Ludovic N KOSI Interne des hôpitaux de Paris
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- Étienne Labonté
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1 Ludovic N KOSI Interne des hôpitaux de Paris Mercredi 13 novembre 2013
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3 OBJ ET : étude pilote testant l efficacité de l eplenerone (un antagoniste du récepteur aux minéralocorticoïdes) dans le traitement de la CRSC chronique, sur la base de données expérimentales, suggérant que la CRSC pourrait provenir de l hyperactivation d un récepteur aux mineralocorticoïdes situé dans les vaisseaux choroïdiens.
4 MATERIEL ET METHODES : - Essai non randomisé, incluant 13 patients avec une CRSC depuis au moins 4 mois. -Traités par eplenerone PO 25 mg/j pendant 1 semaine, puis 50 mg/j pendant 1 ou 3 mois. - Critère de jugement princ : épaisseur maculaire OCT - Critères de jugement secondaires : modifications du DSR, AV, pourcentage d yeux ayant résolu le DSR pendant la période du traitement -Inclusion des patients entre janvier 2010 et avril 2012
5 RESULTATS: -Diminution de l épaisseur maculaire à 1 mois : 352 ± 139 mm Vs 246 ±113 mm (p =0.05) -Diminution de l épaisseur maculaire à 3 mois : 352 ± 139 mm Vs 189 ±99 mm (p =0.01). - Amélioration de l acuité visuelle (log MAR) : 0.52 ± 0.24 Vs 0.34 ±0.22 à 1 mois et 0.27 ±0.19 à 3 mois (p =0.001).
6 RESULTATS: -Diminution de la taille du DSR : 175 ±123 mm Vs 96 ± 97 mm à 1 mois et 36 ±55 mm à 3 mois. - Résorption totale du DSR chez 25% des patients à 1 mois, et 67% des patients à 3 mois. -Effets secondaires : 0 trouble ionique (K+, créat)
7 RESULTATS :
8 RESULTATS:
9 CONCLUSIONS: -Le traitement par eplenerone semble être efficace pour le traiter une CRSC chronique. - Des études randomisées controlées plus poussées sont nécessaires : - Pour confirmer ces données - Pour évaluer la dose necessaire - Pour évaluer la tolérance - Cette étude serait en cours A suivre!
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11 OBJ ET : -Evaluer les résultats de la vitrectomie, par l AV et les complications per et postopératoires. - Sur des yeux myopes forts avec maculopathie tractionnelle à différents stades. - Evaluer également les conséquences du pelage de la limitante interne (MLI) sur l AV et les complications per et postopératoires.
12 MATERIEL ET METHODES : - Etude observationnelle monocentrique : analyse de dossiers médicaux concernant 71 yeux (64 patients), sept 98 à fev Inclusion : V3V pour maculopathie tractionnelle (MT), chez des myopes forts (<-8D; LA >26 mm). -MT en 3 groupes en fonction de l OCT préop : - 26 Retinoschisis maculaires sans décollement fovéolaire - 30 Décollements fovéolaires, avec ou sans retinoschisis - 15 Trous maculaires.
13 MATERIEL ET METHODES : -V3V avec ou sans pelage limitante interne - PKE +ICP si cataracte ou >55 ans. - Tamponnement par gaz ou silicone si trou maculaire ou déchirure rétinienne. -Suivi post op au moins 1 an (13 mois à 116 mois) - Acuité visuelle convertie en logmar pour être analysée
14 RESULTATS: - Groupes homogènes - L AV moyenne pré opératoire était de : / logmar - Était augmentée à 1 an : 0.49+/ logmar à 1 an (p =0.0021) - Était augmentée à la visite finale : / logmar (p =0.0002)
15 RESULTATS: - L AV était significativement meilleure à 1 an et à la visite finale, dans les groupes retinoschisis et décollement fovéolaire - L AV n était pas améliorée à 1 an, ni à la visite finale chez les trous maculaires.
16 RESULTATS: - L AV était significativement meilleure à la visite finale, dans le groupe retinoschisis, avec pelage de la limitante interne -L AV était significativement meilleure à 1 an et à la visite finale, dans le groupe décollement fovéolaire, avec pelage de la limitante interne.
17 RESULTATS: - L AV n était pas améliorée par le pelage de la limitante interne dans le groupe des trous maculaires.
18 RESULTATS: - Complications : décollement maculaire tractionnel plus fréquent dans le groupe sans pelage
19 CONCLUSIONS : - V3V augmente l AV dans les maculopathies tractionnelles du myope fort, pour les décollements fovéolaires et retinoschisis. - L AV est meilleure lorsque l on fait un pelage de la limitante interne dans les retinoschisis et decollements foveolaires - La complication principale est la récidive de la maculopathie tractionnelle, lorsque l on ne fait pas de pelage.
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21 OBJ ET : - Comparer les résultats anatomiques et fonctionnels du décollement de rétine rhegmatogène primitif chez les myopes forts, selon le statut phaque ou pseudophaque.
22 MATERIEL ET METHODES : - Etude bicentrique prospective, incluant 191 yeux consécutifs (151 phaques et 40 pseudophaques) entre 2004 et Inclusion : décollement de rétine rhegmatogène chez un myope fort (LA >26 mm), sans ATCD de chirurgie vitreoretinienne, de trauma ni autre pathologie rétinienne. - Chirurgie du DR selon différent modes en fonction des caractéristiques de la déch
23 MATERIEL ET METHODES : - Suivi à 1 mois, 6 mois ou plus après chirurgie -Critères de jugement : - Taux de réapplication de la rétine à 6 mois - AV à 6 mois - Complications per op et post op
24 RESULTATS : - Les pseudophaques étaient plus âgés, avaient une moins bonne dilatation pupillaire, et moins de déchirures rétiniennes en pré opératoire. - Les pseudopaques ont eu plus souvent recours à une V3V - Les pseudophaques ont eu un plus grand taux de reapplication de la rétine à 6 mois (92% Vs 80.7%)
25 RESULTATS:
26 RESULTATS
27 RESULTATS
28 RESULTATS : - L analyse en régression logistique a montré qu il y avait 3 variables indépendantes significativement associées à une bonne acuité visuelle finale (>20/40): - L AV initiale >20/40, OR =0.19, p = La LA, OR =0.57, p= La V3V, OR =0.33, p=0.004
29 RESULTATS
30 CONCLUSIONS : -Le pronostic du DR n est pas en rapport avec le statut phaque ou pseudophaque, peu importe la technique - Bien que l anatomie des yeux myopes est particulières, les taux de succès de la chirurgie sont proches de ceux des yeux emmetropes (96% de succès) d après la littérature. - Le pronostic visuel semble plus lié à la myopie forte elle-même (LA, complications maculaires), et à l AV de départ
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32 BUT : évaluer l incidence, l évolution, les caractéristiques cliniques, les possibles facteurs de risque ou préventifs, et les conséquences visuelles des récidives de MER.
33 MATERIEL ET METHODES : - Etude retrospective incluant 440 yeux (440 patients), ayant subi une vitrectomie pour MER. - Limitante pelée dans 266 cas avec vert d indocyanine et dans 45 cas avec brillant blue, et le reste sans colorant -Les cas de récidive de MER symptomatiques ont été réopérés. - Durée de suivi =3.5 +/- 1.7 ans
34 RESULTATS : - L incidence des récidives était de 5% - 2% des patients ont été réopérés (symptomatiques) - Parmi les récidives, 41% étaient symptomatiques, donc réopérés (soit 2% des patients au total). - Le pelage de la limitante interne était le seul facteur préventif de récidive significatif (OR =0.33, p=0.026) - L utilisation de colorants ne prévient pas la récidive de la MER
35 RESULTATS :
36 RESULTATS :
37 RESULTATS :
38 RESULTATS : - En cas de récidive, l absence de pelage MLI, 2 facteurs semblent être associés à une risque augmenté de récidive symptômatique (donc une réintervention) : - L existence d une MER sur l autre œil - La basse acuité visuelle préop
39 RESULTATS :
40 CONCLUSIONS : - Le pelage de la MLI réduit la probabilité de récidive, mais semble également améliorer le pronostic visuel des récidives de MER. - L utilisation de colorants ne réduit pas le taux de récidives, par rapport aux MLI pelées sans colorants
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42 - - OBJ ET : Evaluer l apport de l OCT dans le diagnostic et la prise en charge des pathologies de l interface vitreomaculaire. Préciser les indications potentielles de la vitréolyse pharmacologique par
43 MATERIEL ET METHODES : -Analyse de la littérature concernant le diagnostic OCT et la prise en charge des pathologies de l interface vitréo-maculaire. - Confrontation aux résultats de l essai de phase 3 ayant permis l autorisation de l ocriplasmine dans le traitement de la traction vitréomaculaire symptomatique
44 RESULTATS: -Classification des pathologies de l interface vitréomaculaire : - DPV : phenomène physiologique lié à l âge. - Anomalies du DPV : macula, NO, base vitré. - Adhérence vitréo-maculaire et traction vitreomaculaire
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47 Trou maculaire avec opercule : 2 coupes à 90 =>persistance TVM?
48 Membrane épimaculaire : implique des complications propres indépendamment de l existence d une TVM : plis maculaires, pseudo-trous.
49 -Données sur l efficacité de l ocriplasmine dans les TVM symptômatiques : - Fermeture des trous maculaires à J 28 apres 1 injection d ocriplasmine =40,6% (Vs 10,6% placebo). -Fermeture des TM en fonction de la taille à J 28 : 58.3% petits TM, 36.8% moyens TM et 0% larges TM -TVM ou TM isolé =34,7% de résolution Vs TVM ou TM +MEM =8,7%.
50 CONCLUSIONS : -Indications de l ocriplasmine paraît licite pour : - TM petits et moyens, en l absence de MEM - TVM symptomatique sans MEM - Mais pas assez de recul sur l ocriplasmine. - Etudes plus poussées?? ocriplasmine Vs chirurgie : efficacité/ morbidité.
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