COMPTE-RENDU DES ATELIERS 1 & 2 AVEC LES CONCERTATION AUTOUR DU PROJET DE REINTRODUCTION DU PLAISANCIERS LAMANTIN DANS LES EAUX DE GUADELOUPE
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- Jean-Bernard Beauregard
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1 PARC NATIONAL DE GUADELOUPE Montéran BP Saint-Claude CONCERTATION AUTOUR DU PROJET DE REINTRODUCTION DU LAMANTIN DANS LES EAUX DE GUADELOUPE Rapport n P2AV-R0151/13/CG du 15 avril 2013 (V1) COMPTE-RENDU DES ATELIERS 1 & 2 AVEC LES PLAISANCIERS
2 RÉUNION PLAISANCE AU MARLIN CLUB 20/02 Réunion ouverte, environ 60 participants. Les questions/préoccupations soulevées dans la réunion sont les suivantes : - les loueurs ont besoin d être informés sur le projet. Des ateliers de concertation pour les loueurs seraient souhaités. - le projet n est pas connu par la majorité des participants, seuls 10 ont déjà participés à une réunion d information et d échanges. Ce manque d information est reproché au Parc National. Certains plaisanciers soulignent que la capitainerie peut leur transmettre des informations et serait un bon canal de communication. - les questionnements réguliers sur la biologie du lamantin reviennent : que mange-t-il? Comment l herbier va-t-il supporter l arrivée de l animal? Aussi sur le projet : d où viennent les lamantins? Combien sont-ils? Où seront-ils réintroduits? - le projet est déjà ficelé sans les usagers du Grand Cul de Sac. L assistance perçoit le projet comme une décision unilatérale qui ne prend pas en compte leur avis. - il est régulièrement souligné par l auditoire que le Parc national va interdire la navigation aux plaisanciers dans certaines zones et/ou réduire la vitesse, leur rendant l accès aux ilets du GCSM plus difficile. Les participants veulent donc savoir quel est l impact de la réintroduction du lamantin sur leurs loisirs. - la responsabilité en cas d accident avec un lamantin est posée : le plaisancier doit-il payer? - afin de limiter les risques de collision avec les lamantins et être sûr d avoir un accès aux ilets les plaisanciers sollicitent le Parc pour mettre en place des chenaux de navigation. La Direction de la Mer précise que le balisage est de leur compétence, non celle du Parc. Les pêcheurs à la mouche, peu nombreux, ne se retrouvent pas dans la vision décrite par les plaisanciers prenant la parole. Ils sont en demande d informations car ils pêchent dans des zones qui pourront vraisemblablement attirer le lamantin (embouchures de rivière, zones d herbiers de faible profondeur). Malgré cette interaction possible ils ne sont pas défavorables au projet, et souhaitent plutôt trouver des solutions pour continuer leur passion sans être pénalisés et déranger l animal. Ils souhaitent donc discuter dans un climat plus apaisé avec le Parc. Une réunion de concertation pourrait être réalisée avec eux. Un participant note qu il serait aussi intéressant d informer les bateaux écoles, afin de pouvoir parler du lamantin lors de la formation des futurs plaisanciers. Les représentants du Parc national ont tenté d apporter des éléments de réponse à toutes ces questions et proposé des pistes de travail pour la suite de la concertation. Les personnes intéressées par la participation à des ateliers de travail sur le projet sont invitées à s inscrire et laisser leurs coordonnées. 2
3 Nom/Prénom structure/assoc iation Bernard Vonesch Marlin Club Activité nautique pratiquée mail téléphone présent 20/02 pêche à la mouche x présent 27/03 Agnes Guillen plaisanciers agnesguillen@hotmail.com x Reynald Pasquier président Marlin club pêche / plaisance reynald.p@pharmed.fr x x Didier Goldscheider plaisanciers didier.goldscheider@orange.fr x Jean Luc de Poyen plaisance jeanluc.depoyen@orange.fr x x Jean Longieras plaisancier jean.longieras@orange.fr x excusé Pascal Lanfroid pln.ligier@orange.fr x x Maurice Philis plaisancier x x Mathhieu Gentilhomme Winston Turney Frédéric Lacour Gwadafly guide de pêche à la mouche matthieu@gwadafly.com x x président Guadeloupe fishing club pêche au gros winston.turney@wanadoo.fr x excusé West Indies Marine plaisancier flacour@ats groupe.com x excusé Patrick Devichet plaisancier pdv971@gmail.com x Patrick Arnoux plaisancier patrick.arnoux587@orange.fr x Jean Pierre Constantini plaisancier x Auger C. plaisancier x Guy Thorin plaisancier guythorin@hotmail.com x Le Moal Christian location bateau loueur agnesguillen@hotmail.com x BLONDEL Florence Caraibes Nautisme SARL loueur caraibesnautisme@gmail.com x Hervé de Laroche Karuloc loueur x Laurent Coraux loueur coraux82@yahoo.fr x 3
4 PREMIER ATELIER DE CONCERTATION PLAISANCE 27/03 Présents Jean Luc de Poyen Reynald Pasquier Matthieu Gentilhomme Maurice Philis Guy Thorin Pascal Lanfroid Magnin Hervé Regis Gomès Lerebours Boris Iribaren Muriel Gully Charlotte Structure Plaisancier Président du Marlin Club Guide de pêche à la mouche Plaisancier, réparateur de bateaux Plaisancier Plaisancier PNG PNG PNG Caraïbes Environnement Caraïbes Environnement L atelier est introduit par une présentation du Parc national sur le projet lamantin. Les participants réagissent à de nombreuses reprises pour avoir plus d informations : - va-t-on construire un «hôpital» pour lamantin? Le Parc national précise qu en effet un centre de soin sera créé. - la qualité de l eau est-elle assez bonne? Le canal des Rotours semble pollué pour certains plaisanciers, le site de la Grande Rivière à Goyave leur parait bien adapté. Le Parc national précise que des analyses de qualité de l eau ainsi que des herbiers et sédiments associés ont été réalisées et que le milieu est favorable. - d où viendront les lamantins réintroduits? Le Parc national indique que le dialogue est engagé avec plusieurs pays notamment la Colombie et le Mexique. D autres pays pourraient être visés comme le Brésil, le Belize ou Cuba. La Guyane française possède aussi des lamantins qui pourraient venir compléter la population fondatrice de Guadeloupe. Les participants donnent aussi leur avis sur le projet, résumés dans le paragraphe suivant. Les craintes, mais aussi les avantages vu par les participants à l atelier sont formalisés par écrit, affichés et commentés, voir débattus. 4
5 Question de réflexion : Quelles sont vos craintes concernant le projet? Et les avantages? Les craintes concernant le projet sont de plusieurs ordres : - craintes concernant l animal : «Il y a trop peu de chance de survie à cause de la pollution et des accidents (surtout avec la navigation de nuit)» «La quantité d herbier est-elle suffisante?» Un plaisancier se soucie des impacts écologiques du lamantin sur le milieu, notamment sur le long terme. Le Parc National précise que études réalisées permettent de montrer qu il n y aura pas de préjudice au stock d herbiers. Que si c était le cas (surpopulation engendrant une pression sur le milieu) alors des mesures seraient prises. Afin de lever ces craintes des préconisations sont émises par les participants : - pourquoi ne pas élaborer une appli téléphone pour indiquer la zone de localisation des animaux (les participants nuancent toutefois en précisant que cela peut avoir des effets pervers comme générer des attroupements autours des animaux). La nécessité d informer sur de larges zones fréquentées par le lamantin est donc convenue. - craintes concernant la plaisance : «Interdiction de naviguer», «une vitesse dans le GCSM limitée», ces craintes portent donc sur toutes les règles qui pourraient être mises en place avec l arrivée du lamantin et qui priveraient de liberté les plaisanciers. Il est souligné que si le projet impacte cette activité, cela peut avoir un impact économique sur le secteur de la plaisance. Le Parc national répond qu à ce jour aucune règlementation supplémentaire que celle déjà existante n est envisagée concernant la navigation. Le jet ski est aussi vecteur de préoccupations : cette activité est-elle source de nuisances particulière pour les animaux? Est-elle plus dangereuse que les bateaux? Faire respecter la règlementation qui existe déjà semble le plus important concernant cette activité. 5
6 «Quels sont les risques en cas de collision avec le lamantin?» Le risque identifié est surtout juridique (le risque d endommagement de l embarcation semble faible). Le Parc national précise que des sanctions ne seront prises que si la destruction est volontaire. «Les administratifs du parc vont partir et laisser tomber la population et les lamantins» Les plaisanciers ont une vision long terme du projet. Les premières années avec quelques lamantins dans le lagon semble peu problématique, l augmentation de leur nombre fait craindre aux plaisanciers la nécessité de prendre des mesures restrictives pour la plaisance. Cette perception est liée au vécu des plaisanciers qui ont vu la fréquentation des milieux naturels être réglementée avec l arrivée du Parc national ou de la réserve naturelle de Petite Terre. La mise en réserve et la règlementation du nombre de mouillage sur cet îlot a été vécue comme une privation de droit des plaisanciers locaux, au bénéfice des prestataires de tourisme. Le Parc National précise qu en effet, on ne peut pas prédire que sera la situation dans 15 ou 20 ans et les besoins de règlementation qui pourraient aller avec une population grandissante. Les autres réponses émises concernent plus un jugement des personnes présentes sur le projet, que des craintes : «Le projet coute trop cher, il y a d autres choses à faire avec cet argent». D autres participants répondent que cela n est pas grave, si des fonds existent dédiés à la biodiversité et au lamantin, autant les capter en Guadeloupe. «Le projet ne rapporte pas assez à la Guadeloupe, les guadeloupéens sont contres». Il est rappelé qu un sondage d opinion (IPSOS, juin 2012) montre qu à 80% la population est favorable au projet. Les usagers de la baie ne remettent pas en cause ce résultat mais pensent qu ils auraient du être consultés en priorité, ayant une vision bien différente du reste de la population qui fréquente peu le GCSM. «Le projet est déjà ficelé sans avoir consulté les usagers» Les personnes présentes font ainsi part de leur souhait d être mieux informés et écoutés. C est l objectif des réunions qui sont menées avec le Marlin club. Un dialogue dans la durée avec les plaisanciers est souhaité et peut se mettre en place. Les participants pointent ainsi du doigt la nécessité d avoir une communication ciblée sur le monde de la plaisance. L envoie d une newsletter est souhaité. Le Marlin club pourrait aussi retransmettre des informations aux adhérents. L assistance a tout de même relevé des avantages au projet : - le développement touristique. Il est noté que les touristes ont déjà connaissance du projet et posent des questions à ce sujet. Quelques échanges sont réalisés à propos du fait que les lamantins seront probablement difficiles à voir les premières années : cela ne risque-t-il pas de décevoir et faire retomber l attractivité du projet? Plusieurs participants en doutent et précisent que le lamantin peut être un emblème et qu on 6
7 peut faire de la communication à son sujet même si peu de personnes ont l occasion de l apercevoir. Une certaine prudence doit donc être de mise au niveau de la communication. Il est aussi noté que le projet doit bénéficier au maximum à la population locale : implication des pêcheurs, des prestataires du tourisme - Le projet est un levier pour la préservation du GCSM, aussi bien dans le sens de la gestion des milieux, la communication et sensibilisation environnementale que dans le fonctionnement biologique même de la zone (nouveau maillon dans la chaine alimentaire). Enfin ce projet pourrait être un moyen de justifier la mise en place d un balisage, utile surtout pour les loueurs. Ce point est sujet à débat parmi les participants, une réflexion sur les forces et faiblesses d un balisage est donc menée. 7
8 Question de réflexion : quelles sont les forces et faiblesses d un balisage Pour Cela va empêcher les usagers d aller dans les zones à lamantin. La concentration du trafic va probablement tenir éloigné le lamantin de ces couloirs (la zone de la Boucan semble notamment très fréquentée et peu éloignée d un site de pré lacher) Plus généralement, les arguments en faveur d'un balisage sont éloignés des préoccupations concernant le lamantin : Les plaisanciers payent déjà une taxe pour le balisage et aimeraient en voir une utilisation concrète L intégralité des participants s accordent à dire que c est un confort, pas une nécessité et que cela servirait surtout pour les touristes ou plaisanciers occasionnels louant des bateaux Le tracé avancé serait : Rivière Salée/Les ilets/sainte Rose Contre les routes de navigations sont bien connues les hauts fonds sont déjà marqués avec des piquets ce n est pas au Parc National qu il faut réclamer un balisage, cela n a rien à voir avec le lamantin Certains perçoivent le projet lamantin comme un moyen d appuyer une demande des plaisanciers pour un balisage de la baie. D autres pensent qu il ne faut pas essayer de profiter du projet pour récupérer des fonds pour du balisage non justifié par la présence du lamantin. Les participants s accordent finalement sur le fait que si une demande doit être soutenue il faut le faire devant la Direction de la Mer et non le Parc national. Le Parc national peut toutefois appuyer la demande, la mise en place de couloirs de navigation pouvant diminuer les dommages sur le milieu naturel, et le risque de collision pour le lamantin. Les participants s accordent sur le fait que sans aller jusqu à un balisage de couloirs de navigation remplacer les piquets marquant les hauts fonds par des bouées serait une amélioration de la sécurité de la navigation dans le GCSM. 8
9 Conclusion de l atelier Les participants concluent que la concertation au sein du monde de la plaisance est à améliorer (au sens large, pas uniquement pour le projet lamantin) et qu il faut profiter des instances où la parole est donnée à la société civile pour faire remonter leurs avis et doléances. Concernant le projet lamantin, une communication sur l avancée du projet est souhaitée. Un deuxième atelier de concertation ne semble pas nécessaire. Les préoccupations des plaisanciers ayant bien été entendues par le Parc national. 9
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