Assimilation de données pour la prévision numérique du temps

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Assimilation de données pour la prévision numérique du temps"

Transcription

1 Assimilation de données pour la prévision numérique du temps Cliquez pour modifier le style du titre Jean-François Mahfouf Cliquez pour Météo-France/CNRS modifier le style des Centre sous-titres National du de masque Recherches Météorologiques (UMR 3589) Toulouse 1

2 Plan de l exposé La prévision numérique du temps Le principe de l assimilation de données L importance des observations satellitaires Quelques illustrations dans un contexte opérationnel Les évolutions planifiées 2

3 La prévision numérique du temps Résolution numérique des équations de la mécanique des fluides (code informatique) pour prévoir l évolution de l atmosphère à partir de la connaissance d un état initial Etat Initial Modèle numérique Etat Prévu processeurs 1 Pflops

4 Estimation d un état initial pour les modèles Les observations Δx Δt irréguliers vs. Δx Δt réguliers Une prévision numérique à courte échéance Système d assimilation Un état initial ou Analyse 4

5 Assimilation de données : généralités Assimilation de données : techniques permettant une combinaison optimale (statistique) entre les observations et une prévision à courte échéance (ébauche) Optimalité => connaissance des erreurs aléatoires et systématiques (biais) Importance des contrôles de qualité et de la capacité du modèle à simuler l observations (opérateur d observation) => savoir rejeter les observations «inutiles» Paramètres atmosphériques d intérêt : le champ de masse (Ps), de température (T), de vent (U,V) et de vapeur d eau (q,rh) A l avenir intérêt pour les autres phases de l eau (nuages, pluie, eau du sol) et les constituants mineurs (CO2, O3, ) 5

6 Le formalisme mathématique Estimation probabiliste : probabilité qu un état x a (analyse) soit l état vrai connaissant des observations y o, ainsi qu une information a priori x b Théorème de Bayes : P(x = x t y = y o ) P(y = y o x = x b )P(x = x b ) Opérateur d observations : y = H(x ) Lois de probabilités gaussiennes : P(y = y o x = x b ) exp( 0.5(y o H(x )) T R 1 (y o H(x ))) P(x = x b ) exp( 0.5(x x b ) T B 1 (x x b )) Maximum de vraisemblance : x a = min( log(p(x )) 6

7 L assimilation variationnelle Fonction coût à minimiser : J(x ) = 1 2 (x x b )T B 1 (x x b ) + 1 [ 2 y H(x ) ] T R 1 [ y H(x )] x = état à analyser (température, composantes du vent, pression de surface, contenu en vapeur d eau) x b = ébauche (prévision courte échéance) y = observations disponibles H = operateur d observations B = matrice de covariances d erreurs de l ébauche R = matrice de covariances d erreurs d observations

8 D un point de vue pratique Contraintes temps réel obligent à produire très rapidement l analyse pour réaliser les prévisions numériques (35 min temps elapse) Minimisation d une fonction coût quadratique dans un espace de dimension réduite (approche incrémentale) - dim(δx) =100 x10 6 Utilisation des versions linéarisées du modèle de prévision et des opérateurs d observation pour une estimation efficace du gradient de la fonction coût : 8 J = B 1 δx +H T R 1 (y o H(x b ) Hδx ) Algorithmes de minimisation classiques : gradient conjugué avec préconditionnement par la matrice B 1/2 ou B Modélisation de la matrice B (approche spectrale ou en ondelettes) et utilisation d ensembles de prévisions Matrice R supposée diagonale : écrémage des observations pour éviter les corrélations d erreurs Autres approches : filtres de Kalman

9 9 Le système global d observations

10 10 La constellation des satellites météorologiques

11 Les observations Volume journalier utilisé à Météo-France : 6.5 Go pour le modèle global ARPEGE Canaux de diffusion : Coordination par l OMM, définition des formats d encodage (BUFR) et de transmission des données (entêtes) sur le système mondial de télécommunications (GTS) Coordination par EUMETSAT pour retransmission des données des satellites européens et autres (USA, Chine, Inde) Antennes de réception locale EUMETCAST Coordination européenne par EUMETNET pour la diffusion des données autres que satellites (GPS-Sol, profileurs, avions, données océaniques, radars) Réseaux nationaux (radars, stations automatiques de surface) 11

12 Contraintes sur les observations Le modèle doit être capable de simuler assez précisément l observation : observation trop loin du modèle => problème avec l observation ou le modèle Les observations doivent être suffisamment précises et suffisamment nombreuses (dans le temps et/ou dans l espace) Les observations doivent être complémentaires d autres systèmes d observation (mais la redondance reste utile) Les observations doivent être disponibles en temps quasi-réel (< 2h après la mesure) Les observations ne doivent pas être biaisées, ou doivent être débiaisées avant assimilation Les erreurs d observations sont supposées décorrélées

13 Les systèmes d assimilation à Météo-France ARPEGE : 4D-Var 6 heures (domaine global) + assimilation d ensemble 4D-Var «basse résolution» (25 membres) Observations : satellites (radiances MW + IR, vents, angle de réfraction GNSS-RO) + conventionnelles (surface, radiosondages, profileurs, avions) + GPS-Sol AROME : 3D-Var 1 heure (domaine Europe) Observations = observations ARPEGE - données GPS-RO + données RADAR (Z+Vr) + radiances brutes SEVIRI/MSG (5 canaux) ALADIN-OM : 3D-Var 6 heures (domaines Outre-Mer) Observations = observations ARPEGE + données de bogus de vent pour les cyclones 13

14 Evolution du nb d observations dans ARPEGE Nombre d obs --- Données satellite disponibles Données satellite utilisées --- Données conv. disponibles Données conv. utilisées Sat. / Toutes obs. Sat. utilisées / Satellite dispo Conv utilisées / Conv dispo. Sat. utilisées / obs. utilisées Pourcentages 14 Besoin de codes de transfert radiatif rapides et précis (MW +IR)

15 Répartition des observations par types Nombre total d observations assimilées (4 analyses sur une journée) : 17.6 millions Sondeurs imageurs MW : 14 % Sondeurs IR -> IASI 49 % + AIRS 11 % + CrIS 12 % => 72 % GPS- RO : 6 % Vents SCAT : 5 % Vents SATOB : 5 % Modèle ARPEGE Données d avions : 16 % TEMP+PILOT : 10 % 15

16 Contenu en information : DFS DFS : fonction du nombre d observations, de la précision des observations et de leur «projection» sur les variables à analyser (T,q,U,V,Ps) Sondeurs imageurs MW : 27 % Sondeur IR IASI : 22 % Données d avions : 16 % TEMP+PILOT : 10 % GPS- RO : 6 % Vents SCAT : 5 % Vents SATOB : 5 % 16 DFS (Degree of Freedom for Signal) : capacité d un système d observation à réduire l erreur a priori

17 17 Le cyclage des prévisions - analyses

18 Forecast error anomaly correlation in percent, w.r.t. own analysis Northern Hemisphere SouthernHemisphere Evolution des scores de prévision Correlation d anomalie du géopotentiel à 500 hpa au CEPMMT 4DVAR A. Simmons

19 Capacité des observations à réduire une erreur de prévision (24h) Pourcentage de réduction d erreur par type d observation Importance du sondeur micro-ondes de température AMSU-A

20 Evolutions envisagées en PNT à Météo-France Les modèles : augmentation des résolutions horizontale et verticale prévisions déterministes -> prévisions probabilistes Les systèmes d assimilation : utilisation d une approche de type «En-Var» combinant le 4D-Var (minimisation d une fonction coût) et les ensembles (covariances d erreurs de l ébauche dynamiques) Les observations : davantage d instruments infra-rouges hyperspectraux => compression d information (composantes principales) prise en comptes des corrélations d erreurs introduction des effets d échelle dans les opérateurs d observations; davantage de mesures d opportunité (e.g. GNSS) Vers des modélisations et assimilations couplées : couplages envisagés avec les surfaces continentales, océaniques et la chimie atmosphérique => nouvelles variables à initialiser 20

21 Cliquez pour modifier le style du titre Merci de votre attention! Cliquez pour modifier le style des sous-titres du masque 21

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie

Plus en détail

Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer

Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer Bernard Simon- janvier 2015 Météorologie Web : Attention aux modèles utilisés dans les prévisions: (maillage / relief pris en compte/

Plus en détail

Mathématique et Automatique : de la boucle ouverte à la boucle fermée. Maïtine bergounioux Laboratoire MAPMO - UMR 6628 Université d'orléans

Mathématique et Automatique : de la boucle ouverte à la boucle fermée. Maïtine bergounioux Laboratoire MAPMO - UMR 6628 Université d'orléans Mathématique et Automatique : de la boucle ouverte à la boucle fermée Maïtine bergounioux Laboratoire MAPMO - UMR 6628 Université d'orléans Maitine.Bergounioux@labomath.univ-orleans.fr Plan 1. Un peu de

Plus en détail

ITIL Gestion de la capacité

ITIL Gestion de la capacité ITIL Sommaire 1 GENERALITES 3 2 PERIMETRE DE LA GESTION DES CAPACITES 3 3 ACTIVITES ET LIVRABLES DE LA GESTION DES CAPACITES 4 3.1 ACTIVITES ITERATIVES OU GESTION DE PERFORMANCES : 4 3.2 GESTION DE LA

Plus en détail

Résolution d équations non linéaires

Résolution d équations non linéaires Analyse Numérique Résolution d équations non linéaires Said EL HAJJI et Touria GHEMIRES Université Mohammed V - Agdal. Faculté des Sciences Département de Mathématiques. Laboratoire de Mathématiques, Informatique

Plus en détail

Validation probabiliste d un Système de Prévision d Ensemble

Validation probabiliste d un Système de Prévision d Ensemble Validation probabiliste d un Système de Prévision d Ensemble Guillem Candille, janvier 2006 Système de Prévision d Ensemble (EPS) (ECMWF Newsletter 90, 2001) Plan 1 Critères de validation probabiliste

Plus en détail

Développement et Evaluation PHYsiques des modèles atmosphériques

Développement et Evaluation PHYsiques des modèles atmosphériques Développement et Evaluation PHYsiques des modèles atmosphériques Motivations : Augmenter la confiance dans les prévision du changement climatique. 1. nécessite d'utiliser les modèles le plus "physiques"

Plus en détail

Real-time Monitoring and forecast of IntraSeasonal Variability over Africa (MISVA)

Real-time Monitoring and forecast of IntraSeasonal Variability over Africa (MISVA) Real-time Monitoring and forecast of IntraSeasonal Variability over Africa (MISVA) R. Roehrig 1,*, F. Couvreux 1, E. Poan 1, P. Peyrillé 1, J.-P. Lafore 1, O. Ndiaye 2, A. Diongue-Niang 2, F. Favot 1,

Plus en détail

Programmation linéaire

Programmation linéaire 1 Programmation linéaire 1. Le problème, un exemple. 2. Le cas b = 0 3. Théorème de dualité 4. L algorithme du simplexe 5. Problèmes équivalents 6. Complexité de l Algorithme 2 Position du problème Soit

Plus en détail

Contrôle de la convection profonde par les processus sous-nuageux dans LMDZ5B

Contrôle de la convection profonde par les processus sous-nuageux dans LMDZ5B Contrôle de la convection profonde par les processus sous-nuageux dans LMDZ5B C. Rio, J.-Y. Grandpeix, F. Hourdin, F. Guichard, F. Couvreux, J.-P. Lafore, A. Fridlind, A. Mrowiec, S. Bony, N. Rochetin,

Plus en détail

Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires

Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires Systèmes cellulaires Réseaux cellulaires analogiques de 1ère génération : AMPS (USA), NMT(Scandinavie), TACS (RU)... Réseaux numériques de 2ème

Plus en détail

Vidéo Haute définition pour Station Service

Vidéo Haute définition pour Station Service Vidéo Haute définition pour Station Service La technologie appelé HD-SDI (High-Definition Serial Digital Interface) permet d installer un réseau de vidéosurveillance avec une résolution max. de 1080 p.

Plus en détail

The Tropical Warm Pool-International Cloud Experiment TWP-ICE

The Tropical Warm Pool-International Cloud Experiment TWP-ICE The Tropical Warm Pool-International Cloud Experiment TWP-ICE Darwin, Australie Du 20 janvier au 13 fevrier 2006 radiosondages Flux radiatifs de surface Flux turbulents de surface Radar CPOL Forçages déduits

Plus en détail

TP N 57. Déploiement et renouvellement d une constellation de satellites

TP N 57. Déploiement et renouvellement d une constellation de satellites TP N 57 Déploiement et renouvellement d une constellation de satellites L objet de ce TP est d optimiser la stratégie de déploiement et de renouvellement d une constellation de satellites ainsi que les

Plus en détail

PLR 2013 - EXTRAIT DU RAP DE LA MISSION : ÉCOLOGIE, DÉVELOPPEMENT ET AMÉNAGEMENT DURABLES

PLR 2013 - EXTRAIT DU RAP DE LA MISSION : ÉCOLOGIE, DÉVELOPPEMENT ET AMÉNAGEMENT DURABLES PLR - EXTRAIT DU RAP DE LA MISSION : ÉCOLOGIE, DÉVELOPPEMENT ET AMÉNAGEMENT DURABLES Version du 20/05/2014 à 20:44:20 PROGRAMME 170 : MÉTÉOROLOGIE MINISTRE CONCERNÉ AU TITRE DE L'EXERCICE : PHILIPPE MARTIN,

Plus en détail

" Gestion des données issues du réseau de mesures limnimétriques des cours d eau non navigables "

 Gestion des données issues du réseau de mesures limnimétriques des cours d eau non navigables " Gestion des données issues du réseau de mesures par ir Sébastien Gailliez Plan de l exposé 1. Introduction 2. Réseau de mesures 3. Base de données AQUALIM 4. Gestion du réseau de mesures 5. Logiciels

Plus en détail

Master IMA - UMPC Paris 6 RDMM - Année 2009-2010 Fiche de TP

Master IMA - UMPC Paris 6 RDMM - Année 2009-2010 Fiche de TP Master IMA - UMPC Paris 6 RDMM - Année 2009-200 Fiche de TP Préliminaires. Récupérez l archive du logiciel de TP à partir du lien suivant : http://www.ensta.fr/~manzaner/cours/ima/tp2009.tar 2. Développez

Plus en détail

Réunion de lancement du projet LEFE DEPHY2

Réunion de lancement du projet LEFE DEPHY2 Réunion de lancement du projet LEFE DEPHY2 Développement et Evaluation des PHYsiques des modèles atmosphériques BILAN 45 participants 25 CNRM, 12 LMD, 4 LGGE, 2LA, 1 LSCE, 1 GET 8-9-10 septembre 2014 Observatoire

Plus en détail

Capacité d un canal Second Théorème de Shannon. Théorie de l information 1/34

Capacité d un canal Second Théorème de Shannon. Théorie de l information 1/34 Capacité d un canal Second Théorème de Shannon Théorie de l information 1/34 Plan du cours 1. Canaux discrets sans mémoire, exemples ; 2. Capacité ; 3. Canaux symétriques ; 4. Codage de canal ; 5. Second

Plus en détail

I Stabilité, Commandabilité et Observabilité 11. 1 Introduction 13 1.1 Un exemple emprunté à la robotique... 13 1.2 Le plan... 18 1.3 Problème...

I Stabilité, Commandabilité et Observabilité 11. 1 Introduction 13 1.1 Un exemple emprunté à la robotique... 13 1.2 Le plan... 18 1.3 Problème... TABLE DES MATIÈRES 5 Table des matières I Stabilité, Commandabilité et Observabilité 11 1 Introduction 13 1.1 Un exemple emprunté à la robotique................... 13 1.2 Le plan...................................

Plus en détail

Optimisation Combinatoire (Méthodes approchées) II. Recherche Locale simple (Les bases)

Optimisation Combinatoire (Méthodes approchées) II. Recherche Locale simple (Les bases) Optimisation Combinatoire (Méthodes approchées) II. Recherche Locale simple (Les bases) Heuristique Constructive Itérativement, ajoute de nouvelles composantes à une solution partielle candidate Espace

Plus en détail

Programmation Linéaire - Cours 1

Programmation Linéaire - Cours 1 Programmation Linéaire - Cours 1 P. Pesneau pierre.pesneau@math.u-bordeaux1.fr Université Bordeaux 1 Bât A33 - Bur 265 Ouvrages de référence V. Chvátal - Linear Programming, W.H.Freeman, New York, 1983.

Plus en détail

Agrégation des portefeuilles de contrats d assurance vie

Agrégation des portefeuilles de contrats d assurance vie Agrégation des portefeuilles de contrats d assurance vie Est-il optimal de regrouper les contrats en fonction de l âge, du genre, et de l ancienneté des assurés? Pierre-O. Goffard Université d été de l

Plus en détail

Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.

Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration. Contacts : jean-martial.cohard@ujf-grenoble.fr AMA Fall Meeting 2013 Toulouse, 22-24 janvier Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.

Plus en détail

FICHE PRODUIT COREYE CACHE Architecture technique En bref Plateforme Clients Web Coreye Cache applicative Références Principe de fonctionnement

FICHE PRODUIT COREYE CACHE Architecture technique En bref Plateforme Clients Web Coreye Cache applicative Références Principe de fonctionnement COREYE CACHE Solution d absorption de charge pour une disponibilité et une performance optimales des applications Web En bref Architecture technique La plateforme Coreye Cache délivre la majeure partie

Plus en détail

IFT3245. Simulation et modèles

IFT3245. Simulation et modèles IFT 3245 Simulation et modèles DIRO Université de Montréal Automne 2012 Tests statistiques L étude des propriétés théoriques d un générateur ne suffit; il estindispensable de recourir à des tests statistiques

Plus en détail

Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007

Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007 Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois

Plus en détail

ANALYSE NUMERIQUE ET OPTIMISATION. Une introduction à la modélisation mathématique et à la simulation numérique

ANALYSE NUMERIQUE ET OPTIMISATION. Une introduction à la modélisation mathématique et à la simulation numérique 1 ANALYSE NUMERIQUE ET OPTIMISATION Une introduction à la modélisation mathématique et à la simulation numérique G. ALLAIRE 28 Janvier 2014 CHAPITRE I Analyse numérique: amphis 1 à 12. Optimisation: amphis

Plus en détail

Dan Istrate. Directeur de thèse : Eric Castelli Co-Directeur : Laurent Besacier

Dan Istrate. Directeur de thèse : Eric Castelli Co-Directeur : Laurent Besacier Détection et reconnaissance des sons pour la surveillance médicale Dan Istrate le 16 décembre 2003 Directeur de thèse : Eric Castelli Co-Directeur : Laurent Besacier Thèse mené dans le cadre d une collaboration

Plus en détail

Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics. Formation à la CFD, Ph Parnaudeau

Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics. Formation à la CFD, Ph Parnaudeau Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics Formation à la CFD, Ph Parnaudeau 1 Qu est-ce que la CFD? La simulation numérique d un écoulement fluide Considérer à présent comme une alternative «raisonnable»

Plus en détail

Souad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/

Souad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Recherche opérationnelle Les démonstrations et les exemples seront traités en cours Souad EL Bernoussi Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Table des matières 1 Programmation

Plus en détail

La gestion opérationnelle de la météosensibilité. La prévision météorologique et hydrologique au cœur de l Économie et de la Société

La gestion opérationnelle de la météosensibilité. La prévision météorologique et hydrologique au cœur de l Économie et de la Société La gestion opérationnelle de la météosensibilité La prévision météorologique et hydrologique au cœur de l Économie et de la Société La société METNEXT METNEXT en bref Notre métier : L assistance aux entreprises

Plus en détail

Capacité étendue d utilisation en réseau

Capacité étendue d utilisation en réseau Fiche technique n VIBOFF_1A_f Emonitor Odyssey introduit une nouvelle conception de la maintenance conditionnelle (prédictive) en automatisant les opérations de routine afin d améliorer les vitesses de

Plus en détail

Caractéristiques des ondes

Caractéristiques des ondes Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace

Plus en détail

ENCADRÉS SCIENTIFIQUES. du laboratoire CNRM/GAME, URA 1357

ENCADRÉS SCIENTIFIQUES. du laboratoire CNRM/GAME, URA 1357 CNRM/GAME, URA1357 ENCADRÉS SCIENTIFIQUES du laboratoire CNRM/GAME, URA 1357 05/08/2011 CNRM/GAME, URA1357 SOMMAIRE Page GMAP Encadrés scientifiques 4 GMAP-1 L assimilation des sondeurs hyperspectraux

Plus en détail

Méthodes de Simulation

Méthodes de Simulation Méthodes de Simulation JEAN-YVES TOURNERET Institut de recherche en informatique de Toulouse (IRIT) ENSEEIHT, Toulouse, France Peyresq06 p. 1/41 Remerciements Christian Robert : pour ses excellents transparents

Plus en détail

Prospective: Champ de gravité, méthodes spatiales

Prospective: Champ de gravité, méthodes spatiales Prospective: Champ de gravité, méthodes spatiales Richard Biancale Conseil Scientifique du GRGS Observatoire de Paris, 10 avril 2008 L état de l art des modèles CHAMP: modèles 50 fois moins précis que

Plus en détail

Trinergy de 200 à 1200 kw

Trinergy de 200 à 1200 kw Secure Power Always Trinergy de 200 à 1200 kw ASI de forte puissance évolutive modulaire avec trois modes de fonctionnement dynamique Coût total de possession réduit Economies optimisées Les caractéristiques

Plus en détail

L accès aux données spatiales au profit des applications satellitaires

L accès aux données spatiales au profit des applications satellitaires L accès aux données spatiales au profit des applications satellitaires Le projet Geosud Pierre Maurel, coordinateur du projet GEOSUD Journée du CINES Montpellier, 9 juin 2015 1 Projet GEOSUD Des financements

Plus en détail

Hit-Office Entrepreneur. Documentation. Hit-Office, Votre ERP

Hit-Office Entrepreneur. Documentation. Hit-Office, Votre ERP Hit-Office Entrepreneur Documentation Hit-Office, Votre ERP Vos offres, vos projets. En toute simplicité. Hit-Office est un logiciel de gestion spécialement développé pour les entreprises du secteur de

Plus en détail

Une application de méthodes inverses en astrophysique : l'analyse de l'histoire de la formation d'étoiles dans les galaxies

Une application de méthodes inverses en astrophysique : l'analyse de l'histoire de la formation d'étoiles dans les galaxies Une application de méthodes inverses en astrophysique : l'analyse de l'histoire de la formation d'étoiles dans les galaxies Ariane Lançon (Observatoire de Strasbourg) en collaboration avec: Jean-Luc Vergely,

Plus en détail

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser

Plus en détail

Notes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables

Notes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables Notes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables Guy Desaulniers Département de mathématiques et de génie industriel École Polytechnique de Montréal Automne 2014 Table des matières

Plus en détail

WinBooks Logistics 5.0

WinBooks Logistics 5.0 Page 1 of 24 Nouvel écran d encodage des documents. Il s agit ici d une adaptation majeure dans le programme. L écran des documents a été entièrement reprogrammé! Beaucoup d améliorations : - L écran est

Plus en détail

MAIDESC - KO 21 Novembre 2013 Etienne Wey Alexandre Boilley

MAIDESC - KO 21 Novembre 2013 Etienne Wey Alexandre Boilley MAIDESC - KO 21 Novembre 2013 Etienne Wey Alexandre Boilley S.A. créée en 1984 à Sophia Antipolis avec ARMINES comme actionnaire principal Activité majeure centrée autour des logiciels de simulation de

Plus en détail

DTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau

DTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau DTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau olivier.correc@cstb.fr Nouveaux Documents Techniques Unifiés DTU 60.1 Plomberie sanitaire pour

Plus en détail

LA NOTATION STATISTIQUE DES EMPRUNTEURS OU «SCORING»

LA NOTATION STATISTIQUE DES EMPRUNTEURS OU «SCORING» LA NOTATION STATISTIQUE DES EMPRUNTEURS OU «SCORING» Gilbert Saporta Professeur de Statistique Appliquée Conservatoire National des Arts et Métiers Dans leur quasi totalité, les banques et organismes financiers

Plus en détail

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation

Plus en détail

Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007

Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Philippe de DONATO Université de Lorraine/CNRS Co-auteurs: C. PRINET, B. GARCIA, H. LUCAS, Z. POKRYSZKA, S. LAFORTUNE, P. FLAMANT, F. GIBERT, D. EDOUART,

Plus en détail

Optimisation multi-critère pour l allocation de ressources sur Clouds distribués avec prise en compte de l énergie

Optimisation multi-critère pour l allocation de ressources sur Clouds distribués avec prise en compte de l énergie Optimisation multi-critère pour l allocation de ressources sur Clouds distribués avec prise en compte de l énergie 1 Présenté par: Yacine KESSACI Encadrement : N. MELAB E-G. TALBI 31/05/2011 Plan 2 Motivation

Plus en détail

SPOT4 (Take 5) : Sentinel-2 avec deux ans d avance

SPOT4 (Take 5) : Sentinel-2 avec deux ans d avance SPOT4 (Take 5) : Sentinel-2 avec deux ans d avance Olivier Hagolle Mercredi 6 février 2012 Sentinel-2 : révolution du suivi de la végétation par télédétection 13 bandes spectrales, résolution 10m à 20m,

Plus en détail

Durée de L épreuve : 2 heures. Barème : Exercice n 4 : 1 ) 1 point 2 ) 2 points 3 ) 1 point

Durée de L épreuve : 2 heures. Barème : Exercice n 4 : 1 ) 1 point 2 ) 2 points 3 ) 1 point 03 Mai 2013 Collège Oasis Durée de L épreuve : 2 heures. apple Le sujet comporte 4 pages et est présenté en livret ; apple La calculatrice est autorisée ; apple 4 points sont attribués à la qualité de

Plus en détail

«Cours Statistique et logiciel R»

«Cours Statistique et logiciel R» «Cours Statistique et logiciel R» Rémy Drouilhet (1), Adeline Leclercq-Samson (1), Frédérique Letué (1), Laurence Viry (2) (1) Laboratoire Jean Kuntzmann, Dép. Probabilites et Statistique, (2) Laboratoire

Plus en détail

La programmation linéaire : une introduction. Qu est-ce qu un programme linéaire? Terminologie. Écriture mathématique

La programmation linéaire : une introduction. Qu est-ce qu un programme linéaire? Terminologie. Écriture mathématique La programmation linéaire : une introduction Qu est-ce qu un programme linéaire? Qu est-ce qu un programme linéaire? Exemples : allocation de ressources problème de recouvrement Hypothèses de la programmation

Plus en détail

Projet de Traitement du Signal Segmentation d images SAR

Projet de Traitement du Signal Segmentation d images SAR Projet de Traitement du Signal Segmentation d images SAR Introduction En analyse d images, la segmentation est une étape essentielle, préliminaire à des traitements de haut niveau tels que la classification,

Plus en détail

Rapport Annuel 2012 SURVEILLER LE TEMPS ET LE CLIMAT DEPUIS L ESPACE. Lancement de Metop-B 18:28 CEST 17 septembre 2012

Rapport Annuel 2012 SURVEILLER LE TEMPS ET LE CLIMAT DEPUIS L ESPACE. Lancement de Metop-B 18:28 CEST 17 septembre 2012 Lancement de Metop-B 18:28 CEST 17 septembre 2012 Rapport Annuel 2012 Lancement de MSG-3 23:36 CEST 5 julliet 2012 SURVEILLER LE TEMPS ET LE CLIMAT DEPUIS L ESPACE TABLE des matières Le mot du Directeur

Plus en détail

Calcul Haute Performance & Données

Calcul Haute Performance & Données Calcul Haute Performance & Données Plan de l exposé CALMIP : news Evolution Matérielle Evolution des systèmes de calcul (CALMIP) Evolution Applicative Modélisation et Calcul haute performance Calcul haute

Plus en détail

Optimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications

Optimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications Optimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications A. Optimisation sans contrainte.... Généralités.... Condition nécessaire et condition suffisante

Plus en détail

L image satellite : simple effet de mode ou. apport réel?

L image satellite : simple effet de mode ou. apport réel? Comment suivre les évolutions urbaines? L image satellite : simple effet de mode ou apport réel? Pierre ALBERT Scot Pierre ALBERT L image satellite : simple effet de mode ou apport réel? 29/10/04 1 Plan

Plus en détail

Simulation de variables aléatoires

Simulation de variables aléatoires Chapter 1 Simulation de variables aléatoires Références: [F] Fishman, A first course in Monte Carlo, chap 3. [B] Bouleau, Probabilités de l ingénieur, chap 4. [R] Rubinstein, Simulation and Monte Carlo

Plus en détail

de calibration Master 2: Calibration de modèles: présentation et simulation d

de calibration Master 2: Calibration de modèles: présentation et simulation d Master 2: Calibration de modèles: présentation et simulation de quelques problèmes de calibration Plan de la présentation 1. Présentation de quelques modèles à calibrer 1a. Reconstruction d une courbe

Plus en détail

Le projet DRIAS : premières études et documents

Le projet DRIAS : premières études et documents Le projet DRIAS : premières études et documents Julien Lémond CNRM / GAME, Météo-France, CNRS Direction de la Climatologie Réunion Comité Utilisateurs, le 29 juin 2010 Plan de la présentation 1 ) Les services

Plus en détail

Le programme brésilien. Cláudio Almeida Chef du Centre Régional de l'amazonie CRA/INPE

Le programme brésilien. Cláudio Almeida Chef du Centre Régional de l'amazonie CRA/INPE Le programme brésilien d'observation de la Terre. Cláudio Almeida Chef du Centre Régional de l'amazonie CRA/INPE La vision de l'inpe au 21e siècle. L'INPE est une référence mondiale en matière de recherche

Plus en détail

Batterie Li-ion Evolion. La solution éprouvée ultracompacte de Saft pour les applications télécoms

Batterie Li-ion Evolion. La solution éprouvée ultracompacte de Saft pour les applications télécoms Batterie Li-ion Evolion La solution éprouvée ultracompacte de Saft pour les applications télécoms Saft : fournisseur d énergie de secours des installations télécoms d aujourd hui Saft propose une gamme

Plus en détail

Mesures d antennes en TNT

Mesures d antennes en TNT Mesures d antennes en TNT Ce TP s intéresse aux techniques liées à l installation d un équipement de réception de télévision numérique terrestre. Pour les aspects théoriques, on pourra utilement se référer

Plus en détail

Développements actuels dans le positionnement satellites GNSS - RTCM - RTK. Moritz Lauwiner / Dr. Werner Lienhart

Développements actuels dans le positionnement satellites GNSS - RTCM - RTK. Moritz Lauwiner / Dr. Werner Lienhart Développements actuels dans le positionnement satellites GNSS - RTCM - RTK Moritz Lauwiner / Dr. Werner Lienhart Global Navigation Satellite Systems Systèmes GNSS existants et futurs NAVSTAR GPS USA, système

Plus en détail

Problèmes d ordonnancement dans les systèmes de production. Journée Automatique et Optimisation Université de Paris 12 20 Mars 2003

Problèmes d ordonnancement dans les systèmes de production. Journée Automatique et Optimisation Université de Paris 12 20 Mars 2003 Problèmes d ordonnancement dans les systèmes de production Michel Gourgand Université Blaise Pascal Clermont Ferrand LIMOS CNRS UMR 6158 1 Le LIMOS Laboratoire d Informatique, de Modélisation et d Optimisation

Plus en détail

Expertise : lancement de satellite depuis une plate-forme en mer - septembre 2011

Expertise : lancement de satellite depuis une plate-forme en mer - septembre 2011 Expertise : lancement de satellite depuis une plate-forme en mer - septembre 2011 X COMMENTAIRE http://www.mercator-ocean.fr/eng/produits-services/bulletins/japan Produits spécifiques : pour modélisation

Plus en détail

INFORMATIQUE : LOGICIELS TABLEUR ET GESTIONNAIRE DE BASES DE DONNEES

INFORMATIQUE : LOGICIELS TABLEUR ET GESTIONNAIRE DE BASES DE DONNEES MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENRALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION INFORMATIQUE

Plus en détail

MEMOIRE DE MAGISTER. Conception de métaheuristiques d optimisation pour la segmentation des images de télédétection

MEMOIRE DE MAGISTER. Conception de métaheuristiques d optimisation pour la segmentation des images de télédétection MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE MOULOUD MAMMERI, TIZI-OUZOU FACULTE DE GENIE ELECTRIQUE ET DE L INFORMATIQUE DEPARTEMENT D ELECTRONIQUE MEMOIRE DE MAGISTER

Plus en détail

L observation et le contrôle des sites de stockage de CO 2

L observation et le contrôle des sites de stockage de CO 2 L observation et le contrôle des sites de stockage de CO 2 Laurent Jammes, Guillemette Picard Schlumberger Carbon Services Technique Académie des sciences Paris 19 Mai 2009 Plan de la présentation 2 La

Plus en détail

Analyse stochastique de la CRM à ordre partiel dans le cadre des essais cliniques de phase I

Analyse stochastique de la CRM à ordre partiel dans le cadre des essais cliniques de phase I Analyse stochastique de la CRM à ordre partiel dans le cadre des essais cliniques de phase I Roxane Duroux 1 Cadre de l étude Cette étude s inscrit dans le cadre de recherche de doses pour des essais cliniques

Plus en détail

Chapitre 3. Mesures stationnaires. et théorèmes de convergence

Chapitre 3. Mesures stationnaires. et théorèmes de convergence Chapitre 3 Mesures stationnaires et théorèmes de convergence Christiane Cocozza-Thivent, Université de Marne-la-Vallée p.1 I. Mesures stationnaires Christiane Cocozza-Thivent, Université de Marne-la-Vallée

Plus en détail

Proposition de valeur pour la réduction des émissions de CO 2. Petit déjeuner Supply Chain Verte 17 juin 2008

Proposition de valeur pour la réduction des émissions de CO 2. Petit déjeuner Supply Chain Verte 17 juin 2008 Proposition de valeur pour la réduction des émissions de CO 2 Petit déjeuner Supply Chain Verte 17 juin 2008 Supply Chain Verte: Pourquoi les entreprises doivent-elles agir? Réglementation et incitations

Plus en détail

METEOROLOGIE CAEA 1990

METEOROLOGIE CAEA 1990 METEOROLOGIE CAEA 1990 1) Les météorologistes mesurent et prévoient le vent en attitude à des niveaux exprimés en pressions atmosphériques. Entre le niveau de la mer et 6000 m d'altitude, quels sont les

Plus en détail

1 Introduction et modèle mathématique

1 Introduction et modèle mathématique Optimisation parallèle et mathématiques financières Optimisation parallèle et mathématiques financières Pierre Spiteri 1 IRIT ENSEEIHT, UMR CNRS 5505 2 rue Charles Camichel, B.P. 7122 F-31 071 Toulouse,

Plus en détail

Rapport. sur l incident survenu le 18 mars 2007 en croisière entre Lyon et Montpellier à l ATR 42-300 immatriculé F-GVZY exploité par Airlinair

Rapport. sur l incident survenu le 18 mars 2007 en croisière entre Lyon et Montpellier à l ATR 42-300 immatriculé F-GVZY exploité par Airlinair N ISBN : 978-2-11-098012-0 Rapport sur l incident survenu le 18 mars 2007 en croisière entre Lyon et Montpellier à l ATR 42-300 immatriculé F-GVZY exploité par Airlinair Bureau d Enquêtes et d Analyses

Plus en détail

Grille de planification Expédition météo. Spécialiste de la cartographie Graffiti de ce que l équipe sait de la météorologie (10 minutes).

Grille de planification Expédition météo. Spécialiste de la cartographie Graffiti de ce que l équipe sait de la météorologie (10 minutes). Grille de planification Expédition météo Spécialiste de l atmosphère Spécialiste des vents Spécialiste des nuages Spécialiste de la cartographie Graffiti de ce que l équipe sait de la météorologie (10

Plus en détail

PROBABILITES ET STATISTIQUE I&II

PROBABILITES ET STATISTIQUE I&II PROBABILITES ET STATISTIQUE I&II TABLE DES MATIERES CHAPITRE I - COMBINATOIRE ELEMENTAIRE I.1. Rappel des notations de la théorie des ensemble I.1.a. Ensembles et sous-ensembles I.1.b. Diagrammes (dits

Plus en détail

Scanner laser HDS7000 Ultra rapide, à portée étendue

Scanner laser HDS7000 Ultra rapide, à portée étendue > 1 million de points / sec Scanner laser HDS7000 Ultra rapide, à portée étendue > 180 m de portée HDS7000 Scanner laser ultra rapide pour les professionnels exigeants Les scanners à mesure de phase sont

Plus en détail

CAPTEURS - CHAINES DE MESURES

CAPTEURS - CHAINES DE MESURES CAPTEURS - CHAINES DE MESURES Pierre BONNET Pierre Bonnet Master GSI - Capteurs Chaînes de Mesures 1 Plan du Cours Propriétés générales des capteurs Notion de mesure Notion de capteur: principes, classes,

Plus en détail

Supervision & Maintenance des centrales photovoltaïques en toiture GARANTIR LA PERFORMANCE DE VOS INVESTISSEMENTS DANS LE TEMPS

Supervision & Maintenance des centrales photovoltaïques en toiture GARANTIR LA PERFORMANCE DE VOS INVESTISSEMENTS DANS LE TEMPS Supervision & Maintenance des centrales photovoltaïques en toiture GARANTIR LA PERFORMANCE DE VOS INVESTISSEMENTS DANS LE TEMPS 2 EDF ENR Solaire La Supervision-Maintenance des toitures photovoltaïques

Plus en détail

Charte d installation des réseaux sans-fils à l INSA de Lyon

Charte d installation des réseaux sans-fils à l INSA de Lyon Charte d installation des réseaux sans-fils à l INSA de Lyon Toute installation d un point d accès est soumise à autorisation auprès du Responsable Sécurité des Systèmes d Information (RSSI) de l INSA

Plus en détail

Profils verticaux de la couverture nuageuse, de ses propriétés et des aérosols: données du lidar CALIOP et du radar CLOUDSAT (DARDAR) de 2006 à 2012

Profils verticaux de la couverture nuageuse, de ses propriétés et des aérosols: données du lidar CALIOP et du radar CLOUDSAT (DARDAR) de 2006 à 2012 T1.3 (Tropics) Diurnal cycle of cloud cover in the tropical regions: combined use of geostationary satellite, A-Train measurements and lidar/radar ground station measurements. Coordination : G. Sèze (LMD)

Plus en détail

XXVII e Colloque de l Association Internationale de Climatologie 2-5 juillet 2014 Dijon (France)

XXVII e Colloque de l Association Internationale de Climatologie 2-5 juillet 2014 Dijon (France) MICROPHYSIQUE DES NUAGES ET RAYONNEMENT SOLAIRE : COMPARAISON DES MESURES IN SITU AU MONT RIGI EN HAUTE BELGIQUE ET DES DONNÉES CLOUD PHYSICAL PROPERTIES (CPP) OBTENUES À PARTIR DES IMAGES METEOSAT-9 BEAUMET

Plus en détail

Catalogue - Formation en «électropneumatique et systèmes automatisés process control system»

Catalogue - Formation en «électropneumatique et systèmes automatisés process control system» entre echnologies Avancées Catalogue - en «électropneumatique et systèmes automatisés process control system» 2012-2013 Boulevard du Château 12, 7800 ATH Tél : 068/26.88.80 Fax : 068/26.88.81 E-Mail :

Plus en détail

WN/CMGC/08/98. Enjeu et problématique du portage d'arpege-nemo sur calculateurs super-scalaires. Eric Maisonnave

WN/CMGC/08/98. Enjeu et problématique du portage d'arpege-nemo sur calculateurs super-scalaires. Eric Maisonnave WN/CMGC/08/98 Enjeu et problématique du portage d'arpege-nemo sur calculateurs super-scalaires Eric Maisonnave 1 2 Algorithme utilisé, adaptation à la plate-forme visée...5 Particularités du portage...7

Plus en détail

Production électrique : la place de l énergie éolienne

Production électrique : la place de l énergie éolienne Production électrique : la place de l énergie éolienne I Production électrique : principes de base L énergie électrique n est pas un fluide que l on pourrait «mettre en conserve», l énergie électrique

Plus en détail

Personnes physiques fiscalement domiciliées en France, PME * de moins de 3 ans.

Personnes physiques fiscalement domiciliées en France, PME * de moins de 3 ans. Personnes physiques fiscalement domiciliées en France, PME * de moins de 3 ans. Aider le créateur à préciser son plan d entreprise et à procéder à des vérifications a minima techniques et juridiques pour

Plus en détail

Performances énergétiques de capteurs solaires hybrides PV-T pour la production d eau chaude sanitaire.

Performances énergétiques de capteurs solaires hybrides PV-T pour la production d eau chaude sanitaire. Performances énergétiques de capteurs solaires hybrides PV-T pour la production d eau chaude sanitaire. Patrick DUPEYRAT 1,2*, Yu BAI 3,4, Gérald KWIATKOWSKI 5, Gilles FRAISSE 3 Christophe MENEZO 2,3 et

Plus en détail

Intelligence précoce

Intelligence précoce Les données de procédé constituent une mine d informations très utiles pour l entreprise Geoff Artley Le secteur du raffinage est aujourd hui soumis à forte pression financière : amputation des marges,

Plus en détail

SEO Campus 2009 : Pagerank et optimisation

SEO Campus 2009 : Pagerank et optimisation SEO Campus 2009 : Pagerank et optimisation Sylvain Peyronnet http://sylvain.berbiqui.org http://www.kriblogs.com/syp 04/02/2009 04/02/2009 SEO Campus 2009 : Pagerank et optimisation 1 / 21 PageRank : la

Plus en détail

Newsletter Septembre 2013

Newsletter Septembre 2013 Newsletter Metop-B est devenu, depuis le 24 avril dernier, le satellite prime et c est maintenant IASI Metop-B qui est sur le devant de la scène et l objet de toutes les attentions. IASI Metop-A est toujours

Plus en détail

Intérêt du découpage en sous-bandes pour l analyse spectrale

Intérêt du découpage en sous-bandes pour l analyse spectrale Intérêt du découpage en sous-bandes pour l analyse spectrale David BONACCI Institut National Polytechnique de Toulouse (INP) École Nationale Supérieure d Électrotechnique, d Électronique, d Informatique,

Plus en détail

GUIDE DE REDACTION D'UN MANUEL D'EXPLOITATION PARTIE D

GUIDE DE REDACTION D'UN MANUEL D'EXPLOITATION PARTIE D Page : 1/7 Note : Le contenu des différents chapitres de la partie D doit être traité par des responsables de l exploitation et non du TRTO. Les éléments qui concernent les personnels navigants doivent

Plus en détail

Cours de méthodes de scoring

Cours de méthodes de scoring UNIVERSITE DE CARTHAGE ECOLE SUPERIEURE DE STATISTIQUE ET D ANALYSE DE L INFORMATION Cours de méthodes de scoring Préparé par Hassen MATHLOUTHI Année universitaire 2013-2014 Cours de méthodes de scoring-

Plus en détail

La prévention des intoxications dans les silos à fourrage

La prévention des intoxications dans les silos à fourrage La prévention des intoxications dans les silos à fourrage Ali Bahloul, Brigitte Roberge et Nicole Goyer / IRSST Mauricio Chavez et Marcelo Reggio / École polytechnique de Montréal Avec la collaboration

Plus en détail

possibilités et limites des logiciels existants

possibilités et limites des logiciels existants possibilités et limites des logiciels existants Dominique Groleau CERMA, UMR CNRS 1563, Ecole d Architecture de Nantes Journée thématique SFT- IBPSA, Outils de simulation thermo-aéraulique du bâtiment.

Plus en détail

Cours d analyse numérique SMI-S4

Cours d analyse numérique SMI-S4 ours d analyse numérique SMI-S4 Introduction L objet de l analyse numérique est de concevoir et d étudier des méthodes de résolution de certains problèmes mathématiques, en général issus de problèmes réels,

Plus en détail

la climatisation automobile

la climatisation automobile Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous

Plus en détail