LE PECS ( PICTURE EXCHANGE COMMUNICATION SYSTEM)
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- Jeanne Bilodeau
- il y a 8 ans
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1 Il existe de nombreuses méthodes éducatives correspondant à différentes théories de l apprentissage. Voici une présentation succincte des 3 méthodes d intervention les plus connues et reconnues actuellement et qui amènent à des résultats probants :: LE PECS LE PROGRAMME TEACCH LE TRAITEMENT ABA De nombreux professionnels et parents «bricolent» avec plus ou moins d efficacité à partir de ces 3 types d intervention LE PECS ( PICTURE EXCHANGE COMMUNICATION SYSTEM) Il a été développé aux Etats Unis. par L. Frost et A. Bondy et publié en C est une appellation protégée demandant des protocoles précis. Une formation est indispensable pour apprendre à utiliser cette méthode. LE PECS EST UN SYSTEME DE COMMUNICATION A LA FOIS ALTERNATIF ET AUGMENTATIF: ALTERNATIF: REMPLACE LE MODE DE COMMUNICATION VERBAL AUGMENTATIF: UTILISE EN PLUS DU MODE VERBAL POUR EN AUGMENTER L'EFFICACITE Le PECS- ne requiert pas de matériel complexe et d'entraînement technologique sophistiqué et n'implique pas d'équipement coûteux mais il demande une formation pointue qui ne s improvise pas! OBJECTIFS DU PECS: Apprendre à l'enfant à initier spontanément une interaction de communication en lui montrant à s'approcher de l'adulte et à lui donner l'image de l'item qu'il désire en échange de cet item. LE PECS EST UNE METHODE SYSTEMATIQUE QUI COMPREND 6 PHASES D'ACQUISITION. PHASE 1: L'ECHANGE PHYSIQUE -Utilisation de renforçateurs (nourriture ou objets) dans le but de motiver la communication -Aménagement du contexte : 1 enfant assis, 2 entraîneurs, 1 objet préféré, et 1 image. -Protocole d'entraînement: a. Quand l'enfant amorce un geste pour prendre l'objet préféré, l'adulte derrière va diriger le geste de l'enfant pour lui faire prendre l'image et la donner à la personne devant lui. Cette personne fait une incitation gestuelle (tend la main )pour aider l'enfant à comprendre ce qu'on attend de lui. b. On va passer de l'assistance physique complète à une assistance physique réduite. PHASE 2: AUGMENTER LA SPONTANEITE -Ajouter un tableau de communication sur lequel vont être placées les images. -Durant cette phase, l'enfant va apprendre à aller à son tableau de communication, prendre l'image de l'objet désiré et aller la porter à des intervenants variés. L'adulte doit replacer l'image sur le tableau. PHASE 3: DISCRIMINATION D'IMAGES -rendre l'enfant capable de choisir l'image appropriée parmi d'autres images sur son tableau de communication. -Utilisation de plus d'une image à la fois en s'assurant que l'enfant prend la bonne image. -discrimination entre une image appropriée et une image non appropriée -discriminer entre 2 images d'objets préférés. -vérifier la correspondance afin de s'assurer que l'enfant prend l'image de l'objet préféré. -Important :changer la position des images pendant l'entraînement afin que le repérage ne soit pas basé sur la position des images. PHASE 4: STRUCTURER UNE PHRASE -Montrer à l'enfant à faire une phrase pour formuler ses demandes en utilisant un carton phrase et l'image ''je veux". -image ''je veux "fixe : nous plaçons l'image ''je veux "sur le carton phrase, nous entraînons l'enfant à placer l'image de l'objet désiré à coté de ''je veux" et à aller donner le carton phrase à l'intervenant à qui il formule sa demande. -déplacement de l'image ''je veux ": l'enfant doit déplacer l'image ''je veux "la mettre sur le carton phrase,placer l'image de l'objet désiré à côté (fournir aide au besoin ) Christiane PIGNAT-PETIT (parent-formatrice) FORMATION 13/01/2015 1/7
2 -Stimulation verbale: quand l'enfant donne le carton phrase, le tourner vers lui et dire la phrase en pointant les images. -référents non visibles : enlever immédiatement l'objet que l'enfant a demandé et reçu. PHASE 5: REPONDRE A LA QUESTION ''QU'EST-CE QUE TU VEUX? -Utilisation du carton phrase et de l'image ''je veux " -L 'entraîneur pointe l'image ''je veux" et demande à l'enfant "qu'est-ce que tu veux? -Par la suite on retarde l'incitation gestuelle (pointage de l'image),puis on l'enlève. PHASE 6: COMMENTAIRES SPONTANES ET REPONSES. -Il faut amener l'enfant à répondre aux questions: -'' Qu'est-ce que tu veux? " -'' Qu'est-ce que tu vois? " -'' Qu'est-ce que tu as? " -Pendant l'entraînement, utilisation de renforçateurs tangibles et sociaux chaque fois que l'enfant complète un échange. -L 'entraînement va se faire avec une incitation gestuelle (pointage )que l'on va diminuer graduellement en alternant les questions posées. La partie la plus difficile est d'entraîner l'enfant à répondre successivement aux questions ''qu'est-ce que tu vois? "et ''qu'estce que tu veux? " (partie du document PECS rédigée à partir de Eric\SASSLF\web\iquebec\FDC\themes\auti\documents\TMP htm) LE PROGRAMME TEACCH (Treatment and Education of Autistic and related Communication Handicapped Children) C est un programme de traitement et d'éducation pour les enfants de tous les âges, atteints d'autisme et de troubles apparentés au développement. Ce progamme a été élaboré par Eric Schopler et ses collaborateurs de l'université de Chapel Hill en Caroline du Nord. C est un programme tout au long de la vie. On entend souvent parler de méthode TEACCH, de classe TEACCH etc. C est abusif et aux antipodes du programme. Il serait plus juste de dire «techniques inspirées par le programme TEACCH» Le programme se développe aussi en Belgique, en Espagne.et dans plusieurs autres États américains. En France, quelques expériences s inspirent de TEACCH L HISTORIQUE TEACCH a d abord été un projet de recherche mené par le docteur Eric Schopler de l Université de la Caroline du Nord, à partir de Ce projet s inspirait des études de Lovaas. En 1972, l État de la Caroline du Nord établit la division TEACCH qui relève du département de médecine de l Université de la Caroline du Nord. C est le département de psychiatrie qui encadre le quartier général de TEACCH. À l intérieur de l'état, il y a cinq points de service et aujourd hui le programme représente : 2000 familles, 55 classes intégrées dans des écoles ordinaires, cinq cliniques ou centres de diagnostic et de guidance parentale, 10 foyers de groupe, foyers pour jeunes adultes travaillant à l extérieur. LES FONDEMENTS DU PROGRAMME TEACCH est né du besoin, pour les intervenants, de développer un savoir-faire spécifique à la personne autiste. TEACCH s inscrit dans une perspective - Développementale parce que la personne autiste est considérée comme un individu en devenir, appelé à se développer et à s intégrer dans la société selon une progression hiérarchisée dans les divers domaines de développement. - Et béhaviorale parce que la personne autiste apprend, selon des procédés béhavioraux, ce qui est utile à son adaptation. LES BUTS DU PROGRAMME TEACCH SONT DOUBLES : -1 D ABORD, IL VISE A RENDRE L ENFANT LE PLUS AUTONOME POSSIBLE DANS SON MILIEU DE VIE SCOLAIRE, FAMILIAL OU DE TRAVAIL. Pour TEACCH, autonomie signifie indépendance, c est-à-dire évoluer sans la présence continuelle de l adulte. Cette indépendance s acquiert au fur et à mesure que l enfant maîtrise des compétences. - 2 TEACCH VISE AUSSI A DONNER A L ENFANT DES STRATEGIES DE COMMUNICATION de façon à le rendre capable de comprendre son environnement et capable de se faire comprendre par son entourage. LE PROGRAMME S ADRESSE D ABORD AUX ENFANTS AUTISTES QUI ONT - une altération des interactions sociales (ex.: manque d empathie pour l existence ou les sentiments des autres, n imitent pas, incapables de se faire des amis...) - une altération de la communication verbale et non verbale (ex.: absence de moyens de communication, communication non verbale anormale, anomalie dans la production du langage, inaptitude à engager ou poursuivre une conversation) Christiane PIGNAT-PETIT (parent-formatrice) FORMATION 13/01/2015 2/7
3 - des champs d activités et des intérêts très restreints (ex.: préoccupation persistante pour certains objets ou certaines parties d un objet, mouvements stéréotypés du corps, insistance déraisonnable pour faire certaines activités, souffrance marquée lors de modifications mineures de l environnement). Il s adresse également aux enfants qui ne présentent que des troubles sévères de la communication verbale et non verbale (ex.: les enfants dysphasiques) ou des troubles du développement. LES INTERVENANTS SCOLAIRES Il y a deux intervenants par groupe de cinq à six enfants. Les qualités de ces intervenants sont : avoir une bonne connaissance des caractéristiques de l autisme, pouvoir faire l évaluation avec le PEP-R, savoir enseigner de façon structurée, être capable de travailler en équipe, être capable d intervenir sur les problèmes de comportement et travailler en étroite collaboration avec la famille. LES PARENTS Les parents sont les partenaires des intervenants scolaires parce qu ils connaissent mieux et différemment leur enfant et qu ils sont les plus aptes à faire le lien entre les différents organismes de la communauté. Il doit y avoir échange de connaissances entre les parents et les intervenants. La réalité de la vie familiale est différente de celle de l école. Il est souhaitable que les intervenants en tiennent compte et s y adaptent. Des visites à l école aident à construire la confiance des parents envers les intervenants. De même, les visites des intervenants à la maison permettent de comprendre la situation familiale. Les intervenants doivent toujours demeurer compréhensifs et flexibles avec les parents. Les parents ont souvent un sentiment d incompétence et veulent savoir comment intervenir avec leur enfant de façon positive. Ils veulent des stratégies d intervention efficaces qui s adaptent aux diverses situations de la vie familiale. Ils souhaitent beaucoup éliminer ou réduire les comportements inappropriés. Il y a des classes spéciales mais il n y a pas d épiceries spéciales, de boutiques spéciales, etc. L ENSEIGNEMENT STRUCTURE L enseignement structuré est un processus de régulation au cours duquel l intervenant évalue, analyse l information, enseigne individuellement, réévalue et recommence le processus. Une fois l apprentissage maîtrisé en individuel, l enfant l exécute en situation de travail autonome. Par la suite, l intervenant fait en sorte que l enfant généralise cette acquisition à d autres lieux, à d autres personnes et à d autres situations. Cet enseignement structuré a pour fonction de développer l autonomie de l enfant en partant du plus bas niveau où il se trouve vers un niveau supérieur, de transférer en dehors de l école les notions et les habiletés apprises en classe, d amener l enfant à comprendre et à se faire comprendre et de sécuriser l enfant. Dans l application du programme TEACCH, les intervenants structurent trois choses : l environnement, l horaire et le travail de l enfant. A) La structure de l'environnement La structure de l environnement consiste à organiser l'environnement physique de l'enfant en raison de sa grande difficulté à se concentrer et à s organiser dans l espace. Les intervenants délimitent des aires dans la classe pour des types d'activités précises. Ils choisissent la disposition qui convient le mieux à l activité et aux enfants de la classe. Par exemple, les intervenants délimitent: une aire de travail individuel avec l intervenant, une aire de travail autonome, une aire de jeux, une aire d habillage et de déshabillage, une aire de collation, une aire de transition, etc. Lorsque l'espace est restreint, une même zone peut servir à plus d'une activité, par exemple l aire d habillage peut également servir d aire de transition. Idéalement, chaque activité a sa propre zone mais ce n'est pas toujours possible. B) La structure de l horaire La structure de l horaire consiste à mettre en place une structure visuelle qui permet à l enfant de prévoir la séquence des événements d une partie de la journée ou de la journée entière. L enfant autiste a beaucoup de difficulté à se situer dans le temps et à prévoir la séquence des événements de la journée. Ainsi, pour l aider à s organiser dans le temps, les intervenants structurent son horaire. L horaire est une routine mais elle n est pas immuable. L enfant apprend à se référer à son horaire, à lire son contenu et à s y conformer. Les intervenants veillent particulièrement à rendre le contenu de l horaire le moins rigide possible. L horaire est visuel et il peut être constitué d objets (par exemple, cloche = aire de travail individuel, quille = aire de jeux), d images (par exemple, un picto = aire de travail autonome, un picto= toilette), d images et de mots (par exemple, sur chaque picto est écrit le mot auquel il correspond) ou de mots seulement. C) La structure du travail La structure du travail consiste à mettre en place une structure visuelle qui permet à l enfant de voir ce qu il doit faire. C est le système de travail de l enfant. L enfant autiste est peu motivé, il a de la difficulté à s organiser, il a souvent une mauvaise compréhension des situations et des consignes verbales; il a un besoin important d encadrement. Pour l aider à contourner ces difficultés, les intervenants structurent le travail de l enfant de manière à ce qu il sache par des indices visuels : combien de travail a-t-il à faire, quoi faire, quand la tâche est-elle finie, qu'est-ce qui se passe après? L organisation d un système de travail est propre à chaque enfant. Le système doit faciliter la compréhension que l enfant a de la tâche et lui permettre d exécuter cette tâche sans l aide de l intervenant. LES CONTENUS DU PROGRAMME D ENSEIGNEMENT Le programme d enseignement couvre différents domaines d activités entre autres: le fonctionnement autonome (les habiletés de vie courante telles que s habiller, manger, hygiène...), la communication (les compétences telles que demander, refuser, attirer Christiane PIGNAT-PETIT (parent-formatrice) FORMATION 13/01/2015 3/7
4 l attention...), les comportements et habiletés professionnelles (rester assis, travailler pour une conséquence, trier, assembler, lire, argent-monnaie...), les comportements et habiletés sociales (saluer les gens, aborder les gens...) et les loisirs (musique, dessin, jeux de société...). Pour aider les intervenants à prendre une décision sur le choix d'un objectif, quatre questions peuvent être posées: L'apprentissage correspond-il au niveau de développement actuel de l'enfant? L'habileté proposée est-elle fonctionnelle pour l'enfant? L'acquisition de cette habileté rendra-t-elle l'enfant plus autonome? L'objectif tient-il compte des besoins et des attentes des parents et de son environnement immédiat? L INTERVENTION SUR LES COMPORTEMENTS INADEQUATS Le programme TEACCH, de par sa structure, contribue à sécuriser l enfant et à construire une estime de soi positive propre à canaliser efficacement son énergie et ainsi réduire ses comportements inappropriés. Cependant lorsque la structure ne suffit pas, TEACCH suggère une façon d aborder les comportements inadéquats en trois étapes : A) L évaluation Identifier le comportement le plus précisément possible. Identifier l origine ou l historique du comportement. Identifier en quoi il est important de modifier ce comportement. Identifier la fréquence, le moment et le contexte du comportement. Identifier la fonction du comportement. Identifier le niveau de développement de l enfant. B) L intervention positive Doit-on restructurer l environnement? Doit-on restructurer son horaire ou son système de travail? Son système de communication est-il efficace? Peut-il l utiliser de façon spontanée? Son programme d apprentissage répond-il à ses besoins? Les forces sont-elles utilisées dans ses activités et les faiblesses sont-elles identifiées? Son système de travail est-il généralisable? C) La modification du comportement Lorsque tout est complété dans les deux premières étapes et que ce n est pas suffisant, alors seulement les intervenants élaborent une stratégie de modification de comportement la plus appropriée à partir de l éventail des techniques de renforcement positif et négatif. L APPLICATION DE CE PROGRAMME ET DES DIFFERENTES TECHNIQUES DEMANDE BEAUCOUP DE PRATIQUE ET DE JUGEMENT. EN EFFET, C EST UNE CHOSE DE CONNAITRE LES TECHNIQUES DE RENFORCEMENT, MAIS C EST UNE AUTRE CHOSE D EN MAITRISER L APPLICATION. Restons donc modestes quand nous travaillons avec des personnes autistes : inspirons nous de ce modèle et au quotidien pour améliorer leur prise en charge adaptée, parlons de mise en place d emploi du temps, de structuration de l espace, de préparation de séquences visuelles Faisons du mieux posible mais nous ne labellisons pas professionnels du programme TEACCH!!! (document TEACCH librement inspiré d un texte de Diane Archambault, psychologue et Angèle Brisson, Ph.Docteur. en psychopédagogie (QUEBEC) et de lectures) L ABA (APPLIED BEHAVIOR ANALYSIS) ABA est un sigle anglais pouvant être traduit en français par Analyse Appliquée du Comportement. Il s agit d une approche scientifique initiée par les travaux de Skinner dans les années Selon lui, la psychologie doit être l étude et l analyse du comportement. Ses travaux s inspirent d une loi démontrée par Thorndike : la loi de l effet. Selon cette loi, un comportement suivi de conséquences agréables (stimulus appétitifs) sera reproduit alors qu un comportement suivi de conséquences désagréables (stimulus aversifs) ou n ayant pas de conséquences dans l environnement ne réapparaîtra pas. L environnement a ainsi une place centrale dans l émission des comportements, qui ne peuvent être expliqués par des concepts tels que l intelligence, la volonté, la motivation... Il nous faut donc agir directement sur l environnement si nous voulons modifier les comportements. QU EST CE QUE L ABA? L ABA a pour objectif la modification du comportement par la manipulation de l environnement. Elle définit un ensemble de procédures qui permettent, notamment, à un enfant d apprendre des comportements qui l amèneront à une meilleure adaptation. Christiane PIGNAT-PETIT (parent-formatrice) FORMATION 13/01/2015 4/7
5 Cette approche est reconnue efficace à tous les âges de la vie et dans de très nombreux domaines, aussi bien sur un plan préventif que curatif. Selon le service des départements de santé américain : «Trente années de recherches ont montré l'efficacité des méthodes de l'analyse appliquée du comportement en réduisant les comportements inappropriés et en augmentant la communication, les apprentissages et les comportements sociaux adaptés» (traduit de Mental health : a report of the surgeon general, chapter 3 - section 6, 1999). Son champ d action recouvre des secteurs aussi variés que : l éducation, les troubles du développement, la psychiatrie, les milieux professionnels, les troubles du comportement, la prévention routière, les addictions, l autisme, l hyperactivité, les phobies, le handicap, la dépression, la violence, la gériatrie, le domaine sécuritaire, l aide à la parentalité, la déficience mentale, les troubles obsessionnels compulsifs, la communication, etc. CE QUE L ABA N EST PAS Elle ne se base pas sur l idée de «la carotte ou le bâton» Elle ne déshumanise pas les personnes qu elle prend en charge Elle n est pas synonyme de dressage Ce n est pas magique Elle ne se limite pas au travail au bureau Elle ne se limite pas à des environnements structurés Bien sûr la structuration de l environnement est parfois nécessaire au déroulement d une prise en charge comportementale mais ce n est pas une fin en soi. Progressivement, les comportements sont généralisés à des situations naturelles, rencontrées dans la vie quotidienne de l individu. La plupart des critiques émanent de la méconnaissance des recherches en analyse du comportement et de ses fondements théoriques. CHOIX THERAPEUTIQUE PRIVILEGIE POUR L AUTISME ET TED Bien que l analyse appliquée du comportement soit efficace dans de nombreux domaines, pathologiques ou non, elle se révèle comme le traitement de choix pour les personnes atteintes d autisme ou présentant des troubles envahissants du développement (TED). Des études ont en effet montré qu une récupération totale était possible sous certaines conditions. Lovaas (1987) a mené une étude auprès de 38 enfants de 2 à 4 ans dont 19 avaient été diagnostiqués autistes. Les autres forment le groupe contrôle. Ces enfants ont reçu le traitement comportemental (cf ci-dessous) à mesure de 40h par semaine pendant 3 ans. Les résultats montrent que 9 enfants (47%) réussissent leur première année scolaire ordinaire et obtiennent un QI normal, que 8 enfants (42%) réussissent leur première année dans une classe pour troubles du langage et obtiennent un QI compris entre 59 et 95, soit de la déficience légère à l intelligence normale. Les chiffres parlent d eux-mêmes LES RECHERCHES DE LOVAAS ONT EGALEMENT ABOUTI A LA DEFINITION DE CE QUE L ON APPELLE LE TRAITEMENT COMPORTEMENTAL. CRITERES DU TRAITEMENT 1. Utiliser des procédures de renforcement positif pour permettre le développement des comportements. 2. Evaluer les capacités et les déficits de l enfant avant tout traitement. Les objectifs, les méthodes d apprentissage, les séquences d apprentissage et les renforçateurs sont adaptés aux caractéristiques et aux besoins de chaque enfant. 3. Concerner tous les domaines du développement (langage, moteur, cognitif, social, etc.). Aucun secteur de développement n est mis de côté. 4. Utiliser l observation directe et la mesure des performances individuelles pour déterminer les progrès qui apparaissent et ajuster les programmes d apprentissage. 5. Prendre en compte les parents comme co-thérapeutes. 6. Etre dirigés et supervisés par des professionnels ayant un Master science en analyse du comportement. POUR UNE EFFICACITE OPTIMALE, UN TRAITEMENT COMPORTEMENTAL DOIT ETRE APPLIQUE A RAISON DE 40 HEURES PAR SEMAINE AUPRES D ENFANTS DE MOINS DE 4 ANS. Cependant, une prise en charge comportementale portera egalement ses fruits si elle est appliquee aupres de personnes plus agees, ou de maniere moins intensive : les progres seront neanmoins moins rapides. Le programme A.B.A. EST UN TRAITEMENT visant la modification du comportement de l enfant et de développement de ses compétences. Il comporte deux types d enseignement, qui ne diffèrent guère de ceux du programme TEACCH : - l enseignement structuré qui consiste à découper chaque apprentissage en séances répétées en successions rapides (Essais Distincts Multiples) jusqu à ce que l enfant réussisse seul l exercice (chaque essai comporte une consigne, une réponse de l enfant et une réaction de l intervenant). Le lieux d apprentissage ne doit pas comporter de stimuli parasites (télévision, jouets à proximité, etc.) Le temps Christiane PIGNAT-PETIT (parent-formatrice) FORMATION 13/01/2015 5/7
6 d apprentissage est intensif (30 à 40 h par semaine) afin de réduire l auto stimulation. - L enseignement «incidental» qui consiste à guider l enfant en tous lieux et tout moment pour les loisirs, la vie familiale (repas, toilette, etc.), la vie scolaire et l intégration sociale, avec les mêmes techniques que le précédent. Dans tous les cas, les enseignements sont basés sur la motivation et les centres d intérêt de l enfant ; les félicitations et encouragements lui donnent une image valorisante de lui-même. LA MODIFICATION DU COMPORTEMENT RELEVE DE PLUSIEURS TECHNIQUES : - l indication qui consiste à donner à l enfant une consigne simple, claire et précise, avec une incitation verbale, gestuelle (donner un indice visuel à l enfant) ou physique (on aide l enfant à faire le geste désiré) - l estompage qui consiste à retirer graduellement les incitations pour que le comportement enseigné apparaisse sans aide - le façonnement qui consiste à renforcer successivement les comportements qui se rapprochent le plus du but à atteindre, puis l on enseigne des procédures en chaîne (ex : les étapes du brossage des dents) - Pour augmenter la fréquence des comportements adéquats, on utilise la procédure du «renforcement» : les réponses appropriées sont immédiatement récompensées (friandise, jouet, bisou, selon les préférences de l élève) afin d associer une sensation de plaisir au travail. Lorsque l enfant a bien progressé, les renforçateurs concrets sont abandonnés au profit de simples félicitations («bravo», «c est bien», etc.), afin de ne pas instaurer une routine. - Pour diminuer la fréquence d un comportement inadapté, on en analyse au préalable la cause et le contexte (ex : bouger sans cesse, se mordre, hurler, etc.), puis on agit sur la cause soit en la supprimant, soit en l aménageant pour que l élève s y habitue (ex : la peur du bruit). - La procédure de l extinction signifie que les comportements inadéquats sont systématiquement ignorés (aucune réaction de l intervenant) jusqu à ce qu ils disparaissent puisqu ils n entraînent aucune récompense. PECS, TEACCH et A.B.A. pour être utilisées efficacement demandent une formation. Toutes prévoient des évaluations et mises à jour très régulières, ainsi qu un Projet Educatif Individualisé (PEI) réactualisé en fonction des progrès de l enfant et dans l idéal co-établi par des professionnels compétents formés à l autisme et la famille. (partie du document ABA réalisée à partir d informations du site d ABA France et de différentes lectures) L'ABA-VB Applied Behaviour Analysis - Verbal Behaviour Le VB est un courant de l'aba qui a pour principe de partir des intérêts de l'enfant, donc de situations de jeu. Dans ce cadre, on travaille la communication dans ce qu'elle a de fonctionnel : demander, montrer, répéter, répondre à une question. Depuis la sortie des recommandations de la HAS en mars 2012, l'aba est reconnue comme une thérapie recommandée pour les personnes présentant des TSA. Pour mettre en place un programme ABA, il faut impérativement être supervisé par un professionnel qui guidera les parents et supervisera les progrès de l'enfant. L'ABA VB est une méthode comportementale : elle agit sur les comportements afin de rééduquer l'enfant. 1- Un peu de théorie L'ABA repose sur les lois universelles du comportement : - un comportement augmente quand il est suivi par une conséquence positive, - il diminue quand il est suivi par une conséquence négative. En utilisant cette dynamique, on peut modifier les comportements et favoriser les apprentissages. 2- Dans la pratique, quelques aspects majeurs de l'aba-vb : - Le pairing : c'est un moment fondamental en ABA-VB pendant lequel on joue avec l'enfant de façon à être associé à des émotions positives. C'est une manière de créer un lien avec l'enfant, d'apprendre à le connaître. C'est aussi l'occasion de savoir ce que l'enfant aime de façon à utiliser certains jeux comme renforçateurs dans les moments qui seront consacrés à l'apprentissage. Certains BCBA comme Caroline Peters insistent sur l'importance de cette étape : elle affirme que s'il faut passer des heures à imiter les stéréotypies de l'enfant pour créer un lien, c'est essentiel de le faire. - L'analyse fonctionnelle des comportements : quand un comportement pose problème, on analyse sa fonction. Prenons un exemple concret : un enfant tape quand il a soif. La fonction de ce comportement est de demander de l'eau. On va donc apprendre à Christiane PIGNAT-PETIT (parent-formatrice) FORMATION 13/01/2015 6/7
7 l'enfant un mot, une image ou un signe qui lui servira à demander de l'eau. Mais un enfant peut aussi taper car il a mal, pour éviter de faire quelque chose qui lui déplaît, ou bien parce qu'une perception sensorielle, par exemple auditive, est intolérable. Selon le sens du comportement, la réponse que l'adulte va apporter sera différente. - Le travail de l'autonomie avec la décomposition des tâches : l'aba met l'accent sur le travail de l'autonomie. Un enfant autiste ayant souvent du mal à apprendre des gestes par imitation, il convient de décomposer une séquence (par exemple : le lavage des mains) et d'apporter une guidance visuelle et/ou physique. Ainsi on peut imaginer que pour se laver les mains on commence par remonter ses manches, et on finit par les redescendre : entre les deux, il y a de nombreuses actions que l'on peut représenter par des pictogrammes qui s'enchaînent. Si l'enfant n'agit pas, on effectue alors une guidance physique que l'on estompera petit à petit. - Le renforcement : c'est un élément clé de l'aba. Quand on veut qu'un comportement soit plus fréquent, on va fortement récompenser l'enfant en donnant accès à un renforçateur. Si par exemple l'enfant a pointé un objet qu'il convoite, on le lui donne très vite en le félicitant avec insistance. A contrario, si l'enfant tape pour obtenir un objet, on ne le lui donne pas : on guide sa main pour lui montrer comment pointer. Il ne s'agit donc jamais de punir, mais de ne pas renforcer un comportement qui ne sera pas approprié. - Apprendre par le travail à table et l'enseignement en milieu naturel : Le travail à table désigne le temps que l'enfant et l'intervenant vont passer autour d'une table ou d'un bureau à faire des exercices et des jeux. Les objectifs de ces activités seront fixés par le psychologue qui fera le programme. En ABA-VB, on privilégie les intérêts naturels de l'enfant, que l'on essaye de suivre : on va donc beaucoup travailler en milieu naturel. A partir d'un jeu que l'enfant aime, on va lui apprendre à désigner les objets qui le composent et les actions que l'on met en oeuvre pour le pratiquer (ex : ballon, but, gardien, tirer...). - Les fonctions de la communication : l'aba-vb utilise des situations naturelles pour faire travailler un mot (ou un picto ou un geste si l'enfant est non verbal) dans ses différentes fonctions. Ainsi on peut utiliser le mot "chien" : pour demander une figurine de chien (mand), pour désigner un chien que l'on voit (tact), pour répondre à une question (intraverbal : qu'est-ce que tu vois?), ou pour répéter le mot que l'on vient d'entendre (échoic). Il faudra que l'enfant sache utiliser les mots dans ces différentes fonctions. Christiane PIGNAT-PETIT (parent-formatrice) FORMATION 13/01/2015 7/7
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