I - La meunerie française : son activité, ses marchés. III La meunerie française : son approvisionnement
|
|
- Lucien Richard
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Dossier de presse septembre 2012 Introduction I - La meunerie française : son activité, ses marchés II La meunerie française : son économie III La meunerie française : son approvisionnement Dossier de presse septembre
2 La meunerie française La meunerie française doit faire face à un nouveau choc des prix du blé L année 2011, marquée par un niveau élevé des cours du blé doublé d une forte volatilité, rend les entreprises de meunerie toujours plus fragiles. En juillet 2012, la meunerie est confrontée, pour la 3 ème fois depuis 2007, à une envolée des prix du blé. Pour 2011, l estimation du coût supplémentaire pour l ensemble de la profession dépasse les 300 millions d Euros pour un chiffre d affaires de 2,11 milliards d Euros. De plus «En ce début de campagne 2012/2013, nous sommes très préoccupés par ces mouvements de marché qui ont des conséquences très préjudiciables pour les entreprises meunières tant en ce qui concerne les conditions de couverture en matière première et leur financement, qu en ce qui concerne leurs résultats d exploitation», souligne Joseph Nicot, Président de l ANMF. Si l activité de la meunerie est restée relativement stable dans sa globalité en 2011, le marché de la panification, premier débouché, poursuit sa baisse structurelle (-1 % sur 2010). Les industries alimentaires, avec une augmentation de 3,4 % des volumes, permettent le maintien de la production de farine à des niveaux identiques à ceux de En 2011 la production de farine de la meunerie française, export compris, s élève à 4,37 millions de tonnes contre 4,38 millions en Sur le marché intérieur, 4,02 millions de tonnes de farines ont été utilisées, soit une très légère baisse de 0,4 % par rapport à L exportation, pour sa part, voit cette année ses volumes augmenter de 1,5 %. La panification reste l utilisation principale de la farine avec 64,4% des tonnages suivie des industries utilisatrices (biscuiterie ) avec 28,3 %. Le marché de la farine en sachet,«farine ménagère» et «farines prêtes à l emploi», connaît un décrochage important de plus de 10 %. 2,95 millions de tonnes de pain ont été consommées en 2011 en France. La boulangerie artisanale détient 61,5 % des parts de marché du pain. La boulangerie industrielle et les ateliers de boulangerie en grande surface représentent respectivement 26,5 % et 9,4 % de ce secteur. La meunerie française, constituée de 381 entreprises, compte 450 unités de production qui ont utilisé 5,56 millions de tonnes de blé en 2011, soit 18 % des blés français commercialisés. La production de farine est de 4,37 millions de tonnes, dont destinées à l exportation. Le chiffre d affaires de la meunerie est de 2,1 Mds d. Les entreprises de meunerie qui adhèrent à l Association nationale de la meunerie française représentent 95 % de la production nationale. Contact presse : Département communication de l ANMF Valérie Mousquès-Cami : Tél : v.mousquescami@anmf.glaboetie.org Dossier de presse septembre
3 I LA MEUNERIE FRANCAISE : son activité, ses marchés Stabilité de la production et de la consommation de farine En France, la production de farine reste relativement stable entre 2010 et 2011 et atteint 4,37 millions de tonnes, exportations comprises. En 2011, la consommation de farine sur le marché intérieur est de 4,02 millions de tonnes, soit une diminution de tonnes par rapport à Les exportations s élèvent à tonnes enregistrant une hausse de 1,5%. Le marché de la farine n a pas retrouvé son niveau de 2007 qui atteignait 4,06 millions de tonnes. o La panification : le débouché majeur de la farine Avec près de 65 % des tonnages, la panification reste le principal marché de la farine en France. En 2011, 2,59 millions de tonnes de farine sont utilisées en panification, soit une légère baisse de 1 % par rapport à Face à un marché très concurrentiel, l activité en boulangerie artisanale connaît une légère baisse (-1,7%), avec 1, 52 million de tonnes de farine utilisées, tandis que la boulangerie industrielle voit son activité augmenter de 1,3 %, avec Le marché de la farine biologique, en croissance tonnes. La boulangerie artisanale représente 37,9 % de la totalité des de 7,7 % en 2011, représente 1,5 % des débouchés débouchés de la farine sur le marché intérieur et 58,9 % des débouchés sur le marché intérieur, avec tonnes. Près en panification. La boulangerie industrielle est le 3 eme débouché de de 50 % des farines biologiques sont destinées à la panification. La boulangerie artisanale utilise près la farine avec 20,7 % des parts de marché de la farine sur le marché de 65 % des farines biologiques panifiables. intérieur et 32,1 % des parts de marché de la panification. Les ateliers de boulangerie en grandes surfaces représentent 5,8 % des parts de marché de la panification, avec tonnes, enregistrant une importante baisse de 3,9 % par rapport à Dossier de presse septembre
4 o Biscuiterie, biscotterie, panification fine : augmentation de la consommation Deuxième débouché de la farine après la boulangerie artisanale, le marché des industries utilisatrices (biscuiterie, biscotterie et panification fine ) est en augmentation (+ 3,4 %), avec de tonnes utilisées. o La farine en sachet : un débouché en net recul Ces dernières années, le marché de la farine en sachet a été marqué par les fortes ventes des machines à pain, portant ainsi le marché du sachet à des niveaux élevés jusqu en , marque, a priori, un décrochage de ce débouché avec une forte baisse (- 10,1%) par rapport à l année précédente. Dossier de presse septembre
5 II - LA MEUNERIE FRANCAISE : son économie La structure des entreprises de la meunerie française Si le nombre d unités de production est stable, la profession a été marquée en 2011 par le rachat d entreprises régionales par des groupes multi-régionaux ou nationaux. Bien que le leadership des entreprises de dimension nationale se confirme pour la meunerie française, les entreprises ayant une activité départementale se maintiennent. L évolution de la règlementation meunière a contribué à la création de moulins écrasant moins de 35 tonnes de blé par an. - Les 4 entreprises nationales : Nutrixo, La meunerie française est composée de 381 entreprises qui regroupent 450 Moulins Soufflet, Grands Moulins de moulins. Strasbourg et Axiane meunerie. 4 entreprises présentes au niveau national représentent 45 moulins - Les 11 entreprises multi-régionales : et 58 % du blé écrasé en France, soit 3,21 Mt, Terrena-Evelia, Groupe Nicot, Minoterie Girardeau, Dijon Céréales Meunerie, Groupe 11 entreprises couvrent plusieurs régions, avec 34 moulins. Elles Maurey, Limagrain meunerie, Moulins Dumée, assurent 20 % de l écrasement contre 18,4 % en 2010, Minoterie Bellot, Minoterie Forest, Gers farines, 55 entreprises régionales, avec 60 moulins, assurent 16 % de Caproga. (au ) l écrasement, et 311 entreprises départementales, avec 311 moulins, représentent 6,1 % du blé écrasé. Un chiffre d affaires en hausse qui ne compense pas la hausse du prix du blé Le chiffre d affaires de la meunerie française 2011 connaît une forte hausse (+ 11,7 %), alors que le cours du blé, pour sa part, augmente de 33 % en moyenne sur l année. Il s agit d une hausse de 230 millions d euros, soit plus de 14 % du CA, qui ne compense pas celle des cours du blé estimée à plus de 300 millions d euros sur les volumes de blé utilisés par la meunerie française. Dossier de presse septembre
6 L envolée des cours du blé de juillet 2010, selon l Insee (août 2012), s est traduite par une hausse modérée et décalée dans le temps de l indice de prix des farines, en Alors que l indice moyen annuel du prix du blé a augmenté de 33 %, celui de la farine n a augmenté que de 14 %. Marchés agricoles : nécessité de mieux réguler le marché des céréales. Pour leur approvisionnement en blé, les meuniers sont soumis à des fluctuations et variations des cours très importantes depuis 2007/2008 qui entraînent davantage de risques dans la gestion de leur entreprise. Face à cette situation, depuis 2010, l ANMF interpelle les Pouvoirs publics français, ainsi que les instances européennes, en soumettant des propositions afin de mieux réguler le marché des céréales et ainsi, rétablir des conditions de concurrence équitables : - Instaurer des règles pour connaître les positions ouvertes par catégorie d opérateur sur les marchés financiers des matières premières. - Fixer des limites de position par opérateur et par catégorie d opérateurs ainsi que des limites journalières de variations de cours sur le marché à terme Euronext. - Renforcer la surveillance et le contrôle des marchés financiers des matières premières. - Maintenir des instruments de gestion du marché européen des céréales (ex : stocks de réserve) Dossier de presse septembre
7 III LA MEUNERIE FRANCAISE : son approvisionnement Les meuniers français utilisent du blé français Les meuniers français utilisent quasi exclusivement du blé français : ils sélectionnent les variétés selon les débouchés de la farine (panification, biscuiterie ). La meunerie française est le premier utilisateur de blé sur le marché intérieur, suivi par l alimentation animale. Elle a écrasé, au cours de la campagne 2011/2012, 18 % du blé commercialisé en France. En 2011, les importations en provenance de l Union européenne ne représentent que 1,3 % des blés mis en œuvre par les meuniers français, soit tonnes. Des exigences variétales en blé tendre La meunerie française utilise près de 6 millions de tonnes de blé dont la majorité des achats se fait sur des mélanges de variétés répondant aux critères technologiques et sanitaires déterminés. Chaque année, l ANMF réactualise et publie, à l attention des meuniers et de leurs fournisseurs, la liste «blés meuniers». Composée de VRM (Variétés Recommandées par la Meunerie) et de BPMF (Blés Pour la Meunerie Française). La liste «blés meuniers» vise notamment à favoriser la culture de blés à forte valeur boulangère ou biscuitière qui permettent de produire du pain ou des biscuits d excellente qualité et définit les variétés qui peuvent composer les mélanges (assemblages) destinés à la meunerie, en fonction du débouché (panification ou biscuiterie). Pour la récolte 2012, les Variétés Recommandées par la Meunerie (VRM) représentent 38 % des surfaces cultivées. L ANMF, par la publication des «Blés meuniers», contribue à la qualité des blés français pour l ensemble des utilisateurs sur le marché intérieur et à l exportation. Une démarche qualité soutenue Mis en place par l Institut de Recherches Technologiques Agro alimentaires des Céréales (Irtac) en collaboration avec l ANMF, le plan de surveillance sanitaire des céréales s adresse à tous les opérateurs de la filière blé tendre, autres céréales et produits transformés. Il permet d optimiser la surveillance des produits de meunerie en pratiquant des analyses d échantillons de blés, de farines et d issues et de disposer ainsi de données globales de la qualité sanitaire. Si les meuniers se sont engagés depuis plusieurs années dans l amélioration continue de la sécurité alimentaire des farines et des produits à base de farine, la traçabilité mise en place sur l ensemble de la filière en est le garant. Dossier de presse septembre
8 En amont de la filière, avec les agriculteurs et les organismes stockeurs, des travaux ont été menés ces dernières années sur la gestion des Mycotoxines : les origines des contaminations sont mieux identifiées et les moyens d action ou de prévention sont mieux appréhendés par l ensemble des opérateurs. Les travaux conduits ont abouti à la publication, en 2009, du Guide interprofessionnel de gestion des mycotoxines dans la filière céréalière. Recommandations pour la qualité sanitaire des blés tendres : - adhérer au plan de surveillance sanitaire des céréales de l Irtac, - utiliser des outils de prédiction du risque mycotoxine à la parcelle et sur la zone de collecte. - nettoyer les blés avant livraison à la meunerie En meunerie, en l absence de référence réglementaire, les critères microbiologiques attendus pour la farine ont volontairement été établis par la meunerie fin 2008, en relation avec les obligations réglementaires applicables aux produits finis. Par ailleurs, la meunerie s engage aussi auprès des utilisateurs de farines. Ainsi, des modèles de cahier des charges ont été réalisés avec différentes organisations professionnelles représentant les clients des meuniers. Dossier de presse septembre
Association nationale de la meunerie française
Association nationale de la meunerie française LA MEUNERIE FRANCAISE : ses entreprises, ses marchés t tla t structure des entreprises de la meunerie française La meunerie française est composée de 373
Plus en détailMots-clés : denrée, préemballé, étiquetage, ingrédient, information, consommateur, allergène, boulanger, pain
Circulaire n 6252 2 Février 2015 Gestion de l entreprise Fabrication Réglementation hygiénique et sanitaire 7 0 5 Dossier suivi par : Flavie SOUPLY Rédactrice : Flavie SOUPLY Ligne directe : 01.43.59.45.08
Plus en détailL INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS
1 L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS xz Sabrina TONNERRE Juriste Master II Droit des activités économiques Option Droit de l agroalimentaire Sous la direction de Maître
Plus en détailEVALUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA CONSOLIDATION DU PROGRAMME DE
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL EVALUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA CONSOLIDATION DU PROGRAMME DE DÉVELOPPEMENT AGRICOLE Evaluation
Plus en détailLes Rencontres de la Boulangerie
Les Rencontres de la Boulangerie Les Moulins Evelia et leur partenaire Gabopla, fournisseur de matières premières en boulangerie, organisent les premières Rencontres de la Boulangerie les 21, 22, 23 et
Plus en détailCONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE
CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse
Plus en détailL intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui
L intérêt technico-économique Titre de du l'engraissement diaporama des mâles avec simulations à l'appui Christèle PINEAU Institut de l'elevage Christele.Pineau@idele.fr Matthieu COUFFIGNAL ARVALIS, Institut
Plus en détailNOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis
TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son
Plus en détailII. LE PRINCIPE DE LA BASE
II. LE PRINCIPE DE LA BASE Le comportement des opérateurs (position longue ou courte) prend généralement en compte l évolution du cours au comptant et celle du cours à terme. Bien qu ils n évoluent pas
Plus en détailATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC
Ministère Chargé du Commerce Extérieur ATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC Présentation du secteur agroalimentaire (IAA) Le secteur des industries agroalimentaires
Plus en détailGestion économique du produit agricole, dossier 3, Arnaud Diemer, IHEDREA, MCF Clermont-Ferrand LES MARCHES A TERME
LES MARCHES A TERME Institut des Hautes Etudes en Droit Rural et Economie Agricole 1 PLAN I ) CARACTERISTIQUES DES MARCHES A ) Objectifs B ) Fonctions C ) Conditions d existence D ) Types d intervention
Plus en détailMairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440. Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES
Mairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440 Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Maître d ouvrage
Plus en détailMaster professionnel aliments, microbiologie, assurance qualité
Master professionnel aliments, microbiologie, assurance qualité OBJEIFS Parcours Microbiologie appliquée à l agro-alimentaire et l agro-environnement La spécialité a pour but de former des cadres de haut
Plus en détailComment utiliser les graines de soja à la cuisine
Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire
Plus en détailEnjeux et perspectives des industries agroalimentaires face à la volatilité du prix des matières premières
Enjeux et perspectives des industries agroalimentaires face à la volatilité du prix des matières premières o c p r o s p e c t i v e Date de parution : octobre 2012 Couverture : Nathalie Palous, Brigitte
Plus en détailGRENADE / GARONNE 30 janvier 2014. Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne
LA RESTAURATION SCOLAIRE GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014 Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne LES OBJECTIFS Apporter aux enfants une alimentation de Qualité pour répondre à leurs
Plus en détailPour ou contre le gluten? Qu est-ce que le gluten?
Pour ou contre le gluten? C est un peu la grande mode du moment : «ouaih moi, une semaine avant la course, je supprime tous les aliments contenant du gluten parce que c est mauvais» hum hum. Savez-vous
Plus en détailSéminaire de présentation du Programme d'appui à la Diversification de l'économie en Algérie
Programme financé par l Union européenne Séminaire de présentation du Programme d'appui à la Diversification de l'économie en Algérie UN SECTEUR FORTEMENT TYPE Mouvement de privatisation de l économie
Plus en détailCOMMUNIQUE DE PRESSE 1. Chiffre d affaires : 243,6 M (- 6%) Résultat d exploitation : 3,2 M (+ 53%) Résultat net de la période : 2,3 M (+ 64%)
COMMUNIQUE DE PRESSE 1 RESULTATS 2014 : Le 20 février 2015, 16 h 30 INFORMATION REGLEMENTEE Chiffre d affaires : 243,6 M (- 6%) Résultat d exploitation : 3,2 M (+ 53%) Résultat net de la période : 2,3
Plus en détailChapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite)
Chapitre 6 Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique 1 Objectifs d apprentissage Faire la distinction entre le stock de capital et de la richesse et le flux de production, de revenu,
Plus en détailRESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV
RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE, Suivant la proposition de la Commission I
Plus en détailB.T.S. N.R.C. SESSION 2006 Management et gestion d'activités commerciales. Proposition de Corrigé "JAMPI" Dossier 1 L entreprise et son marché
B.T.S. N.R.C. SESSION 2006 Management et gestion d'activités commerciales Proposition de Corrigé "JAMPI" Dossier 1 L entreprise et son marché Première partie : Analyse du marché à partir des annexes 1
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailUnion des Coopératives Agricoles de l ALlier Approuvé par :
Manuel Qualité et HACCP Indice : I Union des Coopératives Agricoles de l ALlier Approuvé par : Jacky COURRIER Directeur de COOPACA Jean-Claude MICHEL Directeur de Val limagne.coop La force d un groupe
Plus en détailAgricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable
Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailL assurance française : le bilan de l année 2012
L assurance française : le bilan de l année 2012 1 L assurance française : le bilan de l année 2012 1 2 L environnement économique et financier : accalmie et incertitude Le bilan d activité : résistance
Plus en détailRevenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières
Agreste Champagne-Ardenne n 4 - Juillet 2015 Réseau d information comptable agricole En 2013, le Résultat Courant Avant Impôt (RCAI) moyen des exploitations agricoles champardennaises couvertes par le
Plus en détailPoint d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015
Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la
Plus en détailL IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES
ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX
Plus en détailEPREUVE E71 BTSA Technico commercial Champs professionnel : produits alimentaires et boissons
EPREUVE E71 BTSA Technico commercial Champs professionnel : produits alimentaires et boissons Cas Florette Durée de préparation : 1 h 25 Durée de passage 30 min Coefficient 6 Session Juin 2013 sujet SITUATION
Plus en détailÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER
ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département
Plus en détailFORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE
FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE REFERENTIEL DE CAPACITE DE L OPERATEUR EN RESTAURATION COMMERCIALE (annexe II de l arrêté du 5 octobre 2011) Conseils d utilisation: Vous pouvez suivre la
Plus en détailSECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL
SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL Références réglementaires : Règlement N 178/2002 établissant les principes généraux et les prescriptions générales de la législation alimentaire
Plus en détailPréparation de repas journaliers pour le service de portage à domicile
Centre Communal d Action Sociale de CARNOULES Département du Var Préparation de repas journaliers pour le service de portage à domicile CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES MARCHE PUBLIC DE PRESTATION
Plus en détail«Cette femme réduit le grain en farine grâce à une pierre à moudre (metate) et un broyeur cylindrique (mano)». 1 LA PROBLEMATIQUE
Proposition de réglementation spécifique de la production et de la commercialisation de produits agricoles et alimentaires traditionnels en Amérique latine ( ) - Propositions «Metate» - Marlen LEON GUZMAN
Plus en détailEnvironnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts
Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts Millions t 3 000 2 500 2 000 1 500 1 000 La demande en grains va augmenter avec la population 500 MAÏS : +76% 0 2000 2010 2015 2020 2030 RIZ
Plus en détailL éthique dans la société contemporaine
L éthique dans les entreprises en contexte de gestion de crise dans le secteur agroalimentaire Horizon Marketing agroalimentaire 2009 Jeudi15 octobre 2009 M e Manon Beaumier, DSG-UQTR L éthique dans la
Plus en détailL Indice Environnemental
L Indice Environnemental Historique et position face à l hypothèse de Porter Corinne MERCADIE Responsable Environnement & Emballages 1ere expérience de collecte et de mesure environnementale 2008 à 2010
Plus en détailFiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008
Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel
Plus en détailCadeaux d affaires, cadeaux d entreprises, objets publicitaires www.france-cadeaux.fr - services@france-cadeaux.fr
Siège France Cadeaux 84 rue de Courbiac 17100 Sainte 00 33 (0)5 46 74 66 00 RC.424 290 211 00012 Cadeaux d affaire, cadeaux d entreprie, objet publicitaire www.france-cadeaux.fr - ervice@france-cadeaux.fr
Plus en détailUnivers BOULANGERIE. Dimanche 16 et lundi 17 octobre 2011 Palais des Congrès Futuroscope - Poitiers
Univers BOULANGERIE 2011 La fatalité n'existe pas... prenons les devants! Dimanche 16 et lundi 17 octobre 2011 Palais des Congrès Futuroscope - Poitiers Confédération Nationale de la Boulangerie et Boulangerie-Pâtisserie
Plus en détailPAC. ce qui change. vraiment
PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne
Plus en détailPROCESSUS DE CERTIFICATION Agriculture Biologique
CERTIFICATION AB 10.2012 PROCESSUS DE CERTIFICATION Agriculture Biologique SOMMAIRE I La règlementation II Le processus de certification 1- Les étapes du processus de certification 2- Le plan de correction
Plus en détailLE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I
LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler
Plus en détailAVIS 1 / 6. Afssa Saisine n 2008-SA-0319 Saisine liée n 2005-SA-0081. Maisons-Alfort, le 18 août 2009. Rappel de la saisine
Maisons-Alfort, le 18 août 2009 AVIS LA DIRECTRICE GÉNÉRALE ADJOINTE de l Agence française de sécurité sanitaire des aliments relatif à une demande d'avis relatif au guide de bonnes pratiques d'hygiène
Plus en détailFabrication de farines à base de maïs
SAILD agridoc Fabrication de farines à base de maïs Zone géographique Mots clés Public(s) cible(s) Afrique centrale, Cameroun Farine ; Maïs ; Transformation agroalimentaire ; Couscous, Bouillie. Petites
Plus en détailLa Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives
La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives Juin 2012 Lionel FRANCOIS Sommaire La Bio, pourquoi? La Bio c est quoi? La situation de la Bio Les acteurs du Bio Le paysan
Plus en détailPourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles?
Pourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles? Pourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles?
Plus en détailAnnexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020
Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 CADRE REGLEMENTAIRE : FEADER, PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT RURAL 2014 2020, REGION LIMOUSIN Cette annexe
Plus en détailBig Bang Céréales. Compétition d agence
Big Bang Céréales Compétition d agence Big Bang Céréales Compétition d agence Présenté par Lemon Tree Sommaire Rappel Audit Stratégie Recommandations des enjeux interne & externe marketing & session Q/A
Plus en détailENQUÊTE SUR LE COÛT DE LA VIE ETUDIANTE
DOSSIER DE PRESSE 18 AOÛT 2014 ENQUÊTE SUR LE COÛT DE LA VIE ETUDIANTE CONTACT PRESSE LISA RIBEAUD 06 15 86 43 41 lribeaud@unef.fr presse@unef.fr 2 Rentrée 2014 SOMMAIRE Les principaux chiffres 5 Edito
Plus en détailHYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE
HYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE Dr Erick KEROURIO DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS DE L ESSONNE Le cadre réglementaire LA RESTAURATION COLLECTIVE Notion de «clientèle» captive
Plus en détailPRESENTATION DE L AGENCE NATIONALE DES PORTS. Avril 2011
PRESENTATION DE L AGENCE NATIONALE DES PORTS Avril 2011 1 Mise en place d un cadre législatif et réglementaire L instauration par la Loi 15-02 de: l obligation d exercice des activités portuaires dans
Plus en détailBien choisir sa variété de maïs ensilage
Bien choisir sa variété de maïs ensilage Le maïs ensilage n est pas une culture difficile à cultiver. Pour choisir sa variété, l agriculteur dispose aujourd hui d une multitude de critères : attention
Plus en détailACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE SUR LA VALIDATION DES ACQUIS ET DE L EXPERIENCE DU 6 JUIN 2006
ACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE SUR LA VALIDATION DES ACQUIS ET DE L EXPERIENCE DU 6 JUIN 2006 Entre : La Direction de Distribution Casino France, représentée par M. Gérard MASSUS, Directeur des Ressources
Plus en détailDossier de presse LA FILIÈRE CÉRÉALIÈRE EN RÉGION NORD-PAS-DE-CALAIS : UNE CULTURE DE L EMPLOI
Dossier de presse LA FILIÈRE CÉRÉALIÈRE EN RÉGION NORD-PAS-DE-CALAIS : UNE CULTURE DE L EMPLOI LES CHIFFRES CLÉS RÉGIONAUX UNE MOISSON DE MÉTIERS D AVENIR DES FEMMES DES HOMMES PASSIONNÉS http://npdc.passioncereales.fr
Plus en détailLIVRET DE PRESENTATION
LA GENÈSE DES JARDINS DE CONTRAT 1992, Château-Renault Trois passionnés ouvrent un chantier d'espaces verts et un atelier de menuiserie. Leur but : faire partager leur savoir-faire, l association Contrat
Plus en détailDossier d information
Dossier d information 1 Sommaire L histoire de La Vie Claire............................................................................ 4 La Vie Claire aujourd hui.............................................................................
Plus en détailAssociation pour la Promotion de l Assurance Collective Clauses de désignation et de migration
Association pour la Promotion de l Assurance Collective Clauses de désignation et de migration 1 1/ Qu est ce qu un accord de branche? Un accord de branche est un acte juridique issu d'une négociation
Plus en détailFINANCEMENT DES CEREALES AVEC AVAL DE FRANCEAGRIMER POUR LA CAMPAGNE 2014-2015
DECISION DU DIRECTEUR GENERAL DE FRANCEAGRIMER DIRECTION FILIERES ET INTERNATIONAL SERVICE ENTREPRISES ET MARCHES UNITE ENTREPRISES ET FILIERES 12, RUE ROL-TANGUY TSA 20002 93555 MONTREUIL SOUS BOIS CEDEX
Plus en détailACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie
ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture
Plus en détailTRACABILITE DANS LE SECTEUR AGROALIMENTAIRE, J-4 mois : ÊTES-VOUS PRÊTS?
TRACABILITE DANS LE SECTEUR AGROALIMENTAIRE, J-4 mois : ÊTES-VOUS PRÊTS? INTRODUCTION Aujourd hui, dans un contexte de crises sanitaires et de concurrence internationale croissante au niveau du secteur
Plus en détailMoyens de production. Engrais
Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement
Plus en détailINVETISSEMENTS, PRODUCTION, COMMERCIALISATION, EXPORTATION: FACILITES & CONTRAINTES. CAS DU GROUPE FALY EXPORT
INVETISSEMENTS, PRODUCTION, COMMERCIALISATION, EXPORTATION: FACILITES & CONTRAINTES. CAS DU GROUPE FALY EXPORT LA SECURITE ALIMENTAIRE DANS L INDIANOCEANIE INVESTIR DANS LA PRODUCTION AGRICOLE 25-27 MARS
Plus en détailLa protection sociale en France
18 La protection sociale en France FONCTIONNEMENT La protection sociale peut fonctionner selon trois logiques. LA LOGIQUE D ASSURANCE SOCIALE La logique d assurance sociale a pour objectif de prémunir
Plus en détailexigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.
R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,
Plus en détailTâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive.
13 aliments pour une bonne santé Valeurs nutritives Grande compétence A Rechercher et utiliser de l information Groupe de tâches A2 : Interpréter des documents Grande compétence C Comprendre et utiliser
Plus en détailLa référence pour maîtriser votre risque. Guide de référence. de la cotation
La référence pour maîtriser votre risque Guide de référence de la cotation MARS 2015 Sommaire 1. LA COTATION : UN PROCESSUS D APPRÉCIATION DE LA SITUATION FINANCIÈRE DES ENTREPRISES 1 1.1. POURQUOI LA
Plus en détailDes chiffres pour comprendre : les investissements dédiés à la Conquête
Des chiffres pour comprendre : les investissements dédiés à la Conquête Afin de mieux comprendre les enjeux liés à la conquête, il est souhaitable de connaître l importance des dépenses réalisées en la
Plus en détailL INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE
L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE I- Champ de l étude L industrie agroalimentaire (IAA) regroupe l ensemble des industries de transformation de matières premières, d origine végétale ou animale, destinées à
Plus en détailLes entreprises présentées dans les pages suivantes sont toutes implantées dans notre département des Hautes Pyrénées.
Les entreprises présentées dans les pages suivantes sont toutes implantées dans notre département des Hautes Pyrénées. Le questionnaire suivant va vous permettre de découvrir ces entreprises (adresse,
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailTransport. Dossier de Presse Septembre 2013
Transport Solidarité Santé Dossier de Presse Septembre 2013 1 «Ensemble favorisons l accès aux soins sur notre département.» 2 Contact presse : CPAM de Loir-et-Cher Sophie Rousselet - Responsable Communication
Plus en détailAVIS D APPEL A CANDIDATURE POUR LE RECRUTEMENT DES MEMBRES DU COMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE BENINOISE DE SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS (ABSSA)
REPUBLIQUE DU BENIN FRATERNITE JUSTICE TRAVAIL MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE SECRETARIAT GENERAL DU MINISTERE AGENCE BENINOISE DE SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS (ABSSA) 01 BP
Plus en détailGAMMES ALTER ECO 2012
GAMMES ALTER ECO 2012 Chocolats Noirs Nouveautés 2012! Une gamme pour les experts 2 Chocolats au Lait et Chocolats Blancs LES + PRODUITS - Une gamme large de 19 références en lait, noir et blanc proposant
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012)
Février 2014 DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES MOUVEMENTS D EMPLOI D DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012) Délégation au DéveloppementD Économique, à l Emploi, à la Formation
Plus en détailPROTECTION DE PRODUITS EN IG
PROTECTION DE PRODUITS EN IG Ousman ABDOU Ingénieur Agrométéorologue Expert de l Agriculture en IG Point focal IG/OAPI Direction Générale de l Agriculture Tel: (00227) 90 34 09 28 Email: ous_ab@yahoo.fr
Plus en détailConférence technique internationale de la FAO
Décembre 2009 ABDC-10/7.2 F Conférence technique internationale de la FAO Biotechnologies agricoles dans les pays en développement: choix et perspectives pour les cultures, les forêts, l élevage, les pêches
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE. 1 er TRIMESTRE 2015 : LA DYNAMIQUE DE CROISSANCE DES ACTIVITES COMMUNICATION & SHIPPING SOLUTIONS SE POURSUIT
CHIFFRE D AFFAIRES PREMIER TRIMESTRE 2015 1 er TRIMESTRE 2015 : LA DYNAMIQUE DE CROISSANCE DES ACTIVITES COMMUNICATION & SHIPPING SOLUTIONS SE POURSUIT Forte croissance du chiffre d affaires Communication
Plus en détailAVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO
AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation
Plus en détailL assurance de la FFE et de ses pratiquants. Présentation du 20 septembre 2014
L assurance de la FFE et de ses pratiquants Présentation du 20 septembre 2014 1 Vos interlocuteurs Courtier gestionnaire: Aiac courtage Assureur: La Sauvegarde GMF 2 Deux idées fortes : Se protéger Les
Plus en détailCaisse Nationale de Mutualité Agricole
Séminaire national sur la vulgarisation, l appui-conseil et les bonnes pratiques agricoles Le rôle des Assurances Agricole dans le développement de la politique du renouveau Agricole et Rural Présentation
Plus en détailANAIS LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE. Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél.
LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél. 05 57 35 07 95 PHILOSOPHIE DU LOGICIEL - CONCEPTS DE BASE ET MECANISMES 1.
Plus en détailGROUPE GRANDS MOULINS DE STRASBOURG
GRANDS MOULINS DE STRASBOURG S.A. SERVICES ADMINISTRATIFS : 1, Place Henry Levy B.P. 10080-67016 STRASBOURG CEDEX SIEGE SOCIAL : 61, AVENUE D IENA 75116 PARIS CODE ISIN : FR0000064180 Strasbourg le 23
Plus en détailMÉTHODE Investir en bourse avec Isiotrade. " Hier est derrière. Demain est un mystère. Ce qui compte, c est ce que l'on fait dans l instant.
MÉTHODE Investir en bourse avec Isiotrade " Hier est derrière. Demain est un mystère. Ce qui compte, c est ce que l'on fait dans l instant." Version réactualisée au 15 mai 2014 Sommaire 1. A PROPOS D'ISIOTRADE...
Plus en détailElectricité - Plomberie
Electricité - Plomberie 2014-2015 Cette analyse a été réalisée avec les données statistiques de la FCGA et de l ANPRECEGA, membres de l UNPCOGA, et de la base DIANE du Bureau Van Dijk. Sommaire Sommaire
Plus en détailLEADER MONDIAL DU PETIT ÉQUIPEMENT DOMESTIQUE
26 février 2015 Résultats de l exercice 2014 Groupe SEB : Des performances opérationnelles solides Des devises pénalisantes 1 Ventes de 4 253 M en croissance organique* de + 4,6 % Croissance organique*
Plus en détailLe logo «Fait maison»
Le logo «Fait maison» Voici le logo «Fait maison» qui sera utilisé dans les restaurants, chez les traiteurs, sur les marchés, à partir du 15 juillet 2014. Il indique les plats «faits maison», c est-à-dire
Plus en détailConseil Spécialisé fruits et légumes
Conseil Spécialisé fruits et légumes Proposition d axes pour l expérimentation pour 2013/2015 dans la filière fruits et légumes frais (hors pomme de terre) 18 décembre 2012 FranceAgriMer Préparation de
Plus en détail3 ème année. Cet appel à proposition s inscrit dans la continuité du travail engagé en année 1 et 2.
Appel à proposition Projet Alimen terre Un système d'alimentation local sur le Pays de Vannes 3 ème année Avec près de 60 % de surfaces agricoles, l agriculture demeure prépondérante sur notre territoire.
Plus en détailBilan électrique français ÉDITION 2014
Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions
Plus en détailCOMMUNE DE GRESY-SUR-AIX
COMMUNE DE GRESY-SUR-AIX Marché public pour la restauration scolaire (du 01/09/2015 au dernier jour précédent la rentrée scolaire 2016, renouvelable une fois) Date et heure limite de réception des offres
Plus en détailQuand un investissement réduit permet la réussite
Quand un investissement réduit permet la réussite Il s installe dans l ancien local vide de la boulangerie déplacée à 100 m et fait le choix d un investissement réduit. Pour leur première installation,
Plus en détailOSEO EXCELLENCE SONDAGE JUILLET 2011. Thème : CONJONCTURE ECONOMIQUE EXTENSION & REBRANDING OSEO CAPITAL PME ECONOMIE : FRANCE ALLEMAGNE
OSEO EXCELLENCE SONDAGE JUILLET 2011 BERTRAND ROZE COMMUNITY MANAGER OSEO EXCELLENCE Thème : CONJONCTURE ECONOMIQUE EXTENSION & REBRANDING OSEO CAPITAL PME ECONOMIE : FRANCE ALLEMAGNE Antoine COULOMBEAUX
Plus en détailLes produits solidaires, 100 jours pour convaincre!
Juin 2012 Les produits solidaires, 100 jours pour convaincre! Contexte et historique de la démarche La Réunion a connu au mois de février des tensions sociales dont la cause la plus immédiate résultait
Plus en détailAnnexe 1. Glossaire... 19 Annexe 2. Éléments de gestion de la PFQ de produit GM dans le grain... 22
Projet de politique nationale sur la gestion de la présence de faibles quantités de cultures génétiquement modifiées dans les importations et son cadre de mise en œuvre connexe Septembre 2012 Table des
Plus en détail