«Les conflits d intérêts» 7 octobre 2011

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "«Les conflits d intérêts» 7 octobre 2011"

Transcription

1 «Les conflits d intérêts» 7 octobre 2011 Le point de vue d un KOL dans sa pratique : Dr. E. LUPORSI. Le cadre juridique actuel : T. CASAGRANDE - ANALYS Santé. La problématique de l industrie pharmaceutique : comment le marketing et le réglementaire peuvent approcher les KOL? Vers de nouveaux rapports industrie/kol. Qui est PROD AREV? L Agence PROD AREV, Agence scientifique spécialisée dans la constitution de Boards d Experts a réalisé en mars 2011, une enquête auprès de 200 KOL suite à l affaire MEDIATOR*. Trois grandes thématiques étaient couvertes dans cette enquête : - Quelle image ont les Leaders de l industrie pharmaceutique? - Quelle perception ont-ils de la communication émanant des Laboratoires? - Quelle perception ont-ils des Boards? Les résultats de cette enquête* ont mis en exergue un certain nombre de questions que se posent aujourd hui nos Leaders hospitalo-universitaires. - Quelle définition du conflit d intérêts? - Lien d intérêts / Conflit d intérêts? - Quelle relation entre industrie pharmaceutique et experts? - Que doit-on déclarer comme conflits d intérêts? - Quels sont les risques encourus? Toutes ces questions ont été abordées au cours du 5 ème petit déjeuner mensuel «Les Matins de PROD AREV» par 2 experts : le Dr E. LUPORSI (oncologue à Nancy) et Mr T. CASAGRANDE, juriste spécialisée dans la santé. * L Agence est disponible pour venir vous présenter cette enquête si vous le souhaitez

2 I POINT DE VUE DU KOL : Dr Elisabeth LUPORSI - Centre d Investigation Clinique de cancérologie (CICC) - CHU Nancy CAV - Méthodologiste dans les Recommandations de Saint Paul (cancer du sein, soins de support). Où se situe la barrière entre lien et conflit d intérêt? Le médecin doit d abord être porteur d une éthique personnelle. Les Leaders d Opinion ont besoin de collaborer avec l industrie pharmaceutique dans le but premier de soigner le patient : partenariat incontournable dans le développement de nouvelles molécules par le biais de la recherche clinique. Un objectif secondaire est de financer la Recherche clinique et le Formation Médicale Continue. Quand apparait le conflit d intérêt? Il apparaît quand les objectifs secondaires passent avant les intérêts principaux (cf tableau). Le partenariat soignants/industriels Le point de vue du soignant Le point de vue de l industriel Mission Traiter au quotidien ses patients Augmenter le bénéfice de l entreprise Intérêts principaux du partenariat Intérêts secondaires du partenariat Avoir des nouveaux traitements Participer à des protocoles de recherche Assurer sa formation continue Améliorer les soins des patients Financement Recherche et FMC Visibilité de l institution Apporter de nouvelles molécules et les commercialiser Impliquer les équipes de recherche dans le développement des nouvelles molécules Communiquer sur la recherche et le développement de l industrie Valorisation médicale des investissements de recherche et développement Partenariat incontournable Situation à risque si les intérêts secondaires passent en intérêts principaux Il peut y avoir un conflit d intérêt

3 Quelques conseils du point de vue du Leader, pour éviter les conflits d intérêts : Faire signer une déclaration : peu de valeur aujourd hui, Apporter une réglementation, mais pas de sanction morale, Accepter un regard extérieur : L intérêt de la multidisciplinarité. - Dans les recommandations, le niveau de preuve dépend du comité de concertation qui est multidisciplinaire. Si l on adopte une méthodologie rigoureuse, il y a protection de l entourage décisionnel et respect des jugements rendus. Par cette rigueur, montrer aux autorités de santé que la probité existe : transparence, exclusion possible d un des membres. La déclaration de conflits est un engagement sur l honneur, daté et signé qui repose sur l analyse objective du médecin à déterminer s il y a conflits d intérêts. Comment éviter les conflits d intérêts? Multiplier les sources financières (participer à différents boards), Augmenter le nombre d experts et la multidisciplinarité, Ne pas diffuser les recommandations avant la publication, Faire intervenir des sociétés savantes : passage obligatoire, Protéger les documents produits, Utiliser en pratique clinique des documents officiels validés par le groupe de travail, Présenter les RCP uniquement par les membres du groupe de travail, Mieux identifier les objectifs des industriels pour prévoir les dérives possibles, Essais cliniques : rigueur dans la méthodologie utilisée. En conclusion : Transparence : déclarer même s il n y a pas de rémunération Regard extérieur Réflexion transversale Voici en réponse l éclairage de notre expert juridique aux Experts : Jouez le jeu déclaratif. Distinguez les rôles de : - Conseil (objectif : mener au succès) pour une agence ou un laboratoire et - Expertise (objectif : se prononcer en toute indépendance et impartialité) pour les services publics => exigences fortes. Transmettez vos contrats au Conseil de l Ordre dans le mois suivant la signature, Prenez connaissance des chartes de déontologie et modalités de gestion des conflits des organismes avec qui vous collaborez : ils peuvent fixer des exigences strictes (ex : HAS), Actualisez vos déclarations d intérêts.

4 II LE CADRE JURIDIQUE ACTUEL : Thierry CASAGRANDE Juriste ANALYS Santé Comment sont perçus les conflits d intérêts : problème d influence, problème financier et enjeux. L objectif est d apporter une information juridique, présenter un cadre, et nous sensibiliser aux enjeux et évolutions à venir avec la loi Bertrand. Le conflit d intérêt touche tous les milieux : santé, politique. Il y a le temps de l avant et l après MEDIATOR : sanction de HAS (arrêt du 27/4/2011), rapport IGAS (2007) qui pointe les mécanismes d influence, suspensions des recommandations de HAS, mise en cause des pouvoirs publics pour laxisme. Revenons à la chronologie des événements : 1 - Point de départ : le problème des influences sanctionné par le Conseil d Etat. Suite à l affaire Médiator, le Conseil d Etat a sanctionné la HAS dans l évaluation des traitements dans le diabète de type 2 car elle n a pu fournir toutes les déclarations de conflits d intérêts. 2 - Quelles mesures adopter? Vers un «Sunshine Act» à la française : loi de la transparence - déclaration obligatoire, nature du contenu déclaré. Le cadre juridique Petit rappel : Un conflit d intérêt est une situation d interférence entre une mission de service publique et l intérêt privé d une personne qui concourt à l exercice de cette mission, lorsque cet intérêt par sa nature et son intensité, peut raisonnablement être regardé comme étant de nature à influencer ou paraître influencer l exercice indépendant, impartial et objectif de ses fonctions.» 2 notions à distinguer : Avantages illicites : - Loi «DMOS», «anti-cadeau» déclarations / an examinées par le Conseil de l Ordre (avis sur le respect de la loi «anti-cadeau», art. L et L CSP) - 2 ans + 75 KK + sanctions disciplinaires si non respect

5 Liens et conflits d intérêts : défaut de transparence - Un lien d intérêt ne débouche pas nécessairement sur un conflit. Le principe est : le médecin ou l industriel déclare ses liens, le législateur dit s il s agit de conflit. La sanction s applique en cas de défaut de contrat. - Défaut de transparence, - Sanctions disciplinaires : depuis 2002 la loi Kouchner. Il est question d une approche disciplinaire réalisée par le Conseil de l Ordre et non pénale. Ce que dit le décret d application : «L information du public sur l existence de liens directs ou indirects entre des professionnels de santé et des entreprises ou établissements mentionnés à l article L est faite, à l occasion de la présentation de ce professionnel, soit de façon écrite lorsqu il s agit d un article destiné à la presse écrite ou diffusé sur internet, soit de façon écrite ou orale au début de son intervention, lorsqu il s agit d une manifestation publique ou d une communication réalisée pour la presse audio-visuelle. Les manquements aux règles mentionnées à l alinéa ci-dessus sont punis de sanctions prononcées par l ordre professionnel compétent» Ce que dit la déontologie médicale «Le médecin ne peut aliéner son indépendance professionnelle sous quelque forme que ce soit.» Délit de prise illégale d intérêt pour un Agent public Agent public partial -> délit de prise illégale d intérêt. Il s agit d activité hors soins. «Le fait, par une personne dépositaire de l autorité publique ou chargée d une mission de service public ou par une personne investie d un mandat électif public, de prendre, recevoir ou conserver, directement ou indirectement, un intérêt quelconque dans une entreprise ou dans une opération dont elle a, au moment de l acte, en tout ou partie, la charge d assurer la surveillance, l administration, la liquidation ou le paiement, est puni de 5 ans d emprisonnement et de 75000K d amende ( )» Souhaits du conseil de l ordre Obligation pour les industriels d alimenter un fichier de déclaration à l Ordre des médecins et à tous les Ordres de professions de santé des avantages et sommes attribués à tous les professionnels de santé, Transparence de l articulation avec les dispositifs financiers du Développement Professionnel Continu (DPC), Déclaration par les compagnies d assurance de leurs liens avec tous les professionnels de santé, Caractère impératif et non seulement indicatif de l avis donné par l Ordre quant au respect de la Loi et sanction de son non-respect.

6 Evolutions en cours 1- Nouvelle proposition de loi DEBRE : 1 er juin Retour au système antérieur avec l Agence du médicament. - Loi relative au système français du contrôle de l efficacité et de la sécurité des médicaments, - Suite au rapport sur la refonte du système français de contrôle de l efficacité et de la sécurité des médicaments, - Rapport des professeurs Philippe EVEN et Bernard DEBRE, - Remis au Président de la République et au Ministre de la Santé le 16 mars Une agence = une mission. - Retirer à la HAS la mission d évaluation du service attendu et du service rendu des produits de santé (PSL), - Supprimer les avis HAS relatifs à l inscription, au remboursement et à la prise en charge par l assurance maladie des produits de santé, - AFSSAPS => ANSM (agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé). 2- Le projet de loi relatif au renforcement de la sécurité sanitaire du médicament et des produits de santé (version adoptée par l assemblée nationale au 4 oct. 2011). a. Obligation de déclaration des liens d intérêts directs et indirects (chap. Expertise sanitaire) Membres des commissions et instances qui siègent auprès du ministère de la santé, Liens directs ou indirects, de leurs conjoints, ascendants ou descendants, établis au cours des 5 dernières années, Actualisation à l initiative de l intéressé, Travaux, délibérations et votes conditionnés à la déclaration souscrite ou actualisée, Décret en Conseil d Etat, Le fait d omettre sciemment de déclarer ou rendre public : 30 KK d amende (45 KK pour les entreprises). b. Avantages consentis par une entreprise (chap. avantages consentis par les entreprises) Entreprises produisant ou commercialisant des produits de santé + assurant des prestations associées. Obligation de rendre publique les conventions. - Professionnels de santé, établissements de santé et étudiants, professionnels de santé, - Associations de professionnels de santé, d étudiants PdS, d usagers,

7 - Sociétés savantes, éditeurs de presse, service radio, TV, communication au public en ligne. Idem pour avantages en espèce ou en nature (seuil fixé par décret) : indiquer le montant des honoraires, déclarer même si le conseil est bénévole. 3 - Les conflits d intérêt dans le projet Debré (1 er juin 2011). Conflits d intérêt du collège d experts de l AFSSAPS, 40 experts, nommés pour 3 ans non renouvelables, Ne peuvent, par eux-mêmes ou par personne interposée, avoir dans les entreprises contrôlées par l Agence ou en relation avec elle aucun intérêt de nature à compromettre leur indépendance, Déclaration d intérêt à l AFSSAPS, Concerne les agents de l Agence, y compris occasionnels et les membres des commissions et conseils, Mention des liens directs ou indirects, avec les personnels, avec les entreprises ou établissements dont les produits entrent dans le champ de compétence de l agence, ainsi qu avec les sociétés ou organismes de conseil intervenant dans les secteurs correspondants, Mentionnant les avantages en espèces supérieurs à e annuels, À l occasion de leur nomination ou entrée en fonction, puis annuellement, Déclaration rendue publique, Déclaration actualisée à leur initiative dès qu une modification intervient concernant ces liens ou que de nouveaux liens sont noués, Manquement = prise illégale d intérêt + fin des fonctions au sein de l Agence. Conseils : suivre les évolutions du droit, respecter les obligations Vous êtes industriel, agence ou éditeur : Aidez vos experts! Informez vos experts médecins et autres PS de leurs obligations, Prenez connaissance de la politique de votre Laboratoire, Utilisez des documents-types qui ont du sens, Vérifiez à chaque intervention d experts organisée par vos soins qu il existe une mention «conflits d intérêts», Evidemment - Inscrivez le partenariat dans une démarche éthique, - Communiquez sur vos valeurs et objectifs.

8 Pistes de travail Faciliter la transparence des engagements, Disposer d une autorité ou d un référent garant de la déontologie interne, Assurer l information des experts, Identifier les collaborations des experts, en particulier à des instances officielles, Confronter les règles internes des différentes instances de participation aux principes déontologiques de l industrie, Distinguer liens et conflits d intérêts. Questions de la salle On se dirige vers une short-liste d experts multidisciplinaires indépendants. Est abordé la validation de traitements hors AMM : pas de souci dans le cas où la justification faite par les experts repose sur la littérature scientifique. En réponse à une question de l assistance concernant les différents niveaux d information délivrées par les laboratoires, le Dr. Luporsi souligne que la visite médicale est un lien important mais que le corps médical souhaite avoir UN SEUL INTERLOCUTEUR. Prochain petit dejeuner 25 novembre à 8h 30 sur le thème : «l éducation thérapeutique du patient» contact : Fabienne Cocrelle - Tél :

9 LA CHARTE PROD AREV GrOupe d experts

10 1 Le board d experts : un levier majeur dans la communication scientifique Constituer un board d experts permet d agir de manière scientifique et éthique sur l environnement d un produit ou d un Laboratoire : il représente un atout majeur en termes de stratégie institutionnelle ou marketing. En cas de lancement de produit, le board doit être constitué en amont, voire avant l obtention de son AMM. La constitution du board relève de l orientation souhaitée : choix des spécialités, notoriété de l expert, choix du lieu d exercice, appartenance à une Société Savante. Une enquête* réalisée par l Agence PROD AREV montre que 89% des leaders hospitaliers ne remettent pas en cause leur partenariat avec les entreprises du médicament. Bien au contraire, ils souhaitent être impliqués très tôt. Neuf experts sur dix pensent qu une Agence apporte une véritable valeur ajoutée : animation et structuration des débats, garantie d une liberté d expression. La stratégie de mise en place d un Board résulte d une collaboration étroite entre le Laboratoire et l Agence. 2 PROD AREV : un engagement responsable et durable PROD AREV, Agence éthique et scientifique établit les passerelles indispensables entre l industrie pharmaceutique et les experts. NOS ENGAGEMENTS vis-à-vis des entreprises du médicament Une recommandation pertinente sans complaisance Une relation transparente Une relation pérenne Une relation personnalisée Un reporting et des échanges réguliers avec les experts Une réactivité et un respect des délais

11 NOS EXIGENCES vis-à-vis des entreprises du médicament Un brief complet et détaillé, lors d un entretien face/face Une relation de confiance entre toutes les parties : experts, laboratoire, agence Un délai raisonnable pour la réflexion, la réalisation d une recommandation (4/5 semaines) et la mise en place d un projet Un budget en adéquation avec les projets retenu 3 PROD AREV : un savoir faire reconnu LES ATOUTS Les experts de l enquête* ayant déjà travaillé avec Prod Arev mettent en avant L écoute et l animation des débats La rigueur scientifique La méthodologie de travail pour le suivi des opérations Le bon sens relationnel LES VALEURS AJOUTEES Un portefeuille de 500 experts Un partenariat étroit avec les Sociétés Savantes (AFC, AFSOS, SFCP, AFU, SFH, SFGM-TC, SFMM,..) Une bonne compréhension de la problématique Une bonne connaissance du marché et de ses particularités Des recommandations claires et pertinentes validées par les experts La qualité du dispositif opérationnel présenté La capacité à obtenir et à mesurer les résultats La cohérence et l originalité des opérations proposées La qualité de l équipe Une pertinence de la proposition financière 25 ans de liens etroits avec les experts. Prod Arev c est l expérience du Docteur Gérard Hovakimian et de son équipe. * Enquête réalisée en février 2011 et menée auprès de 200 leaders hospitaliers sur leur perception de l industrie pharmaceutique. Cette enquête peut vous être présentée sur RDV si vous le souhaitez

12 4 La méthodologie PROD AREV 1. Définition des objectifs du board (synergie obligatoire au sein du laboratoire entre le marketing/médical) 2. Propositions d experts : 2.1. Soumission d une 1 ère liste au laboratoire 2.2. Approbation du laboratoire 3. Contact des experts : 3.1. Prise de rendez-vous 3.2. RDV face/face pour présentation des objectifs du board et obtention de leur consentement 4. Recherche d une date consensuelle de réunion 5. Réunion préparatoire avec le laboratoire 5.1. Etablissement de l ordre du jour avec le laboratoire 5.2. Rétroplanning 5.3. Définition du timing de la réunion 6. Déclaration CNO : convention (délai 6 semaines), déclaration de conflit d interêts (participation à d autres boards, pour quel produit, partenariat avec les laboratoires, présence dans les instances gouvernementales) 7. Rédaction du slide kit d animation du board 8. Animation de la réunion 9. Rédaction du compte-rendu 10. Répartition des missions à chaque expert 11. Envoi du Compte-rendu et d un questionnaire de satisfaction à chaque expert 12. Debrief des actions 13. Suivi des opérations entre 2 boards La communication sans concession 45 rue de l Est Boulogne Billancourt Tél. : + 33 (0) g.hovakimian@prodarev.fr

PROJET DE LOI. relatif à la modernisation du système des produits de santé ------ EXPOSÉ DES MOTIFS

PROJET DE LOI. relatif à la modernisation du système des produits de santé ------ EXPOSÉ DES MOTIFS RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi et de la santé NOR: ETSX1119227L/Rose-1 PROJET DE LOI relatif à la modernisation du système des produits de santé ------ EXPOSÉ DES MOTIFS Le présent

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS Ordonnance n o 2010-18 du 7 janvier 2010 portant création d une agence nationale chargée de la sécurité sanitaire de l

Plus en détail

PRINCIPES GENERAUX ET CRITERES ORDINAUX D APPLICATION DE L ARTICLE L.4113-6 DU CODE DE LA SANTE PUBLIQUE

PRINCIPES GENERAUX ET CRITERES ORDINAUX D APPLICATION DE L ARTICLE L.4113-6 DU CODE DE LA SANTE PUBLIQUE 21/06/2007 PRINCIPES GENERAUX ET CRITERES ORDINAUX D APPLICATION DE L ARTICLE L.4113-6 DU CODE DE LA SANTE PUBLIQUE I PRINCIPES GENERAUX L article L 4113-6 du CSP pose le principe d une interdiction pour

Plus en détail

PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR

PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR SOMMAIRE COMMENT SE FAIT LA RECHERCHE SUR UN NOUVEAU MÉDICAMENT?...p. 3 À QUOI SERT LA RECHERCHE?...p. 4 QUELLES SONT LES GARANTIES?...p.

Plus en détail

CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT

CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page

Plus en détail

Publication des liens

Publication des liens Le Leem vous informe Publication des liens entre professionnels de santé et entreprises du médicament Vous êtes médecin, chirurgien-dentiste, sage-femme, pharmacien, professionnel paramédical ou tout autre

Plus en détail

Commission Statut et Juridique AH-HP. COMMENTAIRES et OBSERVATIONS sur le PROJET du CODE de DEONTOLOGIE du CONSEIL NATIONAL de l ORDRE des INFIRMIERS

Commission Statut et Juridique AH-HP. COMMENTAIRES et OBSERVATIONS sur le PROJET du CODE de DEONTOLOGIE du CONSEIL NATIONAL de l ORDRE des INFIRMIERS Commission Statut et Juridique AH-HP COMMENTAIRES et OBSERVATIONS sur le PROJET du CODE de DEONTOLOGIE du CONSEIL NATIONAL de l ORDRE des INFIRMIERS Février 2010 1 Origine du code de déontologie Faisant

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

Unité de Recherche Clinique St Louis - Lariboisière Fernand Widal Le 03 Février 2012

Unité de Recherche Clinique St Louis - Lariboisière Fernand Widal Le 03 Février 2012 Visite de pré-sélection Visite de Mise en place Murielle COURREGES-VIAUD, ARC Laurence GUERY, ARC responsable Assurance Qualité Véronique JOUIS, Coordinatrice des ARCs Responsable Logistique Unité de Recherche

Plus en détail

Rôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique

Rôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique Rôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique Pôle Qualité / Gestion des Risques 05 Janvier 2012 Plan La qualité d une recherche c est quoi? Bonnes Pratiques Cliniques (BPC) Responsabilités des

Plus en détail

Version consolidée AUTORITÉ DE CONTRÔLE PRUDENTIEL ----- Règlement intérieur du Collège. Chapitre 1 er Composition des formations

Version consolidée AUTORITÉ DE CONTRÔLE PRUDENTIEL ----- Règlement intérieur du Collège. Chapitre 1 er Composition des formations Version consolidée AUTORITÉ DE CONTRÔLE PRUDENTIEL ----- Règlement intérieur du Collège Article 1 er Chapitre 1 er Composition des formations Les membres composant le Collège restreint, les sous-collèges

Plus en détail

Essais cliniques de médicaments : ce qui va changer. Dr Philippe VELLA Chef de l Unité Essais Cliniques

Essais cliniques de médicaments : ce qui va changer. Dr Philippe VELLA Chef de l Unité Essais Cliniques Essais cliniques de médicaments : ce qui va changer Dr Philippe VELLA Chef de l Unité Essais Cliniques Besançon 25 novembre 2004 Essais cliniques de médicaments : ce qui va changer Début de l essai Procédure

Plus en détail

GUIDE DU BENEVOLE. Mai 2011

GUIDE DU BENEVOLE. Mai 2011 Mai 2011 GUIDE DU BENEVOLE Le présent document précise les engagements de tout adhérent 1 à Electriciens sans frontières. Ces engagements déclinent de manière opérationnelle les valeurs et principes énoncées

Plus en détail

Propositions de Transparency International France sur la transparence de la vie économique

Propositions de Transparency International France sur la transparence de la vie économique Propositions de Transparency International France sur la transparence de la vie économique Lors de ses vœux aux corps constitués le 20 janvier dernier, le Président de la République a annoncé l élaboration

Plus en détail

Pharmacien Responsable. Rôle et Attributions. Seul le Code de la Santé Publique s applique

Pharmacien Responsable. Rôle et Attributions. Seul le Code de la Santé Publique s applique Pharmacien Responsable Rôle et Attributions Version approuvée ( médicaments à usage humain ) en novembre 2010 Seul le Code de la Santé Publique s applique Plus qu une personne qualifiée En France, le Pharmacien

Plus en détail

RÉPUBLIQUE FRANÇAISE. MINISTÈRE DE l'emploi ET DE LA SOLIDARITE. Paris, le

RÉPUBLIQUE FRANÇAISE. MINISTÈRE DE l'emploi ET DE LA SOLIDARITE. Paris, le RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE l'emploi ET DE LA SOLIDARITE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Sous-direction des professions paramédicales Et des personnels hospitaliers

Plus en détail

Procédures d enregistrement des médicaments

Procédures d enregistrement des médicaments Vie du Médicament Procédures d enregistrement des médicaments Avis scientifiques Essais cliniques ATU Inspections AMM Vigilances Contrôle Veille Sanitaire Procédures d enregistrement Soumission du dossier

Plus en détail

LOI N 2006-01 portant Code des Postes

LOI N 2006-01 portant Code des Postes REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi LOI N 2006-01 portant Code des Postes EXPOSE DES MOTIFS Le secteur postal connaît actuellement des mutations liées notamment aux avancées technologiques,

Plus en détail

DECLARATION PUBLIQUE D'INTERETS (DPI)

DECLARATION PUBLIQUE D'INTERETS (DPI) DECLARATION PUBLIQUE D'INTERETS (DPI) Arrêté du 5 juillet 2012 portant fixation du document type de la déclaration publique d'intérêts mentionnée à l'article L. 1451-1 du code de la santé publique Je soussigné(e)

Plus en détail

Charte pour la communication sur internet des entreprises pharmaceutiques

Charte pour la communication sur internet des entreprises pharmaceutiques DIRECTION DE L EVALUATION DE LA PUBLICITE, DES PRODUITS COSMETIQUES ET DES BIOCIDES Charte pour la communication sur internet des entreprises pharmaceutiques Préambule Mise à jour 2010 Au plan mondial,

Plus en détail

SITES INTERNET CREATION ET FONCTIONNEMENT D UN SITE INTERNET POUR UN LABORATOIRE DE BIOLOGIE MEDICALE

SITES INTERNET CREATION ET FONCTIONNEMENT D UN SITE INTERNET POUR UN LABORATOIRE DE BIOLOGIE MEDICALE SECTION G CREATION ET FONCTIONNEMENT D UN SITE INTERNET POUR UN LABORATOIRE DE BIOLOGIE MEDICALE SITES INTERNET Recommandations du Conseil central de la section G ONP/CCG Janvier 2012 A l heure où les

Plus en détail

Commission Médicale de la FFVoile Règles de Fonctionnement Texte adopté par le BE du 09 mars 2007

Commission Médicale de la FFVoile Règles de Fonctionnement Texte adopté par le BE du 09 mars 2007 Commission Médicale de la FFVoile Règles de Fonctionnement Texte adopté par le BE du 09 mars 2007 PREAMBULE L article L. 231-5 du code du sport rappelle que les fédérations sportives veillent à la santé

Plus en détail

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Plus en détail

Communiqué de presse

Communiqué de presse Paris, le 3 février 2006 Communiqué de presse «Coopératives et mutuelles : un gouvernement d entreprise original» Les 30 recommandations du rapport sur le gouvernement d entreprise des coopératives et

Plus en détail

étude de fonctions rémunérations Industrie du médicament

étude de fonctions rémunérations Industrie du médicament 2011 2012 étude de fonctions rémunérations Industrie du médicament & sommaire 3 Editorial Depuis plus d une décennie que Michael Page France intervient sur le marché pharmaceutique, il était grand temps

Plus en détail

La responsabilité juridique des soignants

La responsabilité juridique des soignants La responsabilité juridique des soignants Les soignants, face à des conditions de travail parfois difficiles et aux aléas de la médecine, songent plus souvent aux risques thérapeutiques qu aux risques

Plus en détail

Référentiel métier de Directeur des Soins en établissement et en institut de formation mars 2010

Référentiel métier de Directeur des Soins en établissement et en institut de formation mars 2010 Référentiel métier de Directeur(trice) des soins Ce référentiel intègre à la fois le métier Directeur(trice) des soins en établissement et celui de Directeur(trice) des soins en institut de formation paramédicale.

Plus en détail

MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ SANTÉ. Protection sanitaire, maladies, toxicomanie, épidémiologie, vaccination, hygiène

MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ SANTÉ. Protection sanitaire, maladies, toxicomanie, épidémiologie, vaccination, hygiène SANTÉ Santé publique Protection sanitaire, maladies, toxicomanie, épidémiologie, vaccination, hygiène MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ _ Direction générale de la santé _ Sous-direction de

Plus en détail

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION

Plus en détail

Partie 1. Principes. Karmela Krleža-Jerić, An-Wen Chan, Kay Dickersin, Ida Sim, Jeremy Grimshaw, Christian Gluud, for the Ottawa GroupT 1

Partie 1. Principes. Karmela Krleža-Jerić, An-Wen Chan, Kay Dickersin, Ida Sim, Jeremy Grimshaw, Christian Gluud, for the Ottawa GroupT 1 Déclaration d Ottawa sur l enregistrement des essais d interventions de santé: Proposition pour l enregistrement international d informations relatives au protocole et de résultats des essais réalisés

Plus en détail

Liège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085

Liège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085 Centre Hospitalier Universitaire de Liège Domaine Universitaire du Sart Tilman B35 4000 LIEGE 1 www.chuliege.be Département de Gestion des Ressources Humaines Service Recrutement Liège, le 29 juillet 2013

Plus en détail

BOOK DES OFFRES DE STAGE

BOOK DES OFFRES DE STAGE BOOK DES OFFRES DE STAGE Novartis est un leader mondial dans l'offre de médicaments destinés à préserver la santé, soigner les malades et améliorer le bien-être. Novartis renforce son portefeuille thérapeutique

Plus en détail

Responsable mécénat/ partenariats entreprises

Responsable mécénat/ partenariats entreprises N 4 - RESPONSABLE MÉCÉNAT/ PARTENARIATS ENTREPRISES RESPONSABLE MÉCÉNAT (DÉNOMINATION DAVANTAGE UTILISÉE DANS LA CULTURE), RESPONSABLE PARTENARIATS ENTREPRISES Le responsable Mécénat/partenariats entreprises

Plus en détail

Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco

Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie

Plus en détail

RECOMMANDATIONS DU COLLEGE A PROPOS DU PHARMACIEN ADJOINT MAITRE DE STAGE ADJOINT

RECOMMANDATIONS DU COLLEGE A PROPOS DU PHARMACIEN ADJOINT MAITRE DE STAGE ADJOINT RECOMMANDATIONS DU COLLEGE A PROPOS DU PHARMACIEN ADJOINT MAITRE DE STAGE ADJOINT L agrément de maître de stage repose à la fois sur des critères liés à l officine d une part et à son titulaire d autre

Plus en détail

CONVENTION DE PARTENARIAT

CONVENTION DE PARTENARIAT CONVENTION DE PARTENARIAT Entre d une part : LE SYNDICAT DES CHIRURGIENS DENTISTES DU GARD dont le siège social est en La Maison des Professions Libérales et de Santé, Parc Georges Besse, Allée Norbert

Plus en détail

DECLARATION D INTERETS (DI)

DECLARATION D INTERETS (DI) DECLARATION D INTERETS (DI) Pour les membres des Comités de la revue Afin de satisfaire aux principes de transparence relative à l information des professionnels de santé, Kinésithérapie la revue souhaite

Plus en détail

POLITIQUE INSTITUTIONNELLE SUR LES CONFLITS D INTÉRÊTS DANS LA RECHERCHE

POLITIQUE INSTITUTIONNELLE SUR LES CONFLITS D INTÉRÊTS DANS LA RECHERCHE Direction générale POLITIQUE N O 14 POLITIQUE INSTITUTIONNELLE SUR LES CONFLITS D INTÉRÊTS DANS LA RECHERCHE Adoptée le 9 juin 2015 cegepdrummond.ca Adoptée au conseil d administration : 9 juin 2015 (CA-2015-06-09-11)

Plus en détail

ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains

ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains Adoptée par la 18e Assemblée générale de l AMM, Helsinki, Finlande,

Plus en détail

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date

Plus en détail

DONS, D HOSPITALITÉ. Lignes directrices 1. mai 2012 COMMISSAIRE À L ÉTHIQUE ET À LA DÉONTOLOGIE

DONS, D HOSPITALITÉ. Lignes directrices 1. mai 2012 COMMISSAIRE À L ÉTHIQUE ET À LA DÉONTOLOGIE DONS, AVANTAGES ET MARQUES D HOSPITALITÉ Lignes directrices 1 mai 2012 COMMISSAIRE À L ÉTHIQUE ET À LA DÉONTOLOGIE 1 En application de l article 89 du Code, le commissaire peut publier des lignes directrices

Plus en détail

LA SECURITE DE VOTRE ENTREPRISE

LA SECURITE DE VOTRE ENTREPRISE SÉCURITÉ LA SECURITE DE VOTRE ENTREPRISE Guide des bonnes pratiques Comment sécuriser vos locaux? Quelles solutions pour une meilleure protection? PREFECTURE DE LA GIRONDE Edito En 2006, plus de 175 000*

Plus en détail

LA VERSION ELECTRONIQUE FAIT FOI

LA VERSION ELECTRONIQUE FAIT FOI REGLEMENT INTERIEUR Document GEN REF 02 Révision 04- juin 2012 SOMMAIRE ARTICLE 1 - OBJET... 3 ARTICLE 2 MEMBRES DE L ASSOCIATION... 3 ARTICLE 3 - ASSEMBLEE GENERALE... 3 ARTICLE 4 - ADMINISTRATEURS...

Plus en détail

L euthanasie et l assistance au suicide

L euthanasie et l assistance au suicide L euthanasie et l assistance au suicide Loi du 16 mars 2009 français 25 questions 25 s L euthanasie et l assistance au suicide Loi du 16 mars 2009 En collaboration avec le Ministère de la Sécurité sociale,

Plus en détail

Résumé des débats Adoption du Procès Verbal de l Assemblée Générale du 17 novembre 2009 le Procès Verbal est adopté à l unanimité

Résumé des débats Adoption du Procès Verbal de l Assemblée Générale du 17 novembre 2009 le Procès Verbal est adopté à l unanimité Rappel de l ordre du jour de l Assemblée Générale Ordinaire Lecture et adoption du Procès Verbal de l Assemblée Générale du 17 novembre 2009. Rapport moral du Président, Monsieur Michel Grangeré. Rapport

Plus en détail

Politique d utilisation des médias sociaux et des technologies de l information

Politique d utilisation des médias sociaux et des technologies de l information CA 06-02-2015 Annexe 10.1 Politique d utilisation des médias sociaux et des technologies de l information Janvier 2015 2 1. PRÉAMBULE La Fédération des médecins résidents du Québec (FMRQ) est une fédération

Plus en détail

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout

Plus en détail

La société interprofessionnelle de soins ambulatoires 12 /2012. Jean VILANOVA Juriste jean.vilanova@ca-predica.fr

La société interprofessionnelle de soins ambulatoires 12 /2012. Jean VILANOVA Juriste jean.vilanova@ca-predica.fr La société interprofessionnelle de soins ambulatoires 12 /2012 Jean VILANOVA Juriste jean.vilanova@ca-predica.fr Le décret n 2012-407 du 23 /03 /2012 (JO du 25 /03) relatif aux sociétés interprofessionnelles

Plus en détail

Responsabilité professionnelle des Infirmiers

Responsabilité professionnelle des Infirmiers Responsabilité professionnelle des Infirmiers Diplômés s d Etatd Direction des Affaires Juridiques et des Droits du Patient Bureau de la Responsabilité Médicale et du Contentieux des Personnels Emily THIBAULT

Plus en détail

Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012

Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012 Direction Générale Finances et Gestion Direction du Contrôle Interne Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012 Sociétés publiques locales et sociétés publiques locales d aménagement - Dispositif

Plus en détail

Page1 LE DROIT AU RESPECT DE LA DIGNITE

Page1 LE DROIT AU RESPECT DE LA DIGNITE Page1 LE DROIT AU RESPECT DE LA DIGNITE 0 Page2 Sommaire Les droits rattachés au respect de la personne... 3 Le droit au respect de sa dignité... 3 Quelle est la signification de la dignité en droit de

Plus en détail

Référentiel Officine

Référentiel Officine Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine

Plus en détail

SYNDIC. - Création d une immatriculation obligatoire de toutes les copropriétés au sein d un registre national.

SYNDIC. - Création d une immatriculation obligatoire de toutes les copropriétés au sein d un registre national. SYNDIC 1- Immatriculation de la copropriété 2- Gestion de la copropriété 3- Transparence et prévention des difficultés 1- Immatriculation de la copropriété Portée - Création d une immatriculation obligatoire

Plus en détail

Recherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines

Recherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines 18. Recherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines KARILA LAURENT - APPRENTISSAGE DE L EXERCICE MÉDICAL + Objectifs

Plus en détail

La prise illégale d intérêts

La prise illégale d intérêts La prise illégale d intérêts Valeurs sociales protégées : Il s agit simplement de préserver, d une part, la probité dans la gestion des affaires publiques en respectant le vieil adage " nul ne peut servir

Plus en détail

Charte de déontologie. Janvier 2004

Charte de déontologie. Janvier 2004 Charte de déontologie Janvier 2004 Charte de déontologie Janvier 2004 1 Indépendance de jugement < Compétence < Adaptation des moyens Transparence < Qualité scientifique et technique < Devoir d information

Plus en détail

Introduction au métier d ARC. en recherche clinique

Introduction au métier d ARC. en recherche clinique Introduction au métier d ARC en recherche clinique Déroulement d un projet de recherche clinique Idée Faisabilité Avant Pendant Après Protocole accepté Démarches réglementaires Déroulement de l étude Analyse

Plus en détail

Chap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE

Chap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE I. La démarche mercatique globale A. Définition Chap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE La mercatique est l ensemble des techniques et actions ayant pour objet de prévoir, constater, stimuler, susciter ou renouveler

Plus en détail

Réguler les jeux d'argent : Le rôle de l'autorité Bruxelles le 12 octobre 2010. Intervention de M. Jean-François VILOTTE, Président de l ARJEL

Réguler les jeux d'argent : Le rôle de l'autorité Bruxelles le 12 octobre 2010. Intervention de M. Jean-François VILOTTE, Président de l ARJEL Réguler les jeux d'argent : Le rôle de l'autorité Bruxelles le 12 octobre 2010 Intervention de M. Jean-François VILOTTE, Président de l ARJEL SOMMAIRE la loi n 2010-476 du 12 mai 2010 la régulation, point

Plus en détail

LOI ALUR : Quoi de nouveau dans les copropriétés?

LOI ALUR : Quoi de nouveau dans les copropriétés? LOI ALUR : Quoi de nouveau dans les copropriétés? La loi du 24 Mars 2014 dite «loi ALUR», publiée au J.O. du 26/03/2014 a apporté quelques modifications notables dans le domaine du droit de la copropriété.

Plus en détail

INTERNET ET SANTÉ. Proposition de titre : La certification : un moyen d améliorer la qualité des sites dédiés à la santé

INTERNET ET SANTÉ. Proposition de titre : La certification : un moyen d améliorer la qualité des sites dédiés à la santé QUESTIONS REPONSES INTERNET ET SANTÉ Proposition de titre : La certification : un moyen d améliorer la qualité des sites dédiés à la santé LE CONTEXTE Dispose t-on de données relatives à la fréquentation

Plus en détail

NOTE SUR LES SUBVENTIONS. - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées

NOTE SUR LES SUBVENTIONS. - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées NOTE SUR LES SUBVENTIONS - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées - Les produits de la tarification ne sont pas des subventions A. Récapitulatif des obligations des associations

Plus en détail

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

Associations, Syndicats, Ordre. Mardi 21 octobre 2014 Ecole de Pédicurie-Podologie 33000 BORDEAUX

Associations, Syndicats, Ordre. Mardi 21 octobre 2014 Ecole de Pédicurie-Podologie 33000 BORDEAUX Associations, Syndicats, Ordre Mardi 21 octobre 2014 Ecole de Pédicurie-Podologie 33000 BORDEAUX Trois systèmes complémentaires aux fonctions et missions bien définies : Associatif regroupement de personnes

Plus en détail

Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009

Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N

Plus en détail

Erreur médicale au cabinet

Erreur médicale au cabinet Plan Erreur médicale au cabinet Prof. Philippe Ducor Médecine communautaire 13 avril 2011 1. Evolution récente en Suisse dérive à l américaine? 2. Aspects juridiques 3. Aspects psychologiques 4. Apects

Plus en détail

DEVELOPPEMENT DU MEDICAMENT 4 ème, 5 ème et 6 ème année de pharmacie

DEVELOPPEMENT DU MEDICAMENT 4 ème, 5 ème et 6 ème année de pharmacie DEVELOPPEMENT DU MEDICAMENT 4 ème, 5 ème et 6 ème année de pharmacie Nous proposons de nombreux stages dans différents domaines: Développement Cliniques, Affaires Réglementaires, Assurance Qualité, Gestion

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL 1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat

Plus en détail

www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie

www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie Une formation approfondie à la réflexion éthique appliquée aux secteurs du soin et de la santé En formation continue,

Plus en détail

LES BASES JURIDIQUES DE LA RESPONSABILITE & DE L ASSURANCE EN MATIERE DE RECHERCHE BIOMEDICALE DIU-FARC-TEC 04/11/2009 1

LES BASES JURIDIQUES DE LA RESPONSABILITE & DE L ASSURANCE EN MATIERE DE RECHERCHE BIOMEDICALE DIU-FARC-TEC 04/11/2009 1 LES BASES JURIDIQUES DE LA RESPONSABILITE & DE L ASSURANCE EN MATIERE DE RECHERCHE BIOMEDICALE DIU-FARC-TEC 04/11/2009 1 1ère Partie : La recherche biomédicale en France Historique Responsabilité et Assurance

Plus en détail

Elaboration du plan France Numérique 2020

Elaboration du plan France Numérique 2020 Paris, le 30 septembre 2011 Elaboration du plan France Numérique 2020 Réponse de l ARPP à la consultation publique Organisme de régulation professionnelle de la publicité en France, l Autorité de Régulation

Plus en détail

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion

Plus en détail

Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services

Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services hospitaliers. Ce projet d amélioration de la qualité porte

Plus en détail

Contribution du Syndicat national des pharmaciens praticiens hospitaliers (SNPHPU)

Contribution du Syndicat national des pharmaciens praticiens hospitaliers (SNPHPU) Contribution du Syndicat national des pharmaciens praticiens hospitaliers (SNPHPU) pour un cahier des charges des bases de données des produits de santé exigeant Rappelons pour mémoire que le législateur

Plus en détail

PLAN DE COMMUNICATION REGIONAL POUR LA PROMOTION DES FONDS EUROPEENS FEDER, FSE et FEADER EN ILE-DE-FRANCE

PLAN DE COMMUNICATION REGIONAL POUR LA PROMOTION DES FONDS EUROPEENS FEDER, FSE et FEADER EN ILE-DE-FRANCE PLAN DE COMMUNICATION REGIONAL POUR LA PROMOTION DES FONDS EUROPEENS FEDER, FSE et FEADER EN ILE-DE-FRANCE Version du 23 avril 2008 1 Sommaire 1. RAPPEL DU CONTEXTE_ 3 2. PILOTAGE ET PERIMETRE DU PLAN

Plus en détail

13 ème Forum pharmaceutique international: Problématique de l accès au médicament. CEREMONIE D OUVERTURE Intervention de la Présidente de la CIOPF

13 ème Forum pharmaceutique international: Problématique de l accès au médicament. CEREMONIE D OUVERTURE Intervention de la Présidente de la CIOPF 13 ème Forum pharmaceutique international: Problématique de l accès au médicament N Djamena, 5 juin 2012 CEREMONIE D OUVERTURE Intervention de la Présidente de la CIOPF Excellence, Monsieur le Président

Plus en détail

ASSEMBLÉE NATIONALE 17 mars 2015 AMENDEMENT

ASSEMBLÉE NATIONALE 17 mars 2015 AMENDEMENT ASSEMBLÉE NATIONALE 17 mars 2015 Adopté Rédiger ainsi cet article : SANTÉ - (N 2302) AMENDEMENT présenté par le Gouvernement ---------- ARTICLE 18 N o AS1725 (Rect) «I. Le déploiement du mécanisme du tiers

Plus en détail

N 3038 ASSEMBLÉE NATIONALE PROJET DE LOI

N 3038 ASSEMBLÉE NATIONALE PROJET DE LOI N 3038 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 QUATORZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 19 août 2015. PROJET DE LOI ratifiant l ordonnance n 2015-380 du

Plus en détail

CHARTE ÉTHIQUE ET DÉONTOLOGIQUE APPLICABLE AUX PÉDICURES-PODOLOGUES ET À LEURS SITES INTERNET À L ADRESSE DU GRAND-PUBLIC

CHARTE ÉTHIQUE ET DÉONTOLOGIQUE APPLICABLE AUX PÉDICURES-PODOLOGUES ET À LEURS SITES INTERNET À L ADRESSE DU GRAND-PUBLIC CHARTE ÉTHIQUE ET DÉONTOLOGIQUE APPLICABLE AUX PÉDICURES-PODOLOGUES ET À LEURS SITES INTERNET À L ADRESSE DU GRAND-PUBLIC Avril 2015 Actualisation approuvée par le Conseil national du 10 avril 2015 A

Plus en détail

SÉNAT PROPOSITION DE LOI

SÉNAT PROPOSITION DE LOI N 61 SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2010-2011 Enregistré à la Présidence du Sénat le 25 octobre 2010 PROPOSITION DE LOI sur les sondages visant à mieux garantir la sincérité du débat politique et électoral,

Plus en détail

Format de l avis d efficience

Format de l avis d efficience AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation

Plus en détail

de formation Navigation sur les eaux intérieures cerfa n 12370 * 01

de formation Navigation sur les eaux intérieures cerfa n 12370 * 01 cerfa n 12370 * 01 l i v r e t de s e r v i c e de formation Navigation sur les eaux intérieures ministère de l Équipement des Transports du Logement du Tourisme et de la Mer Livret N Informations et directives

Plus en détail

CONSEIL EN RECRUTEMENT. search. Trouver le meilleur pilote pour conduire votre stratégie

CONSEIL EN RECRUTEMENT. search. Trouver le meilleur pilote pour conduire votre stratégie CONSEIL EN RECRUTEMENT Trouver le meilleur pilote pour conduire votre stratégie CONSEIL EN RECRUTEMENT/ notre positionnement est le spécialiste du conseil en recrutement de cadres marketing et communication

Plus en détail

Ghana, de l Inde, de la Jordanie, du Kenya, du Mexique, de New Zélande, du Portugal, de Serbie et du Royaume Uni.

Ghana, de l Inde, de la Jordanie, du Kenya, du Mexique, de New Zélande, du Portugal, de Serbie et du Royaume Uni. Principes de Belgrade sur la relation entre les Institutions nationales des droits de l Homme et les Parlements (Belgrade, Serbie, les 22-23 février 2012) Le séminaire international de février 2012 sur

Plus en détail

Règlement intérieur. de la Commission de surveillance

Règlement intérieur. de la Commission de surveillance Règlement intérieur de la Commission de surveillance L a loi du 28 avril 1816 dote la Caisse des Dépôts et Consignations d un statut particulier destiné à assurer à sa gestion une indépendance complète

Plus en détail

Annexe IV : rapport du Président du Conseil d Administration

Annexe IV : rapport du Président du Conseil d Administration Annexe IV : rapport du Président du Conseil d Administration joint au rapport de gestion rendant compte des conditions de préparation et d organisation des travaux du Conseil ainsi que des procédures de

Plus en détail

COURTIER ET AGENT D ASSURANCE

COURTIER ET AGENT D ASSURANCE COURTIER ET AGENT D ASSURANCE SOMMAIRE LE MARCHÉ DU COURTIER ET AGENT D ASSURANCE... 2 LA RÉGLEMENTATION DU COURTIER ET AGENT D ASSURANCE... 4 L'ACTIVITÉ DU COURTIER ET AGENT D ASSURANCE... 7 LES POINTS

Plus en détail

Consultation publique PARL OMPI EXPERTS PRESENTATION ET ETAT D AVANCEMENT DU PROJET PARL OMPI EXPERTS

Consultation publique PARL OMPI EXPERTS PRESENTATION ET ETAT D AVANCEMENT DU PROJET PARL OMPI EXPERTS Consultation publique PARL OMPI EXPERTS PRESENTATION ET ETAT D AVANCEMENT DU PROJET PARL OMPI EXPERTS PRESENTATION ET ETAT D AVANCEMENT DU PROJET PARL OMPI EXPERTS 2 Présentation et état d avancement du

Plus en détail

Introduction. Jean-Philippe Thierry, vice-président de l ACP 27/06/2012. Banque de France - Autorité de Contrôle Prudentiel

Introduction. Jean-Philippe Thierry, vice-président de l ACP 27/06/2012. Banque de France - Autorité de Contrôle Prudentiel Introduction Jean-Philippe Thierry, vice-président de l ACP Banque de France - Autorité de Contrôle Prudentiel Sommaire Conférence animée par Fabrice Pesin, secrétaire général adjoint de l ACP 1. La veille

Plus en détail

DE LA FORMATION CONTINUE À L OFFICINE

DE LA FORMATION CONTINUE À L OFFICINE Notre mission : Chaque pharmacien est unique, UTIP Innovations propose partout en métropole et dans les DOM les solutions de formation adaptées Notre ambition : Devenir acteur de référence du DPC UTIP

Plus en détail

CHARTE D UTILISATION DU SYSTÈME D INFORMATION ET EN PARTICULIER DES RESSOURCES INFORMATIQUES.

CHARTE D UTILISATION DU SYSTÈME D INFORMATION ET EN PARTICULIER DES RESSOURCES INFORMATIQUES. DQ- Version 1 SSR Saint-Christophe CHARTE D UTILISATION DU SYSTÈME D INFORMATION ET EN PARTICULIER DES RESSOURCES INFORMATIQUES. I] INTRODUCTION L emploi des nouvelles technologies nécessite l application

Plus en détail

CHARTE DES BONS USAGES DES MOYENS NUMERIQUES DE L UNIVERSITE

CHARTE DES BONS USAGES DES MOYENS NUMERIQUES DE L UNIVERSITE CHARTE DES BONS USAGES DES MOYENS NUMERIQUES DE L UNIVERSITE Annexe juridique Frédéric DEHAN Directeur général des services Affaire suivie par Philippe PORTELLI Tél. : +33 (0)3 68 85 00 12 philippe.portelli@unistra.fr

Plus en détail

Évaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d administration

Évaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d administration Évaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d admini istration Mai 2012 1 Le programme de maîtrise en administration des affaires, cheminement coopératif (MBA Coop) de la Faculté d administration

Plus en détail

Les Français et l assurance santé

Les Français et l assurance santé Mai 2013 Contacts : 01 45 84 14 44 Jérôme Fourquet Magalie Gérard prénom.nom@ifop.com Les Français et l assurance santé pour Note méthodologique Etude réalisée pour : Groupama Assurances Echantillon :

Plus en détail

Niger. Régime général des mutuelles de santé

Niger. Régime général des mutuelles de santé Régime général des mutuelles de santé Loi n 2008-10 du 30 avril 2008 [NB - Loi n 2008-10 du 30 avril 2008 portant régime général des mutuelles de santé en République du ] Titre 1 - Dispositions générales

Plus en détail

DECLARATION PUBLIQUE D'INTERETS (DPI)

DECLARATION PUBLIQUE D'INTERETS (DPI) DECLARATION PUBLIQUE D'INTERETS (DPI) Arrêté du 5 juillet 2012 portant fixation du document type de la déclaration publique d'intérêts mentionnée à l'article L. 1451-1 du code de la santé publique Je soussigné(e)

Plus en détail

LE référentiel des métiers

LE référentiel des métiers LE référentiel des métiers 2 Le référentiel des métiers de Pôle emploi FILIÈRE RELATION DE SERVICES Métiers MISSIONS ACTIVITÉS COMPÉTENCES Le référentiel des métiers de Pôle emploi 3 4 Le référentiel des

Plus en détail