Réponse à la crise humanitaire à l Est et à l Adamaoua au Cameroun
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- Roland Bureau
- il y a 7 ans
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1 Crise humanitaire dans les Régions de l Est et de l Adamaoua réfugiés reçus dans les deux Régions depuis Est : réfugiés Adamaoua: réfugiés FAITS SAILLANTS Durant la période de rapportage, la situation sécuritaire est marquée par les actes de grand banditisme dans les régions de l Est et de l Adamaoua ; réfugiés vivent dans les sites aménagés réfugiés vivent dans les sites spontanés ou dans les villages d accueil Est : réfugiés Adamaoua : réfugiés Est : réfugiés Adamaoua : réfugiés Cumul des activités de la semaine épidémiologique 40 à la semaine 44 de l année Consultations 4514 Cas de Paludisme 4212 Cas d IRA 314 Accouchements 309 Cas de Traumatismes Vaccination aux portes d entrée en 2015: cumul de la semaine 40 à la semaine 44 de l année Enfants et adultes ayant reçu le vaccin polio oral Enfants de 6 mois à 15 ans vaccinés contre la Rougeole SITUATION HUMANITAIRE 1 Avec l appui de l OMS, 39 réfugiés de tout âge nouvellement arrivés ont été vaccinés contre la Polio et 31 enfants réfugiés de 06 mois à 15 ans ont été vaccinés contre la Rougeole aux portes d entrée de Gbiti et de Tocktoyo. Durant la période de rapportage réfugiés ont été consultés dans la Région de l Est, avec en moyenne plus de 3500 consultations curatives par semaine ; Le paludisme et les IRA ont constitué les deux premières causes de morbidité parmi les réfugiés ; 314 accouchements ont été enregistrés au sein des sites abritant les réfugiés. 309 cas de traumatismes ont été enregistrés durant la période de rapportage ; 52 décès ont été enregistrés au cours de la période faisant un taux brut de mortalité de 0,15 décès / personnes/ jour. Trois cas de décès maternels ont été notifiés en communauté dans les sites informels de Ndockayo et de Mandjou. Suivant les dernières statistiques du HCR au 25 octobre 2015, réfugiés centrafricains sont entrés dans les Régions de l Est et de l Adamaoua depuis janvier Plus de 50% de ces réfugiés (soit réfugiés) vivent dans les sites aménagés. On dénombre à ce jour 07 sites formels ou aménagés où vivent les réfugiés centrafricains, dont 05 se trouvent dans la Région de l Est, à savoir : Gado Badzéré( réfugiés); Lolo ( réfugiés); Mbilé ( réfugiés); Ngarisingo (1091 réfugiés); Timangolo (7 665 réfugiés) et 02 sites aménagés se trouvent dans l Adamaoua, soit: Borgop ( réfugiés) et Ngam (5 142 réfugiés). Par ailleurs, réfugiés centrafricains qui sont arrivés avant la crise de janvier 2014 vivent dans les villages de l Est et vivent dans les villages de l Adamaoua., portant le nombre global de réfugiés centrafricains dans ces deux Régions à
2 Au courant du mois d octobre 2015, on a assisté à un resserrement des mesures de sécurités mises en place par les autorités des régions de l Est et de l Adamaoua suite à la poursuite des attentats dans la région de l Extrême Nord. Le 12 octobre 2015, Il y a eu libération par les forces de l ordre de 02 otages qui avaient été enlevés à Gado par les bandes armées. Le 13 octobre 2015, il y a eu panique dans une école de Bertoua où 02 fillettes ont été prises pour des kamikazes et ce même jour deux présumés coupeurs de route ont été arrêtés par la gendarmerie à Gado. Du 28 au 30 octobre 2015, le nouveau Ministre de la défense a effectué une visite de travail dans la Région de l Est, se rendant à Yakadouma et à Garoua Boulaï. Il a recommandé un renforcement des mesures de sécurités dans la Région. Par ailleurs, dans les Régions de l Est et de l Adamaoua, la situation sécuritaire est marquée par la persistance du grand banditisme et la présence des bandes armées le long de la frontières avec RCA. Un présumé réfugié a été arrêté avec des armes au mois d octobre 2015 dans un village autour de Ketté. Plusieurs réunions de coordination ont eu lieu durant la période de rapportage, au cours desquelles l OMS a participé. Ainsi on relève : La tenue le 08 octobre 2015 de la réunion de coordination à la délégation régionale de la santé; La tenue le 27 octobre 2015 au Sous-Bureau de l OMS de la réunion de coordination du groupe sectoriel santé ; SITUATION SECURITAIRE COORDINATION La tenue du 28 au 31 octobre 2015 à Garoua Boulaï de la réunion de coordination des services de santé de la Région de l Est. GESTION DE L INFORMATION Partage avec le HCR des informations pour le sitrep conjoint Appui à l élaboration et l apparition du 13ème bulletin épidémiologique mensuel de la Région de l Est Appui à la finalisation du rapport épidémiologique annuel 2014 de la Région de l Adamaoua SITUATION SANITAIRE DES REFUGIES DE LA REGION DE L EST Durant la période de rapportage (soit du 28 septembre au 31 octobre 2015, couvrant ainsi la période allant de la 40ème à la 44ème semaine épidémiologique), réfugiés ont été consultés dans les sites formels de Gado, Mbilé, Lolo, Timangolo et dans les sites informels de Kentzou, Ketté, Garoua Boulaï, Bazzama, Mandjou, Guiwa, Ndockayo, Libongo et Bela. 2
3 Nombre de cas Nombre de consultations Réponse à la crise humanitaire à l Est et à s épidémiologiques Figure 1 : Nombre de consultations de réfugiés par semaine épidémiologique La figure 1 ci-dessus montre qu il y a eu en moyenne plus de 3500 consultations de réfugiés au fil des semaines épidémiologiques, avec un pic à la semaine 44 où on a atteint les 4500 consultations curatives. Cet accroissement des consultations s explique par l augmentation progressive des consultations de réfugiés dans le site de Bazzama. Car avec l appui de l OMS, la FICR a rendu disponible les médicaments dans le CSI de Bazzama et sensibilise régulièrement les réfugiés par rapport à leur prise en charge gratuite dans cette structure sanitaire Paludisme IRA Parasitoses intestinales GEAS Maladies de la peau Diarrhées sanglantes s épidémiologiques IRA : Infections Respiratoires Aigües GEAS : Gastro-Entérite Aigüe Sévère Figure 2 : Nombre de cas des principales pathologies au niveau des sites en fonction des semaines Épidémiologiques La figure 2 ci-dessus montre que le paludisme et les IRA ont constitué les deux premières causes de morbidité parmi la population réfugiée tout au long de la période de rapportage, suivi des Parasitoses intestinales. 3
4 Durant cette même période de rapportage, 314 accouchements ont été enregistrés au sein des sites abritant les réfugiés, faisant une moyenne d environ 63 accouchements par semaine. Par ailleurs, 52 décès ont été enregistrés faisant un taux brut de mortalité de 0,15 décès/ personnes/ jour. Trois cas de décès maternels survenus en communauté ont été notifiés à la semaine 41 par les relais communautaires respectivement dans les sites de Mandjou et de Ndockayo; les investigations sont en Cours afin de déceler les raisons de ces décès. Par ailleurs, 431 cas d IST et 308 cas de traumatismes ont été enregistrés durant la période. EXPERTISE TECHNIQUE Vaccination aux portes d entrée : avec l appui de l OMS, 39 réfugiés de tout âge ont été vaccinés contre la Polio et 31 enfants réfugiés de 06 mois à 15 ans ont été vaccinés contre la Rougeole aux portes d entrée de Gbiti et de Tocktoyo. Préparation de l évaluation des formations sanitaires de la zone d urgence : le processus de préparation de l évaluation a pris forme à travers l élaboration de la fiche technique et de la fiche de collecte des données, lesquelles ont bénéficié des contributions des différents partenaires au cours des réunions de coordination santé tenues à l OMS. Après cela, le Sous-Bureau de l OMS a élaboré le manuel du formateur des évaluateurs et en date du 23 octobre 2015, le Sous-Bureau OMS et la Délégation Régionale de la Santé se sont assis afin de passer en revue tous les outils de l évaluation et d arrêter la date de la réalisation de l activité. C est ainsi que le briefing des évaluateurs a été fixé au 03 novembre 2015 et le démarrage de l évaluation au 05 novembre Réunion de coordination des services de santé : Dans l optique d apprécier les progrès accomplis, les difficultés rencontrées et les actions à prendre permettant de booster les indicateurs, la Délégation Régionale de la santé de l Est a regroupé pendant deux jours les responsables régionaux, des districts et des aires de santé. Au cours de cette importante rencontre à laquelle l OMS a pris part, d importantes recommandations ont été retenues à savoir : Approfondir la réflexion sur la disponibilité permanente des valises d urgence dans les formations sanitaires ; Exiger des responsables régionaux de toujours remonter avec les rapports des réunions de coordination des districts de santé lors de leurs supervisions ; Améliorer la promptitude et la complétude des données ; Amener toutes les formations sanitaires privées à s arrimer aux exigences des programmes du Ministère de la Santé ; 4
5 Exiger la tenue régulière des réunions de service par les responsables régionaux, avec production et transmission des rapports au délégué ; Amener toutes les Formations sanitaires publiques et privées à acheter les kits obstétricaux au Fonds Régional de Promotion de la Santé ; Les responsables des districts doivent apporter les fiches de données lors de la réunion de coordination administrative ; Tous les programmes doivent désagréger les données des réfugiés de celles des nationaux ; Intégrer les responsables des ministères connexes dans les différentes activités de santé ; Accompagner les structures de dialogue dans le recrutement du personnel ; Mettre en place une équipe de réflexion pour le financement des références et contre références. Photo de famille de la réunion de coordination des services de santé de la Région de l Est SERVICES D APPUI Don de médicaments : Afin d améliorer la prise en charge des malades réfugiés et autochtones vulnérables, un important lot de médicaments et de consommables médicaux a été remis aux différents partenaires de l OMS (CRF, AHA, FICR, ACF) au mois d octobre Ces médicaments qui étaient composés de divers antibiotiques, d antipaludéens etc. permettront de prendre en charge plus de 3000 malades sur une période de trois mois. 5
6 Durant le mois d octobre 2015, les médicaments régulièrement remis à la Croix-Rouge Française par l OMS ont permis de prendre en charge 9290 malades (dont 8930 réfugiés et 360 nationaux vulnérables) dans le site formel de Gado et le site informel de Garoua Boulaï. Le paludisme, les infections respiratoires aigües sévères, les gastro-entérites aigües et les gastrites ont constitué les pathologies dominantes dans ces sites. Remise de médicaments à la Croix-Rouge Française Don à l Hôpital Régional de Bertoua : dans le cadre du renforcement du plateau technique de l hôpital Régional de Bertoua, l OMS a offert audit hôpital un groupe électrogène de 40KVA permettant d alimenter le bloc opératoire. Ceci va contribuer à pallier aux éventuelles coupures d électricité dont l hôpital est quelque fois victime. ACTIVITÉS DES PARTENAIRES Activités des partenaires de mise en œuvre de l OMS : Dans le cadre de la mise en œuvre des activités du MoU signé avec l OMS, la FICR renforce les activités communautaires dans les aires de santé de Mandjou, Bazzama, dans le district sanitaire de Bertoua et Guiwa-Yangamo, Ndokayo dans le district sanitaire de Betare Oya. Tout au long du mois d octobre 2015, les volontaires de la FICR ont visité 1234 ménages, sensibilisés 4081 personnes par rapport aux maladies sous-surveillance, notifié 05 cas de Fièvre Jaune, 05 cas de Rougeole, 03 cas de décès maternels en communauté et détectés 12 enfants malnutris qui ont été conduits vers les formations sanitaires des aires de santé concernées. Le partenaire AHA avec lequel l OMS a également signé un MoU a démarré les activités dans les sites informels de Libongo et Bela dans le district de santé de Moloundou. Après trois semaines de mise en œuvre des activités, 311 personnes ont été consultés (dont 94% sont des réfugiés). Le paludisme a constitué la première cause de morbidité suivi d Infection Respiratoire Aigüe et de parasitoses intestinales. 6
7 DÉFIS Renforcer la surveillance épidémiologique communautaire au niveau des sites formels et informels abritant les réfugiés Améliorer la vaccination de routine dans les sites abritant les réfugiés. PERSPECTIVES Mener la deuxième évaluation des formations sanitaires de la zone d urgence de l Est et de l Adamaoua; Rendre disponible les ordinogrammes en faveur des prestataires de santé de la zone d urgence; Finaliser l élaboration et la production du rapport épidémiologique annuel 2014 de la Région de l Est Appuyer la formation du personnel des laboratoires des centres de santé recevant les réfugiés, à l étalement et la fixation des lames dans le cadre de la prise en charge des cas de tuberculose; Mener une recherche active des cas de tuberculose dans les sites abritant les réfugiés. 7
URGENCE HUMANITAIRE LES 10 COMMANDEMENTS
1. EVALUATION 2. VACCINATION ROUGEOLE 3. EAU & SANITATION 4. ALIMENTATION & NUTRITION 5. ABRIS & CAMPS 6. SOINS DE SANTE 7. MALADIES TRANSMISSIBLES 8. SANTE PUBLIQUE 9. RESSOURCES HUMAINES 10. COORDINATION
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