CHAPITRE XIII LES LOGARITHMES

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "CHAPITRE XIII LES LOGARITHMES"

Transcription

1 CHAPITRE XIII LES LOGARITHMES Nous sommes ici à un tournant important, annoncé à plusieurs reprises déjà dans les pages qui précèdent : à notre avis, les Logarithmes font déjà partie des Mathématiques supérieures et, pourtant, ils se rattachent étroitement à ce que nous avons vu jusqu ici. Rien de magique ne s attache à ces Logarithmes qui ne sont, au départ, qu une méthode de calcul capable souvent de simplifier les opérations, mais indispensable dans bien d autres. Ce chapitre sera un peu plus long, car nous voulons y faire, au moins, un tour d horizon complet Définition des Logarithmes. Nous savons ( 1) que le nombre 1000 peut s écrire 1000 = 10 3 et nous dirons que, dans cette exemple, le chiffre 3, exposant de 10, est le LOGARITHME de De même, 2 sera le logarithme de 100, parce que 100 = 10 2 et 1 sera le logarithme de 10, car 10 = On écrira ainsi 4 = log = log et ainsi de suite, en utilisant ici la lettre l minuscule pour l abréviation «log». Voilà donc la définition, et toute la définition, des logarithmes : nous ne voyons là-dedans rien de compliqué. De façon plus générale, en partant d une expression telle, que y = 10 m, on appellera m le logarithme de y ; inversement dans cette même expression, y sera l antilogarithme de m ; par exemple 1000 (y) sera l antilogarithme de 3 (m), et l antilogarithme de 6. Pour des raisons qui nous échappent, on n emploie pas toujours ce terme d antilogarithme, pourtant fort pratique Systèmes de Logarithmes. Les trois expressions 1000 = = = 10 1 ont en commun le nombre 10, doté de divers exposants. Ce 10 sera la BASE d un système de logarithmes, les logarithmes décimaux, ou encore vulgaires. Cette définition des logarithmes, qui nous éloigne beaucoup de l enseignement «scolaire» traditionnel, nous permettrait de mettre sur pied, nous-même, n importe quel autre système de logarithmes. Ainsi, dans un système de logarithmes, dont la base serait 2, nous aurions encore 8 = = 2 2 et nous dirions encore 2 = log 4 3 = log 8 ou encore, dans un système de logarithmes dont la base serait 3, on aurait : 9 = 3 2 et 2 = log 9 27 = 3 3 et 3 = log 27

2 On devrait d ailleurs écrire, pour plus de précision, ici dans ces nouveaux systèmes, 3 = log 2 de 8 3 = log 3 de 27 Les indices 2 et 3, qui suivent l abréviation log, indiquent que la base utilisée est respectivement 2 ou 3 ; l absence d indice correspond aux logarithmes décimaux. Ou encore, si la base est ce fameux nombre «e» ( 103) on obtiendrait les logarithmes népériens et nous aurions encore e = 2,718 et 1 = Log 2,718 e 2 = 7,387 et 2 = Log 7,387 e 3 = 20,07 et 3 = Log 20,07 Pour désigner ces logarithmes népériens, nous proposons un «L» majuscule, soit «Log», par abréviation. Nous pourrons préciser maintenant la relation du 120, par laquelle nous définissons le logarithmes : y = a m et m = log a y en d autres termes, m est le logarithme de y dans un système, dont la base serait a Relations communes à tous les systèmes. Le tableau XIII-A TABLEAU XIII-A compare quelques antilogarithme valeurs, que logarithme décimal base de 2 base de 3 base de e présentent ces = = = 1 e 0 = 1 logarithmes dans = = = 3 e 1 = 2,718 divers systèmes, = = = 9 e 2 = 7,387 mais il révèle, = = = 27 e 3 = 20,07 surtout, deux = = = 81 e 4 = 54,5 propriétés = = = 243 e 5 = 148,13 élémentaires, Les mêmes logarithmes dans plusieurs systèmes possibles. communes à tous les systèmes de logarithmes possibles Relation de base des logarithmes. Nous connaissons le principe ( 60) a m. a n = a m+ n qui donnerait, par exemple, avec a = 10, m = 3, n = 2 ; = = 10 5 A chacun de ces termes, nous pourrions encore appliquer la définition générale des logarithmes ( 120), ce qui en confirme, d ailleurs, la solidité ; en effet, 3 = log 1000 ; 2 = log 100 et aussi = log Nous pouvons donc écrire log log 100 = log En d autres termes, on pourra remplacer le logarithme d un produit par la somme des logarithmes de chacun des facteurs : log (yy ) = log y + log y Ainsi, la multiplication de 100 par 100, par exemple, donne , alors qu en additionnant leurs logarithmes, soit 2 + 2, on trouve 4, qui est bien le logarithme de

3 A l aide du petit tableau XIII-B, qui TABLEAU XIII-B représente un extrait fort simple d une table des logarithmes fort nombre logarithme nombre logarithme simple, elle aussi nous pourrons 1 0, donner quelques exemples de cette 2 0, ,505 relation de base. 3 0, ,519 Premier exemple : multiplication de 4 0, ,531 2 par , ,544 Nous poserons : 6 0, ,556 log = log 2 + log 12 et nous 7 0, ,568 tirerons du tableau XIII-B 8 0, ,579 log 2 = 0,301, log 12 = 1,079 En additionnant les deux : log 2 + log 12 = 1,380. Cette dernière valeur représente le logarithme du produit recherché. Or, en face 1,380 (situé dans la 2 e colonne), nous lirons, dans la 1 ere ,954 1,000 1,041 1,079 1,114 1,146 1, ,591 1,602 1,612 1,623 1,633 1,643 1,653 colonne : 24, qui est bien le produit ,662 recherché. 20 1, ,672 Deuxième exemple : 21 1, ,681 produit de , ,690 Ici, il faudra même additionner , ,699 logarithmes. Le même tableau 24 1, XIII-B donne encore 25 1, ,785 log 2 = 0, , ,792 log 3 = 0, , ,799 log 6 = 0, , ,806 log x = 1,556 La 4 e 29 1, ,813 colonne contient ce logarithme Extrait d une table de logarithmes pour les nombres de 1 à ,556, à gauche duquel nous lisons 36. Troisième exemple : produit de 7 par 7. Comme dans les deux exemples précédents, nous poserons : log 7. 7 = log 7 + log 7 log 7 = 0,845 log 7 = 0,845 log x = 1,690 et nous lisons antilog 1,690 = Calcul des puissances. Dans ce troisième exemple, le produit de 7 par 7 correspond, au fond, à une élévation au carré du chiffre 7, et pour le résoudre, on s était borné à DOUBLER le logarithme de 7. En d autres termes et sous une forme plus générale, on pourra dire, qu élever un nombre à une puissance n, quelconque, revient à multiplier son logarithme par n, ce qui s écrit log a n = n log a Ainsi, on trouvera, d emblée, le cube de 3, par exemple log 3 3 = 3 log 3 = 3. 0,477 = 1,431

4 et nous voyons effectivement que c est là le logarithme de 27. De même encore, 2 6 ( deux puissance 6) se calculerait très simplement : log 2 6 = 6 log 2 = 6(0,301) = 1,806 et nous lirons directement le nombre 64 dans notre tableau XIII-B, en face de 1,806. Les logarithmes rendent donc de très grands services dans les élévations de puissance. Grâce à ces logarithmes, on déterminera encore, avec la même aisance, des exposants fractionnaires, plus complexes ( 85), tels que dans 9 3/2. Il n y a aucune raison pour ne pas appliquer encore la règle, que nous venons de trouver, en nous aidant encore du tableau XIII-B : log 9 3/2 = 2 3 log 9 = 2 3 (0,954) = 1,431 La 4 e colonne donne encore le nombre 27, qui est le résultat recherché, car il s agissait bien d élever au cube la racine carrée de Calcul des racines. Si les logarithmes facilitent les opérations dans les calculs qui précèdent, ils deviennent proprement INDISPENSABLES dans l extraction des racines de rang supérieur (à 3 surtout!). De toute évidence, le 61 restera, lui aussi, valable : au lieu de diviser 1 million par ( ce qui donnerait 100), on pourra soustraire leurs logarithmes soit 6 4 = 2 et 2 est effectivement le logarithme de 100. Cette nouvelle propriété aussi pourrait s écrire : log y y = log y log y Appliquons cette nouvelle donnée, à la division 63 : 3. Du logarithme de 63, soit 1,799, on retranchera le logarithme de 3, soit 0,477, ce qui donne 1,332, qui est bien le logarithme de 21. De même, 25 : 5 donnerait : log 25 : 5 = log 25 log 5 = 1,398 0,699 = 0,699 soit le logarithme de 5 qui est bien le résultat recherché. Ce dernier calcul revient encore à extraire la racine carrée de 25 et il suffi, pour cela, de diviser le logarithme de 25 par 2. Nous rejoignons là, le dernier exemple du paragraphe précédent, et cela confirme aussi notre façon d écrire une racine carrée, à l aide de l exposant fractionnaire ½ ( 84). De même, la racine cubique de 64 se calculerait comme suit : log 3 64 = 1 log 64= 1 ( 1,806) = 0, Cette dernière valeur 0,602 est bien le logarithme de 4, racine cubique de 64. Et la racine SIXIÈME de 64, que l on ne peut pratiquement calculer par aucun moyen arithmétique, s obtiendrait directement à l aide des logarithmes log 6 64 = 1 log 64 = 1 ( 1,806) = 0, Le tableau XIII-B indique le chiffre 2 comme antilogarithme de 0,301. C est là, l inverse du deuxième exemple du paragraphe précédent, où nous avions bien calculé 2 puissance La règle à calcul. Les règles à calcul (ou à calculer) appliquent essentiellement les principe, encore fort élémentaires, que nous venons de définir. Sur de telles règles, on

5 n inscrit pas directement les chiffres 1, 2, 3, 4, etc., mais des longueurs, proportionnelles aux logarithmes de ces chiffres (fig. XIII-1). Une règle à calcul, longue de 10 cm, par exemple, portera la division 2 à 3,01 cm, parce que log 2 = 0,301 (tableau XIII-B) ; la division 3 à 4,77 cm, la division 4 à 6,02 cm et ainsi de suite. Le tableau XIII-C contient ces distances pour deux règles à calcul possible. Multiplier 2 par 3 revient alors d après le 123, à additionner (fig. XIII-2) les longueurs, qui correspondent, respectivement, au logarithme de 2 et au logarithme de 3, soit 3,01 cm et 4,77 cm = 7,78 cm ; a cette DISTANCE, nous trouverons, effectivement, la division 6, qui est bien le résultat recherché. Pour rendre plus aisées encore de telles multiplications, on place, face à face, deux règles identiques, l une fixe et l autre constituée par une réglette mobile. Inversement on le comprend sans peine la division se réduira à la soustraction de deux de ces longueurs. Pour diviser 9 par 3, on retranchera (fig. XIII-3), dans une règle de 10 cm, 4,77 cm de 9,54 cm, et il subsiste une longueur de 4,77 cm, qui correspond bien à la division N 3, quotient recherché. Une élévation au carré revient encore a additionner 2 longueurs égales d une règle à calcul deux fois plus courte, comme celle, par exemple, de la troisième colonne de notre tableau XIII-C, ou encore l échelle B 2. Elever au carré 3, par exemple, revient à additionner la longueur 2,385 à 2,385, soit 4,77 cm, mais la lecture pourrait être plus directe encore. Cette longueur correspond à la fois à la division 3 de la première règle et à la division 9 de la deuxième règle. A la verticale du 3 (échelle B), on lit, en effet, 9, échelle B 2 ; de même, que l on trouve, à la verticale du 2 (échelle B), le 4 de l échelle B 2, ou encore 100 (B 2 ), à la verticale de 10 (B) Mantisses et caractéristiques. Reprenons deux valeurs de notre tableau XIII-B : log 2 = 0,301 log 20 = 1,301 Nous trouvons dans la colonne de gauche, en passant d une ligne à l autre, un nombre 10 fois plus grand, alors que le logarithme (colonne de droite) augmente d une unité seulement : la partie décimale, elle n a pas changé et reste 301. L B 3 B 2 b 2 a b Fig. XIII-1. Extrait d une règle à calcul très répandue (modèle Elec-log-log, Graphoplexe, aussi appelée Rietz dans d autres marques). L échelle B (nombre de base) fait partie de la réglette fixe inférieure alors que la réglette supérieure porte B 3 (cubes) et (Logarithmes décimaux). Les échelles b et b 2 sur la réglette mobile correspondent respectivement à B et B 2 ; l échelle a porte les inverses de B, soit par exemple 1/ 8 pour 8, 1 / 6 pour 6 et ainsi de suite. En plus, détail de quelques divisions.

6 Fig. XIII-2. Position des réglettes pour la multiplication de 2 par 3. Fig. XIII-3. Position des réglettes pour la division de 9 par 3 Ce même tableau XIII-B montre aussi le logarithmes, inférieurs à l unité pour les nombres ne comprenant que le chiffre des unités et des logarithmes, compris entre 1 et 2, pour des nombres comportant des dizaines. Tout cela est fort logique et découle directement de notre définition des logarithmes ( 120). Ainsi, tout logarithme se compose de deux parties : La CARACTÉRISTIQUE, qui précède la virgule et qui indique combien le nombre contient de chiffres ( la caractéristique 1 correspond à 2 chiffres, 3 à 4 chiffres, etc.). La MANTISSE, qui suit la virgule et qui ne tient compte que de la valeur du nombre, soit 301, pour 2 ; peu importe, pour cette mantisse, que 2 soit contenu dans 20 ou dans C est cette seule valeur, que contiennent les tables normales de logarithmes, et les règles à calcul (échelle L, fig. XIII-1). A la verticale du 2 (échelle B) nous lisons bien, dans l échelle L un peu plus de 3, ou encore 0,300 ; de même, à la verticale du 5 (échelle B), près de 0,700 (échelle L) ; dans ce dernier cas, le tableau XIII-B donne 0,699! La précision de la lecture dépend de la dimension même de la règle. Cette remarque étend notablement le tableau XIII-B, puisqu il nous fournit même le logarithme de 4 700, par exemple. Ce nombre comporte 4 chiffres et sa caractéristique sera donc 3 ; la mantisse sera la même que pour 47, soit 0,672, et cela donne log 4700 = 3,672 Inversement le logarithme 2,544 se décomposera en une caractéristique 2, indice d un nombre de 3 chiffres, et une mantisse 0,544 ; le tableau XIII-B porte 1,544 pour 35 ; nous aurons donc, ici, antilog 2,544 = Echelle logarithmique. TABLEAU XIII-C Division Longueur de la règle 10 cm 5 cm ,01 cm 1,5 cm 3 4,77 cm 2,385 cm 4 6,02 cm 3,01 cm 5 6,99 cm 3,50 cm 6 7,78 cm 3,89 cm 7 8,45 cm 4,23 cm 8 9,03 cm 4,52 cm 9 9,54 cm 4,77 cm cm 5 cm 11 10,41 cm 5,2 cm 12 10,79 cm 5,4 cm Dimensions géométriques de deux modèles de règles à calcul.

7 Les règles graduées normales, telles qu on les utilises pour le dessin, utilisent une échelle linéaire : la même distance sépare les divisions 2 et 3, ou encore 8 et 9. En utilisant les divisions du tableau XIII-C, par contre, on obtiendrait une échelle logarithmique (fig. XIII-4), aux propriétés les plus intéressantes distances 0,3 cm 0,47 cm 0,6 cm 0,7 cm 0,84 cm 0,95 cm 0,77 cm 0,9 cm Fig. XIII-4. Exemple d une échelle logarithmique. Supposons, que nous ayons à étudier les variations de la fonction y = ax, pour une très grande étendue de valeurs, attribuées à la variable indépendante. Si nous réservons à chaque buées à la variable indépendante. Si nous réservons à chaque unité de x, par exemple, 5 mm (fig. XIII-5), nous pourrons facilement tracer la variation jusqu à x = 40 environ, mais au-delà? Pour x = 100, déjà, notre feuille de papier devrait avoir une largeur de 50 centimètres et pour x = , il nous faudrait un rouleau de 50 mètres! y+ y+ x x+ Fig. XIII-5. Une même fonction, représentée sur échelle linéaire et sur échelle logarithmique: pour une même longueur, on place près de fois plus de valeurs de x. Si, par contre, nous portons en abscisse non pas x directement, mais son logarithme, nous obtiendrons la fonction y = a log x et nous pourrons embrasser, d un même coup d œil, une étendue de valeurs de x allant de 0 à et même plus loin.

8 De part leur définition même, les logarithmes réservent une même longueur à des intervalles allant de 0 à 1, 1 à 10, 10 à 100, 100 à 1000, 1000 à 10000, etc. La courbe obtenue (fig. XIII-5) pourra ne plus avoir la même forme, disons géométrique, mais elle nous permettra d observer tout aussi bien le sens général et les accidents (minimum, maximum, inversion, inflexion, etc.) de la variation. D ailleurs, pour qu une fonction linéaire redonne une droite (chapitre XVIII) il suffira de prévoir la même échelle logarithmique pour l ordonnée aussi bien que pour l abscisse. Et c est là peut-être, que les logarithmes cessent d être un simple artifice de calcul : par leurs lois sensorielles, Fechner et Weber ont montré que notre ouïe, en particulier, réagissait suivant une loi logarithmique, et nullement linéaire! Il faut mettre en ligne 100 fois (10 2 ) plus d énergie pour donner à notre oreille l impression de 2 (logarithme de 100) fois plus de bruit.

Fonctions linéaires et affines. 1 Fonctions linéaires. 1.1 Vocabulaire. 1.2 Représentation graphique. 3eme

Fonctions linéaires et affines. 1 Fonctions linéaires. 1.1 Vocabulaire. 1.2 Représentation graphique. 3eme Fonctions linéaires et affines 3eme 1 Fonctions linéaires 1.1 Vocabulaire Définition 1 Soit a un nombre quelconque «fixe». Une fonction linéaire associe à un nombre x quelconque le nombre a x. a s appelle

Plus en détail

avec des nombres entiers

avec des nombres entiers Calculer avec des nombres entiers Effectuez les calculs suivants.. + 9 + 9. Calculez. 9 9 Calculez le quotient et le rest. : : : : 0 :. : : 9 : : 9 0 : 0. 9 9 0 9. Calculez. 9 0 9. : : 0 : 9 : :. : : 0

Plus en détail

Le chiffre est le signe, le nombre est la valeur.

Le chiffre est le signe, le nombre est la valeur. Extrait de cours de maths de 6e Chapitre 1 : Les nombres et les opérations I) Chiffre et nombre 1.1 La numération décimale En mathématique, un chiffre est un signe utilisé pour l'écriture des nombres.

Plus en détail

Priorités de calcul :

Priorités de calcul : EXERCICES DE REVISION POUR LE PASSAGE EN QUATRIEME : Priorités de calcul : Exercice 1 : Calcule en détaillant : A = 4 + 5 6 + 7 B = 6 3 + 5 C = 35 5 3 D = 6 7 + 8 E = 38 6 3 + 7 Exercice : Calcule en détaillant

Plus en détail

FctsAffines.nb 1. Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008. Fonctions affines

FctsAffines.nb 1. Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008. Fonctions affines FctsAffines.nb 1 Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008 Fonctions affines Supports de cours de mathématiques de degré secondaire II, lien hpertete vers la page mère http://www.deleze.name/marcel/sec2/inde.html

Plus en détail

Petit lexique de calcul à l usage des élèves de sixième et de cinquième par M. PARCABE, professeur au collège Alain FOURNIER de BORDEAUX, mars 2007

Petit lexique de calcul à l usage des élèves de sixième et de cinquième par M. PARCABE, professeur au collège Alain FOURNIER de BORDEAUX, mars 2007 Petit lexique de calcul à l usage des élèves de sixième et de cinquième par M. PARCABE, professeur au collège Alain FOURNIER de BORDEAUX, mars 2007 page 1 / 10 abscisse addition additionner ajouter appliquer

Plus en détail

Complément d information concernant la fiche de concordance

Complément d information concernant la fiche de concordance Sommaire SAMEDI 0 DÉCEMBRE 20 Vous trouverez dans ce dossier les documents correspondants à ce que nous allons travailler aujourd hui : La fiche de concordance pour le DAEU ; Page 2 Un rappel de cours

Plus en détail

Puissances d un nombre relatif

Puissances d un nombre relatif Puissances d un nombre relatif Activités 1. Puissances d un entier relatif 1. Diffusion d information (Activité avec un tableur) Stéphane vient d apprendre à 10h, la sortie d une nouvelle console de jeu.

Plus en détail

2.4 Représentation graphique, tableau de Karnaugh

2.4 Représentation graphique, tableau de Karnaugh 2 Fonctions binaires 45 2.4 Représentation graphique, tableau de Karnaugh On peut définir complètement une fonction binaire en dressant son tableau de Karnaugh, table de vérité à 2 n cases pour n variables

Plus en détail

Calcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes.

Calcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. 1 Définitions, notations Calcul matriciel Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. On utilise aussi la notation m n pour le

Plus en détail

Chapitre 1 : Évolution COURS

Chapitre 1 : Évolution COURS Chapitre 1 : Évolution COURS OBJECTIFS DU CHAPITRE Savoir déterminer le taux d évolution, le coefficient multiplicateur et l indice en base d une évolution. Connaître les liens entre ces notions et savoir

Plus en détail

enquête pour les fautes sur le fond, ce qui est graves pour une encyclopédie.

enquête pour les fautes sur le fond, ce qui est graves pour une encyclopédie. 4.0 Contrôles /4 4 e enquête pour les fautes sur le fond, ce qui est graves pour une encyclopédie. RPPEL de 0. Wikipédia 2/2 Dans le chapitre : XX e siècle : ( 4.0 mythe paroxysme ) sous la photo d un

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables

Fonctions de plusieurs variables Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme

Plus en détail

Technique opératoire de la division (1)

Technique opératoire de la division (1) Unité 17 Technique opératoire de la division (1) Effectuer un calcul posé : division euclidienne de deux entiers. 1 Trois camarades jouent aux cartes. Manu fait la distribution en donnant à chaque joueur

Plus en détail

Les Conditions aux limites

Les Conditions aux limites Chapitre 5 Les Conditions aux limites Lorsque nous désirons appliquer les équations de base de l EM à des problèmes d exploration géophysique, il est essentiel, pour pouvoir résoudre les équations différentielles,

Plus en détail

Salle de technologie

Salle de technologie Prénom : Nom : Classe : Date : Salle de technologie Séquence Le dessin technique Définition du dessin technique : Le dessin technique est un ensemble de règles pour représenter des objets ; ces règles

Plus en détail

Module 16 : Les fonctions de recherche et de référence

Module 16 : Les fonctions de recherche et de référence Module 16 : Les fonctions de recherche et de référence 16.0 Introduction L une des fonctions les plus importantes d Excel, c est la possibilité de chercher une valeur spécifique dans un grand nombre de

Plus en détail

Fonctions homographiques

Fonctions homographiques Seconde-Fonctions homographiques-cours Mai 0 Fonctions homographiques Introduction Voir le TP Géogébra. La fonction inverse. Définition Considérons la fonction f définie par f() =. Alors :. f est définie

Plus en détail

Dérivation CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES

Dérivation CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Capitre 4 Dérivation Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Dérivation Nombre dérivé d une fonction en un point. Tangente à la courbe représentative d une fonction dérivable

Plus en détail

Définition 0,752 = 0,7 + 0,05 + 0,002 SYSTÈMES DE NUMÉRATION POSITIONNELS = 7 10 1 + 5 10 2 + 2 10 3

Définition 0,752 = 0,7 + 0,05 + 0,002 SYSTÈMES DE NUMÉRATION POSITIONNELS = 7 10 1 + 5 10 2 + 2 10 3 8 Systèmes de numération INTRODUCTION SYSTÈMES DE NUMÉRATION POSITIONNELS Dans un système positionnel, le nombre de symboles est fixe On représente par un symbole chaque chiffre inférieur à la base, incluant

Plus en détail

CORRIGE LES NOMBRES DECIMAUX RELATIFS. «Réfléchir avant d agir!»

CORRIGE LES NOMBRES DECIMAUX RELATIFS. «Réfléchir avant d agir!» Corrigé Cours de Mr JULES v3.3 Classe de Quatrième Contrat 1 Page 1 sur 13 CORRIGE LES NOMBRES DECIMAUX RELATIFS. «Réfléchir avant d agir!» «Correction en rouge et italique.» I. Les nombres décimaux relatifs.

Plus en détail

V- Manipulations de nombres en binaire

V- Manipulations de nombres en binaire 1 V- Manipulations de nombres en binaire L ordinateur est constitué de milliards de transistors qui travaillent comme des interrupteurs électriques, soit ouverts soit fermés. Soit la ligne est activée,

Plus en détail

a)390 + 520 + 150 b)702 + 159 +100

a)390 + 520 + 150 b)702 + 159 +100 Ex 1 : Calcule un ordre de grandeur du résultat et indique s il sera supérieur à 1 000 L addition est une opération qui permet de calculer la somme de plusieurs nombres. On peut changer l ordre de ses

Plus en détail

C f tracée ci- contre est la représentation graphique d une

C f tracée ci- contre est la représentation graphique d une TLES1 DEVOIR A LA MAISON N 7 La courbe C f tracée ci- contre est la représentation graphique d une fonction f définie et dérivable sur R. On note f ' la fonction dérivée de f. La tangente T à la courbe

Plus en détail

INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE

INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE Le schéma synoptique ci-dessous décrit les différentes étapes du traitement numérique

Plus en détail

Mon aide mémoire traitement de texte (Microsoft Word)

Mon aide mémoire traitement de texte (Microsoft Word) . Philippe Ratat Mon aide mémoire traitement de texte (Microsoft Word) Département Ressources, Technologies et Communication Décembre 2006. Sommaire PRÉSENTATION DU DOCUMENT 1 Objectif principal 1 Deux

Plus en détail

Leçon N 4 : Statistiques à deux variables

Leçon N 4 : Statistiques à deux variables Leçon N 4 : Statistiques à deux variables En premier lieu, il te faut relire les cours de première sur les statistiques à une variable, il y a tout un langage à se remémorer : étude d un échantillon d

Plus en détail

Etude de fonctions: procédure et exemple

Etude de fonctions: procédure et exemple Etude de fonctions: procédure et exemple Yves Delhaye 8 juillet 2007 Résumé Dans ce court travail, nous présentons les différentes étapes d une étude de fonction à travers un exemple. Nous nous limitons

Plus en détail

RÉSOLUTION DE SYSTÈMES À DEUX INCONNUES

RÉSOLUTION DE SYSTÈMES À DEUX INCONNUES RÉSOLUTION DE SYSTÈMES À DEUX INCONNUES Sommaire 1 Méthodes de résolution... 3 1.1. Méthode de Substitution... 3 1.2. Méthode des combinaisons linéaires... 6 La rubrique d'aide qui suit s'attardera aux

Plus en détail

Exercice 6 Associer chaque expression de gauche à sa forme réduite (à droite) :

Exercice 6 Associer chaque expression de gauche à sa forme réduite (à droite) : Eercice a Développer les epressions suivantes : A-(-) - + B-0(3 ²+3-0) -0 3²+-0 3+00 B -30²-30+00 C-3(-) -3 + 3-3²+6 D-(-) + ² Eerciceb Parmi les epressions suivantes, lesquelles sont sous forme réduite?

Plus en détail

les Formulaires / Sous-Formulaires Présentation...2 1. Créer un formulaire à partir d une table...3

les Formulaires / Sous-Formulaires Présentation...2 1. Créer un formulaire à partir d une table...3 Présentation...2 1. Créer un formulaire à partir d une table...3 2. Les contrôles :...10 2.1 Le contrôle "Intitulé"...11 2.2 Le contrôle "Zone de Texte"...12 2.3 Le contrôle «Groupe d options»...14 2.4

Plus en détail

Diviser un nombre décimal par 10 ; 100 ; 1 000

Diviser un nombre décimal par 10 ; 100 ; 1 000 Diviser un nombre décimal par 10 ; 100 ; 1 000 Diviser un nombre décimal par 10 ; 100 ; 1 000. 23 1 et 2 Pauline collectionne les cartes «Tokéron» depuis plusieurs mois. Elle en possède 364 et veut les

Plus en détail

Arithmétique binaire. Chapitre. 5.1 Notions. 5.1.1 Bit. 5.1.2 Mot

Arithmétique binaire. Chapitre. 5.1 Notions. 5.1.1 Bit. 5.1.2 Mot Chapitre 5 Arithmétique binaire L es codes sont manipulés au quotidien sans qu on s en rende compte, et leur compréhension est quasi instinctive. Le seul fait de lire fait appel au codage alphabétique,

Plus en détail

a et b étant deux nombres relatifs donnés, une fonction affine est une fonction qui a un nombre x associe le nombre ax + b

a et b étant deux nombres relatifs donnés, une fonction affine est une fonction qui a un nombre x associe le nombre ax + b I Définition d une fonction affine Faire l activité 1 «une nouvelle fonction» 1. définition générale a et b étant deux nombres relatifs donnés, une fonction affine est une fonction qui a un nombre x associe

Plus en détail

UNITÉS ET MESURES UNITÉS DE MESURE DES LONGUEURS. Dossier n 1 Juin 2005

UNITÉS ET MESURES UNITÉS DE MESURE DES LONGUEURS. Dossier n 1 Juin 2005 UNITÉS ET MESURES UNITÉS DE MESURE DES LONGUEURS Dossier n 1 Juin 2005 Tous droits réservés au réseau AGRIMÉDIA Conçu et réalisé par : Marie-Christine LIEFOOGHE Bruno VANBAELINGHEM Annie VANDERSTRAELE

Plus en détail

F411 - Courbes Paramétrées, Polaires

F411 - Courbes Paramétrées, Polaires 1/43 Courbes Paramétrées Courbes polaires Longueur d un arc, Courbure F411 - Courbes Paramétrées, Polaires Michel Fournié michel.fournie@iut-tlse3.fr http://www.math.univ-toulouse.fr/ fournie/ Année 2012/2013

Plus en détail

Codage d information. Codage d information : -Définition-

Codage d information. Codage d information : -Définition- Introduction Plan Systèmes de numération et Représentation des nombres Systèmes de numération Système de numération décimale Représentation dans une base b Représentation binaire, Octale et Hexadécimale

Plus en détail

Les Différents types de Requêtes dans Access

Les Différents types de Requêtes dans Access Les Différents types de Requêtes dans Access Il existe six types de requêtes. Les Requêtes «Sélection», qui sont le mode par défaut et correspondent à des «vues» des tables originelles. Cela signifie que

Plus en détail

Représentation des Nombres

Représentation des Nombres Chapitre 5 Représentation des Nombres 5. Representation des entiers 5.. Principe des représentations en base b Base L entier écrit 344 correspond a 3 mille + 4 cent + dix + 4. Plus généralement a n a n...

Plus en détail

1. Informations préliminaires

1. Informations préliminaires 1 Tout d abord, nous vous remercions vivement de faire confiance aux Éditions Honoré Champion, dont le prestige a toujours tenu à l extrême qualité du fond et au soin apporté à la forme. D où ces quelques

Plus en détail

I. Ensemble de définition d'une fonction

I. Ensemble de définition d'une fonction Chapitre 2 Généralités sur les fonctions Fonctions de références et fonctions associées Ce que dit le programme : Étude de fonctions Fonctions de référence x x et x x Connaître les variations de ces deux

Plus en détail

Continuité et dérivabilité d une fonction

Continuité et dérivabilité d une fonction DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité

Plus en détail

LA PNL. Programmation Neuro Linguistique

LA PNL. Programmation Neuro Linguistique LA PNL Programmation Neuro Linguistique Définition : Programmation «A partir des expériences que nous vivons depuis notre enfance (et peut être avant), nous nous créons des programmes de fonctionnement

Plus en détail

TOUT CE QU IL FAUT SAVOIR POUR LE BREVET

TOUT CE QU IL FAUT SAVOIR POUR LE BREVET TOUT E QU IL FUT SVOIR POUR LE REVET NUMERIQUE / FONTIONS eci n est qu un rappel de tout ce qu il faut savoir en maths pour le brevet. I- Opérations sur les nombres et les fractions : Les priorités par

Plus en détail

Feuille couverture de tâche du cadre du CLAO

Feuille couverture de tâche du cadre du CLAO Feuille couverture de tâche du cadre du CLAO Titre de la tâche : Trouver de l information nutritionnelle en ligne Nom de la personne apprenante : Date de début : Date de fin : Réussite : Oui Non Voie :

Plus en détail

Notion de fonction. Résolution graphique. Fonction affine.

Notion de fonction. Résolution graphique. Fonction affine. TABLE DES MATIÈRES 1 Notion de fonction. Résolution graphique. Fonction affine. Paul Milan LMA Seconde le 12 décembre 2011 Table des matières 1 Fonction numérique 2 1.1 Introduction.................................

Plus en détail

BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL SUJET

BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL SUJET SESSION 203 Métropole - Réunion - Mayotte BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL ÉPREUVE E4 CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE : MATHÉMATIQUES Toutes options Durée : 2 heures Matériel(s) et document(s) autorisé(s)

Plus en détail

Mathématiques financières

Mathématiques financières Mathématiques financières Table des matières 1 Intérêt simple 1 1.1 Exercices........................................ 1 2 Intérêt composé 2 2.1 Taux nominal, taux périodique, taux réel.......................

Plus en détail

Logiciel de Base. I. Représentation des nombres

Logiciel de Base. I. Représentation des nombres Logiciel de Base (A1-06/07) Léon Mugwaneza ESIL/Dépt. Informatique (bureau A118) mugwaneza@univmed.fr I. Représentation des nombres Codage et représentation de l'information Information externe formats

Plus en détail

Notions physiques Niveau 2

Notions physiques Niveau 2 14 novembre 2011 Contenu 1. Les pressions Les différentes pressions 2. La loi de Mariotte (Autonomie en air) 2.1. Principes 2.2. Applications à la plongée 3. Le théorème d Archimède (Flottabilité) 3.1.

Plus en détail

STAGE D INITIATION RAPPORT DE. Elaboré par. Prénom NOM. Encadré par : Mr Prénom NOM (Société) Société d accueil :. (Sigle de la société d accueil)

STAGE D INITIATION RAPPORT DE. Elaboré par. Prénom NOM. Encadré par : Mr Prénom NOM (Société) Société d accueil :. (Sigle de la société d accueil) (Sigle de la société d accueil) REPUBLIQUE TUNISIENNE ***** MINISTERE DE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR, DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET DE LA TECHNOLOGIE ***** DIRECTION GENERALE DES ETUDES TECHNOLOGIQUES *****

Plus en détail

Items étudiés dans le CHAPITRE N5. 7 et 9 p 129 D14 Déterminer par le calcul l'antécédent d'un nombre par une fonction linéaire

Items étudiés dans le CHAPITRE N5. 7 et 9 p 129 D14 Déterminer par le calcul l'antécédent d'un nombre par une fonction linéaire CHAPITRE N5 FONCTIONS LINEAIRES NOTION DE FONCTION FONCTIONS LINEAIRES NOTION DE FONCTION FONCTIONS LINEAIRES NOTION DE FONCTION Code item D0 D2 N30[S] Items étudiés dans le CHAPITRE N5 Déterminer l'image

Plus en détail

Maple: premiers calculs et premières applications

Maple: premiers calculs et premières applications TP Maple: premiers calculs et premières applications Maple: un logiciel de calcul formel Le logiciel Maple est un système de calcul formel. Alors que la plupart des logiciels de mathématiques utilisent

Plus en détail

Commission Polydog Règlement de compétition SportPlaisir Catalogue des disciplines catégorie adresse niveau B

Commission Polydog Règlement de compétition SportPlaisir Catalogue des disciplines catégorie adresse niveau B 1 FAIRE UNE PIROUETTE SUR UNE PALETTE Description des installations Une estrade plane (palette) est placée au sol à environ 7 pas du point de départ. Pour le CCh, une ligne de démarcation est tracée un

Plus en détail

PROJET DE GESTION PORTEFEUILLE. Evaluation d une Stratégie de Trading

PROJET DE GESTION PORTEFEUILLE. Evaluation d une Stratégie de Trading PROJET DE GESTION PORTEFEUILLE Evaluation d une Stratégie de Trading Encadré par M. Philippe Bernard Master 1 Economie Appliquée-Ingénierie Economique et Financière Taylan Kunal 2011-2012 Sommaire 1) Introduction

Plus en détail

TP 7 : oscillateur de torsion

TP 7 : oscillateur de torsion TP 7 : oscillateur de torsion Objectif : étude des oscillations libres et forcées d un pendule de torsion 1 Principe général 1.1 Définition Un pendule de torsion est constitué par un fil large (métallique)

Plus en détail

Limites finies en un point

Limites finies en un point 8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,

Plus en détail

EPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian

EPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian 1 EPFL 2010 Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilia Nafaï Weil Florian 11 Table de matière Ø Introduction 3 Ø Objectif 3 Ø Déroulement de l eai 4 Ø Exécution de deux palier de charge 6 Ø Calcul

Plus en détail

Nb. De pages : 24 MANGO. Manuel d'utilisation. Version 1.2. décembre 2010

Nb. De pages : 24 MANGO. Manuel d'utilisation. Version 1.2. décembre 2010 N. de page : 1 MANGO Manuel d'utilisation Version décembre 2010 N. de page : 2 Table des matières 1.Présentation...3 Description technique... 3 2.Caractéristiques techniques...5 Aspect technique d'une

Plus en détail

ÉGOUTS ANALISATIONS NETTOYAGE PROFESSIONNEL

ÉGOUTS ANALISATIONS NETTOYAGE PROFESSIONNEL Setting the standard POUR LE NETTOYAGE PROFESSIONNEL DES ANALISATIONS ÉGOUTS Sommaire de déboucheurs moteur électrique de haute performance parfaite qualité de flexible avec gaine riocore système d accouplement

Plus en détail

COMPTABILITE SAGE LIGNE 30

COMPTABILITE SAGE LIGNE 30 COMPTABILITE SAGE LIGNE 30 Date : 25/09/2006 Auteur : Pascal VIGUIER Réf. : SAGE092006 SOMMAIRE SOMMAIRE... 1 1. MENU FICHIER... 3 1.1 1.2 AUTORISATION D ACCES... 3 A PROPOS DE VOTRE SOCIETE... 4 1.2.1

Plus en détail

Une version javascript sera disponible directement dans le cours prochainement.

Une version javascript sera disponible directement dans le cours prochainement. Author : Cédric Vanconingsloo Ce cours est principalement axé sur la compréhension du fonctionnement d'un ordinateur et l'étude du seul langage qu'il connaisse, le binaire. De ce fait, le cours est relativement

Plus en détail

Bien lire l énoncé 2 fois avant de continuer - Méthodes et/ou Explications Réponses. Antécédents d un nombre par une fonction

Bien lire l énoncé 2 fois avant de continuer - Méthodes et/ou Explications Réponses. Antécédents d un nombre par une fonction Antécédents d un nombre par une fonction 1) Par lecture graphique Méthode / Explications : Pour déterminer le ou les antécédents d un nombre a donné, on trace la droite (d) d équation. On lit les abscisses

Plus en détail

Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative

Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative A n n e x e 1 Annexe 1 1.2.1 hauteur d un bâtiment La hauteur h d'un

Plus en détail

AFFAIBLISSEMENT DÛ AUX NUAGES ET AU BROUILLARD

AFFAIBLISSEMENT DÛ AUX NUAGES ET AU BROUILLARD Rec. UIT-R P.84- RECOMMANDATION UIT-R P.84- AFFAIBLISSEMENT DÛ AUX NUAGES ET AU BROUILLARD (Question UIT-R /3) Rec. UIT-R P.84- (99-994-997) L'Assemblée des radiocommunications de l'uit, considérant a)

Plus en détail

Date M.P Libellé Catégorie S.Catégorie Crédit Débit Solde S.B

Date M.P Libellé Catégorie S.Catégorie Crédit Débit Solde S.B Excel : Réalisation d un classeur Compta Saisir les étiquettes Renommer la première feuille Compta Laisser la première ligne vide et sur la deuxième ligne saisir les étiquettes Se placer sur A2 et saisir

Plus en détail

Compter à Babylone. L écriture des nombres

Compter à Babylone. L écriture des nombres Compter à Babylone d après l article de Christine Proust «Le calcul sexagésimal en Mésopotamie : enseignement dans les écoles de scribes» disponible sur http://www.dma.ens.fr/culturemath/ Les mathématiciens

Plus en détail

Comparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10

Comparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10 PCSI - 4/5 www.ericreynaud.fr Chapitre Points importants 3 Questions de cours 6 Eercices corrigés Plan du cours 4 Eercices types 7 Devoir maison 5 Eercices Chap Et s il ne fallait retenir que si points?

Plus en détail

DÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation )

DÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation ) DÉRIVÉES I Nombre dérivé - Tangente Eercice 0 ( voir animation ) On considère la fonction f définie par f() = - 2 + 6 pour [-4 ; 4]. ) Tracer la représentation graphique (C) de f dans un repère d'unité

Plus en détail

Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques

Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................

Plus en détail

IMAGES NUMÉRIQUES MATRICIELLES EN SCILAB

IMAGES NUMÉRIQUES MATRICIELLES EN SCILAB IMAGES NUMÉRIQUES MATRICIELLES EN SCILAB Ce document, écrit par des animateurs de l IREM de Besançon, a pour objectif de présenter quelques unes des fonctions du logiciel Scilab, celles qui sont spécifiques

Plus en détail

REMARQUES SUR LE PETIT FRAGMENT DE TABLETTE CHYPRO MINOENNE TROUVÉ A ENKOMI EN 1952. par EMILIA MAS SON

REMARQUES SUR LE PETIT FRAGMENT DE TABLETTE CHYPRO MINOENNE TROUVÉ A ENKOMI EN 1952. par EMILIA MAS SON REMARQUES SUR LE PETIT FRAGMENT DE TABLETTE CHYPRO MINOENNE TROUVÉ A ENKOMI EN 952 par EMILIA MAS SON. C'est pendant sa campagne de 952 à Enkomi que M. Porphyrios Dikaios a trouvé un petit fragment de

Plus en détail

COURS BARDON - EXCEL 2010

COURS BARDON - EXCEL 2010 COURS BARDON - EXCEL 2010 Sommaire EXCEL 2010 - INTRODUCTION 3 FONDAMENTAUX OFFICE 2010 3 EXCEL 3 1. L ECRAN 3 2. BARRE D ETAT : CALCULS ET MODES D AFFICHAGE 7 3. PARAMETRAGE DU LOGICIEL 7 Chapitre 1 GESTION

Plus en détail

Intensité sonore et niveau d intensité sonore

Intensité sonore et niveau d intensité sonore ntensité sonore et niveau d intensité sonore Dans le programme figure la compétence suivante : Connaître et exploiter la relation liant le niveau d intensité sonore à l intensité sonore. Cette fiche se

Plus en détail

Chapitre 5. Calculs financiers. 5.1 Introduction - notations

Chapitre 5. Calculs financiers. 5.1 Introduction - notations Chapitre 5 Calculs financiers 5.1 Introduction - notations Sur un marché économique, des acteurs peuvent prêter ou emprunter un capital (une somme d argent) en contrepartie de quoi ils perçoivent ou respectivement

Plus en détail

Débuter avec Excel. Excel 2007-2010

Débuter avec Excel. Excel 2007-2010 Débuter avec Excel Excel 2007-2010 Fabienne ROUX Conseils & Formation 10/04/2010 TABLE DES MATIÈRES LE RUBAN 4 LE CLASSEUR 4 RENOMMER LES FEUILLES DU CLASSEUR 4 SUPPRIMER DES FEUILLES D UN CLASSEUR 4 AJOUTER

Plus en détail

t 100. = 8 ; le pourcentage de réduction est : 8 % 1 t Le pourcentage d'évolution (appelé aussi taux d'évolution) est le nombre :

t 100. = 8 ; le pourcentage de réduction est : 8 % 1 t Le pourcentage d'évolution (appelé aussi taux d'évolution) est le nombre : Terminale STSS 2 012 2 013 Pourcentages Synthèse 1) Définition : Calculer t % d'un nombre, c'est multiplier ce nombre par t 100. 2) Exemples de calcul : a) Calcul d un pourcentage : Un article coûtant

Plus en détail

Traitement de texte : Quelques rappels de quelques notions de base

Traitement de texte : Quelques rappels de quelques notions de base Traitement de texte : Quelques rappels de quelques notions de base 1 Quelques rappels sur le fonctionnement du clavier Voici quelques rappels, ou quelques appels (selon un de mes profs, quelque chose qui

Plus en détail

Traceur de courbes planes

Traceur de courbes planes Traceur de courbes planes Version 2.5 Manuel d utilisation Patrice Rabiller Lycée Notre Dame Fontenay le Comte Mise à jour de Janvier 2008 Téléchargement : http://perso.orange.fr/patrice.rabiller/sinequanon/menusqn.htm

Plus en détail

Formation tableur niveau 1 (Excel 2013)

Formation tableur niveau 1 (Excel 2013) Formation tableur niveau 1 (Excel 2013) L objectif général de cette formation est de repérer les différents éléments de la fenêtre Excel, de réaliser et de mettre en forme un tableau simple en utilisant

Plus en détail

Relation entre deux variables : estimation de la corrélation linéaire

Relation entre deux variables : estimation de la corrélation linéaire CHAPITRE 3 Relation entre deux variables : estimation de la corrélation linéaire Parmi les analyses statistiques descriptives, l une d entre elles est particulièrement utilisée pour mettre en évidence

Plus en détail

SINE QUA NON. Découverte et Prise en main du logiciel Utilisation de bases

SINE QUA NON. Découverte et Prise en main du logiciel Utilisation de bases SINE QUA NON Découverte et Prise en main du logiciel Utilisation de bases Sine qua non est un logiciel «traceur de courbes planes» mais il possède aussi bien d autres fonctionnalités que nous verrons tout

Plus en détail

Description des pratiques à adopter pour la mise à jour du layout en utilisant le gestionnaire de conception de Sharepoint 2013

Description des pratiques à adopter pour la mise à jour du layout en utilisant le gestionnaire de conception de Sharepoint 2013 Exemple d utilisation du gestionnaire de conception Description des pratiques à adopter pour la mise à jour du layout en utilisant le gestionnaire de conception de Sharepoint 2013 6, rue de l Etang, L-5326

Plus en détail

Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire

Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire Cours 02 : Problème général de la Programmation Linéaire. 5 . Introduction Un programme linéaire s'écrit sous la forme suivante. MinZ(ou maxw) =

Plus en détail

Ouverture d'un point de vente L étude de la zone de chalandise.

Ouverture d'un point de vente L étude de la zone de chalandise. Ouverture d'un point de vente L étude de la zone de chalandise. La zone de chalandise : une zone géographique de captation La zone de chalandise, ou zone d attraction, est le territoire géographique dans

Plus en détail

Algorithme. Table des matières

Algorithme. Table des matières 1 Algorithme Table des matières 1 Codage 2 1.1 Système binaire.............................. 2 1.2 La numérotation de position en base décimale............ 2 1.3 La numérotation de position en base binaire..............

Plus en détail

6 ème. Rallye mathématique de la Sarthe 2013/2014. 1 ère épreuve de qualification : Problèmes Jeudi 21 novembre 2013

6 ème. Rallye mathématique de la Sarthe 2013/2014. 1 ère épreuve de qualification : Problèmes Jeudi 21 novembre 2013 Retrouver tous les sujets, les corrigés, les annales, les finales sur le site du rallye : http://sarthe.cijm.org I Stéphane, Eric et Christophe sont 3 garçons avec des chevelures différentes. Stéphane

Plus en détail

PARCOURS 3 EXPERIMENTATION APPRENTISSAGE : PHASE 2 CARA CREATION DU PROGRAMME POUR LA PHASE 2

PARCOURS 3 EXPERIMENTATION APPRENTISSAGE : PHASE 2 CARA CREATION DU PROGRAMME POUR LA PHASE 2 REMARQUE : Pour créer un programme, vous devez avoir un profil Parcours 3 «Administrateur». 1. Création des motifs de sortie du programme PHASE 2 CARA Pour correspondre au souhait des évaluateurs, nous

Plus en détail

LA TYPOGRAPHIE (Norme ISO 31)

LA TYPOGRAPHIE (Norme ISO 31) LA TYPOGRAPHIE (Norme ISO 31) AVERTISSEMENT : Les exemples en vert sont recommandés, ceux en rouge, interdits. L'écriture des unités de mesure Les unités de mesure s'écrivent en totalité lorsqu'elles -

Plus en détail

Suites numériques 3. 1 Convergence et limite d une suite

Suites numériques 3. 1 Convergence et limite d une suite Suites numériques 3 1 Convergence et limite d une suite Nous savons que les termes de certaines suites s approchent de plus en plus d une certaine valeur quand n augmente : par exemple, les nombres u n

Plus en détail

22 Nous Reconnaissons la force du pardon

22 Nous Reconnaissons la force du pardon 22 Nous Reconnaissons la force du pardon 23 Par le rite pénitentiel, les chrétiens se tournent vers Dieu pour lui demander son pardon. Dieu nous reçoit tels que nous sommes et nous pardonne pour que nous

Plus en détail

Fonction inverse Fonctions homographiques

Fonction inverse Fonctions homographiques Fonction inverse Fonctions homographiques Année scolaire 203/204 Table des matières Fonction inverse 2. Définition Parité............................................ 2.2 Variations Courbe représentative...................................

Plus en détail

Créer sa première base de données Access Partie 3/4 - Création d un formulaire

Créer sa première base de données Access Partie 3/4 - Création d un formulaire - le 12/02/2013 Créer sa première base de données Access Partie 3/4 - Création d un formulaire Ce tutoriel est la suite de l article sur la création d une table et l article sur la création d une requête.

Plus en détail

EXCEL PERFECTIONNEMENT SERVICE INFORMATIQUE. Version 1.0 30/11/05

EXCEL PERFECTIONNEMENT SERVICE INFORMATIQUE. Version 1.0 30/11/05 EXCEL PERFECTIONNEMENT Version 1.0 30/11/05 SERVICE INFORMATIQUE TABLE DES MATIERES 1RAPPELS...3 1.1RACCOURCIS CLAVIER & SOURIS... 3 1.2NAVIGUER DANS UNE FEUILLE ET UN CLASSEUR... 3 1.3PERSONNALISER LA

Plus en détail

Lecture graphique. Table des matières

Lecture graphique. Table des matières Lecture graphique Table des matières 1 Lecture d une courbe 2 1.1 Définition d une fonction.......................... 2 1.2 Exemple d une courbe........................... 2 1.3 Coût, recette et bénéfice...........................

Plus en détail

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures)

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Eercice 1 (5 points) pour les candidats n ayant pas choisi la spécialité MATH Le tableau suivant donne l évolution du chiffre

Plus en détail

PROPORTIONNALITÉ LES ÉCHELLES. Dossier n 2 Juin 2005. Conçu et réalisé par : Marie-Christine LIEFOOGHE Bruno VANBAELINGHEM Annie VANDERSTRAELE

PROPORTIONNALITÉ LES ÉCHELLES. Dossier n 2 Juin 2005. Conçu et réalisé par : Marie-Christine LIEFOOGHE Bruno VANBAELINGHEM Annie VANDERSTRAELE PROPORTIONNALITÉ LES ÉCHELLES 0 000 000 Dossier n 2 Juin 2005 Tous droits réservés au réseau AGRIMÉDIA Conçu et réalisé par : Marie-Christine LIEFOOGHE Bruno VANBAELINGHEM Annie VANDERSTRAELE C.D.R. AGRIMEDIA

Plus en détail

KIT D AIDE A LA MISE EN ACCESSIBILITE DES ETABLISSEMENTS DE TOURISME ET DE COMMERCE Édition Janvier 2015 FICHE N 2D RENDRE MON COMMERCE ACCESSIBLE

KIT D AIDE A LA MISE EN ACCESSIBILITE DES ETABLISSEMENTS DE TOURISME ET DE COMMERCE Édition Janvier 2015 FICHE N 2D RENDRE MON COMMERCE ACCESSIBLE KIT D AIDE A LA MISE EN ACCESSIBILITE DES ETABLISSEMENTS DE TOURISME ET DE COMMERCE Édition Janvier 2015 FICHE N 2D RENDRE MON COMMERCE ACCESSIBLE RAPPEL : Pour les ERP classés 1, 2, 3, 4e catégorie :

Plus en détail

maintenance Remplacement des réfractaires 1 Remplacement de la grille du cendrier 2 Remplacement du secoueur de grille 3

maintenance Remplacement des réfractaires 1 Remplacement de la grille du cendrier 2 Remplacement du secoueur de grille 3 maintenance 30 Remplacement des réfractaires 1 Remplacement de la grille du cendrier 2 Remplacement du secoueur de grille 3 Remplacement du verrou et du ressort de verrou du tambour 3 Remplacement du positionneur

Plus en détail

SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... LES MESURES

SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... LES MESURES SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... LES MESURES MES 1 Les mesures de longueurs MES 2 Lecture de l heure MES 3 Les mesures de masse MES 4 Comparer des longueurs, périmètres.

Plus en détail