temps et mouvements pour se tenir dans le cadre institué. La répression ne vise pas à endiguer les pulsions mais à les nier, à les annihiler. Et c est dans un retournement sur soi, dans la violence faite au corps, et dans le vide, l anesthésie de la pensée qu elle marque ses effets. Le refoulement, lui, sépare, dissocie mais ne détruit pas. Il admet, dans son principe même, la possibilité d un «retour du refoulé». Il reste que l opération de contre-investissement constitue une part importante du «travail» et de la fatigue associée. On peut rappeler ici l analyse critique percutante du taylorisme proposée par Wallon ( ) qui souligne qu en «amputant l homme de son initiative», on l ampute d une grande partie de ses possibilités, des mouvements qui sont nécessaires parce qu ils font un tout en quelque sorte organique avec les gestes exigés. On condamne l homme à une immobilité qui est une tension continue. Et cette tension qui ne peut se dépenser en mouvements entraîne des dissociations qui détraquent le corps humain. Clot (1999) met en évidence encore les dissociations nouvelles qui se mêlent aujourd hui aux anciennes produites par l organisation taylorienne du travail. Dissociations qui tiennent aux injonctions d un management sollicitant participation et responsabilisation, sans que l organisation du travail n offre aux salariés les moyens nécessaires à la disponibilité demandée, sans que soient réunies les conditions d élaboration dans les collectifs des objectifs et des ressources de l action professionnelle. «Par l équivoque appel à une initiative à la fois convoquée et répudiée, on condamne l homme à un retrait et parfois à une solitude qui sont à la mesure de l injonction ambiguë à participer dont il devient l objet» (Clot, 1999). Aux dissociations de l activité évoquées par H. Wallon à propos du geste à la fois requis et récusé par le taylorisme, s ajoutent les dissociations psychiques induites par une mobilisation subjective, elle aussi à la fois sollicitée et récusée. Ces tensions psychiques nouvelles sont souvent désignées par la référence au stress, «notion-enveloppe» (Aubert, Pagès, 1989) que l usage social désigne comme synonyme d insatisfaction, frustration, fatigue. L usure se présente aussi sous la forme de burn-out : initialement décrit chez les infirmières et les travailleurs sociaux, il se généralise aux «professions de la relation». La multiplication des activités dites de services s accompagne d une manière plus globale d une transformation de l objet du travail. Dans les services sociaux, dans les secteurs de la santé, de l enseignement, mais aussi dans les services commerciaux et même dans l industrie, les transports la «matière» travaillée prend aujourd hui la forme du service rendu et donc de la relation à l autre. Ici, les prescriptions et autres procédures standardisées trouvent vite leurs limites. Ce qui suppose le recours à d autres ressources pour contenir la relation et y inscrire la référence à un tiers institutionnel et professionnel. Tiers qui, bien souvent, fait défaut tant les collectifs de travail n ont plus les moyens des élaborations et échanges sur la pratique du fait de l intensification du travail.
5 Les pathologies de la solitude sont encore à souligner : revers de l individualisation de la «gestion des ressources humaines» (cf. individualisation des modes de rémunération, des temps et rythmes de travail, des carrières, parcours de formation et évaluations), de la précarité des collectifs de travail, au profit des réseaux ou groupe-projet, de la dilution des références et appartenances à des communautés de métiers au profit d une valorisation de «l adaptabilité». Solitude encore de cet «homopsychologicus qui n a ni droit ni devoir : il a seulement des potentialités, le pouvoir de se mobiliser lui-même, l exigence de faire face à l imprévu, de retomber sur ses pieds dans n importe quelle situation. Il est libéré mais en même temps complètement démuni et solitaire, et il n a le choix, en somme, qu entre une réussite par sa propre mobilisation ou couler à pic» (Castel, 1982). La montée de la violence dans les situations de travail est encore le produit de ces forces de désintégration sociale qui constituent des individus solitaires aux prises avec l organisation et/ ou ses «clients». Les pathologies post-traumatiques sont classiquement décrites à propos des accidents du travail. Elles s étendent aujourd hui à d autres types d «événements» : agressions, prises d otages, vol à main armée, maltraitance, harcèlement, placardisation (Lhuilier, 2002). Violences internes ou externes qui constituent des situations potentiellement traumatisantes sans qu elles «produisent» nécessairement un vécu de traumatisme psychique. En psychopathologie du travail, l approche causaliste ne peut être retenue et c est toujours en fonction de la singularité du sujet et de ses ressources défensives, que la résonance à «l épreuve» se déclinera différemment. 2. Commandes et dispositifs institutionnels D. Lhuilier / Pratiques psychologiques 12 (2006) La prise de conscience plus aiguë des effets du travail sur la santé psychique ne relève pas seulement d une somme d expériences singulières. La capacité de réflexivité n opère pas par un regard directement introspectif, mais passe par la médiation d un langage sur l intériorité. Ce langage informe, au double sens du mot : il donne forme à et donne des informations sur le savoir que le sujet acquiert sur son intériorité. Ici, comme ailleurs, l interprétation de l expérience n est pas une production strictement personnelle, chacun bricolant le sens de l éprouvé et du pensé. Elle suppose la formulation de significations communes que chacun peut s approprier pour donner sens à ce qu il ressent. La réalité psychique est mise en forme dans une construction collective qui lui fournit un cadre social pour exister. Et ici, l offre de sens ou le langage proposé pour signifier et dire le mal-être au travail puise essentiellement dans trois sources : les ruptures et transitions, le stress, le harcèlement. Vecteurs d expression de la demande sociale, c est à partir de ces principales problématiques que les psychologues sont sollicités et que des dispositifs institutionnels sont bâtis Le langage de la gestion des trajectoires professionnelles et les pratiques associées Dans un contexte d exigences et de précarité accrues, la nécessité «d accompagner» les personnes dans les épreuves qu elles traversent gagne du terrain. Il ne s agit plus seulement d accompagner «les publics en difficulté», ceux qui, à la marge du monde du travail, tels le RMIste longue durée, le sortant de prison ou d institution psychiatrique, se voient proposer des consultations ou stages visant à «l insertion par le travail». Quoique, ces «populations» étant en augmentation, les pratiques d accompagnement usant souvent de dispositifs de groupe et de médiations diverses, se multiplient aussi. Mais l accompagnement psychologique tend à
6 210 D. Lhuilier / Pratiques psychologiques 12 (2006) se généraliser et ce aux différentes phases de la vie professionnelle : dès l entrée dans la vie active à la préparation au départ à la retraite, en passant par les reconversions professionnelles, le conseil en reclassement pour les travailleurs handicapés, l out-placement et la recherche d un nouvel emploi La multiplication des situations de transition conduit à penser les cadres espaces transitionnels où mettre au travail le désinvestissement de ce qui a été perdu et la construction d un projet professionnel, à partir d une investigation du sens donné à la relation au travail en fonction des histoires singulières, de la restauration de la projection et des formes de négociation entre le sujet et son environnement. À la fois trouvées et créées, ces formes de dégagement permettent le passage de «l enfermement» dans l attente ou la demande de prise en charge, à l engagement dans de nouveaux investissements. Il ne s agit pas ici de trouver une place mais «sa» place. Les chômeurs sont entre deux places, celle qu ils ont perdue et celle qu ils espèrent pouvoir trouver. En attendant, ils ont chuté dans «un trou», dans les interstices des systèmes de places qui constituent la substance productive. En sortir suppose non pas seulement de s ajuster à une case, mais de s engager dans un travail d emplacement, c est-à-dire de construction d une texture incluant le sujet et l objet. Il faut pouvoir rencontrer le matériau à œuvrer, l activité à investir, l envie d y jouer une partie de son être et que les autres soient au rendez-vous. Dans cette quête, le sujet peut se laisser prendre et s immobiliser autour de la question de l origine de sa mise en place. «Lorsqu on cherche une place ( ), on transfère sans le savoir les difficultés qu on a eu a se faire une place (dans sa famille, à l école, dans différents collectifs ). La quête d une place transfère d anciennes questions qui tiennent à la place précédente, au désir de la quitter, de ne pas y rester, surtout quand c est le trou familial, le creuset d origine. La trame sociale prend le relais de l origine et le corps ballotté y tombe dans les grosses mailles ou les trous, il traîne avec lui la question plus originelle de savoir s il y a lieu d être, de quoi tenir symboliquement» (Sibony, 1991). La confusion entre l histoire personnelle et celle du contexte socioprofessionnel immobilise et l exploration des résonances entre ces deux scènes peut permettre le dégagement. Une exploration qui évite la transformation du problème social du chômage en problème personnel du chômeur. La question de la place est ontologique : elle ne peut être réduite à l histoire infantile, aux scénarios œdipiens. Dans toute société, à tout âge, chacun cherche à être, où mettre en œuvre sa part d être, avec quoi, avec qui l articuler, la tisser. L identité puise certes dans l origine ; elle est composée des identifications secrétées le long d une histoire. Mais elle n est pas un ensemble composite des traces antérieures. Elle est un processus qui renouvelle l épreuve du passage et du déplacement. Une épreuve que le psychologue peut «accompagner». Ici, les pratiques et cadres référentiels sont hétérogènes. S agit-il de traiter, guider, soutenir, éduquer, orienter? «La nébuleuse de l accompagnement», ou sa polysémie, permet une diversité de pratiques plus ou moins prescriptives (sur le modèle diagnostic traitement préconisé ou sur celui de la coconstruction du projet) (Cohen-Scali, 2004), plus ou moins centrées sur le sujet ou sur l ajustement au marché de l emploi Les techniciens ou les cliniciens, dans le champ de l accompagnement et de l orientation, sont nécessairement confrontés à une série de questions qu ils ne peuvent éluder sans risques éthiques. Les principales concernent l influence du conseiller qu on peut entendre en termes de contre-transfert mais aussi de normalisation, les dérives du psychologisme qui conduit à responsabiliser les salariés dans «l autogestion» de leur vie professionnelle et à développer la culpabilité face aux difficultés et aux échecs de la «gestion des carrières», l ambiguïté de ce travail d accompagnement (surtout quand le dispositif est interne à l organisation) au service de la personne ou au service de l organisation. Soulignons la forme d obligation de fait : l accompagnement navigue entre com-
7 D. Lhuilier / Pratiques psychologiques 12 (2006) mande et demande (Bernaud, 2004). Ces mêmes questions s appliquent à la pratique du coaching dont le développement est spectaculaire. Il s adresse de façon privilégiée aux cadres, à tout responsable désirant «développer son potentiel», penser son avenir professionnel ou résoudre les difficultés rencontrées dans son travail. Porté par l idéologie de la performance, le succès du coaching peut être considéré comme un échec du collectif et le signe d une insécurité croissante dans un contexte où le développement de «l autonomie» est confondu avec un rêve d autosuffisance, l illusion d une détermination de soi par soi (Amado, 2004) Le langage du stress et de la «gestion des émotions» Le stress, «fléau moderne», apparaît comme un phénomène signifiant, un modèle explicatif majeur pour donner forme et exprimer le mal-être ressenti dans l expérience au travail. Le langage dans lequel chacun s exprime à propos de la santé et de la maladie, dans lequel on en interprète les causes, les manifestations et les conséquences, n est pas seulement un langage du corps. C est aussi un langage du rapport du sujet au social. La construction sociale de la «maladie» stress en constitue une forme de modèle explicatif (Herzlich, 1970 ; Herzlich, Pierret, 1984). Le «stress» et les «événements de vie» stressants, le type de personnalité, la «capacité à faire face» ou encore le «support social» sont autant de concepts qui tentent d expliquer les mécanismes par lesquels le psychosocial et le social peuvent influer sur le biologique. Aux premiers travaux sur la psychologie du stress (Selye, 1956) ont succédé de nombreuses recherches et controverses : approches par le contexte, par les dispositions personnelles, définitions transactionnelles, objectivations par des symptômes ou «stress perçu» mesuré par des tests Le stress est d abord une catégorie de sens commun : il est devenu une voie d entrée privilégiée pour repérer les modalités de mise en forme de la plainte et ses modalités de traitement. La prégnance de la référence au stress dans le monde du travail révèle, souligne l écart croissant entre augmentation des exigences et réduction des moyens pour y répondre : ce ne sont pas les épreuves du travail qui sont «stressantes» mais l impossibilité de les surmonter. La souffrance émerge d un développement empêché, d une amputation du pouvoir d agir. Le concept d activité empêchée (Clot, 1999) repose sur une redéfinition de l activité qui ne se réduit pas à ce qui se fait. L analyse de l activité et de la charge psychique associée doit prendre en compte aussi «ce qui ne se fait pas, ce qu on ne peut pas faire, ce qu on cherche à faire sans y parvenir les échecs, cequ on aurait voulu ou pu faire, ce qu on ne fait plus, ce qu on pense ou ce qu on rêve pouvoir faire ailleurs. Il faut ajouter paradoxe fréquent ce qu on fait pour ne pas faire ce qui est à faire ou encore ce qu on fait sans vouloir le faire, sans compter ce qui est à refaire. En matière d activité, le réalisé ne possède pas le monopole du réel» (Clot, 2001). L activité empêchée est mise en souffrance du développement et le «stress» peut s analyser comme effet d un «rétrécissement» du sujet et de ses possibles dans le travail réalisé, mais aussi comme effet délétère des situations où le sujet ne peut se reconnaître dans le travail qu on lui fait faire, dans ce qu il se voit faire, comme devenu un étranger à sa propre vie. Le renoncement au «travail bien fait», aux valeurs qui guident l investissement dans une activité professionnelle a un coût psychique très lourd. L investigation montre les processus constitutifs et les «dégâts» de l expérience de la perte des étayages qui contiennent la conscience et la continuité de soi, étayage sur le corporel, la pulsion étant réprimée par l amputation du pou-
8 212 D. Lhuilier / Pratiques psychologiques 12 (2006) voir d agir, étayage sur l intersubjectivité, la relation aux autres étant suspendue par l isolement, la solitude face aux dilemmes de l activité. Si le «stress» a d abord été présenté comme la «maladie» des dirigeants, des cadres, des métiers dits à responsabilités, il est aujourd hui associé au travail relationnel, dans la diversité de ses inscriptions professionnelles. On y retrouve toujours la contradiction entre l invitation à personnaliser le service rendu pour en augmenter la qualité et la recherche d une rationalisation accrue du travail destiné à dégager des gains de productivité dans un contexte de raréfaction des ressources en personnel. La valorisation de l implication relationnelle se diffuse : le discours sur le «client-roi» dans le secteur commercial, sur la qualité des soins et les droits des malades à l hôpital, sur la personnalisation de la relation à l usager dans de nombreux guichets administratifs Les exigences des destinataires de l activité augmentent, confondant parfois service et servitude. Mais, plus fondamentalement, c est leur décalage avec l organisation du travail et la réduction des ressources mobilisables qui pose problème. Souligner l impact pathogène de ces situations conduit à explorer les modalités défensives mobilisées pour en euphémiser la portée. Mais il s agit aussi d aller au-delà et de reconnaître leur double face, entre destructivité et créativité. Nous rejoignons ici encore Y. Clot quand il souligne que si les conflits du réel se réalisent en productions morbides (anesthésie de la pensée, du sens moral et des affects, Dejours, 1998), il y a d autres destins possibles pour l activité contrariée. Entre défenses et ripostes, toutes les nuances sont possibles (Clot, Faïta, 2000). Reste à interroger les visées des dispositifs et pratiques développés autour de cette question du «stress» : restauration du pouvoir d agir des collectifs de travail ou adaptation des personnes aux contraintes de l environnement de travail? Interrogation prolongée autour de celle du rôle social du psychologue dans un contexte de dégradation des situations de travail. Les nombreux outils utilisés dans les cabinets conseil spécialisés dans la «gestion du stress» sont le produit d une approche cognitivocomportementale : le stress serait provoqué ou aggravé par le type de réponses individuelles aux difficultés (imaginaires ou réelles) rencontrées au travail. Il s agira donc de travailler sur les perceptions représentations de ces contraintes pour en réduire les résonances émotionnelles. Les tests proposés et commercialisés permettraient à chacun de mieux contrôler et «gérer» son niveau de stress. C est bien alors aux individus de surveiller leur stress comme ils doivent surveiller leur ligne ou leur tension artérielle. Les «kit de gestion» du stress s accompagnent de recommandations et offres de service pour une «meilleure qualité de vie au travail» : relaxation, exercices physiques, guides de bonnes pratiques en matière de «gestion» de l équilibre entre vie professionnelle et vie privée, de gestion de son temps Les stages de «gestion des situations de stress» visent à un développement des ressources individuelles allant même jusqu à dissoudre la question du travail dans celle des «stress de la vie quotidienne». Une étude comparative des dispositifs institutionnels de «gestion du stress» (Loriol et al., 2004) met en évidence leurs traits communs mais aussi leur nature fluctuante en fonction des traditions et «cultures» organisationnelles. Ces dispositifs s inscrivent au niveau de la sélection du personnel (entretiens et tests visant à évaluer le degré d émotivité), au niveau de la formation initiale et continue (préparer aux «situations difficiles», éprouvantes, proposer des techniques de relaxation, des «groupes de parole» ou des «groupes d analyse de pratique»), au niveau du soutien psychologique et de l accompagnement post-traumatique (création de services de soutien psychologique, rattachés ou non à la médecine du travail, ou «sous-traitance» à des professionnels ou organismes spécialisés).
Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailLes aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie.
Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Sarah CAILLOT, Psychologue Réseau Breizh IMC- Pôle MPR St-Hélier (Rennes)- Journée Inter-régionale
Plus en détail5 postures pour mobiliser le don
Confiance Sollicitude Réciprocité d engagement Tirer partie de son Relance expérience relationnelle constructive 5 postures pour mobiliser le don Attention à soi Alliance : Lier sans défier Donner Recevoir
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailDélivrance de l information à la personne sur son état de santé
Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du
Plus en détailPlan et résumé de l intervention de Jean-Philippe Dunand
Faculté de droit Prof. Jean-Philippe Dunand Prof. Pascal Mahon Avenue du 1 er -Mars 26 CH-2000 Neuchâtel Tél. ++41 32 718.12.00 Fax ++41 32 718.12.01 Centre d étude des relations de travail (CERT) Neuchâtel,
Plus en détailBien-être et Performance Collective Des risques psychosociaux au modèle de management et au bien vivre ensemble
Des risques psychosociaux au modèle de management et au bien vivre ensemble Comment concilier «bienêtre» et «performance collective»? Comment aider les opérationnels à assumer leur responsabilité managériale,
Plus en détailM2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager
Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail
Plus en détailDes formations pour la prévention du stress et des performances managériales
Des formations pour la prévention du stress et des performances managériales Après dix ans de recherche, huit docteurs en Sciences Humaines ont conçu une méthode innovante au service du savoir-être et
Plus en détailMONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :
MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation
Plus en détailAnnie Claude Sortant-Delanoë. L angoisse, nécessité logique entre jouissance et désir
Annie Claude Sortant-Delanoë L angoisse, nécessité logique entre jouissance et désir À sa naissance, l enfant est un organisme dont le cri exprime un besoin. Ce cri n a aucune intention de signification.
Plus en détailOr, la prévention des risques psychosociaux relève de l obligation générale de l employeur de protéger la santé physique et mentale des salariés.
Introduction Les symptômes du stress (troubles du sommeil, de l appétit, agressivité, épuisement, troubles de la concentration ), touchent un nombre croissant de salariés en France : un salarié sur 6 déclare
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailDIU Soins Palliatifs et d Accompagnement.
DIU Soins Palliatifs et d Accompagnement. Centre - Pays de Loire CHRU Tours COMMUNICATION «Conflits internes et Cohérence personnelle» SOMMAIRE Introduction page 3 Communication Page 4 Les paramètres d
Plus en détailLe dispositif de la maladie imputable au service
LA QUESTION DE L IMPUTABILITÉ AU SERVICE DES MALADIES RÉSULTANT DE LA FRAGILITÉ PSYCHOLOGIQUE D UN FONCTIONNAIRE EN DEHORS DE TOUTE FAUTE DE L EMPLOYEUR PUBLIC Le dispositif de la maladie imputable au
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailLe décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V.
Siège social : 9 bis, rue Armand Chabrier 47400 TONNEINS Tél. : 05.53.64.61.57 Fax : 05.53.64.63.12 e-mail : adestonneins@yahoo.fr Site : www.adesformations.fr Antenne de Bazas 7 chemin Larriou 33430 BAZAS
Plus en détailLE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION
LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION Face à une rationalisation croissante du secteur social et médico-social, accentuée par les effets de crise, comment un directeur de structure
Plus en détailWellness Management 66 Avenue des Champs-Elysées 75008 - PARIS www.wellness-management.com contact@wellness-management.com. Feel Well Work Well
Wellness Management 66 Avenue des Champs-Elysées 75008 - PARIS www.wellness-management.com contact@wellness-management.com Feel Well Work Well POUR MIEUX TRAVAILLER ensemble LE CAPITAL HUMAIN RESTE LA
Plus en détailAttirez-vous les Manipulateurs? 5 Indices
Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent 1 Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent Mini livre gratuit Sherpa Consult Bruxelles, Mai 2012 Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction
Plus en détailLe Document Unique : une obligation légale des entreprises
Avis d expert Marc Koffi, Responsable de SIGMA-RH France Le Document Unique : une obligation légale des entreprises En France, le Document Unique (ou Document Unique de Sécurité - DU ou DUS), a été introduit
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION
Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information
Plus en détailCARACTERISTIQUES DE L APPROCHE GESTALT EN ORGANISATION
CARACTERISTIQUES DE L APPROCHE GESTALT EN ORGANISATION Société des Coaches Gestaltistes Coordinateur projet: Marius Moutet INTRODUCTION Un coaching d individus ou d équipe inspiré de la posture humaniste
Plus en détailStratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés
Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement
Plus en détailLES MECANISMES DE DEFENSE
LES MECANISMES DE DEFENSE Table des matières Table des matières 3 I - GENERALITES, DEFINITION 7 A. GENERALITES, DEFINITION...7 II - LES PRINCIPAUX MECANISMES DE DEFENSE 9 A. le refoulement :...9 B. la
Plus en détail«Les essentiels du coaching» «Le Coaching existentiel»
SARL METASOPHIA Organisme de formation professionnelle, 20 rue Théodore de Banville 06100 NICE Immatriculé au registre de commerce de Nice : N 450 630 363 00023 N de formateur : 93060567606 R.C.S. NICE
Plus en détailLA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte
LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte La GRH constitue une préoccupation permanente de toute entreprise, de tout dirigeant, qu il s agisse de
Plus en détailDéveloppement personnel
Développement personnel 50 REPÉRAGE DES TALENTS : COMPÉTENCES ET PERFORMANCE DE L'ENTREPRISE Repérer dans l'organisation les "talents" nécessaires à l'atteinte des objectifs de l'entreprise Construire
Plus en détailFICHE TECHNIQUE : SANTE ET SECURTE AU TRAVAIL
SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL Mesurer et prévenir les risques professionnels Liés aux conditions générales de travail, les risques professionnels font peser sur les salariés la menace d une altération de
Plus en détailRECO. Définition des bonnes pratiques de prévention dans les centres d appels téléphoniques R.470
RECO DU COMITE TECHNIQUE NATIONAL DES ACTIVITES DE SERVICES 1 Définition des bonnes pratiques de prévention dans les centres d appels téléphoniques Yves Cousson - INRS Pour vous aider à : réduire le bruit
Plus en détailCohésion d Equipe - Team Building
Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Cohésion d Equipe - Team Building Objectifs : Comprendre les mécanismes de fonctionnement d une équipe. Comprendre les rôles de chacun et le rôle de l encadreur.
Plus en détailLa supervision en soins infirmiers
La supervision en soins infirmiers (article en deux parties : version jumelée) La pratique de la supervision en soins infirmiers étant peu courante en France et les écrits la concernant de même, bien que
Plus en détailAudition de Marie-Anne DUJARIER
Audition de Marie-Anne DUJARIER Marie-Anne DUJARIER est sociologue du travail et des organisations. Elle a publié des recherches sur l organisation contemporaine des services de masse (L idéal au travail,
Plus en détailtroubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail.
Introduction Les troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs concernent tous les intervenants de l entreprise : dangerosité du salarié pour lui-même et pour autrui, risque de désorganisation de l activité
Plus en détailL expérience patient : lorsque le rationnel rencontre l émotion Le cas du CSSS Richelieu-Yamaska
Le cas du CSSS Richelieu-Yamaska Écrit par Jocelyn Théoret, directeur en gestion de l expérience client, Groupe-conseil en stratégie et performance de Raymond Chabot Grant Thornton, en collaboration avec
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS SOLIDARITÉS
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE SOLIDARITÉS PROFESSIONS SOCIALES Arrêté du 18 mai 2009 relatif au diplôme d Etat d éducateur technique spécialisé
Plus en détailEDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL
EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L éducateur spécialisé, dans le cadre des politiques partenariales de prévention,
Plus en détailA - Nomenclature des préjudices de la victime directe
ANNEXE NOMENCLATURE DES PREJUDICES RESULTANT D UNE ATTEINTE A LA PERSONNE A - Nomenclature des préjudices de la victime directe 1 ) Préjudices patrimoniaux a) Préjudices patrimoniaux temporaires (avant
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailLe processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins?
Le processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins? Laurent QUENEC HDU Descriptif : Le métier de cadre de santé est en constante évolution : le cadre est aujourd
Plus en détailL aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009
L aide aux aidants Aude Comberieu Psychologue clinicienne Hôpital Émile Roux Capacité de gériatrie mars 2009 Définition L aidant naturel L aidant non professionnel L aidant familial «L aidant familial
Plus en détailIntroduction. Une infraction est un comportement interdit par la loi pénale et sanctionné d une peine prévue par celle-ci. (1)
Vous êtes victime Introduction Vous avez été victime d une infraction (1). C est un événement traumatisant et vous vous posez sûrement de nombreuses questions : Quels sont mes droits? Que dois-je faire
Plus en détailTROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES (TMS)
Repères Les troubles musculo-squelettiques (TMS) rassemblent un ensemble large de pathologies qui affectent les muscles, les tendons et les nerfs des membres supérieurs et inférieurs au niveau du poignet,
Plus en détailConseils sur la conduite à tenir en cas de suicide d un salarié sur le lieu de travail
Conseils sur la conduite à tenir en cas de suicide d un salarié sur le lieu de travail Document réalisé avec l aide de Philippe BIELEC, Ingénieur Conseil à la Direction des risques professionnels de la
Plus en détailLes «risques psychosociaux» au travail : De quoi parle-t-on? Comment aborder ce sujet? Quelques repères
Les «risques psychosociaux» au travail : De quoi parle-t-on? Comment aborder ce sujet? Quelques repères Juin 2010 Agence Rhône-Alpes pour la Valorisation de l Innovation Sociale et l Amélioration des Conditions
Plus en détailL obligation de négocier sur la pénibilité dans les entreprises. Premiers éléments de bilan. Direction générale du travail
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 21 novembre 2012 à 14 h 30 «Pénibilité. Transition emploi-retraite. Elaboration de cas-types pour les projections.» Document N 6 Document de travail,
Plus en détailla pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment
Accompagner la participation des allocataires Par Marion Drouault, responsable de projets à l (Version courte) Participation et RSA : «Accompagner la l participation des allocataires» S appuyant en particulier
Plus en détailManagement Interculturel
Management Interculturel La mondialisation et l ouverture des marchés ont permis l interconnexion des mondes. Ces phénomènes ont en même temps accéléré la mutation des modes de pensée et de consommation.
Plus en détailCONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI
CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI Comprendre ses propres stratégies d échec et de réussite Mettre à jour ses freins, ses propres croyances Développer son potentiel et repousser ses
Plus en détailLIVRET D ACCUEIL. Solidarité Doubs Handicap
LIVRET D ACCUEIL POLE MEDICO-SOCIAL Services Accueil de Vie Services Habitat et Social Animation Socio-Culturelle POLE TRAVAIL PROTEGE Edition du 30 juin 2014 Solidarité Doubs Handicap SOLIDARITE DOUBS
Plus en détailINTERVENIR SUR LE TRAVAIL D ENCADREMENT ET L ORGANISATION
INTERVENIR SUR LE TRAVAIL D ENCADREMENT ET L ORGANISATION Résumé CHRISTELLE CASSE Abilis ergonomie, 40 rue de la montagne Ste Geneviève, 75 005 Paris, France e-mail : ccasse@ergonome.com SYLVAIN BIQUAND,
Plus en détailDanseur / Danseuse. Les métiers du spectacle vivant
Les métiers du spectacle vivant Filière : artistique Domaine : art chorégraphique Appellations voisines : artiste chorégraphique Autres métiers du domaine : chorégraphe, maître de ballet, notateur Danseur
Plus en détailLA SOUFFRANCE DU MALADE EN FIN DE VIE. LES COMPORTEMENTS FACE A LA PERTE : vécu de la mort
LA SOUFFRANCE DU MALADE EN FIN DE VIE LES COMPORTEMENTS FACE A LA PERTE : vécu de la mort relation SRLF Paris, 11-12-13 mai C.LE BRIS BENAHIM Psychothérapeute - Formatrice Quimper CHIC Comment le vécu
Plus en détailPROTOCOLE POUR L ACCUEIL DES STAGIAIRES D ÉCOLES DE TRAVAIL SOCIAL
Actualisation 07/2009 PROTOCOLE POUR L ACCUEIL DES STAGIAIRES D ÉCOLES DE TRAVAIL SOCIAL Partie 1 : LE CADRE GENERAL I. OBJECTIFS DE L INSTITUTION DANS LA FORMATION PROFESSIONNELLE Participer à l effort
Plus en détailObjectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres
Développement personnel La programmation neurolinguistique (P.N.L.) Objectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres. Historique et postulats de la
Plus en détailAméliorer la communication Transmettre l information Mener une politique d évaluation
Anne Kolasinski Coach de Vie certifiée Améliorer la communication Transmettre l information Mener une politique d évaluation Prendre vos fonctions Atteindre vos objectifs Améliorer vos performances Renforcer
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailCOACH ME if you can! par Christine Thioux Administrateur-Directeur d A-Th & Associates
COACH ME if you can! par Christine Thioux Administrateur-Directeur d A-Th & Associates Avec le support de Bernard Baert, Senior Consultant, A-Th. & Associates Et André Thioux, Fondateur A-Th & Associates
Plus en détailL approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé
Trousse d information L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Novembre 2004 L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé L approche populationnelle
Plus en détail2008 Presses de l Université du Québec. Édifice Le Delta I, 2875, boul. Laurier, bureau 450, Québec, Québec G1V 2M2 Tél.: (418) 657-4399 www.puq.
TABLE DES MATIÈRES ACRONYMES... XIII INTRODUCTION... 1 Vivianne Châtel et Shirley Roy Partie 1 RÉFLEXION LIMINAIRE Chapitre 1 DE L EXCLUSION À LA VULNÉRABILITÉ Continuité et rupture... 13 Shirley Roy 1.1.
Plus en détailCompte rendu du séminaire sur les RPS qui a eu lieu mardi 4 février à la MMSH
Compte rendu du séminaire sur les RPS qui a eu lieu mardi 4 février à la MMSH En introduction : référence au site rps.hypotheses.org Un questionnaire anonyme sera mis en ligne d ici peu. Un petit film
Plus en détailIntervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché
XXIII ème Assemblée régionale Europe Erevan, Arménie 3 au 7 mai 2010 Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché Section Belgique/Communauté
Plus en détail«La gestion des douleurs», l après TMS
Journée territoriale de la prévention des risques professionnels CDG82 MONTAUBAN (82) «La gestion des douleurs», l après TMS Christiane.Daban Octobre 2012 Kinésithérapie & Prévention -> Ce qui fait la
Plus en détail2013-2014. psychologie. UFR des Sciences de l Homme
2013-2014 DU LYCÉE À L UNIVERSITÉ psychologie UFR des Sciences de l Homme OBJECTIFS de la formation Vous êtes intéressé par les études de psychologie? A l Université Bordeaux Segalen, cette formation s
Plus en détailGuide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite
Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,
Plus en détailDans le cadre du décret Education Permanente. La Plate-forme francophone du Volontariat présente : ANALYSE. (11 074 signes espaces compris)
1 Dans le cadre du décret Education Permanente La Plate-forme francophone du Volontariat présente : ANALYSE (11 074 signes espaces compris) Le volontariat et ses limites dans le secteur social et des soins
Plus en détailAnnexe III : Le stage professionnel, réalisés au titre de l ISAP ou de l ISIC, doit permettre l identification de ces différents mécanismes.
Annexe III : Intervention professionnelle en service sociale : Intervention sociale d'aide à la personne (ISAP) et intervention sociale d'intérêt collectif (ISIC) - définitions et exemples - Dans le cadre
Plus en détailDe quoi l assistance est-elle le minimum?
De quoi l assistance est-elle le minimum? Soin, politique et relations sociales Frédéric WORMS Pour Frédéric Worms, l assistance ne doit pas s approcher seulement en termes quantitatifs, comme une prestation
Plus en détailau concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde
Fiche prolongement 6 Du lien entre environnement et développement au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde 20% de la population mondiale consomme 87 % des ressources
Plus en détailQuand le corps devient objet de l autre
Quand le corps devient objet de l autre (Hypersexualisation, pornographie, prostitution à l heure des technologies de l information et de la communication) Robert Courtois Clinique Psychiatrique Universitaire
Plus en détailLes enjeux existentiels du dirigeant
La complexité, tout simplement Les rencontres Trajectives Les enjeux existentiels du dirigeant S accomplir pour mieux diriger la transformation Qui sommes-nous? Un cabinet avec 10 années d expérience et
Plus en détailBURN OUT DES PROFESSIONNELS DE SANTE. Et Hygiène? Dr JC Perréand-Centre Hospitalier Valence
BURN OUT DES PROFESSIONNELS DE SANTE Et Hygiène? De quoi parle-t-on? Burn.Out. ou syndrome d épuisement professionnel : «maladie caractérisée par un ensemble de signes, de symptômes et de modifications
Plus en détailRévélatrice de talents. Développement personnel
Révélatrice de talents Développement personnel Révélatrice de talents Une entreprise à votre écoute pour vous accompagner de manière professionnelle dans tous vos projets Le développement personnel Notre
Plus en détailLean management et conditions de travail!
Lean management et conditions de travail! Conférence APIRAF! IUT Lumière 18 février 2014! www.aravis.aract.fr! 18/02/14! N 1! Au delà du seul lean " Quels liens entre «#évolution des organisations#» et
Plus en détailComment un. accident. peut-il engager la. responsabilité pénale. des élus locaux et des fonctionnaires territoriaux?
Les cahiers de l Observatoire Comment un accident peut-il engager la responsabilité pénale des élus locaux et des fonctionnaires territoriaux? table des matières Avant-propos de Bernard Bellec... P. 5
Plus en détailLa transformation du travail au quotidien suite à l implantation d un nouveau logiciel de gestion
La transformation du travail au quotidien suite à l implantation d un nouveau logiciel de gestion Pierre-Sébastien Fournier Sylvie Montreuil Maude Villeneuve Jean-Pierre Brun Un facteur de risque Intensification
Plus en détaildes valeurs 2006 PRINCIPES VALEURS FONDEMENTS
L arbre des valeurs 2006 le fondement philosophique de l éthique /// les valeurs clés de notre éthique /// les principes issus des valeurs clés PRINCIPES VALEURS FONDEMENTS L ARBRE des valeurs Au cœur
Plus en détailCoaching et Team Building
recherché par les entreprises Ils représentent deux leviers ENTREPRISE Coaching et Team Building des outils de management au service de la personne, des entreprises et des organisations Serge LANTEAUME
Plus en détailChargé(e) d Accueil. La filière certifications de l afpols
Chargé(e) d Accueil La filière certifications de l afpols l école L afpols conçoit et met en œuvre depuis plus de 20 ans des cycles de formations qualifiantes pour répondre aux besoins de professionnaliser
Plus en détailGUIDE HARCELEMENT MORAL AU TRAVAIL
MINISTÈRE DE LA DÉFENSE DIRECTION DE LA FONCTION MILITAIRE ET DU PERSONNEL CIVIL GUIDE HARCELEMENT MORAL AU TRAVAIL INFORMATION, PREVENTION PREVENTION ET TRAITEMENT DES SITUATIONS ET janvier 2005 Avertissement
Plus en détailM2S. Formation Développement personnel. formation. La confiance en soi Gestion du stress
Formation Développement personnel M2S formation La confiance en soi Gestion du stress Gestion du temps et gestion du stress Gestion des tensions et des conflits Gestion des conflits et de l agressivité
Plus en détailDEVENIR INTERVENANT CERTIFIE WELLSCAN
DEVENIR INTERVENANT CERTIFIE WELLSCAN Vous êtes un professionnel consultant, coach, formateur et vous accompagnez les individus ou les entreprises dans leurs enjeux de performance sociale, managériale
Plus en détailComment la proposer et la réaliser?
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme
Plus en détailPOUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs
POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs Séminaire CGTM Mercredi 19 mars 2008 Danielle LAPORT Sociologue Ingénieur Social Equipe de Recherche REV Université Paris XII Val-de-Marne Il me revient
Plus en détailPROGRAMME DE FORMATION. Etre Coach professionnel en entreprise
PROGRAMME DE FORMATION Etre Coach professionnel en entreprise Buts : Former des coachs professionnels capables d intervenir dans le monde de l entreprise pour accompagner et développer l autonomie de salariés
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008
LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres
Plus en détailLE DECRET STATUTAIRE RELATIF AUX ENSEIGNANTS-CHERCHEURS (par le bureau du Collectif pour la Défense de l Université)
LE DECRET STATUTAIRE RELATIF AUX ENSEIGNANTS-CHERCHEURS (par le bureau du Collectif pour la Défense de l Université) Après avoir fait adopter sa loi «Libertés et Responsabilités des Universités» en plein
Plus en détailQue peut nous apporter une réflexion sur nos désirs?
Que peut nous apporter une réflexion sur nos désirs? Problématique : La difficulté lorsque vous vous trouvez face à un tel sujet est de confondre le thème avec le problème du sujet. Ici le thème était
Plus en détail«La prison est la seule solution pour préserver la société.»
«La prison est la seule solution pour préserver la société.» Nous n enfermons rien d autre en prison qu une partie de nous-mêmes, comme d autres abandonnent sur le bord de la route leurs souvenirs encombrants
Plus en détailLes grands-parents ont-ils le droit de voir leurs petitsenfants même en cas de conflit aigu avec les parents?
Les grands-parents ont-ils le droit de voir leurs petitsenfants même en cas de conflit aigu avec les parents? Oui. Sauf si l intérêt de l enfant nécessite l absence de tous contacts avec ses grands-parents.
Plus en détail10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF
10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX
Plus en détailParcours de formation. Coach. Et si vous pouviez accompagner vos clients ou vos collaborateurs par le coaching?
Parcours de formation Coach Et si vous pouviez accompagner vos clients ou vos collaborateurs par le coaching? Dans un monde qui va de plus en plus vite Nous entendons parler chaque jour de stress, de mal-être
Plus en détailProjet éducatif vacances enfants et adolescents
Projet éducatif vacances enfants et adolescents SOMMAIRE 1- Présentation du mouvement 2- Valeurs et finalités 3- Nos objectifs 4- Nos orientations éducatives 5- L équipe d encadrement 6- Les activités
Plus en détailArrêté royal du 27 mars 1998 relatif à la politique du bien-être des travailleurs lors de l exécution de leur travail (M.B. 31.3.
Arrêté royal du 27 mars 1998 relatif à la politique du bien-être des travailleurs lors de l exécution de leur travail (M.B. 31.3.1998) Modifié par: (1) arrêté royal du 3 mai 1999 relatif aux missions et
Plus en détailCHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD
CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD AVANT-PROPOS Établissement public, l Agence Française de Développement exerce une mission d intérêt public, principalement à l international. CHARTE D ÉTHIQUE
Plus en détailTraité de sociologie du travail
Traité de sociologie du travail Georges Friedmann, Pierre Naville pp.11-25 + 44-47 Qu est ce que le travail Le travail est considéré comme un trait spécifique de l espèce humaine. Il est ainsi un dénominateur
Plus en détailPRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE
PRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE SYNTHESE Le 15 septembre 2003, Madame Anne D HAUTEVILLE, professeur
Plus en détail