Quel impact de la crise sur le mécénat? m

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Quel impact de la crise sur le mécénat? m"

Transcription

1 m Enquête ADMICAL CSA En colboration avec l Agence LIMITE Mars 2009

2 Sommaire RESULTATS DETAILLES 1. L évolution s budgets consacrés au mécénat 2. L évolution s domaines et s formes 3. L opportunité dans CONCLUSION METHODOLOGIE L étu a été réalisée par téléphone auprès d un échantillon représentatif 300 responsables d entreprises (DG, DGA, DA, DAF, DirCom, ) 100 sariés et plus, sur le lieu travail s personnes interrogées, du 6 au 12 février Le fichier s entreprises incluait notamment un fichier d entreprises mécènes issues du Répertoire édité par Admical afin consolir les résultats sur les entreprises mécènes. Les résultats sont fournis sur base s quotas représentatifs suivants : secteur d activité et taille l entreprise, ainsi que sur le taux pénétration du mécénat sur notre cible soit 23% s entreprises. Contacts ADMICAL Marianne ESHET, déléguée générale Géraldine BORIES, responsable du pôle publications et manifestations

3 L évolution s budgets

4 Impact sur les budgets alloués au mécénatm Dans votre entreprise, le budget global 2009 alloué au mécénat va-t-il rester stable, augmenter ou diminuer -3 La stabilité s budgets! La stabilité domine très rgement l attitu s entreprises mécènes dans leur approche budgétaire en Cependant, parmi celles qui voient leur budget modifié c est baisse qui l emporte légèrement. Comme nous allons le voir, nature hausse (essentiellement stratégique) et baisse (très conjoncturelle) sont assez différentes fois dans leur nature et leur intensité. Les fondations sur cette question sont un élément fort stabilité même s il est parfois possible qu elles soient en phase réduction, ponctuelle ou contractuelle 2009 Base : entreprises faisant

5 Impact sur les budgets alloués s au mécénat De quelle importance en pourcentage sera cette augmentation Moyenne : 35 % cette diminution Moyenne : 38 % Base : entreprises indiquant que leur budget mécénat va diminuer Base : entreprises indiquant que leur budget mécénat va augmenter Augmentation et diminution se compensent Augmentation et diminution se compensent avec cependant parmi les entreprises qui diminuent une majorité (57%) décrant vouloir réduire leur budget consacré au mécénat plus 20%. En moyenne, les augmentations sont 35%, portées par quelques entreprises augmentant très sensiblement leur budget. Ce sont sans doute s augmentations qui s inscrivent dans s démarches long terme ou s concrétisations d engagements. En revanche les diminutions sont plus souvent supérieures à 20% mais avec une plus faible intensité traduisant ainsi en première analyse le fait qu il s agit d aménagements conjoncturels dictés par nécessité et directement liés situation.

6 Impact sur les stratégies s entreprises mécènesm Selon vous, cette diminution reflète-t-elle un changement à long terme stratégie l entreprise vis-à-vis, ou une diminution temporaire du budget mécénat, due au contexte La conjoncture seule en cause Confirmation ce que nous avons déjà pu noter, les stratégies s entreprises en matière mécénat sont visiblement inscrites dans durée, bien que certaines, du fait affirment qu elles vont infléchir leur action. Ainsi 92% s entreprises mécènes qui ont fait le choix diminuer leur budget l expliquent par le contexte actuel et seules 8% par un changement stratégie Base : entreprises dont le budget mécénat va diminuer

7 L évolution s domaines et s formes mécénatm

8 Impact sur les domaines d action Dans quels domaines avez-vous fait en 2008 Dans les domaines dans lesquels votre entreprise menait une action mécénat en 2008, le budget alloué va-t-il augmenter, rester stable ou diminuer en 2009 Dans le domaine Rapport entre augmentation et diminution Base : entreprises faisant 2009 La solidarité d abord Dans le contexte, les mécènes favorisent davantage solidarité et recherche (notamment les entreprises 200 sariés et plus pour recherche). Un manière fois parer aux difficultés immédiates par solidarité et se projeter dans l avenir en favorisant recherche. Ces entreprises conçoivent donc leur rôle manière efficace et prospective. En revanche, le domaine culturel fait sensiblement les frais ces évolutions, tout en restant le uxième domaine d action. Base : entreprises faisant

9 Impact sur les formes du mécénat Quelle(s) forme(s) mécénat pratiquiez-vous en 2008 Pour chacune s formes mécénat pratiquée par votre entreprise, pensez-vous qu en 2009 son volume va augmenter, rester stable ou diminuer Base : entreprises faisant Montée en puissance compétences Là aussi l illustration s effets sur les pratiques en matière mécénat est particulièrement forte. Ainsi le mécénat financier, bien que restant le moyen d intervention le plus pratiqué, se tasse légèrement au bénéfice compétences (37% s entreprises anticipent une augmentation cette forme mécénat) dont part est appelée à augmenter très sensiblement. Base : entreprises faisant dans ces domaines

10 L opportunité du mécénat dans

11 Pertinence d une d communication sur le mécénat durant Selon vous, est-ce une très bonne chose, une assez bonne chose, une assez mauvaise chose ou une très mauvaise chose communiquer sur votre mécénat dans pério actuelle S/T Mauvaise chose : 4% en interne en externe S/T Mauvaise chose : 4% S/T Bonne chose : 90% Base : entreprises faisant 2009 Base : entreprises faisant 2009 S/T Bonne chose : 87% Communiquer, malgré La pério actuelle impacte retivement peu l opportunité communiquer pour les entreprises, 90% s entreprises mécènes considérant que c est une bonne chose communiquer sur leurs actions en interne et 87% en externe. Cependant structure l adhésion appelle à prendre en compte retive fragilité ce sujet pour les entreprises. En effet, presque moitié cette adhésion se fait sur l item une «assez bonne chose», illustrant sans doute une certaine réserve et l existence d interrogations portant probablement sur nature cette communication, sa forme ou encore son intensité et ses effets.

12 Opinion s entreprises m Je vais maintenant vous citer un certain nombre d affirmations, diriez-vous que vous êtes tout à fait d accord, plutôt d accord, plutôt pas d accord ou pas du tout d accord avec chacune d entre elles En pério 87% Le mécénat : l atout fédérateur 83% Les entreprises mécènes soulignent nature fédératrice et l importance qu il y a à continuer pour donner du sens communication. 68% Fédératrice en Interne auprès s sariés mais aussi moyen donner du sens communication menée et garr confiance s clients comme s investisseurs. Le mécénat participe désormais cette cohérence globale et ils ne sont au final que moins d un quart (22%) à penser que ces dépenses vraient être réduites Base : entreprises faisant

13 Opinion s entreprises m S engager, vraiment 16%...il est important que les entreprises s'engagent dans s projets mécénat pérennes à long terme...le mécénat doit être recentré autour d'actions sociales et directement utiles 42% 77%...le mécénat est un luxe...les entreprises doivent se recentrer sur leurs activités principales car le développement social et culturel n'est pas leur responsabilité. 39% La pérennité est encore soulignée ici, que l on soit mécène (91%) ou non (70%), même que l utilité. Des différences apparaissent principalement quand à savoir si le mécénat est un luxe : 55% s entreprises réponnt par négative, 83% chez les mécènes et 48% chez celles qui ne le pratiquent pas. Le mécénat n est cependant pas superflu pour les entreprises non mécène s principalement dans l hypothèse où le mécénat est recentré sur s actions sociales et directement utiles. On observe même tendance sur question du recentrage s entreprises sur leur activité. Ainsi 17% seulement s mécènes sont l avis que «le développement social et culturel n est pas leur responsabilité», là où ils sont 46% chez les non mécènes. 17% % Au final ces différences révèlent l attitu s entreprises mécènes qui soulignent l impact interne et externe leurs actions et les freins culturels qui peuvent encore empêcher les autres à franchir le cap (principalement autour du rôle s entreprises dans société).

14 Importance m dans le contexte actuel Dans le contexte actuel, l engagement s entreprises dans s actions mécénat est-il selon vous Tout à fait prioritaire, important mais pas prioritaire, ou secondaire 2009 Base : ensemble Le mécénat important, mais Une majorité s entreprises (53%), mécènes ou non, s entennt sur l importance dans le contexte actuel. En revanche, 42% considèrent le mécénat comme secondaire et seules 3% comme prioritaire. Le paradigme actuel pce les entreprises vant nombreux défis, dont parfois leur survie. Le mécénat dès lors, sans perdre son importance et subir réels désengagements, n apparaît que marginalement prioritaire.

15 Conclusion La actuelle, loin remettre en cause les stratégies s entreprises mécènes, illustre dans un premier temps pertinence du concept et du modèle. En effet ce rnier est très rgement structuré dans s approches et s projets à long terme dans lesquels s inscrivent véritables stratégies et engagements s entreprises. Cette approche assure pérennité s actions mais aussi s budgets, donnant toute leur force aux actions menées et permettant d imprégner profondément les cultures d entreprises. Ainsi, le modèle résiste-t-il bien jusqu à présent. Il peut d autant mieux participer au maintien d une responsabilité sociale s entreprises consolidée dans le temps. Cependant il reste culturellement principalement ancré dans les entreprises plus 200 sariés, davantage que dans celle 100 à 199 pour lesquelles le mécénat est encore souvent perçu comme un luxe (54% contre 32% aux plus grans) ou encore que leur responsabilité est ailleurs que dans le développement social et culturel (47% contre 32% chez les plus 200 sariés). Cependant, conjoncture influe aujourd hui manière importante sur les approches, ce qu illustre notamment le renforcement s actions dans le domaine solidarité mais aussi montée en puissance pratiques très impliquantes pour les sariés, le mécénat compétences en premier lieu. La solidarité, dont part croit régulièrement puis 2005, est aujourd hui encore renforcée dans le contexte, ainsi que recherche, notamment pour les entreprises plus 200 sariés. Ainsi, les politiques mécénat ne sont pas remises en cause mais leur continuité est aujourd hui sujette à s évolutions pratiques. Enfin, sans être prioritaire ni taboue dans cette pério, communication reste une bonne chose, que ce soit en interne ou en externe.

16

1 - Salaires nets tous secteurs confondus

1 - Salaires nets tous secteurs confondus N 627 Résultats l enquête annuelle sur les s auprès s entreprises - Mai 2011 - L enquête annuelle sur les s auprès s entreprises, réalisée par voie postale par l ONS a donné les résultats présentés ci-ssous.

Plus en détail

BAROMÈTRE DE LA PROTECTION SOCIALE DES AGENTS TERRITORIAUX

BAROMÈTRE DE LA PROTECTION SOCIALE DES AGENTS TERRITORIAUX BAROMÈTRE DE LA PROTECTION SOCIALE DES AGENTS TERRITORIAUX Avril 2009 SOMMAIRE 1. La méthodologie 3 A. L évolution du système de protection sociale 5 B. Les pratiques en matière de protection sociale 9

Plus en détail

Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech

Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à

Plus en détail

Préoccupations, attentes et prévoyance des travailleurs non salariés et des dirigeants de très petites entreprises

Préoccupations, attentes et prévoyance des travailleurs non salariés et des dirigeants de très petites entreprises Préoccupations, attentes et prévoyance des travailleurs non salariés et des dirigeants de très petites entreprises Institut CSA pour Metlife Novembre 2014 Sommaire Fiche technique 3 Profil de l échantillon

Plus en détail

Observatoire de la performance des PME-ETI 16 ème édition avril 2012. OpinionWay Banque PALATINE Pour i>tele Challenges

Observatoire de la performance des PME-ETI 16 ème édition avril 2012. OpinionWay Banque PALATINE Pour i>tele Challenges Observatoire de la performance des PME-ETI 16 ème édition avril 2012 OpinionWay Banque PALATINE Pour i>tele Challenges OpinionWay, 15 place de la République, 75003 Paris. Méthodologie Étude quantitative

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger

GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger SOMMAIRE GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger o o o o o o o o o o o o

Plus en détail

Centre d Analyse Stratégique

Centre d Analyse Stratégique Centre d Analyse Stratégique Choix d une complémentaire santé Le regard des Assurés et des Entreprises 7 juillet 2009 Centre d Analyse Stratégique Tristan KLEIN Perrine FREHAUT Contacts TNS Sofres Emmanuel

Plus en détail

Concilier vie privée et vie professionnelle, un enjeu pour tous les acteurs de l entreprise

Concilier vie privée et vie professionnelle, un enjeu pour tous les acteurs de l entreprise Concilier vie privée et vie professionnelle, un enjeu pour tous les acteurs de l entreprise Stabilité de la confiance des dirigeants de PME-ETI Paris, 17 octobre 2013 La Banque Palatine, banque des moyennes

Plus en détail

LES CHIFFRES CLÉS DE L ARTISANAT. Bilan des immatriculations / radiations d entreprises artisanales. Solde net 1 002 entreprises 74%

LES CHIFFRES CLÉS DE L ARTISANAT. Bilan des immatriculations / radiations d entreprises artisanales. Solde net 1 002 entreprises 74% n 6 - JANVIER 21 LES CHIFFRES CLÉS DE L ARTISANAT 23 629 c est * le nombre d entreprises 2 inscrites au Répertoire des métiers de l Essonne. dirigeants d entreprise artisanale ont été interrogés à la fin

Plus en détail

Les Français et le pouvoir d achat

Les Français et le pouvoir d achat Contacts CSA Pôle Opinion Corporate : Jérôme Sainte-Marie, Directeur général adjoint Yves-Marie Cann, Directeur d études Les Français et le pouvoir d achat Sondage CSA pour Cofidis Septembre 2012 Sommaire

Plus en détail

Services Observatoire 2010 de l opinion sur l image des banques

Services Observatoire 2010 de l opinion sur l image des banques Observatoire 2010 de l opinion sur l image des banques - Juillet 2010 Méthodologie Méthodologie : Cette étude a été menée dans le cadre de l'omcapi, l'enquête périodique multi-clients de l'ifop, réalisée

Plus en détail

Observatoire Orange Terrafemina

Observatoire Orange Terrafemina Observatoire Orange Terrafemina Vague 7 M-Commerce : Quand le mobile réinvente le shopping n 1100905 Juillet 2011 Etude réalisée conformément à la norme internationale ISO 20252 2, rue de Choiseul CS 70215

Plus en détail

UN REGAIN D OPTIMISME

UN REGAIN D OPTIMISME 2015 UN REGAIN D OPTIMISME Activité : reprise en pente douce Emploi : renforcement des effectifs Comme pressenti en novembre dernier, les chefs d entreprise de la région Rhône- Alpes anticipent un développement

Plus en détail

CHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES

CHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES CHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES Méthode de sélection: les dispositions qui suivent s appliquent lorsqu elles ne sont pas contraires à celles préconisées dans les

Plus en détail

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 211 15 1 5-5 -1-15 -2 - -3-35 21 22 23 24 26 27 28 29 21 211 Série dessaisonalisée

Plus en détail

Le rapport des femmes à la beauté

Le rapport des femmes à la beauté 1 Le rapport des femmes à la beauté Etude CSA pour Madame Figaro Rapport d étude octobre 2014 Julie GAILLOT, Directrice de clientèle julie.gaillot@csa.eu / 01 57 00 59 06 Marek KUBISTA Chargé d études

Plus en détail

72% des Français prêts à payer plus cher un produit fabriqué en France. Mais pas à n importe quel prix!

72% des Français prêts à payer plus cher un produit fabriqué en France. Mais pas à n importe quel prix! Communiqué de presse 21 novembre 2011 Une étude CEDRE/Ifop 1 propose le regard croisé des consommateurs et des chefs d entreprises français sur le «Made in France» 72% des Français prêts à payer plus cher

Plus en détail

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014 L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS Juin 2014 Contacts BVA : Céline BRACQ Directrice BVA Opinion Lilas BRISAC Chargée d études 01 71 16 88 00

Plus en détail

Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas

Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Prise de position de Caritas_mars 2011 Migration: un plus pour la Suisse En bref: Quel est l effet de

Plus en détail

Etude Afci Andrh Inergie sur la communication managériale (3 ème édition)

Etude Afci Andrh Inergie sur la communication managériale (3 ème édition) Etude Afci Andrh Inergie sur la communication managériale (3 ème édition) L appropriation de la stratégie et sa démultiplication par les managers Juillet 2011 Contact Inergie Luc Vidal DGA Directeur associé

Plus en détail

Sondage web sur la démocratie et la participation citoyenne

Sondage web sur la démocratie et la participation citoyenne Sondage web sur la démocratie et la participation citoyenne Sondage web sur la démocratie et la participation citoyenne Rapport d analyse des résultats Présenté à l'institut du Nouveau Monde 22 mai 2012

Plus en détail

AVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014

AVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014 AVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014 Orientations Budgétaires 2015 ORIENTATIONS BUDGÉTAIRES 2015 AVIS SUR LE RAPPORT GÉNÉRAL DU PRÉSIDENT DU CONSEIL RÉGIONAL Président : Patrick TASSIN Séance

Plus en détail

Résultats de l enquête Emploi & Réseau. Les réseaux sociaux sont-ils vraiment utiles pour les recruteurs et les candidats?

Résultats de l enquête Emploi & Réseau. Les réseaux sociaux sont-ils vraiment utiles pour les recruteurs et les candidats? Résultats de l enquête Emploi & Réseau ux sociaux Les réseaux sociaux sont-ils vraiment utiles pour les recruteurs et les candidats? Contexte et méthodologie Contexte Pourquoi cette enquête? Faire le point

Plus en détail

Mutualisation des compétences

Mutualisation des compétences Premières Rencontres richesses humaines associatives 2 & 3 décembre 2014 ATELIER PROSPECTIF Mutualisation des compétences DEFINITIONS Mutualisation La mutualisation se définit comme la synergie entre deux

Plus en détail

Une étude de différentes analyses réalisées par le BIT

Une étude de différentes analyses réalisées par le BIT Association internationale de la sécurité sociale Quinzième Conférence internationale des actuaires et statisticiens de la sécurité sociale Helsinki, Finlande, 23-25 mai 2007 Comparaison des hypothèses

Plus en détail

Les Français, l Ecole et le métier d enseignant

Les Français, l Ecole et le métier d enseignant Les Français, l Ecole et le métier d enseignant Quel regard aujourd hui? Date Rapport rédigé par : Jean-Daniel Lévy, Directeur du Département Politique Opinion Magalie Gérard, Directrice de clientèle au

Plus en détail

RENDEZ-VOUS D AUTOMNE DE L ADRECA. 17 novembre 2003

RENDEZ-VOUS D AUTOMNE DE L ADRECA. 17 novembre 2003 RENDEZ-VOUS D AUTOMNE DE L ADRECA 17 novembre 2003 Pascal PICHON LES ASSUREURS RC ONT-ILS PEUR DES RISQUES EMERGEANTS? INTRODUCTION LA RC EN CRISE DEPUIS PLUSIEURS ANNEES HAUSSES TARIFAIRES NOUVELLES POLITIQUES

Plus en détail

Le DSI du futur Rapport d'étude

Le DSI du futur Rapport d'étude Le DSI du futur Rapport d'étude Devenir un catalyseur du changement Partagez ce rapport d'étude Le DSI du futur : Devenir un catalyseur du changement Tandis que la plupart des DSI s accordent à dire que

Plus en détail

LACOURTE NOTE FISCALE OCTOBRE 2012

LACOURTE NOTE FISCALE OCTOBRE 2012 Le projet de Loi de finances pour 2013 présenté en Conseil des Ministres vendredi 28 septembre 2012 constitue la première pierre de l architecture de la politique fiscale du Gouvernement. Il vient bouleverser

Plus en détail

LES FRANÇAIS, L ÉPARGNE & LA RETRAITE

LES FRANÇAIS, L ÉPARGNE & LA RETRAITE 201 LES FRANÇAIS, L ÉPARGNE & LA RETRAITE Jérôme JAFFRÉ Directeur du Centre d Études et de Connaissances sur l Opinion Publique Jean-Pierre GAILLARD Président du Cercle des Epargnants Philippe CREVEL Secrétaire

Plus en détail

Externaliser le système d information : un gain d efficacité et de moyens. Frédéric ELIEN

Externaliser le système d information : un gain d efficacité et de moyens. Frédéric ELIEN Externaliser le système d information : un gain d efficacité et de moyens Frédéric ELIEN SEPTEMBRE 2011 Sommaire Externaliser le système d information : un gain d efficacité et de moyens... 3 «Pourquoi?»...

Plus en détail

Baromètre Inergie-Afci 2012 de la fonction Communication Interne

Baromètre Inergie-Afci 2012 de la fonction Communication Interne Baromètre Inergie-Afci 2012 de la fonction Communication Interne Contact Afci Aurélie Renard Déléguée Générale de l Afci arenard@afci.asso.fr Contacts Inergie Luc Vidal DGA Directeur associé pôle Opinion

Plus en détail

CIVISPHERE.ORG PRO BONO ON DEMAND

CIVISPHERE.ORG PRO BONO ON DEMAND CIVISPHERE.ORG PRO BONO ON DEMAND RESUME Civisphere.org est une application web open-source qui permet aux volontaires, aux associations et aux mécènes de créer, de gérer et d évaluer leurs propres projets

Plus en détail

Une étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris

Une étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris Une étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» A l'initiative de Réalisée par Pour le compte de Une étude basée sur un nombre significatif

Plus en détail

Club Etablissements Financiers & Assurances

Club Etablissements Financiers & Assurances Club Etablissements Financiers & Assurances Enquête sur le thème «PME banque : vers une recomposition de l équilibre relationnel liée aux évolutions réglementaires Bâle III» Présentation des résultats,

Plus en détail

FICHE DE DESCRIPTION DE POSTE SOUS DIRECTION DES PERSONNELS CONTRACTUELS BUREAU DES VOLONTAIRES INTERNATIONAUX RH3D DESCRIPTION DU POSTE

FICHE DE DESCRIPTION DE POSTE SOUS DIRECTION DES PERSONNELS CONTRACTUELS BUREAU DES VOLONTAIRES INTERNATIONAUX RH3D DESCRIPTION DU POSTE FICHE DE DESCRIPTION DE POSTE SOUS DIRECTION DES PERSONNELS CONTRACTUELS BUREAU DES VOLONTAIRES INTERNATIONAUX RH3D ( à retourner dactylographiée 4 mois avant la date de recrutement souhaitée) PAYS : CHINE

Plus en détail

Malgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire

Malgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire Résultats de l enquête Ifop/Wincor sur les relations des Français à leur agence bancaire Malgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire -

Plus en détail

LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ

LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ 3. Les crédits 3.1 Les crédits en cours 3.1.1 Les ménages ayant au moins un crédit en cours Un peu plus du quart, 31%, des ménages en situation de déclarent avoir au moins un crédit en cours. Il s agit

Plus en détail

Baromètre BVA Santé. Vieillissement & Silver économie - Vague 1 - pour Orange Healthcare et MNH

Baromètre BVA Santé. Vieillissement & Silver économie - Vague 1 - pour Orange Healthcare et MNH Baromètre BVA Vieillissement & Silver économie - Vague 1 - pour Orange Healthcare et MNH en partenariat avec le Figaro avec le concours scientifique de la Chaire de Sciences Po Fiche technique Recueil

Plus en détail

Serveur Hôte : Serveur physique configuré et administré par GROUPE PULSEHEBERG.

Serveur Hôte : Serveur physique configuré et administré par GROUPE PULSEHEBERG. Conditions Générales de Vente et d Utilisation (CGV / CGU) Lexique Serveur Hôte : Serveur physique configuré et administré par GROUPE PULSEHEBERG. Hébergement mutualisé : Également appelé hébergement web,

Plus en détail

CONDITIONS GENERALES REGLEMENTANT LE PRET DE MAIN- D ŒUVRE ENTRE ENTREPRISES

CONDITIONS GENERALES REGLEMENTANT LE PRET DE MAIN- D ŒUVRE ENTRE ENTREPRISES CONDITIONS GENERALES REGLEMENTANT LE PRET DE MAIN- D ŒUVRE ENTRE ENTREPRISES Le prêt de main d œuvre est pratiqué de longue date dans le secteur du Bâtiment. Il consiste, de la part d un entrepreneur,

Plus en détail

Management Chapitre 4 La Stratégie I) La notion de stratégie A) Caractéristiques

Management Chapitre 4 La Stratégie I) La notion de stratégie A) Caractéristiques L Management Chapitre 4 La I) La notion de stratégie A) Caractéristiques 1) Définition a stratégie : consiste pour une entreprise, à se fixer des objectifs à long terme et à se donner les moyens de les

Plus en détail

OSEO EXCELLENCE SONDAGE JUILLET 2011. Thème : CONJONCTURE ECONOMIQUE EXTENSION & REBRANDING OSEO CAPITAL PME ECONOMIE : FRANCE ALLEMAGNE

OSEO EXCELLENCE SONDAGE JUILLET 2011. Thème : CONJONCTURE ECONOMIQUE EXTENSION & REBRANDING OSEO CAPITAL PME ECONOMIE : FRANCE ALLEMAGNE OSEO EXCELLENCE SONDAGE JUILLET 2011 BERTRAND ROZE COMMUNITY MANAGER OSEO EXCELLENCE Thème : CONJONCTURE ECONOMIQUE EXTENSION & REBRANDING OSEO CAPITAL PME ECONOMIE : FRANCE ALLEMAGNE Antoine COULOMBEAUX

Plus en détail

LES FRANÇAIS, LEUR BANQUE ET LEUR MOBILE Novembre 2011. BVA Opinion 01 71 16 88 34 Céline BRACQ Directrice adjointe Pierre ALBERT Chargé d études

LES FRANÇAIS, LEUR BANQUE ET LEUR MOBILE Novembre 2011. BVA Opinion 01 71 16 88 34 Céline BRACQ Directrice adjointe Pierre ALBERT Chargé d études LES FRANÇAIS, LEUR BANQUE ET LEUR MOBILE Novembre 2011 BVA Opinion 01 71 16 88 34 Céline BRACQ Directrice adjointe Pierre ALBERT Chargé d études Méthodologie Recueil Enquête réalisée par l Institut BVA

Plus en détail

TRAVAUX DE PLOMBERIE SOMMAIRE

TRAVAUX DE PLOMBERIE SOMMAIRE TRAVAUX DE PLOMBERIE SOMMAIRE LE MARCHÉ DES TRAVAUX DE PLOMBERIE... 2 LA RÉGLEMENTATION DES TRAVAUX DE PLOMBERIE... 5 L'ACTIVITÉ DES TRAVAUX DE PLOMBERIE... 8 LES POINTS DE VIGILEANCE DES TRAVAUX DE PLOMBERIE...

Plus en détail

Étude «analyse, reporting et budget» Niveau d équipement et attentes des PME françaises.

Étude «analyse, reporting et budget» Niveau d équipement et attentes des PME françaises. Étude «analyse, reporting et budget» Niveau d équipement et attentes des PME françaises. Mai 2009 Préface Les PME ont aujourd hui accès aux technologies déjà déployées dans les grandes entreprises. En

Plus en détail

RAPPORT DU COMITE SUR LES SYSTEMES DE COMPENSATION INTERBANCAIRES DES BANQUES CENTRALES DES PAYS DU GROUPE DES DIX

RAPPORT DU COMITE SUR LES SYSTEMES DE COMPENSATION INTERBANCAIRES DES BANQUES CENTRALES DES PAYS DU GROUPE DES DIX BANQUE DES REGLEMENTS INTERNATIONAUX RAPPORT DU COMITE SUR LES SYSTEMES DE COMPENSATION INTERBANCAIRES DES BANQUES CENTRALES DES PAYS DU GROUPE DES DIX Bate Novembre 1990 TABLE DES MATIERES PARTIE A INTRODUCTION

Plus en détail

Un climat des affaires incertain

Un climat des affaires incertain AVRIL 2015 Un climat des affaires incertain Au premier trimestre, 39 % des TPE-PME rhônalpines ont observé une baisse de chiffre d affaires par rapport à la même période de 2014 et seulement 24 % une hausse.

Plus en détail

CONDITIONS PARTICULIERES SITE BUILDER

CONDITIONS PARTICULIERES SITE BUILDER CONDITIONS PARTICULIERES SITE BUILDER Version en date du 28/03/2012 Design : Kit graphique constituant un modèle de site internet. Le Client peut changer le Design de son Site Internet par l intermédiaire

Plus en détail

Les préoccupations des enseignants en 2014

Les préoccupations des enseignants en 2014 Les préoccupations des enseignants en 204 Une profession en quête de valorisation Date Rapport rédigé par : Jean-Daniel Lévy, Directeur du Département Politique Opinion Magalie Gérard, Directrice de clientèle

Plus en détail

UN 1 ER SEMESTRE EN DEMI-TEINTE

UN 1 ER SEMESTRE EN DEMI-TEINTE 2015 UN 1 ER SEMESTRE EN DEMI-TEINTE Activité : reprise modérée Emploi : contraction des effectifs Contrairement à leurs prévisions de novembre dernier, les PME de la région anticipent un développement

Plus en détail

Les Très Petites Entreprises du secteur Construction en Rhône-Alpes

Les Très Petites Entreprises du secteur Construction en Rhône-Alpes Les Très Petites Entreprises du secteur Construction en Rhône-Alpes Un tissu d entreprises en mutation Edition 2012 Septembre 2012 1 SOMMAIRE I. Caractéristiques des Très Petites Entreprises du BTP en

Plus en détail

POUR. Contact Generix Group : Mike Hadjadj Directeur Marketing & Communication Tél. : 01 77 45 43 41 mhadjadj@generixgroup.com

POUR. Contact Generix Group : Mike Hadjadj Directeur Marketing & Communication Tél. : 01 77 45 43 41 mhadjadj@generixgroup.com FM/BS N 110461 Contact Ifop : Frédéric Micheau Département Opinion et Stratégies d'entreprise frederic.micheau@ifop.com 35 rue de la gare 75019 Paris Tél : 01 45 84 14 44 Fax : 01 45 85 59 39 Contact Generix

Plus en détail

Objet : Proposition de partenariat avec le Fastt

Objet : Proposition de partenariat avec le Fastt Objet : Proposition de partenariat avec le Fastt Madame, Monsieur, Le Fastt (www.fastt.org), est une association (Loi 1901) paritaire, créée en 1992 par les partenaires sociaux de la branche professionnelle

Plus en détail

COMPTE RENDU DU QUESTIONNAIRE DE SATISFACTION

COMPTE RENDU DU QUESTIONNAIRE DE SATISFACTION CIG Service Prestataire COMPTE RENDU DU QUESTIONNAIRE DE SATISFACTION Enquête effectuée du 1 er janvier au 31 août 2013 Madame Bara Responsable du Service Prestataire Janvier 2014 Version du 05/03/2014

Plus en détail

Baromètre UDA-CSA de la communication d entreprise - 2007 - Edition 6

Baromètre UDA-CSA de la communication d entreprise - 2007 - Edition 6 Baromètre UDA-CSA de la communication d entreprise - 2007 - Edition 6 Tous droits réservés Union des annonceurs. Toute reprise, même partielle, doit être accompagnée de la mention "Baromètre UDA-CSA sur

Plus en détail

Observatoire Gleeden de l infidélité

Observatoire Gleeden de l infidélité 16 janvier 2014 N 111 730 Enquêtes auprès d un échantillon national représentatif de 804 Français âgés de 18 ans et plus Contacts : 01 72 34 94 64 / 94 13 François Kraus / Anne-Sophie Vautrey Prenom.nom@ifop.com

Plus en détail

SUR LES RETRAITES PAR REPARTITION DU SECTEUR PRIVE ET LES FONDS DE PENSION

SUR LES RETRAITES PAR REPARTITION DU SECTEUR PRIVE ET LES FONDS DE PENSION DOSSIER RETRAITES: MAI 2003 SUR LES RETRAITES PAR REPARTITION DU SECTEUR PRIVE ET LES FONDS DE PENSION 1. LE SYSTEME DE RETRAITES PAR REPARTITION 1.1. INTRODUCTION Les régimes de retraites des travailleurs

Plus en détail

Crédit à la consommation, un bon outil pour la rentrée?

Crédit à la consommation, un bon outil pour la rentrée? Crédit à la consommation, un bon outil pour la rentrée? Contexte Empruntis intervient sur le crédit depuis 15 ans 370 000 ménages nous sollicitent chaque année pour leur besoin en crédit à la consommation

Plus en détail

Les Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie

Les Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie Les Français et les nuisances sonores Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie RB/MCP N 112427 Contacts Ifop : Romain Bendavid / Marion Chasles-Parot Département Opinion

Plus en détail

ANALY ANAL S Y E S PR

ANALY ANAL S Y E S PR ANALYSE PROSPECTI IVE DES MÉTIERS DU BÂTIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS AUDA BATIMENT MÉTIERS DE LA PLOMBERIE NOVEMBRE 2014 1 1. L emploi 1 086 plombiers en 20122 soit 4% des salariéss de la production du

Plus en détail

Valoriser durablement votre patrimoine immobilier en optimisant sa performance énergétique.

Valoriser durablement votre patrimoine immobilier en optimisant sa performance énergétique. Valoriser durablement votre patrimoine immobilier en optimisant sa performance énergétique. L audit de performance énergé Gérer son patrimoine, c est anticiper, analyser et agir! L immobilier représente

Plus en détail

La mobilité des demandeurs d emploi et des stagiaires en formation

La mobilité des demandeurs d emploi et des stagiaires en formation La mobilité des demandeurs d emploi et des stagiaires en formation (Synthèse) Enquête réalisée dans le cadre du projet Concert Action Septembre 2011 La mobilité des demandeurs d emploi et des stagiaires

Plus en détail

Programme «financement» - Partie I Données de cadrage

Programme «financement» - Partie I Données de cadrage Programme «financement» - Partie I Données de cadrage Indicateur n 4 : Évolution de la structure des recettes du régime général et des régimes d assurances sociales des administrations de sécurité sociale

Plus en détail

Plan stratégique 2012-2016 Vision du marché

Plan stratégique 2012-2016 Vision du marché 2013 Plan stratégique 2012-2016 Vision du marché Table des matières 1 Actualisation de la vision du marché w p. 3 2 Impact de l ANI du 11 janvier 2013 pour le marché de la complémentaire p. 14 santé 2

Plus en détail

LA REFORME DES PRESCRIPTIONS CIVILES

LA REFORME DES PRESCRIPTIONS CIVILES LA REFORME DES PRESCRIPTIONS CIVILES Plus de 250 régimes de prescription différents selon la cour de cassation, des délais souvent inadaptés, des points de départ différents, des divergences importantes

Plus en détail

Notes afférentes aux états financiers consolidés (sauf indication contraire, tous les montants sont en millions de dollars canadiens)

Notes afférentes aux états financiers consolidés (sauf indication contraire, tous les montants sont en millions de dollars canadiens) (sauf indication contraire, tous les montants sont en millions dolrs canadiens) La publication s états financiers consolidés a été autorisée par le conseil d administration le 23 mai 2012. NOTE 1 NATURE

Plus en détail

Processus de validation des coûts à l appui de l attestation par l DPF

Processus de validation des coûts à l appui de l attestation par l DPF ASSISTANT DEPUTY MINISTER (FINANCE AND CORPORATE SERVICES) SOUS-MINISTRE ADJOINT (FINANCES ET SERVICES DU MINISTÈRE) Processus de validation des coûts à l appui de l attestation par l DPF Allan Weldon!

Plus en détail

Le Plan de Continuité d Activité (PCA / BCP)

Le Plan de Continuité d Activité (PCA / BCP) Le Plan de Continuité d Activité (PCA / BCP) Comment le mettre en œuvre et vérifier qu il restera opérationnel? Bruno KEROUANTON RSSI Clear Channel France - CISSP 16 juin 2004 - Paris Introduction, définitions

Plus en détail

Les Français ais et l assurance l

Les Français ais et l assurance l Mai 2013 Contacts: 01 45 84 14 44 Jérôme Fourquet Magalie Gérard prénom.nom@ifop.com Les Français ais et l assurance l santé pour Note méthodologique Etude réalisée pour : Groupama Assurances Echantillon

Plus en détail

Le mécénat des PME et PMI dans le secteur de l environnement

Le mécénat des PME et PMI dans le secteur de l environnement Le mécénat des PME et PMI dans le secteur de l environnement Premiers éléments pour une approche territoriale www.cnarenvironnement.org CNAR-Environnement - 2 Sommaire Introduction 5 I. Où en est le mécénat

Plus en détail

P0 AUTO-ENTREPRENEUR DECLARATION DE DEBUT D'ACTIVITE RESERVE AU CFE U

P0 AUTO-ENTREPRENEUR DECLARATION DE DEBUT D'ACTIVITE RESERVE AU CFE U P0 AUTO-ENTREPRENEUR DECLARATION DE DEBUT D'ACTIVITE RESERVE AU CFE U PERSONNE PHYSIQUE Début d'activité profession libérale Exemplaire destiné au Déclarant Déclaration n U6701I991150 reçue le transmise

Plus en détail

UE 4 Comptabilité et Audit. Le programme

UE 4 Comptabilité et Audit. Le programme UE 4 Comptabilité et Audit Le programme Légende : Modifications de l arrêté du 8 mars 2010 Suppressions de l arrêté du 8 mars 2010 Partie inchangée par rapport au programme antérieur 1. Information comptable

Plus en détail

CODES DE BONNE CONDUITE : QUAND LES SOCIETES JOUENT A L APPRENTI LEGISLATEUR

CODES DE BONNE CONDUITE : QUAND LES SOCIETES JOUENT A L APPRENTI LEGISLATEUR CODES DE BONNE CONDUITE : QUAND LES SOCIETES JOUENT A L APPRENTI LEGISLATEUR Marie Brac Allocataire de rechercheà l Université Paris-X Nanterre 1. Actuelement, un nombre important d entreprises 1 se dotent

Plus en détail

A. Le contrôle continu

A. Le contrôle continu L audit d achat est une action volontaire décidée par l entreprise avec pour objet d apprécier la qualité de l organisation de sa fonction achats et le niveau de performance de ses acheteurs. L audit achat

Plus en détail

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité

Plus en détail

Offre(s) d emploi / stages / service civique : Dernière mise à jour le 3 juillet 2015 (4 annonces)

Offre(s) d emploi / stages / service civique : Dernière mise à jour le 3 juillet 2015 (4 annonces) Offre(s) d emploi / stages / service civique : Dernière mise à jour le 3 juillet 2015 (4 annonces) 03/07/2015 1/16 CONTRATS A DUREE INDETERMINEE 03/07/2015 2/16 LE FOYER NOTRE-DAME DES SANS-ABRI recrute,

Plus en détail

Atelier Campagne Marketing social

Atelier Campagne Marketing social Atelier Campagne Marketing social Vous devez mettre sur pied, au cours de ce bref atelier, une campagne de marketing social. Vous devrez aussi justifier vos activités de communication. Le nom d une organisation

Plus en détail

L observatoire «Entreprise et Santé»

L observatoire «Entreprise et Santé» LA SOCIÉTÉ D ÉTUDES ET DE CONSEIL L observatoire «Entreprise et Santé» Viavoice Harmonie Mutuelle en partenariat avec Le Figaro et France Info Enquête auprès des salariés et des dirigeants d entreprise

Plus en détail

BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES

BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES 1 er et 2 ème trimestres 2010 Note semestrielle N 1 BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES 1. CHIFFRE D AFFAIRES TOTAL DES CENTRES D AFFAIRES Chiffre d affaires total / surface totale

Plus en détail

Baromètre santé 360 La santé connectée Janvier 2015

Baromètre santé 360 La santé connectée Janvier 2015 Baromètre santé 360 La santé connectée Janvier 2015 Sondage réalisé par pour et publié en partenariat avec et avec le concours scientifique de la Publié le 19 janvier 2015 Levée d embargo le 19 janvier

Plus en détail

Le Baromètre de l économie. BVA - BFM - La Tribune - The Phone House

Le Baromètre de l économie. BVA - BFM - La Tribune - The Phone House Mai 2008 Le Baromètre de l économie BVA - BFM - La Tribune - The Phone House Les indices de confiance BVA - BFM - La Tribune - The Phone House Impact de la crise financière internationale sur l attitude

Plus en détail

Les internautes et les comparateurs de prix

Les internautes et les comparateurs de prix FM N 19410 Contact L Atelier : Sandra Edouard Baraud Tél : 01 43 16 90 22 sandra.edouardbaraud@atelier.net, Contact Ifop : Frédéric Micheau Tél : 01 45 84 14 44 frederic.micheau@ifop.com pour Les internautes

Plus en détail

Observatoire Orange Terrafemina vague 14. La ville connectée. Sondage de l institut CSA

Observatoire Orange Terrafemina vague 14. La ville connectée. Sondage de l institut CSA Observatoire Orange Terrafemina vague 14 La ville connectée Sondage de l institut CSA Fiche technique du sondage L institut CSA a réalisé pour Orange et Terrafemina la 14 ème vague d un baromètre portant

Plus en détail

Baromètre Santé & Société - Europ Assistance / CSA 2013 : 7 ème vague du baromètre. 15 octobre 2013

Baromètre Santé & Société - Europ Assistance / CSA 2013 : 7 ème vague du baromètre. 15 octobre 2013 2013 : 7 ème vague du baromètre 15 octobre 2013 Contexte, objectifs et méthodologie 2 Objectifs de l étude En 2006, le Groupe Europ Assistance et le Cercle Santé Société lançaient, avec l institut CSA,

Plus en détail

Baromètre Ciel de la Création et de l Informatisation des Petites Entreprises

Baromètre Ciel de la Création et de l Informatisation des Petites Entreprises dxhnfjkmdqsjkfgvw Baromètre Ciel de la Création et de l Informatisation des Petites Entreprises Paris, le 05 mai 2010 Pour la 3ème année consécutive, Ciel, N 1 français des logiciels de gestion pour petites

Plus en détail

RÈGLES DE FONCTIONNEMENT RELATIVES À LA NÉGOCIATION DANS LA FONCTION PUBLIQUE UNITÉ «FONCTIONNAIRES»

RÈGLES DE FONCTIONNEMENT RELATIVES À LA NÉGOCIATION DANS LA FONCTION PUBLIQUE UNITÉ «FONCTIONNAIRES» RÈGLES DE FONCTIONNEMENT RELATIVES À LA NÉGOCIATION DANS LA FONCTION PUBLIQUE UNITÉ «FONCTIONNAIRES» Adoptées par le Conseil syndical du 14 juin 2013 25-CS-02 Amendées par le Conseil syndical des 15 et

Plus en détail

«Les enjeux du SIRH pour les trois années à venir» Le mercredi 14 mars 2012 19h Musée de la poste

«Les enjeux du SIRH pour les trois années à venir» Le mercredi 14 mars 2012 19h Musée de la poste «Les enjeux du SIRH pour les trois années à venir» Le mercredi 14 mars 2012 19h Musée de la poste Programme Conférence animée par Carole Blancot - Directrice Conseil - SpotPink 19h15 19h30 : Présentation

Plus en détail

Patrick K. N'Gouan TRESOR PUBLIC EN CÖTE D'IVOIRE. Des origines ä nos jours. Preface de Joseph Y. Yao

Patrick K. N'Gouan TRESOR PUBLIC EN CÖTE D'IVOIRE. Des origines ä nos jours. Preface de Joseph Y. Yao Patrick K. N'Gouan TRESOR PUBLIC ET POLITIQUE FINANCIERE EN CÖTE D'IVOIRE Des origines ä nos jours Preface de Joseph Y. Yao L'Harmattan TABLE DES MATIERES Avant-propos 7 Preface 9 Sigles et abreviations

Plus en détail

ACCORD D ENTREPRISE RELATIF A LA JOURNEE DE SOLIDARITE En date du 24 avril 2006

ACCORD D ENTREPRISE RELATIF A LA JOURNEE DE SOLIDARITE En date du 24 avril 2006 ACCORD D ENTREPRISE RELATIF A LA JOURNEE DE SOLIDARITE En date du 24 avril 2006 Entre les soussignés : Société GRANDOPTICAL France, dont le siège social est situé au 18 Parc Ariane 3 5 rue Alfred Kastler

Plus en détail

COURTIER ET AGENT D ASSURANCE

COURTIER ET AGENT D ASSURANCE COURTIER ET AGENT D ASSURANCE SOMMAIRE LE MARCHÉ DU COURTIER ET AGENT D ASSURANCE... 2 LA RÉGLEMENTATION DU COURTIER ET AGENT D ASSURANCE... 4 L'ACTIVITÉ DU COURTIER ET AGENT D ASSURANCE... 7 LES POINTS

Plus en détail

L immobilier de bureaux : L attractivité des métropoles françaises. Regard croisé salariés et dirigeants d entreprise SIMI DÉCEMBRE 2014

L immobilier de bureaux : L attractivité des métropoles françaises. Regard croisé salariés et dirigeants d entreprise SIMI DÉCEMBRE 2014 L immobilier bureaux : L attractivité s métropoles françaises Regard croisé salariés et dirigeants d entreprise SIMI DÉCEMBRE 2014 Méthodologie SIMI DÉCEMBRE 2014 Méthodologie Etu réalisée auprès ux échantillons

Plus en détail

Enquête 2013-2014 sur les ressources numériques en bibliothèque publique

Enquête 2013-2014 sur les ressources numériques en bibliothèque publique Enquête 2013-2014 sur les ressources numériques en bibliothèque publique Ministère de la Culture et de la Communication Direction générale des médias et des industries culturelles Service du livre et de

Plus en détail

1. STRUCTURATION FEDERALE BI POLAIRE

1. STRUCTURATION FEDERALE BI POLAIRE ADDITIF EXPLICATIF 1. STRUCTURATION FEDERALE BI POLAIRE Organisation de deux «secteurs» clairement identifiés dans leurs objectifs et missions. Sous la responsabilité d un pilotage unique, ces deux «secteurs»

Plus en détail

Les Français et l assurance santé

Les Français et l assurance santé Mai 2013 Contacts : 01 45 84 14 44 Jérôme Fourquet Magalie Gérard prénom.nom@ifop.com Les Français et l assurance santé pour Note méthodologique Etude réalisée pour : Groupama Assurances Echantillon :

Plus en détail

Projet de loi n o 20

Projet de loi n o 20 Loi édictant la Loi favorisant l accès aux services de médecine de famille et de médecine spécialisée et modifiant diverses dispositions législatives en matière de procréation assistée Mémoire présenté

Plus en détail

Baromètre Union des Maisons Françaises

Baromètre Union des Maisons Françaises Baromètre Union des Maisons Françaises Juillet 2010 vague 8 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris Cedex 02 Tél. : (33) 01 44 94 40 00 Fax : (33) 01 44 94 40 01 www.csa.eu SA au capital de 1 571 600 Siren

Plus en détail

LE MÉCÉNAT D ENTREPRISE EN FRANCE. Résultats de l enquête Admical - CSA

LE MÉCÉNAT D ENTREPRISE EN FRANCE. Résultats de l enquête Admical - CSA LE MÉCÉNAT D ENTREPRISE EN FRANCE Résultats de l enquête Admical - CSA 2012 ADMICAL Carrefour du mécénat d entreprise est une association fondée en 1979 pour promouvoir la pratique du mécénat d entreprise.

Plus en détail

CFDT, representee par Messieurs Christian GUITTER, Christophe VEILLON et Jean-Luc FEUILLAS

CFDT, representee par Messieurs Christian GUITTER, Christophe VEILLON et Jean-Luc FEUILLAS Accord relatif a Ia prevoyance complementaire Entre d'une part La Caisse Regionale d'assurances Mutuelles Agricoles de Bretagne et des Pays de Ia Loire dont le Siege Social est situe 23 Boulevard Solferino

Plus en détail