Réunion multidisciplinaire sur Hp En Algérie Recommandations de bonne pratique clinique
|
|
- Gérard St-Germain
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Réunion multidisciplinaire sur Hp En Algérie Recommandations de bonne pratique clinique En marge des XXVIIème Journées Nationales de la Société Algérienne d Hépato- Gastroentérologie et d Endoscopie Digestive (SAHGEED) des 17,18 & 19 Décembre 2015, Hôtel le Méridien, Oran, s est tenue une réunion le 18 décembre 2015 sur la prise en charge de l infection à Helicobacter pylori en Algérie. Ont participé à cette réunion : Pr. Abdelmalek Balamane, hépato-gastroentérologue, chef de service gastroentérologie, CHU Béni Messous Pr. Mohamed Amine Boudjella, Médecine Interne, EPH Kouba, Pr. Nassima Bounab, hépato-gastroentérologue, service gastro-entérologie, CHU Mustapha Pr. Schahrazed Hakem, hépato-gastro-entérologue, chef de service gastro-entérologie, CHU Oran Pr. Malika Baghdadi, hépato-gastroentérologue, chef de service gastro-entérologie, HMR Oran Pr. M hamed Nakmouche, hépato-gastroentérologue, chef de service gastroentérologie, CHU Bab El Oued Pr. Hamza Bouasria, hépato-gastroentérologue, chef de service gastro-entérologie, EHU Oran Pr. Zine Charaf Amir, Chef de service anatomie pathologie, CHU Mustapha Dr. Salaheddine Hadj-Mati, hépato-gastroentérologue, HCA Ain Naadja, (représentant du Pr A Bousseloub, chef de service) Pr. Fazia Djennane, Maitre de conférence B, Microbiologie, CHU Mustapha (service du Pr M Tazir) Pr. Mounira Korichi, chef de service Microbiologie, IPA Dely Ibrahim, Alger Mostefa Moubri, Service pédiatrie, CHU Parnet Dr. Karim Layaida, Maitre assistant, Hépato-gastroentérologie, CHU Mustapha Noureddine Taouchichet, Hépato-gastroentérologue, secrétaire général de l AGELA (Société Algérienne des Gastro-entérologues libéraux d Alger) Coordinateur : Pr. Saadi Berkane, Président de la SAHGEED, Hépato-gastro-entérologue, chef de service Gastroentérologie, CHU Mustapha. Une seconde réunion a eu lieu à l Amphithéâtre Baiod du service de gastroentérologie, CHU Mustapha le à 13h30. Ont participé à cette réunion : Pr. Zine Charaf Amir, Dr. Salaheddine Hadj-Mati, Dr. Karim Layaida, Dr. Noureddine Taouchichet, Pr. Abdelmalek Balamane, Pr. Nassima Bounab, Pr. Kafia Belhocine (Hépato-Gastroentérologie, CHU Mustapha), Pr. A. Tebaibia (Médecine Interne, EPH Kouba), Pr. S. Ait Younes (service anatomie pathologie, CHU Mustapha), Pr. T. Boucekkine (Gastro-entérologie, CHU Mustapha), Dr Djennane Fazia (Microbiologie médicale CHU Mustapha). Absence excusée : M.A. Boudjella, M. Korichi, M. Moubri, S. Hakem, M. Baghdadi, M. Nakmouche, H. Bouasria.
2 La réunion s est déroulée sous forme de questions réponses sur les principales actions à entreprendre pour une prise en charge optimale de l infection à Hp en Algérie. En cas de discordance, la réponse retenue était celle obtenue après un vote majoritaire. 1ère question : faut-il réaliser des études épidémiologiques évaluant la prévalence de l infection à Hp en Algérie? Non à l unanimité, la forte prévalence de l infection à Hp au sein de notre population est élevée et reconnue de l ordre de 78 à 92%. -Oran, sur 400 donneurs de sang, 78% avaient les stigmates sérologiques d une infection à Hp. Megraud F. Brassens-Robbe MP, Belbouri A. Hoa DG. Seroepidemiology of Campylobacter pylori infection in various populations. J Clin Microbiol. 1989; 27: Alger, 800 donneurs de sang, 92% étaient Hp + 5 (2004 à 2005). Touchene B, Matougui N, Guecchi Z, Bouhadef A, Berrah H, Larras R, Moubri M, Boudjella MA. L infection à Helicobacter pylori chez l adulte dans un pays en voie de développement: l exemple de l Algérie. La lettre de l infectiologue TOME XXII: Ghardaia, 272 Donneurs de sang, prévalence de l infection Hp 87% (2009). Guechi Z, Nait Kaci S, Riad H, Kechroud M, Bouhadef A, Mouffok F, Berrah H, Bendissari K. Séroprévalence de l infection à Helicobacter pylori chez les donneurs de sang dans une ville du Sud Algérien. Saidal Santé Fev; 14: Alger, sur 488 patients, 405 soit 88% étaient Hp+. Lésions gastro-duodénales et infection à Helicobacter pylori chez l adulte symptomatique à Alger. K. Belhocine, T. Boucekkine, 2003 Dakar, Sénégal. Chez l enfant Algérien, le taux d infection par Helicobacter pylori est très élevé chez l enfant symptomatique; 75 à 80%. Moubri et al. LARH 2006, 2011) Benallal K et al. Prévalence de l infection à H pylori chez une population pédiatrique saine. Archives de pédiatrie 2015; 22: Le taux d infection dépasse souvent les 80% dans les pays émergents, il est de 20 à 40% dans les pays développés. Bruce MG, Maaroos HI. Epidemiology of Helicobacter pylori infection. Helicobacter 2008; 13 (Suppl 1):1-6.
3 La prévalence du cancer de l estomac en Algérie (adénocarcinome et lymphome gastrique) reste faible, soulignant l intervention d autres facteurs que l infection à Hp dans cette pathologie. Il reste cependant, le second cancer digestif masculin et le 3 ème cancer digestif chez la femme. Selon le registre des cancers d Alger, l incidence était de 7,4 / habitants chez l homme et 7/ habitants chez la femme Abid L. Epidémiologie des cancers en Algérie : problématique des registres des cancers. J. Afr. Cancer 2009 ; 1 : Chez qui rechercher systématiquement Hp et l éradiquer? Quel est l impact de son éradication sur les différentes pathologies gastroduodénales? Selon les recommandations des guidelines internationaux. Malfertheiner P, Mégraud F, O Morain C and al. Management of Helicobacter pylori infection - The Maastricht IV/Florence Consensus Report. Gut 2012; 61: Ulcère gastrique ou duodénal: améliore la cicatrisation, prévient la récidive et réduit le risque hémorragique. Eradication de Hp ; son influence sur l évolution de l ulcère gastro-duodénal au cours du jeune de ramadhan thèse Nakmouche, Gut 1996 ; 45, A193 Roma. -Lymphome du MALT : Lymphomes gastriques et éradication de Helicobacter pylori Etude prospective. Kaddache N et al. 6 ème Journées Nationales de Médecine Interne, Alger Juin à 80% de rémission prolongée dans les formes localisées à la muqueuse (sous muqueuse), de bas grade de malignité, sans adénopathie péri-gastrique et en l absence de translocation t (11;18). L éradication de H. pylori est en principe réservée aux lymphomes de statut H. pylori positif (histologie et/ou sérologie positive), mais conseillée même si le statut H.pylori est négatif (Park, 2010). L éradication de H. pylori est recommandée comme traitement de première ligne pour les lymphomes du MALT de bas grade au stade précoce IE-IIE1 selon la classification d'ann Arbor modifiée. Les taux de rémission complète sont de 80% pour les formes de stade IE (évaluées par écho-endoscopie) et de statut H. pylori positif. Une translocation t (11;18) dans les cellules tumorales s accompagne d une résistance du lymphome à l éradication de H. pylori.
4 Chen LT, Lin JT, Kim YH, Chen GH, Yeh HZ, Yang SS. MALT RMI Long-term results of anti helicobacter pylori in early stage gastric high grade transformed MALT lymphoma. J Nalt Cancer inst 2005; 97: Dans le cas des lymphomes diffus à grandes cellules B (DLBC), l éradication de H. pylori est systématique en vue de traiter l éventuelle prolifération à petites cellules de type MALT associée. -La prise d AINS ou d aspirine à faible dose avec UGD compliqué ou non (réduction du risque hémorragique) -Dyspepsies chroniques En cas de dyspepsie survenant chez le sujet jeune (moins de 45 ans), sans signes d'alarme, on pourrait proposer une éradication d'emblée de Hp. L endoscopie avec Bx et recherche de Hp sera proposée aux non répondeurs. T. Boucekkine et al. Eradication empirique et indiscriminée de Hp dans la Dyspepsie. 30 ème Francophones GECB Mars 2006 p 49. -ATCD de cancer gastrique chez les Apparentés de 1er degré -La prévention primaire des UGD avant de débuter un traitement par AINS, -Le traitement au long cours par inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) [au moins 6 mois]. Autres : -Enfants avec anémie ferriprive réfractaire inexpliquée -carence en Vit B12 inexpliquée -purpura thrombopénique immunologique de l'adulte -prévention du cancer gastrique en cas de chirurgie bariatrique -mucosectomie pour cancer superficiel de l'estomac -gastrectomie partielle 3-Faut-il pratiquer des biopsies gastriques systématiques chez les sujets avec une endoscopie normale? Oui, devant toute première endoscopie, même normale, il est nécessaire de rechercher Hp et d établir le statut histologique du patient (degré d atrophie gastrique et son étendue, recherche de métaplasie et de dysplasie). 4-Comment rechercher l infection à Hp? -Par la fibroscopie, en respectant les conditions de désinfection du matériel. -Faire 5 biopsies :
5 2 fragments du fundus dans un flacon, 2 autres fragments de l antre et 1 au niveau de l angulus dans un autre tube. L examen histologique des biopsies gastriques permet de classer la gastrite chronique selon le système Sydney et les classifications OLGA (Operative Link on Gastritis Assessment) et OLGIM (Operative Link on Gastritic Intestinal Metaplasia Assessment) qui permettent d'établir un score global d'évolutivité en fonction des degrés d'atrophie et de métaplasie intestinale (MI) et individualiser les formes à haut risque évolutif (stades III et IV). Il doit préciser : 1-La topographie de la gastrite chronique: Gastrite chronique à prédominance antrale. Gastrite atrophique multifocale. 2-L atrophie: légère (< à 30%)- modérée (30-60%) - marquée (> à 60%) 3-L Intensité (inflammation mononuclée) : légère - modérée - marquée 4-L activité (polynucléaires neutrophiles) : légère - modérée - marquée 5-La métaplasie intestinale: légère (< à 30%), modérée (30-60%), marquée (> à 60%) 6-L infection à Hp :légère (+), modérée (++), marquée (+++) 7-Présence d une dysplasie épithéliale. Les données histologiques vont conditionner le programme de surveillance ultérieure -Le compte rendu histologique doit être détaillé en se basant sur les classifications OLGA et OLGIM. Seuls les patients avec OLGA / OLGIMIII et IV, métaplasie ou dysplasie feront l objet d un suivi selon le protocole MAPS 2012.
6 1: Atrophie/Métaplasie Intestinale Atrophie modérée ou métaplasie intestinale limitée à l antre: aucune surveillance Atrophie et/ou métaplasie intestinale étendue au corps et à l antre (OLGA III, IV) : Endoscopie + Biopsies tous les 3 ans 2 : Dysplasie SANS lésion Dysplasie de bas grade sans lésion visible: endoscopie de contrôle avant 1 an Dysplasie de haut grade sans lésion visible : nouvelle endoscopie avec chromoendoscopie et/ou si aucune lésion n est visible => contrôle recommandé tous les 6mois 3 : Dysplasie AVEC lésion Dysplasie de bas grade avec lésion visible: résection endoscopique Dysplasie de haut grade avec lésion visible: résection endoscopique 5-Comment éradiquer Hp? -La résistance primaire à la clarithromycine est le principal facteur déterminant dans l échec du traitement d éradication (Maastricht IV et V). -L impact négatif de la résistance au métronidazole sur le succès du traitement éradicateur est nettement moins important que celui de la clarithromycine. -Les taux de résistance primaire à la clarythromycine, rapportés par le laboratoire Algérien de Recherche sur Hp (LARH) en 2008, par le Pr T. Boucekkine en 2003 et par l équipe de microbiologie du CHU Mustapha, en 2015 étaient respectivement de 12% 12,5% et 33%. -Mouffok F, Boudjella MA, Tebaibia A, Lahcene M, Boutarene D, Guechi FZ, Bouhadef A, Chiali R, Saadaoui Y. Oumnia N. Résistances primaires et secondaires de Helicobacter pylori aux antibiotiques : épidémiologie et impact sur l efficacité du traitement éradicateur de l infection. Saidal Santé. Fev 2013; 14: T. Boucekkine, K. Belhocine. Lésions gastro-duodénales et infection à helicobacter pylori chez l adulte symptomatique à Alger, 2003 Dakar, Sénégal.
7 -Djennane-Hadibi F, Bachtarzi. M, Layaida.K, Ali Arous N., Nakmouche M., Berkane S., Tazir M, Ramdani-Bouguessa N., Burucoa C.- High-level primary clarithromycin resistance of Helicobacter pylori in Algiers, al. High-level primary clarithromycin resistance of Helicobacter pylori in Algiers, Algeria: a prospective multicenter molecular study. Microbial Drug Resistance Le taux de résistance primaire au métronidazole rapporté par le LARH en 2008 était de 37%. Ces résultats nécessitent un enrichissement par d autres études sur la résistance de Hp aux ATB dans d autres régions d Algérie, utilisant les mêmes techniques de détection. -Le traitement anti Hp est instauré une fois l infection par Hp est confirmée par l anapath ou un autre test non invasif. En cas de maladie ulcéreuse, de lymphome, le traitement est instauré d emblée. En attendant de nouvelles études sur le taux de résistance aux antibiotiques, le taux d éradication selon les différents bras, le schéma conseillé est la Trithérapie associant IPP - Amoxicilline - Clarithromycine ou IPP - Amoxicilline - Métronidazole, Le taux de succès rapporté par le LARH : pour le schéma OAM à 10j et 1,5g Flagyl était de 80%. Touchene B, Matougui N, Mouffok F, Boudjella MA, Bouhadef A, Boutarene D, Guecchi Z, Berrah H. Traitement d éradication de l infection à Hélicobacter pylori ; quel régime choisir? Etude contrôlée et randomisée. Saidal Santé (6) : Il faut optimiser les trithérapies; IPP à 20mg x 2 et l augmentation de la durée du traitement à 14 jours. Amoxicilline (2 x 1g) + Métronidazole (3 x 500mg) ou clarithromycine 2 x 500mg Pour le cas particulier des patients allergiques aux bétalactamines, la 1ère ligne est la trithérapie IPP-clarithromycine-métronidazole pendant 14 jours.
8 6-Quand et Comment contrôler éradication de Hp? -Contrôler systématiquement à 12 semaines (au moins un mois après la fin du traitement d éradication et après 15 jours d arrêt des IPP) Boudjella MA, Matougui N, Tebaibia A, Lahcene M, N. Oumnia, Touchene B. What is the optima, time to control post therapeutic eradication of helicobacter pylori infection. Gut 2012; 61: Suppl 3, abstract N P Par un test respiratoire ou à défaut, par la recherche de l antigène Hp dans les selles et l endoscopie avec Bx en cas de non disponibilité de ces derniers. -L endoscopie reste indiquée en cas de besoin d évaluation concomitante des lésions de la muqueuse gastrique. 7-Quel schéma de 2 ème d éradication de 1 ère ligne? proposer en cas d échec du traitement Switcher de la trithérapie optimisée OAC vers OAM ou vis versa Boudjella MA, Matougui N, Tebaibia A, Lahcene M, N. Oumnia, Touchene B. Cumulative rate of eradication of helicobaxter pylori after first and second line treatment with triple therapy based on metronidazole and clarithromycin. Gut 2012; 61: (Suple 3), abstract N P Que faire en cas d échec du traitement de 2 ème ligne? Une trithérapie optimisée guidée par la culture avec CMI ou Polymerase Chain Reaction sera proposée. -Faire une gastroscopie avec 5 biopsies gastriques. Les fragments biopsiques doivent être conservés en milieu approprié avec des conditions de transports adéquates et adressés en bactériologie pour une culture avec antibiogramme ou mieux une PCR plus rapide et plus sensible en respectant les conditions de désinfection du matériel lors de l endoscopie. -Milieux de transport : Milieu de transport pour Helicobacter pylori dans un tube stérile contenant de l eau physiologique stérile Sans Formol transporté à + 4 C dans une glacière ou collés à un icebox au mieux dans de l azote liquide.
9 Les recommandations thérapeutiques de l'infection à Hp sont en évolution permanente du fait des changements épidémiologiques d'une région à une autre et a l'émergence de résistance aux antibiotiques de plus en plus fréquentes, peuvent être modifiées en fonction de nouvelles données et de la disponibilité de nouveaux médicaments. 8-Quel est le taux de réinfection en Algérie? Il reste faible, de l ordre de 1,7 à 3%. Après éradication de Hp, Les patients ne présentant pas de facteur de risque de cancer gastrique ne devraient, pas faire l objet d un suivi endoscopique au long cours. MA Boudjella and al. Long term follow up study of re infection and ulcer relapse after successfull eradication of Hp in duodenal ulcer patients in Algeria. UEGW Berlin 2006, Gut 2006 Suppl II vol 38 page 81. M. Nakmouche and al. Réinfection et récidive ulcéreuse après éradication de Hp. Etude prospective sur 6 ans, GECB 2007, Vol 31, P 244.
«Les lombalgies chroniques communes à la consultation de rhumatologie du CHU de Fès»
2006-2007 Premier Prix : «La voie d abord postérieure mini-invasive modifiée de la hanche» Dr. Chbani Idrissi Badr Deuxième Prix «Éradication de l helicobacter pylori: quelle trithérapie en première intention?»
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailDYSPEPSIE. Département de médecine communautaire, de premier recours et des urgences Service de médecine de premier recours
Département de médecine communautaire, de premier recours et des urgences Service de médecine de premier recours DYSPEPSIE Y.Michel 1, M.Girardin 2 1 Service de Médecine de Premier Recours, HUG 2 Service
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailFaut-il encore modifier nos pratiques en 2013?
Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailPrise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie
Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie Congrès de la SFO Mai 2011 M. Le Loir (Brest), E. Mancel (Nouméa), L.W. Hirst (Brisbane) Dysplasie
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailJanvier 2003 PLACE DE L ENDOSCOPIE DANS LES COLITES MICROSCOPIQUES RECOMMANDATIONS DE LA
Janvier 2003 RECOMMANDATIONS DE LA PLACE DE L ENDOSCOPIE DANS LES COLITES MICROSCOPIQUES L. BEAUGERIE (Paris) Avec la collaboration de : G. GAY (Nancy), B. NAPOLEON (Lyon), T. PONCHON (Lyon), J. BOYER
Plus en détailL ANGINE. A Epidémiologie :
L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailGASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle
GASTRO-ENTEROLOGIE Variabilité A des entrées B des sites anatomiques 2 l externe + 2 l interne 15 litres sécrétion-absorption entrée 2 l duodénum 4 l grêle 3 l côlon 0,3 l anus 0,3 l œsophage 10" estomac
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailNouveautés dans Asthme & MPOC
Nouveautés dans Asthme & MPOC Dr Gilles Côté Pneumologue CSSSGatineau Pavillon de Hull 31 Janvier 2014 Conflit d intérêt Aucun 2 1 Objectifs A la fin de cette capsule, le participant pourra identifier
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailSCPUOM RAPPORT SUR LA THÉRAPIE OPTIMALE. Supporting Informed Decisions. À l appui des décisions éclairées
RAPPORT SUR LA THÉRAPIE OPTIMALE SCPUOM vol. 1, numéro 2 mars 2007 Données probantes sur l utilisation des IPP en présence de reflux gastro-œsophagien, de dyspepsie et d ulcère gastroduodénal : Rapport
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er octobre 2008 Examen dans le cadre de la réévaluation du service médical rendu de la classe des IMAO B, en application de l article R 163-21 du code de la sécurité
Plus en détailMieux informé sur la maladie de reflux
Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailQu est-ce que le cancer de l œsophage?
Cancer de l œsophage Qu est-ce que le cancer de l œsophage? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailLettre à l éditeur. Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles. perspectives?
Lettre à l éditeur Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles perspectives? HIV Antiretroviral Drug Resistance: What s new in Mali? What is the future? Maiga AI 1,2, Sangare
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailTraitement des hépatites virales B et C
Traitement des hépatites virales B et C GFMER Yaoundé 26 Novembre 2007 Dr José M Bengoa foie cirrhotique foie normal Vitesse de développement de la fibrose fibrose VHD VHB VHC années Indications au traitement
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR LANSOPRAZOLE TEVA 15 mg GÉLULES GASTRO-RÉSISTANTES LANSOPRAZOLE TEVA 30 mg GÉLULES GASTRO-RÉSISTANTES lansoprazole Veuillez lire attentivement cette notice avant de
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailLE REFLUX ACIDE ET LE RGO
LE REFLUX ACIDE ET LE RGO PATHOLOGIQUE : Une réalité troublante au Canada FAIT 1 SUR LE RGO PATHOLOGIQUE VOIR PAGE 8 Société canadienne sur la recherche intestinale En moyenne, les patients atteints de
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailCompte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique
Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailMise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire
Mise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire Murielle Galas, Gaëlle Dunoyer, Claude Olive, Rafaëlle Théodose, François Lengellé, Patrick Hochedez,
Plus en détailHELICOBACTER PYLORI DÉTAILLÉ
HELICOBACTER PYLORI DÉTAILLÉ L'intérieur de l'estomac baigne dans environ un demi-gallon de jus gastrique chaque jour. Le jus gastrique est composé d'enzymes digestives et d'acide hydrochlorique concentré,
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailItem 154 : Tumeurs des os primitives et secondaires (Évaluations)
Item 154 : Tumeurs des os primitives et secondaires (Évaluations) Date de création du document 2008-2009 CAS CLINIQUE : CAS CLINIQUE N 1 Scénario : Monsieur A., vingt-cinq ans, étudiant vétérinaire, vient
Plus en détailProgramme AcSé. Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib
Programme AcSé Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib G. Vassal, J.Y. Blay, C. Cailliot, N. Hoog-Labouret, F. Denjean, M. Jimenez, A.L.
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailOuverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique
Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Congrès de la SF2H - 9 Juin 2011 S. Coudrais Biohygiéniste Unité d Hygiène et Epidémiologie - Groupement
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailService d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages
Centre Hospitalier Pontoise Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages Chef de service : Dr Hugo GONZALEZ Accueil secrétariat 01 30 75 49
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailLANCEMENT DE IPRAALOX, 20 mg Pantoprazole
COMMUNIQUE DE PRESSE LANCEMENT DE IPRAALOX, 20 mg Pantoprazole Paris, le 7 Mars 2012 Sanofi annonce la mise à disposition dans les officines de Ipraalox 20 mg, à base de pantoprazole, une nouvelle marque
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailINDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE
INDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE Etude clinique N NCT01988506 Inves9gateur coordinateur
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. 10 décembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 décembre 2008 VIRAFERONPEG 50 µg/ 0.5 ml, poudre et solvant pour solution injectable B/1 : code CIP 355 189.3 B/4 : code CIP 355 191.8 VIRAFERONPEG, stylo pré-rempli
Plus en détailPrésentation des intervenants et modérateurs
«NOSOPICARD 2015», 20 ème Rencontre d Hygiène Hospitalière, de Prévention et de Lutte contre les Infections Associées aux Soins Présentation des intervenants et modérateurs Roland GORI est : Professeur
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailPROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE
MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques
Plus en détailGreffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailI Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie :
ANNEXE A : Formulaire de première demande Formulaire de première demande de remboursement de la spécialité HUMIRA pour une spondylarthrite axiale sévère sans signes radiographiques de spondylarthrite ankylosante
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailPRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009
PRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009 CHU BAB EL OUED DR OSMANE DR MAHIOU PR NAKMOUCHE Evolution du traitement de hépatite c Découverte du génome de l HVC 1989 1989 1989 Evolution du traitement
Plus en détailDépistage du cancer colorectal :
Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990
Plus en détailSession Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr
Session Diagnostic organisme gestionnaire du développement professionnel continu www.cardiosleep.fr UN CONSTAT 1 patient sur 3 est atteint de Troubles Respiratoires du Sommeil (TRS) en cardiologie. Les
Plus en détailPrise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.
Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement
Plus en détailHépatite C, les nouveaux traitements
Hépatite C, les nouveaux traitements Dr Ghassan Riachi CHU de Rouen QDN 2014 Revue de presse p L hépatite C est une maladie curable Peginterferon + DAAs 2011 Standard Interferon 1991 + Ribavirin 1998 2001
Plus en détailConcours d Internat et de Résidanat
Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une
Plus en détailComment traiter le reflux gastro-oesophagien?
Comment traiter le reflux gastro-oesophagien? Le reflux gastro-oesophagien ou RGO Il s agit d une pathologie d autant plus fréquente que l on vit dans un monde stressant, rapide, où l on est toujours sur
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailTRAITEMENT DE L HÉPATITE B
TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe
Plus en détailTraitements de l hépatite B
Traitements de l hépatite B S Matheron Service des maladies infectieuses et tropicales A Hôpital Bichat-Claude Bernard Virus de l hépatite B: histoire naturelle Contage Hépatite aigüe 70% asymptomatique
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailA. Bourgeois SMIT. CHRU de Montpellier
A. Bourgeois SMIT. CHRU de Montpellier Homme, 41 ans, sans ATCD Séjour en Guyane (Cayenne et alentours) du 28/12/19 au 12/01/10 Hospitalisé du 09 au 11/02/10 pour érysipèle d évolution défavorable sous
Plus en détailLettre circulaire aux Gastro-Entérologues
Pôle Santé Prévention Régulation R.P.S. CL/EF Troyes, le 4 décembre 2008. Lettre circulaire aux Gastro-Entérologues PRISE EN CHARGE DE L EXPLORATION INTESTINALE PAR VIDEOCAPSULE INGEREE Docteur, La décision
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailL usage adéquat des inhibiteurs d acide dans le reflux gastroœsophagien
Réunion de consensus 15 mai 2003 Rapport du jury Texte complet (version longue) L usage adéquat des inhibiteurs d acide dans le reflux gastroœsophagien et la dyspepsie Institut national d assurance maladie-invalidité
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailTraitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées
Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailAvis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste
Plus en détailVisite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015
Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailMarseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique
Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 1 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 1 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, Forme pharmaceutique, Dosage, Présentation - ARANESP 10 µg, Darbépoétine
Plus en détailDocteur, j ai pris froid!
Dr j ai pris froid: Objectifs Docteur, j ai pris froid! Jean-Paul Humair Avec la contribution de MC Kramer Colloque SMPR 21.12.2011 Connaitre l épidémiologie des infections des voies respiratoire sup (IVRS)
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détail