Les maladies de l appareil circulatoire, nommées maladies cardio-vasculaires, sont pour

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les maladies de l appareil circulatoire, nommées maladies cardio-vasculaires, sont pour"

Transcription

1 PATHOLOGIES Dans le thème «Pathologies» Mortalité générale et espérance de vie. Mortalité prématurée. Cancers : vue d ensemble. Cancers du poumon. Cancers du sein. Cancers du côlonrectum. Sida. Fiche 2.3 Octobre 2010 Contexte Les maladies de l appareil circulatoire, nommées maladies cardio-vasculaires, sont pour la plupart des affections graves, susceptibles de mettre en jeu le pronostic vital. C est notamment le cas de l hypertension artérielle (HTA), des cardiopathies ischémiques, des maladies vasculaires cérébrales, des troubles du rythme cardiaque et de l insuffisance cardiaque. L une de leurs caractéristiques est d être souvent liée entre elles. L HTA peut, par exemple, provoquer une cardiopathie ischémique, qui peut elle-même conduire à une insuffisance cardiaque. Les pathologies veineuses périphériques (phlébites, varices, hémorroïdes...) sont également fréquentes, mais le plus souvent de moindre gravité. Les maladies cardio-vasculaires constituent en France la première cause de décès, d admission en affection de longue durée et de recours aux soins en médecine libérale, et le troisième motif d hospitalisation en service de court séjour. C est le groupe de pathologies dont le poids dans la consommation de soins et de biens médicaux est le plus élevé (13,6 milliards d euros, soit 12,6 %). Plusieurs facteurs constitutionnels et comportementaux, souvent associés, favorisent la survenue des pathologies cardio-vasculaires : hypercholestérolémie, hypertension artérielle, diabète, tabagisme, alimentation et sédentarité. Plus de 20 millions de personnes seraient concernées en France par ces facteurs de risque. Leur réduction passe par l information du grand public et par l éducation thérapeutique des patients. Elle nécessite aussi une mobilisation de tous les professionnels de santé pour le dépistage (calcul du risque cardio-vasculaire global notamment), le diagnostic et la prise en charge de ces différents facteurs. Des accords avec l industrie agroalimentaire ou des mesures législatives visant à réduire la teneur en sel et en graisses des aliments constituent aussi des moyens de lutte efficaces contre l hypertension et l hypercholestérolémie. Enfin, le rôle des facteurs de risque psychosociaux reste insuffisamment reconnu et pris en compte. La loi du 9 août 2004 relative à la politique de santé publique fixe cinq objectifs relatifs aux maladies cardio-vasculaires : réduire la pression artérielle systolique moyenne de la population française ; réduire la mortalité associée aux cardiopathies ischémiques ; réduire la fréquence et la sévérité des séquelles fonctionnelles associées aux accidents vasculaires cérébraux ; diminuer la mortalité et la fréquence des décompensations aiguës des personnes atteintes d insuffisance cardiaque ; réduire de 5 % la cholestérolémie moyenne de la population adulte dans le cadre d une prévention globale du risque cardio-vasculaire. L essentiel à retenir en Languedoc-Roussillon Près de décès par maladie cardio-vasculaire ont été dénombrés en moyenne chaque année entre 2005 et Ces décès surviennent le plus souvent (80,1 %) après 75 ans mais dans un peu moins de un cas sur dix (9,2 %), ils surviennent de façon prématurée (avant 65 ans). À partir de 25 ans, les hommes présentent des taux de mortalité supérieurs à ceux des femmes : de 1,1 à 3,7 fois supérieur au taux féminin. Les maladies cardio-vasculaires sont à l origine de admissions annuelles en affection de longue durée (ALD) en 2007 pour les trois principaux régimes d assurance maladie (salariés, agricoles et indépendants). Elles ont constitué, en 2008, le diagnostic principal de séjours hospitaliers dans les services de soins de courte durée (soit 6,6 % de l ensemble des séjours). 1

2 Les maladies cardio-vasculaires, responsables de près de 30 % des décès chaque année en Languedoc-Roussillon entre 2005 et 2007 Sur la période , les maladies cardio-vasculaires ont été responsables de décès en moyenne par an en Languedoc-Roussillon, représentant 27,4 % des décès chez les hommes et 32,0 % chez les femmes. Les trois principales causes de ces décès sont les cardiopathies ischémiques (26,1 %) (cf définitions p. 7 ), les maladies vasculaires cérébrales (22,2 %) et l insuffisance cardiaque (19,3 %). Le poids de ces causes de décès varie selon le sexe. Les maladies vasculaires cérébrales constituent la première cause de décès chez les femmes et les cardiopathies ischémiques chez les hommes. Plusieurs facteurs constitutionnels et comportementaux influencent l incidence de ces pathologies cardio-vasculaires et sont souvent associés : hypertension artérielle, diabète, tabagisme, alimentation et modes de vie... Un nombre important de décès par maladies cardio-vasculaires est considéré comme prématuré car ils surviennent chez les personnes âgées de moins de 65 ans représentant un dixième (9,2 %) de l ensemble de ces décès. La réduction de ces facteurs de risque passe non seulement par des actions d information collective auprès du grand public, par une action spécifique auprès des patients mais aussi par une mobilisation de tous les professionnels de santé en matière de dépistage et de prise en charge de la maladie. Principales causes de décès par maladies cardio-vasculaires en Languedoc-Roussillon en (moyenne annuelle) Languedoc-Roussillon France métropolitaine Ensemble Hommes Femmes Ensemble Hommes Femmes n % n % n % n % n % n % Cardiopathies ischémiques , , , , , ,6 Maladies vasculaires cérébrales , , , , , ,2 Insuffisances cardiaques , , , , , ,9 Maladies hypertensives 339 4, , , , , ,9 Artérioscléroses et anévrismes 214 3, ,2 68 1, , , ,7 Autres , , , , , ,7 Ensemble des maladies cardio-vasculaires , , , , , ,0 Source : Inserm CépiDc - Exploitation ORS L-R Une mortalité croissante avec l âge La mortalité par maladies cardio-vasculaires croît avec l âge de façon exponentielle, et plus rapidement pour les hommes que pour les femmes. À partir de 25 ans, les hommes présentent des taux de mortalité supérieurs à ceux des femmes. La surmortalité masculine maximale s observe pour les groupes d âge ans et ans, avec un taux de mortalité féminin près de quatre fois plus faible. Pour ces groupes d âge, plus des trois quarts des décès par maladies cardio-vasculaires sont masculins. À partir de 80 ans, même si six décès par maladie cardio-vasculaire sur dix touchent les femmes, le risque de décéder par maladies cardio-vasculaires reste toujours supérieur chez les hommes par rapport aux femmes. La surmortalité masculine par maladies cardio-vasculaires s accentue fortement pour les pathologies de type cardiopathies ischémiques. Jusqu à 70 ans, 83 % des décès par cardiopathies ischémiques touchent les hommes. Le risque de décéder par maladies vasculaires cérébrales est également croissant avec l âge. Il est plus élevé chez les hommes à partir de 50 ans. À la différence des cardiopathies ischémiques, les écarts des taux de mortalité entre les deux sexes sont beaucoup plus faibles. Taux brut de mortalité en Languedoc-Roussillon par âge et par sexe en Unité : taux pour personnes du même sexe Échelle logarithmique Par maladies cardio-vasculaires Par cardiopathies ischémiques Par maladies vasculaires cérébrales Languedoc-Roussillon France métropolitaine Données lissées sur 3 ans - Sources : Inserm CépiDc, Insee - Exploitation ORS L-R 2

3 Une diminution importante de la mortalité par maladies cardio-vasculaires Entre et , la mortalité par maladies cardio-vasculaires continue de diminuer fortement : le taux comparatif de mortalité par maladies cardio-vasculaires est passé de 459 décès pour hommes en à 314 en et chez les femmes de 310 décès pour femmes en à 193 en Cette diminution est proche de celle observée au niveau national : le gain est de 145 décès pour chez les hommes et de 117 pour chez les femmes dans le Languedoc-Roussillon et respectivement au niveau national 164 et 123 durant la même période. Plus particulièrement, la mortalité par maladies vasculaires cérébrales a fortement reculé avec une diminution de 52 décès pour chez les hommes et de 46 décès pour chez les femmes. Elle est passée de 116 décès pour hommes en à 64 décès en et chez les femmes de 93 décès pour en à 47 en Concernant les cardiopathies ischémiques, une diminution de la mortalité est observée également mais moins prononcée que celle enregistrée pour les maladies vasculaires cérébrales : le gain est de 42 décès pour chez les hommes (- 51 décès pour au niveau national) et de 45 pour en moins chez les femmes (- 44 au niveau national). Le taux comparatif de mortalité par cardiopathies ischémiques est donc passé de 140 décès pour hommes en à 98 en et chez les femmes de 71 décès pour en à 39 en Évolution des taux comparatifs de mortalité par types d affections cardio-vasculaires en Languedoc-Roussillon entre et Unité : taux pour personnes du même sexe Par maladies cardio-vasculaires Par cardiopathies ischémiques Par maladies vasculaires cérébrales Languedoc-Roussillon France métropolitaine Sources : Inserm CépiDc, Insee - Exploitation ORS L-R *Année centrale pour le calcul de données lissées sur 3 ans 3

4 Taux comparatif de mortalité par type d affections cardio-vasculaires en chez les hommes Unité : taux pour hommes 310,4 L ensemble des maladie 95,6 Les cardiopathi 108,5-118,2 98,8-108,4 89,0-98,7 83,4-88,9 62,8 Les maladies vasc Sources : Inserm CépidDc, Insee - Exploitation ORS L-R 4

5 Taux comparatif de mortalité par type d affections cardio-vasculaires en chez les femmes Unité : taux pour femmes 188,3 s cardio-vasculaires es ischémiques 41,1 46,3 ulaires cérébrales Sources : Inserm CépidDc, Insee - Exploitation ORS L-R 5

6 Les hommes, plus souvent concernés par des admissions en affections longue durée pour maladies cardio-vasculaires En 2007, admissions en affections de longue durée (ALD) ont été relevées pour les cinq pathologies de l appareil circulatoire y ouvrant droit. Plus de la moitié de ces admissions ont concerné des hommes. Les admissions en ALD pour hypertension artérielle sévère concernent davantage les femmes que les hommes. Celles pour une insuffisance cardiaque touchent autant les femmes que les hommes. Par contre, les hommes ont des admissions en ALD plus fréquentes pour les trois autres pathologies restantes notamment pour les maladies coronaires (69,2 %) et les artériopathies chroniques (65,8 %). Les admissions en affection de longue durée pour maladies cardio-vasculaires en Languedoc-Roussillon en 2007 Ensemble Hommes Femmes n % n % n % Hypertensions artérielles sévères , , ,7 Insuffisances cardiaques graves , , ,1 Maladies coronaires dont cardiopathies ischémiques , , ,8 Artériopathies chroniques , , ,2 Accidents vasculaires cérébraux invalidants , , ,8 Total , , ,9 Données domiciliées Sources : Cnamts, MSA, RSI - Exploitation ORS L-R séjours hospitaliers pour maladies cardio-vasculaires en 2008 En 2008, en Languedoc-Roussillon, séjours pour maladies cardio-vasculaires (comme diagnostic principal de séjour) ont été recensés dans les services de soins de courte durée, représentant 6,6 % de l ensemble des séjours dans la région. Plus d un séjour pour maladies cardio-vasculaire sur deux est motivé par une insuffisance cardiaque ou par une cardiopathie ischémique. Les maladies vasculaires cérébrales représentent un séjour sur dix et les maladies hypertensives ou les artérioscléroses et anévrismes un sur treize. Les séjours hospitaliers par diagnostic principal pour maladies cardio-vasculaires en Languedoc-Roussillon en 2008 Nombre de séjours d hospitalisation Languedoc- Roussillon Aude Gard Hérault Lozère Pyrénées- Orientales n % n % n % n % n % n % , , , , , ,0 Insuffisances cardiaques , , , , , ,2 Cardiopathies ischémiques , , , , , ,3 Maladies vasculaires cérébrales , , , , , ,6 Maladies hypertensives , , , ,7 95 4, ,6 Artérioscléroses et anévrismes , , , ,4 54 2, ,6 Données domiciliées Autres , , , , , ,7 Source : PMSI - Exploitation ORS L-R 6

7 Octobre 2010 Définitions Les maladies cardio-vasculaires regroupent tout un ensemble d affections parmi lesquelles on retrouve les cardiopathies ischémiques (infarctus aigu du myocarde, angine de poitrine, etc...), les maladies vasculaires cérébrales (hémorragie cérébrale, embolie cérébrale, etc...), les maladies des artères (artériosclérose et anévrisme), les insuffisances cardiaques et les maladies hypertensives. Cardiopathies ischémiques : terme générique regroupant tous les troubles et maladies cardiaques consécutifs à un arrêt ou à une réduction de l irrigation sanguine du coeur, quelqu en soit le mécanisme mais généralement liés à l artériosclérose coronarienne. Artériosclérose : durcissement et épaississement des parois des artères. Anévrisme : dilatation localisée de la paroi d une artère aboutissant à la formation d une poche de taille variable communiquant avec l artère au moyen d une zone rétrécie. Le taux de mortalité par tranche d âge quinquennale chez les hommes (respectivement chez les femmes) est égal au nombre de décès masculins (respectivement féminins) par maladies cardio-vasculaires rapporté à la population masculine (respectivement féminine) du même âge (taux de mortalité spécifique). Le taux comparatif (ou taux standardisé direct) est le taux que l on observerait dans la région ou le département si elle avait la même structure par âge que la population de référence (population de France entière au recensement de 2006). Affection de longue durée (ALD) : affection nécessitant un traitement prolongé et une thérapeutique coûteuse, prise en charge à 100 % par l assurance maladie. Diagnostic principal d hospitalisation : diagnostic défini à la fin du séjour du patient comme étant celui qui a mobilisé l essentiel de l effort médical et soignant. Méthodologie Causes médicales de décès : L analyse de la mortalité par maladies cardio-vasculaires est basée sur les codes CIM10 de la Classification internationale. Les codes CIM10 considérés sont I 00 à I 99. L insuffisance cardiaque, troubles et rythmes et autres cardiopathies correspondent aux codes CIM10 =101 à 102, 105 à 109, 134 à 139, 144 à 149, 150, Les cardiopathies ischémiques correspondent au code CIM10 = Les maladies vasculaires cérébrales correspondent au code CIM10 = Les maladies hypertensives correspondent au code CIM10 =110 à 115. L artériosclérose et anévrisme correspondent aux codes CIM10 =170 à 172. Précisions Modalités d élaboration et limites des statistiques médicales de décès : voir fiche «Mortalité générale et espérance de vie» dans le même thème. Les données sur les ALD figurant dans ce document concernent les assurés et les ayants droits du régime général, du régime agricole et du régime des professions indépendantes. Elles ont été fournies par les services médicaux de ces deux régimes. Les données disposées sont des données par affection et non par individu : plusieurs individus peuvent apparaître autant de fois qu ils ont ALD (effet de la loi d août 2004). Les données sur les séjours hospitaliers proviennent de l exploitation de la base PMSI (programme de médicalisation des systèmes d information), mesure médico-économique de l activité hospitalière. Cette base rassemble des données de séjour dans les services de soins de courte durée (médecine, chirurgie, obstétrique) des établissements de santé publics et privés. Les données sont domiciliées. L unité de base est le séjour, un même patient ayant pu effectuer plusieurs séjours. Pour en savoir plus : Base de données Score santé, Fnors Base nationale des causes médicales de décès , Inserm CépiDc Base nationale des affections de longue durée (ALD) 2007, Cnamts, MSA, RSI Base nationale PMSI 2008, Drees Maladies cardiovasculaires. In : L état de santé de la population en France en Moisy M., Drees, 2010, pp Plan d actions national «accidents vasculaires cérébraux ». Ministère de la santé et des sports, 2010, 77 p. La prévention et la prise en charge des accidents vasculaires cérébraux en France. Fery-Lemonnier E., Ministère de la santé et des sports, 2009, 209 p. Les personnes en affection de longue durée au 31 décembre Païta M., Weill A. Points de repère, Cnamts, n 27, 2009, 12 p. L actualisation de cette fiche a été financée par l ARS. La réalisation de l atlas régional de la santé observée en Languedoc-Roussillon a été initiée par le Conseil régional et l État (Drass). Comité de relecture : Pauline Buffard (ARS) et Béatrice Rougy (Conseil régional). Rédaction de la fi che : Inca Ruiz, chargée d études et Hafid Boulahtouf, technicien d études (ORS L-R) sous la direction du Dr Bernard Ledésert, directeur (ORS L-R). Agence régionale de santé du Languedoc-Roussillon 28 Parc-Club du Millénaire 1025, rue Henri Becquerel CS Montpellier cedex 2 Observatoire régional de la santé du Languedoc-Roussillon Parc Euromédecine 209 rue des Apothicaires Montpellier cedex 5 Conseil régional Hôtel de Région 201 avenue de la Pompignane Montpellier cedex 2 7

La prise en charge de votre insuffisance cardiaque

La prise en charge de votre insuffisance cardiaque G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant

Plus en détail

Améliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance Maladie pour 2014

Améliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance Maladie pour 2014 Améliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance Maladie pour 2014 RAPPORT AU MINISTRE CHARGÉ DE LA SÉCURITÉ SOCIALE ET AU PARLEMENT SUR L ÉVOLUTION DES

Plus en détail

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION

Plus en détail

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des

Plus en détail

Tableau de bord Tableau de bord. Le diabète. à La Réunion

Tableau de bord Tableau de bord. Le diabète. à La Réunion Tableau de bord Tableau de bord Le diabète à La Réunion Décembre 2012 2 Sommaire Introduction 4 Définitions 6 Répertoire des sigles 7 Contexte 8 Prévalence du diabète traité à La Réunion 10 Admissions

Plus en détail

MALADIES VASCULAIRES CÉRÉBRALES

MALADIES VASCULAIRES CÉRÉBRALES LES MALADIES DU CŒUR ET LES MALADIES VASCULAIRES CÉRÉBRALES PRÉVALENCE, MORBIDITÉ ET MORTALITÉ AU QUÉBEC DIRECTION PLANIFICATION, RECHERCHE ET INNOVATION UNITÉ CONNAISSANCE-SURVEILLANCE OCTOBRE 2006 AUTEUR

Plus en détail

LES MALADIES CARDIOVASCULAIRES

LES MALADIES CARDIOVASCULAIRES . LES MALADIES CHRONIQUES DANS LANAUDIÈRE LES MALADIES CARDIOVASCULAIRES Source : Istockphoto Marie Eve Simoneau collaboration Christine Garand et Josée Payette Service de surveillance, recherche et évaluation

Plus en détail

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue

Plus en détail

La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs

La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre

Plus en détail

ALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement

ALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de

Plus en détail

Transports sanitaires

Transports sanitaires Observatoire régional de la santé des Pays de la Loire Juillet 2015 www.santepaysdelaloire.com La santé observée dans les Pays de la Loire Transports sanitaires L'essentiel En 2014, 5,6 millions de patients

Plus en détail

PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé

PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique

Plus en détail

TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»

TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation

Plus en détail

Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention

Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au

Plus en détail

Marche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica)

Marche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica) December 1, 2010 Klick Inc. Marche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica) Les utilisateurs de l application Guide santé CV MC qui souhaitent

Plus en détail

Propositions de l Assurance Maladie sur les charges et produits POUR L ANNÉE 2013

Propositions de l Assurance Maladie sur les charges et produits POUR L ANNÉE 2013 Propositions de l Assurance Maladie sur les charges et produits POUR L ANNÉE 2013 19 JUILLET 2012 Chaque année, l Assurance Maladie présente au Gouvernement et au Parlement ses propositions relatives à

Plus en détail

Etudes observationnelles sur les bases de données de l assurance maladie

Etudes observationnelles sur les bases de données de l assurance maladie 4ÈME JOURNÉE INTERRÉGIONALE DU GIRCI GRAND OUEST Etudes observationnelles sur les bases de données de l assurance maladie Dominique Polton Conseillère auprès du Directeur général Assurance maladie, caisse

Plus en détail

S o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique

S o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3

Plus en détail

Ville : Province : Code postal : Date de naissance : jour mois année Date de naissance : jour mois année

Ville : Province : Code postal : Date de naissance : jour mois année Date de naissance : jour mois année Assurance médicale Choix du voyageur L assurance est souscrite auprès de la Compagnie d Assurance Générale CUMIS, l une des sociétés du Groupe Co-operators. Proposition d assurance page 1 2015-2016 Bureau

Plus en détail

INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»

INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque

Plus en détail

Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.

Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de

Plus en détail

Le VIH et votre cœur

Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,

Plus en détail

LES FACTEURS DE RISQUE

LES FACTEURS DE RISQUE LES FACTEURS DE RISQUE C EST QUOI UN FACTEUR DE RISQUE? C est une caractéristique lié à une personne, à son environnement à sa culture, à son mode de vie qui entraine pour elle une probabilité plus importante

Plus en détail

La protection sociale en France

La protection sociale en France 18 La protection sociale en France FONCTIONNEMENT La protection sociale peut fonctionner selon trois logiques. LA LOGIQUE D ASSURANCE SOCIALE La logique d assurance sociale a pour objectif de prémunir

Plus en détail

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé

Plus en détail

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène 1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients

Plus en détail

Bouger, c est bon pour la santé!

Bouger, c est bon pour la santé! Bouger, c est bon pour la santé! Tous concernés! De quoi s agit-il? Il s agit de toute activité physique, dès lors que nous bougeons. Ainsi tous les pas comptent, comme ceux que nous faisons chez nous

Plus en détail

Améliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance maladie pour 2014

Améliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance maladie pour 2014 Améliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance maladie pour 2014 Rapport au ministre chargé de la sécurité sociale et au Parlement sur l'évolution des

Plus en détail

Épreuve d effort électrocardiographique

Épreuve d effort électrocardiographique Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment

Plus en détail

Don d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper

Don d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale

Plus en détail

compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte

compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction

Plus en détail

Le SNIIRAM et les bases de données de l Assurance Maladie en 2011. Dominique POLTON, Philippe Ricordeau CNAMTS 30 mars 2011

Le SNIIRAM et les bases de données de l Assurance Maladie en 2011. Dominique POLTON, Philippe Ricordeau CNAMTS 30 mars 2011 Le SNIIRAM et les bases de données de l Assurance l Maladie en 2011 Dominique POLTON, Philippe Ricordeau CNAMTS 30 mars 2011 Plan de l interventionl 1. Qu est-ce que le SNIIRAM? 2. Des exemples d utilisation

Plus en détail

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît

Plus en détail

THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE

THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration

Plus en détail

Le cancer. les régions de France. dans. Mortalité Incidence Affections de longue durée Hospitalisations. Collection «Les études du réseau des ORS»

Le cancer. les régions de France. dans. Mortalité Incidence Affections de longue durée Hospitalisations. Collection «Les études du réseau des ORS» F N O R S Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé ORS de Bretagne, Franche-Comté, Languedoc-Roussillon, Limousin, Pays de la Loire, Rhône-Alpes Le cancer dans les régions de Mortalité

Plus en détail

Conseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou

Conseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer

Plus en détail

Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir

Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de

Plus en détail

soins va changer et quelle est la place des TIC?

soins va changer et quelle est la place des TIC? Pourquoi l organisation des soins va changer et quelle est la place des TIC? Docteur Pierre Simon Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) Luxembourg 15 avril 2010 UN RAPPORT «La place

Plus en détail

HEL-01298-de-0513-0001-21494. Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs

HEL-01298-de-0513-0001-21494. Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs HEL-01298-de-0513-0001-21494 Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs Sommaire 1. Pourquoi des examens préventifs? 3 2. Examens préventifs pour le dépistage des facteurs de risque/maladies du

Plus en détail

1 La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin

1 La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin Pour mieux connaître l état de votre cœur, votre médecin vous a demandé de passer une scintigraphie myocardique au Persantin. Cette fiche explique

Plus en détail

URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor

URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il

Plus en détail

23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement

23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d

Plus en détail

Démarche de prévention des TMS et outils pour l action

Démarche de prévention des TMS et outils pour l action Démarche de prévention des TMS et outils pour l action Ce document a pour objet de présenter de manière synthétique la démarche de prévention des TMS du membre supérieur avec des outils opérationnels permettant

Plus en détail

Déclaration médicale Prise d effet le 1 er octobre 2012

Déclaration médicale Prise d effet le 1 er octobre 2012 Assurance voyage et soins médicaux Déclaration médicale Prise d effet le 1 er octobre 2012 Nom : Date de naissance : JJ / MM / AAAA Numéro de membre : Numéro de police : DIRECTIVES POUR LE PROPOSANT IL

Plus en détail

IMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES

IMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs

Plus en détail

Ensemble, soutenons la recherche française dans le domaine des maladies cardiovasculaires. Té léphone : 01 44 90 70 25

Ensemble, soutenons la recherche française dans le domaine des maladies cardiovasculaires. Té léphone : 01 44 90 70 25 Ensemble, soutenons la recherche française dans le domaine des maladies cardiovasculaires www.coeur-recherche.fr Té léphone : 01 44 90 70 25 La Fondation Cœur et Recherche a été fondée par la Société Française

Plus en détail

Assurance maladie grave

Assurance maladie grave ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès

Plus en détail

QUI PEUT CONTRACTER LA FA?

QUI PEUT CONTRACTER LA FA? MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du

Plus en détail

Prise en charge de l embolie pulmonaire

Prise en charge de l embolie pulmonaire Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix

Plus en détail

Session Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr

Session Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr Session Diagnostic organisme gestionnaire du développement professionnel continu www.cardiosleep.fr UN CONSTAT 1 patient sur 3 est atteint de Troubles Respiratoires du Sommeil (TRS) en cardiologie. Les

Plus en détail

Le cœur est compliqué et il est aussi un organe que travaille très fort (Heart Attack,

Le cœur est compliqué et il est aussi un organe que travaille très fort (Heart Attack, Le cœur est compliqué et il est aussi un organe que travaille très fort (Heart Attack, 2003), et c est la seule sorte de muscle qui peut se contracter régulièrement sans fatigue; tandis que les autres

Plus en détail

Cas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?

Cas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème? Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte

Plus en détail

Photographie statistique des accidents de travail, des accidents de trajet et des maladies professionnelles en France selon le sexe entre 2001 et 2012

Photographie statistique des accidents de travail, des accidents de trajet et des maladies professionnelles en France selon le sexe entre 2001 et 2012 Photographie statistique des accidents de travail, des accidents de trajet et des maladies professionnelles en France selon le sexe entre 2001 et 2012 Des tendances d évolution différenciées pour les femmes

Plus en détail

La prise en charge. de votre affection de longue durée

La prise en charge. de votre affection de longue durée La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin

Plus en détail

Étude NACORA-BR du projet NACORA (nouveaux anticoagulants oraux et risques associés)

Étude NACORA-BR du projet NACORA (nouveaux anticoagulants oraux et risques associés) Étude en vie réelle du bénéfice/risque à court terme des nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran, rivaroxaban) chez les patients débutant un traitement et non précédemment traités par des antivitamines

Plus en détail

Une forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux

Une forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux 27 novembre 2013 Nouveaux anti-coagulants oraux : une étude de l Assurance Maladie souligne la dynamique forte de ces nouveaux médicaments et la nécessité d une vigilance accrue dans leur utilisation Les

Plus en détail

Séquence maladie: insuffisance cardiaque. Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI

Séquence maladie: insuffisance cardiaque. Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI Séquence maladie: insuffisance cardiaque Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI Janvier 2012 Finalité de l atelier: Présentation de la séance Cette séance a pour buts de vous permettre

Plus en détail

Les salariés de l économie sociale et solidaire

Les salariés de l économie sociale et solidaire L'Économie sociale et solidaire Les salariés de l économie sociale et solidaire L'EMPLOI SALARIÉ L ESS, un employeur déterminant de l économie régionale 20 Relative précarité de l emploi dans l ESS 22

Plus en détail

La prise en charge de votre cardiopathie valvulaire

La prise en charge de votre cardiopathie valvulaire G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre cardiopathie valvulaire Vivre avec une cardiopathie valvulaire Décembre 2008 En cas de cardiopathie valvulaire opérée

Plus en détail

SANTÉ Le cœur, en prendre soin!

SANTÉ Le cœur, en prendre soin! Du mardi 4 au mardi 25 février SANTÉ Le cœur, en prendre soin! DOSSIER DE PRESSE É M O T I O N BONHEUR SANTÉ FORME SPORT ENDURANCE CAFÉ DES MOTS SENTIMENT BONHEUR SENTIMENT BONHEUR EXPOSITION SANTÉ SENTIMENT

Plus en détail

Plus d un bénéficiaire sur quatre réside à Toulouse

Plus d un bénéficiaire sur quatre réside à Toulouse Caractéristiques et recours aux soins des populations bénéficiaires de la Couverture maladie universelle complémentaire (CMU_C) : plus jeunes, plutôt féminines et en moins bonne santé En Midi-Pyrénées,

Plus en détail

Les personnes âgées et le système de santé : quelles sont les répercussions des multiples affections chroniques?

Les personnes âgées et le système de santé : quelles sont les répercussions des multiples affections chroniques? Janvier 2011 Les personnes âgées et le système de santé : quelles sont les répercussions des multiples affections chroniques? Introduction Les soins dispensés aux patients souffrant d affections chroniques

Plus en détail

Le cœur et les artères des femmes sont en danger

Le cœur et les artères des femmes sont en danger Le cœur et les artères des femmes sont en danger Dossier de presse Contact Luc-Michel Gorre Association de Cardiologie Nord Pas de Calais Coordination et Communication 03 20 21 07 58 06 16 48 13 35 luc-michel.gorre@orange.fr

Plus en détail

Calendrier des formations INTER en 2011

Calendrier des formations INTER en 2011 Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement

Plus en détail

Journée Santé ESRI France 28/01/2010 La valeur ajoutée des SIG Retours d expériences (PMSI et géomarketing)

Journée Santé ESRI France 28/01/2010 La valeur ajoutée des SIG Retours d expériences (PMSI et géomarketing) Jean-François Mary, Études géographiques Journée Santé - ESRI France - 28/01/10 La valeur ajoutée des SIG dans la santé : Retours d expériences de consultant et de formations (PMSI, Géomarketing) La valeur

Plus en détail

Les différentes maladies du coeur

Les différentes maladies du coeur Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par

Plus en détail

Fibrillation atriale chez le sujet âgé

Fibrillation atriale chez le sujet âgé Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque

Plus en détail

Marchés des groupes à affinités

Marchés des groupes à affinités Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime

Plus en détail

REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES

REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES

Plus en détail

MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC

MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on

Plus en détail

COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE. AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 CONCLUSIONS

COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE. AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 CONCLUSIONS COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 Nom : Modèles et références retenus : Fabricant : Demandeur : Données disponibles

Plus en détail

La main au travail : exemple du syndrome du canal carpien

La main au travail : exemple du syndrome du canal carpien La main au travail : exemple du syndrome du canal carpien 27 Mars 2015 Dr Emilie Chazelle, coordonnateur du programme TMS Institut de veille sanitaire Journées d étude de la Société de Réadaptation du

Plus en détail

Le rapprochement de données de médecine générale et de remboursement de l Assurance maladie : étude de faisabilité et premiers résultats

Le rapprochement de données de médecine générale et de remboursement de l Assurance maladie : étude de faisabilité et premiers résultats n 196 - mars 2014 Reproduction sur d autres sites interdite mais lien vers le document accepté : http://www.irdes.fr/recherche/questions-d-economie-de-la-sante/ 196-le-rapprochement-de-donnees-de-medecine-generaleet-de-remboursement-de-l-assurance-maladie.pdf

Plus en détail

«Boire un verre de vin par jour augmente la longévité.»

«Boire un verre de vin par jour augmente la longévité.» «Boire un verre de vin par jour augmente la longévité.» Boire peu pour boire longtemps. Marcel Aymé Le vin est dans notre pays synonyme de plaisir (gastronomique) ou de déchéance (alcoolique). Le débat

Plus en détail

PROGRAMME. Qu est ce que la sélection? Médicale Non médicale. Tarification et compensation Mortalité, surmortalité Loi des grands nombres

PROGRAMME. Qu est ce que la sélection? Médicale Non médicale. Tarification et compensation Mortalité, surmortalité Loi des grands nombres COMPRENDRE LA SELECTION ET LA TARIFICATION DES RISQUES B1 Durée : 1 journée Niveau Retenir les principes et définitions de base Comprendre les raisons de la sélection et les principes de tarification Faciliter

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

Pour une meilleure utilisation des bases de données nationales pour la santé publique et la recherche. Collection Documents

Pour une meilleure utilisation des bases de données nationales pour la santé publique et la recherche. Collection Documents Pour une meilleure utilisation des bases de données nationales pour la santé publique et la recherche Collection Documents Mars 2012 POUR UNE MEILLEURE UTILISATION DES BASES DE DONNEES ADMINISTRATIVES

Plus en détail

2. Les résultats et prévisions 9 Le patient, le grand gagnant 9 Un réseau plus performant 10 Témoignages 11

2. Les résultats et prévisions 9 Le patient, le grand gagnant 9 Un réseau plus performant 10 Témoignages 11 table des matières 1. L Unité de coordination clinique des services préhospitaliers d urgence (UCCSPU) 4 Mise en contexte 4 Objectifs 4 Un transport bonifié 5 La démarche d implantation 8 La démarche d

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE DE L ASSURANCE MALADIE :

GUIDE PRATIQUE DE L ASSURANCE MALADIE : GUIDE PRATIQUE DE L ASSURANCE MALADIE : Vous trouverez dans ce guide pratique les points essentiels de la réforme de l assurance-maladie : forfait de 1 euro, médecin traitant, aide à l acquisition d une

Plus en détail

PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an

PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an DEFINITION APPAREIL CARDIO-VASCULAIRE Buts : apporter aux organes ce dont ils ont besoin(o2 ) eliminer les déchets(co2.) APPAREIL : Pompe=cœur Tuyaux=artéres/veines PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an

Plus en détail

Pathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013

Pathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode

Plus en détail

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

Automesure de la tension artérielle

Automesure de la tension artérielle Automesure de la tension artérielle Pour mieux surveiller votre santé Illustration Imothep M.-S. Être bien informé, mieux se prendre en charge Souhaitez-vous mesurer vous-même votre tension? Comprendre

Plus en détail

La couverture complémentaire santé des jeunes

La couverture complémentaire santé des jeunes La couverture complémentaire santé des jeunes en France et dans les Pays de la Loire 2013 Décembre www.santepaysdelaloire.com Auteur Sandrine David, Dr Anne Tallec, Observatoire régional de la santé (ORS)

Plus en détail

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de

Plus en détail

MÉMENTO DES AIDES DESTINÉES AUX PERSONNES VICTIMES D UN AVC AVC

MÉMENTO DES AIDES DESTINÉES AUX PERSONNES VICTIMES D UN AVC AVC MÉMENTO DES AIDES DESTINÉES AUX PERSONNES VICTIMES D UN AVC AVC 5 SOMMAIRE Rappel 3 1) Mémento des aides 4 La prise en charge des dépenses de santé 4 L indemnisation en cas d arrêt de travail 5 Le domaine

Plus en détail

Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques

Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)

Plus en détail

Etablissement Français du Sang

Etablissement Français du Sang Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES Document de préparation à l entretien médical préalable au don de sang Partie médicale La sécurité

Plus en détail

Livret d information destiné au patient MIEUX COMPRENDRE LA FIBRILLATION ATRIALE ET SON TRAITEMENT

Livret d information destiné au patient MIEUX COMPRENDRE LA FIBRILLATION ATRIALE ET SON TRAITEMENT Livret d information destiné au patient MIEUX COMPRENDRE LA FIBRILLATION ATRIALE ET SON TRAITEMENT Introduction Votre médecin vous a diagnostiqué un trouble du rythme cardiaque nommé fi brillation atriale.

Plus en détail

Période de recensement 2002 - Répartition par âge des cas. Hôpital test <100 lits. Hôpital test 100 à 499 lits. Hôpital test >= 500 lits

Période de recensement 2002 - Répartition par âge des cas. Hôpital test <100 lits. Hôpital test 100 à 499 lits. Hôpital test >= 500 lits Période de recensement 2002 - Répartition par âge des cas Classe d'âge Nombre de cas 0-9 683 10-19 143 20-29 635 30-39 923 40-49 592 50-59 716 60-69 626 70-79 454 80-89 156 90-99 9 Classe d'âge Nombre

Plus en détail

Point d Information. Le PRAC a recommandé que le RCP soit modifié afin d inclure les informations suivantes:

Point d Information. Le PRAC a recommandé que le RCP soit modifié afin d inclure les informations suivantes: Point d Information Médicaments à base d ivabradine, de codéine, médicaments contenant du diméthyl fumarate, du mycophénolate mofétil/acide mycophénolique, de l octocog alpha, spécialité Eligard (contenant

Plus en détail

prise en charge médicale dans une unité de soins

prise en charge médicale dans une unité de soins Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en

Plus en détail

Les Data Sciences pour la santé: Qui, Quoi, Comment?

Les Data Sciences pour la santé: Qui, Quoi, Comment? Les Data Sciences pour la santé: Qui, Quoi, Comment? Pascal Staccini IRIS Department - School of Medicine of Nice Nice-Sophia Antipolis University UMR 912 - SESSTIM - INSERM et pour quoi faire? Les données

Plus en détail

Précarité sociale et recours aux soins dans les établissements de soins du Tarn-et-Garonne

Précarité sociale et recours aux soins dans les établissements de soins du Tarn-et-Garonne O B S E R V A T O I R E R E G I O N A L D E L A S A N T E D E M I D I - P Y R E N E E S Précarité sociale et recours aux soins dans les établissements de soins du Tarn-et-Garonne Novembre 2007 SYSTEME

Plus en détail

La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral

La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral Vivre avec un accident vasculaire cérébral Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre

Plus en détail

La prise en charge de votre affection de longue durée. Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous?

La prise en charge de votre affection de longue durée. Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous? La prise en charge de votre affection de longue durée Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous? Sommaire Edito Votre prise en charge à 100 % Comment cela

Plus en détail

Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients

Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients Schéma du cœur avec CIA Aorte Artère pulmonaire Oreillette gauche CIA Appendice auriculaire gauche Oreillette droite

Plus en détail

PARTIE I - Données de cadrage. Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale

PARTIE I - Données de cadrage. Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale Indicateur n 9 : Consommation de soins par habitant Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale Le nombre moyen de consultations médicales par habitant

Plus en détail

LE PLAN D ACTIONS RÉGIONAL POUR LE SECTEUR DE L AGROALIMENTAIRE :

LE PLAN D ACTIONS RÉGIONAL POUR LE SECTEUR DE L AGROALIMENTAIRE : La prévention des risques professionnels et l amélioration des conditions de travail LE PLAN D S RÉGIONAL POUR LE SECTEUR DE L AGROALIMENTAIRE : Un outil au service des entreprises et des salariés Dans

Plus en détail

Lecture critique et pratique de la médecine

Lecture critique et pratique de la médecine 1-00.qxp 24/04/2006 11:23 Page 13 Lecture critique appliquée à la médecine vasculaireecture critique et pratique de la médecine Lecture critique et pratique de la médecine Introduction Si la médecine ne

Plus en détail