Comparaison des méthodes de mesures du Benzène Bordeaux-Gambetta (33)

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Comparaison des méthodes de mesures du Benzène Bordeaux-Gambetta (33)"

Transcription

1 Campagne de mesures Rapport n ET/PE/10/01 Comparaison des méthodes de mesures du Benzène Bordeaux-Gambetta (33) Du 16/09/09 au 12/11/09

2 RAPPORT D ÉTUDES COMPARAISON DES METHODES DE MESURES DU BENZENE BORDEAUX GAMBETTA (33) Campagne du 16/09/09 au 12/11/09 Rédaction Sarah LE BAIL, Ingénieur d Etudes Vérification Pierre-Yves GUERNION, Responsable d Etudes Approbation Patrick BOURQUIN, Directeur Date 25/01/10 Référence Rapport n ET/PE/10/01 Nombres de pages 23 Page 1 sur 23

3 SOMMAIRE SOMMAIRE...2 GLOSSAIRE...3 INTRODUCTION...4 I. ZONE D ETUDE...5 II. ÉQUIPEMENTS DE MESURES...6 III. LE BENZENE...7 III.1. DEFINITION ET SOURCES...7 III.2. EFFETS SUR LA SANTE...7 III.2.1. Exposition chronique...7 III.2.2. Exposition aiguë...8 III.3. REGLEMENTATION...8 III.4. SAISONNALITE ET COMPORTEMENT A L IMMISSION...8 IV. RESULTATS DES MESURES DE BENZENE ET DE TOLUENE...9 IV.1. ANALYSEUR AUTOMATIQUE...9 IV.2. TUBES PASSIFS IV.2.1. Tubes Maugeri IV.2.2. Tubes TERA IV.2.3. Récapitulatif IV.2.4. Comparaison tubes Maugeri/tubes TERA IV.3. TUBES ACTIFS IV.4. COMPARAISON ENTRE LES DIFFERENTES METHODES IV.4.1. Analyseur automatique/tubes actifs IV.4.2. Analyseur automatique/tubes passifs IV.4.3. Tubes actifs/tubes passifs IV.5. RECAPITULATIF DES MESURES CONCLUSION TABLE DES ILLUSTRATIONS Page 2 sur 23

4 GLOSSAIRE AASQA : Association Agréée pour la Surveillance de la Qualité de l Air ADEME : Agence de l Environnement et de la Maîtrise de l Energie BTEX : Benzène, Toluène, Ethylbenzène et Xylènes CITEPA : Centre Interprofessionnel Technique d Etudes de la Pollution Atmosphérique FID : Détecteur à Ionisation de Flamme Exposition aiguë : exposition de courte durée. Exposition chronique : exposition persistante, continue ou discontinue, se produisant sur une longue période (comprise entre plusieurs années et la vie entière). INRS : Institut National de Recherche et de Sécurité Limite de détection : limite de quantification divisée par 3 Limite de quantification : concentration minimale en deçà de laquelle la présence d un polluant est détectée mais dont la mesure relevée ne peut être quantifiée avec une précision acceptable. Elle est normalement 3 fois au dessus de la limite de détection. MEEDDM : Ministère de l Ecologie, de l Énergie, du Développement Durable et de la Mer µg/m 3 : l unité de mesure est le microgramme par mètre cube d air (1µg = 0, g). Objectif de qualité : niveau de concentration fixé dans le but d éviter, de prévenir ou de réduire les effets nocifs de ces substances pour la santé humaine ou pour l environnement dans son ensemble, à atteindre, si possible. OMS : Organisation Mondiale de la Santé Polluant primaire : composé rejeté dans l atmosphère directement par la source de pollution. Polluant secondaire : polluant résultant de la transformation de polluants primaires par différentes réactions chimiques. Station de proximité automobile : L objectif de ces stations est de fournir des informations sur les concentrations mesurées dans les zones représentatives du niveau maximum d exposition auquel la population située en proximité d une infrastructure routière, est susceptible d être exposée. Les principaux polluants mesurés sont ceux d origine automobile comme le monoxyde de carbone (CO), les oxydes d azote (NO + NO 2 ), les particules fines en suspension (PM10) et certains composés organiques toxiques (BTX). Valeur limite : valeur à ne pas dépasser dans le but d éviter, de prévenir ou de réduire les effets nocifs de ces substances pour la santé humaine ou pour l environnement dans son ensemble. Page 3 sur 23

5 INTRODUCTION La directive cadre 2008/50/CE du 21 mai 2008, concernant la qualité de l air ambiant et un air pur pour l Europe, définit les valeurs limites et stratégie de mesure du benzène. Les méthodes de référence reconnues par l Europe sont les analyseurs automatiques et les tubes actifs. Il existe d autres méthodes qui sont considérées comme des mesures indicatives (ex : tubes passifs). AIRAQ dispose d un réseau de stations fixes en Aquitaine lui permettant d assurer sa mission de surveillance des polluants réglementés. La station fixe de dispose d un analyseur de BTEX lui permettant de surveiller en continu le benzène, polluant réglementé. D autre part, AIRAQ réalise régulièrement des cartographies de la polution de fond en benzène grâce à des tubes passifs. Afin d expérimenter les différentes méthodes de mesures au sein des AASQA, AIRAQ a mis en place, en 2008, une campagne de mesures à la station fixe de Bassens. Les mesures ont été réalisées en période estivale ayant pour conséquence des concentrations relevées faibles. De plus, la comparaison des trois méthodes de mesures n ayant pas donné de résultats concluants, une nouvelle campagne de mesures a été décidée. Celle-ci à eu lieu de septembre à novembre 2009 sur la station de proximité automobile de. Les niveaux relevés sur cette station y sont traditionnellement plus élevés qu à Bassens. Ainsi, des tubes passifs et des tubes actifs ont été mis en parrallèle de l analyseur de BTEX du 16 septembre au 12 novembre Page 4 sur 23

6 I. Zone d étude La campagne de mesures s est déroulée du 16 septembre au 12 novembre 2009 sur le site de la station fixe de. Nom de la semaine Dates Semaine 1 16/09/09 au 23/09/09 Semaine 2 23/09/09 au 30/09/09 Semaine 3 13/10/09 au 20/10/09 Semaine 4 20/10/09 au 27/10/09 Semaine 5 27/10/09 au 03/11/09 Semaine 6 05/11/09 au 12/11/09 Tableau 1 : dates des différentes semaines de mesures Bdx Gambetta station fixe Figure 1 : emplacement de la station fixe de Page 5 sur 23

7 II. Équipements de mesures La station fixe est équipée d un analyseur automatique de BTEX et permet de mesurer en continu les polluants suivants : benzène, toluène, ethylbenzène, xylènes, etc. Figure 2 : analyseur de BTEX airmo BTEX Des tubes passifs «Radiello» code 145 (en quadruplet) ont été placés sur le toit de la station à raison d un changement de tubes toutes les semaines. Sur les 5 semaines qu a duré l étude (pour les tubes passifs), 20 tubes ont donc été récoltés puis envoyés pour moitié à la Fondation Salvatore Maugeri et pour moitié à TERA Environnement pour analyse. Les cartouches utilisées sont des cartouches adsorbantes remplies de Carbograph 4 TM pour piéger les BTEX. Ces cartouches sont insérées dans des corps diffusifs jaune en polyéthylène microporeux. Les analyses sont effectuées par désorption thermique et chromatographie en phase gazeuse FID. Figure 3 : éléments d un tube passif «Radiello» et sa boîte de protection Enfin, un troisième type de matériel a été utilisé, il s agit de tubes actifs. Le matériel nécessaire nous a été fourni par TERA Environnement. Les tubes ont ensuite été analysés par leurs soins. Durant l étude, 12 tubes actifs ont été utilisés à raison de 2 en parallèle par semaine. Les tubes utilisés sont des Carbopack X 500 mg. Les analyses sont effectuées par chromatographie en phase gazeuse et spectromètre de masse. Figure 4 : tubes actifs Page 6 sur 23

8 III. III.1. Le benzène Définition et sources Le benzène (C 6 H 6 ) est un hydrocarbure aromatique monocyclique (HAM) qui se trouve naturellement dans le pétrole brut et les produits extraits du gaz naturel. Il est obtenu habituellement par distillation de ces produits. C est un liquide incolore, très volatil, à odeur agréable dite aromatique, et perceptible dans l air, selon les individus, entre 1 et 12 ppm, soit un seuil olfactif compris entre 3,2 et 39 mg/m 3, (INRS, 1997). Les emplois du benzène sont multiples : il sert de matière première pour la fabrication de nombreux produits d importance industrielle (plastiques, fibres synthétiques, solvants, pesticides, colles, peintures ). il entre dans la composition des essences grâce à ses propriétés antidétonantes susceptibles d améliorer l indice d octane. En 2007, les émissions de benzène ont été estimées en France à tonnes, avec la distribution suivante (données CITEPA) : Figure 5 : inventaire des émissions de benzène en France (CITEPA / CORALIE / format SECTEN mise à jour juin 2009) Le secteur «résidentiel / tertiaire» est à l origine de ¾ des émissions du benzène. La deuxième source principale d émission (14 %) est le transport routier (échappement des véhicules, évaporation d essence au niveau des réservoirs, etc). Le benzène est un bon indicateur de la pollution automobile. Avec les BTEX, il peut donc être surveillé en zone urbaine, aussi bien sur des stations de «proximité automobile» qu en situation «de fond». III.2. Effets sur la santé Selon l OMS, le benzène est une substance pour laquelle «il n existe pas de seuil de sécurité absolue en deçà duquel il n y aurait pas de risques». III.2.1. Exposition chronique Le caractère cancérigène du benzène a été mis en évidence dès 1987 avec la classification du benzène dans le groupe 1 (substance prouvée cancérigène pour l homme) par le Centre International Page 7 sur 23

9 de Recherche sur le Cancer (CIRC). De plus, le benzène pourrait avoir à long terme un effet inhibiteur sur les défenses immunitaires. L évaluation du risque cancérigène pour une exposition par inhalation à l échelle d une vie a été menée par l EPA (Environmental Protection Agency) et par l OMS. Les indicateurs sanitaires qui existent sont exprimés sous forme d excès de risque de développer un cancer suite à une exposition d une vie entière à une unité de dose de benzène : ces indicateurs sont appelés Excès de Risque Unitaire (ERU) ou Risque Unitaire (RU). III.2.2. Exposition aiguë Une exposition aiguë au benzène va entraîner des maux de tête, des états de somnolence et d ébriété, ainsi que des irritations. Des altérations de la mémoire et des capacités psychiques peuvent survenir lors d expositions plus longues. On considère une exposition aiguë au benzène à partir de concentrations de l ordre de plusieurs centaines de ppm ; or les concentrations rencontrées à l immission sont de l ordre du ppb, c est à dire au moins inférieures d un facteur III.3. Réglementation La Directive Cadre 1996/62/CE du 27 septembre 1996 «concernant l évaluation et la gestion de la qualité de l air ambiant» a défini, pour la première fois, des principes de base permettant de fixer des objectifs concernant les concentrations en benzène dans l air extérieur. Elle a été complétée par la Directive 2000/69/CE du 16 novembre 2000 (abrogée à partir du 11 juin 2010 par Directive Cadre 2008/50/CE), qui a fixé la valeur limite des concentrations en benzène. objectif de qualité : 2 µg/m 3 en moyenne annuelle valeur limite 1 : 6 µg/m 3 en moyenne annuelle pour 2009 III.4. Saisonnalité et comportement à l immission La durée de vie du benzène dans l atmosphère varie entre quelques heures et une dizaine de jours selon le rayonnement et la concentration en espèces oxydantes dans l air, notamment la concentration en radical hydroxyle. De plus, les périodes de forte stabilité atmosphérique favorisent une augmentation des concentrations en benzène. 1 : Ces valeurs limites concernent la protection de la santé humaine. Une marge de dépassement dégressive est autorisée annuellement, jusqu au 1 er janvier Année civile Moyenne annuelle (en µg/m 3 ) 6 5 Page 8 sur 23

10 IV. IV.1. Résultats des mesures de benzène et de toluène Analyseur automatique L analyseur de BTEX a fonctionné en continu du 16 septembre au 12 novembre Le graphique ci-dessous présente l évolution journalière du benzène et du toluène : Figure 6 : concentrations en benzène et en toluène mesurées par l analyseur sur la période d étude Avec une moyenne de 1,3 µg/m 3 en benzène sur la période de mesure, la réglementation est respectée. Le benzène est un polluant ayant une très forte saisonnalité, ainsi ses concentrations sont plus élevées en hiver. La moyenne relevée pour le toluène est de 9,5 µg/m 3. Moyenne en µg/m 3 Benzène Toluène Semaine 1 1,2 10,0 Semaine 2 1,3 12,8 Semaine 3 1,0 8,2 Semaine 4 1,0 7,4 Semaine 5 1,8 12,7 Semaine 6 1,1 6,1 Moyenne 1,3 9,5 Tableau 2 : résultats des mesures en benzène et en toluène par semaine Les concentrations en benzène sont relativement stables jusqu en semaine 5 où un pic est apparu aux alentours du 28 et 29 octobre. Page 9 sur 23

11 IV.2. Tubes passifs AIRAQ a réalisé des mesures par tubes passifs sur la station de Gambetta de la manière suivante : Moyenne en µg/m 3 Maugeri TERA Semaine 2 2 tubes en parallèle 2 tubes en parallèle Semaine 3 2 tubes en parallèle 2 tubes en parallèle Semaine 4 2 tubes en parallèle 2 tubes en parallèle Semaine 5 2 tubes en parallèle 2 tubes en parallèle Semaine 6 2 tubes en parallèle 2 tubes en parallèle Tableau 3 : tubes passifs utilisés lors de l étude Les tubes ont ensuite été analysés par la Fondazione Salvatore Maugeri, qui est également le fournisseur des tubes, et par TERA Environnement. IV.2.1. Tubes Maugeri Le tableau et le graphique ci-dessous présentent les résultats des mesures par tubes passifs. Seuls le benzène et le toluène sont présentés. Le benzène est le seul réglementé et le toluène est facile à mesurer du fait de ses teneurs plus élevées et de sa stabilité : Moyenne en µg/m 3 Benzène Benzène Moyenne Toluène Toluène Moyenne tube 1 tube 2 benzène tube 1 tube 2 toluène Semaine 2 2,11 2,06 2,09 14,58 13,46 14,02 Semaine 3 1,67 1,70 1,69 8,15 8,14 8,14 Semaine 4 1,74 1,69 1,72 8,59 7,85 8,22 Semaine 5 2,58 2,39 2,48 13,21 12,34 12,78 Semaine 6 1,68 1,65 1,66 6,21 6,49 6,35 Moyenne 1,96 1,90 1,93 10,15 9,65 9,90 Tableau 4 : résultats des mesures par les tubes passifs Maugeri Figure 7 : concentrations en benzène et en toluène par semaine mesurées par les tubes passifs Maugeri Page 10 sur 23

12 Les résultats sont dits reproductibles lorsque l écart entre les mesures est inférieur ou égal à 15 %. Le tableau ci-dessous résume les écarts entre les mesures sur les deux tubes : Maugeri Écart benzène Écart toluène Semaine 2 1 % 4 % Semaine 3 1 % 0 % Semaine 4 2 % 4 % Semaine 5 4 % 3 % Semaine 6 1 % 2 % moyen 2 % 3 % Tableau 5 : reproductibilité des mesures de Maugeri Les analyses des tubes passifs par Maugeri montrent que les mesures sont parfaitement reproductibles d un tube à l autre. En effet, pour les deux polluants, l écart de mesures entre les deux tubes est au maximum de 4 %. Les concentrations maximales relevées pour le benzène sont en semaine 5 et en semaine 2 avec respectivement 2,5 µg/m 3 et 2,1 µg/m 3. Pour le toluène, ce sont les semaines 2 et 5 qui présentent les concentrations les plus élevées avec respectivement 13,5 µg/m 3 et 12,3 µg/m 3. IV.2.2. Tubes TERA Le tableau et le graphique ci-dessous présentent les résultats des mesures par tubes passifs de TERA. Moyenne en µg/m 3 Benzène Benzène Moyenne Toluène Toluène Moyenne tube 1 tube 2 benzène tube 1 tube 2 toluène Semaine 2 1,86 2,16 2,01 6,50 7,48 6,99 Semaine 3 2,01 2,12 2,07 5,28 4,96 5,12 Semaine 4 1,66 1,57 1,62 3,58 3,89 3,74 Semaine 5 2,19 2,46 2,33 6,16 6,56 6,36 Semaine 6 1,84 1,94 1,89 4,45 4,15 4,30 Moyenne 1,91 2,05 1,98 5,19 5,41 5,30 Tableau 6 : résultats des mesures par les tubes passifs de TERA Figure 8 : concentrations en benzène et en toluène par semaine mesurées par les tubes passifs de TERA Page 11 sur 23

13 Les résultats sont dits reproductibles lorsque l écart entre les mesures est inférieur ou égal à 15 %. Le tableau ci-dessous résume les écarts entre les mesures sur les deux tubes : TERA Écart benzène Écart toluène Semaine 2 7 % 7 % Semaine 3 3 % 3 % Semaine 4 3 % 4 % Semaine 5 6 % 3 % Semaine 6 3 % 3 % moyen 4 % 4% Tableau 7 : reproductibilité des mesures de TERA Les analyses des tubes passifs par TERA montrent que les mesures sont reproductibles d un tube à l autre. En effet, pour les deux polluants, l écart de mesures entre les deux tubes est au maximum de 7 %. Les concentrations maximales relevées pour le benzène sont en semaine 5 et en semaine 3 avec respectivement 2,3 µg/m 3 et 2,1 µg/m 3. Pour le toluène, ce sont les semaines 2 et 5 qui présentent les concentrations les plus élevées avec respectivement 7,0 µg/m 3 et 6,4 µg/m 3. IV.2.3. Récapitulatif Le tableau ci-dessous récapitule les moyennes relevées en benzène et en toluène par semaine et par organisme : 3 Maugeri TERA µg/m benzène toluène benzène toluène Semaine 2 2,09 14,02 2,01 6,99 Semaine 3 1,69 8,14 2,07 5,12 Semaine 4 1,72 8,22 1,62 3,74 Semaine 5 2,48 12,78 2,33 6,36 Semaine 6 1,66 6,35 1,89 4,30 Moyenne 1,93 9,90 1,95 5,30 Tableau 8 : moyennes des mesures par tubes passifs Maugeri et TERA IV.2.4. Comparaison tubes Maugeri/tubes TERA Le graphique ci-dessous présente les résultats des tubes passifs sur les 5 semaines de mesures : Figure 9 : concentrations en benzène et en toluène par semaine mesurées par Maugeri et par TERA Page 12 sur 23

14 Les graphiques ci-dessus montrent que, concernant le benzène, les mesures réalisées par les deux organismes sont relativement proches. En revanche, pour le toluène, les écarts sont très significatifs. En effet, pour toutes les semaines, les mesures réalisées par TERA sont nettement inférieures à celles réalisées par Maugeri, notamment pour les semaines 2, 4 et 5. Le tableau ci-dessous présente les écarts entre les mesures de Maugeri et celles de TERA : Écart benzène Écart toluène Semaine 2 2 % 33 % Semaine 3 10 % 23 % Semaine 4 3 % 37 % Semaine 5 3 % 34 % Semaine 6 6 % 19 % Moyenne 5 % 29 % Tableau 9 : écart entre les mesures de Maugeri et de TERA L écart entre les tubes Maugeri et les tubes TERA est significatif et supérieur à 15 % pour le toluène. En revanche, l écart entre les tubes pour le benzène est faible et largement inférieur à 15 % sauf en semaine 3 où il est de 10 %. Ainsi, les mesures réalisées par les tubes passifs de Maugeri sont comparables aux tubes passifs de TERA pour le benzène seulement. Page 13 sur 23

15 IV.3. Tubes actifs Le tableau et les graphiques ci-dessous présentent les résultats des mesures par tubes actifs pour chaque voie de mesure : Moyenne en µg/m 3 Benzène Benzène Moyenne Toluène Toluène Moyenne voie A voie B benzène voie A voie B toluène Semaine 1 3,32 3,70 3,51 13,10 19,44 16,27 Semaine 2 4,31 3,79 4,05 21,30 20,61 20,96 Semaine 3 2,31 3,21 2,76 7,54 10,95 9,25 Semaine 4 2,61 2,78 2,70 6,46 7,61 7,04 Semaine 5 5,24 4,42 4,83 16,70 12,80 14,75 Semaine 6 1,50 1,37 1,43 4,61 4,50 4,56 Moyenne 3,22 3,21 3,21 11,62 12,65 12,14 Tableau 10 : résultats des mesures par les tubes actifs Figure 10 : concentrations en benzène et en toluène par semaine mesurées par les tubes actifs Le tableau ci-dessous résume les écarts entre les mesures sur les deux tubes : Écart benzène Écart toluène Semaine 1 5 % 19 % Semaine 2 6 % 2 % Semaine 3 16 % 18 % Semaine 4 3 % 8 % Semaine 5 9 % 13 % Semaine 6 5 % 1 % Moyenne 7 % 10 % Tableau 11 : reproductibilité des mesures de TERA Les analyses des tubes actifs montre globalement une bonne reproductibilité des mesures pour le benzène. En effet, hormis en semaine 3, les écarts sont inférieurs à 15 %. Pour le toluène, la reproductibilité est plus aléatoire. Ainsi, les semaines 1 et 3 ont des écarts supérieurs à 15 % et la semaine 5 a un écart de 13 %. Page 14 sur 23

16 Le tableau ci-dessous récapitule les moyennes relevées en benzène et en toluène : µg/m 3 TERA benzène toluène Semaine 1 3,51 16,27 Semaine 2 4,05 20,96 Semaine 3 2,76 9,25 Semaine 4 2,70 7,04 Semaine 5 4,83 14,75 Semaine 6 1,43 4,56 Moyenne 3,21 12,14 Tableau 12 : moyennes des mesures par tubes actifs TERA Page 15 sur 23

17 IV.4. Comparaison entre les différentes méthodes IV.4.1. Analyseur automatique/tubes actifs Le graphique ci-dessous compare les mesures de l analyseur et des tubes actifs : Figure 11 : corrélations entre les mesures de l analyseur et des tubes actifs Le coefficient de corrélation du benzène est moyen (0,63), et les concentrations mesurées par les tubes actifs sont très supérieures à celles de l analyseur. Concernant le toluène, le coefficient de corrélation est bon (0,73) mais les concentrations mesurées par les tubes actifs sont aussi supérieures à celles de l analyseur. Les mesures de benzène par analyseur sont 2,5 fois inférieures à celles des tubes actifs. Pour le toluène elles sont inférieures d environ 30 %. Le tableau et les graphiques ci-dessous récapitulent la comparaison des mesures : En µg/m 3 Benzène Benzène Toluène Toluène tubes actifs analyseur tubes actifs analyseur Semaine 1 3,51 1,22 49 % 16,27 10,01 24 % Semaine 2 4,05 1,34 50 % 20,96 12,82 24 % Semaine 3 2,76 1,03 45 % 9,25 8,16 6 % Semaine 4 2,70 0,97 47 % 7,04 7,36 2 % Semaine 5 4,83 1,84 45 % 14,75 12,74 7 % Semaine 6 1,43 1,11 13 % 4,56 6,08 14 % Moyenne 3,21 1,25 41 % 12,14 9,53 13 % Tableau 13 : récapitulatif des mesures tubes actifs et analyseur Concernant le benzène, les écarts relevés sont largement supérieurs à 15 %. En effet, les mesures réalisées par tubes actifs sont très supérieures à celles réalisées avec l analyseur. Seule la dernière semaine se dégage du lot avec un écart de 13 %. Concernant le toluène, les écarts calculés sont meilleurs que pour le benzène. Ainsi, seules les deux premières semaines voient leurs écarts supérieurs à 15 %. Page 16 sur 23

18 Figure 12 : récapitulatif des mesures tubes actifs et analyseur par polluant Les mesures par tubes actifs ont montré des concentrations très différentes de l analyseur surtout pour le benzène, le toluène ayant des écarts plus faibles. Globalement, une mauvaise représentativité des mesures, entre les deux types de matériel, est constatée pour le benzène. IV.4.2. Analyseur automatique/tubes passifs Le graphique ci-dessous compare les mesures de l analyseur automatique avec les mesures des tubes passifs : Figure 13 : corrélations entre les mesures de l analyseur et les tubes passifs Pour le benzène, le coefficient de corrélation Maugeri est bon (0,85), par contre, celui de TERA est moyen (0,56). Les concentrations mesurées par les tubes passifs Maugeri et TERA sont supérieures à celles de l analyseur. Pour le toluène, les coefficients de corrélation de Maugeri et TERA sont bons (0,98 et 0,85). Les concentrations mesurées par les tubes passifs Maugeri sont très similaires à celles de l analyseur. En revanche, les concentrations des tubes passifs TERA sont largement inférieures à celles de l analyseur. Page 17 sur 23

19 En µg/m 3 Les mesures de benzène réalisées par Maugeri et TERA sont supérieures d environ 30 % par rapport à l analyseur. Pour le toluène, les mesures réalisées par Maugeri sont supérieures d environ 5 % par rapport à l analyseur. En revanche, pour TERA, les mesures par tubes passifs sont inférieures d environ 80 % à celles de l analyseur. Le tableau et les graphiques ci-dessous récapitulent la comparaison des mesures : Benzène analys Benzène Maugeri Benzène TERA Maugeri /Analys TERA/ Analys Toluène analys Toluène Maugeri Toluène TERA Maugeri /Analys TERA/ Analys Semaine 2 1,34 2,09 2,01 22 % 20 % 12,82 14,02 6,99 4 % 29 % Semaine 3 1,03 1,69 2,07 24 % 33 % 8,16 8,14 5,12 0 % 23 % Semaine 4 0,97 1,72 1,62 28 % 25 % 7,36 8,22 3,74 5 % 33 % Semaine 5 1,84 2,48 2,33 15 % 12 % 12,74 12,78 6,36 0 % 33 % Semaine 6 1,11 1,66 1,89 20 % 26 % 6,08 6,35 4,30 2 % 17 % Moyenne 1,26 1,93 1,98 22 % 23 % 9,43 9,90 5,30 2 % 27 % Tableau 14 : récapitulatif des mesures analyseurs et tubes passifs Concernant le benzène, les écarts relevés sont globalement supérieurs à 15 %. En effet, seule la semaine 5 pour TERA est inférieure à 15 %. Concernant le toluène, les écarts calculés sont complètement différents entre Maugeri et TERA. Ainsi, le premier a des écarts très faibles avec l analyseur et donc des concentrations très proches. Pour TERA, les écarts sont tous supérieurs à 15 %. Figure 14 : récapitulatif des mesures analyseurs et tubes passifs par semaine Les mesures par tubes passifs ont montré des concentrations très différentes de l analyseur. Seules les mesures réalisées par Maugeri pour le toluène sont représentatives des mesures de l analyseur. Globalement, une mauvaise représentativité des mesures, entre les deux types de matériel, est constatée pour le benzène. Page 18 sur 23

20 IV.4.3. Tubes actifs/tubes passifs Le graphique ci-dessous compare les mesures des tubes passifs et des tubes actifs : Figure 15 : corrélations entre les mesures des tubes passifs et des tubes actifs En µg/m 3 Pour le benzène, le coefficient de corrélation Maugeri est moyen (0,62), par contre, celui de TERA est mauvais (0,31). Les concentrations mesurées par les tubes passifs Maugeri et TERA sont inférieures à celles des tubes actifs. Pour le toluène, le coefficient de corrélation Maugeri est bon (0,80), par contre, celui de TERA est moyen (0,65). Les concentrations mesurées par les tubes passifs Maugeri sont plus faibles que celles des tubes actifs. En revanche, les concentrations des tubes passifs TERA sont largement inférieures à celles des tubes actifs. Les mesures de benzène réalisées par Maugeri et TERA sont inférieures d environ 60 % par rapport aux tubes actifs. Pour le toluène, les mesures réalisées par Maugeri sont inférieures d environ 20 % par rapport aux tubes actifs. Pour TERA, les mesures par tubes passifs sont environ deux fois et demie inférieures à celles des tubes actifs. Le tableau et les graphiques ci-dessous récapitulent la comparaison des mesures : Benzène TA Benzène Maugeri Benzène TERA Maugeri /TA TERA/ TA Toluène TA Toluène Maugeri Toluène TERA Maugeri /TA TERA /TA Semaine 2 4,05 2,09 2,01 32 % 34 % 20,96 14,02 6,99 20 % 50 % Semaine 3 2,76 1,69 2,07 24 % 14 % 9,25 8,14 5,12 6 % 29 % Semaine 4 2,70 1,72 1,62 22 % 25 % 7,04 8,22 3,74 8 % 31 % Semaine 5 4,83 2,48 2,33 32 % 35 % 14,75 12,78 6,36 7 % 40 % Semaine 6 1,43 1,66 1,89 7 % 14 % 4,56 6,35 4,30 16 % 3 % Moyenne 3,15 1,93 1,98 24 % 24 % 11,3 9,90 5,30 12 % 30 % Tableau 15 : récapitulatif des mesures tubes actifs et tubes passifs Concernant le benzène, les écarts relevés sont globalement supérieurs à 15 %. En effet, seule la semaine 3 pour TERA et la semaine 6 pour Maugeri sont inférieures à 15 %. Concernant le toluène, les écarts calculés sont complètement différents entre Maugeri et TERA. Ainsi, le premier a des écarts en général plus faibles (notamment semaines 3, 4 et 5) avec les tubes actifs. Pour TERA, les écarts sont supérieurs à 15 % sauf en dernière semaine où l écart est très bon. Page 19 sur 23

21 Figure 16 : récapitulatif des mesures tubes actifs et tubes passifs par semaine Les mesures par tubes passifs ont montré des concentrations différentes des tubes actifs. Seule la semaine 6 présente des mesures semblables entre tubes passifs et tubes actifs. Globalement, une mauvaise représentativité des mesures, entre les deux types de matériel, est constatée pour le benzène. Page 20 sur 23

22 IV.5. Récapitulatif des mesures Les tableaux ci-dessous récapitulent l ensemble des mesures ainsi que les écarts entre les différents types de matériel utilisés. En µg/m 3 Benzène tubes actifs Benzène analyseur Benzène tubes passifs Maugeri Benzène tubes passifs TERA Toluène tubes actifs Toluène analyseur Tableau 16 : récapitulatif des mesures pour tous les appareils utilisés Toluène tubes passifs Maugeri Toluène tubes passifs TERA Semaine 1 3,51 1,22 16,27 10,01 Semaine 2 4,05 1,34 2,09 2,01 20,96 12,82 14,02 6,99 Semaine 3 2,76 1,03 1,69 2,07 9,25 8,16 8,14 5,12 Semaine 4 2,70 0,97 1,72 1,62 7,04 7,36 8,22 3,74 Semaine 5 4,83 1,84 2,48 2,33 14,75 12,74 12,78 6,36 Semaine 6 1,43 1,11 1,66 1,89 4,56 6,08 6,35 4,30 Moy sem 2 à sem 6 3,15 1,26 1,93 1,98 11,31 9,43 9,90 5,30 En µg/m 3 Benzène Toluène TA/ TA/analyseur /analyseur TA/ TA/analyseur Semaine 1 49 % 24 % Semaine 2 32 % 50 % 22 % 20 % 24 % 4 % Semaine 3 24 % 45 % 24 % 6 % 6 % 0 % Semaine 4 22 % 47 % 28 % 8 % 2 % 5 % Semaine 5 32 % 45 % 15 % 7 % 7 % 0 % Semaine 6 7 % 13 % 20 % 16 % 14 % 2 % moyen Tableau 17 : récapitulatif des écarts observés entre les différentes mesures ( Maugeri) Tableau 18 : récapitulatif des écarts observés entre les différentes mesures ( TERA) /analyseur 24 % 41 % 22 % 12 % 13 % 2 % En µg/m 3 Benzène Toluène TA/ TA/analyseur /analyseur TA/ TA/analyseur Semaine 1 49 % 24 % Semaine 2 34 % 50 % 20 % 50 % 24 % 29 % Semaine 3 14 % 45 % 33 % 29 % 6 % 23 % Semaine 4 25 % 47 % 25 % 31 % 2 % 33 % Semaine 5 35 % 45 % 12 % 40 % 7 % 33 % Semaine 6 14 % 13 % 26 % 3 % 14 % 17 % moyen /analyseur 24 % 41 % 23 % 30 % 13 % 27 % Page 21 sur 23

23 CONCLUSION Les mesures réalisées au cours de cette campagne ont permis, une nouvelle fois, d évaluer différentes méthodes de mesure du benzène. Les moyennes en benzène et en toluène ont été évaluées respectivement à 1,25 µg/m 3 et 9,53 µg/m 3 par l analyseur automatique. Pour les tubes passifs Maugeri, elles sont de 1,93 µg/m 3 et 9,9 µg/m 3 et pour TERA, elles sont de 1,98 µg/m 3 et 5,3 µg/m 3. Enfin pour les tubes actifs, elles sont de 3,21 µg/m 3 et 12,14 µg/m 3. Les mesures réalisées par les tubes actifs sont les plus élevées et les mesures par analyseur les plus faibles. La comparaison des différents types de mesures pour le benzène a donné les résultats suivants : tubes actifs/analyseur : corrélation moyenne pour le benzène (0,63) et les niveaux mesurés par l analyseur sont deux fois et demi inférieurs à ceux des tubes actifs. Les mesures entre analyseur et tubes actifs ne sont pas reproductibles car, sur les 6 semaines, 5 ont eu des écarts compris entre 45 et 50 %. tubes passifs Maugeri/analyseur : corrélation bonne pour le benzène (0,85) et les niveaux mesurés par l analyseur sont inférieurs d environ 30 % à ceux des tubes passifs. Les mesures entre analyseur et tubes passifs ne sont pas reproductibles car toutes les semaines de mesures ont vu leurs écarts compris entre 15 et 25 % tubes passifs TERA analyseur : corrélation moyenne pour le benzène (0,56) et les niveaux mesurés par l analyseur sont inférieurs d environ 80 % à ceux des tubes passifs. Les mesures entre analyseur et tubes passifs ne sont pas reproductibles car, sur les 6 semaines, 5 ont eu des écarts compris entre 20 et 35 %. tubes actifs/tubes passifs Maugeri : corrélation moyenne pour le benzène (0,62) et les niveaux mesurés par les tubes passifs sont inférieurs d environ 60 % à ceux des tubes actifs. Les mesures entre tubes passifs et tubes actifs ne sont pas reproductibles car, sur les 6 semaines, 5 ont eu des écarts compris entre 20 et 35 %. tubes actifs/tubes passifs TERA : corrélation mauvaise pour le benzène (0,31) et les niveaux mesurés par les tubes passifs sont inférieurs d environ 60 % à ceux des tubes actifs. Les mesures entre tubes passifs et tubes actifs ne sont pas reproductibles car, sur les 6 semaines, 5 ont eu des écarts compris entre 25 et 35 %. D une manière générale, les mesures de toluène ont donné de meilleurs résultats. En effet, les écarts relevés entre les différents types d appareils sont régulièrement inférieurs à 15 %. Au vu des écarts observés entre les deux méthode de référence (analyseur et tubes actifs) et, étant donné que les tubes passifs des résultats proches de l analyseur, il parait aujourd hui prématuré d investir dans des préleveurs actifs. Un retour d information complémentaire de la part du LCSQA et d autres AASQA est donc attendu avant toute future décision d investissement. Page 22 sur 23

24 TABLE DES ILLUSTRATIONS FIGURES Figure 1 : emplacement de la station fixe de... 5 Figure 2 : analyseur de BTEX airmo BTEX... 6 Figure 3 : éléments d un tube passif «Radiello» et sa boîte de protection... 6 Figure 4 : tubes actifs... 6 Figure 5 : inventaire des émissions de benzène en France (CITEPA / CORALIE / format SECTEN mise à jour juin 2009)... 7 Figure 6 : concentrations en benzène et en toluène mesurées par l analyseur sur la période d étude.. 9 Figure 7 : concentrations en benzène et en toluène par semaine mesurées par les tubes passifs Maugeri Figure 8 : concentrations en benzène et en toluène par semaine mesurées par les tubes passifs de TERA Figure 9 : concentrations en benzène et en toluène par semaine mesurées par Maugeri et par TERA Figure 10 : concentrations en benzène et en toluène par semaine mesurées par les tubes actifs Figure 11 : corrélations entre les mesures de l analyseur et des tubes actifs Figure 12 : récapitulatif des mesures tubes actifs et analyseur par polluant Figure 13 : corrélations entre les mesures de l analyseur et les tubes passifs Figure 14 : récapitulatif des mesures analyseurs et tubes passifs par semaine Figure 15 : corrélations entre les mesures des tubes passifs et des tubes actifs Figure 16 : récapitulatif des mesures tubes actifs et tubes passifs par semaine TABLEAU Tableau 1 : dates des différentes semaines de mesures... 5 Tableau 2 : résultats des mesures en benzène et en toluène par semaine... 9 Tableau 3 : tubes passifs utilisés lors de l étude Tableau 4 : résultats des mesures par les tubes passifs Maugeri Tableau 5 : reproductibilité des mesures de Maugeri Tableau 6 : résultats des mesures par les tubes passifs de TERA Tableau 7 : reproductibilité des mesures de TERA Tableau 8 : moyennes des mesures par tubes passifs Maugeri et TERA Tableau 9 : écart entre les mesures de Maugeri et de TERA Tableau 10 : résultats des mesures par les tubes actifs Tableau 11 : reproductibilité des mesures de TERA Tableau 12 : moyennes des mesures par tubes actifs TERA Tableau 13 : récapitulatif des mesures tubes actifs et analyseur Tableau 14 : récapitulatif des mesures analyseurs et tubes passifs Tableau 15 : récapitulatif des mesures tubes actifs et tubes passifs Tableau 16 : récapitulatif des mesures pour tous les appareils utilisés Tableau 17 : récapitulatif des écarts observés entre les différentes mesures ( Maugeri) Tableau 18 : récapitulatif des écarts observés entre les différentes mesures ( TERA) Page 23 sur 23

Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014»

Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Projet d ensemble commercial Ametzondo Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Remarques : Aucune émission ne sera prise en compte sur le parking pour un fonctionnement dominical.

Plus en détail

Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg

Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg Simulation état 2006 Avec le soutien de la Communauté Urbaine de Strasbourg Strasbourg Communauté Urbaine ASPA

Plus en détail

LIAISON A50 A57 TRAVERSEE

LIAISON A50 A57 TRAVERSEE LIAISON A5 A57 TRAVERSEE SOUTERRAINE DE TOULON SECOND TUBE (SUD) ANALYSE DES DONNEES DE QUALITE DE L AIR NOVEMBRE 27 A JANVIER 28 TOULON OUEST, PUITS MARCHAND, TOULON EST Liaison A5 A57 Traversée souterraine

Plus en détail

Exposition de la Population aux Polluants atmosphériques en Europe Projet PEOPLE à Bruxelles

Exposition de la Population aux Polluants atmosphériques en Europe Projet PEOPLE à Bruxelles Exposition de la Population aux Polluants atmosphériques en Europe Projet PEOPLE à Bruxelles Description du projet Parmi les activités liées à la santé qui sont menées à l Unité d Emissions et de Santé

Plus en détail

l entretien des chaudières

l entretien des chaudières Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d

Plus en détail

Introduction 1. 1/ Présentation de l étude 2. 1.1/ Contexte environnemental du port 2. 1.2/ Mode opératoire de l étude 3. 2/ Résultats de l étude 5

Introduction 1. 1/ Présentation de l étude 2. 1.1/ Contexte environnemental du port 2. 1.2/ Mode opératoire de l étude 3. 2/ Résultats de l étude 5 EVALUATION DE LA QUALITE DE L AIR SUR LA ZONE DU PORT DE NICE Janvier - Mars / Août - Septembre 25 SOMMAIRE Introduction 1 1/ Présentation de l étude 2 1.1/ Contexte environnemental du port 2 1.2/ Mode

Plus en détail

Quelle qualité de l air au volant? Premiers éléments de réponse en Ile-de-France

Quelle qualité de l air au volant? Premiers éléments de réponse en Ile-de-France Quelle qualité de l air au volant? ---------------------------- Les automobilistes sont nettement plus exposés à la pollution atmosphérique que les piétons, même à proximité des grands axes. Tel est le

Plus en détail

BILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011

BILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011 18/06/2012 QUALITAIR CORSE BILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011 Bilan PSQA 2010-2015 version 2012 Savelli Page blanche TABLE DES MATIERES Introduction... 1 1 Composition et financement de l association... 2

Plus en détail

Zoom sur le métier de technicien(ne) d exploitation

Zoom sur le métier de technicien(ne) d exploitation Bulletin trimestriel - mai - juin Zoom sur le métier de technicien(ne) d exploitation L équipe d Atmo Auvergne se compose de 12 personnes réparties dans les pôles : administration, études/communication,

Plus en détail

CHROMATOGRAPHE BTEX GC 5000 BTX

CHROMATOGRAPHE BTEX GC 5000 BTX FICHE PRODUIT - Le a été spécialement développé pour la surveillance en continu des polluants organiques dans l air ambiant dans la gamme C4-C12. L instrument se caractérise par son design compact et sa

Plus en détail

Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique?

Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Impact Climatique Impact sanitaire Les particules atmosphériques sont avant tout étudiées pour leurs impacts sur le climat et sur la santé humaine. 39 Réchauffement

Plus en détail

Emissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC)

Emissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) Emissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) SNCF DRH EPIC Prévention et Santé COMPOSITION DES EMISSIONS DIESEL MELANGE COMPLEXE DE SUBSTANCES

Plus en détail

L énergie en France et en Allemagne : comparaisons

L énergie en France et en Allemagne : comparaisons L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les

Plus en détail

Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès

Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès Andre Douaud Ancien Directeur Technique Constructeurs Français Automobiles CCFA À Rabat, Avril 21 Moteurs et Carburants

Plus en détail

Qualité de l environnement intérieur de bâtiments performants en énergie : premiers résultats d exploitation des données de la base nationale OQAI-BPE

Qualité de l environnement intérieur de bâtiments performants en énergie : premiers résultats d exploitation des données de la base nationale OQAI-BPE Qualité de l environnement intérieur de bâtiments performants en énergie : premiers résultats d exploitation des données de la base nationale OQAI-BPE DERBEZ Mickaël Chef de projet CSTB/OQAI Objectifs

Plus en détail

FICHE DE DONNEES DE SECURITE

FICHE DE DONNEES DE SECURITE PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille

Plus en détail

Document d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité

Document d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité Document d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité Février 2013 1 Liste de contrôle des essais de non-infériorité N o Liste de contrôle (les clients peuvent se servir de cette

Plus en détail

RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE

RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 RAISON SOCIALE JOHNSONDIVERSEY FICHE DE DONNEES DE SECURITE RISQUES SPECIFIQUES NON CLASSE 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE - NOM DU PRODUIT RAID PIEGES ANTI-FOURMIS

Plus en détail

Evaluation des performances métrologiques des appareils de mesure spécifiques de l'air intérieur

Evaluation des performances métrologiques des appareils de mesure spécifiques de l'air intérieur Air intérieur Evaluation des performances métrologiques des appareils de mesure spécifiques de l'air intérieur Décembre 2008 Programme 2008 C. MARCHAND PREAMBULE Le Laboratoire Central de Surveillance

Plus en détail

étiquetage des produits chimiques

étiquetage des produits chimiques Le nouveau règlementr GHS / CLP pour l él étiquetage des produits chimiques Carlo Erba RéactifsR actifs-sds Brigitte Coulange Les systèmes de classification existants au niveau mondial LE TOLUENE Au Canada,

Plus en détail

Table des matières. Date 31/01/2007 Remplace la version du 11/01/2006. Auteur et mise à jour Approuvé Type de document CBP monitoring de l air et MPP

Table des matières. Date 31/01/2007 Remplace la version du 11/01/2006. Auteur et mise à jour Approuvé Type de document CBP monitoring de l air et MPP Procére : Code de bonnes pratiques pour indivielle dans le cadre de travaux Table des matières 1 Objectif... 1 2 Champ d application... 1 3 Références... 1 4 Définitions... 1 5 Procére... 1 5.1 Introction...

Plus en détail

Energie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015

Energie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015 Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la

Plus en détail

VILLE DE QUÉBEC RÈGLEMENT R.V.Q. 416 RÈGLEMENT SUR LA QUANTITÉ ET LA QUALITÉ DES EAUX USÉES

VILLE DE QUÉBEC RÈGLEMENT R.V.Q. 416 RÈGLEMENT SUR LA QUANTITÉ ET LA QUALITÉ DES EAUX USÉES VILLE DE QUÉBEC RÈGLEMENT R.V.Q. 416 RÈGLEMENT SUR LA QUANTITÉ ET LA QUALITÉ DES EAUX USÉES Avis de motion donné le 18 août 2003 Adopté le 2 septembre 2003 En vigueur le 6 août 2004 NOTES EXPLICATIVES

Plus en détail

Le nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques

Le nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques Le nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques à l'incinérateur Mars 2010 Travaux publics Gestion des matières résiduelles CONTENU DE LA PRÉSENTATION 1. L incinérateur 2. Obligations

Plus en détail

Activ Air : la réponse de Placo qui va vous faire changer d air!

Activ Air : la réponse de Placo qui va vous faire changer d air! Activ Air : la réponse de Placo qui va vous faire changer d air! Qualité de l air intérieur : les enjeux Aldéhydes, benzène, allergènes toutes les dernières études (1) le confirment : la concentration

Plus en détail

Fiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson

Fiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson Fiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson Objectif : Valider ou réfuter des «précisions culinaires»* permettant de "conserver une belle couleur verte" lors la cuisson des haricots verts frais (gousses

Plus en détail

Surveiller la qualité de l air avec les élèves

Surveiller la qualité de l air avec les élèves Surveiller la qualité de l air avec les élèves L air que nous respirons est à la fois l affaire et la responsabilité de tous. La santé publique, l environnement et les conditions de vie future sur Terre,

Plus en détail

Le développement durable clé en main

Le développement durable clé en main Le développement durable clé en main Le développement durable au cœur de la stratégie d Assa Abloy 2 de la sécurité est un marché dynamique, tiré par les évolutions sociétales (besoins de sécurité grandissants,

Plus en détail

de l air pour nos enfants!

de l air pour nos enfants! B u l l e t i n d e l O Q A I n 1 Crèches et lieux d enseignement : de l air pour nos enfants! Le programme de l OQAI «Lieux de vie fréquentés par les enfants» a débuté en 2006. Une première phase de recueil

Plus en détail

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des

Plus en détail

pour les canalisations de transport 14 avril 2010-1 -

pour les canalisations de transport 14 avril 2010-1 - Arrêté multifluide du 4 août t 2006 pour les canalisations de transport 14 avril 2010-1 - Une volonté de l administration L ancien arrêté portant règlement de sécurité des ouvrages de transport de gaz

Plus en détail

Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement

Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement A l initiative de François Loos Ministre délégué à l Industrie Page 1 Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l

Plus en détail

Responsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON

Responsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON Responsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON P.1/11 Sommaire Préambule... 3 1. Politique sectorielle... 4 1.1 Objectif... 4 1.2 Portée...

Plus en détail

Mesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-013) Version CT-Q 2011-11-15

Mesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-013) Version CT-Q 2011-11-15 Mesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-03) Version CT-Q 0--5 Groupe cible Collaborateurs qui doivent effectuer des mesures EX-OX-TOX sur un terrain d exploitation, les interpréter

Plus en détail

Réussir son installation domotique et multimédia

Réussir son installation domotique et multimédia La maison communicante Réussir son installation domotique et multimédia François-Xavier Jeuland Avec la contribution de Olivier Salvatori 2 e édition Groupe Eyrolles, 2005, 2008, ISBN : 978-2-212-12153-7

Plus en détail

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la

Plus en détail

Phénomènes dangereux et modélisation des effets

Phénomènes dangereux et modélisation des effets Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE

Plus en détail

E T U D E P R E A L A B L E

E T U D E P R E A L A B L E E T U D E P R E A L A B L E P r e s s i n g s : T e c h n o l o g i e s a l t e r n a t i v e s a u p e r c h l o r o é t h yl è n e 2 0 1 3 CNIDEP 4 rue de la Vologne 54520 LAXOU Tél : 03.83.95.60.88

Plus en détail

DOSSIER : L OZONE SOUS TOUTES SES COUTURES

DOSSIER : L OZONE SOUS TOUTES SES COUTURES DOSSIER : L OZONE SOUS TOUTES SES COUTURES Avec le soleil et la chaleur de l été, c est aussi les épisodes de pollution à l ozone qui reviennent. Le dossier ci-dessous propose de répondre aux 12 questions

Plus en détail

Épreuve collaborative

Épreuve collaborative Épreuve collaborative Épreuve collaborative 1. Faire une présentation de quelqu idé fort relativ au mix énergétique (ou bouquet énergétique). (Exposé de 5 minut maximum) 2. Faut-il encore brûler le charbon?

Plus en détail

Rapport d'expertise. Réalisé pour le compte de la DRIRE Ile-de-France. par :

Rapport d'expertise. Réalisé pour le compte de la DRIRE Ile-de-France. par : Rapport d'expertise CARTOGRAPHIE DES NIVEAUX DE BENZENE EN ILE-DE-FRANCE & EVALUATION DE L'EXPOSITION POTENTIELLE DE LA POPULATION FRANCILIENNE A LA POLLUTION PAR LE BENZENE Réalisé pour le compte de la

Plus en détail

Information sur «LEED 2009» - Canada & U.S.

Information sur «LEED 2009» - Canada & U.S. Information sur «LEED 2009» - Canada & U.S. En 2009, le USGBC a lancé à nouveau sa série de systèmes d évaluation et a harmonisé les deux systèmes LEED NC (pour «New Construction») et LEED CS (pour «Core

Plus en détail

MICHEL ET AUGUSTIN DOSSIER 1 : Conquérir un nouveau secteur géographique

MICHEL ET AUGUSTIN DOSSIER 1 : Conquérir un nouveau secteur géographique Session 2013 BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR NÉGOCIATION ET RELATION CLIENT Corrigé E5 : Management et gestion d activités commerciales VERSION 23 MAI 2013 MICHEL ET AUGUSTIN DOSSIER 1 : Conquérir un nouveau

Plus en détail

Cet article s attache tout d abord

Cet article s attache tout d abord Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de

Plus en détail

allianceautopropane.com

allianceautopropane.com allianceautopropane.com QUI EST ALLIANCE AUTOPROPANE? LE PLUS GRAND RÉSEAU D AUTOPROPANIERS EN AMÉRIQUE Alliance AutoPropane est un réseau de propaniers qui se consacre à la distribution et à la vente

Plus en détail

Fiche de données de sécurité

Fiche de données de sécurité Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION

Plus en détail

RÉDUIRE LES EFFETS DU TRANSPORT ROUTIER DE MARCHANDISES SUR L ENVIRONNEMENT

RÉDUIRE LES EFFETS DU TRANSPORT ROUTIER DE MARCHANDISES SUR L ENVIRONNEMENT DIRCTION D LA COMMUNICATION CORPORAT D O S S I R D PRSS Lyon / Mars 2013 RÉDUIR LS FFTS DU TRANSPORT ROUTIR D MARCHANDISS SUR L NVIRONNMNT Pour réduire les effets sur l environnement tout au long du cycle

Plus en détail

DÉVELOPPER LE GAZ NATUREL DANS LES TRANSPORTS

DÉVELOPPER LE GAZ NATUREL DANS LES TRANSPORTS DÉVELOPPER LE GAZ NATUREL DANS LES TRANSPORTS Les enjeux pour la transition énergétique Didier Lebout, Strategy and Development Director Gazprom Marketing and Trading France Deauville, 28 juin 2013 Dans

Plus en détail

la climatisation automobile

la climatisation automobile Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous

Plus en détail

III RESULTATS LE LONG DU TRACE PREFERENTIEL DE LA LIGNE 2

III RESULTATS LE LONG DU TRACE PREFERENTIEL DE LA LIGNE 2 FUTURE LIGNE 2 DE TRAMWAY DE L'AGGLOMERATION DE MONTPELLIER Etat initial des principaux traceurs de la pollution liée au trafic routier Résumé Rédacteur : AFM Date : 29/1/3 pages I CONTEXTE Etude réalisée

Plus en détail

N DRC-10-109454-02386B Rapport final

N DRC-10-109454-02386B Rapport final RAPPORT D ÉTUDE 25 juin 2010 N DRC-10-109454-02386B Rapport final Gestion des sites et sols pollués : Caractérisation de la qualité de l'air ambiant intérieur en relation avec une éventuelle pollution

Plus en détail

Ensemble nous aurons l air meilleur!

Ensemble nous aurons l air meilleur! Les bons gestes au quotidien pour préserver la qualité de notre air Ensemble nous aurons l air meilleur! Saviez-vous que nous avons besoin d un litre et demi d eau et de 14 000 litres d air par jour pour

Plus en détail

Depuis les années 1930, la production mondiale

Depuis les années 1930, la production mondiale PRÉVENTION Cancers et substances chimiques Depuis les années 1930, la production mondiale de produits chimiques a été multipliée par 400. Parmi les 100000 substances chimiques recensées dans l Union européenne

Plus en détail

LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE?

LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE? LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE? Jean-Pierre SAWERYSYN 1 Matthieu OGET 2 Corinne SCHADKOWSKI 3 Judith TRIQUET 3 1 Professeur honoraire de l Université de Lille I, vice-président

Plus en détail

SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR

SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable

Plus en détail

8 Certifications Minergie

8 Certifications Minergie 8 Chapitre 8 Être Minergie, est-ce aussi être «autrement»? Pour de nombreux acteurs du marché immobilier, un label de durabilité devrait s accompagner d une appréciation de la valeur de leur immeuble,

Plus en détail

LA nouvelle station service. économies. Green up prises et bornes de recharge. (durables) rechargeable

LA nouvelle station service. économies. Green up prises et bornes de recharge. (durables) rechargeable 1 LA nouvelle station service économies (durables) Green up prises et bornes de recharge pour VÉHICULE ÉLECTRIQUE OU HYBRIDE rechargeable 2 VÉHICULES ÉLECTRIQUES / HYBRIDES RECHARGEABLES Un marché qui

Plus en détail

Questionnaire sur l évaluation des ampoules à basse consommation d énergie et de longue durée de vie

Questionnaire sur l évaluation des ampoules à basse consommation d énergie et de longue durée de vie Questionnaire sur l évaluation des ampoules à basse consommation d énergie et de longue durée de vie Edition: juillet 2013 SuperDrecksKësct B.P. 43 L-7701 olmar-berg Tel. : 00352 488 216 1 Fax : 00352

Plus en détail

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre

Plus en détail

Analyse et interprétation des données

Analyse et interprétation des données 8 Analyse et interprétation des données Les données de l enquête peuvent être utilisées pour différents types d analyses aussi bien au niveau national qu au niveau international. Ce chapitre explique comment

Plus en détail

Gestion des déchets dangereux dans les entreprises

Gestion des déchets dangereux dans les entreprises Actualités Gestion des déchets dangereux dans les entreprises Avril 2012 - Fiche n 1 Rédigée par Margot Liatard CCIR Champagne-Ardenne Qu est ce qu un déchet dangereux? Les déchets dangereux sont des déchets

Plus en détail

COMMENTAiRES/ DECISIONS

COMMENTAiRES/ DECISIONS Plate-forme d'échanges affichage environnemental des PGC Date : 2009-12-21 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org GT Méthodologie Numéro du document: N

Plus en détail

Prescriptions Techniques

Prescriptions Techniques Prescriptions Techniques Application du décret n 2004-555 du 15 juin 2004 relatif aux prescriptions techniques applicables aux Canalisations et Raccordements des installations de transport, de distribution

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la

Plus en détail

Contact cutané. Contact avec les yeux. Inhalation. Ingestion.

Contact cutané. Contact avec les yeux. Inhalation. Ingestion. FICHE SIGNALÉTIQUE 995-01 Canutec 1-613-996-6666 (24 heures) 1. PRODUIT CHIMIQUE ET FOURNISSEUR Identification du produit : 995-01 Nom du produit : Graisse montage pneu Famille chimique : Mélange Fournisseur/Fabricant

Plus en détail

SYNTHESE SUR L ETUDE DES METIERS DU PRESSING - Janvier 2008 -

SYNTHESE SUR L ETUDE DES METIERS DU PRESSING - Janvier 2008 - SYNTHESE SUR L ETUDE DES METIERS DU PRESSING - Janvier 2008 - OBJECTIF DE L ETUDE L objectif de cette étude est de répertorier tous les risques professionnels dans un pressing (base de l évaluation des

Plus en détail

EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON

EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement

Plus en détail

Sommaire. Page d accueil. Comment effectuer une mise à jour? Comment insérer le logo de sa société? Comment effectuer une sauvegarde?

Sommaire. Page d accueil. Comment effectuer une mise à jour? Comment insérer le logo de sa société? Comment effectuer une sauvegarde? Sommaire Page d accueil Comment effectuer une mise à jour? Comment insérer le logo de sa société? Comment effectuer une sauvegarde? Page Tiers Comment créer un tiers (client et/ou fournisseur)? Comment

Plus en détail

CARTOGRAPHIE FINE DES NIVEAUX DE DIOXYDE D AZOTE DANS LE COEUR DENSE DE L AGGLOMÉRATION PARISIENNE. Janvier 2012

CARTOGRAPHIE FINE DES NIVEAUX DE DIOXYDE D AZOTE DANS LE COEUR DENSE DE L AGGLOMÉRATION PARISIENNE. Janvier 2012 CARTOGRAPHIE FINE DES NIVEAUX DE DIOXYDE D AZOTE DANS LE COEUR DENSE DE L AGGLOMÉRATION PARISIENNE Janvier 2012 AIRPARIF Surveillance de la Qualité de l Air en Ile-de-France Cartographie fine des niveaux

Plus en détail

Le changement de fournisseur ne nécessite pas d intervention technique sur le réseau, ni de modification de votre installation de gaz.

Le changement de fournisseur ne nécessite pas d intervention technique sur le réseau, ni de modification de votre installation de gaz. FAQ - Professionnels Thématiques Votre projet Equipements Le marché de l'énergie La société Votre projet Le gaz peut-il être coupé si je change de fournisseur? Non! Le gestionnaire de réseau assure la

Plus en détail

SECTION 3: Composition/informations sur les composants 3.2. Mélanges % CAS # (EC) No 1272/2008 1999/45/EC Deuterium oxide 99.

SECTION 3: Composition/informations sur les composants 3.2. Mélanges % CAS # (EC) No 1272/2008 1999/45/EC Deuterium oxide 99. FICHE TECHNIQUE SANTE-SECURITE Selon la règlementation (CE) n 1907/2006 Date de la modification: 07/10/14 www.restek.com SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise

Plus en détail

RISQUE CHIMIQUE : VÉRIFIER L EFFICACITÉ DES ACTIONS DE PRÉVENTION COLLECTIVE

RISQUE CHIMIQUE : VÉRIFIER L EFFICACITÉ DES ACTIONS DE PRÉVENTION COLLECTIVE RISQUE CHIMIQUE : VÉRIFIER L EFFICACITÉ DES ACTIONS DE PRÉVENTION COLLECTIVE >> www.cramif.fr RISQUE CHIMIQUE : LE SUIVI DES MESURES DE PRÉVENTION Dans le cas du risque chimique, lorsque la substitution

Plus en détail

Révolutionnaire en bois. Le bois durable pour les constructions nouvelles et renovées

Révolutionnaire en bois. Le bois durable pour les constructions nouvelles et renovées Révolutionnaire en bois Le bois durable pour les constructions nouvelles et renovées Valeur isolation (λ D 0,095 W/(m 2.K)) - (λ 90/90 0,092 W/(m 2.K)) Facile à l entretien 2 Classe de durabilité 2 3 brevets

Plus en détail

Prise en compte des aspects sanitaires dans les Plans Régionaux pour la Qualité de l Air.

Prise en compte des aspects sanitaires dans les Plans Régionaux pour la Qualité de l Air. Prise en compte des aspects sanitaires dans les Plans Régionaux pour la Qualité de l Air. Bilan des études d impact sanitaires de la pollution atmosphérique urbaine réalisées Ce document a été réalisé

Plus en détail

Un avertisseur de monoxyde de carbone peut sauver des vies

Un avertisseur de monoxyde de carbone peut sauver des vies Un avertisseur de monoxyde de carbone peut sauver des vies Protégezvous! Le monoxyde de carbone est un gaz toxique présent dans votre maison il peut tuer rapidement INODORE INCOLORE SANS SAVEUR Pourquoi

Plus en détail

SVE 222 & PCL-442. Fascicule de Travaux Pratiques

SVE 222 & PCL-442. Fascicule de Travaux Pratiques SVE 222 & PCL-442 Fascicule de Travaux Pratiques 2014-2015 Institut Supérieur de l Education et de la Formation Continue Bassem Jamoussi & Radhouane Chakroun 1 Sommaire PCL 442/SVE222 - TP N 1 : Etude

Plus en détail

Surveillance de la qualité de l air : Description du système français d'assurance qualité

Surveillance de la qualité de l air : Description du système français d'assurance qualité Surveillance de la qualité de l air : Description du système français d'assurance qualité NOVEMBRE 2010 Tatiana Macé (LNE) François Mathé (EMD) Eva Léoz-Garziandia (INERIS) PREAMBULE Le Laboratoire Central

Plus en détail

Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d

Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes à l habitation et aux déplacements d des ménagesm Exemple d un ménage de 3 personnes habitant un logement de 100m² à Lille Métropole Mars

Plus en détail

Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir?

Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir? Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir? Renseignements sur la fumée secondaire et tertiaire Qu est-ce que la fumée secondaire? La fumée secondaire est une combinaison de fumée

Plus en détail

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases

Plus en détail

ÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN

ÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN ÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN 2015 Révision du Plan de Protection de l Atmosphère

Plus en détail

HUMI-BLOCK - TOUPRET

HUMI-BLOCK - TOUPRET FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET

Plus en détail

galités s sociales de cancer chez les travailleurs

galités s sociales de cancer chez les travailleurs Inégalit galités s sociales de cancer chez les travailleurs Annie Thébaud baud-mony INSERM/GISCOP93, Université Paris13 Rencontres francophones internationales sur les inégalit galités s sociales et de

Plus en détail

Avertisseur de monoxyde de carbone

Avertisseur de monoxyde de carbone Avertisseur de monoxyde de carbone À quoi sert l avertisseur de monoxyde de carbone? L avertisseur de monoxyde de carbone est un petit appareil conçu pour mesurer, sur une base continue, la concentration

Plus en détail

ASSURANCES DE DOMMAGES INCENDIE DE L ANALYSE AU COÛT DU RISQUE

ASSURANCES DE DOMMAGES INCENDIE DE L ANALYSE AU COÛT DU RISQUE ASSURANCES DE DOMMAGES INCENDIE DE L ANALYSE AU COÛT DU RISQUE 25 septembre 2013 Patrick Biot - agréé CNPP 1 AGREPI? ASSOCIATION DES INGÉNIEURS & CADRES SPÉCIALISTES DE LA MAÎTRISE DES RISQUES INCENDIE

Plus en détail

De La Terre Au Soleil

De La Terre Au Soleil De La Terre Au Soleil Atelier d Architecture S. Anwoir Architecte Les motivations Respect environnemental et investissement à long terme: Participation au développement durable (protéger notre environnement,

Plus en détail

Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007

Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Philippe de DONATO Université de Lorraine/CNRS Co-auteurs: C. PRINET, B. GARCIA, H. LUCAS, Z. POKRYSZKA, S. LAFORTUNE, P. FLAMANT, F. GIBERT, D. EDOUART,

Plus en détail

Le bulletin de la mesure et de la caractérisation des polluants dans les rejets atmosphèriques

Le bulletin de la mesure et de la caractérisation des polluants dans les rejets atmosphèriques Le bulletin de la mesure et de la caractérisation des polluants dans les rejets atmosphèriques N 1 : Mesure des Composés Organiques Volatils Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports

Plus en détail

SOLAIRE BALLERUP LA VILLE CONTEXTE. (Danemark) Ballerup

SOLAIRE BALLERUP LA VILLE CONTEXTE. (Danemark) Ballerup SOLAIRE BALLERUP (Danemark) Utiliser l énergie solaire thermique avec un système de stockage de chaleur classique à accumulation et à régulation sur une longue période est une des alternatives les plus

Plus en détail

Vulcano Pièges Fourmis

Vulcano Pièges Fourmis FDS Conforme au règlement 1907/2006/CE et 1272/2008/CE 16-12-10- Page 1/5 FICHES DE DONNEES DE SECURITE 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Produit : Utilisation : Fournisseur : Vulcano Pièges

Plus en détail

L empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés

L empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés L empreinte carbone des banques françaises Résultats commentés Le cabinet de conseil Utopies et l association Les Amis de la Terre publient le 22 novembre 2010 l empreinte carbone des groupes bancaires

Plus en détail

Estimer le poids spécifique du maïs bien mûri après le séchage... 17-4. Classement... 17-15

Estimer le poids spécifique du maïs bien mûri après le séchage... 17-4. Classement... 17-15 17. Maïs Détermination du taux d impuretés... 17-2 Définitions... 17-2 Impuretés non déclarées... 17-2 Procédure normale de nettoyage... 17-2 Composition des impuretés... 17-3 Estimer le poids spécifique

Plus en détail

Les positions de l UFC-Que Choisir dans la dynamique du Grenelle

Les positions de l UFC-Que Choisir dans la dynamique du Grenelle SYNTHESE Plusieurs études (OQAI -Observatoire de la Qualité de l'air Intérieur-, UFC-Que Choisir ) ont montré que l air que nous respirons est 5 à 10 fois plus pollué à l intérieur qu à l extérieur. Trois

Plus en détail

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4) PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com

Plus en détail

Fiche de données de sécurité selon 1907/2006/CE, Article 31

Fiche de données de sécurité selon 1907/2006/CE, Article 31 Page : 1/5 1 Identification de la substance/du mélange et de la société/l'entreprise Identificateur de produit Utilisations identifiées pertinentes de la substance ou du mélange et utilisations déconseillées

Plus en détail

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN 21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de

Plus en détail

GASMAN II MANUEL D UTILISATION

GASMAN II MANUEL D UTILISATION ANALYSE DETECTION SECURITE GASMAN II MANUEL D UTILISATION SOMMAIRE 1. INTRODUCTION ---------------------------------------------------------------------------------- P 2 2. CARACTERISTIQUES DE L APPAREIL----------------------------------------------------

Plus en détail