PLAN DE SECURITE ALIMENTAIRE COMMUNE RURALE DE KALIFABOUGOU
|
|
- Xavier St-Hilaire
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE REPUBLIQUE DU MALI Un Peuple Un But Une Foi Commissariat à la Sécurité Alimentaire (CSA) Projet de Mobilisation des Initiatives en matière de Sécurité Alimentaire au Mali (PROMISAM) REGION DE KOULIKORO Cercle de Kati Commune rurale de Kalifabougou PLAN DE SECURITE ALIMENTAIRE COMMUNE RURALE DE KALIFABOUGOU Elaboré avec l appui technique et financier de l USAID-Mali à travers le projet d appui au CSA, le PROMISAM Mars 2008
2 I. INTRODUCTION 1.1 Contexte et utilité du diagnostic dans le cadre du Programme National de Sécurité Alimentaire La mise en œuvre du programme national de sécurité alimentaire à travers lequel la République du Mali a opté pour une gestion décentralisée de la sécurité alimentaire faisant de celle-ci un espace ouvert à tous partenaires. Ce programme et la traduction de la stratégie national de sécurité alimentaire, SNSA, adoptée en 2002 par le gouvernement du Mali, ce qui a conduit à l adoption du cadre institutionnel en 2003, qui est conforme au processus de décentralisation et implique le niveau national, régional, local et communal. acteurs doivent participer aux instances de concertation et de coordination prévues à ces niveaux. Les défis et enjeux de la stratégie nationale de sécurité alimentaire sont : Nourrir une population en forte croissance et de plus en plus urbaine ; Asseoir la croissance des revenus ruraux sur une stratégie rapide du secteur agricole ; Affronter la diversité des crises alimentaires ; Intégrer la gestion de la sécurité alimentaire dans le processus de décentralisation et de la reforme de l Etat ; Cette stratégie nationale se fixe objectifs suivants : Objectifs généraux : - Assurer conditions d une sécurité alimentaire structurelle durable et intégrée ; - Améliorer la prévention et la gestion des crises alimentaires 1.2 Méthodologie Pour l élaboration du plan de sécurité alimentaire, PSA, la démarche comprenant quatre étapes a été adoptée : L étape de diagnostic L étape de concertation L étape de planification/programmation L étape de validation/restitution La première phase du diagnostic consiste à l établissement d une situation de référence ; connaître potentialités et contraintes de la collectivité, du milieu, des hommes, l évolution de l environnement. Ce diagnostic a été fait suivant quatre piliers de la sécurité alimentaire, à savoir : La disponibilité des aliments L accès aux aliments L utilisation des aliments La stabilité dans l approvisionnement L analyse de la situation a consisté à l énumération des potentialités, des contraintes et des solutions à envisager pour résoudre problèmes. L étape suivante était celle de la planification, ce qui a consisté un atelier le 14 octobre, qui a regroupé services techniques (OHVN, SCN), partenaires au développement et élus communaux. Il s agit là de revoir ensemble le diagnostic pour proposer une planification de l ensemble des activités pour une durée de cinq ans. L étape de la concertation communautaire, élus, chefs de était celle qui a un caractère de sensibilisation des communautés. Elle a permis aussi de situer citoyens de la commune en termes d efforts à consentir pour financer ce plan de sécurité. La dernière étape est celle de la restitution et validation par le conseil communal au cours d une session ordinaire. 1.3 Présentation de la commune Historique La Commune de Kalifabougou appartient à l ex arrondissement centraldu cercle de Kati. 2
3 Depuis son érection en commune par la loi n du 04 Novembre portant création des communes en République du Mali, elle se compose de 12 : Kalifabougou, N golobougou, Dougan, Niamana, Djidié, Banthy, Mangola, Ouassorola, Kababougou, Djinidiéla, Fansira-Djérobougou et Tiéssebougou. La Commune depuis sa création à nos jours a eu un seul maire qui est à son deuxième mandat, il s appelle Soïba COULIBALY. Le Conseil Communal est composé de 17 membres dont une femme. Les partis politiques y siégeant sont : le CNID-FYT, (8 conseillers), l ADEMA-PASJ (4), l UDD (2), l URD (1), le RPM (1), et le PARENA (1) Situation géographique La Commune de Kalifabougou est située au Nord-Ouest du cercle de Kati, a environ 35 km. Ces autres limites sont : - A l Est par la Commune rurale de Yélékébougou - Au Sud-Est par la Commune rurale de Kambila - Au Sud par la Commune rurale de Diago - Au Sud-Ouest par la Commune rurale de Dio-Gare - A l Ouest par la Commune rurale de Bossofala - Au Nord-Ouest par la Commune rurale de N Tjiba - Au Nord par la Commune rurale de Diédougou. Elle couvre une superficie d environ 241,29 km Population La Commune rurale de Kalifabougou compte une population de habitants (RACE 2000) avec une densité de 47 habitants au km2. La population est très jeune, plus de 45 % de la population ont moins de 15 ans. Le taux de natalité est d environ 53 pour 1000, le taux de mortalité 9,2 % et le taux d accroissement est environ 4,4 % La religion dominante est l Islam avec 95 % de la population, on a aussi des Catholiques et des Animistes. L ethnie dominante est le Bambara, on rencontre aussi des peulhs et des sarakolés Accessibilité L accès au chef lieu de Commune est relativement facile car elle est située sur la grande piste OHVN Kati-Faladiè. Les autres pistes secondaires sont d accès diffici en saison sèche et très difficile en hivernage. Il faut aussi signaler, la presque inexistence ou le mauvais état des ouvrages de franchissement (ponts, digues.) Ressources naturel La Commune de Kalifabougou a un relief accidenté composé de plaines et de quelques plateaux. a) Ressources en Sols : avec une superficie totale de 241,29 km2 dont ha de terre cultivable et ha seulement cultivées, elle possède d énorme réserve de terres dont la quasi-totalité est pauvre. b) Ressources en Eau : la Commune compte quelques marigots et mares qui tarissent très tôt après l hivernage. c) Ressources Forestières et Fauniques : la végétation de la commune est en perpétuelle dégradation suite aux coupes abusives et aux feux de brousse incontrôlés. Cependant on y rencontre quelques grands arbres Karités, Néré, Zaban, le Pékou, baobab, caïlcedra etc Les animaux se font très rares dans la zone, on y rencontre quelques, lapins,, pintades et perdrix etc d) Carrière : la commune possède une carrière dans le village de Kababougou qui est exploitée pour l entretien de la piste principale Infrastructures et équipements - La Santé : la Commune dispose d un CSCOM à Kalifabougou et d une maternité à Niamana 3
4 - L éducation : il existe trois éco publiques dont un second cycle et cinq éco communautaires en mauvais état dont certaines ne répondent pas aux normes. - L hydraulique : la commune possède 6 puits à grand diamètre et 10 forages perpétuellement en mauvais états. - L économie : deux caisses d épargne et de credit sont fonctionnel à kalifabougou, 2 banques de céréa (Wassala, Djinidiéla), 1 périmètre maraîcher de 1ha ½ à Kalifabougou. - Administration : siège Mairie, 1 magasin OHVN, 2 bureaux OHVN ; Activités socio- économiques et culturel 1) Agriculture : elle occupe la presque totalité de la population. Cette agriculture est de deux ordres : agriculture sèche et maraîchage. Pour l agriculture sèche, elle concerne la céréaliculture (mil, sorgho, maïs, riz) et cultures de rentes (coton, dah, arachide, etc ). La Commune est appuyée dans cette production par l OHVN qui est la structure technique d encadrement. Pour le maraîchage il s agit surtout de la pomme de terre, des patates, des choux, des tomates. Ces produits maraîchers sont soit vendus sur place, soit vendus sur marchés de Kati et du Daral et de Yélékébougou. 2) Elevage : peu développé comme toutes autres communes avoisinantes, il est un élevage de subsistance. Presque chaque famille a ses bœufs de labours et quelques têtes d ovins et caprins qu elle élève de façon domestique. Les ovins/caprins élevés sont vendus pour régler certaines affaires de la famille. 3) Foresterie : une partie des ressources et de l alimentation provient des produits forestiers à travers la cueillette pratiquée par femmes (zaban, néré, karité ) On produit beaucoup de bois et de charbon dont une partie pour l autoconsommation et l autre partie vendue sur pale aux grossistes venus de Kati et Bamako Structures communautaires et services d appui L organisation sociale de Kalifabougou est de deux types : Traditionnelle et Moderne. - Sur le plan traditionnel, Il y a essentiellement : associations de chasseurs, d hommes, de femmes et de jeunes. Ces associations sont communément appelées «Ton» - Sur le plan moderne, nous avons conseils de village et communal, AV (Associations Villageoises) coopératives de producteurs, bureaux des APE (Association des Parents d Elèves) au niveau village et la fédération des APE au niveau communal, comités de gestion des éco, l ASACO (Association de Santé Communautaire) et le SYCOV (Syndicat des Cotonniers et Vivriers) pour la défense des intérêts des agriculteurs Système d acteur : Le Conseil Communal Depuis élections communa, du 30 Mai 2004, la commune de Kalifabougou dispose d un conseil communal de 17 Membres élus pour 05 ans. Il s agit de : 1 COULIBALY Soïba Maire 2 COULIBALY Nowélé 1 er adjoint maire 3 KONATE Issa 2 ème adjoint maire 4 DIARRA Moussa 3 ème adjoint maire 5 DIARRA Broulaye Conseiller Cercle 6 COULIBALY Moussa Conseiller Cercle 7 CISSE Djénéba Conseiller communal 8 COULIBALY Bendioukou Conseiller communal 9 COULIBALY N golo Conseiller communal 10 COULIBALY Seydou Conseiller communal 11 COULIBALY Zan Conseiller communal 4
5 12 DIARRA Aliou Conseiller communal 13 DIARRA Mamadou Conseiller communal 14 DIARRA Madou Conseiller communal 15 DIARRA Yacouba Conseiller communal 16 KONARE Bakary Conseiller communal 17 KONARE wessi Conseiller communal La commune dispose d un personnel communal composé d un secrétaire général, d un régisseur de recettes et d une secrétaire d actylo : Partenaires intervenant dans la commune - AV (Associations Villageoises) - Les coopératives de producteurs, Les APE (Association des Parents d Elèves, la fédération des APE au niveau communal, comités de gestion des éco, - l ASACO (Association de Santé Communautaire) et - le SYCOV (Syndicat des Cotonniers et Vivriers) 1.5 Les Atouts - Produit de 1 ère nécessité - Existence de piste rurale d épargne - Existence d ONG - Existence de caisse - Implication des femmes dans le maraîchage - Existence du cheptel - Existence des terres cultivab - Présence de services technique d encadrement (OHVN) - Existence de banque de céréale - Existence de plaines aménageab 1.6 Les Contraintes - Pauvreté des sols - Baisse de production - Insuffisance de moyen d encadrement - Insuffisance de stock de céréa - Plaine non aménager - Insuffisance d eau et d équipement - Rareté de pâturage -Insuffisance des caisses 1.9 Stratégie de mise en œuvre La stratégie de mise en œuvre de ce programme de sécurité alimentaire consiste : L adoption de cet outils de planification comme document de référence pour le interventions des partenaires au niveau local afin d en assurer la cohérence et garantir l impact. Mener une large sensibilisation de formation et d information sur le rôle dans l exécution de ce plan de sécurité alimentaire. Mobiliser de façon permanente recettes fisca (impôts et taxes) afin de participer pleinement à l exécution du plan de sécurité alimentaire 5
6 II. DIAGNOSTIC Piliers Disponibilité s Atouts/ Potentialités -Existence des terres cultivab -Présence de services technique d encadrement (OHVN) -Existence de banque de céréale -Existence de plaines aménageab -Implication des femmes dans le maraîchage -Existence du cheptel -Existence de caisse d épargne -Existence d ONG Contraintes/Problèmes Solutions proposées Activités Localisation -Pauvreté des sols - Baisse de production - Insuffisance de moyen d encadrement -Insuffisance de stock de céréa -Plaine non aménager -Insuffisance d eau et d équipement -Rareté de pâturage -Insuffisance des caisses -Insuffisances des moyens -Fertilisation des sols -Augmentation rendement à l ha du -Améliorer conditions de travail des agents -Augmentation du stock de céréa -Aménager plaines -Creuser des puits à grand diamètre et équiper femmes en matériel -Faciliter l accès à l aliment bétail -Augmenter caisses -Faciliter l accès des ONG au financement -Production des compos - Lutte contre l érosion -Amélioration des moyens d encadrement - Minimiser le coût d approvisionnement -Construction de retenus d eau -Demande d appui auprès des partenaires -Approvisionnement aliment bétail en -Facilitation de l accès au crédit -Spécialisation des activités programmées Niamana, Mangolo, Djero, Katabougou Accès -Existence de piste rurale -Mauvais état des pistes et -Faciliter l accès à la -Aménagement des pistes et 6
7 ouvrages commune la construction et réparation des ouvrages Utilisation -Produit de 1 ère nécessité -Insuffisance et prix élevé des produits de 1 ère nécessité -Faciliter l approvisionnement de la commune en produit de 1 ère nécessité -Création des points de vente communautaire des produits Kalifabougou, Niamana, Dougan, Djinedida, Djidiè Stabilité -Foire -Non aménagement des foires -Faciliter l aménagement des foires -Recherche et mise en œuvre d un plan d aménagement Kalifabougou, Niamana 7
8 Objectif global par pilier III. PLAN DE SECURITE ALIMENTAIRE DE LA COMMUNE KALIFABOUGOU Objectif global : Assurer la Sécurité Alimentaire des populations de la commune Objectifs spécifiques Activités Résultats attendus Indicateurs Localisation Montant (en millions) Sources Commun Conseil de cercle Etat Partenaire Périodes Assurer la sécurité alimentaire Assurer la disponibilité des stocks au niveau de la commune Production de compos Minimiser coûts d approvisionnement des banques de céréa Construire des retenus d eau Approvisionnement en aliment bétails Facilitation de l accès au crédit Aménagement des pistes construits et réparation des ouvrages Approvisionnement en produit de 1 ère nécessité Les compos sont produits coûts sont Minimisés Les retenus d eau sont construits Les aliments bétails sont disponib Les caisses sont mise en place Les pistes sont aménagés ouvrages sont construits et réparés Les produits de 1 ère nécessité sont disponib tonne de compos produit tonne de céréa achetés retenus réalisé tonne d aliment acheté caisses mise en place pistes aménagées Nombre produit acheté de Niamana, Mangola, Djoro, Kababougou Kalifabougou, Niamana, Dougan, Djindida, Djidiè 3 x x x 3 5 x x 5 12 x x 12 6 x x 6 12 x x x x 47 5 x 5 Les foires Kalifabougou,
9 Recherche et mise en œuvre d un plan d aménagement sont aménagées foires sont aménagées Niamana Total 94 M 5 27,5 56 3,5 2 9
PLAN DE SECURITE ALIMENTAIRE COMMUNE RURALE DE TOMINIAN
PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE REPUBLIQUE DU MALI ---------------------- Un Peuple Un But Une Foi Commissariat à la Sécurité Alimentaire (CSA) ----------------------- Projet de Mobilisation des Initiatives
Plus en détailPLAN DE SECURITE ALIMENTAIRE COMMUNE RURALE DE LOBOUGOULA
PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE REPUBLIQUE DU MALI ---------------------- Un Peuple Un But Une Foi Commissariat à la Sécurité Alimentaire (CSA) ----------------------- Projet de Mobilisation des Initiatives
Plus en détailCONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole
CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES 1 Marrakech -29, 30 et 31janvier 2014 Session 2 Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole L expérience de la Compagnie
Plus en détailL Assurance agricole au Sénégal
COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système
Plus en détailAnnexe 2: Région des Savanes Caractéristiques et bas fonds identifiés
Annexe 2: Région des Savanes Caractéristiques et bas fonds identifiés La mise en valeur des bas fonds en saison des pluies est intense et est l œuvre des femmes qui y pratiquent essentiellement la culture
Plus en détailRESUME. Mme SIDIBE Aminata S. SIDIBE Agro-économiste ; Hamady DJOUARA Agro-économiste ; Dr Zana Jean Luc SANOGO Agronome.
Impact de la riziculture de bas-fonds sur la réduction de la pauvreté des femmes rurales de la région de Sikasso : cas des villages de Sola (Cercle de Bougouni) et de Ouatialy (Cercle de Kadiolo) Mme SIDIBE
Plus en détailAgricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable
Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement
Plus en détailSYNTHESE DE PRESENTATION DU PPILDA
SYNTHESE DE PRESENTATION DU PPILDA INTITULE DU PROJET : PROJET DE PROMOTION DE L INITIATIVE LOCALE POUR LE DEVELOPPEMENT D AGUIE 1 Intitulé du Projet : Projet de Promotion de l Initiative Locale pour le
Plus en détailTHEME 5: CONDITIONS DE VIABILITE FINANCIERE DE LA MICROFINANCE AGRICOLE
RESEAU DES CAISSES POPULAIRES DU BURKINA ********************************* Fédération des Caisses Populaires du Burkina (F.C.P.B.) Tél.: 50.30.48.41, Fax : 50.30.49.10 ; E-mail : fcpb@fasonet.bf ; Adresse
Plus en détailPRESENTATION DE L AMAB ET DE SES PRODUITS
PRESENTATION DE L ET DE SES PRODUITS PRESENTATION L Assurance Mutuelle Agricole du Bénin en abrégé est une société d assurance mutuelle (SAM) à cotisations fixes avec conseil d administration, régie par
Plus en détailMicro-irrigation à Madagascar
P R AVSF - J. Mas A X IS LES EXPÉRIENCES I N N O VA N T E S D AV S F PAYS Madagascar TITRE DU PROJET SCAMPIS Développement des Systèmes de Micro-irrigation BÉNÉFICIAIRES DIRECTS Plus de 10 000 familles
Plus en détailElaboration des documents méthodologiques des comptes nationaux selon le SCN 1993 et préparation du passage au SCN 2008
AFRITAC de l Ouest (AFW) Abidjan Côte d Ivoire SÉMINAIRE Elaboration des documents méthodologiques des comptes nationaux selon le SCN 1993 et préparation du passage au SCN 2008 Institut national de la
Plus en détailPLAN R E V A RETOUR VERS L AGRICULTURE
REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------ MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L HYDRAULIQUE RURALE ET DE LA SECURITE ALIMENTAIRE ------------ NOUVELLE ORIENTATION DE LA POLITIQUE AGRICOLE
Plus en détailMesures Agro-Environnementales
02 Mesures Agro-Environnementales LES DISPOSITIFS MAE Dispositif A C est le dispositif national de la Prime Herbagère Agro-Environnementale (PHAE 2). Dispositif B : C est le dispositif de la Mesure Agro
Plus en détailPROMISAM - II. Formation en Suivi /Evaluation des Plans de Sécurité Alimentaire 2009
Présidence de la République Commissariat à la Sécurité Alimentaire APCAM/MSU/USAID Projet de Mobilisation des Initiatives en matière de Sécurité Alimentaire au Mali Phase II (PROMISAM - II) PROMISAM -
Plus en détailRépublique de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION
République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION Investir pour le futur Anticiper - Innover 01 BP 3726 ABIDJAN
Plus en détailCHAPITRE 2. Population, ménages et familles
CHAPITRE 2 Population, ménages et familles Les faits saillants Enquête sur les conditions de vie en Haïti Distribution spatiale, structure par âge et par sexe de la population Le taux d urbanisation de
Plus en détailSanté Maternelle et Infantile (SMI) à Abéché, Tchad
Santé Maternelle et Infantile (SMI) à Abéché, Tchad Notre projet en 2009 Prendre soin des orphelins, des nouveaux-nés, des femmes ayant des problèmes d allaitement, des prématurés et des enfants malnutris
Plus en détailCaisse Nationale de Mutualité Agricole
Séminaire national sur la vulgarisation, l appui-conseil et les bonnes pratiques agricoles Le rôle des Assurances Agricole dans le développement de la politique du renouveau Agricole et Rural Présentation
Plus en détailRAPPORT FINAL ----***---- ANALYSE GENRE DANS LA REGION DE TAMBACOUNDA DANS LE CADRE DE L INITIATIVE 4R AU SENEGAL
RAPPORT FINAL ----***---- ANALYSE GENRE DANS LA REGION DE TAMBACOUNDA DANS LE CADRE DE L INITIATIVE 4R AU SENEGAL Les consultants : Mamour NGALANE, Chef de mission, Consultant en Développement Durable
Plus en détailCOMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL
COMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL Séance du mercredi 10 Décembre 2014 Après avoir approuvé le compte rendu de la réunion du 12 novembre 2014, le conseil municipal a examiné les dossiers et pris
Plus en détailCONCLUSION ET RECOMMANDATIONS
CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS Dans ce travail, nous avons évalué les possibilités d une intensification de l agriculture dans le Plateau Central à partir des nouvelles technologies (techniques traditionnelles
Plus en détailDe vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités
De vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités Organisateurs : Partenaires : Des outils d accompagnement Des outils de financement Zoom
Plus en détailCrédit intrant et crédit warrantage au Togo : Quels enseignements?
AGRONOMES ET VETERINAIRES SANS FRONTIERES Crédit intrant et crédit warrantage au Togo : Quels enseignements? Réflexion concernant les différentes modalités de crédit proposées dans le cadre du projet d
Plus en détailAccès au financement pour la mise en valeur de cultures de diversification dans les régions de caféiculture CFC/ICO/30 (AEP : FGCCC/OCIBU)
PJ 39/12 Add. 1 (F) 21 septembre 2012 Original: anglais F Comité des projets Conseil international du Café 24 28 septembre 2012 Londres, Royaume Uni Résumé du rapport de situation soumis par les Agences
Plus en détailCOMMENT ARRIVER A L EFFET/IMPACT dans un état fragile en voie de développement? Étude de cas: bassin de MousGque HaïG
COMMENT ARRIVER A L EFFET/IMPACT dans un état fragile en voie de développement? Étude de cas: bassin de MousGque HaïG Julien Deroy Jeudi 16 octobre 2014 Contexte d HaïG 76% de la popula,on: < 2$US/jr Importa,ons
Plus en détailLa couverture des risques agricoles
PACIFICA - ASSURANCES DOMMAGES La couverture des risques agricoles Patrick Degiovanni Directeur Général Adjoint Page 1 Marrakech, Jeudi 28 octobre 2010 Sommaire Le contexte Les risques du métier en Agriculture
Plus en détailPAC. ce qui change. vraiment
PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne
Plus en détailSamedi 23 Mai 2015 Marché des animaux de la ferme & ferme pédagogique
Samedi 23 Mai 2015 Marché des animaux de la ferme & ferme pédagogique REGLEMENT GENERAL Le Clos du Verger organise cette année les Champêtreries a Jasseron le 23 Mai 2015. Au programme : Marché des animaux
Plus en détailRésultats et impacts
Résultats et impacts «Creusement d un puits pour une utilisation maraîchère à Fandène, Sénégal» Village de Diayane Localisation: Village de Diayane dans la commune de Fandene, département de Thiès, à 77
Plus en détailPortefeuille de projet
Portefeuille de projet MALI I. PROJETS RÉCEMMENT ACHEVÉS Projet d Aménagement Périmètre Irrigué de Manikoura (PAPIM) FAD- FAT 2002-08 15 604 millions FCFA Aménagement hydro-agricole de 1 094 ha Développement
Plus en détailCOOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet
COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet Les bourses d études ou de stages sont financées par la coopération belge dans le cadre d un accord de coopération
Plus en détailRapport d activités 2012
République de Guinée-Bissau MINISTÈRE DE L AGRICULTURE ET DE LA PECHE Projet d Appui à la Sécurité Alimentaire (PASA) Composant II : Aménagements hydroagricoles (CAHA) Rapport d activités 2012 Élaboré
Plus en détailAVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO
AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation
Plus en détailRevue des expériences Nigériennes. Présentée par Mr SANI Mahamadou Economiste Consultant Indépendant en Microfinance au Niger
Revue des expériences Nigériennes Présentée par Mr SANI Mahamadou Economiste Consultant Indépendant en Microfinance au Niger Plan de présentation Définition du warrantage Pourquoi le warrantage? Le cercle
Plus en détailLe bois, la première des énergies renouvelables
Le bois, la première des énergies renouvelables Chiffres clés du bois-énergie en France La France dispose de l un des plus importants massifs européens avec une forêt qui couvre près de 1/3 du territoire
Plus en détailAdaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso
Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les
Plus en détailEtude de diagnostic territorial et accompagnement de projets en vue de la revitalisation du site de la base aérienne de Brétigny
Etude de diagnostic territorial et accompagnement de projets en vue de la revitalisation du site de la base aérienne de Brétigny Phase 2 Perspectives de développement Proposition de stratégie de mise en
Plus en détailCAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS
CLBV AQMP02 CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS 2 UMO sur 39 ha avec 200 chèvres produisant 160 000 litres de lait et engraissement de 40 génisses Ce système se rencontre principalement dans
Plus en détailAtelier Payer pour l environnement? Le mécanisme REDD+ et les PSE permettront-ils de s attaquer aux causes sous-jacentes de la déforestation?
Efficacité de REDD+ et le rôle des PSE Atelier Payer pour l environnement? Le mécanisme REDD+ et les PSE permettront-ils de s attaquer aux causes sous-jacentes de la déforestation? Thomas Sembres, Facilité
Plus en détailOù sont les Hommes sur la Terre
Où sont les Hommes sur la Terre Introduction : Notre planète est constituée de régions peuplées et d autres qui sont presque vides, ainsi 90% de la population vit dans l hémisphère nord. Dans certains
Plus en détailAgences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau
ROYAUME DU MAROC Secrétariat d État chargé de l Eau et de l Environnement Agences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau Mohamed HACHIMI Du 08 au 09/07/2009 à Tunis Gouvernance au niveau des Agences
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détailREPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET NUTRITION
REPUBLIQUE TOGOLAISE Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE PROGRAMME NATIONAL D INVESTISSEMENT AGRICOLE ET DE SECURITE ALIMENTAIRE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET
Plus en détailEVALUATION FINALE BKF/012
EVALUATION FINALE BKF/012 Projet d Appui à la Gestion participative des Ressources naturelles dans la Région des Hauts-Bassins FICHE SYNTHETIQUE Pays Titre du projet Code LuxDev Burkina Faso Projet d Appui
Plus en détailR y o aume aume du du Maroc Mar Mai 2009
Royaume du Maroc PLAN MAROC VERT Mai 2009 ENJEUX Enjeux économiques Contribue pour 19 % du PIB national 15% production 4% Agro industrie Rôle capital dans la stabilité macro économique Enjeux sociaux Emploie
Plus en détailPotentialités et limites de la caution solidaire
Fiche d approfondissement du séminaire de Dakar n 8 Potentialités et limites de la caution solidaire Sources : Séminaire de Dakar et travaux de l ATP Cirad-Cerise Etudes de cas de l ATP CIRAD CERISE Communication
Plus en détailComment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude
Note d information / Politiques agricoles n 13 Comment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude 27 mai 2013 / Sélection par l équipe technique RECA RECA Réseau
Plus en détail* Extraits d'un entretien effectué dans le Karyassa 'supres de membres d'un clan Tamashek, les Kel Taddak. Document présenté par Etienne Le Roy.
(< Le chez soi pour nous, c'est l'eau 11 Cet entretien a été réalisé chez les Tamashek par J.-M. Yung le 30 novembre 1988, et traduit U au pied de la dune n. Il nous a impressionné. Le choix des extraits
Plus en détailPréfectures couvertes. Kankan 12 CRD. Mandiana 8 CRD. Kérouané 5 CRD
Préfectures couvertes 12 CRD Mandiana 8 CRD Kérouané 5 CRD Financement du Programme FIDA 71% ($ 14 016 000 US) FINANCEMENT Bénéficiaires 20% ( $ 4 058 000 US) Gouvernement guinéen 9% 1734000($ 1 734 000
Plus en détailOn the spot. Ecocertification et images satellites. Exploitation forestière tropicale au Cameroun
On the spot Ecocertification et images satellites Exploitation forestière tropicale au Cameroun Exploitation forestière tropicale au Cameroun Un nombre croissant d opérateurs forestiers s engagent dans
Plus en détailMAQUETTE GENERALE MASTER DIDL.
MAQUETTE GENERALE MASTER DIDL. PROGRAMME DE FORMATION AU MASTER EN «DECENTRALISATION ET INGENIERIE DU DEVELOPPEMENT LOCAL» DE BAMAKO 2009-2010 Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique
Plus en détailPJ 28/12. 7 février 2012 Original : anglais. Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni
PJ 28/12 7 février 2012 Original : anglais F Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni Encourager l intensification de la production caféière et vivrière au moyen
Plus en détailCompte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris
Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Thème : Commercialiser la campagne : les questions de base posées aux territoires
Plus en détail========================
RESEAU DES FEMMES AFRICAINES POUR LE DEVELOPPEMENT DURABLE EN REPUBLIQUE CENTRAFRICAINE (REFADD/RCA) BP : 242/BANGUI Tel :(00236)75 03 77 26 Email : bata_gbako@yahoo.fr ======================== Projet
Plus en détailImpact économique du secteur des coopératives. George Karaphillis CED Institute, Cape Breton University
Impact économique du secteur des coopératives George Karaphillis CED Institute, Cape Breton University Tendances Les coopératives au Canada 350 300 250 200 150 100 50 0 Les coopératives en Nouvelle- Écosse
Plus en détail"LE PARCOURS" L EXPERIENCE DE LA FONGS EN MATIERE DE FORMATION :
République du Sénégal Fédération des Organisations Non Gouvernementales du Sénégal FONGS - ACTION PAYSANNE B.P. 269 THIES, Tél. 939 58 58 Fax : 951.20.59/@ : fongs@orange.sn Web : www.fongs.sn L EXPERIENCE
Plus en détailLa région Nord-Pas-de-Calais
La région Nord-Pas-de-Calais A Quelle est l identité de ma région? Quelles sont ses activités? 1 La région Nord-Pas-de-Calais en France 1 2 Les chiffres-clés de la région Nord-Pas-de-Calais Nord-Pas-de-Calais
Plus en détailInsurance of agricultural Risks. Jeudi 30 Janvier 2014
Insurance of agricultural Risks Jeudi 30 Janvier 2014 1 Sommaire 1. Brève introduction d Al Amana Microfinance et de son historique dans le rural 2. Mécanisme d Assurance interne et comportement 3. Analyse
Plus en détailAnalyse des Performances Sociales de CREDI - Togo Centre de Recherche-action pour l Environnement et le Développement Intégré
Analyse des Performances Sociales de CREDI - Togo Centre de Recherche-action pour l Environnement et le Développement Intégré Considérations générales Ce rapport synthétique est issu de l étude d une organisation
Plus en détailANNEXE 1-A UNOPS BUREAU DES SERVICES D APPUI AUX PROJETS DES NATIONS UNIES INDICATEURS DES PERFORMANCES DU PROJET
ANNEXE 1-A UNOPS A. ETAT D EXECUTION DES RECOMMANDATIONS DE LA MISSION DE SUPERVISION DU MOIS DE SECTION II : RECOMMA NDATIONS DE LA MISSION N. ET ACTIONS ENTREPRISES PAR LE PROJET RECOMMANDATIONS SITUATION
Plus en détailLe système de protection sociale en santé en RDC
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection
Plus en détailPar Akoété Ega AGBODJI FASEG/Université de Lomé
CSI- Afrique Renforcement des interventions dans le domaine de la politique économique et sociale Atelier de développement des compétences des chercheurs des syndicaux Session 6 Les méthodes et procédures
Plus en détailSpécialisation ou diversification?
A Partnership Funded by the Howard G. Buffett Foundation Spécialisation ou diversification? Perspectives divergentes sur la riziculture irriguée par trois grands barrages dans le Sahel Bara Guèye Global
Plus en détail«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»
Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.
Plus en détailPLAN LOCAL DE DEVELOPPEMENT de la Communauté Rurale de Ngayokhème
REPUBLIQUE DU SENEGAL REGION DE FATICK COMMUNAUTE RURALE DE NGAYOKHEME PLAN LOCAL DE DEVELOPPEMENT de la Communauté Rurale de Ngayokhème Approuvé en décembre 2003 par le Sous-Préfet de l Arrondissement
Plus en détailLEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER
LE DISPOSITIF DE FINANCEMENT EUROPÉEN LEADER AU SERVICE DE L ATTRACTIVITÉ TERRITORIALE LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : Le programme LEADER est un outil au service de la mise en œuvre du projet de territoire
Plus en détailLes 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française
Les 5 à 7 du SYRPA Photographie et évolution de la population Quels enseignements en tirer pour vos actions de communication? Christophe SEMONT 1. Hyltel en quelques mots 2. Les concepts du recensement
Plus en détailQue sont les sources d énergie renouvelable?
Que sont les sources d énergie renouvelable? Comme leur nom l indique, il s agit de sources qui se renouvellent et ne s épuiseront donc jamais à l échelle du temps humain! Les sources non renouvelables
Plus en détailLe réseau des Chambres d agriculture, l installation* et la transmission
Le réseau des Chambres d agriculture, l installation* et la transmission Un accompagnement historique! * Création ou reprise d entreprises agricoles Voyage de presse installation-transmission - 4 avril
Plus en détailJournée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau
Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Etude Volumes Prélevables sur les Usses 2010-2012 5 avril 2013 SMECRU Syndicat Mixte d Etude du Contrat de Rivières des Usses Le bassin
Plus en détailMauvaise informa.on agricole = Cycle de pauvreté Producteurs. Commerçants. Gouvernements. Transformateurs
Mauvaise informa.on agricole = Cycle de pauvreté Producteurs Ne savent pas : Que planter? Où bien vendre? Comment vendre? Transformateurs Ne peuvent pas bien : Prévoir leurs appro. (stocks?) Planifier
Plus en détailRAPPORT DE FIN DE CYCLE
1 MINISTERE DE L ENSEIGNEMENTS SUPERIEUR MALI ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE Foi REPUBLIQUE DU Un Peuple - Un But - Une ----------- ----------- Direction Nationale de l'enseignement Supérieur et de la
Plus en détailz ei hw c ld S tbi Luf
Luftbild Schweiz Présentation générale 2012 2 Entre Suisse et France (Rhône-Alpes) La Région Rhône-Alpes et la Suisse : deux territoires de poids comparables Suisse : Superficie : 41'284 km² Population
Plus en détailActivité n 8.2.5 du PAA 2014
République du Niger Fraternité Travail Progrès MINISTÈRE DE LA SANTÉ PUBLIQUE Secrétariat Général DIRECTION DES ETUDES ET DE LA PROGRAMMATION DIVISION DES ETUDES, RECHERCHES Termes de références pour la
Plus en détailComité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS.
Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS 28 mai 2012 Madame la Représentante permanente adjointe de Sri Lanka, Présidente
Plus en détailLe pastoralisme au Sahel : Module d animation et de formation de l IIED-ARED. Note d information générale
Le pastoralisme au Sahel : Module d animation et de formation de l IIED-ARED Note d information générale Contacts Ced Hesse et Su Fei Tan (IIED) : ced.hesse@iied.org; sufei.tan@iied.org Sonja Fagerberg-Diallo
Plus en détailQui sont-ils? Pedro. Tamacha. 9 En quantité, Tamacha mange suffisamment, mais son alimentation n est pas satisfaisante en qualité.
Pedro Tamacha 9 Normalement, Pedro devrait consommer 3 100 kcal/jour pour être en bonne santé et avoir une activité normale, il lui manque 800 calories. 9 Son régime alimentaire est composé de riz, pommes
Plus en détailPrésentation du Sénégal Région par Région LA REGION DE DAKAR
Présentation du Sénégal Région par Région Sommaire Dakar page 1 Saint-Louis page 5 Thiès page 7 Ziguinchor page 9 Liens utiles page 10 LA REGION DE DAKAR Source : www.au-senegal.com DEMOGRAPHIE La population
Plus en détailRéalisation d une adduction d eau potable à pompage solaire
Réalisation d une adduction d eau potable à pompage solaire Village de Lakoulé, Commune rurale de Koréra-Koré, Cercle de Nioro-du-Sahel, Mali Rapport d avancement n 4 au 20/08/2013 Ce rapport conclut la
Plus en détailPrésentation du nouveau programme de remboursement de taxes foncières. novembre 2014
Présentation du nouveau programme de remboursement de taxes foncières novembre 2014 Progamme de remboursement de taxes foncières 1. Contexte général; 2. Résumé de l ancien programme; 3. Présentation du
Plus en détailProposition de politique agricole au Ministère de l agriculture des pêcheries et de l alimentation du Québec
Proposition de politique agricole au Ministère de l agriculture des pêcheries et de l alimentation du Québec «L agriculture du Québec mûre pour sa révolution tranquille» Rédaction : Union paysanne Dessins
Plus en détailLe contexte global. La ressource. I.1 Particularités de la ressource en eau. Superficie : 41 526Km 2
Le contexte global Superficie : 41 526Km 2 Population: 16,34M.(89,6% urbaine: / 10,4% rurale:) 2006 PIB/hab 2007: 35 576 USD Divisions administratives: 12 provinces et 467 communes en nombre variable Régime:
Plus en détailStratégie du Développement du Gouvernorat de Béja
et de la Planification Stratégie du Développement du Gouvernorat de Béja Entrer 1 Sommaire I - Ressources II - Opportunités III - Filières Economiques 2 I - Ressources oressources naturelles: Des terres
Plus en détailOeuvrer pour que les populations rurales pauvres se libèrent de la pauvreté aux Comores
Oeuvrer pour que les populations rurales pauvres se libèrent de la pauvreté aux Comores La pauvreté rurale aux Comores Depuis leur indépendance en 1975, les Comoriens ont souffert de l instabilité politique
Plus en détailLES FONDS EUROPÉENS EN NORD-PAS DE CALAIS 2014-2020
LES FONDS EUROPÉENS EN NORD-PAS DE CALAIS 2014-2020 CONNAÎTRE les programmes européens Pour faire face à la crise et aux grands défis de l Union européenne, ses Etats membres ont adopté en 2010 la Stratégie
Plus en détailCONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE
CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse
Plus en détail& Que choisir. favoriser le bien-être
Label Rouge & Agriculture Biologique Que choisir pour favoriser le bien-être des animaux? Un guide des tiné au consommateur Protection mondiale des animaux de ferme Ce petit guide a pour objectif d aider
Plus en détailParticipation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?
Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte
Plus en détailIntervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Capacités d accueil, aménagements commerciaux, mutabilité foncière : des outils concrets pour construire un SCOT intégrant les vulnérabilités énergétiques et climatique Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Plus en détailBURKINA FASO ---------- Unité Progrès Justice MAIRIE ------------ SECRETARIAT GENERAL ------------- DIRECTION DE L ADMINISTRATION GENERALE
COMMUNE DE BOBO-DIOULASSO BURKINA FASO ---------- Unité Progrès Justice MAIRIE ------------ SECRETARIAT GENERAL ------------- DIRECTION DE L ADMINISTRATION GENERALE PROJET D ARRETE N 2014 /CB/M/SG PORTANT
Plus en détailPrésentation du Programme
Ministère de l Hydraulique et de l Assainissement République du Sénégal ATELIER DE LANCEMENT SECTORIEL EAU-ASSAINISSEMENT Jeudi 25 septembre 2014, King Fahd Palace Hôtel - Dakar Présentation du Programme
Plus en détailRapport de revue technique indépendante. Programme national d investissement prioritaire dans le secteur agricole (PNIP-SA) MALI
Rapport de revue technique indépendante Programme national d investissement prioritaire dans le secteur agricole (PNIP-SA) MALI Mali Version date: 27 Septembre 2010 1 Résumé Analytique : Principales conclusions
Plus en détailCorreo de Tarija n 6
Correo de Tarija n 6 Janv 2014 "Radio Pachamama, la radio des sans voix" en BOLIVIE FDMCIOT-BS - Toujours plus loin dans la connaissance des Bartolina Sisa de Tarija - Lancement du satellite Tupac Katari
Plus en détailPARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE
PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE Par Madame F. Bintou DJIBO, COORDONNATRICE DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES AU SENEGAL Plan
Plus en détailDéclaration d intention d aliéner ou demande d acquisition d un bien soumis à l un des droits de préemption prévus par le code de l urbanisme
Ministère chargé de l urbanisme Déclaration d intention d aliéner un bien (1) Demande d acquisition d'un bien (1) Déclaration d intention d aliéner ou demande d acquisition d un bien soumis à l un des
Plus en détailSéance 3 : Modèles de gestion dans les pays de l UE. Expérience nationale dans les assurances et la gestion de risques - Allemagne
Conférence Internationale : «La gestion de risques et de crises dans l assurance agraire» Séance 3 : Modèles de gestion dans les pays de l UE Expérience nationale dans les assurances et la gestion de risques
Plus en détailPROGRAMME D APPUI A MAÎTRISE D OUVRAGE DES ADMINISTRATIONS DU SECTEUR RURAL MINADER-MINEPIA (AMO) PHASE II 2013-2016 FINANCEMENT C2D
MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL MINISTERE DE L ELEVAGE, DES PÊCHES ET DES INDUSTRIES ANIMANES PROGRAMME D APPUI A MAÎTRISE D OUVRAGE DES ADMINISTRATIONS DU SECTEUR RURAL MINADER-MINEPIA
Plus en détailPréparation aux transferts monétaires Evaluation des risques et possibilités
Préparation aux transferts monétaires Evaluation des risques et possibilités Régions de Gao et Sikasso, Mali Mars 2013 par Jessica Saulle Sandra Garcia Sidiki Diarra Cheick Diallo & Mahamane Dedeou Maiga
Plus en détail