Bilan d activité 2014 CENTRE COMMUNAL D ACTION SOCIALE

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1 Bilan d activité 2014 CENTRE COMMUNAL D ACTION SOCIALE

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3 Sommaire 4 Le Conseil d Administration 5 Le mot de la Présidente 6 L organisation et les ressources humaines 10 Le public 18 L enfance et la coéducation 22 L habitat et la vie sociale 26 L autonomie et le lien social 30 Les événements exceptionnels 32 Les grands projets 2015 Directeur de publication : Sonia LAGARDE Rédactrice en chef : Valérie LECLERC Rédaction : Ghislaine GRAMMONT Laure DESSAULT Sandra LOPES Sébastien CROUGNEAU Dalida ZAZOULI Photographie de couverture : UNCCAS Photographies intérieures : Niko VINCENT Maquette et mise en page, Corrections et Impression : PARENTHESES 3

4 Le Conseil d Administration Entièrement renouvelé en mai 2014, le conseil d administration du CCAS est composé pour moitié de membres élus par le conseil municipal et de membres nommés par madame la Députée-Maire, représentant le milieu associatif. Madame la Députée-Maire est Présidente de droit du CCAS. En 2014, le conseil d administration s est réuni à 10 reprises. Présidente du CCAS Sonia LAGARDE Députée-maire MEMBRES ÉLUS MEMBRES DÉSIGNÉS Vice-Présidente du CCAS Chantal BOUYE 4e adjointe Chargée de la démocratie participative, de la cohésion sociale et du handicap Evelyne LEQUES Membre de l Association SOS Logement Jean-Pierre DELRIEU 1er adjoint Chargé de la coordination de l action municipale, de l action éducative, de la vie des quartiers et de l insertion Frédéric MOULEDOUS Membre du Collectif Handicap Carole VERMOREL Alexandre MACHFUL Secrétaire de l Association des Parkinsoniens en Nouvelle-Calédonie Conseiller municipal Jacqueline JOHNSTON Janine BAJON Présidente de la Croix Rouge Française délégation de Nouvelle-Calédonie Conseillère municipale Marie-France MICHEL Liliane CONDOUMY Présidente de la Société Saint Vincent de Paul Conseillère municipale Dominique PIETRI Christine BELLET Présidente de la délégation du Secours Catholique Conseillère municipale Jocelyne CHENEVIER Présidente de l Association pour la Sauvegarde de l Enfance, de l Adolescence et des Adultes de Nouvelle-Calédonie Dominique KORFANTY Conseillère municipale 4

5 Le mot de la Présidente Depuis un an et demi, nous sommes résolument engagés pour plus de cohésion sociale et de proximité tournée envers les plus démunis. Le premier acte fort a été l élection de Chantal BOUYE 4 ème adjointe en tant que Vice-Présidente du CCAS. Chantal est non seulement très appréciée des partenaires institutionnels et associatifs pour ses compétences et son savoir-faire mais également comme personnalité compétente dans le domaine de la cohésion sociale grâce à sa longue expérience de terrain. Le deuxième acte fut l élection du nouveau conseil d administration du CCAS au sein duquel siègent des élus dynamiques aux côtés de représentants de la société civile, engagés de longue date, dans l action solidaire. Cette nouvelle équipe est passée rapidement à l action en matière d aide aux vacances, de soutien à la parentalité ou encore de prise en compte de la grande exclusion. Le soutien à la parentalité est un axe fort du CCAS. Organisé en direction des jeunes enfants et des adolescents pour lutter contre l oisiveté, la déscolarisation ou la délinquance, ces actions sont la preuve de notre engagement aux côtés des parents dans le processus de développement de leur enfant. Ainsi, la Maison de la Famille, espace de rencontres et d échanges, a été confiée au CCAS pour développer dès 2015 un programme d activités riche et éclectique qui s adressera aux jeunes mais aussi aux parents comme aux grands-parents et à leurs proches. Cette Maison de la Famille est celle de tous les Nouméens, grands et petits. Aider au bien-être de la famille mérite aussi que des aides leur soient accordées pour financer les centres de vacances tout au long de l année. Si l on souhaite contribuer à l épanouissement de la jeunesse c est grâce à un programme scolaire et une équipe pédagogique formée et attentionnée, mais également au travers de temps de repos structurés et variés. La Présidente, À ce titre, les vacances scolaires représentent un formidable temps de partage, de découverte et d apprentissage que les centres de vacances et de loisirs agréés valorisent. L octroi d aides aux vacances pour un public plus large permet aux jeunes et moins jeunes d accéder à une offre attractive et diversifiée et de soulager financièrement les parents 6 semaines par an. C était notre volonté, nous l avons mise en œuvre. Enfin, lutter contre la grande exclusion et la marginalisation de certaines personnes est un engagement important. Depuis, de nombreuses années, la ville de Nouméa cherchait une solution pour déplacer Macadam Partage du centre-ville. Nous y sommes parvenus! La nouvelle structure d accueil comprendra des ateliers avec pour objectif la réinsertion de ce public en errance ainsi que des conditions de travail améliorées. Sonia LAGARDE Je tiens à remercier les équipes du CCAS pour le travail effectué en Ces équipes sont volontaires, engagées au service de tous. 5

6 1 L organisation et les ressources humaines 1. Les ressources humaines Le CCAS compte un effectif en personnel de 40 agents répartis au sein de 4 services placés sous l autorité de la Directrice. Direction Service logistique, administratif et financier Service enfance et coéducation Service habitat et vie sociale Service autonomie et lien social les effectifs par filière et catégorie Les agents sont issus de trois filières : 50 % de la filière socio-éducative, 35 % de la filière administrative et 15 % de la filière technique. Ils se répartissent en 4 catégories : 8 catégorie A, 17 catégorie B, 9 catégorie C et 6 catégorie D 6

7 1.2 La formation du personnel 34 formations individuelles ont été suivies par nos 40 agents dans les domaines suivants : action sociale, bureautique, développement personnel, comptabilité, accueil du public, management, préparation aux concours. En moyenne, cela représente 1 formation individuelle par agent. Ces formations individuelles ont été complétées de 86 actions de formations transversales concernant un groupe de plusieurs professionnels du CCAS dans les domaines suivants : sécurité et pratiques professionnelles. En moyenne, cela représente 2 formations transversales par agent. 1.3 L obligation d emploi des travailleurs handicapés Le code du travail fixe le taux d emploi de travailleurs handicapés à 2,5 % de l effectif total de notre établissement. Le CCAS emploie un agent reconnu par la Commission de Reconnaissance du Handicap et de la Dépendance de Nouvelle-Calédonie (CRHD-NC), suite à un accident du travail. En complément, une convention avec le CAT de l APEI a été conclue pour l entretien du linge de la crèche pour près de 0,50 MF par an. 1.4 Les stagiaires et jobs d été Le CCAS accueille tout au long de l année scolaire des stagiaires inscrits dans un cursus de formation diplomante. Au cours de l année, 19 stagiaires issus essentiellement de la filière sociale ont été accueillis. 9 stagiaires ont également été accueillis à la crèche du Caillou Blanc dans le cadre des dispositifs d assistants maternels et parentaux. Par ailleurs, 2 jobs d été ont été recrutés durant la période estivale pour effectuer des tâches administratives. 2. Le budget 2.1 Le budget de fonctionnement D un montant de francs, le budget de fonctionnement 2014 du CCAS est en augmentation de 8.34 % au regard de l exercice précédent. Les dépenses sont réparties dans 5 domaines comme l indique le graphique suivant. On note une augmentation conséquente des charges de gestion courante (subventions et aides sociales). Les aides sociales ont augmenté de 61 % alors que les subventions sont restées stables, tout comme les autres dépenses au regard de

8 Les aides sociales D un montant global de francs, les dépenses d aide sociale représentent 18 % des dépenses de fonctionnement. 62 % des dépenses d aide sociale sont consacrées à l alimentation : Près de 90 % en bons d achat à valoir dans les commerces de la place et 10 % en portage de repas à domicile. Au regard de 2013, on note un recul de % des portages de repas. 38 % des dépenses d aide sociale sont consacrées aux autres produits et service répartis dans 11 secteurs différents comme indiqué dans le graphique suivant : 67 % des dépenses se concentrent dans 3 secteurs (transport à 26 %, hygiène à 22 % et noël à 19 %), 23 % des dépenses concernent 3 secteurs (énergie à 8 %, logement à 8 % et maintien à domicile 7 %), 10 % du budget est consacré aux autres dépenses (petite enfance, scolarité, insertion, santé et loisirs). Moins de 1 % des dépenses d aide sociale ont été consacrées à l urgence pour l acquisition de denrées destinées à équiper les centres d hébergement en cas d alerte cyclonique. Les dépenses d aides sociales présentent une hausse significative de 61 % compte tenu de l augmentation : du plafond des aides accordées par foyer ( francs pour les familles et francs pour les personnes âgées, les personnes handicapées et les familles monoparentales contre francs et francs en 2013), du nombre d administrés aidés de près de 14 % (787 en 2014 contre 692 en 2013) Les subventions Chaque année, le CCAS est amené à traiter les demandes de subvention qui émanent d une quarantaine de tiers sous forme de subvention de fonctionnement, d investissement ou de fonds de concours dans 5 domaines différents : handicap, enfance, insertion et lutte contre l exclusion, personnes âgées, autres actions en faveur des personnes en difficulté. D un montant global de francs, les dépenses consacrées au versement de subventions de fonctionnement représentent 22 % des dépenses de fonctionnement du CCAS. Ces dépenses ont été consacrées au fonctionnement des associations (à 98 %) et aux fonds de concours (à 2 % pour l appel à projet sur le thème de la vie quotidienne des personnes en situation de handicap). Cette proportion du budget global est quasiment stable au regard de l exercice précédent, fonds de concours inclus. 51 % du budget des subventions est consacré aux actions d insertion et de lutte contre l exclusion, 29 % aux seniors, 12 % à l enfance, 7 % au handicap et 1 % aux autres actions en faveur des personnes en difficulté. 8

9 Le fonctionnement des services D un montant global de francs, les dépenses de fonctionnement représentent 11 % des dépenses. Cette proportion est stable au regard de l exercice précédent. Ces dépenses se ventilent pour moitié pour le fonctionnement général des services (53 %) et pour moitié pour les actions en direction du public (47 %), dont 22 % pour les seniors et 19 % pour l enfance La masse salariale D un montant global de francs, les dépenses consacrées aux salaires et charges représentent 47 % des dépenses de fonctionnement. Cette proportion est en recul de 4 % au regard de l exercice précédent en raison de l exonération des charges pour le secteur petite enfance en application de la loi de pays du 1 er avril Évolution des recettes de fonctionnement D un montant global de francs, les recettes de fonctionnement ont évolué de 4.89 % au regard de l exercice précédent. Elles proviennent à 93.5 % de la dotation de la Ville (dont 1/5 au titre du contrat d agglomération ) et de 6.5 % de recettes propres du CCAS ou affectées. 2.2 Le budget d investissement 2014 D un montant global de francs, les dépenses d investissement sont en recul de 25.6 % au regard de l exercice précédent. Cette variation s explique par une subvention exceptionnelle d investissement accordée en 2013 relative à la restructuration des locaux de l association «Case Départ» destinée à la réinsertion des personnes. 9

10 Le public 93 accueils par jour en moyenne Jusqu à 246 personnes accueillies certaines journées Le CCAS a accueilli près de personnes durant l année 2014, soit par téléphone, soit à l accueil du CCAS, soit au pôle de services publics (PSP) de Rivière Salée. Entre 2013 et 2014, le CCAS observe une importante augmentation de son activité. L accueil du public est en hausse de 13 % avec personnes accueillies en plus en un an. Les explications pouvant être apportées sont : l arrivée d une nouvelle équipe municipale et une meilleure communication mise en place, valorisant les actions du CCAS, lui permettant d être mieux identifié ; la revalorisation du plafond des aides sociales entre 2013 et 2014, engendrant une augmentation du nombre de personnes aidées, mensuellement pour le public âgé ou porteur d un handicap ou ponctuellement pour les ménages nouméens âgés de 18 à 59 ans ; le ralentissement de l emploi salarié en Nouvelle-Calédonie et l augmentation du nombre de personnes bénéficiaires du chômage ; une augmentation des orientations du public par nos partenaires, principalement les assistantes sociales de la DPASS en raison certainement de la vacance de poste sur des secteurs de la ville. 1. La fréquentation de l accueil du CCAS 1.1 Le public demandeur Les principaux publics du CCAS sont les personnes âgées de 60 ans et plus (22 %), les ménages accompagnés pour leur relogement (16 %), les personnes porteuses d un handicap (16 %) et les ménages en demande d aides (15 %). Les demandes concernant la petite enfance 10

11 représentent 4 % des sollicitations (soit accueils). Elles sont traitées principalement par le service Enfance et Coéducation, basé au pôle de services publics de Rivière-Salée. Nos partenaires sollicitent également régulièrement le CCAS, ils représentent ainsi 11 % des accueils réalisés en Les réponses apportées par le CCAS 57 % des accueils ont été gérés directement par l agent d accueil en apportant une information immédiate à l administré. Une orientation interne vers un service du CCAS a été faite pour 39 % des sollicitations et seulement 4 % des demandes ont été réorientées vers nos partenaires. 18 % des réponses concernent la délivrance de bons d aides sociales La remise des bons d aide sociale est gérée quotidiennement par les agents d accueil du CCAS et a représenté visites en Lorsque l agent d accueil ne peut répondre directement à l administré, une orientation vers un service du CCAS est proposée : 17 % en direction du service Autonomie et Lien Social (ALS) en charge des seniors et du handicap. Ce sont sollicitations qui ont ainsi été gérées par ce service, 11 % vers le service Habitat et Vie Sociale (HVS) représentant sollicitations, 2 % en direction du service Enfance et Coéducation, soit 346 orientations. Ce service bénéficie d un accueil décentralisé indépendant, ce qui explique le peu d orientations vers ce service à partir du siège, 3 % vers le service administratif et financier, soit 777 personnes principalement des partenaires ou fournisseurs, 2 % vers le dispositif d aides aux vacances qui a été créé au 1 er novembre 2014 (soit 479 accueils). 680 personnes reçues en entretien lors de permanences d accueil, d information et d orientation (PAIO). Seul 4 % des sollicitations nécessitent une réorientation soit vers un service de la Ville de Nouméa (2 %) soit vers un partenaire institutionnel ou associatif (2 %). 11

12 2. Les permanences d accueil du public Le CCAS dénombre 807 interventions (dont 674 en permanence d accueil d information et d orientation, 106 demandes extérieures et 27 astreintes), réalisées en 2014 en faveur de 429 ménages nouméens. Avec 67 interventions en moyenne par mois (contre 58 en 2013 et 46 en 2012), la fréquentation des permanences a fortement augmenté. 15 % d interventions en plus entre 2013 et % de ménages supplémentaires reçus 2.1 Les caractéristiques socioéconomiques des ménages La composition familiale La part des couples avec enfants est stable depuis 2012 (38 %). Les personnes seules représentent 23 % en 2014 contre 28 % en 2013, cette baisse se fait au profit des familles monoparentales (36 %). 20 % des nouveaux ménages sont sans ressource La répartition par âge L âge moyen est de 38,9 ans avec une différence entre les nouveaux ménages âgés en moyenne de 37,7 ans et les ménages déjà connus âgés de 40 ans. À noter qu un quart des nouveaux ménages est âgé de moins de 30 ans. 12

13 Les ressources des ménages La moitié des ménages a moins de F CFP de ressources mensuelles (sous le seuil de pauvreté) dont 17 % déclarent aucun revenu. Les nouveaux ménages sont plus touchés par cette absence de ressources (20 % contre 15 % des ménages déjà connus) Les quartiers de résidence Les ménages les plus représentés sont résidents des quartiers de Magenta, Haut Magenta, Aérodrome, soit 99 ménages (23 %). Viennent ensuite les quartiers du centre-ville et de la presqu île de Ducos, représentant respectivement 16 % et 17 %. La part des ménages résidant à Rivière-Salée est en baisse par rapport à 2012 et Cette répartition est similaire pour les nouveaux et anciens ménages. 2.2 L analyse des problématiques repérées La principale difficulté rencontrée par les ménages sollicitant le CCAS est l emploi (73 % des situations concernées), puis dans un second temps le budget (23 %). Pour la troisième année consécutive, les problématiques liées à la santé représentent une part équivalente aux autres problématiques que sont le logement et la famille. L emploi est la problématique principale quel que soit l âge. Pour les ans, le logement et le budget représentent des difficultés cumulées à la recherche d emploi. Alors que pour les ans, ce sont les difficultés familiales et la santé qui ont une place plus importante. 13

14 L emploi est la problématique principale quelle que soit la composition familiale. Pour les personnes seules, le logement et les problèmes de santé représentent une part importante. Les couples, avec ou sans enfant, sont particulièrement touchés par des difficultés budgétaires (autour de 30 % des problématiques repérées). À noter, cette année, que les difficultés liées au logement n ont été détectées chez aucun couple sans enfant comme problématique majeure. Enfin pour les familles monoparentales, la problématique familiale se cumule à celle de la recherche d emploi ou de la précarité professionnelle. Ralentissement de l emploi salarié en 2014 (source ISEE) En 2014, avec une croissance de l emploi de 1,2 % sur un an, au lieu de 4 % observée en moyenne auparavant, l activité économique du territoire n a créé que peu d emplois, et ce, pour la troisième année consécutive. Les secteurs d activité créant de l emploi sont : l industrie (principalement mine, électricité, assainissement, déchets) et les services (dont santé et action sociale et activités de support à l entreprise). Le nombre de nouvelles offres d emplois est en augmentation de 4 % en un an (soit 340 postes). Le nombre moyen de demandeurs d emploi par mois est de personnes et augmente de 11 % par rapport à Le nombre de chômeurs indemnisés enregistre une progression significative par rapport à 2013 (+17 %) et atteint un niveau jusqu alors inégalé (2 370 personnes en moyenne par mois contre en 2013 et 1770 en 2012). 2.3 Les aides sociales demandées et les réponses apportées Les types d aides demandées L aide alimentaire est la principale demande formulée par les ménages (82 %), suivie du besoin de produits hygiéniques (57 %) et du transport (20 %). Seuls les nouveaux ménages sont en demande d aides à la scolarité ou à l insertion professionnelle alors que les ménages déjà connus demandent davantage des aides alimentaires et d hygiène par habitude Les réponses financières et la réorientation 72 % des demandes ont été accordées totalement, 13 % ont obtenu un accord partiel et 14 % des demandes ont été refusées. 51 % des demandes ont fait l objet d une orientation soit vers un partenaire soit en interne au CCAS. Parmi les demandes réorientées, 78 % l ont été vers la DPASS pour un suivi ou pour des demandes d aides complémentaires. 13 % des demandes ont été orientées en interne du CCAS, principalement vers un accompagnement au budget. Pour 60 % des refus, une orientation a été préconisée. 14

15 3. Les bénéficiaires d aides sociales 3.1 L évolution du nombre de bénéficiaires d aide sociale Le public aidé est majoritairement adulte à 59 %. Il se compose des familles reçues en PAIO (7 personnes sur 10) et des familles suivies par l équipe Habitat et Vie Sociale (3 personnes sur 10). Le public porteur de handicap représente 22 % des foyers aidés et les seniors 18 %. Ces proportions sont stables au regard de l exercice précédent. 787 ménages ont ainsi bénéficié au moins d une aide sociale facultative du CCAS en alimentation contre 692 en 2013, soit une variation de +14 % (+ 95 personnes) ventilée comme suit : seniors (+35 ménages) personnes porteuses de handicap (+32 ménages) familles suivies (+12 ménages) familles reçues en PAIO (+16 ménages) 3.2 L évolution de la nature des aides par public 15

16 62 % du budget est consacré aux aides alimentaires, contre 38 pour les autres aides. La part monétaire consacrée au public porteur de handicap correspond à 34 % des dépenses monétaires ( francs), celle consacrée aux seniors à 34 % ( francs) et celle consacrée aux familles à 32 % ( francs). La part monétaire consacrée aux seniors a augmenté de 119 % entre 2013 et 2014, celle consacrée aux personnes porteuses de handicap a augmenté de 58 % et celle consacrée aux familles a augmenté de 30 %. Cette variation s explique d une part par l augmentation du montant annuel des aides accordé par ménage et d autre part par l augmentation du public aidé (+31 % de seniors, +22 % de personnes porteuses de handicap et +6 % de familles). 16

17 Les aides alimentaires Sur francs consacrés aux aides alimentaires, 41 % ont été attribués aux personnes porteuses de handicap, 30 % aux adultes et 29 % aux seniors. Le volume financier des aides consacrées aux personnes handicapées a été multiplié par 2.16, celui consacré aux seniors par 1.94 et celui consacré aux familles par Les aides non alimentaires Des francs consacrés aux aides non alimentaires, 42 % a été attribué aux seniors, 34 % aux adultes et 24 % aux personnes porteuses de handicap. Le volume des aides consacrées aux seniors a été multiplié par 2.54 et celui consacré aux familles par Celui consacré aux personnes porteuses de handicap est resté stable. Les aides non alimentaires se répartissent en 11 postes, dont 1 exceptionnel (aides de noël). Comme en 2013, les aides au transport ont concerné 26 % du budget alloué, suivi des aides à l hygiène pour 22 %. Bien que représentant 19 % des dépenses non alimentaires, la part monétaire consacrée aux aides de noël est restée identique à celle de

18 L enfance et la coéducation Son équipe est composée de 10 agents : une chef de service, une adjointe au chef du service, deux éducatrices de jeunes enfants, cinq assistantes maternelles et une cuisinière. 1. Le bien-être de l enfant dans sa globalité La crèche municipale La crèche le caillou blanc est depuis le 1 er février 2000, l unique crèche municipale de Nouvelle-Calédonie. Elle est agréée pour l accueil de 22 enfants dont deux places en halte-garderie. En 2014, elle a accueilli 29 enfants en crèche et 30 enfants en halte-garderie. 358 cartes de haltegarderie ont été vendues soit heures facturées et 399 repas. Chaque carte offre 10 heures de halte-garderie à la crèche et coûte F CFP et F CFP avec le forfait couches. Chaque repas coûte 250 F CFP. La crèche municipale propose une grille tarifaire qui tient compte des ressources des parents. Pour un accueil à plein temps, les tarifs 2014 sont de : Tarif 1 : F CFP Tarif 2 : F CFP Tarif 3 : F CFP Les sorties et interventions en 2014 : Les enfants ont pu participer à 9 sorties à la médiathèque municipale et assister aux animations telles que «Bouquins Câlins» et «Musi-câlines» et à 1 sortie organisée à la maison de quartier de Tindu. 20 ateliers au sein de la crèche ont été proposés par un intervenant en éveil moteur et 10 ateliers par une intervenante en art plastique. 18

19 Lieu de stage : En 2014, la crèche municipale a accueilli 17 stagiaires : 5 stagiaires provenant d établissements scolaires (collège, CAP, université et centre de formation d éducateur de jeunes enfants) 2 stagiaires de structures favorisant la réinsertion professionnelle (MIJ) 1 stagiaire de foyer d accueil 5 stagiaires du dispositif d assistant parental 4 stagiaires du réseau d assistantes maternelles Crèche de proximité : La crèche municipale accueille en priorité les enfants de parents résidant sur la presqu île de Ducos La journée récréative Le mercredi 27 août, l après-midi récréative dédiée aux jeunes enfants a encore une fois, connu un succès avec la venue de près d une centaine d enfants et autant d adultes. Des professionnels intervenant dans les crèches agréées étaient présents et ont pu présenter aux parents accompagnateurs les activités proposées à leur enfant pendant leur temps de garde dans les établissements petite enfance de la commune Le contrôle des structures d accueil petite enfance Dans le but de lutter contre les structures illégales et pour contribuer à un accueil de qualité des jeunes enfants sur la commune, en 2014, le CCAS a collaboré avec la DPASS aux visites de contrôle lors de signalement. En 2014, 12 personnes exerçant l activité de garde d enfant à domicile ont été contrôlées, soit 14 visites de contrôles réalisées. 2. La professionnalisation des acteurs de la petite enfance Le dispositif d assistant parental (DAP) Créé en 2012, par le CCAS de Nouméa, le DAP a pour vocation d élargir et de diversifier l offre de mode de garde d enfants en proposant aux parents la possibilité de recruter un assistant parental qui gardera leurs enfants à leur domicile. Ce dispositif offre l avantage à l assistant parental d être salarié du parent et d intervenir au domicile de celui-ci. Pour le parent, ce dispositif offre la garantie de recruter un professionnel ayant bénéficié d un accompagnement théorique et pratique, qui est suivi par une éducatrice de jeunes enfants et qui participe à une formation continue annuelle. Pour l enfant, il bénéficie du confort d être gardé dans son environnement et d éviter ainsi les transports. En chiffres : 2 sessions de formation 30 personnes formées 18 personnes intégrées dans le dispositif. 19

20 La garde partagée : C est un dispositif qui permet à plusieurs familles de faire appel à un seul et même assistant parental pour garder conjointement leurs enfants à leur domicile. Les avantages de ce dispositif sont l apprentissage à la vie en collectivité pour l enfant et la réduction du coût des frais de garde pour les parents. En effet, les parents se partagent le salaire de l assistant parental. Afin de respecter la réglementation en vigueur (délibération de 1961), l assistant parental ne peut garder plus de 3 enfants, de moins de 6 ans, en même temps Le réseau d assistantes maternelles - RAM En l absence de l adoption de la réglementation relative à l agrément des assistantes maternelles et devant les nombreuses demandes, les CCAS des communes du Mont-Dore, de Dumbéa, de Nouméa et la mairie de Paita ont décidé de reprendre les formations en En 2014, une formation a été organisée : 12 personnes ont été formées et 9 admises dans le réseau pour la commune de Nouméa Paroles de pro Dans le but de professionnaliser les acteurs de la petite enfance, le service Enfance et Coéducation propose des réunions d informations destinées exclusivement aux professionnels sur des thématiques liées à la petite enfance. En 2014, 2 rencontres Paroles de pro ont eu lieu : Le 26 avril sur le thème «Comment remédier aux douces violences institutionnelles?» Le 9 août sur le thème «La communication non violente au sein d une structure d accueil petite enfance.» Quelques chiffres 13 personnes présentes à la réunion du 26 avril. 17 personnes présentes à la réunion du 9 août. 30 personnes au total ont participé à ces réunions Les interventions dans les crèches agréées de la commune Dans le cadre de la professionnalisation des acteurs de la petite enfance, le CCAS subventionne, en partie, des intervenants artistiques dans les crèches agréées de la commune pour un total de F CFP par an. Cette année, 16 structures ont bénéficié de cette subvention et 5 intervenants ont ainsi proposé leur activité : l éveil moteur, les activités manuelles, la littérature jeunesse et l éveil musical et l initiation à l anglais. Le personnel des structures d accueil a également participé à la formation PSC (prévention et secours civiques) de niveau L appui à la fonction parentale Il s agit de temps d échanges et de rencontres entre parents de jeunes enfants et professionnels. Ces réunions-débats ont pour objectif tout d abord de créer du lien entre professionnels et parents, Questions d éducation Il s agit de temps d échanges et de rencontres entre parents de jeunes enfants et professionnels. Ces réunions-débats ont pour objectif tout d abord de créer du lien entre professionnels et parents, 20

21 de proposer des temps d échanges et de paroles aux parents en demande et enfin, d accompagner les parents dans leur rôle d éducateur. Ces réunions débats sont gratuites et ouvertes à tous. 4 rencontres ont eu lieu cette année : Le 19 mars sur le thème «Dormir c est grandir aussi», débat autour du sommeil chez le jeune enfant, 16 personnes présentes. Le 18 juin sur le thème «Accompagner les enfants dans le conflit, ou comment soutenir la résolution de conflit entre enfants?» 39 personnes présentes. Le 17 septembre sur le thème «L enfant et la séparation parentale, penser et accompagner la séparation» 39 personnes présentes. Le 3 décembre sur le thème «Poser des limites aux enfants en s inscrivant dans une parentalité bienveillante» 64 personnes présentes Les ateliers enfants-parents itinérants Ils ont été mis en place en 2013 et ont rencontré un tel succès, que nous avons décidé de doubler les rencontres en ateliers mensuels ont été proposés dans différents lieux de la commune : - Maison de la famille au faubourg blanchot, - Maison de quartier de Tuband, - Maison de quartier de Rivière Salée, - Maison de quartier de Vallée du Tir, - Maison de quartier de Saint Quentin, - Maison de quartier de d Artigues, - Espace Ducos, - Résidence les Orchidées à Ouémo Ces ateliers ont pour objectifs de proposer des temps d écoute et d échanges avec des professionnels de la petite enfance autour d une activité ludique et gratuite. Ces temps d échanges permettent non seulement de rompre l isolement des mères ou pères au foyer en proposant des jeux aux enfants, des temps d éveil et des activités aux parents mais aussi d aborder pour les parents qui le souhaitent les difficultés qu ils peuvent rencontrer avec leur enfant et demander conseils aux professionnels. Quelques chiffres en enfants ont fréquenté un atelier 675 adultes ont fréquenté un atelier 89 familles accueillies au total 21

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