MINISTERE DE LA SANTE ET DE LA RECHERCHE
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- Jean-René Leboeuf
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1 MINISTERE DE LA SANTE ET DE LA RECHERCHE Campagne de lutte contre les Infections Sexuellement Transmissibles Du 1 er au 31 Décembre 2016 Contact presse : Direction de la santé Département des programmes de prévention Tél: / Pauline NIVA, chargée de communication pauline.niva@sante.gov.pf
2 LES IST, ÇA SE TRANSMET COMMENT? Les principales infections sexuellement transmissibles (IST) sont la chlamydiose, la gonococcie («chaude pisse»), la syphilis, les condylomes (crêtes de coq), l herpès génital, l hépatite B, la trichomonase, l infection VIH. Elles sont provoquées par des bactéries, des virus ou des parasites qui se transmettent lors des relations sexuelles : pénétration vaginale et anale, fellation, cunnilingus, anulingus, voire simple contact entre muqueuses. Certaines IST, comme l herpès et la syphilis, se transmettent aussi lors du baiser et des caresses. D autres (HIV, syphilis) peuvent être transmises par la mère à son enfant, lors de la grossesse, de l accouchement et de l allaitement. Beaucoup de personnes pensent que les IST se manifestent forcément par des signes et des gênes (démangeaisons, brûlures, petits boutons, rougeurs ). Or, bien souvent, les IST sont asymptomatiques sans signe visible d infection. 2 Si elles ne sont pas traitées, les conséquences peuvent être graves : stérilité (chlamydia), cancer du col de l utérus (HPV)... Une IST non traitée peut être une porte d entrée au VIH ou à une autre IST. Une IST "peut en cacher une autre". Il ne faut pas laisser ces infections sans traitement. DES MALADIES INFECTIEUSES EN PROGRESSION ALARMANTE En l absence de données épidémiologiques récentes sur les IST dans la population polynésienne, la situation est appréciée à partirr des données issues de plusieurs sources : laboratoires publics et privés, Centre hospitalier de Polynésie française (CHPF), structures de la Direction de la santé, observations des cliniciens. Le nombre de tests positifs suite à une recherche de syphilis, de chlamydiose, et de gonococcie en laboratoire semble être en forte augmentation ; les variations entre 2014 et 2015 sont respectivement de + 177%, de + 100%, de + 130%. Nombre de tests positifs de syphilis, de chlamydiose, de gonococcie dans les laboratoires d analyse en Polynésie française : variation entre 2014 et 2015 gonoccocie chlamydiose syphilis Source : Direction de la santé Ces informations sont corroborées par les observations des cliniciens notamment des centres de santé de la Direction de la santé. Un nombre accru d IST est rapporté jusque dans les îles éloignées (Rapa, Tuamotu Gambier). Le centre de consultations spécialisées en maladies infectieuses et
3 tropicales rapporte une situation inquiétante de nouvelles infections d IST, notamment la syphilis, dans la cohorte de patients VIH/Sida. De toutes les IST, la progression de la syphilis est la plus forte. De janvier à fin septembre 2016, le CHPF recense encore au moins 120 nouveaux cas de syphilis, dont une dizaine chez les donneurs de sang parmi lesquels aucun cas n avait été décelé les précédentes années. Par ailleurs sur la même période, le pourcentage de tests d IST positifs chez 950 femmes suivies pour grossesse au CHPF est important, notamment chez les moins de 25 ans. Fréquences estimées des IST chez les femmes enceintes suivies en obstétrique au CHPF, janv oct 2016 En % Total < 25 ans >25 ans Nbre parturientes Chlamydiose 15,2 23,9 8,0 Gonococcie 2,0 3,7 0,6 Mycoplasmes 5,6 7,5 4,0 Syphilis 1,2 1,2 1,3 HBV (AgHBs) 0,8 0,8 0,9 HIV 0,0 0,0 0,0 Source : Laboratoire du CHPF 3 Les services de pédiatrie et d obstétrique du CHPF diagnostiquent un cas de syphilis congénitale chez le nouveau-né en décembre 2015 et observent une augmentation de cas de séroconversions de la syphilis chez la femme enceinte (une vingtaine au premier trimestre 2016). Une telle situation n avait plus été observée depuis les années En 1984, il avait été rapporté 32 cas de syphilis congénitale dans un contexte de 300 nouveaux cas de syphilis par an. Les atteintes congénitales de la syphilis peuvent aboutir à la mort ou des malformations du fœtus. Ces données parcellaires ne sont probablement que la partie visible de l iceberg. Mais elles suffisent pour révéler une forte réémergence des IST sur le territoire contre laquelle une réponse rapide est nécessaire afin d éviter ces conséquences sanitaires potentiellement graves.
4 LES PRISES DE RISQUE La progression des IST témoigne d un relâchement de la prévention et d une reprise de conduites de risque. On parle de prise de risque à partir du moment où il y a un contact direct avec des lésions dues à une IST, par exemple : - lorsque l on a eu des rapports sexuels sans préservatif ; - lorsque l on ne connait pas le statut sérologique de son (sa) partenaire sexuel ; - lorsqu il y a un contact direct avec une lésion au cours d une caresse ou d un baiser, etc. Telles que rapportées par les professionnels de santé, les pratiques sexuelles à risques (multipartenaires sexuels, échangisme, prostitution ponctuelle) non protégées, le plus souvent sous l influence de l alcool et/ou de la drogue, sont très fréquentes en Polynésie française. 4 Le préservatif est oublié ou négligé, ou alors l acte sexuel se passe volontairement, en toute connaissance de cause, sans préservatif. La recrudescence des IST va de pair avec la précarisation des conditions de vie, les problèmes d hygiène, la marginalisation de certaines personnes (prostitution, travailleurs du sexe, sans domicile fixe ). Ces groupes socialement défavorisés recourent difficilement au système de soins et ont peu accès aux moyens de prévention. Devant cette situation urgente, le Ministère et la Direction de la Santé mettent en œuvre les mesures de santé publique et de prévention renforcées afin de réduire à tout prix la transmission des IST dans la population active sexuellement, d autant qu elle touche toutes les couches sociales.
5 MOBILISATION POUR UNE ACTION RENFORCEE CONTRE LES IST Mener une intervention combinée TRAITEMENT PRESERVATIF DEPISTAGE La sexualité est un sujet intime et très personnel ; les pratiques et les désirs varient d une personne à l autre. La prévention des IST/VIH évolue aujourd hui vers la prévention combinée qui élargit le choix des interventions et propose des méthodes associées pour une réponse plus efficace. 5 Le port du préservatif reste un moyen incontournable pour se protéger. Le dépistage et les traitements actuels jouent aussi un rôle essentiel dans la prévention des IST et du VIH/Sida. Utiliser le préservatif pour se protéger et protéger les autres, réaliser le dépistage pour savoir si on est infecté et prendre un traitement pour éviter d être contaminant, tels sont les des choix simultanés ou consécutifs de la prévention combinée en fonction de la situation individuelle de chacun. Re-dynamiser l action sur tout le territoire dès 2016 Le plan d action du Ministère de la Santé a pour objectif de réduire l incidencee des IST en utilisant une stratégie qui développe l offre de prévention combinée sur tout le territoire : - l information et la sensibilisation du public et des groupes à risque sur les modes de transmission des IST et les moyens de prévention - l éducation à la sexualité chez les jeunes - l augmentation de l accès du préservatif et la promotion de son usage de façon banalisée - l accès au dépistage des IST - le traitement des personnes infectées.
6 LE DEPISTAGE ET LE TRAITEMENT Les acteurs de santé sont d ores et déjà mobilisés pour mener les actions combinées préventives et curatives (information préservatif dépistage traitement) qui permettront d enrayer la propagation des IST. Le bureau de veille sanitaire à la Direction de la Santé organise le recueil des données de surveillance des IST et la rétro-information aux professionnels de santé. Les moyens de prévention (tests de dépistage de terrain, préservatifs, supports d éducation à la santé) sont mis à disposition des professionnels et des relais de santé : - Via les Centres de dépistage anonyme et gratuit (CDAG), actuellement au nombre de 11 : o Tahiti nui : CCSMIT au CHPF de Taaone, CCSPMI à Hamuta, Dispensaire Vaitavatava à Papeete, Fare Tama Hau à Fare ute, Dispensaire Faaa o Tahiti iti : Hôpital de Taravao o Moorea : Hôpital d Afareaitu o Raiatea : Hôpital d Uturoa o Australes : Centres médicaux Tubuai et Rurutu o Marquises : Hôpital de Taiohae 6 - Via le maillage des structures de soins et de santé publique à Tahiti et dans les îles. Une formation des professionnels de santé, prévue le 13 décembre 2016 au CHPF, sera proposée pour actualiser les connaissances et diffuser les recommandations de pratiques médicales en matière de prévention, de dépistage, de prise en charge et de traitement des IST. Syphilis congénitale : protocole de dépistage des femmes enceintes et de traitement La réémergence de nouveaux cas de syphilis congénitale justifie l action urgente à mener chez les femmes enceintes. La diffusion d un protocole spécifique en matière de dépistage des IST, de traitement et de prise en charge des femmes enceintes et des nouveau-nés infectés, a été décidée. Le surcoût annuel lié à sa mise en place (de 4,5 millions) est pris en charge par la CPS.
7 LA CAMPAGNE DE COMMUNICATION Elle est mise en œuvre par la Direction de la Santé, en plusieurs vagues de communication, et vient en soutien des actions de terrain. Les partenaires de l éducation, de la jeunesse, de la solidarité et de la condition féminine, des entreprises privées ainsi que les bénévoles associatifs sont associés à ces actions qui permettent de relayer les messages, redynamiser l éducation à la sexualité ou développer les points de distribution de préservatifs gratuits. Objectifs de la campagne de communication 7 - Informer le public et les média de la situation des IST en Polynésie ; - Sensibiliser les jeunes et les adultes sur les modes de transmission des IST ; - Renforcer la promotion du préservatif afin que son usage devienne un bon réflexe et un objet banalisé ; - Valoriser l attitude à la protection lors des relations sexuelles ; - Inciter à recourir aux tests de dépistage des IST/VIH ; - Orienter les personnes infectées vers le soin et le traitement pour stopper la transmission des IST. La première vague a eu lieu en septembre La campagne est renforcée lors de la seconde vague et est lancée à l occasion de la Journée mondiale du SIDA du 1er décembre. Elle se déroule tout le mois de décembre. Les ados et les jeunes adultes sont particulièrement visés. Les actions sont centrées sur la promotion du port du préservatif notamment dans le contexte de prises de risques, la mise à disposition de préservatifs gratuits et l information sur l offre de dépistage des IST/VIH et de traitement dans les CDAG et les structures de santé en Polynésie française.
8 DECLINAISON DE LA CAMPAGNE EN DECEMBRE 2016 Campagne audiovisuelle lancement le 1 er décembre (journée mondiale du Sida) 8 Distribution d un dépliant et d une brochure d information STOP IST Affiche METS TA CAPOTE Affiche FAIS-TOI DEPISTER DES IST Bannières Web Carte et wallet phone Liste de contacts des centres de dépistage anonyme et gratuit Appli Smartphone Liste des points de distribution de capotes Diffusion de 4 spots de sensibilisation mettant en scène des situations de prises de risques courantes - Télé, radio, pages Facebook (Ea ttitude, Femmes de Polynésie), Youtube Diffusion d un spot avec Trishka - pages Facebook Ea ttitude et Youtube Trishka, comédienne polynésienne du Comédie show, prend parole pour sensibiliser les jeunes sur les croyances liées aux modes de transmission des IST et sur l importance du port du préservatif. A partir du 28 novembre au 12 décembre - diffusion d un message radio par NRJ destiné aux jeunes de 15 à 30 ans. Rai, animateur du 6/9 et son équipe consacreront une rubrique sur les IST, avec des jeux pour gagner 1 an de préservatifs gratuits. Réseaux sociaux Toute la campagne et l actu relayées sur la page Ea ttitude de la Direction de la santé Animations INFO-IST et échanges avec des professionnels de santé sur la page Facebook Ea ttitude
9 Evènements 1er au 18 décembre - THEATRE DE RUE : éducation interactive sur la base de scénettes (prises de risques, port du préservatif, tests IST, fausses idées) jouées par des comédiens locaux. Représentations dans les lieux fréquentés par les jeunes à Tahiti (entrée entrée des Lycées et Collèges, Université de Polynésie française, parc Bougainville, etc.) Programme prévisionnel en annexe 9 1 décembre Mobilisation de solidarité contre le VIH à Nuku Hiva et pour la prévention, p organisée par la cellule de promotion de la santé des Marquises. 2 décembre CAPOTE MOZ TOUR à Moorea : tour de l île en vélo et sur les ferrys de Terevau et Aremiti, à la rencontre des jeunes pour parler des IST et distribuer des préservatifs. pré Organisation par la cellule ellule de promotion de santé de Moorea et des jeunes bénévoles. 1er, 2 et 3 décembre puis le 9, 10 et 11 décembre tournées by night du TRUCK «METS TA CAPOTE», aux couleurs de la campagne, pour sensibiliser les jeunes. er Des ambassadeurs de la campagne, les capotes girls et les capotes boys, en costumes de préservatifs (designedby Shelby), distribueront des préservatifs dans tous les lieux de fête des nuits de Tahiti. 9, 10 et 11 décembre - CONCERT DE JULIA ZHARA ZHAR au Casa Mahina (vendredi vendredi et samedi soir) et au Pink Coconut (dimanche dimanche fin d après midi). L artiste sensibilisera son public sur la prévention des IST/VIH, IST/VIH, avec une opération des capitaines de soirées (100 par soirée, ne consommant pas d alcool et distribuant des capotes). Le truck «METS TA CAPOTE» sera mis à disposition des personnes souhaitant se rendre au concert (départ et retour à Papeete) avant sa 2ème tournée dans la ville. Réseau de distribution gratuite de PRESERVATIFS Actuellement 100 points de distribution existent dans les structures de la Direction de la santé à Tahiti et dans les îles, les pharmacies. Ce réseau sera augmenté à partir du 1er décembre, avec les bars, les discothèques, les restaurants, les stations services et les magasins volontaires, les mairies. Objectif à atteindre : au moins 300 lieux de distribution de préservatifs gratuits dans toute la Polynésie préservatifs sont ont mis à disposition par la Direction de la Santé pour les opérations de prévention en décembre (hors structures sanitaires). Une appli Smartphone est téléchargeable sur su la page Facebook acebook Ea ttitude pour connaître connaî les lieux de distribution les plus proches de chez eux.
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