Journées suisses de la statistique, 16 octobre 2013, Bâle Keynote

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Journées suisses de la statistique, 16 octobre 2013, Bâle Keynote"

Transcription

1 Département fédéral de l intérieur DFI Office fédéral de la statistique OFS Direction Journées suisses de la statistique, 16 octobre 2013, Bâle Keynote Directeur de l OFS, Georges-Simon Ulrich (Seules les paroles prononcées font foi.) Monsieur le Professeur Hans-Rudolf Künsch (EPF Zurich), Monsieur le Professeur Edward Waymire (Oregon State University), Monsieur Diego Kuonen, (Swiss Statistical Society), Monsieur Peter Laube, (CORSTAT), Mesdames, Messieurs, «Eadem mutata resurgo». En français: «Changé, je reparais le même». Cette formule est gravée dans la cathédrale de Bâle, à quelques centaines de mètres d ici, sur la plaque tombale de Jacob Bernoulli, auquel ces derniers jours ont été consacrés. Mais d abord je vous souhaite, au nom de l Office fédéral de la statistique, la bienvenue aux Journées suisses de la statistique 2013 à Bâle. L inscription précitée traduit bien l idée d une statistique publique qui se développe tout en se transformant en permanence. La statistique publique c est-à-dire vous et moi, nous tous est confrontée à de gros défis. Je pense par exemple à l apparition par suite du progrès technologique de nouveaux fournisseurs d informations (mot clé «big data»), ou encore à la pression à l économie, qui est constante alors même que les besoins en informations, et en informations toujours plus complexes, augmentent. Nous devons dès lors nous adapter et évoluer, mais on n évolue pas dans le vide. Je veux dire par là que nous devons rester conscients de notre mission fondamentale et de tout de qui a été acquis et réalisé dans le passé. Nous devons en permanence changer, nous adapter, mais sans perdre de vue notre mission et nos exigences en ce qui concerne la qualité, la pertinence des données et l indépendance de la statistique à l égard des forces politiques. Mais je ne veux pas parler aujourd hui du passé, qui sera au centre des réflexions du prochain orateur à cette tribune. Je voudrais, dans les minutes qui viennent, me concentrer sur l avenir de la statistique publique. Et ce qui m intéresse surtout, c est comment préserver ce qui est bon tout en intégrant du neuf, comment maîtriser le changement, comment se développer en permanence. En ce moment, je passe personnellement par un changement. Vous le savez, j ai pris officiellement il y a quinze jours mes fonctions de directeur de l OFS. J étais auparavant directeur de LUSTAT dans un autre segment de la statistique publique. Mais tout en changeant de rôle, je reste fidèle à mes exigences, à mes opinions et à l idée que je me fais de la statistique publique.

2 Je voudrais tout d abord esquisser ce que la maîtrise de ces défis peut signifier, de mon point de vue, pour la statistique publique, et quels grands axes seront les nôtres dans ce contexte. 1 Qualité et efficacité: deux exigences permanentes Je n appelle pas au changement pour le changement. Pas plus que je ne pense que les défis que nous avons à relever aujourd hui exigent une transformation radicale de la statistique publique. Au contraire: l art du changement consiste à s adapter à des réalités qui évoluent, à jeter le lest devenu inutile, tout en conservant ce qui est bon. C est ainsi que nous pourrons remplir durablement notre mission fondamentale avec la qualité et l efficacité nécessaires. Le savoir-faire acquis dans le passé est la base solide qui soutient l édifice. Le changement qui aujourd hui s impose est avant tout une évolution, une amélioration permanente. Certes, le passé nous a appris qu il faut savoir procéder de temps en temps à des changements révolutionnaires. Mais ceux-ci doivent rester l exception, être introduits de manière très ciblée, et surtout être ensuite intégrés et développés continuellement. Deux bons exemples, à cet égard, sont pour moi le recours systématique aux registres officiels et l appariement des données. L utilisation des registres et des données administratives a été une révolution, un véritable saut quantique, lors du premier recensement rénové de la population, aussi bien en ce qui concerne les potentialités du nouveau système qu en ce qui touche l allégement de la charge sur les personnes interrogées. Aujourd hui, après seulement quelques années, le recours aux registres est devenu chose toute naturelle. Nous devons maintenant mener à bien une tâche non moins exigeante, quoique moins prestigieuse, et qui consiste, par des mesures d assurance qualité, à poursuivre ce qui a été fondé, tout en travaillant pas à pas à l intégration systématique des registres, par exemple dans le domaine de la formation ou des registres fiscaux. L autre saut quantique qui nous attend est celui des appariements de données. Jusqu à ce que ceux-ci entrent dans le cours normal des choses, il faudra encore déployer de gros efforts et contourner divers obstacles. Mais cette innovation finira elle aussi par se banaliser, ouvrant de nouvelles possibilités à la statistique publique. Elle assurera une production efficace et rationnelle de l information statistique et allégera encore la charge qui pèse sur les personnes interrogées. 2 Notre mission fondamentale Je voudrais maintenant montrer, en cinq points, comment nous pouvons relever de tels défis. Je parlerai d abord de notre mission fondamentale, qui consiste à produire des informations statistiques dans la durée. Puis je vous dirai mes réflexions sur le rôle de la statistique comme instrument de communication et de «traduction». Je parlerai ensuite de la coopération, qui est pour moi une condition sine qua non de tout travail statistique. Enfin, j évoquerai les défis que nous avons à relever d une part pour axer notre travail sur l outcome, d autre part pour maîtriser la complexité. 2/7

3 2.1 Nécessité de la continuité Je préconise le changement dans la continuité, ce qui ne peut se faire qu en s appuyant sur un fondement solide. Mais quel est ce fondement? Notre tâche première, la mission classique de la statistique publique, est une mission de description. Elle consiste à expliquer, à montrer comment les choses se sont passées, sans porter aucun jugement de valeur et sans formuler de recommandation sur ce qu il convient de faire. La statistique, en ce sens, est la «mémoire de la nation». Cette mission absorbe une très grande partie des ressources de la statistique publique sans que la valeur de ce travail ne soit généralement perçue et reconnue publiquement. Même quand les ressources sont limitées et quand le besoin de nouvelles statistiques se fait sentir, nous devons garantir la préservation de cette mémoire. Car les informations statistiques ainsi produites dans la durée ne servent pas seulement à écrire l histoire, elles constituent le fondement à long terme du développement et de l évaluation des stratégies politiques et de l action gouvernementale, et elles peuvent en tout temps être réutilisées dans des combinaisons et des analyses originales lorsqu il faut répondre rapidement à des problématiques nouvelles. 2.2 La fonction de pont qui incombe à la statistique La fonction normative de la statistique publique, qui vient ensuite, est naturellement plus restreinte; elle doit non seulement s appuyer sur une base scientifique mais encore être libre de toute influence politique. Ainsi pourra-t-elle livrer à tous les milieux intéressés quelles que soient leurs positions politiques et leurs objectifs propres les données neutres dont ils on besoin. C est ici au monde politique lui-même qu il appartient de prendre ses responsabilités. Il doit dire clairement les buts qu il poursuit et comment les effets de son action doivent être mesurés. La statistique livrera alors les informations nécessaires. Ce travail qui consiste à «objectiver» des intentions politiques et que généralement on sous-estime n est ni plus ni moins qu un travail de traduction, un travail de transposition d un projet politique en un savoir objectif, qui requiert des statisticiennes et des statisticiens une compréhension en profondeur des réalités observées et de l action politique. Nous devons non seulement travailler au développement de notre savoir-faire statistique, mais réfléchir constamment et activement aux questions qui dominent le débat politique et le débat public, afin d en saisir les tenants et les aboutissants. Si ce travail de traduction est bien fait, les responsables politiques auront non seulement les moyens d évaluer les faits passés, mais ils seront mieux informés sur les phénomènes complexes et les interactions qui se jouent dans le présent. Ils auront la possibilité de définir des mesures bien ciblées et axées sur le futur. La statistique publique remplit ainsi une autre partie de sa mission, comme instrument indispensable de l action politique. Or c est l action politique qui oriente le destin du pays que ce soit au niveau national, cantonal ou communal au sein d un monde hautement complexe, où tout est lié et interdépendant. Mais il faut savoir admettre aussi que la statistique publique ne peut pas répondre à tous les besoins. La crise financière a montré que le pouvoir politique et le public demandent parfois à la statistique des informations qu elle ne peut pas livrer dans les délais voulus et dans la qualité souhaitée. Nous n aurons jamais on ne pourrait d ailleurs pas le financer un système de statistique publique qui soit capable de satisfaire toujours directement l ensemble des besoins. Notre tâche consiste dès lors, d entente avec les partenaires de la statistique publique, à remettre à jour notre portefeuille de statistiques afin de dégager des ressources pour des projets nouveaux. Par exemple, je suis persuadé que nous devons accomplir en- 3/7

4 core des progrès dans le domaine des analyses transversales. Il le faut pour pouvoir produire à l avenir des données pertinentes sur des systèmes complexes, ou pour analyser les interdépendances qui existent entre plusieurs systèmes ou sous-systèmes. Enfin nous avons pour tâche, sur les questions qui occupent le débat public, de suivre les tendances et les évolutions en cours et d identifier les problèmes qui s annoncent. Je pense que nous devons oser suivre plus activement les questions politiques du moment afin de repérer les domaines où la statistique pourrait être utile et d attirer l attention, de manière proactive, sur des questions qui mériteraient de faire l objet d un débat public. 2.3 L efficacité par la coopération Je vois un autre gros défi pour la statistique publique dans le développement des partenariats entre les différents acteurs de la statistique publique et dans le développement de la communication avec les utilisateurs de statistiques, les autorités politiques, l administration et la collectivité. Pour pouvoir mener ce dialogue ensemble et de manière ciblée, il faut que les tâches de la statistique publique, telles que je les ai esquissées tout à l heure, soient clairement définies et que les règles du jeu soient acceptées par tous. Nous ne devons pas craindre, par exemple, d aller activement au-devant des médias. De plus en plus, la statistique publique se trouve dans un rapport de concurrence avec d autres fournisseurs d information. Pour soutenir cette concurrence, nous devons faire connaître et faire valoir plus activement nos forces qualité, standardisation, comparabilité de nos données au plan national et international et donc faire la publicité de nos produits. C est pour nous tous à la fois une tâche et un devoir, étant bien entendu, Mesdames et Messieurs, que la statistique n est pas un but en soi mais un bien public au service de la collectivité. Mais comment arriverons-nous à faire apparaître la statistique publique comme un tout cohérent, et à en faire un partenaire naturel sur le marché de l information? La première condition, pour y arriver, est de définir ce que nous appelons sans toujours nous accorder sur le sens de cette expression le «système statistique suisse», de nous entendre sur les rôles et les tâches de chacun et, ensemble, de donner vie à ce système. Pour la statistique publique, développer un système clairement défini (et clairement délimité), positionner ce système dans le contexte national et international, n est pas seulement un défi en soi, c est aussi une partie de la réponse que nous pouvons apporter aux autres défis qui nous attendent. Au niveau international, notre marge de manœuvre n est, de fait, pas très grande. Mais l OFS a déjà pris de premières mesures pour se positionner plus favorablement et va poursuivre ses efforts dans ce sens afin que la Suisse soit mieux entendue dans les échanges internationaux. Au niveau national, nous pouvons agir beaucoup plus directement. Comme nouveau directeur, je veux, d entente avec nos partenaires cantonaux et fédéraux, et avec nos partenaires dans le monde scientifique, dans l économie et dans la société, fixer les modalités de notre coopération, définir les rôles et les responsabilités de chacun. Je voudrais aussi renforcer la position de l OFS comme centre de compétence de la statistique publique suisse. Je sais que l OFS, qui par son volume d activité est l acteur principal, doit assumer ses responsabili- 4/7

5 tés. Car seul l OFS possède en Suisse une masse critique suffisante pour assumer certaines tâches spéciales, soit statistiques, soit techniques, soit encore comme le soulignera un prochain orateur méthodologiques. La construction d un système statistique cohérent implique non seulement une coopération et des compétences au niveau fédéral mais aussi une coopération entre les organes statistiques de la Confédération et des cantons, et avec les services statistiques d autres institutions, et surtout avec les milieux scientifiques. S interroger sur l utilité de cette collaboration, c est déjà avoir perdu la partie. La seule question qui se pose, c est comment organiser cette coopération. Ce n est qu en travaillant ensemble que nous réussirons à produire des statistiques pertinentes et de haute qualité, avec des processus de production efficaces et durables. Un élément important dans ce processus de développement consiste à identifier les forces de chaque acteur et à discerner la contribution efficace et ciblée que chacun, par ses compétences et ses ressources, peut apporter. Pour ce faire, il faut commencer pas se demander non pas «qui a autorité pour faire quoi», mais «qui a les moyens de faire quoi, et avec quelle efficacité». La discussion doit quitter le terrain du partage organisationnel des compétences, et s orienter vers une définition et une répartition fonctionnelle des compétences. Il faut analyser les situations où des responsabilités se chevauchent et où les domaines d activité se recouvrent partiellement, et ne pas penser d abord en termes d organigramme. La question première doit être de savoir comment nous pourrons, ensemble, remplir rationnellement et efficacement les tâches qui nous incombent. 2.4 Importance de l outcome Notre travail ne sera pas jugé, au final, sur la manière dont il est organisé, mais sur ses résultats. Il faut que l outcome de notre travail réponde aux besoins de ceux qui l utilisent. Nous devons concentrer notre attention sur l utilité du produit que nous offrons. En tâchant, par exemple, de soutenir les décideurs politiques, à tous les niveaux de l Etat, en leur proposant des informations statistiques qui ne soient pas seulement intéressantes, mais qui soient véritablement pertinentes pour leur action. Dans le domaine politique, il n est pas suffisant de fournir à chaque échelon de l Etat des informations intéressantes et utiles. Nous devons réfléchir de manière prospective et nous préparer dès aujourd hui à produire demain, face à des problématiques nouvelles, les bases de décision objectives dont les politiques auront besoin. Il faut mener des discussions à chaque échelon politique sur la pertinence des activités et des thématiques traitées, afin de pouvoir produire des informations propres à nous guider vers les objectifs visés. Je vois aussi là une chance pour les offices statistiques cantonaux et régionaux de se concerter encore davantage horizontalement afin de renforcer leur position dans les cantons. Je suis pleinement conscient du fait que cette approche comporte aussi des risques. Si nous intervenons, ou prétendons intervenir trop directement et trop activement sur le terrain normatif, nous courons le risque d outrepasser notre mission qui est de traduire des objectifs politiques en informations statistiques et d empiéter sur le travail politique proprement dit. 5/7

6 Nous marchons sur une ligne de crête: le défi consiste non pas à produire des statistiques politiques, mais des statistiques pertinentes pour l action politique. Si nous y réussissons, la statistique publique sera en mesure de s imposer même quand ses résultats contrediront l opinion politique dominante, même quand ils manifesteront une réalité autre que celle qui est majoritairement admise. Dans un Etat démocratique pluraliste, l information objective et indépendante fait partie des facteurs déterminants qui doivent peser sur les décisions et les programmes politiques. Nous pouvons donc affirmer, nous les responsables de la statistique publique, que l influence de l information statistique sur les processus de décision même si elle n est pas quantifiable est considérable. 2.5 Complexités et interdépendances Si nous faisons de la pertinence politique des statistiques le fil conducteur de notre activité, c est parce que nous savons que les décisions politiques ont besoin, toujours plus, de s appuyer sur des faits. Les décisions se prennent dans un monde toujours plus complexe et interdépendant. Les autorités politiques, d ailleurs, nous demandent toujours plus souvent des systèmes de monitorage complets, dont la conception et le développement constituent un des grands défis de la statistique publique. Nous devons nous détourner encore davantage des analyses classiques limitées à un secteur thématique particulier et proposer de larges analyses transversales. Et là encore la science entre en jeu. Seule une coopération entre les chercheurs et la statistique publique permettra de poursuivre le développement de ces systèmes d information complexes et exigeants, sur des fondements solides et dans la qualité voulue. Cette coopération ne doit pas se limiter à attribuer des mandats de recherche, il faut dialoguer activement pour étendre nos connaissances, intégrer dans notre travail ce que nous retirons de ces échanges, afin de développer de nouveaux produits et de nouveaux systèmes. Idéalement, cela se fera dans le cadre d un dialogue d égal à égal entre les hautes écoles et la statistique publique, en associant à ce dialogue les offices qui nous mandatent. C est ainsi seulement que les besoins futurs des utilisateurs pourront être pris en considération assez tôt dans le travail d élaboration souvent de longue haleine des nouveaux systèmes d information statistique. Cette manière de faire permet par ailleurs de tenir compte de l interdisciplinarité croissante des problèmes. Par exemple, pour répondre aux questions qui se posent dans le domaine de la prévoyance vieillesse, il faut non seulement des statistiques sociales et démographiques, mais des données sur l évolution de l économie, du marché du travail, des marchés financiers et des finances publiques, lesquels jouent dans ce domaine un rôle de plus en plus important. Notre travail consistera à construire l information statistique de manière à rendre compte non seulement de l évolution de chacun de ces domaines en particulier, mais de manière à mettre en évidence leurs mécanismes et leurs interactions. 3 Quelles seront les prochaines étapes? Si vous pensez que les défis que je viens d esquisser formeront nos tâches principales dans les années à venir, alors je vous invite à vous y attaquer avec moi. Il faut que chaque partenaire y contribue par son savoir-faire, par ses compétences et avec ses ressources particulières. Mais marcher ensemble, cela signifie aussi je veux le souligner expressément que les solutions particulières et les marges de manœuvre individuelles devront être remises en question, voire supprimées ou limitées au profit du but commun. Nous n échapperons pas à 6/7

7 la nécessité de développer ensemble, au niveau national, un «système statistique suisse» clairement défini et clairement circonscrit, à bâtir ensemble la «maison statistique suisse». Certes, il ne faut pas se perdre à vouloir définir et configurer ce système jusque dans ses détails et dans ses moindres ramifications. Je plaide plutôt pour une approche pragmatique, qui fixe les orientations nécessaires, qui définisse les règles du jeu et qui clarifie autant qu il le faut les rôles et les tâches de chacun et au final c est vous, Mesdames et Messieurs, qui, dans la pratique, donnerez vie à tout cela. En ma qualité de directeur de l Office fédéral de la statistique, je voudrais commencer aujourd hui avec vous, représentantes et représentants des cantons, de l administration, de la science et surtout de nos clients, à construire la «maison statistique suisse». Le fondement est posé, les instruments, nous les avons, grâce aux investissements qui ont été consentis ces dernières années dans des systèmes de production modernes. Nous pouvons dès lors assumer notre responsabilité, qui est de faire bon usage de l argent public. Il ne nous reste plus maintenant qu à entreprendre la première étape de ce chantier. Je vous invite à y travailler avec moi, avec l OFS et avec tous les responsables statistiques de la Suisse. Permettez-moi pour conclure de revenir, en la modifiant légèrement, à la formule que j ai citée tout au début: «Changés, nous reparaîtrons les mêmes.» Cette formule résume l essentiel de mon propos, qui est de vous inviter tous à une coopération vivante et active. Merci de votre attention. 7/7

Groupe de la Banque africaine de développement. ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement

Groupe de la Banque africaine de développement. ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement Groupe de la Banque africaine de développement ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement AU SEMINAIRE DE SENSIBILISATION DES SERVICES DE LA BANQUE

Plus en détail

Le futur doit s ancrer dans l histoire

Le futur doit s ancrer dans l histoire Conférence de presse du 3 septembre 2013 Le texte prononcé fait foi. Le futur doit s ancrer dans l histoire Patrick Odier, Président du Conseil d administration, Association suisse des banquiers Mesdames,

Plus en détail

AVIS FORMEL DU CONSEIL D ETAT. Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs les membres de la commission, * * *

AVIS FORMEL DU CONSEIL D ETAT. Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs les membres de la commission, * * * CONSEIL D ETAT Château cantonal 1014 Lausanne Commission thématique de la modernisation du parlement Secrétariat général du Grand Conseil Place du Château 6 1014 Lausanne Réf. : PM/15007041 Lausanne, le

Plus en détail

Réception de Montréal Secteur des valeurs mobilières. Discours d ouverture

Réception de Montréal Secteur des valeurs mobilières. Discours d ouverture Réception de Montréal Secteur des valeurs mobilières Discours d ouverture Andrew J. Kriegler Président et chef de la direction Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières 25

Plus en détail

Avenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations»

Avenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations» Avenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations» Point d étape de la négociation PPCR 10 Mars 2015 Discours d ouverture de Marylise LEBRANCHU Mesdames et Messieurs, Nous

Plus en détail

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,

Plus en détail

Préavis No 22-2006 au Conseil communal

Préavis No 22-2006 au Conseil communal VILLE DE PULLY Municipalité Direction Administration générale, finances et affaires culturelles Préavis No 22-2006 au Conseil communal Fixation du plafond d endettement et du plafond pour les cautionnements

Plus en détail

MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS

MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ ET DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS 1. Introduction Placer la «bonne personne au bon endroit» représente

Plus en détail

Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive

Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Transcription et traduction de la communication de Verity DONNELLY colloque Éducation inclusive, la question

Plus en détail

Intervention de Marisol Touraine. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes

Intervention de Marisol Touraine. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes 1 Intervention de Marisol Touraine Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Conseil d administration du régime social des indépendants Jeudi 25 juin 2015 Monsieur le Ministre,

Plus en détail

Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser»

Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Odile Quintin Directrice générale de la DG Education et Culture Commission européenne Bruxelles,

Plus en détail

Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché

Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché XXIII ème Assemblée régionale Europe Erevan, Arménie 3 au 7 mai 2010 Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché Section Belgique/Communauté

Plus en détail

Cahier des charges pour la réalisation d un audit externe du programme GUS / OFS

Cahier des charges pour la réalisation d un audit externe du programme GUS / OFS Département fédéral de l intérieur (DFI) Office Fédéral de la Statistique OFS Etat-major Cahier des charges pour la réalisation d un audit externe du programme GUS / OFS Table des matières 1 Généralités

Plus en détail

Membre de la Commission européenne, chargé du Marché intérieur et des Services

Membre de la Commission européenne, chargé du Marché intérieur et des Services SPEECH/13/XXX Michel BARNIER Membre de la Commission européenne, chargé du Marché intérieur et des Services Dématérialisation de la commande publique : un levier de modernisation de l administration publique

Plus en détail

Les défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements

Les défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements Résumé Les défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements Ce texte fait partie d une banque de 50 récits de pratiques d intervention en itinérance qui ont été réalisés avec quatre Équipes

Plus en détail

Evaluation du Réseau Santé Psychique Suisse

Evaluation du Réseau Santé Psychique Suisse Universität Zürich Institut für Politikwissenschaft Forschungsbereich Policy-Analyse & Evaluation Evaluation du Réseau Santé Psychique Suisse Sur mandat de l Office fédéral de la santé publique Thomas

Plus en détail

CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT)

CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) FACONNER ENSEMBLE L OIT DU FUTUR «Pour tout ce qui a été, merci. Pour tout ce qui sera, oui.» (Dag

Plus en détail

Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées

Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées Ligne directrice Objet : Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées Date : Introduction La simulation de crise

Plus en détail

Discours d ouverture de Michèle Bourque présidente et première dirigeante Société d assurance-dépôts du Canada Ottawa mercredi 6 février 2013

Discours d ouverture de Michèle Bourque présidente et première dirigeante Société d assurance-dépôts du Canada Ottawa mercredi 6 février 2013 1 Première conférence du Comité régional de l AIAD (Association internationale des assureurs-dépôts) pour l Amérique du Nord sur les règlements transfrontières et les institutions-relais Discours d ouverture

Plus en détail

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR

Plus en détail

Des soins de qualité à la portée de toutes les bourses? Oui, mais comment?

Des soins de qualité à la portée de toutes les bourses? Oui, mais comment? Des soins de qualité à la portée de toutes les bourses? Oui, mais comment? Congrès du Parti socialiste du canton de Berne Mercredi 30 janvier 2013 à Berne Allocution de Philippe Perrenoud Conseiller d

Plus en détail

Je m adresse à vous comme socialiste, comme parlementaire et comme Président du Conseil général de la Seine-Saint-Denis.

Je m adresse à vous comme socialiste, comme parlementaire et comme Président du Conseil général de la Seine-Saint-Denis. Audition Commission sur la réforme territoriale Intervention de M. Claude Bartolone Jeudi 15 janvier 2009 Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les membres de la Commission, Mesdames et Messieurs,

Plus en détail

Projet de Loi no 98 Loi modifiant la Loi sur l assurance médicament et d autres dispositions législatives

Projet de Loi no 98 Loi modifiant la Loi sur l assurance médicament et d autres dispositions législatives Projet de Loi no 98 Loi modifiant la Loi sur l assurance médicament et d autres dispositions législatives Présentation à la Commission des affaires sociales Ordre des pharmaciens du Québec 28 mai 2002

Plus en détail

Allocution de Monsieur le Ministre à l occasion du 1 er meeting sur l information financière

Allocution de Monsieur le Ministre à l occasion du 1 er meeting sur l information financière Royaume du Maroc المملكة المغربية Direction du Trésor et des finances Extérieures مديرية الخزينة و المالية الخارجية Allocution de Monsieur le Ministre à l occasion du 1 er meeting sur l information financière

Plus en détail

UNE ÉVALUATION Une évaluation c est quoi, çà sert à quoi? Evaluer mon projet et son plan d action pour le faire durer

UNE ÉVALUATION Une évaluation c est quoi, çà sert à quoi? Evaluer mon projet et son plan d action pour le faire durer MODULE ÉVALUER SON PROJET COMPRENDRE UNE ÉVALUATION Une évaluation c est quoi, çà sert à quoi? Evaluer mon projet et son plan d action pour le faire durer L ÉVALUATION DE L IMPACT SOCIAL L Impact Social

Plus en détail

Aperçu des 37 principes directeurs

Aperçu des 37 principes directeurs Département fédéral des finances DFF Administration fédérale des finances AFF Gouvernement d entreprise de la Confédération Aperçu des 37 principes directeurs Principe n o 1 En principe, il convient d

Plus en détail

OFFICE DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne

OFFICE DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne OFFICE DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne Mécanisme d examen de l application de la Convention des Nations Unies contre la corruption Documents de base NATIONS UNIES Vienne, 2010 Résolutions

Plus en détail

ENJEUX, PRATIQUES ET RÉGLEMENTATION EN ASSURANCE AUTOMOBILE : UNE COLLABORATION RÉUSSIE ENTRE L AUTORITÉ ET LE GAA

ENJEUX, PRATIQUES ET RÉGLEMENTATION EN ASSURANCE AUTOMOBILE : UNE COLLABORATION RÉUSSIE ENTRE L AUTORITÉ ET LE GAA ENJEUX, PRATIQUES ET RÉGLEMENTATION EN ASSURANCE AUTOMOBILE : UNE COLLABORATION RÉUSSIE ENTRE L AUTORITÉ ET LE GAA Notes pour une allocution prononcée par M. Patrick Déry Surintendant de l encadrement

Plus en détail

devant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable

devant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable VERSION DÉFINITIVE Allocution prononcée par Anthony Ariganello, CGA Président-directeur général CGA-Canada devant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable Toronto (Ontario) Le 20 octobre

Plus en détail

«Le Leadership en Suisse»

«Le Leadership en Suisse» «Le Leadership en Suisse» Table des matières «Le Leadership en Suisse» Une étude sur les valeurs, les devoirs et l efficacité de la direction 03 04 05 06 07 08 09 11 12 13 14 «Le Leadership en Suisse»

Plus en détail

CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE

CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE European University Association Association Européenne de l'université Copyright 2008 par l Association Européenne de l Université

Plus en détail

Un autre signe est de blâmer «une colère ouverte qui débute par le mot TU».

Un autre signe est de blâmer «une colère ouverte qui débute par le mot TU». Le besoin de contrôler Le comportement compulsif de tout vouloir contrôler n est pas mauvais ou honteux, c est souvent un besoin d avoir plus de pouvoir. Il s agit aussi d un signe de détresse; les choses

Plus en détail

Réforme du crédit à la consommation Position de la CCIP

Réforme du crédit à la consommation Position de la CCIP Rapports et études Les prises de position de la Chambre de commerce et d industrie de Paris Réforme du crédit à la consommation Position de la CCIP Rapport de Monsieur Philippe HOUZÉ avec la collaboration

Plus en détail

«seul le prononcé fait foi»

«seul le prononcé fait foi» «seul le prononcé fait foi» Discours à l occasion de la réunion du Pacte de Responsabilité et de Solidarité Lundi 26 mai 2014 Lesparre-Médoc Mesdames et Messieurs les Parlementaires Mesdames et Messieurs

Plus en détail

Open Source n est pas une question de foi

Open Source n est pas une question de foi Finanzdirektion Groupe parlementaire pour une informatique durable Conférence de Monsieur le Conseiller d Etat Peter Hegglin sur le thème Open Source n est pas une question de foi Mesdames et Messieurs

Plus en détail

F RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S. sur

F RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S. sur F RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S sur L AVANT-PROJET DE PLAN D ACTION EN MATIERE DE RESPONSABILITE SOCIETALE DES ENTREPRISES EN BELGIQUE *** 2 Dans sa lettre du 10 juillet

Plus en détail

Initiative parlementaire Loi fédérale sur la continuation de l assurance des travailleuses dans la prévoyance professionnelle

Initiative parlementaire Loi fédérale sur la continuation de l assurance des travailleuses dans la prévoyance professionnelle 01.400 Initiative parlementaire Loi fédérale sur la continuation de l assurance des travailleuses dans la prévoyance professionnelle Rapport de la Commission de la sécurité sociale et de la santé du Conseil

Plus en détail

Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA)

Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA) Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA) PLACE ET RÔLE DE L ADMINISTRATION - DE LA FONCTION PUBLIQUE - DANS LA MISE EN ŒUVRE DES MISSIONS DE L ETAT ET DE LA VISION NATIONALE DE DEVELOPPEMENT

Plus en détail

Je vous souhaite la bienvenue à la Cité des Sciences pour ces deux journées de colloque consacré à la sécurité alimentaire dans le monde.

Je vous souhaite la bienvenue à la Cité des Sciences pour ces deux journées de colloque consacré à la sécurité alimentaire dans le monde. Note à Eléments de langage Chers amis, Je vous souhaite la bienvenue à la Cité des Sciences pour ces deux journées de colloque consacré à la sécurité alimentaire dans le monde. Des colloques sur ce sujet,

Plus en détail

A propos de l Audit des finances communales

A propos de l Audit des finances communales A propos de l Audit des finances communales (évoqué lors du Conseil municipal de septembre 2014) A la demande de la majorité municipale, un audit a été commandité auprès du cabinet FCL. Les conclusions

Plus en détail

Direction des Ressources Humaines 14/10/04 CLASSIFICATION DU GROUPE CREDIT COOPERATIF

Direction des Ressources Humaines 14/10/04 CLASSIFICATION DU GROUPE CREDIT COOPERATIF CLASSIFICATION DU GROUPE CREDIT COOPERATIF SOMMAIRE PREAMBULE P. 4 DISPOSITIONS GENERALES : I. Généralités P. 05 I.1. Définition de la classification P. 05 I.2. Relation classification emploi P. 05 I.3.

Plus en détail

Projet de loi C-31 Loi de mise en œuvre de l accord Canada États-Unis pour un meilleur échange de renseignements fiscaux

Projet de loi C-31 Loi de mise en œuvre de l accord Canada États-Unis pour un meilleur échange de renseignements fiscaux Projet de loi C-31 Loi de mise en œuvre de l accord Canada États-Unis pour un meilleur échange de renseignements fiscaux Allocution de Darren Hannah Vice-président intérimaire, Politiques et opérations

Plus en détail

1 von 5 07.05.2013 11:59. Vie numérique Dimanche5 mai 2013

1 von 5 07.05.2013 11:59. Vie numérique Dimanche5 mai 2013 1 von 5 07.05.2013 11:59 Vie numérique Dimanche5 mai 2013 Par Propos recueillis par Mehdi Atmani «Je pars en guerre contre le Big Data» Le préposé fédéral à la protection des données et à la transparence,

Plus en détail

Colloque Prévention et gestion de la fraude aux cartes bancaires 17 janvier 2008. Discours d ouverture par M. Noyer, Gouverneur de la Banque de France

Colloque Prévention et gestion de la fraude aux cartes bancaires 17 janvier 2008. Discours d ouverture par M. Noyer, Gouverneur de la Banque de France Colloque Prévention et gestion de la fraude aux cartes bancaires 17 janvier 2008 Discours d ouverture par M. Noyer, Gouverneur de la Banque de France Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, Je suis

Plus en détail

L évolution du travail en réseau : une nouvelle donne stratégique

L évolution du travail en réseau : une nouvelle donne stratégique L évolution du travail en réseau : une nouvelle donne stratégique Les nouvelles formes d'organisation de l'entreprise, fondées sur le partenariat, l'externalisation, les réseaux, se multiplient. Les frontières

Plus en détail

Aujourd hui, pas un seul manager ne peut se dire à l abri des conflits que ce soit avec ses supérieurs, ses collègues ou ses collaborateurs.

Aujourd hui, pas un seul manager ne peut se dire à l abri des conflits que ce soit avec ses supérieurs, ses collègues ou ses collaborateurs. MANAGERS : COMMENT PRENEZ-VOUS EN CHARGE LES CONFLITS? AUTO-EVALUEZ-VOUS! Dans un contexte économique morose et qui perdure, nous sommes confrontés à un grand nombre de difficultés et de frustrations.

Plus en détail

Considérations sur la crise et le marché intérieur 1

Considérations sur la crise et le marché intérieur 1 Considérations sur la crise et le marché intérieur 1 Auteurs : Jacques Potdevin : Président de la Fédération des Experts comptables Européens (FEE - Federation of European Accountants 2 ) de 2007 à 2008.

Plus en détail

Démarche Prospective Métier Pub/Com : Enquête en extension

Démarche Prospective Métier Pub/Com : Enquête en extension Université ParisDauphine Démarche Prospective Métier Pub/Com : Enquête en extension L Observatoire des Métiers de la Publicité a confié à Luc Boyer et Aline Scouarnec, dans le cadre d une étude prospective,

Plus en détail

Prévoir sur mesure et profiter outre mesure

Prévoir sur mesure et profiter outre mesure ÉPARGNE 3 PORTFOLIO 3 Prévoir sur mesure et profiter outre mesure Avec des solutions de prévoyance 3 e pilier. Des réponses concrètes à vos interrogations Un 3 e pilier à votre mesure Pour un présent serein

Plus en détail

Zugerberg Asset Management ZAM. Gestion de fortune exclusive principalement basée sur des titres individuels. ZAM Z.

Zugerberg Asset Management ZAM. Gestion de fortune exclusive principalement basée sur des titres individuels. ZAM Z. Zugerberg Asset Management ZAM. Gestion de fortune exclusive principalement basée sur des titres individuels. ZAM Z. 1 Mesdames et messieurs, Une gestion de fortune clairvoyante, réaliste et compétente

Plus en détail

Garth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie)

Garth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie) Garth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie) Commentaire du film d introduction de l intervention de Garth Larcen et son fils Max, entrepreneur aux U.S.A. Garth Larcen

Plus en détail

Statuts de «pr suisse»

Statuts de «pr suisse» Statuts de «pr suisse» Art. 1 L'Association Sous le nom «Association Suisse de Relations Publiques», «Schweizerischer Public Relations Verband», «Associazione Svizzera di Relazioni Pubbliche», «Swiss Public

Plus en détail

Plan de mise en œuvre du concept national maladies rares

Plan de mise en œuvre du concept national maladies rares Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Assurance maladie et accidents Etat 4 mai 2015 Plan de mise en œuvre du concept national maladies rares

Plus en détail

FAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR)

FAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR) FAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR) Profession de foi Changer la façon de s habiller, sortir des sentiers battus, et proposer une autre vision du monde. Notre mission Le groupe FAST

Plus en détail

Stratégie de la surveillance des assurances en Suisse

Stratégie de la surveillance des assurances en Suisse Stratégie de la surveillance des assurances en Suisse 1. Base juridique...2 2. Tâches principales...2 3. Conditions d accomplissement des tâches principales...2 3.1. Culture de la responsabilité...3 3.2.

Plus en détail

SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT

SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN ET PROGRAMMES La référence pour la rédaction

Plus en détail

Un gouvernement qui agit en misant sur l investissement privé

Un gouvernement qui agit en misant sur l investissement privé Cabinet du ministre Communiqué de presse BUDGET 2013-2014 COMMUNIQUÉ N 2 BUDGET 2013-2014 Un gouvernement qui agit en misant sur l investissement privé Québec, le 20 novembre 2012 «Pour accélérer la croissance

Plus en détail

Mot d ouverture de Mamadou Lamine N DONGO Lead Results Adviser Banque Africaine de Développement Coordonnateur de AfCoP

Mot d ouverture de Mamadou Lamine N DONGO Lead Results Adviser Banque Africaine de Développement Coordonnateur de AfCoP Mot d ouverture de Mamadou Lamine N DONGO Lead Results Adviser Banque Africaine de Développement Coordonnateur de AfCoP 17 Septembre 2013, 9h00 Tunis, Tunisie Monsieur le Directeur du Département Assurance

Plus en détail

Aide-mémoire Retraite et prestations de vieillesse. Pour votre sécurité sociale

Aide-mémoire Retraite et prestations de vieillesse. Pour votre sécurité sociale Aide-mémoire Retraite et prestations de vieillesse Pour votre sécurité sociale Retraite ordinaire Dans son règlement, la SVE fixe, d une manière générale, l âge de la retraite à 65 ans. L obligation d

Plus en détail

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres

Plus en détail

GENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006

GENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006 1211122 GENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006 RAPPORT SOMMAIRE Cette proposition présente les recommandations de Genworth Financial Canada («Genworth») au Comité permanent des

Plus en détail

Allocution. de monsieur Louis Vachon. président et chef de la direction. de la Banque Nationale du Canada. Centre Mont-Royal

Allocution. de monsieur Louis Vachon. président et chef de la direction. de la Banque Nationale du Canada. Centre Mont-Royal Allocution de monsieur Louis Vachon président et chef de la direction de la Banque Nationale du Canada Centre Mont-Royal Montréal, le 29 février 2008 (Seul le texte prononcé fait foi) Mesdames et messieurs,

Plus en détail

Discours de Philippe MARTIN Ministre de l Écologie, du Développement durable et de l Énergie

Discours de Philippe MARTIN Ministre de l Écologie, du Développement durable et de l Énergie Philippe MARTIN, Ministre de l Écologie, du Développement durable et de l Énergie Paris, le jeudi 6 février 2014 Discours de Philippe MARTIN Ministre de l Écologie, du Développement durable et de l Énergie

Plus en détail

L externalisation des activités bancaires en France et en Europe

L externalisation des activités bancaires en France et en Europe ÉTUDES L externalisation des activités bancaires en France et en Europe Si l externalisation des activités (outsourcing) est un phénomène courant au sein des entreprises non financières en Europe, comme

Plus en détail

E-COMMERCE VERS UNE DÉFINITION INTERNATIONALE ET DES INDICATEURS STATISTIQUES COMPARABLES AU NIVEAU INTERNATIONAL

E-COMMERCE VERS UNE DÉFINITION INTERNATIONALE ET DES INDICATEURS STATISTIQUES COMPARABLES AU NIVEAU INTERNATIONAL E-COMMERCE VERS UNE DÉFINITION INTERNATIONALE ET DES INDICATEURS STATISTIQUES COMPARABLES AU NIVEAU INTERNATIONAL Bill Pattinson Division de la politique de l information, de l informatique et de la communication

Plus en détail

TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS

TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS Synthèse des débats rédigée par : 26 janvier 2012 Dans le cadre de son Tour de France du Dialogue, la CFE-CGC a organisé à Poitiers, le 26 janvier 2012,

Plus en détail

ALLOCUTION DE M. BENJAMIN HOUNTON CHARGE DU BUREAU DU HAUT COMMISSARIAT DES NATIONS UNIES AUX DROITS DE L HOMME POUR L AFRIQUE DE L OUEST

ALLOCUTION DE M. BENJAMIN HOUNTON CHARGE DU BUREAU DU HAUT COMMISSARIAT DES NATIONS UNIES AUX DROITS DE L HOMME POUR L AFRIQUE DE L OUEST ALLOCUTION DE M. BENJAMIN HOUNTON CHARGE DU BUREAU DU HAUT COMMISSARIAT DES NATIONS UNIES AUX DROITS DE L HOMME POUR L AFRIQUE DE L OUEST CONFERENCE REGIONALE SUR LA RATIFICATION DES INSTRUMENTS INTERNATIONAUX

Plus en détail

Normes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes. En vigueur à compter du 1 er janvier 2014

Normes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes. En vigueur à compter du 1 er janvier 2014 Normes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes En vigueur à compter du 1 er janvier 2014 Normes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes En vigueur à compter du 1 er

Plus en détail

L égalité femmes-hommes dans le développement : alibi ou réalité? Claudine Drion Le Monde selon les femmes

L égalité femmes-hommes dans le développement : alibi ou réalité? Claudine Drion Le Monde selon les femmes L égalité femmes-hommes dans le développement : alibi ou réalité? Claudine Drion Le Monde selon les femmes Les engagements de la Belgique La loi sur la coopération internationale de 1999 institue l égalité

Plus en détail

COMMENT PARLER DES LIVRES QUE L ON N A PAS LUS?

COMMENT PARLER DES LIVRES QUE L ON N A PAS LUS? Né dans un milieu où on lisait peu, ne goûtant guère cette activité et n ayant de toute manière pas le temps de m y consacrer, je me suis fréquemment retrouvé, suite à ces concours de circonstances dont

Plus en détail

2.2 Objet du contrôle Il y a lieu de vérifier les points suivants de manière individuelle ou combinée.

2.2 Objet du contrôle Il y a lieu de vérifier les points suivants de manière individuelle ou combinée. Protection des données; examen périodique des applications informatiques; CONDITIONS GÉNÉRALES (également valables lors de recours à des sociétés d audit) 1 Quiconque souhaite charger une société d audit

Plus en détail

S engager à agir pour le développement durable dans une période de changement

S engager à agir pour le développement durable dans une période de changement Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 13 avril 2015 Français Original: anglais E/ECE/1471/Rev.1 Commission économique pour l Europe Soixante-sixième session Genève, 14-16 avril 2015

Plus en détail

Le talent redéfini en fonction de l économie mondiale. Points de vue sur la situation des talents en finances au Canada. kpmg.ca/lafonctionfinances

Le talent redéfini en fonction de l économie mondiale. Points de vue sur la situation des talents en finances au Canada. kpmg.ca/lafonctionfinances Le talent redéfini en fonction de l économie mondiale Points de vue sur la situation des talents en finances au Canada kpmg.ca/lafonctionfinances Le talent redéfini en fonction de l économie mondiale

Plus en détail

Conseil économique et social

Conseil économique et social Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 24 janvier 2014 Français Original: anglais ECE/CES/2014/7 Commission économique pour l Europe Conférence des statisticiens européens Soixante-deuxième

Plus en détail

Initiative parlementaire Couverture d'assurance. Lacune en cas de décès du propriétaire

Initiative parlementaire Couverture d'assurance. Lacune en cas de décès du propriétaire 06.468 Initiative parlementaire Couverture d'assurance. Lacune en cas de décès du propriétaire Rapport de la Commission de l économie et des redevances du Conseil national Du 23 juin 2008 Monsieur le Président,

Plus en détail

Dans ce nouveau siècle, aussi inégalitaire que le précédent mais aussi riche

Dans ce nouveau siècle, aussi inégalitaire que le précédent mais aussi riche ÉDITORIAL Pour la Corse et pour la France, une démocratie politique et sociale vraiment neuve Dans ce nouveau siècle, aussi inégalitaire que le précédent mais aussi riche de réalisations possibles, la

Plus en détail

Introduction à l évaluation des besoins en compétences essentielles

Introduction à l évaluation des besoins en compétences essentielles Introduction à l évaluation des besoins en compétences essentielles Cet outil offre aux conseillers en orientation professionnelle : un processus étape par étape pour réaliser une évaluation informelle

Plus en détail

SÉMINAIRE CONCLUSIONS

SÉMINAIRE CONCLUSIONS RBB (2012) Conclusions SÉMINAIRE SUR LES BUDGETS BASÉS SUR DES RÉSULTATS: OBJECTIFS RÉSULTATS ATTENDUS ET INDICATEURS DE PERFORMANCE Strasbourg, 25 septembre 2012 CONCLUSIONS A l initiative du Comité du

Plus en détail

Cantons et villes dans le système statistique suisse

Cantons et villes dans le système statistique suisse Gian Antonio Paravicini Bagliani Président de la conférence des offices régionaux de statistique de la Suisse CORSTAT Cantons et villes dans le système statistique suisse La fonction statistique s'est

Plus en détail

Le conseil d enfants La démocratie représentative à l école

Le conseil d enfants La démocratie représentative à l école Le conseil d enfants La démocratie représentative à l école Le conseil d école des enfants est un moment privilégié durant lequel les enfants deviennent acteurs au sein de leur école, en faisant des propositions

Plus en détail

Un résumé de la Fondation Hans-Böckler

Un résumé de la Fondation Hans-Böckler Düsseldorf, 2007 - Résultats de la commission Biedenkopf - Commission gouvernementale pour la modernisation du système allemand de codétermination au niveau de l entreprise Un résumé de la Fondation Hans-Böckler

Plus en détail

Mécanisme d examen de l application de la Convention des Nations Unies contre la corruption Documents de base

Mécanisme d examen de l application de la Convention des Nations Unies contre la corruption Documents de base Mécanisme d examen de l application de la Convention des Nations Unies contre la corruption Documents de base NATIONS UNIES Office DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne Mécanisme d examen

Plus en détail

LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand

LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand Guillaume Wicker Professeur à l Université Montesquieu - Bordeaux IV 1 Je commencerais par cette interrogation : est-il

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL 1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat

Plus en détail

2. Convention avec le Centre électronique de Gestion de la Ville de Neuchâtel (CEG)

2. Convention avec le Centre électronique de Gestion de la Ville de Neuchâtel (CEG) Rapport du Conseil communal au Conseil général à l appui d un créditcadre de Fr. 295 000.-- pour le financement général de divers travaux informatiques Monsieur le président, Mesdames et Messieurs les

Plus en détail

Rapport de la Commission de gestion du Conseil des Etats. du 19 août 2005 2005-2332 2195

Rapport de la Commission de gestion du Conseil des Etats. du 19 août 2005 2005-2332 2195 Augmentation du nombre de rentes versées par l assurance-invalidité: Vue d ensemble des facteurs conduisant à l augmentation du nombre de rentes et rôle joué par la Confédération Rapport de la Commission

Plus en détail

Forum Paris Europlace. Intervention de Michel SAPIN, ministre des Finances et des Comptes publics. Pavillon d Armenonville. Mercredi 9 juillet 2014

Forum Paris Europlace. Intervention de Michel SAPIN, ministre des Finances et des Comptes publics. Pavillon d Armenonville. Mercredi 9 juillet 2014 MICHEL SAPIN MINISTRE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS Forum Paris Europlace Intervention de Michel SAPIN, ministre des Finances et des Comptes publics Pavillon d Armenonville Mercredi 9 juillet 2014

Plus en détail

Qu est-ce qu une tâche?

Qu est-ce qu une tâche? Qu est-ce qu une tâche? «Tâches», «Perspective actionnelle», «activités centrées sur le sens» Ce sont des concepts dont on entend beaucoup parler dans notre profession, mais que signifient-ils exactement?

Plus en détail

E-PARTICIPATION AND THE FUTURE OF DEMOCRACY

E-PARTICIPATION AND THE FUTURE OF DEMOCRACY E-PARTICIPATION AND THE FUTURE OF DEMOCRACY par Andrew Acland Résumé version longue L auteur estime que les imperfections de la démocratie citées le plus fréquemment sont entre autres le faible taux de

Plus en détail

TABLE DES MATIERES MENTIONS LEGALES QUI SUIS-JE? INTRODUCTION LES INDICATEURS DE LA STRATEGIE REGLES D ENTREE EN POSITION

TABLE DES MATIERES MENTIONS LEGALES QUI SUIS-JE? INTRODUCTION LES INDICATEURS DE LA STRATEGIE REGLES D ENTREE EN POSITION TABLE DES MATIERES MENTIONS LEGALES QUI SUIS-JE? INTRODUCTION LES INDICATEURS DE LA STRATEGIE REGLES D ENTREE EN POSITION STOP LOSS & TAKE PROFIT MONEY MANAGEMENT VARIANTES CONCLUSION MENTIONS LEGALES

Plus en détail

au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde

au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde Fiche prolongement 6 Du lien entre environnement et développement au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde 20% de la population mondiale consomme 87 % des ressources

Plus en détail

SOCIAL CRM: DE LA PAROLE À L ACTION

SOCIAL CRM: DE LA PAROLE À L ACTION LIVRE BLANC SOCIAL CRM: DE LA PAROLE À L ACTION Découvrez comment le Social CRM peut travailler pour vous LIVRE BLANC SOCIAL CRM: DE LA PAROLE À L ACTION 2 À PROPOS Au cours des dernières années, vous

Plus en détail

Comment un. accident. peut-il engager la. responsabilité pénale. des élus locaux et des fonctionnaires territoriaux?

Comment un. accident. peut-il engager la. responsabilité pénale. des élus locaux et des fonctionnaires territoriaux? Les cahiers de l Observatoire Comment un accident peut-il engager la responsabilité pénale des élus locaux et des fonctionnaires territoriaux? table des matières Avant-propos de Bernard Bellec... P. 5

Plus en détail

LES RÉSEAUX SOCIAUX ET L ENTREPRISE

LES RÉSEAUX SOCIAUX ET L ENTREPRISE LES RÉSEAUX SOCIAUX ET L ENTREPRISE PAR MADAME CHRISTINE LEROY COMMUNITY MANAGER, AGENCE NETPUB Tout d abord, je voudrais remercier le Professeur Drouot de m avoir invitée à cette passionnante table ronde.

Plus en détail

Libéralisation dans l assurance accidents

Libéralisation dans l assurance accidents Libéralisation dans l assurance accidents Exposé de Lucius Dürr, Directeur de l Association Suisse d Assurances, présenté à la conférence de presse du 25 janvier 2006 Mesdames, Messieurs, Ainsi que le

Plus en détail

Étude sur la monnaie numérique

Étude sur la monnaie numérique Étude sur la monnaie numérique Allocution de Darren Hannah Vice-président intérimaire, Politiques et Opérations Association des banquiers canadiens Prononcée devant le Comité sénatorial des banques et

Plus en détail

Prêts pour l avenir. Dans vos propres murs. Devenir propriétaire: les clés pour réaliser son rêve.

Prêts pour l avenir. Dans vos propres murs. Devenir propriétaire: les clés pour réaliser son rêve. Prêts pour l avenir. Dans vos propres murs. Devenir propriétaire: les clés pour réaliser son rêve. Prêts pour l avenir. Etre propriétaire est un rêve aussi vieux que le monde. Acquérir un logement, ce

Plus en détail

Principles Impératif Juillet 2009. Les principes de gestion et de «leadership» chez Nestlé

Principles Impératif Juillet 2009. Les principes de gestion et de «leadership» chez Nestlé Principles Impératif Juillet 2009 Les principes de gestion et de «leadership» chez Nestlé Principles Impératif Juillet 2009 Fonction émettrice Département des Ressources humaines Auteur/département émetteur

Plus en détail

Commission CI. Session d ouverture. Remarques d ouverture par le Président de la Commission CI

Commission CI. Session d ouverture. Remarques d ouverture par le Président de la Commission CI 35 ème session de la Conférence Générale Commission CI Session d ouverture Remarques d ouverture par le Président de la Commission CI Mesdames, Messieurs, Buenas tardes, Bonjour, Good afternoon, Здравствуйте

Plus en détail