JUSTICE DAVID HUME : LA RAISON NE PEUT PAS NOUS DIRE CE QUI EST BIEN ET CE QUI EST MAL. lundi, 17 septembre 12
|
|
- Jean-Christophe Delorme
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 JUSTICE DAVID HUME : LA RAISON NE PEUT PAS NOUS DIRE CE QUI EST BIEN ET CE QUI EST MAL
2 QUI EST DAVID HUME? PHILOSOPHE ET HISTORIEN, REPRÉSENTANT LE PLUS IMPORTANT DES «LUMIÈRES ÉCOSSAISES» (AVEC SON AMI ADAM SMITH) PRÉCURSEUR DE LA MÉTHODE SCIENTIFIQUE DANS L ÉTUDE DE LA PSYCHOLOGIE HUMAINE. CRITIQUE DU THÉISME, DÉFENSEUR MODÉRÉ DU SCEPTICISME PHILOSOPHIE DE LA CONNAISSANCE : DÉFENSEUR DE L EMPIRISME TOUTE LA CONNAISSANCE VIENT DE L EXPÉRIENCE DAVID HUME PHILOSOPHIE POLITIQUE : LIBÉRALISME LIBERTÉ INDIVIDUELLE & ÉTAT DE DROIT
3 COMMENT POUVONS NOUS CONNAÎTRE LES VALEURS? THÈSE : PAR LA RAISON SEULE, ON NE PEUT PAS DÉCOUVRIR EN QUOI CONSISTENT LE VALEURS QUE FAIT LA RAISON? 1. ÉTABLIR DES FAITS 2. ÉTABLIR DES RELATIONS L EXEMPLE DE L INGRATITUDE : OÙ EST «LE MAL» (HUME DIT : «LE CRIME») DANS L ESPRIT DE LA PERSONNE INGRATE? NON : MALVEILLANCE, INDIFFÉRENCE INGRATITUDE CIRCONSTANCES QUE PRODUIT L INGRATITUDE CHEZ UN OBSERVATEUR? SENTIMENT DE BLÂME «À CAUSE DE LA STRUCTURE ET DE LA COMPOSITION PARTICULIÈRES DE SON ESPRIT.» CONCLUSION : LE MAL UN FAIT INDIVIDUEL MAIS UN PHÉNOMÈNE COMPLEXE (=ENSEMBLE DE FAITS SIMPLES RELIÉS ENTRE EUX)
4 LE MAL CONSISTE-T-IL EN CERTAINES RELATIONS MORALES? OBJECTION CONSIDÉRÉE PAR HUME : LE MAL CONSISTE EN LA RELATION ENTRE UN BIENFAITEUR ET L INGRAT. CETTE RELATION PEUT ÊTRE CONNU PAR LA RAISON. POUR CONNAÎTRE CE GENRE DE RELATIONS, NOUS PROCÉDONS COMME EN ALGÈBRE OU EN GÉOMÉTRIE.
5 LE MAL CONSISTE-T-IL EN CERTAINES RELATIONS MORALES? RÉPONSE DE HUME : QUELLE RELATION? CONTRARIÉTÉ : BIENVEILLANCE VS. MALVEILLANCE? TEST DE L INVERSION FAUX «EST-CE QUE LA MORALITÉ CONSISTE DANS LA RELATION DE SES PARTIES ENTRE ELLES?» - RELATION D ÉGALITÉ EN ARITHMÉTIQUE «2+3 = 10/2» - ÉQUIVALENT MORAL? INTROUVABLE RELATION DE L ACTION À LA RÈGLE DU BIEN? - QUE SAVOIR DE LA RÈGLE DU BIEN SANS D ABORD CONNAÎTRE DE BONNES ACTIONS? CIRCULAIRE
6 LA THÈSE DE HUME : C EST L APPROBATION QUI DÉTERMINE LA VERTU LE MOT «MÉTAPHYSIQUE» AU SENS NÉGATIF : THÈSES QUI NE SONT PAS INTELLIGIBLES ON NE PEUT PAS DÉTERMINER CLAIREMENT LE SENS DE CES THÈSES THÈSES QUE L ON NE PEUT PAS EXEMPLIFIER ON NE PEUT PAS TROUVER UN CAS PARTICULIER OU UN EXEMPLE POUR ILLUSTRER CES THÈSES THÈSE DE HUME : «LA MORALITÉ EST DÉTERMINÉE PAR LE SENTIMENT [ ] TOUTE ACTION OU QUALITÉ MENTALE QUI PROCURE AU SPECTATEUR LE SENTIMENT DE L'APPROBATION [EST VERTUEUSE], LE VICE ÉTANT LE CONTRAIRE.» CONSÉQUENCE : SAVOIR QUELLES ACTIONS PRODUISENT CE SENTIMENT QUESTION DE FAIT
7 LE RAISONNEMENT THÉORIQUE ET LE RAISONNEMENT PRATIQUE (DÉLIBÉRATION) RAISONNEMENT THÉORIQUE «QU EST-CE QUI EST VRAI?» CONNAISSANCE PRATIQUE «QUELLE EST LA MEILLEURE CHOSE À FAIRE?» ACTION APPROPRIÉE POUR ARRIVER À CONNAÎTRE LA VÉRITÉ DÉCOUVRIR DES FAITS ET DES RELATIONS QUE L ON IGNORE AU DÉPART EXEMPLE : THÉORÈME DE PYTHAGORE SAVOIR CE QU IL FAUT FAIRE CONNAÎTRE TOUS LES FAITS ET RELATIONS PERTINENTS DÈS LE DÉPART EXEMPLE : MEURTRE OU LÉGITIME DÉFENSE? CONSÉQUENCE : «L'APPROBATION OU LE BLÂME QUI S'ENSUIT ALORS NE PEUT PLUS ÊTRE L'ŒUVRE DU JUGEMENT, MAIS CELLE DU CŒUR ; ET CE N'EST PAS UNE PROPOSITION OU UNE AFFIRMATION THÉORIQUE, MAIS UNE IMPRESSION OU UN SENTIMENT AGISSANTS.»
8 POURQUOI LA RAISON NE PEUT PAS EXPLIQUER LES FINS ULTIMES DES ACTIONS HUMAINES LA DISTINCTION ENTRE FINS INTERMÉDIAIRES ET FINS ULTIMES POURQUOI FAIRE DE L EXERCICE (FIN INTERMÉDIAIRE)? CONSERVER LA SANTÉ (FIN ULTIME) POURQUOI CONSERVER LA SANTÉ (FIN ULTIME)?? LA FIN INTERMÉDIAIRE A UNE VALEUR INSTRUMENTALE LA FIN ULTIME A UNE VALEUR INTRINSÈQUE
9 POURQUOI LA RAISON NE PEUT PAS EXPLIQUER LES FINS ULTIMES DES ACTIONS HUMAINES Y A-T-IL VRAIMENT DES FINS ULTIMES? «IL EST IMPOSSIBLE QU'IL PUISSE Y AVOIR UN PROGRÈS AD INFINITUM ET QU'UNE CHOSE PUISSE TOUJOURS ÊTRE UNE RAISON POUR EN DÉSIRER UNE AUTRE. QUELQUE CHOSE DOIT ÊTRE DÉSIRABLE PAR SOI-MÊME ET À CAUSE DE SA CONVENANCE OU DE SON ACCORD IMMÉDIAT AVEC L'AFFECTION HUMAINE ET LE SENTIMENT HUMAIN.» CONCLUSION : «COMME LA VERTU EST UNE FIN ET QU'ELLE EST DÉSIRABLE POUR ELLE-MÊME, SANS SALAIRE NI RÉCOMPENSE, UNIQUEMENT POUR LA SATISFACTION IMMÉDIATE QU'ELLE PROCURE, IL EST NÉCESSAIRE QU'IL Y AIT QUELQUE SENTIMENT QU'ELLE TOUCHE, QUELQUE GOÛT OU IMPRESSION INTIME, APPELEZ CELA COMME VOUS VOULEZ, QUI DISTINGUE EN MORALE LE BIEN ET LE MAL ET QUI CHOISISSE L'UN ET REJETTE L'AUTRE.»
10 LES LIMITES DE L ARGUMENTATION DE HUME UNE CONSIDÉRATION GÉNÉRALE : SI LA MORALITÉ EST L ENSEMBLE DES VALEURS QUE TOUT ÊTRE HUMAIN DEVRAIT RECONNAÎTRE, LE SENTIMENT D APPROBATION PEUT-IL VRAIMENT DÉTERMINER LA MORALITÉ? CE SENTIMENT N EXPRIME-T-IL PAS PLUTÔT UN CERTAIN CONSENSUS QUE L ON PEUT TROUVER DANS UNE CULTURE PARTICULIÈRE À UN CERTAIN MOMENT? CRITIQUE POSSIBLE DE LA THÈSE SELON LAQUELLE LA RAISON NE PEUT PAS NOUS DIRE CE QUI EST BIEN OU MAL : NOUS EXAMINONS FRÉQUEMMENT SI LES CROYANCES MORALES D UNE PERSONNE SONT COHÉRENTES (QU IL N Y AIT PAS DE CONTRADICTION ENTRE ELLES) ET SI LE COMPORTEMENT DE CETTE PERSONNE EXEMPLIFIE CE QU ELLE CROIT (INTÉGRITÉ). NE POURRAIT-ON PAS DIRE QUE L ÉTUDE DE CETTE COHÉRENCE ET DE CETTE INTÉGRITÉ NOUS MONTRE CE QUI EST BIEN ET MAL?
11 QUESTIONS DE RÉVISION POUR LE MINI-EXPOSÉ EN CLASSE (1) EXPLIQUEZ POURQUOI HUME NE PENSE PAS QU IL Y AIT DES RELATIONS MORALES QUI NOUS RENSEIGNENT DE CE QUI EST BIEN OU MAL. (2) EXPLIQUEZ LA DIFFÉRENCE ENTRE «ERREUR DE FAIT» ET «ERREUR DE DROIT» EN UTILISANT LES EXEMPLES DE HUME À LA FIN DE LA SECTION 2. (3) EXPLIQUEZ LES DISTINCTIONS ET LES CONCLUSIONS QUE HUME RÉSUME DANS LE DERNIER PARAGRAPHE DU TEXTE.
POURQUOI DIEU PERMET-IL LE MAL? Masson Alexis - www.epistheo.com
POURQUOI DIEU PERMET-IL LE MAL? 1 Pourquoi Dieu permet-il le mal? Brève initiation au problème du mal MASSON Alexis Philosophie de la Religion www.epistheo.com 2 Première Partie UN SERIEUX PROBLEME 3 1
Plus en détailIntroduction à l analyse de concept. Cogmaster - Quinzaine de rentrée
Introduction à l analyse de concept Cogmaster - Quinzaine de rentrée L art de la distinction Une partie de la philosophie consiste à faire des distinctions pour éviter que soient confondues des entités
Plus en détailPascal Engel. Si l une des marques de l époque moderne a été le désenchantement. vis à vis des valeurs, et en particulier vis à vis des valeurs de la
1 EST-IL RATIONNEL D ÊTRE RATIONNEL? Pascal Engel In Grand dictionnaire de philosophie Larousse, 2003 Si l une des marques de l époque moderne a été le désenchantement vis à vis des valeurs, et en particulier
Plus en détailHARCÈLEMENT CRIMINEL. Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer!
HARCÈLEMENT CRIMINEL Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer! Qu est-ce que c est? Le harcèlement criminel est un crime. Généralement, il s agit d une conduite répétée durant une période de temps qui
Plus en détailGrande Loge Féminine de France
... La transformation du monde commence par la construction de soi... Grande Loge Féminine de France DOSSIER DE PRESSE Contact presse : 33(0)1 71 04 58 14 courriel : communication@glff.org Site : www.glff.org
Plus en détailPlus qu un un expert, un partenaire.
Plus qu un un expert, un partenaire. 1 Formation du 4 avril 2013 à NANCY. Plus qu un un expert, un partenaire. 2 Formation CEZAM Lorraine du 4 Avril 2013 à NANCY LA COMPLEMENTAIRE SANTE UN ENJEU DE TAILLE
Plus en détailTable des matières. 1. Mesures législatives Loi sur la protection des personnes recevant des soins Généralités 3 Principaux éléments 3
OFFICE DE PROTECTION DES PERSONNES RECEVANT DES SOINS RAPPORT STATISTIQUE 2007-2008 1 Table des matières 1. Mesures législatives Loi sur la protection des personnes recevant des soins Généralités 3 Principaux
Plus en détailQuestionnaire du projet Innocence
1 Questionnaire du projet Innocence Directives : Répondez de façon aussi détaillée que possible à chacune des questions suivantes ayant trait à votre dossier. Des réponses complètes et précises nous permettront
Plus en détailChacun peut-il penser ce qu il veut? - Chacun : concerne l individu, pas la collectivité - Peut-il : a) a-t-il la capacité? b) a-t-il le droit?
Chacun peut-il penser ce qu il veut? - Chacun : concerne l individu, pas la collectivité - Peut-il : a) a-t-il la capacité? b) a-t-il le droit? - Penser : a) avoir des idées, des opinions b) raisonner,
Plus en détailFrance métropolitaine, juin 2008 SUJET 7. Série ES, France métropolitaine, juin 2008
France métropolitaine, juin 2008 SUJET 7 7 SUJET Dissertation Série ES, France métropolitaine, juin 2008 Est-il plus facile de connaître autrui que de se connaître soi-même? LE SUJET COUP de POUCE ANALYSE
Plus en détailLa notion de besoin peut décrire : La notion de besoin peut décrire :
La notion de besoin peut décrire : une expérience vécue dont la personne est parfaitement consciente : Exemple : «J ai besoin de me divertir»; La notion de besoin peut décrire : 2. «une exigence née de
Plus en détailLA PNL. Programmation Neuro Linguistique
LA PNL Programmation Neuro Linguistique Définition : Programmation «A partir des expériences que nous vivons depuis notre enfance (et peut être avant), nous nous créons des programmes de fonctionnement
Plus en détailSites web éducatifs et ressources en mathématiques
Sites web éducatifs et ressources en mathématiques Exercices en ligne pour le primaire Calcul mental élémentaire : http://www.csaffluents.qc.ca/wlamen/tables-sous.html Problèmes de soustraction/addition
Plus en détailDossier Logique câblée pneumatique
Dossier Logique câblée pneumatique Festo Belgium SA Rue Colonel Bourg 11 BE-13 Bruxelles www.festo.com Logique câblée pneumatique Chaque schéma de commande est élaboré selon une logique déterminée. Cette
Plus en détail2.1.4. L'équilibre général des échanges
2.1.4. L'équilibre général des échanges La prise en compte des offres et des demandes de l'ensemble des pays participants au commerce mondial permet la détermination des prix mondiaux. L'existence d'un
Plus en détailAttirez-vous les Manipulateurs? 5 Indices
Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent 1 Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent Mini livre gratuit Sherpa Consult Bruxelles, Mai 2012 Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction
Plus en détailRECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS NUMERO SPECIAL. 03 juillet 2013 ***
PREFET DE LA SAVOIE SECRETARIAT GENERAL DE L ADMINISTRATION DEPARTEMENTALE pref-recueil-administratif@savoie.gouv.fr RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS NUMERO SPECIAL 03 juillet 2013 *** Direction générale
Plus en détailCONSIDÉRANT qu un avis de présentation de ce règlement a été donné lors de la séance ordinaire du Conseil de Ville, tenue le 17 mai 1999;
VILLE DE CANDIAC RÈGLEMENT NUMÉRO 1007-99 CONCERNANT LES SYSTÈMES D'ALARME CONSIDÉRANT la création de la Régie intermunicipale de police Roussillon, regroupant les corps policiers des villes de Candiac,
Plus en détailCHOIX OPTIMAL DU CONSOMMATEUR. A - Propriétés et détermination du choix optimal
III CHOIX OPTIMAL DU CONSOMMATEUR A - Propriétés et détermination du choix optimal La demande du consommateur sur la droite de budget Résolution graphique Règle (d or) pour déterminer la demande quand
Plus en détailPRÉPARATION TERMINALE AVANT UNE ÉCHÉANCE MAJEURE
PRÉPARATION TERMINALE AVANT UNE ÉCHÉANCE MAJEURE LA PRÉPARATION PHYSIQUE DES DERNIERS JOURS Les Jeux Olympiques de Londres 2012 Un essai de N. Krantz Mai & juin 2012 LES REPRÉSENTATIONS COMME PORTE D ENTRÉE
Plus en détailDÉCISION DU TRIBUNAL DE LA SÉCURITÉ SOCIALE Division d appel Demande de permission d en appeler
[TRADUCTION] Citation : K. U. c. Ministre des Ressources humaines et du Développement des compétences, 2014 TSSDA 38 N o d appel : AD-13-169 ENTRE : K. U. Demanderesse et Ministre des Ressources humaines
Plus en détailAccord Cosmopolite sur la Guerre et la Paix
Concours Philosopher Accord Cosmopolite sur la Guerre et la Paix Par Deppy04 2000 mots «Je suis vautré sur le canapé à regarder sur la chaîne câblée une émission de mode. [ ] Une fois de plus j entends
Plus en détailFONDATION NATIONALE DE GERONTOLOGIE MINISTERE DE L EMPLOI ET DE LA SOLIDARITE SECRETARIAT D ETAT A LA SANTE ET A L ACTION SOCIALE
FONDATION NATIONALE DE GERONTOLOGIE MINISTERE DE L EMPLOI ET DE LA SOLIDARITE SECRETARIAT D ETAT A LA SANTE ET A L ACTION SOCIALE 1999 La Fondation nationale de gérontologie et le ministère des affaires
Plus en détailRéponses aux questions de la page 2 du questionnaire RESPONS sur la responsabilité sociale des cadres
Réponses aux questions de la page 2 du questionnaire RESPONS sur la responsabilité sociale des cadres Question 1 : «En France, la rédaction d un rapport sur la responsabilité sociale et environnementale
Plus en détailLa demande Du consommateur. Contrainte budgétaire Préférences Choix optimal
La demande Du consommateur Contrainte budgétaire Préférences Choix optimal Plan du cours Préambule : Rationalité du consommateur I II III IV V La contrainte budgétaire Les préférences Le choix optimal
Plus en détailI ) ENTRE : appelant aux termes d'un exploit de l'huissier de justice Georges NICKTS de Luxembourg en date du 30 octobre 2000,
Exempt - appel en matière de travail Audience publique du jeudi seize mai deux mille deux. Numéros 25136 + 25142 du rôle. Composition: Marie-Jeanne HAVE, président de chambre ; Romain LUDOVICY, premier
Plus en détailIl y a trois types principaux d analyse des résultats : l analyse descriptive, l analyse explicative et l analyse compréhensive.
L ANALYSE ET L INTERPRÉTATION DES RÉSULTATS Une fois les résultats d une investigation recueillis, on doit les mettre en perspective en les reliant au problème étudié et à l hypothèse formulée au départ:
Plus en détailCHARTE DU CORRESPONDANT MODELE TYPE
CHARTE DU CORRESPONDANT MODELE TYPE CHAPITRE 1: CONDITIONS DANS LESQUELLES LE BUREAU LUXEMBOURGEOIS ACCORDE, REFUSE OU RETIRE SON AGREMENT A UN CORRESPONDANT 1.1 Comment remplir la fonction de correspondant
Plus en détailAgir pour se libérer du mobbing
Agir pour se libérer du mobbing Quelques conseils pour prévenir ou pour réagir en cas de harcèlement moral au travail. En collaboration avec Mobbing ASBL Introduction Le monde du travail a profondément
Plus en détailIntroduction. Présentation Qu est ce qu un manager? Qu est ce qu un collaborateur?
Introduction Présentation Qu est ce qu un manager? Qu est ce qu un collaborateur? Introduction Présentation David ZOUTE Weeziu, Conseil en Evolution Professionnelle Qu est ce qu un manager? Spécialiste
Plus en détailDemande de règlement d invalidité de longue durée
Régime d assurance pour les cadres de gestion de la Fonction publique Demande de règlement d invalidité de longue durée Industrielle Alliance, Assurance et services financiers inc. Police collective n
Plus en détailASSOCIATION LOI DU 1er JUILLET 1901 COMITE DE COOPERATION AVEC LE LAOS ( C.C.L. )
ASSOCIATION LOI DU 1er JUILLET 1901 COMITE DE COOPERATION AVEC LE LAOS ( C.C.L. ) ARTICLE 1 : FORMATION Il est créé entre les adhérents aux présents statuts une association régie par la loi du 1er Juillet
Plus en détailPrincipes directeurs régissant le règlement uniforme des litiges relatifs aux noms de domaine
Principes directeurs régissant le règlement uniforme des litiges relatifs aux noms de domaine Principes directeurs adoptés le 26 août 1999 Documents d application approuvés le 24 octobre 1999 Traduction
Plus en détailDÉCISION DU TRIBUNAL DE LA SÉCURITÉ SOCIALE Division générale Assurance-emploi
[TRADUCTION] Citation : T. S. c. Commission de l assurance-emploi du Canada, 2014 TSSDGAE 65 N o d appel : GE-14-745 ENTRE : T. S. Appelant et Commission de l assurance-emploi du Canada Intimée DÉCISION
Plus en détailOPTIMISATION À UNE VARIABLE
OPTIMISATION À UNE VARIABLE Sommaire 1. Optimum locaux d'une fonction... 1 1.1. Maximum local... 1 1.2. Minimum local... 1 1.3. Points stationnaires et points critiques... 2 1.4. Recherche d'un optimum
Plus en détailConseil canadien de la magistrature Voies de fait et autres infractions contre la personne n entraînant pas la mort
Conseil canadien de la magistrature Voies de fait et autres infractions contre la personne n entraînant pas la mort Table des matières Infraction 244...3 Décharge d une arme à feu avec intention (Art.
Plus en détailDossier justificatif des travaux de R&D déclarés au titre du CIR
Dossier justificatif des travaux de R&D déclarés au titre du CIR I PRÉSENTATION DE LA SOCIETE Présenter l activité de la société en quelques lignes ou au moyen d une plaquette publicitaire et replacer
Plus en détail«L impact de l interculturel sur la négociation» construire des intérêts matériels ou des enjeux quantifiables
Le Centre de Langues et de Traduction de l Université Libanaise vous invite à prendre part au colloque international : «L impact de l interculturel sur la négociation» qui se tiendra dans les locaux du
Plus en détailDÉCISION DU TRIBUNAL DE LA SÉCURITÉ SOCIALE Division d appel Décision d appel
Citation : C. B. c. Commission de l assurance-emploi du Canada, 2013 TSSDA 7 Appel No : 2013-0063 ENTRE : C. B. et Appelante Commission de l assurance-emploi du Canada Intimée DÉCISION DU TRIBUNAL DE LA
Plus en détailETAT CIVIL FONCTIONS
ETAT CIVIL Nom : Prénom : REGAD - ALBERTIN Caroline Date de naissance : 08/04/1984 Adresse professionnelle : Courriel : Université de Toulon Faculté de droit 35, avenue Alphonse Daudet BP 1416 83056 TOULON
Plus en détailLe Modèle Conceptuel de Virginia Henderson. P. Bordieu (2007)
Le Modèle Conceptuel de Virginia Henderson P. Bordieu (2007) Postulats qui l étayent (= fondements) Valeurs qui le justifient Éléments qui le composent: - But poursuivi - Cible - Rôle de l infirmière -
Plus en détail' '(!)('( ' #$%&'# ! '! " #$%&
ATTAQUER LE LISTING DU SOUTIEN AU TERRORISME DE NOUVELLES OPTIONS JURIDIQUES? UN RESUME DES JUGEMENTS RECENTS DE LA COUR DE JUSTICE DES COMMUNAUTES EUROPEENNES Dès les arrêts Yusuf 1 et Kadi 2, d une part,
Plus en détaill'essence de chaque chose se trouve dans la chose même. matière forme
que des ombres projetées contre la paroi. C'est le monde de l'existence, sensible, et comme les hommes ne peuvent pas voir autre chose, ils sont dans l'ignorance et pensent que c'est le monde réel. L'un
Plus en détailSuis-je toujours le même?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN Suis-je toujours le même? Introduction Avant de répondre à la question, il faut comme toujours en philosophie bien en comprendre le problème. Le " je suis " fait
Plus en détailPROTOCOLE SUR LES AMENDEMENTS A L ACTE CONSTITUTIF DE L UNION AFRICAINE
PROTOCOLE SUR LES AMENDEMENTS A L ACTE CONSTITUTIF DE L UNION AFRICAINE 1 PROTOCOLE SUR LES AMENDEMENTS A L ACTE CONSTITUTIF DE L UNION AFRICAINE Les Etats membres de l Union africaine, Etats parties à
Plus en détailMiddlesex University Business School
Malcolm Sargeant Middlesex University Business School La directive-cadre L interdiction des discriminations liées à l âge constitue un élément essentiel pour atteindre les objectifs établis par les lignes
Plus en détail3 thèses : Problématique :
LA CONSCIENCE Problématique : 3 thèses : Thèse 1 : L âme est une substance. A. L âme est une substance individuelle. B. La conscience comme substance pensante une et indivisible. Thèse 2 : La conscience
Plus en détailFaut-il tout démontrer?
Faut-il tout démontrer? Introduction et énoncé du problème L acte de démontrer consiste à mettre en ordre logique, à disposer de façon rationnelle et déductive des propositions afin d assurer que la conclusion
Plus en détailArticle 1654 Le mariage est un contrat solennel entre deux personnes de sexe opposé qui souhaitent s unir et former une famille.
Concours European Law Moot Court 2013-2014 Affaire M- 564/13, Spyridon et autres c. le Ministre de l Immigration et de la Naturalisation et le Directeur Général de la Santé 1. La Principauté de Brandoa
Plus en détailLe développement cognitif selon Jean Piaget. Les stades du développement cognitif selon Piaget
Le développement cognitif selon Jean Piaget Piaget (BIO) et ses collaborateurs sont sans conteste les auteurs qui ont le plus contribué à notre compréhension du développement des capacités mentales durant
Plus en détailThématiques Questions possibles berufsfeld/fach
LEARNING FOR THE PLANET Liste des sujets Vous cherchez une inspiration pour votre sujet Vous pouvez lire la liste ci-dessous et voir quel thème éveille votre intérêt. Examinez les questions correspondantes.
Plus en détailFoire aux questions Généralités
Foire aux questions Généralités 1. Qui est admissible au régime d avantages sociaux eflex de SCM? Les employés réguliers à temps plein et à temps partiel qui travaillent au Canada au moins 20 heures par
Plus en détailNorthern Trust Company, Canada
Northern Trust Company, Canada Foire aux questions : Adresse : Question : Comment dois-je procéder pour effectuer un changement d adresse? Réponse : Veuillez compléter et signer notre formulaire de changement
Plus en détailDéclaration relative à un déboursement de casino
Si vous avez les moyens techniques de produire votre déclaration par voie électronique, vous NE devez PAS utiliser ce formulaire papier. Consultez plutôt la rubrique portant sur la déclaration sur le site
Plus en détailApprobation temporaire
Ontario College of Teachers Ordre des enseignantes et des enseignants de l Ontario Note de service Date : Le 31 janvier 2001 À l attention de : De la part de : Objet : Directrices et directeurs de l éducation,
Plus en détailAtelier Campagne Marketing social
Atelier Campagne Marketing social Vous devez mettre sur pied, au cours de ce bref atelier, une campagne de marketing social. Vous devrez aussi justifier vos activités de communication. Le nom d une organisation
Plus en détailLa mission et les résultats en chiffres pour 2006-2007 1
La mission et les résultats en chiffres 1 La mission du Protecteur du citoyen Le Protecteur du citoyen a pour mandat, en vertu de la Loi sur le Protecteur du citoyen et, depuis le 1 er avril 2006, en vertu
Plus en détailAPRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations.
PROCESSUS D ASSURANCE QUALITE MIS EN ŒUVRE APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE 1. Identification des circonstances déclenchantes de l acte de maltraitance. 2. Définition des objectifs correctifs. 3. Elaboration
Plus en détailDÉCISION DU TRIBUNAL DE LA SÉCURITÉ SOCIALE Division générale Assurance-emploi
Citation : R. G. c. Commission de l assurance-emploi du Canada, 2014 TSSDGAE 10 Appel n o : GE-13-2316 ENTRE : R. G. Appelant Prestataire et Commission de l assurance-emploi du Canada Intimée DÉCISION
Plus en détailAVONS-NOUS DES DEVOIRS MORAUX ENVERS NOUS-MÊMES OU SEULEMENT ENVERS AUTRUI?
AVONS-NOUS DES DEVOIRS MORAUX ENVERS NOUS-MÊMES OU SEULEMENT ENVERS AUTRUI? L idée d asymétrie morale Mon point de départ, c est l idée qu il existe une asymétrie morale entre le rapport de soi à soi et
Plus en détailProjet de loi n o 94. Présentation. Présenté par Madame Kathleen Weil Ministre de la Justice
PREMIÈRE SESSION TRENTE-NEUVIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 94 Loi établissant les balises encadrant les demandes d accommodement dans l Administration gouvernementale et dans certains établissements
Plus en détailSTATUTS DE L ASSOCIATION «SEO CAMP»
STATUTS DE L ASSOCIATION «SEO CAMP» Version ratifiée par l AGE du 8 décembre 2012 Préambule (modifié par l AGE du 8.12.12) Le SEO Camp rassemble toutes les personnes physiques ou morales dont l'activité
Plus en détailPERCEPTION ET PERCEPTION SOCIALE
GOBERT 1 PERCEPTION ET PERCEPTION SOCIALE 1. Perception et perception sociale Perception = processus par lequel l individu organise et interprète ses impressions sensorielles de façon à donner un sens
Plus en détailFormation analyse des accidents du travail avec l arbre des causes
Formation analyse des accidents du travail avec l arbre des causes Rappel: définitions Accident: - événement soudain Permet de distinguer l accident de la maladie, et en particulier de la maladie professionnelle
Plus en détailStatuts : Etoile Saint Amandoise.
Statuts : Etoile Saint Amandoise. Sommaire : Présentation But et composition Affiliation Ressources Administration et fonctionnement o Comité de direction o Le bureau o Assemblée générale Ordinaire o Assemblée
Plus en détailLes problèmes de la finale du 21éme RMT
21 e RMT Finale mai - juin 2013 armt2013 1 Les problèmes de la finale du 21éme RMT Titre Catégorie Ar Alg Geo Lo/Co Origine 1. La boucle (I) 3 4 x x rc 2. Les verres 3 4 x RZ 3. Les autocollants 3 4 x
Plus en détailLa procuration. La procuration. isns
La procuration isns En rédigeant une procuration, vous donnez à une autre personne l autorité d agir en votre nom si vous devenez malade ou incapable de prendre des décisions relatives à vos soins ou à
Plus en détailCompte rendu du séminaire sur les RPS qui a eu lieu mardi 4 février à la MMSH
Compte rendu du séminaire sur les RPS qui a eu lieu mardi 4 février à la MMSH En introduction : référence au site rps.hypotheses.org Un questionnaire anonyme sera mis en ligne d ici peu. Un petit film
Plus en détailQU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR?
QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR? Source: DUMONT, Nicole. Femmes d aujourd hui, Vol. 1 No. 8., janvier 1996. On dit de certaines personnes qu elles n ont pas de tête ou qu elles n ont pas de
Plus en détailGROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP)
Strasbourg, 22 août 2014 CDDH-CORP(2014)10 COMITÉ DIRECTEUR POUR LES DROITS DE L'HOMME (CDDH) GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP) Projet de recommandation du Comité
Plus en détailDemande d aide juridictionnelle
1 Cerfa n 12467*02 Demande d aide juridictionnelle (Loi n 91-647 du 10 juillet 1991 et décret n 91-1266 du 19 décembre 1991) Vous-même : Avez-vous un contrat d assurance de protection juridique ou un autre
Plus en détailPrise de position du CNUE concernant la proposition de directive horizontale relative aux droits des consommateurs
Prise de position du CNUE concernant la proposition de directive horizontale relative aux droits des consommateurs Les notaires d Europe réunis au sein du CNUE suivent avec grand intérêt les travaux des
Plus en détailPrincipes de bonne pratique :
Principes de bonne pratique : Recommandations en vue de la création de bases de données génétiques nationales Le présent document a été élaboré par le Groupe d experts d INTERPOL sur le suivi des techniques
Plus en détailRawls et Habermas : le primat du Juste sur le Bien
Culture Générale Rawls et Habermas : le primat du Juste sur le Bien Christophe Cervellon Agré de philosophie, ancien élève de l École Normale Supérieure (Ulm). L américain John Rawls (né en 1921) et l
Plus en détailYves Delessert Etre bénévole et responsable
Yves Delessert Etre bénévole et responsable La responsabilité des membres de comité des IPE associatives du fait des activités déployées conformément aux buts de l association FIPEGS 9 juin 2015 Principales
Plus en détailRÉGIMES D ASSURANCE SALAIRE (RAS) MISE À JOUR DE 2012-2013
RÉGIMES D ASSURANCE SALAIRE (RAS) MISE À JOUR DE 2012-2013 L Association canadienne de la paie (ACP) a collaboré avec l Agence du revenu du Canada (ARC) pour s assurer que toute l information associée
Plus en détailFeuillet récapitulatif Gestion des causes de niveau intermédiaire : droit criminal
Feuillet récapitulatif Gestion des causes de niveau intermédiaire : droit criminal Gestion des causes de niveau intermédiaire : Critères d'admissibilité Les affaires en droit criminel peuvent être dirigées
Plus en détailRomain Defoy-Dubray Natacha Resnikoff
Romain Defoy-Dubray Natacha Resnikoff 10:00 11:30 Participatif! 11:30 12:00 Participatif ² Pourquoi gérer son e-réputation? Comment construire son image sur la toile? Conseils en cas de «bad buzz» Pourquoi
Plus en détailAssociation loi 1901 - BP 82056-25402 AUDINCOURT CEDEX // 06.13.81.96.71 - www.crmfc.fr
1 TITRE I CONSTITUTION, OBJET, SIEGE SOCIAL, DUREE Article 1 : Constitution et dénomination Il est fondé entre les personnes physiques ou morales qui adhérent ou adhéreront aux présents statuts, une association
Plus en détailArrêtons. «Article 11
Projet de règlement grand-ducal modifiant le règlement grand-ducal modifié du 11 novembre 2003 pris en exécution de la loi du 16 avril 2003 relative à l'assurance obligatoire de la responsabilité civile
Plus en détailCOUPLE ET PROBLÈMES SEXUELS
COUPLE ET PROBLÈMES SEXUELS Introduction Christine Reynaert et Pierre Collart ont tous deux activement participé à l ouverture de centres spécialisés dans le traitement de troubles sexuels (voir analyse
Plus en détailBOURSES DU GOUVERNEMENT DU JAPON 2016. Questions Fréquemment Posées / Réponses indicatives
BOURSES DU GOUVERNEMENT DU JAPON 2016 Questions Fréquemment Posées / Réponses indicatives 1. Les personnes n ayant pas encore obtenu le diplôme/niveau requis peuvent-elles faire acte de candidature aux
Plus en détailFACULTE DE DROIT. 1. Premier Graduat I. CYCLE DE GRADUAT. 2. Deuxième Graduat
FACULTE DE DROIT I. CYCLE DE GRADUAT 1. Premier Graduat 1. l éducation à la citoyenneté 30 30 2. l anglais 30 15 45 3. l introduction générale à l étude du droit (droit privé 60 30 90 et droit public 4.
Plus en détailAffirmation de soi, confiance en soi, estime de soi
Affirmation de soi, confiance en soi, estime de soi Estime de soi MOI Affirmation de soi AUTRES Confiance en soi ACTION Contexte Règles fondamentales de la communication 1) On ne peut pas décider, par
Plus en détailAnalyse de L e-réputation
Online Intelligence Solutions Analyse de L e-réputation ou comment être à l écoute de ses consommateurs? par Jacques Warren WHITE PAPER WHITE PAPER A Propos de Jacques Warren Jacques Warren évolue en marketing
Plus en détailFAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR)
FAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR) Profession de foi Changer la façon de s habiller, sortir des sentiers battus, et proposer une autre vision du monde. Notre mission Le groupe FAST
Plus en détailTableau synoptique du chapitre 5
Tableau synoptique du chapitre 5 La définition de l employé mobilisé Un employé mobilisé est celui qui fait preuve d un engagement professionnel, stratégique et collectif. Les quatre leviers de la mobilisation
Plus en détailLes aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie.
Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Sarah CAILLOT, Psychologue Réseau Breizh IMC- Pôle MPR St-Hélier (Rennes)- Journée Inter-régionale
Plus en détailDONS, D HOSPITALITÉ. Lignes directrices 1. mai 2012 COMMISSAIRE À L ÉTHIQUE ET À LA DÉONTOLOGIE
DONS, AVANTAGES ET MARQUES D HOSPITALITÉ Lignes directrices 1 mai 2012 COMMISSAIRE À L ÉTHIQUE ET À LA DÉONTOLOGIE 1 En application de l article 89 du Code, le commissaire peut publier des lignes directrices
Plus en détailTRIBUNAL ADMINISTRATIF DE LA BANQUE AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT. QUORUM: Professeur Yadh BEN ACHOUR Président
TRIBUNAL ADMINISTRATIF DE LA BANQUE AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT QUORUM: Professeur Yadh BEN ACHOUR Président Juge Salihu Modibo Alfa BELGORE Vice-président Juge Anne L. MACTAVISH Membre Juge Benjamin Joses
Plus en détail5, avenue des Quarante Journaux CS 50037-33070 Bordeaux Cedex Tel : 05 56 112 112 Fax : 05 56 112 110 www.jardinsdecybele.
5, avenue des Quarante Journaux CS 50037-33070 Bordeaux Cedex Tel : 05 56 112 112 Fax : 05 56 112 110 www.jardinsdecybele.com Le 15/06/2011 Dossier de Presse Sommaire 1. Présentation du groupe..page 3
Plus en détailPeut-on faire confiance à une personne démente? olivier.drunat@brt.aphp.fr
Peut-on faire confiance à une personne démente? olivier.drunat@brt.aphp.fr Actualités en Médecine Gériatrique, Paris 17 juin 2015 Conflit d intérêt Remerciements au Dr O. Faraldi Une réponse triviale?
Plus en détailX X. Demandeurs. Entreprise DÉCISION DEMANDE D EXAMEN DE MÉSENTENTE EN MATIÈRE D ACCÈS.
Commission d accès à l information du Québec Dossier : 05 10 23 Date : 31 juillet 2006 Commissaire : M e Hélène Grenier X X Demandeurs c. MELOCHE MONNEX INC. (SÉCURITÉ NATIONALE CIE D ASSURANCE) Entreprise
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES POUR L'ÉTABLISSEMENT D'UNE ENTENTE SUR LA COPROPRIÉTÉ D'UNE ASSURANCE-VIE
LIGNES DIRECTRICES POUR L'ÉTABLISSEMENT D'UNE ENTENTE SUR LA COPROPRIÉTÉ D'UNE ASSURANCE-VIE Les présentes lignes directrices sont fournies par la SUN LIFE DU CANADA, COMPAGNIE D'ASSURANCE-VIE, pour les
Plus en détailSection «Maturité fédérale» EXAMENS D'ADMISSION Session de février 2014 RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES. Formation visée
EXAMENS D'ADMISSION Admission RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES MATIÈRES Préparation en 3 ou 4 semestres Formation visée Préparation complète en 1 an 2 ème partiel (semestriel) Niveau Durée de l examen
Plus en détail27 janvier 2015 Journée de la mémoire des génocides et de la prévention des crimes contre l Humanité
Monsieur le Maire, Eric LEJOINDRE Mesdames et Messieurs Les enseignants et représentants de l Education Nationale Mesdames et Messieurs les Présidents et représentants d associations patriotiques Mesdames
Plus en détail01_15. Directive sur la poursuite contre un mineur
REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE Département des finances Office des poursuites Direction générale 01_15. Directive sur la poursuite contre un mineur Modifications, contrôles, approbation Version Date Description,
Plus en détailUnité E Budgets et placements
Unité E Budgets et placements Exercice 1 : Établissement d'un budget Prépare un modèle de feuille de calcul pour le budget en te fondant sur le formulaire de budget mensuel illustré à l'annexe E-1. Utilise
Plus en détailRégimes d options d achat d actions des salariés [ROAAS]
FINB La Fondation de l innovation du Nouveau-Brunswick Régimes d options d achat d actions des salariés [ROAAS] À propos de la FINB: La FINB est une société autonome sans but lucratif qui soutient le développement
Plus en détailApplication de la convention pour la prévention et la répression du crime de génocide. (Croatie c. Serbie).
COUR INTERNATIONALE DE JUSTICE Palais de la Paix, Carnegieplein 2, 2517 KJ La Haye, Pays-Bas Tél : +31 (0)70 302 2323 Télécopie : +31 (0)70 364 9928 Site Internet : www.icj-cij.org Communiqué de presse
Plus en détail