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6 Stephen Maxwell Kwame Donkor, Ph.D Executive Secretary & Regional Coordinator IGCC/GCLME Project. 5

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20 Fiche projet n Titre du Project Organisme Responsable 001-Cameroun PROMOTION DE LA GESTION ET DE L UTILISATION DURABLE DES RESSOURCES HALIEUTIQUES ET D AUTRES RESSOURCES AQUATIQUES VIVANTES 1) MINRESI-IRAD BP 219 Kribi Cameroun PMB 77 Limbe Cameroun Coût estimatif Durée Global 2) MINEPIA: Direction de la Pêche et de l Aquaculture, Yaoundé-Cameroun 3) MINEP/DSCPR : BP : 320 Yaoundé 3 ans wassouniamadou@yahoo.fr ou mboufack@yahoo.fr US$ Objectifs spécifiques Justification Actualiser la législation en matière de pêche et d autres ressources marines vivantes Promouvoir des mesures incitatives dans la conservation des pêcheries Sensibiliser toutes les parties prenantes sur la nécessité de conserver et d exploiter rationnellement les ressources Renforcer les capacités humaines et infrastructurelles Surveiller et contrôler les activités de pêche Déterminer les zones de pêche et les périodes de repos biologique Développer les autres activités génératrices de revenus Promouvoir les activités aquacoles On constate actuellement dans la zone côtière camerounaise une exploitation irrationnelle des ressources halieutiques et d autres ressources aquatique vivantes. Ceci est lié surtout au non respect des normes de pêche, utilisation des techniques inappropriées de pêche, augmentation de l effort de pêche, boom démographique, destruction des mangroves, insuffisance de connaissance en matière de gestion des ressources, manque de source de source de revenu alternatif pour les communautés côtières, perte de la biodiversité, importante perte postcapture liée à la mauvaise conservation et transformation des produits de pêches etc. Il ressort de ce constat que la gestion des ressources naturelles n est pas durable, ce qui rejoint l analyse globale de la gestion des ressources naturelles du Dr Kenneth Shermann, Père des LME, pour qui la gestion durable des écosystèmes marins et côtiers doit se faire selon une approche ecosystémique et se traduire en bénéfices tangibles sous la forme de: Restauration des captures dans les pêches Réduction de la pollution 19

21 Amélioration de la santé humaine Réhabilitation de l environnement côtier Activités Révision et renforcement de l application des normes juridiques existantes Mise en place des mesures incitatives pour l implication de toutes les parties prenantes (pêcheurs nationaux et autres) Sensibilisation des parties prenantes sur la valeur et l importance de la conservation des ressources halieutiques et autres ressources aquatiques vivantes Renforcement des capacités (Recherche, équipement, formation et financement) pour la gestion rationnelle des ressources halieutiques et autres Surveillance et contrôle des activités de pêches (exportation anarchique, pêche illicite ) Institution des périodes de repos biologique pour la pêche Développement des autres activités génératrices de revenus (aquaculture côtière et de la mariculture ) 20

22 Fiche projet n Titre du Project Localisation Organisme Responsable Cameroun GESTION INTÉGRÉE DE LA ZONE CÔTIÈRE DE LA PÉNINSULE DE BAKASSI la Péninsule de Bakassi Madame FOSI MBANTENKHU Mary Tel: (237) mary_fosi@yahoo.com Partenaires financiers Coût estimatif Durée Objectifs Objectifs spécifiques Global 3 ans MINEP/DSCPR: BP 320 Yaoundé wassouniamadou@yahoo.fr ou mboufack@yahoo.fr US$ Conserver et promouvoir l utilisation durable des ressources existantes de la Péninsule de Bakassi au Cameroun pour l amélioration de la qualité de l environnement et de la vie des populations Mise en place d une unité de gestion et de coordination du projet Renforcement du cadre légal et institutionnel pour donner plus d autorité aux femmes et aux jeunes Promouvoir une coopération, un partenariat et la collaboration entre les départements efficaces et effectifs entre l Etat, le secteur privé et la société civile Développer un programme de l éducation environnementale pour renforcer l éducation environnementale de base et court terme ou informatique de base Renforcer les capacités existantes et augmenter la capacité locale pour mener la gestion et la formation dans la Péninsule de Bakassi Mise en œuvre des mesures du contrôle de la pollution et de la gestion des déchets dans le but de minimiser les rejets en zone côtière Développer un programme à long terme pour la gestion durable de la zone côtière et de ses ressources Plan de gestion des stocks de poissons et protection des zones de pêche Gestion des mangroves à travers la régénération et les aires protégées Réduire la pauvreté de la Péninsule et de la zone côtière à travers des initiatives proactiv es qui génèrent des options du bienêtre durable Préserver, protéger ou promouvoir les ressources culturelles et historiques Développer le réseau existant de données et d information et les systèmes de gestion à travers le renforcement des capacités, 21

23 Justification Activités l amélioration des infrastructures et la gestion institutionnelle Réduire les impacts de la pollution en zone côtière et leur habileté à supporter les bénéfices des utilisateurs humains Parmi ces contraintes de gestion durable des ressources on peut citer: l insuffisance des études scientifiques sur l évaluation des stocks halieutiques et le risque de surexploitation des stocks de poissons la destruction des frayères par des engins traînants (chalut à bœuf), la pêche dans les zones interdites et le non respect de la réglementation en matière de pêche l exploitation irrationnelle et intensive de la mangrove pour le fumage du poisson et la crevette à cause de l utilisation des fumoirs traditionnels source de fumée nocive et de déperdition d énergie la faible implication des communautés locales dans la gestion des ressources naturelles l utilisation rampante des méthodes de pêche destructive, le non respect de la législation en matière de pêche l existence des risques importants de pollution de l environnement marin et côtier liés aux activités d exploration et de production pétrolières qui prolifèrent dans la région le rétrécissement de la terre ferme sous l effet de l érosion marine, l ensablement et le relèvement du niveau marin Il est donc nécessaire de mener des actions de gestion intégrée dans la zone côtière de la Péninsule de Bakassi. Pour assurer la gestion rationnelle et durable des ressources halieutiques et de la mangrove: Identifier et baliser les zones protégées Renforcer le dispositif actuel de collecte des données statistiques Former les acteurs en gestion rationnelle des ressources naturelles locales Constituer et encadrer les comités de surveillance participative Equiper les comités de surveillance de la logistique nécessaire Renforcer le dispositif actuel de contrôle et de surveillance des eaux Négocier une convention sectorielle de coopération en pêche avec le Nigeria Conduire des évaluations des stocks halieutiques tous les 10 ans Conserver et promouvoir l utilisation soutenue des ressources existantes dans la zone de Bakassi Suivi des pollutions provenant des activités d exploration et de production du pétrole Elaborer des nouvelles législations et mettre en place un mécanisme de coordination parmi les différents secteurs impliqués dans l utilisation de la zone côtière Générer les mécanismes pour résoudre les conflits Pourvoir des informations scientifiques techniques et adéquates 22

24 aux décideurs Mettre en place des politiques réalistes et simples pour l éducation et la participation du public Pourvoir une plateforme pour le Cameroun et la réplicabilité dans d autres pays pour tester l efficacité du concept GIZC Placer la zone sur une base solide de Développement durable Réduire la pauvreté et améliorer le bienêtre des populations Fiche projet n Titre du Project Organisme Responsable Cameroun LUTTE CONTRE L EXPLOITATION ANARCHIQUE DES FORETS LITTORALES (MANGROVE ESSENTIELLEMENT) MINEP Direction de la promotion et de la pretection des ressources naturelles Yaoundé, Cameroun. Coût estimatif Objectifs spécifiques Justification MINEP DSCPR B.P. 320 Yaoundé, Cameroun wassouniamadou@yahoo.fr ou mboufack@yahoo.fr Global US $ Sensibiliser les communautés locales sur les dispositions de gestion des forêts de mangrove Etablir les systèmes de gestion communautaire des mangroves Promouvoir le reboisement/régénération des mangroves Vulgariser l utilisation des foyers améliorés dans les zones de mangroves Le terme mangrove se réfère habituellement à un complexe de zones humides influencées par les marées et constituées de forêts marécageuses et autres habitats associés dans la zone intertidale sous les latitudes tropicales et subtropicales (Banque Mondiale, 2004). Au Cameroun comme partout dans le monde, les écosystèmes forestiers de mangrove subissent des dégradations anthropiques de toutes sortes et de diverses amplitudes (FAO, 1994; Ellison and Farnsworth 1996; Valiela et al. 2001). La pression démographique provoque leur destruction et son influence s accentue dans des zones non protégées, surtout au voisinage des agglomérations où les problèmes fonciers et la pauvreté poussent les populations à occuper des espaces libres à faibles coûts. Cette croissance démographique intensifie la pression sur les ressources et les mesures de contrôle deviennent indispensables. L exploitation du bois dans les mangroves est une activité dévastatrice dès lors que les lois du marché supplantent les besoins ordinaires de consommation des populations. L amélioration des revenus étant une quête permanente de l homme, l exploitation libre et gratuite des ressources naturelles conduit toujours à leur dégradation totale et à celle de l écosystème à moyen terme. 23

25 Du fait de la pauvreté, plusieurs consommateurs sont incapables de payer les sources d énergie modernes (Nicole et al. 1994; Saenger et Bellan 1995; Din 2001) et vont se concentrer sur le bois des mangroves, spécialement Rhizophora qui est très prisé du fait de sa grande valeur calorifique. Dans les villes côtières, le commerce du bois rouge provenant des mangroves est apparu comme une activité florissante. Un autre facteur accélérateur fut la modernisation du matériel de coupe par l introduction de tronçonneuses et parfois de grosses pirogues propulsées par des moteurs hors-bords (Din et Blasco 1998). Ainsi des générations de communautés littorales ont toujours perçu la mangrove comme une réserve naturelle de bois de chauffe, de bois d œuvre pour la construction des habitats et des pirogues, une réserve au service de la pharmacopée. La sécurité alimentaire est liée à l existence des mangroves où les populations exploitent les crevettes, les huîtres et autres espèces de mollusques à coquille ; la pêche commerciale et la pêche de subsistance qui constituent l activité importante des communautés littorales au Cameroun dépendent de la vitalité des mangroves. La pêche constitue en effet l activité principale des communautés côtières traditionnelles dans lesquelles elle est perçue d abord comme une activité culturelle avant les besoins économiques. Malgré le rôle primordial que les mangroves et les systèmes connexes jouent dans les pêcheries (Robertson et Duke 1987; Primavera 1998), les autorités qui gèrent les pêches n apportent pas beaucoup de solutions sur leur protection et conservation. Enfin, la mangrove offre une multitude de milieux propices à l'alimentation et au développement des poissons, des crustacés et des mollusques dont elle constitue un lieu de reproduction. Elle constitue la base de la productivité des eaux marines, et l arrière mangrove recèle de bonnes potentialités pour l'aquaculture en eaux saumâtres (Youmbi et al.1991). Elle constitue également un élément de stabilisation de la côte en formant une barrière contre l avancement du front de mer (érosion côtière) et constitue un énorme potentiel en termes de ressources ligneuses, aquatiques et d espèces d animaux marins. L écosystème mangrove offre les services suivants: Modération des effets des tempêtes et des cyclones côtiers Effet de réservoir à nutriments et réduction des quantités excessives de polluants Piégeage des sédiments des ruissellements des hautes terres, réduisant la turbidité de l'eau opportunités en matière d'enseignement, de recherche scientifique, de loisirs et d'écotourisme La détérioration des écosystèmes de mangrove serait donc une véritable catastrophe écologique pour le Cameroun. L absence d utilisation des ressources peut aussi devenir un inconvénient. La 24

26 dynamique naturelle progressive des mangroves peut aboutir à l obstruction des voies d eau, perturbant ainsi la navigation et éloignant les zones de pêche. La préservation des mangroves ne signifie pas forcément une protection intégrale exempte de toute activité anthropique. Il est donc primordial de protéger les mangroves dans le contexte local et en associant de manière participative les populations locales qui utilisent quotidiennement les produits de cet écosystème. Activités Sensibilisation des communautés locales sur les dispositions de gestion communautaire des forêts Mise sur pied des systèmes de gestion communautaire des mangroves et des forêts côtières Promotion des reboisements côtiers Vulgarisation des foyers améliorés dans les zones de forêts communautaires de mangroves créées 25

27 REPUBLIQUE DU CONGO 26

28 Fiche projet n 001 République du Congo Priorité Titre du Project Localisation Organisme Responsable Partenaires nationaux Partenaires extérieurs Partenaires Techniques et Scientifiques Partenaires financiers Coût estimatif Global Aménagement des Ressources des Petits Pélagiques côtiers (Sardinelles) Partagées entre les Quatre Pays du Sud du GCLME (Angola, Congo, DR Congo and Gabon) CONSERVATION ET GESTIO N DE LA RESSOURCE DES PETITS PELAGIQUES COTIERS Pointe-Noire (Congo-Brazzaville) Ministère du Développement Durable, de l Economie Forestière et de l Environnement Ministère de l Economie et des Finances, Ministère de l Administration du Territoire et de la Décentralisation, Ministère de l Urbanisme et de l Habitat, Ministère de l Hydraulique et de l Energie, Ministère des Affaires Etrangères, Ministère de la Pêche et de l Aquaculture, Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, Ministère de l Industrie, des Petites et Moyennes Entreprises, Ministère du Tourisme et de l Hôtellerie, Ministère du Transport et Travaux Publics, Ministère de la Défense Nationale, Ministère de la Communication, Ministère de la Santé, ONG compétentes en la matière, Communautés locales. FAO, COREP, PNUE, UICN, NORAD, ACP FISH II FAO, PNUE, UICN, WWF, COREP, GTZ, UNESCO, IRD, GERSEN, UROCB, GRDIB, CNUCED, ACCT, CRDI, CECA, ONG compétente en la matière FEM, PNUD, FEMF, USAID, BAB, FIDA, CFD, JICA, ACDI, BID, UE, DANIDA, Banque Mondiale, BADEA, FIDA, Coopération Française, UNICONGO, AOPC (SNPC,ENI- CONGO,TOTAL E&P, MAUREL & PROM), CORAF, Fondations, ONG compétentes en la matière ) US$ Durée Objectifs Objectifs spécifiques 6 ans Gestion durable des stocks des petits pélagiques partagés pour éviter la surexploitation et l effondrement possible des ressources et apporter une fondation qui permette à la gestion des pêcheries de continuer à progresser vers un cadre de gestion plus intégré. Améliorer la connaissance sur l état des ressources des petits pélagiques côtiers (Sardinella) partagés dans la sous-région Renforcer la coopération entre les quatre pays sur la gestion des ressources Minimiser tous les impacts négatifs des effets des opérations de pêche sur l environnement marin Améliorer la prise de décision en relation avec la gestion des pêcheries à travers un réseau d information et de communication efficace 27

29 Justification Activités Pendant la dernière décade les quatre pays - Angola, Congo, DR Congo and Gabon - ont rehaussé la coopération entre eux, améliorer leur connaissance et renforcer l échange d expérience concernant les pêcheries de Sardinelles. Les ressources de Sardinelles sont les stocks transfrontaliers et font une contribution socio-économique très significative dans ces pays. Les pays vont perdre d importantes opportunités actuellement et dans le futur, en terme de surexploitation et l effondrement possible des pêcheries, s ils ne s accordent pas pour mettre ensemble les efforts pour la gestion rationnelle des stocks et des pêcheries dans les eaux sous leurs juridictions nationales. Activités de Recherche Halieutique: Revue et synthèse de la littérature disponible sur la ressource partagée de petits pélagiques côtiers (Sardinella) Collecte des données statistiques (artisanale, semi-industrielle et industrielle) Mettre en place un système d échantillonnage biologique sur les sites de débarquement de pêche Etablir une base des données par pays Entreprendre/Participer aux campagnes transfrontalières annuelles (Stratégies d échantillonnage pour les campagnes) Actualisation régulière des méthodes d évaluation des stocks et d effort de pêche en se référant au groupe de travail du Souscomité scientifique de COPACE relative à l information sur la ressource partagée des Sardinelles Activités Aménagement des Pêcheries: Echanger les informations sur tous les bateaux autorisés de pêcher les pélagiques dans les 4 pays Renforcer la coopération entre les pays sur le système MCS (VMS, registre des navires, mission de contrôle en mer, journal de bord, arraisonnement, observateurs à bord, inspection au port, échange d information, etc) Harmoniser les réglementations de pêche en vigueur (prévenir l augmentation excessive de bateaux de pêche dans la sousrégion) Echanger les points de vue et information sur les accords de pêches des pélagiques, conformément aux résultats de l atelier de la CICG/WWF sur les Accords de pêches Coopérer dans la prévention des activités qui réduisent les efforts de gestion durable des stocks partagés (mettre en œuvre des dispositions appropriées d IPOA-INN Utiliser le Comité Régional de Pêche (COREP) comme unité de coordination de Sardinelles auprès du Secrétariat de la CICG Promouvoir l atténuation des impacts de la pêche dans des zones 28

30 sensibles en utilisant l approche écosystémique des pêches Les dispositions institutionnelles: Désigner un Point focal au niveau national (PFN) pour les Sardinelles sous-tutelle du groupe de travail du sous-comité scientifique du CECAF pour le sud Renforcer les liens entre la finance et la pêche ainsi que les institutions environnementales Promouvoir l engagement effectif des parties prenantes dans le domaine marin Renforcer la capacité dans le secteur de pêche (formation des chercheurs et des administratifs de pêche, MCS staff, organisation des ateliers, des séminaires sur les problèmes relevés) Adopter des mesures de gestion au niveau sous-régional basées sur les activités du groupe de travail scientifiques de CECAF pour le sud Etablir la gestion participative pour la mise en place des décisions de COREP sur les ressources de petits pélagiques côtiers (Sardinella) partagées Créer un site web pour la gestion partagée des ressources des petits pélagiques côtiers partagées Fiche projet n Priorité Titre du Project Localisation Organisme Responsable Partenaires nationaux Partenaires extérieurs Partenaires Techniques Scientifiques et 002 Republique du Congo PREVENTION ET GESTION DE LA POLLUTION MARINE Pointe-Noire (Congo-Brazzville) Ministère de l Economie forestière, de l Environnement et du développement Durable Ministère de l Economie et des Finances, Ministère de l Administration du Territoire et de la Décentralisation, Ministère de l Urbanisme et de l Habitat, Ministère de l Hydraulique et de l Energie, Ministère des Affaires Etrangères, Ministère de la Pêche et de l Aquaculture, Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, Ministère de l Industrie, des Petites et Moyennes Entreprises, Ministère du Tourisme et de l Hôtellerie, Ministère du Transport et de la Marine marchande, Travaux Publics, Ministère de la Défense Nationale, Ministère de la Communication, Ministère de la Santé, ONG compétentes en la matière, Communautés locales UNESCO/COI/IOCEA, UNICN, IPIECA, PNUE FAO, PNUE, UICN, WWF, GTZ, UNESCO, IRD, SNR, GERSEN, UROCB, GRDIB, ONG compétente en la matière 29

31 Partenaires financiers Coût estimatif Global FEM, PNUD, FEMF, USAID, BAB, FIDA, CFD, JICA, ACDI, BID, UE, DANIDA, Banque Mondial, FIDA, Coopération Française, AOPC(CHEVRON,SOCO, MOBIL,SNPC,ENI- CONGO,TOTAL E&P,MAUREL&PROM ), CORAF, Fondations, ONG compétentes en la matière (UNESCO/COI) US$ Durée Objectifs spécifiques Justification 5 ans Gérer les pressions sur la diversité biologique par la réduction de leurs impacts Renforcer la conservation in-situ de la diversité biologique Favoriser la protection des écosystèmes et des habitats naturels, ainsi que le maintien des populations viables d espèces dans leur milieu naturel Développer des outils législatifs appropriés pour soutenir la mise en œuvre de la convention Mettre en place un plan d intervention d urgence pour contenir les marées noires Contrôler et réduire les sources de pollution d origine pétrolière et des effluents industriels Parmi les pressions humaines sur la diversité biologique marine, la pollution tant urbaine qu industrielle est l une des plus préoccupantes de nos eaux côtières constituant ainsi un danger pour la sécurité des écosystèmes naturels et la santé humaine. En sa qualité de pays pétrolier, le Congo vit chaque année des déversements d hydrocarbures en mer et à terre, lors du transport des huiles vers le terminal pétrolier de Djéno, la raffinerie de Pointe- Noire ou au moment du chargement du brut. La ville de Pointe-Noire se distingue par l importance des industries qui utilisent des produits chimiques dans le traitement des métaux, dans le nettoyage des installations industrielles et dans la lutte contre la corrosion. Les industries pétrolières les utilisent également ; ce sont les inhibiteurs de corrosion, anti-mousses, méthanol, glycol, détergent et solvant. Les industries agro-alimentaires rejettent leurs effluents dans le drainage urbain; l unité d exploitation forestière (FORALAC) déverse ses déchets issus de transformation des bois (copeaux) dans le fleuve Kouilou. La sylviculture dans la zone côtière utilise des quantités importantes qui contaminent les eaux douces dans les zones d activités sylvicoles. Les sites sont pollués ; les lagunes, les lacs et les rivières en sont souvent les réceptacles. Le cadre juridique Congolais ; sa loi fondamentale n 003/91 /du 13 avril 1991 sur la protection de l environnement prend en compte tous ces aspects suivant : la biodiversité, la lutte contre la pollution 30

32 par les hydrocarbures, la protection et la mise en valeur du milieu marin et des zones côtières. D autres textes encore plus spécifiques concernant des domaines particuliers notamment les hydrocarbures, la marine marchande renforcent le cadre juridique de l environnement marin et côtier. Le Plan National d Action Environnementale reste un document de référence, auquel s ajoute le Plan National d Intervention d Urgence spécifique au milieu marin et côtier. Etant entendu que les services administratifs habilités dans la gestion des sinistres ne disposent pas de moyens matériels de lutte antipollution, il revient aux sociétés pétrolières de traiter et recueillir des huiles déversées. Il est difficile de circonscrire la responsabilité du pollueur. Activités Le Plan National d Intervention d Urgence en cas de pollution par les hydrocarbures n est pas encore mis en œuvre pour des raisons évidentes liées aux obstacles dressées par certaines institutions publiques et privées existantes. Ainsi ce projet est un outil de plus dans la gestion des pollutions marines tant sur le plan local que sous régional. Création d un cadre de concertation regroupant les acteurs des activités socioéconomiques-industriels, les communautés locales pour la conservation des Écosystèmes côtier et marin Renforcement des capacités humaines, matérielles et techniques des structures de gestions Recueil et analyse des informations disponibles sur la question Identification et cartographie des zones sensibles Promotion de toutes les formes d éducation, de sensibilisation et d information sur la pollution marine et côtière 31

33 Fiche projet n Priorité Titre du Project Organisme Responsable 003 Republique du Congo Contrôle et gestion des déchets CREATION D UNE INSTALLATION POUR LA RECEPTION ET LA GESTION DES DECHETS DES NAVIRES Ministère de l Economie Forestière, des Eaux et Forêts et du développement Durable Partenaires Techniques et Scientifiques UNESCOCOI, FAO, PNUE, UICN, EFC, CERVE, GERDIB, WWF, GTZ, UNESCO, IRD, GERSEN, UROCB Partenaires financiers Coût estimatif OMI, FEM, PNUD, FEMF, ONUDI, PNUE,USAID, BAB, FIDA, CFD, JICA, ACDI, BID, UE, DANIDA, Banque Mondiale, BADEA, FIDA, Coopération Française, AOPC,(CHEVRON, SOCO, MOBIL,SNPC, ENI- CONGO,TOTAL E&P, MAUREL&PRO M), CORAF, Fondations, ONG compétentes en la matière Global US $ Détaillé Estimation du coût (en millers de dollars américains) Activités Total Année Année Année Année Identification et évaluation des principales sources de pollution Renforcement des capacités humaines, matérielles et techniques des structures habilitées Elaborer un plan de gestion Elaboration d un plan d urgence de lutte contre la pollution Développer des outils législatifs appropriés pour soutenir la mise en œuvre de la

34 Durée 4 ans convention Promotion de toutes les formes d éducation, de sensibilisation et d information sur la pollution marine et côtière Suivi et évaluation Total Objectifs Justificati on Contribuer à l assainissement du littoral congolais et assurer le contrôle et la surveillance des déversements des produits et déchets par les navires. Parmi les pressions humaines sur la diversité biologique marine, la pollution tant urbaine qu industrielle est l une des plus préoccupantes de nos eaux côtières constituant ainsi un danger pour la sécurité des écosystèmes naturels et la santé humaine. En sa qualité de pays pétrolier, le Congo vit chaque année des déversements d hydrocarbures en mer et à terre, lors du transport des huiles vers le terminal pétrolier de Djéno, la raffinerie de Pointe-Noire ou au moment du chargement du brut. La ville de Pointe-Noire se distingue par l importance des industries qui utilisent des produits chimiques dans le traitement des métaux, dans le nettoyage des installations industrielles et dans la lutte contre la corrosion. Les industries pétrolières les utilisent également; ce sont les inhibiteurs de corrosion, anti-mousses, méthanol, glycol, détergent et solvant. Les industries agro-alimentaires rejettent leurs effluents dans le drainage urbain; l unité d exploitation forestière (FORALAC) déverse ses déchets issus de transformation des bois (copeaux) dans le fleuve Kouilou. La sylviculture dans la zone côtière utilise des quantités importantes qui contaminent les eaux douces dans les zones d activités sylvicoles. Les lagunes, les lacs et les rivières en sont souvent les réceptacles. Le cadre juridique Congolais par sa loi fondamentale n 003/91 /du 13 avril 1991 sur la protection de l environnement prend en compte tous ces aspects suivant la biodiversité, la lutte contre la pollution par les hydrocarbures, la protection et la mise en valeur du milieu marin et des zones côtières. D autres textes encore plus spécifiques concernant des domaines particuliers notamment les hydrocarbures, la marine marchande renforcent le cadre juridique de l environnement marin et côtier. Le Plan National d Action Environnementale reste un document de référence, 33

35 auquel s ajoute le Plan National d Intervention d Urgence spécifique au milieu marin et côtier. Etant entendu que les services administratifs habilités dans la gestion des sinistres ne disposent pas de moyens matériels de lutte antipollution, il revient aux sociétés pétrolières de traiter et recueillir des huiles déversées. Il est difficile de circonscrire la responsabilité du pollueur. Activités D où l importance de ce projet de créer une installation pour la réception et la gestion des déchets des navires et autres pollutions associées. Identification et évaluation des principales sources de pollution Renforcement des capacités humaines, matérielles et techniques des structures habilitées Elaborer un plan de gestion Elaboration d un plan d urgence de lutte contre la pollution Développer des outils législatifs appropriés pour soutenir la mise en œuvre de la convention Promotion de toutes les formes d éducation, de sensibilisation et d information sur la pollution marine et côtière Suivi et évaluation Fiche projet n 004 Republique du Congo Priorité Contrôler et Assurer une protection raisonnable et primordiale pour la conservation du milieu marin et côtier. Titre du Project CREATION D UN OBSERVATOIRE DU MILIEU MARIN ET COTIER Organisme Responsable Ministère de l Economie Forestière, des Eaux et Forêts et du développement Durable Partenaires nationaux Ministères des transport et de la Marine Marchande, Ministère de a défense, Ministère des Hydrocarbures, Ministère de l Economie et des Finances, Ministère de l Administration du Territoire et de la Décentralisation, Ministère de l Urbanisme et de l Habitat et travaux publiques, Ministère de l Hydraulique et de l Energie, Ministère des Affaires Etrangères, Ministère de la Pêche et de l Aquaculture, Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, Ministère de l Industrie, des Petites et Moyennes Entreprises, Ministère du Tourisme et de l Hôtellerie, Ministère du Transport et de la Marine Marchande, Ministère des Hydrocarbures, Ministère de la Défense Nationale, Ministère de la Communication, Ministère de la Santé, ONG compétentes en la matière, Communautés locales Partenaires extérieurs UNESCO/COI, FAO, PNUE, UICN, WWF, GTZ, IRD, GERSEN, UROCB, ONG Partenaires financiers O.M.I, FEM, PNUD, FEMF, ONUDI,PNUE,USAID, BAB, FIDA, CFD, JICA, ACDI, BID, UE, DANIDA, Banque Mondiale, BADEA, FIDA, Coopération Française, AOPC,(CHEVRON, SOCO, MOBIL, SNPC, ENI-CONGO, TOTAL E&P, (MAUREL&PROM ), CORAF, Fondations, ONG compétentes en la matière Coût Global US$ 34

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