Une information courte, pertinente, transmise en priorité
|
|
- Jean-Jacques Bellefleur
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CSL Préface Une information courte, pertinente, transmise en priorité Le CSL flash renforce l éventail des newsletters que la Chambre des salariés consacre aux thèmes juridiques, socioéconomiques, liés à l environnement du travail. Par son format court et son contenu ciblé, il constitue l utile prolongement, actualisé et périodique, du Panorama social annuel. Cette lettre d information originale s appuie sur des données économiques et sociales, mensuelles, trimestrielles ou annuelles, moins médiatisées. Ce numéro est consacré aux femmes et à leur situation socio-économique. Jean-Claude Reding, président de la CSL Un taux d emploi féminin qui croît sur le long terme Le taux d emploi des femmes suit une tendance croissante pour atteindre 61,9% en 2011 (+3,5 points par rapport à 2005). Celui des hommes oscille autour de 78,5% et connaît une diminution de 1,3 point sur la période. Ainsi, l écart entre les deux taux se réduit : de 21 points en 2005, il est passé à 16,2 points en Taux d emploi des ans par genre, Luxembourg Par ailleurs, le taux d emploi des femmes au Luxembourg se situe en dessous de la moyenne de l Union européenne (58,4% contre 60,2% en 2005), même si l écart s amenuise depuis 2009 (il n est plus que de 0,4 point en 2011). Le taux luxembourgeois (61,9% en 2011) est relativement proche du taux belge (61,5%), alors que les taux français (64,7%) et allemand (71,1%) leur sont supérieurs. Une particularité luxembourgeoise réside dans un léger recul en 2008 du taux d emploi des femmes, que les pays voisins et l Union dans son ensemble n ont pas connu. Depuis 2009, à l exception notable de l Allemagne, le taux d emploi des femmes tend à se stabiliser (données non représentées). Taux d emploi des femmes de ans, Grande Région, 2011 Pour l année 2011, le taux d emploi féminin national est toujours supérieur à celui de la région du pays correspondant. Les écarts entre la Rhénanie-Palatinat et l Allemagne ainsi qu entre la Lorraine et la France sont ténus (respectivement 0,7 et 1,7 point). En revanche, ils sont assez élevés entre la Wallonie et la Belgique de même qu entre la Sarre et l Allemagne (respectivement 5,7 et 5,6 points). Les taux d emploi ne tiennent pas compte des durées moyennes du travail qui varient sensiblement entre pays. 1
2 Travail féminin atypique : un bilan mitigé Emploi temporaire en pourcentage de l emploi salarié, Luxembourg 9% 8% 7% 6% 5% 4% 3% 2% 1% 0% Femmes Hommes Les salariées résidentes ont un taux d emploi temporaire supérieur à celui des hommes. De 1996 à 2011, la proportion de femmes dans ce type d emploi est de plus en plus importante. Elle croît en moyenne de 0,4 point chaque année. Si en 2008 la part de l emploi temporaire chez les femmes chute (-13%), en 2009, elle repart à la hausse (+26%) pour se stabiliser ensuite aux alentours des 8%. Selon Eurostat, les travailleurs en emploi temporaire sont ceux ayant un contrat de travail à durée déterminée ou un emploi prenant fin au moment de l accomplissement de certains critères objectifs, comme l achèvement d une mission d intérim ou le retour de la personne temporairement remplacée. Part des salariées à temps partiel Au Grand-Duché, en 2011, les salariées à temps partiel représentent 35,8% des salariées résidentes (38,2% en 2005). Sur toute la période, leur part est supérieure à celles de la France et de l Union européenne (aux alentours de 30%). En revanche, elle est nettement inférieure à celles de la Belgique et de l Allemagne qui affichent respectivement des taux de 43,3% et de 45,1% en À titre de comparaison, la part de salariés des deux genres à temps partiel oscille au Luxembourg autour des 17-18% (de 17,4% en 2005 à 18,0% en 2011). La part des hommes à temps partiel parmi les salariés hommes résidents est de 2,4% en 2005 et de 4,3% en 2011 (données non représentées). Part des salariées à temps partiel involontaire Le temps partiel involontaire varie nettement selon les pays. Si en France environ un tiers des salariées à temps partiel souhaiterait travailler davantage, au Luxembourg cette part est en dessous de 9% depuis En Belgique et en Allemagne, elle diminue fortement sur la période considérée. Les salariées à temps partiel involontaire préfèreraient occuper un emploi à temps plein. On parle aussi de temps partiel subi, contraint ou non choisi. 2
3 Les salariées selon le temps de travail, 2011 Sur l ensemble des salariées, une part non négligeable travaille à temps partiel. Cependant, ce ne sont pas les pays qui ont le plus fort taux de temps partiel qui font le plus de mécontentes. Ainsi, la France qui a le taux le plus faible (30,0%) a aussi le taux d insatisfaction le plus élevé (8,9%). En revanche, la Belgique et le Luxembourg, qui ont des taux de temps partiel plus élevés, présentent peu d insatisfaction. L Allemagne est dans une situation intermédiaire : un taux de temps partiel très élevé et un taux de temps contraint assez fort. Le choix du temps partiel n est pas toujours lié à l impossibilité de trouver un poste à temps plein. Il peut être la conséquence de contraintes diverses, comme des problèmes de santé, l impossibilité de concilier temps plein et charges familiales ou encore la situation professionnelle du conjoint. Un chômage féminin qui peine à se réduire Au Luxembourg, les femmes sont plus frappées par le chômage que les hommes. Jusqu en 2011, les taux de chômage pour les deux genres ont évolué dans le même sens. L année 2012 marque un rapprochement des deux taux par l effet conjugué de deux évolutions contraires : une diminution de 0,4 point pour les femmes et une hausse de 0,6 point pour les hommes. Taux de chômage par genre, Luxembourg Le Luxembourg connaît un taux de chômage féminin peu élevé par rapport aux pays limitrophes et à la moyenne européenne. Seule l Allemagne a un taux plus bas depuis Cependant, si les Allemandes sont moins touchées par le chômage que les Luxembourgeoises, elles travaillent aussi plus fréquemment à temps partiel (45,1% contre 35,8%). La Belgique est dans une situation intermédiaire, plus enviable que celles de la France et de l Union européenne où un peu plus d une femme active sur dix est à la recherche d un emploi. Taux de chômage féminin 3
4 Les inégalités salariales qui perdurent Écart de rémunération entre hommes et femmes, Luxembourg L écart de rémunération entre hommes et femmes est bien réel au Luxembourg et atteint 8,7% en Toutefois, cet écart s est réduit de 1 point depuis Sur la période, il a également diminué dans les autres pays, à l exception de la Belgique où il stagne. Le Grand-Duché tire son épingle du jeu par rapport à ses voisins et à l Union européenne : en 2010 l écart de rémunération atteint 16% dans l UE, 22% en Allemagne, 16% en France et 10% en Belgique. Part des travailleurs à bas salaires, Luxembourg L écart non ajusté de rémunération entre hommes et femmes représente l écart entre la rémunération horaire brute moyenne des hommes et des femmes en pourcentage de celle des hommes. Les secteurs considérés regroupent l industrie, la construction et les services, à l exclusion de l administration publique, de la défense et de la sécurité sociale obligatoire. Dans les entreprises ayant au moins 10 salariés, en 2010, les femmes sont deux fois plus nombreuses que les hommes à avoir un bas salaire, c est-à-dire un salaire égal ou inférieur aux deux tiers du salaire horaire brut médian. L écart entre les genres s est toutefois réduit par rapport à 2006 : la part des hommes a augmenté de 1,4 point, celle des femmes a diminué de 2,6 points. Outre la sécurité sociale obligatoire, l administration publique et la défense, est exclu le secteur Agriculture, sylviculture et pêche. Le salaire horaire brut médian est tel que la moitié des personnes gagne plus et l autre moitié gagne moins. Il est de 17,83 euros en Proportion de salariés rémunérés au voisinage du SSM selon le secteur d activité, Luxembourg (au 31 mars 2012) Secteur Femmes Hommes Agriculture, sylv. et pêche 51,2% 45,5% Industrie 29,7% 10,8% Energie et eau 10,9% 5,0% Construction 18,4% 13,2% Commerce, réparation auto. 39,2% 23,0% Transport et entreposage 15,8% 13,0% Hébergement et restauration 62,9% 38,1% Information et communication 7,4% 4,8% Activ. financ. et assurance 2,2% 2,3% Activités immobilières 19,1% 18,7% Activ. spécial., scient. et tech. 7,6% 5,0% Act. services adm. et soutien 12,7% 17,2% Adm. publ. - Enseignement 11,5% 15,2% Santé humaine, action sociale 10,1% 18,9% Arts, spect. et activ. récréat. 17,3% 13,5% Autres activités de services 38,4% 20,1% Activ. ménagères privées 16,3% 31,8% Autres 20,7% 16,7% Taux moyen 19,3% 13,4% Données : IGSS Dans l ensemble des entreprises au Luxembourg, la part des salariées rémunérées au voisinage du salaire social minimum (SSM) est supérieure à celle des hommes : 19,3% contre 13,4%. Les femmes payées au SSM sont surreprésentées(>19,3%)* dans seulement 6 secteurs, alors que les hommes le sont dans 11 secteurs sur 18. Ces 6 secteurs concentrent 65,4% des femmes à bas salaire, tandis que les 11 ne regroupent que 54,7% des hommes. L hébergement et restauration, avec près de deux tiers de bas salaires, arrive en tête des secteurs les moins rémunérateurs pour les femmes, suivi par l agriculture (51,2%). Pour les hommes, c est le classement inverse, avec respectivement 38,1% et 45,5%. Au 31 mars 2012, le salaire social minimum pour un adulte non qualifié s élève à 1.801,49 euros par mois. * La surreprésentation signifie que le taux dans le secteur concerné est supérieur au taux moyen. 4
5 Des femmes plus défavorisées Le taux de risque de pauvreté connaît au Luxembourg un pic en 2009, année qui suit le début de la crise en Europe. Cependant, ce taux continue de grimper en 2010 pour la gent masculine, ce qui aboutit à placer les femmes dans une meilleure position que les hommes. Cette situation disparaît en 2011 : les hommes bénéficient d une spectaculaire baisse de leur taux de pauvreté alors que celui des femmes augmente légèrement. Une constante : hors 2010, chaque année, le taux de risque de pauvreté des femmes est nettement supérieur à celui des hommes. Personnes à risque de pauvreté, Luxembourg Les personnes à risque de pauvreté sont celles vivant dans un ménage disposant d un revenu disponible équivalent-adulte inférieur au seuil de pauvreté qui est fixé à 60% du revenu disponible équivalent-adulte médian national (après transferts sociaux). Quel que soit le pays, le travail ne protège pas les femmes de la pauvreté. Mais tous les États ne sont pas sur un pied d égalité. Et le Luxembourg n est pas particulièrement bien placé. Si la Belgique est le pays où le taux de risque de pauvreté au travail reste le plus faible (entre 3 et 5%), la France et l Allemagne, partant de taux de plus de 5%, rejoignent en 2011 la moyenne de l Union européenne (8,3%). Sur la période, le Grand-Duché a un taux de travailleuses pauvres résidentes supérieur à celui de l Union et des pays frontaliers. Il en est de même pour les hommes, à l exception de l année 2011 où le Luxembourg connaît un taux légèrement inférieur à celui de l Union. Taux de risque de pauvreté laborieuse des femmes Parmi les adultes, les femmes sont plus nombreuses que les hommes à bénéficier du revenu minimum garanti (RMG) : 55,1% contre 44,9%. L écart (10,2 points) s agrandit pour les ans (13,2 points) et encore davantage pour les personnes de 60 ans et plus (22,6 points). Pour les plus jeunes, il est moindre (4 points) et quasi inexistant pour les ans (0,8 point). Bénéficiaires du RMG selon l âge et le genre, 2011 Données : SNAS ; Graphique : CSL 5
6 Des femmes promptes à se former Participation des femmes de 25 à 64 ans à l éducation et à la formation Alors que la crise a eu peu d impact sur le comportement des femmes des pays voisins, celles du Luxembourg ont participé activement à l accroissement de leur capital humain : leur taux de participation à l éducation/formation est multiplié par 1,9 entre 2007 et 2010 (pour les hommes, il l a été par 2,2 : de 6,5% à 14,2%). Par ailleurs, une analyse plus fine montre qu au Grand- Duché ce sont surtout les ans qui ont cherché à améliorer leurs compétences Participation à l éducation et à la formation selon le statut d activité et le genre, Luxembourg actifs inactifs Les actifs se forment davantage que les inactifs, quel que soit le genre. Après le début de la crise, les actifs ont d ailleurs fortement augmenté leur capital humain (+7,0 points pour les hommes et +5,5 pour les femmes entre 2008 et 2009). Ce phénomène ne s observe pas pour les inactifs. Globalement, les femmes actives participent davantage à la formation que les hommes actifs. L inverse se produit pour les inactifs, à l exception de l année Chambre des salariés 18, rue Auguste Lumière L-1950 Luxembourg csl@csl.lu T F
L écart salarial entre les femmes et les hommes en Belgique
L écart salarial entre les femmes et les hommes en Belgique Rapport 2014 Table des matières Le rapport 2014... 5 1. Différences salariales générales... 6 1.1 L écart salarial en salaires horaires et annuels...
Plus en détailLes femmes restent plus souvent au foyer, travaillent davantage à temps partiel, gagnent moins et sont plus exposées à la pauvreté
DIRECTION GÉNÉRALE STATISTIQUE ET INFORMATION ÉCONOMIQUE COMMUNIQUÉ DE PRESSE 7 mars 2008 Les femmes restent plus souvent au foyer, travaillent davantage à temps partiel, gagnent moins et sont plus exposées
Plus en détailDossier d information. DROITS RECHARGEABLES Elargissement de l accès au droit d option pour prendre en compte les difficultés d application
DROITS RECHARGEABLES Elargissement de l accès au droit d option pour prendre en compte les difficultés d application MARS 2015 DROITS RECHARGEABLES Mars 2015 SOMMAIRE Une application problématique dans
Plus en détailTaux de risque de pauvreté ou d exclusion sociale le plus élevé en Bulgarie, le plus faible en République tchèque
168/2014-4 Novembre 2014 Risque de pauvreté ou d'exclusion sociale dans l'ue28 Plus de 120 millions de personnes menacées de pauvreté ou d exclusion sociale en 2013 Soit près d une personne sur quatre
Plus en détailLes salariés de l économie sociale et solidaire
L'Économie sociale et solidaire Les salariés de l économie sociale et solidaire L'EMPLOI SALARIÉ L ESS, un employeur déterminant de l économie régionale 20 Relative précarité de l emploi dans l ESS 22
Plus en détailEtude statistique des données fournies par la CCIJP
Etude statistique des données fournies par la CCIJP Sommaire Introduction : Stagnation du nombre de cartes accordées en 2012... 4 1. Dans quels secteurs d activité les journalistes encartés travaillent-ils?
Plus en détailBREF Thématique L EMPLOI DES SENIORS EN ILE-DE-FRANCE
BREF Thématique N 25 mai 2011 Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l emploi d Ile de France L EMPLOI DES SENIORS EN ILE-DE-FRANCE LES PRINCIPAUX
Plus en détailLe creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres
LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus
Plus en détailà Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011
observatoire régional #41 Synthèse régionale août 2014 à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011 2 899 diplômés de M2 professionnel
Plus en détailQuelle est l influence d une réduction des prestations d 1/5, via le crédit-temps et l interruption de carrière, sur le revenu du ménage?
Etudes Quelle est l influence d une réduction des prestations d 1/5, via le crédit-temps et l interruption de carrière, sur le revenu du ménage? Table des matières Introduction...7 Objectif, méthodologie
Plus en détailFocus. Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage
Focus Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage Introduction Le travailleur qui devient chômeur et qui est admissible sur base de prestations de travail se voit, en application du principe
Plus en détailInvestissements et R & D
Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités
Plus en détailPouvoir d achat - 124. Revenu mensuel en Autriche. Tableau: Revenu mensuel en Autriche Valide au 31 mars 2009
Revenu mensuel en Autriche ans d expérience, a) célibataire et b) marié et père de 2 enfants c) et d) sans revenir chaque jour à la maison et preste 5 heures supplémentaires Tableau: Revenu mensuel en
Plus en détailRecommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL. concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 13.5.2015 COM(2015) 265 final Recommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015 et portant avis du Conseil
Plus en détailL état de la pauvreté en France
Notes de l Observatoire N 1, octobre 2013 L état de la pauvreté en France Combien compte-t-on de pauvres en France? Comment évolue leur nombre? Qui est le plus concerné par la crise? A l heure où une partie
Plus en détailDares Analyses. Les bas salaires en France entre 1995 et 2011
Dares Analyses OCTObre 2012 N 068 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques Les bas salaires en France entre 1995 et 2011 En 2011, sur 22,3 millions de
Plus en détailéclairages QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? Près de 3 demandeurs d emploi sur 5 sont couverts par l Assurance chômage
éclairages ÉTUDES ET ANALYSES N 5 AVRIL 213 QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? L Unédic a réalisé une étude pour approfondir la compréhension de la population des allocataires
Plus en détailUne étude de différentes analyses réalisées par le BIT
Association internationale de la sécurité sociale Quinzième Conférence internationale des actuaires et statisticiens de la sécurité sociale Helsinki, Finlande, 23-25 mai 2007 Comparaison des hypothèses
Plus en détailDemandeurs d'emploi inscrits et offres collectées par Pôle emploi en Guyane en janvier 2015
DIECCTE DR Pôle emploi Demandeurs d'emploi inscrits et offres collectées par Pôle emploi en en janvier 2015 Demandeurs d'emploi inscrits en fin de mois à Pôle emploi Catégories A et A, B, C (en cvs) 24
Plus en détailAVIS N 68 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES DU 14 FEVRIER 2003, RELATIF AU TRAVAIL AUTORISÉ POUR LES PENSIONNÉS :
AVIS N 68 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES DU 14 FEVRIER 2003, RELATIF AU TRAVAIL AUTORISÉ POUR LES PENSIONNÉS : ÉLÉVATION DES PLAFONDS À PARTIR DU 1 ER JANVIER 2002
Plus en détailTableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES
Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Communauté locale de la Vallée de la Missisquoi Nord MRC de Memphrémagog Ce que les chiffres
Plus en détailmain-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement
Profil économique VILLE DE MONTRÉAL Arrondissement de Rivière-des-Prairies Pointe-aux-Trembles chômage mploi logement établissements d affaires localisation de l emploi revenus d emploi professions main-d
Plus en détailL emploi des femmes bruxelloises : aperçu des inégalités de genre
Observatoire bruxellois de l Emploi Avril 2010 L emploi des femmes bruxelloises : aperçu des inégalités de genre Bien que l activité féminine soit en augmentation constante en Belgique, force est de constater
Plus en détailLe travail est-il le meilleur antidote contre la pauvreté?
ISBN 978-92-64-6795- Perspectives de l emploi de l 29 Faire face à la crise de l emploi 29 Chapitre 3 Le travail est-il le meilleur antidote contre la pauvreté? L emploi réduit considérablement le risque
Plus en détailLa pension de vieillesse au Luxembourg: réglementation et modalités de calcul. Florence Navarro
La pension de vieillesse au Luxembourg: réglementation et modalités de calcul Déjeuner-débat ELSA Florence Navarro 2 juillet 2014 Le principe des 3 piliers en matière de pension 1 er pilier Sécurité sociale
Plus en détailDemandeurs d'emploi inscrits et offres collectées par Pôle emploi en Guadeloupe en février 2015
DIECCTE DR Pôle emploi et Îles du Nord Demandeurs d'emploi inscrits et offres collectées par Pôle emploi en en février 2015 Demandeurs d'emploi inscrits en fin de mois à Pôle emploi Catégories A et A,
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailpublication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques
Dares Analyses FÉVRIER 2014 N 016 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques L EMPLOI DANS LES TRÈS PETITES ENTREPRISES EN DÉCEMBRE 2012 Les entreprises
Plus en détailDépenses nationales totales 3.0 3.4 2.3
Chiffres clés pour l'économie belge Pourcentages de variation en volume - sauf indications contraires Dépenses de consommation finale des particuliers 2.0 2.6 1.4 Dépenses de consommation finale des pouvoirs
Plus en détailCollecter des informations statistiques
Collecter des informations statistiques FICHE MÉTHODE A I Les caractéristiques essentielles d un tableau statistique La statistique a un vocabulaire spécifique. L objet du tableau (la variable) s appelle
Plus en détailComment va la vie en France?
Comment va la vie en France? L Initiative du vivre mieux, lancée en 2011, se concentre sur les aspects de la vie qui importent aux gens et qui ont un impact sur leur qualité de vie. L Initiative comprend
Plus en détailBAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES
1 er et 2 ème trimestres 2010 Note semestrielle N 1 BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES 1. CHIFFRE D AFFAIRES TOTAL DES CENTRES D AFFAIRES Chiffre d affaires total / surface totale
Plus en détailVeufs MARS 2015. Veuvage, vos droits. B Retraite de réversion. B Allocation de veuvage. B Autres prestations
Veufs MARS 2015 Veuvage, vos droits B Retraite de réversion B Allocation de veuvage B Autres prestations Veuvage, vos droits À la perte de votre conjoint, de nombreuses démarches sont à accomplir. L Assurance
Plus en détailLes durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes
Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse
Plus en détailLES FRANÇAIS, L ÉPARGNE & LA RETRAITE
201 LES FRANÇAIS, L ÉPARGNE & LA RETRAITE Jérôme JAFFRÉ Directeur du Centre d Études et de Connaissances sur l Opinion Publique Jean-Pierre GAILLARD Président du Cercle des Epargnants Philippe CREVEL Secrétaire
Plus en détailMigration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas
Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Prise de position de Caritas_mars 2011 Migration: un plus pour la Suisse En bref: Quel est l effet de
Plus en détailRETOUR SUR LA RÉFORME DES ALLOCATIONS D INSERTION
Annexe 2 (doc. IW/13/CM.08) RETOUR SUR LA RÉFORME DES ALLOCATIONS D INSERTION (an c i e n n e m e n t «a l l o c a t i o n s d a t t e n t e») D ici exactement 475 jours, le 1 er janvier 2015, 30.000 personnes
Plus en détailLe nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien
Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Janone Ong, département des Marchés financiers La Banque du Canada a créé un nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien,
Plus en détailL EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013
Février 2015 - N 15.004 L EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013 En résumé : En 2013, l emploi intermittent du spectacle concerne 254 000 salariés, 111 000 employeurs relevant du
Plus en détailL'insertion professionnelle des diplômés DNSEP 2003 trois ans après le diplôme
IREDU-CNRS Ministère de la Culture et de la Communication Délégation aux Arts plastiques Magali Danner Gilles Galodé L'insertion professionnelle des diplômés DNSEP 2003 trois ans après le diplôme Enquête
Plus en détailModules de formation H R S E R V I C E S
Modules de formation H R S E R V I C E S C est en s inspirant de la collaboration avec ses partenaires professionnels que Securex a conçu ce catalogue de formations dédié aux différents aspects de la gestion
Plus en détailLa Lettre de l IMSEPP
La Lettre de l IMSEPP N 46 27 janvier 2015 Marché du travail 2014 en Martinique : Bilan d une année de demandes d emploi Page 1 16 Synthèse : Au mois de décembre 2014, la baisse tendancielle du nombre
Plus en détailSimulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé
Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique
Plus en détailCOMMUNIQUE DE PRESSE Bruxelles 10 décembre 2012
COMMUNIQUE DE PRESSE Bruxelles 10 décembre 2012 Quel salaire pour quel travail? Les facteurs qui déterminent le salaire Combien gagne le Belge moyen? Quelles sont les professions les plus intéressantes
Plus en détailInégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité
Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité Gérard Cornilleau Des inégalités contenues, des classes moyennes fragiles Le débat sur les salaires n est plus aujourd hui dominé
Plus en détailLa rémunération de l apprenti :
F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est
Plus en détailProjet de loi RSA et politiques d insertion Observations et propositions d amendements de l Uniopss
Projet de loi RSA et politiques d insertion Observations et propositions d amendements de l Uniopss Modalités d attribution des droits connexes au RSA Instaurer une automaticité de fait et non de droit
Plus en détailItalie IMPOSITION DES RESIDENTS ITALIENS
Italie IMPOSITION DES RESIDENTS ITALIENS Déductions et crédits d impôt Réductions d impôts Imposition des plus-values Imposition des revenus financiers Régimes spéciaux concernant les expatriés L impôt
Plus en détailNécessité d un «électrochoc» fiscal
Les Analyses du Centre Jean Gol Nécessité d un «électrochoc» fiscal Janvier 2014 Administrateur délégué : Richard Miller Directrice : Laurence Glautier Directeur scientifique : Corentin de Salle Les analyses
Plus en détailQuel est le régime d assurance maladie applicable à l artiste de spectacle vivant, mobile dans la Grande Région?
www.frontalierslorraine.eu www.espaceculturelgr.eu Quel est le régime d assurance maladie applicable à l artiste de spectacle vivant, Novembre 2011 2 Introduction Le CRD EURES Lorraine est une association
Plus en détailSTATISTIQUES D ACCUEIL FAMILLES, ENFANCE ET PAUVRETÉS. avec le soutien du CRÉDIT COOPÉRATIF
STATISTIQUES D ACCUEIL 2007 FAMILLES, ENFANCE ET PAUVRETÉS avec le soutien du CRÉDIT COOPÉRATIF Le Crédit Coopératif est promoteur par vocation et par choix d une économie au service de l homme. Il est
Plus en détailAu début des années 1990, les emplois
L écart salarial entre employés temporaires et permanents Diane Galarneau Au début des années 1990, les emplois atypiques travail temporaire, à temps partiel ou autonome semblaient entamer une montée inquiétante.
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA
REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur
Plus en détailL emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire
L emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire Contexte régional Créé en 2010 par l Atelier Centre de ressources régional de l économie sociale et solidaire et la Chambre régionale
Plus en détailENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010
Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques
Plus en détailLe statut social du dirigeant : salarié ou indépendant. Allen & Overy 2012 1
Le statut social du dirigeant : salarié ou indépendant Allen & Overy 2012 1 Agenda Contrat de travail et / ou mandat social 1. Aspects de droit du travail 2. Aspects de droit des sociétés 3. Aspects de
Plus en détailLes politiques de réduction du coût salarial en Belgique
Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération
Plus en détailLe parcours professionnel des chômeurs de longue durée en Suisse
Le parcours professionnel des chômeurs de longue durée en Suisse Cet article présente les premiers résultats d un projet de recherche qui étudie le parcours professionnel de personnes confrontées au chômage
Plus en détail2. OBJET ET ETENDUE DES GARANTIES 2.1 Assurance obligatoire conformément à la loi du 10 avril 1971 sur les Accidents du travail (personnel rémunéré).
- AD1074 1. GENERALITES 1.1 De quelles garanties se compose cette assurance Gens de maison? 1.1.1 Le personnel rémunéré (Article 2.1.). L assurance obligatoire Gens de maison (personnel salarié) garantit
Plus en détailContribution des industries créatives
RÉSUMÉ - Septembre 2014 Contribution des industries créatives à l économie de l UE en termes de PIB et d emploi Évolution 2008-2011 2 Contribution des industries créatives à l économie de l UE en termes
Plus en détailLe patrimoine des ménages retraités : résultats actualisés. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 08 juillet 2015 à 9 h 30 «Le patrimoine des retraités et l épargne retraite» Document N 2 bis Document de travail, n engage pas le Conseil Le patrimoine
Plus en détailCHARTE EGALITE HOMME FEMME
CHARTE EGALITE HOMME FEMME Information : Afin de limiter les effets liés à l éloignement prolongé de la vie de l Entreprise et faciliter le retour dans son activité professionnelle, Whirlpool s engage
Plus en détailLES PRESTATIONS D ASSURANCE TRAITEMENT (Pour une invalidité de 104 semaines et moins)
FÉDÉRATION DU PERSONNEL DE SOUTIEN DE L ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR GUIDE POUR LES MEMBRES DU PERSONNEL DE SOUTIEN DES COLLEGES LES PRESTATIONS D ASSURANCE TRAITEMENT (Pour une invalidité de 104 semaines et
Plus en détailSITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE
SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation
Plus en détailLa protection sociale en France
18 La protection sociale en France FONCTIONNEMENT La protection sociale peut fonctionner selon trois logiques. LA LOGIQUE D ASSURANCE SOCIALE La logique d assurance sociale a pour objectif de prémunir
Plus en détailEn 2011, l investissement corporel brut
4.1 Investissement En 211, l investissement corporel brut hors apport des entreprises des secteurs principalement marchands non financiers et non agricoles s élève à 196 milliards d euros. Il s est redressé
Plus en détailSimulation d application des règles CNAV AGIRC ARRCO sur des carrières type de fonctionnaires d Etat
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 10 avril 2014 à 9 h 30 «Carrières salariales et retraites dans les secteurs et public» Document N 9 Document de travail, n engage pas le Conseil Simulation
Plus en détail> Guide 28 juillet 2008
> Guide 28 juillet 2008 Le travailleur frontalier Dans notre région frontalière, environ 5600 personnes résidant en Belgique traversent chaque jour la frontière pour venir travailler en France. Se pose
Plus en détail2. LE REGIME DE SECURITE SOCIALE
FIN DE L ASSURANCE MALADIE PRIVEE POUR LES FRONTALIERS : Quelques explications Ce document, édité par le Groupement transfrontalier européen, a pour but de réunir toutes les informations que nous possédons
Plus en détailBrock. Rapport supérieur
Simplification du processus de demande d aide financière dans les établissementss : Étude de cas à l Université Brock Rapport préparé par Higher Education Strategy Associates et Canadian Education Project
Plus en détailL activité professionnelle des personnes de 50 ans et plus
Département fédéral de l intérieur DFI Office fédéral de la statistique OFS Actualités OFS 3 Vie active et rémunération du travail Neuchâtel, février 2008 L activité professionnelle des personnes de 50
Plus en détailREGIME DE PREVOYANCE CONVENTIONNEL OBLIGATOIRE
Votre centre de gestion CONVENTION COLLECTIVE NATIONALE DES ENTREPRISES DE COMMISSION, DE COURTAGE ET DE COMMERCE INTRA-COMMUNAUTAIRE ET D IMPORTATION- EXPORTATION DE FRANCE METROPOLITAINE PERSONNEL CONCERNE
Plus en détailNotes méthodologiques
Notes méthodologiques SUPERFICIE Service Public Fédéral Economie, PME, Classes moyennes et Energie, Direction générale Statistique et Information économique (SPF Economie / DGSIE), Statistiques Utilisation
Plus en détailCrédit hypothécaire : croissance durable
Union Professionnelle du Crédit Communiqué de presse Crédit hypothécaire : croissance durable Bruxelles, le 6 mai 2011 Au cours du premier trimestre de 2011, 24 % de crédits hypothécaires de plus ont été
Plus en détailGESTION, ADMINISTRATION
GESTION, ADMINISTRATION A vec 73 5 emplois et 9,8 % des actifs, les métiers de la gestion et de l administration des entreprises constituent le troisième domaine professionnel dans la région, un rang identique
Plus en détailDébat participatif. La vie chère. «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse»
Débat participatif La vie chère «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse» Ségolène ROYAL Les enjeux de notre débat : Réconcilier les Français
Plus en détailIndicateur n 13 : Evolution des effectifs et des dépenses de personnel des établissements de santé
Programme «Maladie» 47 Indicateur n 13 : Evolution des effectifs et des dépenses de personnel des établissements de santé Sous-indicateur n 13-1 : Évolution des effectifs (en équivalent temps plein) de
Plus en détail1 - Salaires nets tous secteurs confondus
N 627 Résultats l enquête annuelle sur les s auprès s entreprises - Mai 2011 - L enquête annuelle sur les s auprès s entreprises, réalisée par voie postale par l ONS a donné les résultats présentés ci-ssous.
Plus en détailQuelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation
1 Septembre 2014 Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation Grand-Charmont est une commune de 5200 habitants qui compte 57 % de logements sociaux. Les revenus
Plus en détailD égale à égal? UN PORTRAIT STATISTIQUE DES FEMMES ET DES HOMMES
D égale à égal? UN PORTRAIT STATISTIQUE DES FEMMES ET DES HOMMES Le présent document a été élaboré au ministère de la Famille, des Aînés et de la Condition féminine (MFACF). En avril 2007, le volet Condition
Plus en détailLes allocations familiales après 18 ans : pour qui et comment?
Les allocations familiales après 18 ans : pour qui et comment? chapitre 1 Dix-huit ans! âge de la majorité, de l autonomisation, des premiers pas dans la vie adulte. Mais aussi de toute une série de droits
Plus en détailL ACTIVITÉ RÉDUITE. La croissance continue de l activité réduite recouvre des réalités et des publics différents. Une étude de l Unédic - Octobre 2013
L ACTIVITÉ RÉDUITE La croissance continue de l activité réduite recouvre des réalités et des publics différents Une étude de l Unédic - Octobre 2013 Définitions réglementaires relatives à l activité réduite
Plus en détailBase de données sociales sur Paris
Base de données sociales sur Paris Fiches d identité sociale des 20 arrondissements - 2012 Apur - David Boureau Étude réalisée en collaboration avec le Centre d Action Sociale de la Ville de Paris (CASVP)
Plus en détailCegid Business Paie. Mise à jour plan de paie 01/01/2014. Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025
Cegid Business Paie Mise à jour plan de paie 01/01/2014 Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025 Mise à jour plan de paie Janvier 2014 Sommaire 1. NOUVELLES VALEURS... 4 Eléments nationaux... 4
Plus en détailLe marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success.
Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 214 Accelerating success. PERSPECTIVES Une année 215 dans la continuité > Après le creux de 213, l activité sur le marché des bureaux francilien
Plus en détailLE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE
TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de
Plus en détailEtude salariale. Pour le domaine des ressources humaines 2013/2014 www.careerplus.ch
Pour le domaine des ressources humaines 2013/2014 B Sommaire 1. Editorial... 2 2. «La motivation passe par l égalité salariale»... 3 3. Résumé... 4 4. Faits et chiffres sur le marché suisse... 5/6 5. Méthode...
Plus en détailTests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections
Plus en détailPanorama. de l économie sociale et solidaire
Panorama de l économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Réalisée par l Observatoire National de l Economie Sociale et Solidaire, cette nouvelle édition du «Panorama de l économie sociale en France
Plus en détailCDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France
CDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France Communiqué de presse Paris, le 20 novembre 2012 CDC Entreprises, filiale de la Caisse des Dépôts, gère dans
Plus en détailDES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET
Cette fiche élaborée par la commission économie du Parti de Gauche révèle les 4 "erreurs" fondamentales issues de l'argumentaire que Monsieur Lenglet a opposé à Jean-Luc Mélenchon lors de l'émission des
Plus en détailLe 15 décembre 2014 ADOPTION DE LA LOI FAVORISANT LA SANTÉ FINANCIÈRE ET LA SUIVEZ RETRAITESAI SUR. Numéro 14-22
SOMMAIRE Restructuration obligatoire pour tous les régimes Processus de restructuration Autres dispositions Tableau des principaux amendements depuis le 12 juin 2014 ADOPTION DE LA LOI FAVORISANT LA SANTÉ
Plus en détailD un tsunami à l autre. Etat des lieux de la générosité des français. «Défricher les nouveaux champs de la générosité» 3 décembre 2009
D un tsunami à l autre. Etat des lieux de la générosité des français Antoine Vaccaro Chris Olivier Les sources L étude annuelle du CerPhi réalisée à partir des données de la Direction Générale des Finances
Plus en détailTRAVAIL ET GESTION DE L EMPLOI?
INDICATIONS COMPLÉMENTAIRES E n s e l i m i t a n t à u n e présentation graphique simple et en insistant sur les déterminants de l'offre et de la demande, on expliquera l'analyse néoclassique du fonctionnement
Plus en détailComment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi?
Emploi 3 Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi? François Brunet* Inévitablement les générations nombreuses du baby-boom nées entre 1946 et 1973 s approchent de l âge légal
Plus en détailLes agences de publicité et de communication et agences média leaders en Suisse font preuve d optimisme dans un avenir exigeant.
Communiqué de presse 9 octobre 2012 bsw leading swiss agencies Les agences de publicité et de communication et agences média leaders en Suisse font preuve d optimisme dans un avenir exigeant. Les agences
Plus en détailLes parcs de logements et leur occupation. dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence. Situation 2005 et évolution 1999-2005
Les parcs de logements et leur occupation dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence Situation 2005 et évolution 1999-2005 Décembre 2008 Le territoire d étude 2 Agence de développement et d urbanisme
Plus en détail