Éthique Morale Déontologie

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1 Éthique Morale Déontologie (1) SHS 2013 Agata ZIELINSKI

2 Contexte (rappel) La médecine a fait en 50 ans plus de «progrès» qu'en 2000 ans! La modernité en médecine produit : de la complexité, de la vulnérabilité, de la singularité. Ex : la réanimation «fabrique» des situations de survie impensées : maintien en vie de personnes dans une dépendance extrême. Aux limites du savoir médical. Quelle qualité de vie pour ces personnes? Quel sens? Faire de ces incertitudes un atout!

3 L éthique L éthique commence avec la question: «Qu est-ce que je fais?» «Lorsqu il n y a plus de règle pour trancher entre les règles» (Ricoeur). L éthique est liée au tragique: questions qui impliquent un rapport à la vie et à la mort.

4 L éthique S orienter en contexte d incertitude. L éthique interroge les normes, surgit lorsqu il y a conflit entre des principes. Exercice de notre liberté. Décider en vue d agir.

5 L éthique, exemples de conflits Antigone. Conflit entre le respect des lois de la Cité et le respect dû aux morts. Dans la relation de soin. Conflit entre 2 principes: autonomie et bienfaisance. Ex: un malade refuse un traitement, mettant ainsi sa vie en danger. Respecter la volonté (la liberté) du patient, ou respecter sa vie?

6 Éthique et morale Dans le langage courant: Morale peut avoir une connotation péjorative. Cf. «faire la morale» à qq un. Idée que qqch est imposé. Éthique est plus à la mode: acheter des «produits éthiques». Se donner bonne conscience. Ne pas se limiter à ces usages! La référence aux valeurs morales est utile. L éthique exige réflexion et décision. L éthique est un engagement.

7 Éthique et morale Étymologie : Éthique. Du grec : éthos = habitude, coutume, usages. êthos = caractère, inclination naturelle à agir. Morale. Du latin : Mos, moris = usages, coutumes (cf. mœurs) Du point de vue de l étymologie, les deux termes semblent synonymes. Ils ont pourtant pris des connotations, un sens différents.

8 Éthique et morale Éthique Réflexion pour agir. Quel est le bien visé? Cf. ARISTOTE: Que faire pour être heureux? Dans une situation particulière. Morale Référence à des principes, règles, valeurs à respecter. Quel est mon devoir? Cf. KANT, la question morale par excellence: Que dois-je faire? Dimension universelle. Ex: Ne pas tuer; ne pas voler; ne pas mentir

9 Éthique et morale La morale donne des réponses, l éthique pose des questions? La morale est du côté des certitudes, l éthique du côté du doute? La morale renvoie à une permanence de principes et de valeurs. Alors que l éthique consiste à mener un discernement en contextes changeants, contextes d incertitude.

10 Éthique et morale: Paul Ricœur Comment articuler éthique et morale? Comment articuler les situations concrètes et les principes? Ricœur propose de réfléchir en 3 temps : 1) l'éthique est 1 ère par rapport à la morale ; 2) il est cependant nécessaire de se référer aux valeurs, aux principes ; 3) il est légitime de revenir à l éthique lorsqu'on a été éclairé par la référence aux valeurs, ou que cette référence conduit à des impasses.

11 Éthique et morale: Paul Ricœur 1) Éthique ou éthique antérieure. «Visée de la vie bonne, avec et pour autrui, dans des institutions justes». Cf. Aristote. 2) Morale: Se référer aux normes et au sentiment d obligation (devoir, respect). Le rôle de la morale est de limiter la violence entre les hommes. Cf. Kant. 3) Sagesse pratique ou éthique postérieure. Retour à la situation concrète, éclairée par la référence aux normes.

12 Éthique: trois grands courants

13 ÉTHIQUE de la VERTU Aristote

14 L éthique de la vertu ARISTOTE ( ) Une action sera considérée comme moralement bonne: si elle vise un bien (perspective téléologique), et emploie pour cela des moyens adaptés. Elle doit être adaptée à la situation. La vertu est la capacité de réaliser de telles actions. Pour savoir comment agir, je dois me demander ce que ferait un homme vertueux.

15 Aristote, la fin et les moyens L action morale a pour but la réalisation d un bien. Articuler la fin et les moyens. Ex. du médecin. Ne s interroge pas sur la fin (guérir, soulager), mais sur le meilleur moyen d y parvenir. Ex. du capitaine de navire. Son but: arriver à bon port. En cas de tempête, décide de jeter la marchandise pour sauver l équipage. Tenir compte des circonstances: choisir ce qui apparaît comme la meilleure solution étant données les circonstances. Parfois le «moindre mal».

16 Aristote : le «juste milieu» Viser un bien. Apprendre à décider: Délibération. Choix. Action. Une vertu : perfectionnement du caractère qui s acquiert par expérience et exercice. Le «juste milieu», entre l excès et le défaut. Ex. le courage. Reconnaissance de sa vulnérabilité? Vertus du soignant?

17 Aristote: une éthique de la situation C est toujours dans un contexte précis, dans une situation particulière, que nous avons à nous décider entre tel et tel moyen. Il ne s agit donc pas de chercher le meilleur dans l absolu, mais le meilleur possible étant données les circonstances. Le meilleur possible peut parfois être le «moindre mal». Le choix doit avoir une portée pratique, c est-à-dire rendre possible l action.

18 Aristote : l'homme vertueux Où trouver la vertu? - Dans l'homme vertueux. L'homme vertueux : Possède la faculté «d'apercevoir ce qui est bon pour lui et pour l'homme en général». Évalue les situations avec sagesse. Agit de façon appropriée. Est mesuré. Accord entre sa pensée et ses actes. Le prendre pour modèle (cf. Périclès). Apprendre à distinguer ce qui est juste, bon ou mauvais pour les êtres humains. Vertu : aptitude qui s'acquiert par habitude, entraînement, imitation. // avec l'acquisition de l'art de la médecine?

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