TRAITEMENT ET PRISE EN CHARGE DE LA MALADIE D ALZHEIMER
|
|
- Jean Lambert
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 TRAITEMENT ET PRISE EN CHARGE DE LA MALADIE D ALZHEIMER Pr B. de WAZIERES Service de Médecine Interne et Gériatrie Centre Hospitalier Universitaire - NIMES
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11 Nombre de Patient Dément dans le Gard Projection 2010 Population des plus de 75 ans dans le Gard Dément
12 PISTES DE PRÉVENTION 1. Les facteurs de risques vasculaires actuellement, seul le traitement de l hypertension a confirmé une efficacité sur la prévention de la démence dans des études prospectives randomisées (Études SYST-EUR et PROGRESS) les AVC sont un facteur de risque de démence, la démence est un facteur de risque d AVC
13 PISTES DE PRÉVENTION 2. Autres facteurs Il a en effet été trouvé que les personnes ayant un haut niveau d'éducation et celles pratiquant certaines activités de loisirs développeraient la maladie plus tardivement Les personnes célibataires ou ayant un faible entourage social semblent plus à risque de développer une démence Une consommation modérée de vin, une consommation régulière de poisson, ainsi qu'une consommation suffisante de fruits et légumes, pourraient être associées à un risque moindre de développer la maladie La pratique de la marche ou du sport pourrait aussi être associée à un risque moindre de développer une démence
14 ALZHEIMER : Facteurs de risque Certain Probable Possible facteurs aluminium, anti- Douteux Âge, Apo E4 Sexe,vie active, facteurs vasculaires, niveau d'étude dépression, taille de la tête, nutritionnels, alcool, réseau social, œstrogènes, inflammatoires, Traumatisme crânien, profession
15 3. Essais thérapeutiques de prévention Hypolipémiants. Le Cholesterol Des études observationnelles ont montré un effet bénéfique sur le déclin cognitif Oestrogènes l'anaes ne recommande pas la prise d'un traitement hormonal substitutif pour la prévention des démences à l heure actuelle. le THS est surtout utile au moment de la ménopause, au moment où la déplétion en oestrogène pourrait avoir les conséquences les plus importantes sur les neurones Anti-inflammatoires non stéroïdiens Bénéfiques mais trop toxique par ailleurs
16 4. Trouble cognitif léger Mild Cognitive Impairment Les essais d inhibiteurs de l acétylcholinestérase (IAChE), ne sont pas très concluants. Un essai n'a pas mis en évidence d'efficacité de la vitamine E (vitamine anti-oxydante) sur l'évolution vers une démence dans une population de sujets ayant un MCI
17 1. Le traitement médicamenteux des malades d Alzheimer en France La proportion de sujets présentant une maladie d Alzheimer et traités atteindrait 62% dans la tranche d âge des 75 à 79 ans, ne serait plus que de 22,9% dans la tranche d âge des 85 à 89 ans et seulement de 10,2% dans celle des sujets âgés de 90 ans et plus.
18 LES MÉDICAMENTS DES TROUBLES COGNITIFS DE LA MALADIE D ALZHEIMER La mise sur le marché de la tacrine en 1994 (prix fixé en 1995), premier inhibiteur d acétylcholinestérase (IAChE) enzyme dégradant l acétylcholine a été une vraie révolution Les IAChE de 2 e génération (donépézil et rivastigmine AMM 1997, prix fixés en 1998, puis galantamine AMM 2001) bien mieux tolérés et non toxiques, ont conduit au retrait de la tacrine. Il a été montré que l interruption au-delà de trois semaines ou six semaines d un traitement par donépézil s accompagne d un déclin cognitif tel que le patient retrouve l état cognitif qu il aurait eu sans avoir jamais été traité
19 1. Les inhibiteurs de la cholinestérase Les IAChE ont obtenu l AMM dans la MA légère à modérée. La définition de la démence légère à modérée retenue lors de la mise sur le marché des IAChE concerne les sujets déments pour lesquels le score au MMS est compris entre 10 et 26.
20 a) Le donepezil ARICEPT Il est conditionné en comprimés de 5 mg et 10 mg. La posologie recommandée est de 5 à 10 mg en une prise quotidienne. le plus vendu en France (55% de parts de marché) Les effets indésirables graves, essentiellement des troubles du rythme cardiaque, sont rares. L essentiel des effets indésirables comprend troubles digestifs, pertes de poids, céphalées et asthénies.
21 b) La rivastigmine EXELON Elle est conditionnée en gélules de 1,5mg, 3mg, 4,5mg et 6mg et en solution buvable à 2mg/mL. La posologie recommandée est de 6 à 12 mg en deux prises quotidiennes. Les effets indésirables de la rivastigmine sont du même ordre que ceux du donepezil. Il s agit essentiellement de céphalées, d asthénie et de troubles digestifs. Leur fréquence serait supérieure de 1 à 10% à celle observée sous placebo.
22 c) La galantamine REMINYL Elle est conditionnée en comprimés de 4 mg, 8 mg et 12 mg, et en solution buvable dosée à 4 mg/ml. La posologie recommandée est de 16 à 24 mg par jour en deux prises. Les effets indésirables de la rivastigmine sont comparables à ceux du donepezil. Il s agit essentiellement de céphalées, d asthénie et de troubles digestifs. Leur fréquence serait supérieure de 7 à 18% à celle observée sous placebo.
23 2. La mémantine EBIXA La mémantine (EBIXA) a reçu l AMM en France en Son mécanisme d action est différent de celui des IAChE. Elle est indiquée dans la MA modérément sévère à sévère et est conditionnée en comprimés de 10 mg et en solution buvable à 10 mg/g. La posologie recommandée est de 20 mg par jour en deux prises. La mémantine est assez bien tolérée. Ses effets indésirables principaux sont à type de vertige, céphalée et asthénie, plus rarement d hallucination et de confusion.
24 3. Synthèse des traitements existants La mise sur le marché de ces médicaments a été le catalyseur de l émergence de la maladie d Alzheimer en tant que problème de santé publique et la surveillance des traitements a révélé pour beaucoup l intérêt d un suivi des patients pour prévenir les situations de crise. Dans les consultations mémoire, la majorité des praticiens sont convaincus de l efficacité et de l utilité de ces produits. Il est indispensable que des études se développent sur l efficacité à long terme, jugée sur des critères crédibles, cliniquement pertinents, comme par exemple la survie sans démence sévère. Enfin il est également important de savoir s il faut, et quand arrêter ces médicaments.
25 4. Traitements étiologiques : prospective a) Thérapeutiques anti-amyloïdes («vaccination» par injection sous-cutanée produisant des anticorps qui, après avoir traversé la barrière hémato-encéphalique vont éliminer les dépôts amyloïdes) b) Thérapeutiques neuroprotectrices La recherche fondamentale cherche à élucider les étapes qui conduisent à la mort cellulaire.
26 B. LES MÉDICAMENTS DES TROUBLES NON COGNITIFS DE LA MALADIE D ALZHEIMER 1. Le traitement des troubles de l humeur : Inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS)
27 B. LES MÉDICAMENTS DES TROUBLES NON COGNITIFS DE LA MALADIED ALZHEIMER 2. Le traitement des troubles du comportement : Rechercher un syndrome confusionnel et sa cause Les neuroleptiques ne doivent plus être utilisés dans la démence.
28 Agitation Accès maniaque Bouffée délirante aigue Épisode psychotique Syndrome confusionnel Syndrome démentiel
29 Agitation Parfois possibilité de contact et examen clinique, maintient de la relation avec contact oral Dans les cas extrêmes : contention physique Sédation médicamenteuse La voie orale est souvent suffisante Injectable si nécessaire Par voie IM car pratique (mais pas plus rapide!)
30 Agitation Trois critères de choix du médicament : Rapidité d action Absence d effet indésirable grave après une injection unique Facilite d emploi, conditionnement urgence
31 Neuroleptique Injectable Butyrophenone. Phenothiazines. Droleptan R Haldol R Nozinan R Benzamides. Tiapridal R Solian R Diazepine. Loxapac R
32 Neuroleptiques Effets anticholinergique Rétention urinaire Glaucome Délire toxique Effets cardiovasculaires Hypotension Bradycardie Confusion Malaise et chutes Torsades de pointes/trouble du rythme Vent. Troubles extrapyramidaux Akathisie «incapacité de s asseoir» Dystonies
33 Benzodiazépines Injectable Clorazepate (tranxene ) R Diazepam (valium ) R Lorazepam (temesta R ref. mais pas en France) Meprobamate Hydroxyzine Equanil R Atarax R
34 Benzodiazépines Dépression respiratoire Confusion Sédation
35 Choix dans l urgence Déments Haldol R 1 mg (0.7 à 2.4 ) Tiapridal R Psychotiques Haldol R 5 mg États confusionnels Haldol R 1 à 2 mg toute les deux à quatre heures
36 Les Nouveaux Antipsychotiques Clozapine Tiapride Risperidone Olanzapine Quetiapine Leponex R Tiapridal R Risperdal R Zyprexa R
37 Les Nouveaux Antipsychotiques Clozapine Leponex R Agranulocytose Parkinson
38 Les Nouveaux Antipsychotiques Olanzapine Zyprexa R Demi vie longue (51 h chez la PA saine!) Peu de travaux gériatrique Forme galénique Velotab Pas de goutte! Réserve majeure de l ANAES et contre indication par l AFSSAPS
39 Les Nouveaux Antipsychotiques Risperidone Risperdal R X publications chez la personne âgées Demi vie courte (3 à 24 h) Tolérance (parkinson?) Dose consensuelles 0.25 mg à 2 mg/j
40 Les Nouveaux Antipsychotiques Les précautions restent les mêmes : Syndromes malin Démence a corps de Lewy Jamais de forme retard Dyskinésie, syndrome extrapyramidal
41 Les Nouveaux Antipsychotiques Discuter l indication Bien connaître la molécule Faible posologie Et réévaluer le tt Arrêt si Tp Attention aux associations! Primperan R, motilium R, plitican R, agreal R
42 C. LE TRAITEMENT MÉDICAMENTEUX DES AUTRES DÉMENCES Le traitement des autres démences les plus fréquentes repose sur les IAChE (et la mémantine pour les démences vasculaire) à l exception notable de la démence frontotemporale où ils peuvent aggraver les troubles.
43 D. PRINCIPAUX TRAITEMENTS NON MÉDICAMENTEUX UTILISÉS DANS LA MALADIE D ALZHEIMER 1. Thérapeutiques non médicamenteuses cognitives a) Les ateliers mémoire Cette technique a fait l objet de vives critiques et pourrait être responsable de contre-performance et de détérioration chez certains sujets déments. b) Les référentiels pour l exercice mnésique mnémotechniques c) La revalidation cognitive reposent souvent sur la méthode d apprentissage sans erreur.
44 D. PRINCIPAUX TRAITEMENTS NON MÉDICAMENTEUX UTILISÉS DANS LA MALADIE D ALZHEIMER 2. Thérapeutiques non médicamenteuses non cognitives approches psychosociales a) Les rééducations de l orientation adapter l environnement du patient dément afin de pallier à ces déficits et en particulier à ses difficultés à s orienter dans l espace et dans le temps. b) Les thérapies par évocation du passé c) Les thérapies par l empathie formation très poussée du personnel soignant dans le domaine de la communication non verbale.
45 D. PRINCIPAUX TRAITEMENTS NON MÉDICAMENTEUX UTILISÉS DANS LA MALADIE D ALZHEIMER 3. Autres approches thérapeutiques non médicamenteuses L exercice physique L aromathérapie La musicothérapie, La luminothérapie, Les techniques dites de Snoezelen et de stimulations multisensorielles.
46 D. PRINCIPAUX TRAITEMENTS NON MÉDICAMENTEUX UTILISÉS DANS LA MALADIE D ALZHEIMER 4. Synthèse Les thérapeutiques non médicamenteuses de la maladie d Alzheimer sont donc multiples, mais leur efficacité n est pas clairement démontrée. Pourtant, ces traitements sont appliqués partout en France, sur des milliers de malades d une manière extrêmement hétérogène sans qu on puisse définir leur intérêt autre que celui de s occuper d un patient. Cette hétérogénéité contribue largement au manque de crédibilité de l efficacité de la prise en charge des malades. Il est indispensable de développer une évaluation rigoureuse de ces traitements afin que des recommandations d application puissent être proposés. Si ces traitements sont efficaces, il faut les financer ; s ils sont inefficaces, il ne faut pas les appliquer.
47 F. L AIDE AUX AIDANTS L intérêt des interventions d aide à l aidant paraît indéniable, en particulier concernant la dépression très fréquente chez les aidants familiaux.
48
49
50
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. AVIS 1 er février 2012
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er février 2012 Le projet d avis adopté par la Commission de la Transparence le 16 novembre 2011 a fait l objet d une audition le 1 février 2012 XEPLION 25 mg, suspension
Plus en détailMaladie d Alzheimer et maladies apparentées : prise en charge des troubles du comportement perturbateurs
RECOMMANDATIONS DE BONNE PRATIQUE Maladie d Alzheimer et maladies apparentées : prise en charge des troubles du comportement RECOMMANDATIONS Mai 2009 1 L argumentaire et la synthèse des recommandations
Plus en détailGestion des troubles du comportement en EHPAD
Gestion des troubles du comportement en EHPAD Olivier MICHEL et Pierre-Yves MALO Service de Médecine gériatrique Centre Mémoire de Ressources et de Recherche C.H.U. Hôtel-Dieu RENNES Journée Qualité en
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailLa maladie d Alzheimer mise à jour en 2009
La maladie d Alzheimer mise à jour en 2009 Fadi Massoud Un défi colossal se pose à l échelle mondiale. Dans les années à venir, plus du tiers des personnes de plus de 85 ans sera touché par la démence
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er octobre 2008 Examen dans le cadre de la réévaluation du service médical rendu de la classe des IMAO B, en application de l article R 163-21 du code de la sécurité
Plus en détailEVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME
EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.
Plus en détailLa dépression qui ne répond pas au traitement
La dépression qui ne répond pas au traitement Mise à j our Wilfrid Boisvert, MD Présenté dans le cadre de la conférence : À la rencontre de l humain, Collège québécois des médecins de famille, novembre
Plus en détailPlacebo Effet Placebo. Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes
Placebo Effet Placebo Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes Plan Définitions Placebo dans les essais thérapeutiques Effet placebo Médicaments
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 23 mai 2012
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 23 mai 2012 SEGLOR 5 mg, gélule B/30 (CIP: 321 899-8) SEGLOR LYOC 5 mg, lyophilisat oral B/30 (CIP: 334 062-4) Laboratoire UCB PHARMA dihydroergotamine (mésilate de)
Plus en détailBon usage. Mise au point
Bon usage Mise au point Évaluation et prise en charge des troubles psychiatriques chez les patients adultes infectés par le virus de l hépatite C et traités par (peg) interféron alfa et ribavirine Mai
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailCalendrier des formations INTER en 2011
Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailSOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5
SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailMigraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans?
Migraine : traitement de la crise Comment utiliser les triptans? 6 ème congrès national de lutte contre la douleur 19-20 Mars Alger Alain Serrie Service de Médecine de la douleur, médecine palliative et
Plus en détailPermis de conduire et maladie d Alzheimer. Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes
Permis de conduire et maladie d Alzheimer Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes Introduction Conduite automobile : Tâche complexe à forte exigence cognitive Liberté
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailLe dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailI.TRAITEMENT DE CRISE -ANTALGIQUES SIMPLES -ANTINFLAMMATOIRES BIPROFENID -TRIPTANS
TRAITEMENT DE LA MIGRAINE I.TRAITEMENT DE CRISE -ANTALGIQUES SIMPLES PARACETAMOL PEU OU PAS EFFICACE ASSOCIATIONS ASPIRINE-METOCLOPRAMIDE (CEPHALGAN MIGPRIV ) -ANTINFLAMMATOIRES -TRIPTANS BIPROFENID 1
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailInteractions médicamenteuses des médicaments psychotropes. Florence Chapelle
Interactions médicamenteuses des médicaments psychotropes Florence Chapelle Adopter une démarche méthodique pour : Décider au mieux dans l intérêt du patient Faire face à la complexité des mécanismes Mieux
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailDépression. du sujet âgé. Docteur Patrick Frémont. Professeur Joël Belmin. Psychiatrie
360 Psychiatrie Dépression du sujet âgé Docteur Patrick Frémont Service de Psychiatrie, Hôpital de Lagny-sur-Marne, Marne-la-Vallée Professeur Joël Belmin Service de Gériatrie, Hôpital Charles-Foix, Ivry-sur-Seine
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 27 avril 2011
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 27 avril 2011 Examen du dossier de la spécialité inscrite pour une durée limitée conformément au décret du 27 octobre 1999 (JO du 30 octobre 1999) et à l arrêté du 8
Plus en détailDU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE
DU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE SEPTEMBRE 2009 A. AUTRET, TOURS au moins 5 crises : de MIGRAINE SANS AURA 4 72 heures, 2 des caractères : 1 signe d accompagnement : modérée ou sévère, pulsatile,
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailPoint d Information. Le PRAC a recommandé que le RCP soit modifié afin d inclure les informations suivantes:
Point d Information Médicaments à base d ivabradine, de codéine, médicaments contenant du diméthyl fumarate, du mycophénolate mofétil/acide mycophénolique, de l octocog alpha, spécialité Eligard (contenant
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 31 janvier 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 31 janvier 2007 NEUPRO 2 mg/24 h dispositif transdermique Sachet-dose, B/30 : 377 209-7 Sachet-dose, B/90 : 570 143-4 NEUPRO 4 mg/24 h dispositif transdermique Sachet-dose,
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailLes triptans. quel casse-tête! Kim Messier et Michel Lapierre. Vous voulez prescrire des triptans? Lisez ce qui suit!
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Les triptans quel casse-tête! Kim Messier et Michel Lapierre Vous voulez prescrire des triptans? Lisez ce qui suit! Les triptans, des agonistes sélectifs
Plus en détailAgenda. Prevalence estimates in France PAQUID 23/11/14. Workshop Innovation Alzheimer 6 Novembre 2014. Atelier BANQUE NATIONALE ALZHEIMER
23/11/14 Workshop Innovation Alzheimer 6 Novembre 2014 Atelier BANQUE NATIONALE ALZHEIMER Agenda La Banque Nationale Alzheimer Exemples d application Quelles potentialités pour la BNA? (à quelles conditions?)
Plus en détailMÉDICAMENTS PSYCHOTROPES. Syndrome métabolique. Vivre avec un traitement antipsychotique. www.psycom.org
MÉDICAMENTS PSYCHOTROPES Syndrome métabolique Vivre avec un traitement antipsychotique www.psycom.org Syndrome métabolique Vivre avec un traitement antipsychotique SOMMAIRE Introduction p. 02 Neuroleptiques
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailLes maladies vasculaires cérébrales
Les maladies vasculaires cérébrales Zlokovic et Apuzzo. Neurosurgery 1998; 43(4): 877-78 cité sur http://www.ohsu.edu/bbb/forprof_program.html Centre Mont-Royal, 5 juin 2014 Dr Yan Deschaintre Présentateur
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détailLES ANTIMIGRAINEUX. Médicaments de la crise et médicaments de fond
LES ANTIMIGRAINEUX Migraine : maladie qui peut être handicapante selon fréquence, durée, intensité des crises, signes d accompagnement (digestifs), retentissement sur la vie quotidienne, professionnelle,
Plus en détailSophie Blanchet, Frédéric Bolduc, Véronique Beauséjour, Michel Pépin, Isabelle Gélinas, et Michelle McKerral
Le traumatisme cranio-cérébral léger chez les personnes âgées : impact sur les processus mnésiques et exécutifs - Mise en relation avec les habitudes de vie Sophie Blanchet, Frédéric Bolduc, Véronique
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailLes nouveaux traitements de fond de la SEP
Sclérose en plaques : les nouveaux traitements Guillaume MATHEY, Hôpital de Metz-Mercy Les nouveaux traitements de fond de la SEP Le but des traitements de fond Forme par poussées 2 ième ligne TYSABRI
Plus en détailMEDICAMENTS CONTENANT L ASSOCIATION DEXTROPROPOXYPHENE / PARACETAMOL :
REPUBLIQUE FRANÇAISE Juin 2009 MEDICAMENTS CONTENANT L ASSOCIATION DEXTROPROPOXYPHENE / PARACETAMOL : Recommandation de l EMEA de retrait de ces médicaments à la suite de l évaluation européenne et avis
Plus en détailLes médicaments psychotropes Informations pour un usage éclairé des psychotropes
Les médicaments psychotropes Informations pour un usage éclairé des psychotropes ANDREAS KNUF et MARGRET OSTERFELD Une publication de Pro Mente Sana L association romande Pro Mente Sana est une association
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailRELPAX. hydrobromure d élétriptan
RELPAX hydrobromure d élétriptan * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques * Conclusion * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques *
Plus en détailN.-B. 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4. 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4
Profil démographique 1 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4 Groupe d âge 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4 Sexe Niveau de scolarité Homme 48,0 40,5 47,8 52,3
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailCEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX
CEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX Groupe de travail du RRDBN Y.Perier, A.S.Sergent, E.Touchard, V.Lepelletier, S.Sladek FMC 2009 1 PLAN Migraine sans aura Epidémiologie Critères
Plus en détailDOSSIER DE SOINS INFIRMIERS
DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS Débuté le Terminé le. FICHE ADMINISTRATIVE PATIENT Nom Prénom Date de naissance / / Téléphone. ADRESSE...... N SS / / / / / // ENTOURAGE-PERSONNE RESSOURCE NOM QUALITE..TEL...
Plus en détailMaladie d Alzheimer et fin de vie : aspects évolutifs et stratégies thérapeutiques
Médecine palliative Soins de support Accompagnement Éthique (2011) 10, 230 244 DOSSIER THÉMATIQUE «GÉRIATRIE» Maladie d Alzheimer et fin de vie : aspects évolutifs et stratégies thérapeutiques Alzheimer
Plus en détailLa contention physique au service des urgences : indications et principes de mise en œuvre
Chapitre 112 La contention physique au service des urgences : indications et principes de mise en œuvre T. CHARPEAUD, P. EYMERE, E. GOUTAIN, M. GARNIER, C. TIXERONT, J. GENESTE, J. SCHMIDT, G. BROUSSE
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailAlgorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Édition Conseil du médicament www.cdm.gouv.qc.ca Coordination Anne Fortin, pharmacienne Élaboration Conseil du médicament Fédération
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailLa migraine : une maladie qui se traite
La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus
Plus en détailmentale Monsieur Falize la création et l utilisation d imagerie interactive, les associations noms-visages, la méthode des lieux.
Pr Anne-Marie Ergis le vieillissement entraîne le déclin d un certain nombre de fonctions cognitives, comme la vitesse de traitement, les ressources attentionnelles, la mémoire de travail, la mémoire épisodique
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre GUIDE DU PARCOURS DE SOINS. Maladie de Parkinson
Guide du parcours de soins Titre GUIDE DU PARCOURS DE SOINS Maladie de Parkinson Juin 2014 Guide téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service DIPH 2 avenue du Stade de France - F
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailTrouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée
Trouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée Dr G. Fournis Service de Psychiatrie et d Addictologie CHU Angers Faculté de Médecine Angers 1 Introduction
Plus en détail«Démence vasculaire» Troubles cognitifs
«Démence vasculaire» J Ghika Troubles cognitifs Prof Joseph André Ghika 1 Perte de mémoire Confirmée par informateur Objectivé par un examen cognitif (neuropsychologique) Normal: viellissement normal 1
Plus en détailLa migraine : quelle prise de tête!
La migraine : quelle prise de tête! Introduction La migraine est une véritable «prise de tête» pour les personnes qui en souffrent! Bien au-delà d un mal physique, cette réelle maladie engendre également
Plus en détailConférence de Consensus : «L agitation en urgence (petit enfant excepté)»
JEUR, 2003, 16, 58-64 Masson, Paris, 2003 Pratique professionnelle Conférence de Consensus : «L agitation en urgence (petit enfant excepté)» Recommandations du jury : texte court Cette conférence a été
Plus en détailConseils utiles destinés aux avocats représentant des clients devant la Commission du consentement et de la capacité
Conseils utiles destinés aux avocats représentant des clients devant la Commission du consentement et de la capacité L information ci-dessous vise à répondre aux besoins des avocats qui représentent des
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailMise à jour dans le traitement des troubles anxieux Jean-Pierre Bernier, Isabelle Simard
PHARMACOTHÉRAPIE Mise à jour dans le traitement des troubles anxieux Jean-Pierre Bernier, Isabelle Simard Résumé Objectif : Discuter de la place des traitements pharmacologiques dans les troubles anxieux
Plus en détailCE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT
CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page
Plus en détailTRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ
TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ «Un atelier de deux jours en spécialité EMDR» Présenté par Dr Steven MARCUS,, Ph.D 30 AVRIL & 1er MAI 2011 A PARIS SAMEDI 30 AVRIL : 9H - 16H30 - DIMANCHE 1ER
Plus en détailTroubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003
Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19 Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Plans et objectifs Pendant la grossesse Troubles mineurs, dépressions
Plus en détailInfospot. Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) Octobre - Novembre - Decembre 2014
Infospot Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) Octobre - Novembre - Decembre 2014 Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) - Octobre - Novembre - Decembre 2014 1 I. Définition Il est actuellement
Plus en détailEtude MAPT (Multidomain Alzheimer Preventive Trial)
Etude MAPT (Multidomain Alzheimer Preventive Trial) F Portet CMRR CHU de Montpellier (J Touchon) et Inserm U 888 Promoteur : CHU Toulouse (B Vellas) MAPT : objectif principal évaluer l efficacité d une
Plus en détailEfficacité et risques des médicaments : le rôle du pharmacien
Société vaudoise de pharmacie, février 2008 Efficacité et risques des médicaments : le rôle du pharmacien Olivier Bugnon, Professeur adjoint en Pharmacie communautaire, Ecole de Pharmacie Genève-Lausanne;
Plus en détailSEROTONINE ET MEDICAMENTS
Chapitre 9 SEROTONINE ET MEDICAMENTS Item 176 : Prescription et surveillance des Psychotropes Item 262 : Migraine et algies de la face La sérotonine et les médicaments interférant avec les systèmes sérotoninergiques
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailSANTÉ. E-BOOK équilibre. stop. cholesterol diabete hypertension. Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT!
SANTÉ stop cholesterol diabete hypertension E-BOOK équilibre Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT! un peu d histoire... Il y a 200 ans, un Français faisait en moyenne entre
Plus en détailAVIS DE LA COMMISSION. 30 juin 2004
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE REPUBLIQUE FRANÇAISE AVIS DE LA COMMISSION 30 juin 2004 BIPERIDYS 20 mg, comprimé pelliculé sécable (Boîtes de 20 et 40) Laboratoires PIERRE FABRE MEDICAMENT dompéridone Liste
Plus en détailMIGRAINE - TRAITEMENT
MIGRAINE - TRAITEMENT Restauration d une bonne qualité de vie Adapté à chaque patient Reposant sur trois axes : éviction des facteurs déclenchants traitement de crise traitement prophylactique ANAES 2002
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailFaut-il encore modifier nos pratiques en 2013?
Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailSpécial Praxies. Le nouveau TVneurones est enfin arrivé! Les métiers. NOUVEAUX JEUX de stimulation cognitive, orientés praxies.
Enfants Adolescents AdultesPersonnesÂgéesPlasticité NeuronalePathologiesMaintienCognitif MémoireAttentionLangage FonctionsExécutivesVisuoSpatial Les métiers Spécial Praxies Le nouveau est enfin arrivé!
Plus en détailLes traitements non pharmacologiques : une approche différente de la MA
Les traitements non pharmacologiques : une approche différente de la MA Les traitements maintenant proposés pour la prévention et la prise en charge de la maladie d Alzheimer (MA) incluent notamment des
Plus en détail