2- L'intermédiation financière comme surveillance déléguée
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- Emmanuelle Pothier
- il y a 8 ans
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1 2- L'intermédiation financière comme surveillance déléguée Expliquer la place des banques comme intermédiaires dans les financements (Diamond, 1984). Intermédiaire financier : agent à qui est délégué l'investissement dans les actifs financiers émet des titres pour acheter d'autres titres Objectif : comprendre le rôle des IF décrire les marchés où ils interviennent souligner ce qui leur permet de rendre des services bénéfiques : les contrats financiers émis/souscrits par les IF en particulier les contrats de dette (crédits, dépôts) coûts de surveillance et d'exécution des contrats transformation de prêts nécessitant surveillance/exécution coûteuses en dépôts ne les nécessitant pas, grâce à la diversification... Jean-Baptiste Desquilbet (Université Lille 1) 1 version 09/11/2012
2 Les IF rendent des services : services liés à l'actif : rendus aux emprunteurs (émetteurs primaires) IF concentre en portefeuille des actifs qu'il a un avantage comparatif à détenir source de cet avantage comparatif : coûts de surveillance réduits (ce chapitre) services liés au passif : rendus aux déposants (détenteurs secondaires) possibilité d'utiliser les dépôts comme moyens de paiement transformation (meilleur partage des risques, meilleure liquidité) (chapitre suivant) Jean-Baptiste Desquilbet (Université Lille 1) 2 version 09/11/2012
3 Plan : 1- Survol de l'intermédiation financière : coûts et bénéfices de la surveillance 2- Exemple de dette optimale sans surveillance déléguée 3- Intermédiation financière 4- Conclusion Bibliographie : Diamond (1996), Financial Intermediation as Delegated Monitoring: A Simple Example, Federal Reserve Bank of Richmond Economic Quarterly, 82/3, pp Jean-Baptiste Desquilbet (Université Lille 1) 3 version 09/11/2012
4 1- Survol de l'intermédiation financière : coûts et bénéfices de la surveillance Théorie de l'agence la surveillance par le principal améliore les contrats le coût de surveillance compte avec un prêteur + un emprunteur : K = coût de la surveillance S = gain de la surveillance comparer avec m prêteurs : chacun surveille : coût total mk surveillance déléguée : coût K évite la multiplication... Problème supplémentaire : le surveillant a une info privée... comment vérifier que la surveillance a été effectuée? D = coût de la délégation Jean-Baptiste Desquilbet (Université Lille 1) 4 version 09/11/2012
5 Une théorie «contractuelle» de l'intermédiation doit : modéliser le coût de la délégation expliquer comment l'intermédiation améliore les contrats La surveillance déléguée (IF) est «rentable» si : Coût d'utilisation d'un intermédiaire K+D min {S, mk } Coût de surveillance directe Coût de non surveillance Meilleur contrat entre prêteurs et emprunteurs sans intermédiaire ni surveillance : contrat de dette avec coût de liquidation forfaitaire incitation à rembourser demande de surveillance car diminution des coût de contrats surveillance moins coûteuse si elle est déléguée : évite duplication la délégation a un coût : donner des incitations au surveillant délégué délégation optimale : le surveillant délégué émet de la dette non surveillée avec coût de liquidation («dépôt») intermédiaire financier! Jean-Baptiste Desquilbet (Université Lille 1) 5 version 09/11/2012
6 2- Exemple de dette optimale sans surveillance déléguée Un entrepreneur a besoin de 1 M : pas de fonds propres responsabilité limitée neutre au risque m investisseurs peuvent placer 1/m m grand... A.N. : m = ; 1/m = 100 neutres au risque n'observent pas directement l'activité de l'entrepreneur exigent un taux de rentabilité attendu r = 5% coût de surveillance K = 200 = 0,0002 M m.k = 2 M coût de surveillance prohibitif : quel est le meilleur contrat sans surveillance? Jean-Baptiste Desquilbet (Université Lille 1) 6 version 09/11/2012
7 2.1- Le meilleur contrat sans surveillance investisseurs et entrepreneur sont d'accord sur VAN > 0 (projet rentable) mais seul l entrepreneur observe le résultat effectif : il peut s'approprier les cash-flows (conflit d'intérêt) en gonflant les coûts en sous-déclarant les recettes caractéristiques du projet : coût initial : 1 M réalisation : V H = 1,4 M avec proba P = 0,8 L = 1 M avec proba 1 P = 0,2 Contrats : fonds propres (action ordinaire) pénalité en cas de sous-déclaration contrat de dette Jean-Baptiste Desquilbet (Université Lille 1) 7 version 09/11/2012
8 2.2- Un contrat simple : le contrat de fonds propres action ordinaire : accord de partage du profit sur la base du résultat déclaré (Z) a = fraction du résultat déclaré versé à l'investisseur externe 1 a = fraction du résultat déclaré conservé par l'entrepreneur (en plus du résultat non déclaré) Si le contrat ne stipule que a et Z : gain de l'entrepreneur : V a Z il choisit de déclarer Z = 0 le contrat de fonds propres simple n'est pas efficace si les profits ne peuvent pas être vérifiés L'investisseur aimerait imposer une pénalité à l'entrepreneur en cas de déclaration d'un résultat «trop bas» : liquidation du projet pénalité non monétaire (prison, pilori, perte de réputation) Jean-Baptiste Desquilbet (Université Lille 1) 8 version 09/11/2012
9 2.2- Mise en faillite, liquidation La liquidation est inefficace si elle produit beaucoup moins que la valeur des actifs maintenus en place. Supposons que la liquidation ne rapporte rien (à l'entrepreneur/à l'investisseur) La liquidation est mieux utilisée comme pénalité contingente : si l'investisseur doit liquider pour un certain paiement, alors il liquide pour tout paiement inférieur sinon... Le contrat financier optimal sans surveillance : choisir un paiement «plancher» f : paiement supérieur à f évite la liquidation paiement inférieur liquidation un contrat de dette de valeur faciale (future) f! Jean-Baptiste Desquilbet (Université Lille 1) 9 version 09/11/2012
10 2.3- Le contrat de dette optimal Quel paiement f minimal garantissant un rendement attendu de 5% sur 1 M? Supposons f = 1 : état L : V = 1 état H : V = 1,4 entrepreneur paye 1 et évite la liquidation gain entrepreneur = 0 L'investisseur gagne 1 gain investisseur = 1 dans les deux états gain entrepreneur = 0,4 insuffisant gain investisseur = 1 (0% < 5%) Supposons 1 < f < 1,4 : état L : V = 1 liquidation gain entrepreneur = 0 Gain espéré de gain investisseur = 0 l'investisseur : 0,8.f liquidation gain entrepreneur = 1,4 f suffisant si : état H : V = 1,4 évitée gain investisseur = f 0,8.f = 1,05 Jean-Baptiste Desquilbet (Université Lille 1) 10 version 09/11/2012
11 Supposons f = 1,3125 : état L : V = 1 état H : V = 1,4 liquidation gain entrepreneur = 0 gain investisseur = 0 Gain espéré de liquidation gain entrepreneur = 0,0875 l'investisseur : 1,05 évitée gain investisseur = 1,3125 Quand l'investisseur extérieur ne peut pas observer les cash-flows surveiller les affaires alors : un contrat de financement par fonds propres ne fonctionne pas un contrat de dette est préférable la liquidation en cas défaut sert de pénalité que l'entrepreneur cherche à éviter Jean-Baptiste Desquilbet (Université Lille 1) 11 version 09/11/2012
12 2.4- La valeur de la surveillance Si l'investisseur peut surveiller l'entrepreneur : il détecte si l'état est H ou L au lieu de liquider systématiquement en cas de paiement insuffisant, il peut accepter un paiement conditionnel : 1 si V = 1, f si V = 1,4. Alors, l'entrepreneur accepte... Valeur de la surveillance = économie espérée en coûts de détresse financière : au lieu de gagner 0 si V = 1, l'investisseur gagne 1 (avec probabilité de 0,2) «gain de la surveillance» : S=0,2 1=0,2 Le «gain de la surveillance» doit être comparé au coût de surveillance (K) : doit être payé au préalable (avant que le résultat soit connu) s'informer à l'avance sur l'activité acquérir les capacité d'interpréter les comptes (On peut supposer que le coût est payé ex-post en cas de vérification : 0,2.K...) Jean-Baptiste Desquilbet (Université Lille 1) 12 version 09/11/2012
13 3- Intermédiation financière m investisseurs surveillent : m grand (petits investisseurs) coût de surveillance prohibitif m petit (gros investisseurs) financement possible par dette surveillée un IF peut être créé comme «gros investisseur synthétique» Supposons : m grand... A.N. : m = coût de surveillance : K = 0,0002 M par surveillant La délégation de surveillance à un «banquier» : évite la duplication des coûts de surveillance pose un problème d'incitation : effort de surveillance, info collectée pas observés par investisseurs même type de conflit d'intérêt banquier/investisseur que entrepr/investisseur Déléguer sans surveiller le surveillant importance de la diversification des prêts Jean-Baptiste Desquilbet (Université Lille 1) 13 version 09/11/2012
14 3.1- Comment déléguer la surveillance sans avoir à surveiller le surveillant? «Sed quis custodiet ipsos custodes?» «Mais qui garde ces gardiens?» (Juvénal, Satires VI) Imposer au banquier la possibilité d'une liquidation : selon le paiement aux déposants comme l'entrepreneur, le banquier préfère éviter la liquidation La liquidation est supposée être une pure sanction (elle ne rapporte rien). Interprétation : le banquier et l'entrepreneur sont «liquidés» ensemble pour s'assurer qu'ils ne sont pas de connivence «liquider» le banquier consomme tous ses actifs si le banquier anticipe la liquidation, alors il surveille moins, et ses actifs perdent de la valeur Jean-Baptiste Desquilbet (Université Lille 1) 14 version 09/11/2012
15 3.2- La surveillance déléguée sans diversification est un échec absence de diversification : la banque accorde/surveille un seul prêt au nom des petits déposants même si la banque peut collecter 1 dans l'état V = 1, elle doit être liquidée : contrat de dépôt de valeur faciale 1 rendement insuffisant contrat de dépôt de valeur faciale > 1 liquidation dans l'état L la banque doit être liquidée aussi souvent que l'entrepreneur la banque non diversifiée est inutile Jean-Baptiste Desquilbet (Université Lille 1) 15 version 09/11/2012
16 3.3- La diversification permet-elle de réduire le coût de délégation? Ex. : le banquier accorde/surveille deux prêts (aux résultats indépendants) 4 états : état V 1 V 2 probabilité HH V 1 = 1,4 V 2 = 1,4 0,64 HL V 1 = 1,4 V 2 = 1 0,16 LH V 1 = 1 V 2 = 1,4 0,16 LL V 1 = 1 V 2 = 1 0,04 Le banquier collecte 2 M de dépôts de investisseurs prête selon un contrat de dette surveillée de valeur faciale F < 1,4. récupère F si V i = 1,4 et 1 si V i = 1 n'a pas besoin de recourir à la liquidation émet des dépôts sous forme de dette non surveillée de valeur B (par prêt) est liquidé s'il paye à chaque déposant moins que 2B/20000= B/10000 Jean-Baptiste Desquilbet (Université Lille 1) 16 version 09/11/2012
17 Si le banquier surveille les deux prêts : Il gagne : état paiement probabilité proba cumulée explication V 1 +V 2 HH 2F 0,64 0,64 les deux paient F 2,8 HL ou LH F + 1 0,32 0,96 un paie F, l'autre 1 2,4 LL 2 0,04 1,00 les deux paient 1 2 Il doit 2B aux déposants : si F + 1 2B 2, alors : la banque est n'est liquidée que dans l'état LL (avec proba 4%) les déposants récupèrent : 0 avec proba 4% (liquidation ne rapporte rien) 2B avec proba 96% en moyenne : 0,96 2 B acceptable si 0,96 2 B=1,05 2 soit 2 B=2,1875 la banque doit récupérer F +1 2 B=2,1875 soit F 1,1875 en accordant un prêt de valeur faciale F = 1,1875, la banque peut bien rembourser l'intégralité des dépôts avec une probabilité de 96%. Jean-Baptiste Desquilbet (Université Lille 1) 17 version 09/11/2012
18 La banque va-t-elle surveiller? Si les deux emprunteurs échouent (LL) ou si les deux réussissent (HH) La surveillance ne rapporte rien Si l'un des deux emprunteurs échoue et l'autre réussit (HL ou LH) La surveillance accroît les revenus Accroissement attendu des revenus K par prêt l'incitation à surveiller Si la banque ne surveille aucun prêt, alors elle fait faillite si un des deux prêts échoue le banquier gagne 0 Si la banque surveille un prêt : avec proba 16%, le prêt surveillé échoue, l'autre réussit la banque accroît son revenu de 1 + F 2B = 1 + F 2,1875 la banque est incitée à surveiller un prêt si 0,16(1+F 2,1875) 0,0002 soit F 1,18875 La banque est incitée à surveiller 2 prêts si 0,32(1+F 2,1875) 0, soit (encore) F 1,18875 Jean-Baptiste Desquilbet (Université Lille 1) 18 version 09/11/2012
19 La nécessité de fournir au banquier une incitation... à surveiller à éviter faillite quand un seul prêt fait défaut implique un profit pour le banquier une «rente de contrôle» Avec 2 prêts : proba somme reçue (avec F = 1,18875) gain (créance résiduelle au-delà de 2B = 2,1875) 0,64 2F 0,19 = 2F 2B 0,32 F + 1 0,00125 = F + 1 2B 0, (faillite et liquidation) gain espéré du banquier = 0,122 soit 0,061 / prêt > K = 0,0002 rente de contrôle = 0,0608 / prêt Coût de délégation D = 0,1008 M /prêt = coût de détresse financière de la banque 1M 4 % + rente de contrôle 0,0608 M Jean-Baptiste Desquilbet (Université Lille 1) 19 version 09/11/2012
20 3.4- Résumé : intermédiation financière et diversification Parmi trois type de contrats : (1) pas de surveillance, dette diffuse de valeur faciale 1,3125 M /emprunteur (2) surveillance directe : économise le coût de détresse financière S = 0,2 M mais coûte les coûts de surveillance mk = 2 M (3) surveillance déléguée : économise coût de détresse financière S = 0,2 M mais coûte les coûts de surveillance et de délégation K + D = 0,1008 M l'option (3) est meilleure, grâce à la diversification du portefeuille de prêts. La diversification permet à l'if de fournir une surveillance déléguée à coût réduit : proba que la banque face défaut diminue la rente de contrôle diminue 0 qd nombre de prêts iid + le coût de délégation diminue seul subsiste le coût de surveillance (inévitable) Jean-Baptiste Desquilbet (Université Lille 1) 20 version 09/11/2012
21 À la limite (concurrence et diversification parfaites) : coût du capital attendu pour entrepreneur : 5,02% valeur faciale de la dette : F t.q. 0,8 F +0,2 1=1,0502 soit F = 1,06275 la rentabilité attendue de la banque est de 5% après coûts de surveillance Mais en pratique : le risque de défaut des emprunteurs est corrélé positivement le nombre de prêts en portefeuille est limité Message général : la diversification permet à la banque de transformer de la dette surveillée (prêt aux entrepreneurs) en dette non surveillée (dépôts bancaires) l'organisation bancaire minimise la somme des coûts de surveillance et de détresse financière Jean-Baptiste Desquilbet (Université Lille 1) 21 version 09/11/2012
22 4- Conclusion : 4.1- Conséquences en matière de politique économique La banque a intérêt à se couvrir contre tout risque qu'elle ne peut pas contrôler via surveillance (en particulier le risque de taux d'intérêt) La diversification rend les dépôts plus sûrs que les prêts : même sans assurance des dépôts éviter toute réglementation empêchant la diversification des prêts bancaires (sectorielle, géographique) diversification insuffisante proba de faillite bancaire + grande rentes de contrôle + élevées Jean-Baptiste Desquilbet (Université Lille 1) 22 version 09/11/2012
23 4.2- Rôle de la dette dans l'intermédiation financière droit de liquider en cas de défaut pouvoir du créancier incitation à rembourser mais la liquidation peut être inefficace intérêt de la surveillance (liquider judicieusement) les intermédiaires financiers (banques) : centralisent la surveillance, évitent la duplication des coûts de surveillance achètent de la dette qu'elles surveillent (prêt) émettent de la dette non surveillée (dépôts) effectuent cette transformation grâce à la diversification des prêts remplissent ainsi leur rôle de surveillance déléguée Jean-Baptiste Desquilbet (Université Lille 1) 23 version 09/11/2012
24 4.3- Questions théoriques : cf. Gorton & Winton (2003), «Financial Intermediation», in Constantinides, Harris et Stulz (editors), Handbook of the Economics of Finance, Elsevier, ch. 8, pp coût de surveillance : ex-post, en cas de défaillance (Townsend 1979) costly state verification ex-ante (Diamond 1984) non contingent forme précise des contrats de financement : dette (Townsend) indéterminée (Diamond) : dette ou fonds propres surveillance et diversification : intermédiaires non infiniment diversifiés en pratique existence d un risque systématique (non diversifiable) arbitrage entre coût de surveillance d un «gros» intermédiaire et bénéfice de la diversification taille optimale de l IF Jean-Baptiste Desquilbet (Université Lille 1) 24 version 09/11/2012
25 Banques comme productrices d information (i) Asymétries d information / acquisition coûteuse : problème de fiabilité (prouver qu une info valable a bien été produite?) Leland & Pyle (1977) : dans un contexte d antisélection, en prenant une part dans le projet, l entrepreneur signale la qualité problème d appropriabilité (l info est un «bien public») légitime l IF sous forme de : «vendeur d information» : agence de notation «gestionnaire de portefeuille délégué» : fonds mutuel, hedge fund, banque (ii) Apprentissage et relations de long terme : complexifier les modèles théoriques une seule interaction prêteur/emprunteur chaque emprunteur se finance auprès d un seul prêteur introduire des éléments plus réalistes conditions des prêts, renégociation multiplicité des prêteurs, concurrence Jean-Baptiste Desquilbet (Université Lille 1) 25 version 09/11/2012
26 Relations de long terme Avantages amélioration des conditions de contrats encourage la réputation meilleur accès au crédit si relation établie plus grande flexibilité rentes futures (*) banque externe informée taux débiteur + élevé si taux débiteur reflète le «risque moyen», seuls les «mauvais» risques changent de banque (malédiction du vainqueur) Inconvénients blocage de la relation, absence de concurrence : emprunteur «exploite» la banque banque «exploite» l emprunteur rente informationnelle (*) emprunteur sans financement en cas de difficulté de la banque rente pour la banque interne Taux trop élevé pour les «bons» emprunteurs en relation établie Concurrence pour les emprunteurs «libres» : trop de fonds pour les «mauvais» emprunteurs Jean-Baptiste Desquilbet (Université Lille 1) 26 version 09/11/2012
27 Surveillance : surveillance sélection de projets a priori (screening) prévention de comportements opportunistes pendant la réalisation du projet punir ou auditer un emprunteur défaillant contexte antisélection risque moral (actions cachées) vérification coûteuse des résultats Retour au «Survol» Jean-Baptiste Desquilbet (Université Lille 1) 27 version 09/11/2012
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