Allergies médicamenteuses en pratique.
|
|
- Aurélie Audy
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Aart Toulouse Mardi 29 janvier 2013 Allergies médicamenteuses en pratique. Dr.Jamel Dakhil. Hôpital Larrey-Toulouse.
2 Quels médicaments? 1/Les anesthésiques généraux. 2/Les B-lactamines. 3/Autres : Les quinolones Les macrolides. Les AINS. 40% des patients seulement ont une allergie démontrée. (P.Demoly)
3 (1)Les allergies aux médicaments autres que les bétalactamines Les quinolones sont histaminolibérateurs, donc irritants: Les TC ne sont pas validés : recours aux tests de provocation (TP) en cas de nécessité et surtout en cas de réaction non grave. Une induction de tolérance est possible. Les macrolides: les TC ne sont pas validés et il n y a pas d allergie de classe, c est-à-dire qu en cas d allergie à une molécule, il suffit, en cas de réaction non grave, de choisir une autre molécule. Les anti-inflammatoires non stéroidiens (AINS): Il s agit d une hypersensibilité non allergique et les TC ne sont pas validés. Il faut recourir au TP pour le diagnostic et la recherche d alternative thérapeutique si nécessaire (en cas de réaction non grave),
4 (2)Les allergies aux bêtalactamines Les bêtalactamines constituent une famille d antibiotiques qui doivent leur dénomination du noyau bêtalactame qu ils ont en commun.
5 ß-L ß-L ß-L ß-L Clavames ß-L (Aztreonam) (Imipenem)
6 Torres MJ. Med Clin N Am 94 (2010) Thiazolidine Dihydrothiazine
7 Cas cliniques
8 Cas n 1: choc anaphylactique 1 minute après la prise de 1 gramme d amoxicilline. Quel bilan?
9 Les moyens de diagnostic: Les tests cutanés (TC). +++ Validés uniquement pour les bétalactamines. Les Tests de Provocation (TP) oral ou injectable = «gold standard». +++ Les tests biologiques n ont pas de valeur prédictive absolue : Sensibilité < tests cutanés (TC).
10 (1).Les tests cutanés Pénicilline G (25000 UI/ml) Amoxicilline (20-25mg/ml) Ampicilline (20-25mg/ml) Augmentin (20-25mg/ml) PPL et MDM Zinnat (2 mg/ml) Rocéphine (2 mg/ml) Prick-tests et IDR: en cas d allergie immédiate (<1 h):lecture après En cas de réaction allergique non-immédiate (>1 h): IDR: lecture à 48h, 72h et au-delà si réponse positive. Patch-tests: le médicament est testé à 10% dans la vaseline [les concentrations varient selon les auteurs]. Sensibilité: IDR>Patch-tests. Spécificité: Patch-tests>IDR. Amoxicilline(Clamoxyl), Augmentin=Amoxicilline+Acide Clavulanique Ampicilline(Totapen,Alfatil), Unacim=Ampicilline+Sulbactam
11 (2).Les tests de provocation En hospitalisation de jour, sous surveillance médicale, en cas de réaction non grave; La sensibilité des TC est insuffisante (43% seulement pour l amoxicilline), ce qui signifie que des TC négatifs n éliminent pas une allergie, d où le recours au TP. Le TP est indiqué devant: Une histoire clinique concordante avec une allergie immédiate (<1h) et des tests cutanés négatifs, quelle que soit la valeur des IgE spécifiques. Une réaction retardée (>1h) sans critère de gravité (exanthème maculopapuleux, urticaire retardée). M. Gouitaa, Rev. Fr. Allergol. 52 (2012)
12 Cas n 1: choc anaphylactique 1 minute après la prise de 1 gramme d amoxicilline. Quel bilan? TC aux pénicillines: Pénicilline G et Ampicilline: négatifs. Amoxicilline: positif en prick-test. TC aux céphalosporines: Zinnat et Rocéphine: négatifs. Conclusions : test positif à l amoxicilline seule.
13 Que signifie un test cutané positif à l amoxicilline uniquement? 1. L absence d allergie au noyau BL. 2. Une allergie isolée à la chaîne latérale de l Amoxicilline. Quelles recommandations faire à son médecin traitant en cas de nouvelle infection? Quelle(s) alternative(s)?
14 La recherche d alternatives se fait par des TP: TPO avec Oracilline (=pénicilline V) =négatif. TPO avec Zinnat (=cefuroxime)=négatif. Recommandations: Carte d identité d allergique à l amoxicilline. Alternatives recommandées : toute pénicilline et toute céphalosporine n ayant pas la même chaîne latérale.
15 (Oracefal) (Cefaperos) (keforal) (alfatil)
16 Cas n 2: Choc anaphylactique après Quel bilan? perfusion de Rocéphine TC aux pénicillines (péni G, Ampi, Amoxi): négatifs. TC aux céphalosporines: Prick-tests positifs à Rocéphine (Ceftriaxone) et Claforan (Céfotaxime). Autres céphalo= TC négatifs. Conclusions :TC positifs à Rocéphine et Claforan seulement.
17 Que signifie allergie isolée à Rocéphine (ceftriaxone) et Claforan (cefotaxime)? TC aux pénicillines négatifs=pas d allergie au noyau BL. Allergie à Rocéphine et Claforan seuls: ils possèdent une même chaîne latérale!
18 Quelle(s) recommandations(s)? 1) Carte d identité d allergique : éviction Rocéphine et Claforan. 2) Quelle(s) alternative(s) proposer? TPO amoxicilline (=négatif): Prescrire Amoxicilline. Prescrire autres céphalo avec chaîne latérale différente (TP).
19 Cas n 3: Choc anaphylactique après perfusion de Octaplex suivie de Céfazoline Mr R.D., 42 ans, cure de hernie ombilicale extériorisée par l ascite et ulcérée (cirrhose du foie). Avant la chirurgie: Perfusion de 1 flacon de Octaplex (facteurs de la coagulation):légère chute de TA sans tachycardie. Perfusion 2 è flacon sans problème. Au bloc: perfusion de 2 grammes de Céfazoline: choc anaphylactique, urticaire: Injection d adrénaline et corticoïdes. Quel bilan?
20 Quel bilan? Les TC aux pénicillines sont négatifs. Les TC aux céphalosporines: Zinnat et Rocéphine:négatifs. Céfazoline=positif. Quelles recommandations? 1. Carte d identité d allergique=éviction céfazoline. 2. Quelle(s) alternative(s)? AUCUNE EXCLUSION sauf cefazoline!
21 Allergies aux bétalactamines et chirurgie. 2 études Françaises montrent que les céphalosporines sont responsables de: 38% environ des anaphylaxies dans le milieu opératoire. [Mertes & al. Ann Fr Anesth Rea 2004] 27% des allergies sévères aux b-lactames. [Kanny & al. JACI 2005;115]. L utilisation accrue de la cefazoline (C1G) dans les protocoles d antibioprophylaxie en chirurgie a augmenté le risque de réactions allergiques à la cefazoline. Réactions souvent sévères, de type immédiat (chocs anaphylactiques, anaphylaxies, urticaire/angioedème), en partie dues au mode d administration (=un bolus juste avant la chirurgie). L allergie sélective à la céfazoline est la forme dominante. La céfazoline n a pas de chaînes latérales similaires aux autres céphalosporines: un patient allergique à une autre céphalosporine peut tolérer la céfazoline. (Poston et al). [A statement on cefazolin immediate hypersensitivity:clin & Exper Allergy;41].
22 C1G C2G C3G
23 Les réactions croisées(rc) 1. Entre pénicillines 2. Entre pénicillines et céphalosporines 3. Entre céphalosporines 4. Entre pénicillines, céphalosporines et autres bétalactamines : carbapénèmes et monobactames.
24 (1)RC entre pénicillines Pénicilline G (25000 UI/ml) Zinnat (2 mg/ml) Amoxicilline (20-25mg/ml) Rocéphine (2 mg/ml) Ampicilline (20-25mg/ml) Augmentin (20-25mg/ml) Une allergie au noyau bétalactame attestée par des TC positifs à la pénicilline G et autres pénicillines interdit la prescription de toutes les pénicillines. Une allergie à la chaîne latérale R1 de l amoxicilline attestée par des TC positifs à l amoxicilline seule n interdit pas la prescription d une autre B-lactamine qui n a pas la même chaîne latérale.
25 (2) RC entre pénicillines et céphalosporines En cas d allergie aux pénicillines, il y a un risque accru d allergie croisée seulement avec les céphalosporines de 1 è génération (C1G), mais pas de risque accru avec les C2G ou les C3G: à cause des similarités de structure et surtout parce que, jusqu au début des années 1980, les céphalosporines pouvaient contenir des traces de pénicillines (production dans les mêmes moules). Une méta-analyse trouve chez les patients allergiques aux pénicillines : un odd-ratio de 4.79 (intervalle de confiance de 95% : 3.71 à 6.17) pour une réaction allergique à une C1G ou au cefamandole. un odd-ratio de 1.13 (0.61 à 2.12) pour une C2G un odd-ratio de 0.45 (0.18 à 1.13) pour une C3G. Scott Pegler,Brendan Healy.BMJ 2007;335:991. Conclusion: Pas de risque avec les céphalosporines qui ont des chaînes latérales différentes de celles des pénicillines ou de l amoxicilline.
26 (3)Les RC entre céphalosporines Les chaînes latérales des céphalosporines sont les déterminants majeurs des réactions allergiques aux céphalosporines. Le risque de RC entre céphalosporines ayant des chaînes latérales différentes (les 2 chaînes latérales peuvent être différentes) est extrêmement faible. 2/3 des RC entre les céphalosporines sont dues à la reconnaissance spécifique du radical R1 (ex:cefaclor et cefalexine; cefotaxime et ceftriaxone). Les RC peuvent, aussi, être dues au noyau BL ou à des similarités des chaînes latérales en R2.(ex:cefalexine et cefradine ou cefalotine et cefotaxime)
27 (4)RC avec les autres bétalactamines: 1) Pour les carbapénèmes (Imipenem): Chez les sujets allergiques aux pénicillines, il est recommandé de faire les TC avec les carbapénèmes et de prescrire les carbapénèmes en cas de TC négatifs. 2) L aztreonam et autres monobactames: Ils ne croisent pas avec les pénicillines ni avec les céphalosporines, sauf le ceftazidime qui a une chaîne latérale identique avec l aztreonam : il y a une réactivité croisée documentée entre ces 2 molécules et l allergie au ceftazidime doit faire exclure l aztreonam et vice-versa. Une HS isolée à l aztreonam peut se voir et est associée à des anticorps dirigés contre la chaîne latérale de l aztreonam.
28 Conclusions (1) Seules 20 % des suspicions d allergie sont confirmées! Les raisons: 1) la Réaction Initiale (RI) n était pas une réaction allergique; 2) la RI était due à un autre médicament administré en même temps; 3) la RI était due à un autre antibiotique, confondu avec une pénicilline; 4) le patient était devenu tolérant à la pénicilline avec le temps : «100% des cas d allergie sélective à l amoxicilline négativent leurs tests après 5 ans de suivi versus 40 % pour les patients allergiques à d autres pénicillines». M.Blanca. La peur des litiges induit souvent, de la part des médecins traitants, une approche de «sécurité avant tout» avec éviction d un traitement efficace, sans proposer de bilan.
29 Conclusions (2) Pour les bêtalactamines: en pratique, les TC et les TP sont les moyens les plus efficients pour le diagnostic de l allergie aux bêtalactamines. Pour les macrolides et les quinolones: TC non validés. Recours au TP (diagnostic ou recherche alternative). Pour les AINS: il s agit d une HS non allergique : TC non validés. Recours au TP(diagnostic ou recherche alternative).
Hypersensibilité immédiate déclenchée par un prick-test à l amoxicilline. Immediate hypersensitivity triggered by amoxicillin skin prick test.
Hypersensibilité immédiate déclenchée par un prick-test à l amoxicilline. Immediate hypersensitivity triggered by amoxicillin skin prick test. Cherih C 1, Bernede A 1, Breton AL 1, Pralong P 1-3, Nicolas
Plus en détailF.Benabadji Alger 22.11.13
F.Benabadji Alger 22.11.13 ALLERGIE DANS LE MONDE 4ÉME RANG MONDIAL (OMS) PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE LES CAUSES Notre environnement (industriel, technologique, scientifique et climatique) * Allergènes
Plus en détailSituation Agent Schéma posologique*
Le besoin d une antibioprophylaxie pour la prévention d une endocardite infectieuse et d une infection hématogène à la suite d une arthroplastie doit être envisagé sur une base individuelle et en collaboration
Plus en détailLes allergies croisées aux antibiotiques : comment s y retrouver?
PHARMACOTHÉRAPIE Les allergies croisées aux antibiotiques : comment s y retrouver? Hélène Paradis, Daniel J.G. Thirion, Luc Bergeron Résumé Objectif : Le regroupement des pharmaciens en infectiologie de
Plus en détailINFECTIONS POST- TRAUMATIQUES SUR MATÉRIEL D'OSTÉOSYNTHÈSE. Accidentologie et épidémiologie bactérienne
INFECTIONS POST- TRAUMATIQUES SUR MATÉRIEL D'OSTÉOSYNTHÈSE Accidentologie et épidémiologie bactérienne SOMMAIRE Accidentologie Qualité de vie Conséquences médico-économiques Particularités épidémiologiques
Plus en détailDes désensibilisations inhabituelles : le chat, Alternaria. Michel Miguéres AART, janvier 2011
Des désensibilisations inhabituelles : le chat, Alternaria Michel Miguéres AART, janvier 2011 Allergènes répandus Pouvoir pathogène élevé Éviction difficile voire impossible ITS peut être considérée Quels
Plus en détailL ANGINE. A Epidémiologie :
L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable
Plus en détailRéintroductions alimentaires chez l enfant. M. Hofer - J.Wassenberg Immuno-allergologie Service de pédiatrie - CHUV
Réintroductions alimentaires chez l enfant M. Hofer - J.Wassenberg Immuno-allergologie Service de pédiatrie - CHUV Réintroductions alimentaires en 2004 Age: 12 mois 10 ans Nombre total: 30 Tests réussis:
Plus en détailCOMITE DE L ANTIBIOGRAMME DE LA SOCIETE FRANCAISE DE MICROBIOLOGIE
COMITE DE L ANTIBIOGAMME DE LA SOCIETE FANCAISE DE MICOBIOLOGIE ecommandations 2012 (Edition de Janvier 2012) Coordonnateur : Pr C.J. SOUSSY Centre Hospitalier Universitaire Henri Mondor 94010 Créteil
Plus en détailTraitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées
Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones
Plus en détailComment devenir référent? Comment le rester?
Comment devenir référent? Comment le rester? Patrick CHOUTET Service des Maladies infectieuses CHU Bretonneau Tours RICAI décembre 2005 Quels enjeux? autres que le pouvoir Total Outpatient antibiotic use
Plus en détailNOTICE : INFORMATIONS DU PATIENT. Keforal 500 mg comprimés pelliculés. Céfalexine monohydratée
NOTICE : INFORMATIONS DU PATIENT Keforal 500 mg comprimés pelliculés Céfalexine monohydratée Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament car elle contient des informations importantes
Plus en détailDOCUMENTATION TECHNIQUE
DOCUMENTATION TECHNIQUE ETUDE DE LA SENSIBILITE AUX ANTIMICROBIENS Lycée des métiers du tertiaire, de la santé et du social - Louise Michel - Grenoble ANTIBIOGRAMME EN MILIEU GELOSE COMITE DE L ANTIBIOGRAMME
Plus en détailDocteur, j ai pris froid!
Dr j ai pris froid: Objectifs Docteur, j ai pris froid! Jean-Paul Humair Avec la contribution de MC Kramer Colloque SMPR 21.12.2011 Connaitre l épidémiologie des infections des voies respiratoire sup (IVRS)
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailExiste t il des effets pervers à l identification du portage de BMR?
Existe t il des effets pervers à l identification du portage de BMR? J P Bedos, Réanimation, Hôpital Mignot Journée Antibio Résistance et Infections, 5 décembre 2013 Effets pervers des Conflits d intérêt
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailPrise de position sur les biosimilaires. Résumé
Prise de position sur les biosimilaires Résumé Les médicaments biotechnologiques, appelés également biomédicaments, occupent une place importante dans le traitement de maladies comme le cancer, la polyarthrite
Plus en détailPEUT ON PRESCRIRE HORS AMM? LE POINT DE VUE DU CLINICIEN
PEUT-ON PRESCRIRE HORS AMM 17 PEUT ON PRESCRIRE HORS AMM? LE POINT DE VUE DU CLINICIEN P. Albaladejo, B. Caillet, Département d Anesthésie-Réanimation de Bicêtre Hôpital de Bicêtre, 78, rue du Gal Leclerc,
Plus en détailLa Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation
La Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation Céline Michel, pharmacien hospitalier clinicien Charline Artoisenet, pharmacien hospitalier clinicien Université Catholique de Louvain, Cliniques
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailDiagnostic et antibiothérapie. des infections urinaires bactériennes. communautaires de l adulte
SPILF 2014 Mise au point Texte court Diagnostic et antibiothérapie des infections urinaires bactériennes communautaires de l adulte dans son intégralité sans ajout ni retrait. 1 GROUPE DE TRAVAIL Pr François
Plus en détailColette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE
Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE La mise au point préopératoire par un anesthésiste permet de mieux planifier l organisation de la salle d opération, d éviter
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique?
Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique? Références : Pr Samama Journée de Biologie Praticienne Décembre 2011 I. Gouin-Thibault Journée de Biologie Clinique 2012
Plus en détailANTIBIOGRAMME VETERINAIRE DU COMITE DE L ANTIBIOGRAMME DE LA SOCIETE FRANCAISE DE MICROBIOLOGIE
1 ANTIBIOGRAMME VETERINAIRE DU COMITE DE L ANTIBIOGRAMME DE LA SOCIETE FRANCAISE DE MICROBIOLOGIE Membres (2012 2013) MADEC Jean-Yves Coordonnateur, Anses Lyon DECOUSSER Jean-Winoc CHU Antoine Béclère
Plus en détailLa Responsabilité Civile De L anesthésiste
La Responsabilité Civile De L anesthésiste Point de vue du médecin conseil de l assurance Saint-Luc, 9 juin 2004 Fondements de la Art 1382 code civil Une faute Un dommage responsabilité Un lien de causalité
Plus en détailCauses d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire
Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité
Plus en détailMise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire
Mise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire Murielle Galas, Gaëlle Dunoyer, Claude Olive, Rafaëlle Théodose, François Lengellé, Patrick Hochedez,
Plus en détailApproche centrée e sur le patient
Approche centrée e sur le patient Objectifs Prendre conscience des différences de type d approche Connaître le concept de l approche centrée sur le patient Savoir utiliser un outil d approche centrée sur
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailDASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006
DASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006 Place des Nouveaux Tests de Dosage de L INTERFERON GAMMA dans le diagnostic de la Tuberculose Fadi ANTOUN, Cellule Tuberculose DASES Le Quotidien du Médecin 2005
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailInformation sur les programmes d autorisation préalable, de pharmacie désignée et de gestion des dossiers médicaux. Autorisation préalable
Information sur les programmes d autorisation préalable, de pharmacie désignée et de gestion des dossiers médicaux La présente feuille de renseignements vise à fournir de l information sur le processus
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailD. EVEN-ADIN - S. PLACE, Hôpital Erasme SBIMC - 26 octobre 2006
D. EVEN-ADIN - S. PLACE, Hôpital Erasme SBIMC - 26 octobre 2006 Facturation des spécialités pharmaceutiques Dépenses pharmaceutiques remboursées en officine hospitalière (INAMI) Millions 550 500 450 Total
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailLa gestion des risques en hygiène hospitalière
La gestion des risques en hygiène hospitalière Rappels des fondamentaux Dr J-L. Quenon Comité de Coordination de l Évaluation Clinique et de la Qualité en Aquitaine Séminaire de la SF2H, 19 novembre 2013,
Plus en détailMédicaments en vente libre : Considérations pour la pratique de la thérapie physique au Canada
Médicaments en vente libre : Considérations pour la pratique de la thérapie physique au Canada Contexte L utilisation de médicaments par un professionnel de la santé n étant pas médecin évolue et dépend
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux (NOAC)
Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Mécanisme d action Suivi biologique: comment et quand? A.Demulder IRIS-Lab 15/05/2013 1 Anticoagulants «traditionnels»: HNF Parentéral Suivi biologique avec ajustement
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailCEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailL EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE
L EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE Depuis plus de 10 ans, l association Actis dentaire formation a pour objectif de former des praticiens à la chirurgie orale, parodontale et implantaire. L expérience pour
Plus en détailLogiciels de gestion sur mesure Etude et développement. Logiciel de suivi des évènements indésirables dans les établissements hospitaliers
Logiciels de gestion sur mesure Etude et développement VIGITRACE Logiciel de suivi des évènements indésirables dans les établissements hospitaliers VIGITRACE Page 2 1. Préambule Le logiciel «Vigitrace»
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailCas clinique Enquête autour d un cas IDR vs IGRA Pr Emmanuel Bergot
Cas clinique Enquête autour d un cas IDR vs IGRA Pr Emmanuel Bergot Service de Pneumologie, CHU Côte de Nacre Centre de compétence régionale de l HTAP UMR INSERM 1086 «Cancers et Préventions», Université
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailCas clinique infection ORL
Cas clinique infection ORL... 1 Infections ORL... 2 Angine à streptocoque béta hémolytique du groupe A (SGA)... 2 Otite moyenne purulente... 3 Sinusites purulentes... 4 Cas cliniques bronchites... 4 Bronchites
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailTraiter la goutte sans être débordé
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Traiter la goutte sans être débordé Hélène Demers et Michel Lapierre Vous voulez traiter et prévenir la goutte? Lisez ce qui suit! Les différentes phases
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailPratique de l'antibioprophylaxie en chirurgie
Pratique de l'antibioprophylaxie en chirurgie Date de création du document 2008-2009 Table des matières 1 Principes généraux du choix d'un antibiotique pour l'antibioprophylaxie en chirurgie...1 1. 1 Introduction...
Plus en détailLa gestion des risques dans les établissements de soins
La gestion des risques dans les établissements de soins Forum des Usagers 01/03/2010 Dr Agnès PERRIN Sce de Gestion du Risque Infectieux et des Vigilances CHRU de LILLE Débuts de la gestion des risques
Plus en détailLa prise en charge de votre épilepsie
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre épilepsie Vivre avec une épilepsie sévère Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide
Plus en détailTout sur les nouvelles cotations des perfusions
Tout sur les nouvelles cotations des perfusions L arrêté de modification du livre III de la liste des actes et prestations relatif aux perfusions est paru au Journal officiel du 30 septembre 2014. Dans
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailHospital Anxiety and Depression Scale (HADS)
dmt Risques psychosociaux : out ils d é va lua t ion FRPS 13 CATÉGORIE ATTEINTE À LA SANTÉ PHYSIQUE ET MENTALE Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) LANGEVIN V.*, FRANÇOIS M.**, BOINI S.***, RIOU
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailARBRE DÉCISIONNEL INTERACTIF
ARBRE DÉCISIONNEL INTERACTIF DE GESTION DES PATIENTS ALLERGIQUES AVANT INJECTION DE PRODUIT DE CONTRASTE IODÉ D Geffroy¹, A Pipet², F Wessel², G Mineur¹, P Meingan¹, I Doutriaux¹, C Labbe¹, S Houdebine¹,
Plus en détailCommuniqué de presse. Direction Communication Externe/Interne Sylvie Nectoux TEL : 01 44 34 65 73 Email : sylvie.nectoux@boehringeringelheim.
Les données des études pivots de phase III STARTVerso démontrent l'efficacité du faldaprevir * dans des populations de patients difficiles à guérir telles que celles co-infectées par le VIH et celles avec
Plus en détailConflits d intérêts. Consultant: Financement d études: Optimer: fidaxomicine Astra Zeneca : Ceftaroline Novartis: daptomycine
Conflits d intérêts Consultant: Optimer: fidaxomicine Astra Zeneca : Ceftaroline Novartis: daptomycine Financement d études: Novartis (daptomycine) Eumedica (temocilline) 1. Limites techniques des modèles
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailUTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailMÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC
MÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC Québec, le 21 février 2000 2. PRÉAMBULE La Fédération des médecins
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailLe monitoring réinventé
Document destiné aux professionnels de la santé Moniteur de surveillance série CSM-1901 Le monitoring réinventé * L'écran Web est une image de composition Nihon Kohden crée le moniteur du futur Optimisation
Plus en détailLe système d information (bases de données) l évaluation de la qualité des soins.
www.inami.be www.coopami.org Le système d information (bases de données) l évaluation de la qualité des soins. Nouakchott 3 février 2011 Michel Vigneul Cellule Expertise&COOPAMI Se doter d un système d
Plus en détailMigraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans?
Migraine : traitement de la crise Comment utiliser les triptans? 6 ème congrès national de lutte contre la douleur 19-20 Mars Alger Alain Serrie Service de Médecine de la douleur, médecine palliative et
Plus en détailUn métier en évolution pour répondre aux nouvelles. Face à ces évolutions, un nouveau métier
Les métiers de la pharmacovigilance Des métiers en évolution dans une industrie de haute technologie et d'innovation Une mission d'évaluation et de gestion des risques liés à l'utilisation des médicaments
Plus en détailTHÈSE POUR LE DIPLÔME D ÉTAT DE DOCTEUR EN MÉDECINE
UNIVERSITÉ PARIS DIDEROT - PARIS 7 FACULTÉ DE MÉDECINE Année 2013 n THÈSE POUR LE DIPLÔME D ÉTAT DE DOCTEUR EN MÉDECINE PAR BOYER CHAMMARD Timothée Antoine Philippe Né le 4 avril 1983 à Paris 15 ème Présentée
Plus en détailCONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?
CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille
Plus en détailLes Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes
Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes 1 Marché global des anticoagulants Un Marché en explosion: 6 milliards de $ en 2008 9 milliards de $ attenduen
Plus en détailÉquivalence et Non-infériorité
Équivalence et Non-infériorité Éléments d Introduction Lionel RIOU FRANÇA INSERM U669 Mars 2009 Essais cliniques de supériorité Exemple d Introduction Données tirées de Brinkhaus B et al. Arch Intern Med.
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailCréation de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy
Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan
Plus en détailInformation au patient
Information au patient Hôpital de jour médico-chirurgical Je vais subir une intervention chirurgicale en hôpital de jour, cela signifie que l intervention et le retour à domicile s effectueront le même
Plus en détailLA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT!
LA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT! Douleur induite Douleur induite Douleur de courte durée, causée par le soignant ou une thérapeutique dans des circonstances de survenue prévisibles et susceptibles
Plus en détailAllergologie en pratique
2-0093 Allergologie en pratique M. Raffard, H. Partouche L incidence des maladies allergiques est en constante augmentation. Pour expliquer ce phénomène, on discute des modifications du style de vie dans
Plus en détailAnnexe I. Notification de réactions indésirables graves par l établissement :
Annexe I. Notification de réactions indésirables graves par l établissement : Partie A. Notification rapide d une suspicion de cas de réaction indésirable grave chez un donneur (vivant) (complication liée
Plus en détailLE FINANCEMENT. MSPD Eric Fretillere Conseil Régional de l Ordre des Médecins d Aquitaine CDOM 47Page 1
LE FINANCEMENT Il ne faut pas se le cacher, le financement est une difficulté et de nombreuses maisons médicales dans les 10 dernières années, qui fonctionnaient de manière satisfaisante, sont «décédées»
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailA. Bourgeois SMIT. CHRU de Montpellier
A. Bourgeois SMIT. CHRU de Montpellier Homme, 41 ans, sans ATCD Séjour en Guyane (Cayenne et alentours) du 28/12/19 au 12/01/10 Hospitalisé du 09 au 11/02/10 pour érysipèle d évolution défavorable sous
Plus en détailCLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE
CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE BAXTER_CLINIMIX N9G15 E et N12G20E_Avis CT_14-02-2007.pdf BAXTER_CLINIMIX N9G15E N12G20E N14G30 N17G35_Avis CT_12-12-2001.pdf BAXTER_CLINIMIX changement
Plus en détailcursus d implantologie orale Les clés du succès par le compagnonnage
cursus d implantologie orale Les clés du succès par le compagnonnage Validé par un certificat - Crédit de 200 points Accrédité par le Conseil National de la Formation Continue en Odontologie Numéro d accréditation
Plus en détail