HCPP La hiérarchisation des caractéristiques produit / process Analyse de la norme expérimentale XP E

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "HCPP La hiérarchisation des caractéristiques produit / process Analyse de la norme expérimentale XP E"

Transcription

1 HCPP La hiérarchisation des caractéristiques produit / process Analyse de la norme expérimentale XP E

2 1. Les enjeux. Evaluation prévisionnelle Des effets induits chez le client suite à une non conformité des caractéristiques dimensionnelles et géométriques. Fabriquer à un moindre coût un produit conforme. Dialogue objectif entre le bureau d étude et les méthodes. 2

3 1. Les enjeux. Gravité (Cl) Criticité (Cr) Faisabilité (cap) 3

4 2. Les objectifs. Analyser la faisabilité produit / process. Objectif : Cette démarche prévisionnelle a pour but d estimer la faisabilité des caractéristiques à partir d expérience d un produit - process de référence, de traiter les risques et d optimiser le plan de surveillance 4

5 2. Les objectifs. Optimiser les procédés de fabrication et traiter les crises. Objectif : Cette démarche a pour but d identifier et de qualifier les causes de dispersion de production afin d optimiser le procédé et de renforcer son plan de surveillance. -Etude de capabilité -Diagramme causes / effets -Plan d expériences -Investigation (MSP) 5

6 2. Les objectifs. Objectif : Evaluer l impact des dispersions de production sur les conditions d aptitudes à l emploi (CAE). Cette démarche a pour but d évaluer le risque de non conformité des conditions d aptitude à l emploi (CAE) à partir des dispersions de production simulées ou constatées, sur les maillons des chaînes de cotes et d assurer le rebouclage avec l analyse fonctionnelle. 6

7 3. Synoptique. Synthèse : produit / process. AF - TAFT (TNC -CAE) Définition du composant (Conception détaillée) Chaînes de cotes fonctionnelles Classe de gravité Gamme, moyens Chaînes de cotes process Innovations / Evolutions Produit - process Ret. exp Inno HCPP (Analyse des retours d expériences) Liste des caractéristiques non - réalisables ou à risque. Sûreté de fonctionnement AF process, AMDEC, plan d expé., validation de protos - HCCP (optimisation) Gamme de fabrication Chaînes de cotes Sélection des caractéristiques à analyser finement Analyse des risques- croisement des paramètres influents / caractéristiques Criticité paramètres CdC moyens optimisé Plan de surveillance. Plan de maintenance Plan de contrôle process Plan de contrôle produit Capabilités prévisionnelles Hiérarchisation P/P 7

8 4. La gravité (définition). La cotation de la gravité consiste à définir, pour chaque caractéristique produit, (process ou et procédé), un indice correspondant à l effet ressenti par le client en cas de non-conformité. AF - TAFT (TNC -CAE) 1 S R A B Définition du composant (Conception détaillée) Chaînes de cotes fonctionnelles Classe de gravité 2 3 R C D 4 E 8

9 4. La gravité (AF). Besoin rêvé Fonction Caractéristiques de Caractéristiques de la fonction Mesure ou validation Flexibilité Le système doit l environnement F1 : Isoler l ensemble : poulies «Isoler» 1 l ensemble : courroie, poulies Conditions définies - C est conserver les conditions de Description des courroie, du par le fabricant de la fonctionnement définies par le conditions d essais, milieu ambiant courroie constructeur tout en validant les de mesure. extérieur. variations de températures, de Procédures et Milieu ambiant pression, d humidité et des normes relatives à extérieur particules issues du milieu extérieur. cette mesure. Humidité - Pression - Débit d échange entre les deux!q = D± "d T milieux ambiant (niveau de fuite). D : la valeur cible. Particule "d : la tolérance. PMP C1 : S adapter au carter. Carter «s adapter» Description des Caractéristiques conditions d essais, géométriques et - aux dimensions et à la de mesure. dimensionnelles. géométrie. Procédures et État de surface. - m a t é riau normes relatives à Matière ces mesures. Fig Caractérisation des fonctions et contraintes. Tableau partiel. 2 TAFT Analyse fonctionnelle du besoin Analyse fonctionnelle technique CDCF Cotation de la gravité 9

10 4. La gravité (TAFT). La gravité de la CAE La condition d aptitude à l emploi composant i Liaisons - Surfaces Sollicitations Critères d'acceptations Risque Agit sur quoi Complément Surf. 1 Surf. 2 Surf. 3 GF Quoi Combien CAE Combien Comment Mode de défaillance Caractéristiques des surfaces Classe de gravité Quoi Combien HCP Fonction élémentaire La caractéristique fonctionnelle La gravité de la CF Possibilité de déclasser la caractéristique, d une ou de deux classes, si leur nonconformité ne compromet pas de manière significative la qualité finale de la CAE 10

11 4. La gravité (TAFT). composant i Liaisons - Surfaces Sollicitations Critères d'acceptations Risque Agit sur quoi Complément Surf. 1 Surf. 2 Surf. 3 GF Quoi Combien CAE Combien Comment Mode de défaillance Caractéristiques des surfaces Classe de gravité Quoi Combien HCP Exemple : Fonction technique : laisse passer CAE : jeu mini Combien : jmini 0,1 Comment : chaîne de cotes ØD+td 1 Mode de défaillance : grippage Cl : 1 Quoi : cote dimensionnelle maxi Combien : ØD+td Hcp : 1 par défaut Attention : Déclassement? 11

12 4. La gravité (TAFT). composant i Liaisons - Surfaces Sollicitations Critères d'acceptations Risque Agit sur quoi Complément Surf. 1 Surf. 2 Surf. 3 GF Quoi Combien CAE Combien Comment Mode de défaillance Caractéristiques des surfaces Classe de gravité Quoi Combien HCP Exemple : Fonction technique : exerce CAE : jeu maxi Combien : jmaxi 0,2 Comment : chaîne de cotes ØD-td Mode de défaillance : bruit Cl : 3 3 Quoi : cote dimensionnelle mini Combien : ØD-td Hcp : 3 par défaut Attention : Déclassement? 12

13 4. La gravité (TAFT). composant i Liaisons - Surfaces Sollicitations Critères d'acceptations Risque Agit sur quoi Complément Surf. 1 Surf. 2 Surf. 3 GF Quoi Combien CAE Combien Comment Mode de défaillance Caractéristiques des surfaces Classe de gravité Quoi Combien HCP Exemple : Fonction technique : exerce CAE : jeu maxi Combien : jmaxi 0,2 Comment : chaîne de cotes ØD td 1 Mode de défaillance : bruit Cl : 3 Quoi : cote dimensionnelle mini Combien : ØD-td Hcp : 3 par défaut Attention : Déclassement? 13

14 4. La gravité (déclassement ). Li jmaxi jmini Ls Effet client réel IT Effet client estimé ØD td 1 Identifier les modes de défaillance provoqués par un dépassement de l IT égal à l IT/6. 14

15 4. La gravité (déclassement ). Li jmaxi jmini Ls Effet client réel IT Effet client estimé ØD td 2 Identifier les modes de défaillance provoqués par un dépassement de l IT égale à l IT/6. Conséquence au niveau du TAFT Mode de défaillance : grippage Cl : 1 Quoi : cote dimensionnelle maxi Combien : ØD+td Hcp : 2 15

16 4. La gravité (synthèse ). TAFT Jeu mini? CAE? Cote fonctionnelle Cote de fabrication? Les cotes d ébauches et de 1/2 finitions pourront être déclassées suivants leurs contributions à la conformité de la cote finale? OP1 OP2? 16

17 4. La gravité (synthèse ). 1 - Réaliser l analyse fonctionnelle (TAFT) 2 - Identifier les modes de défaillance, effets clients et les classes de gravités. 3 - Coter la gravité des caractéristiques Produit. 4 - Coter la gravité des caractéristiques Process 17

18 5. La faisabilité (définition). C est l aptitude à fabriquer un produit conforme à sa définition, en respectant les objectifs de coût, qualité et délais. Ret. exp HCCP (Analyse des retours d expériences) Liste des caractéristiques non - réalisables ou à risque. HCCP (optimisation) Gamme de fabrication Chaînes de cotes Sélection des caractéristiques à analyser finement C est le rapport entre la dispersion de production (Dp) et l intervalle de tolérance (IT) 18

19 5. La faisabilité (définition). Eléments en entrée. Les caractéristiques produit / process classés par gravité. Produit / process de référence. Cap = IT /Dp Retour d expérience. s s Eléments en sortie. Cap (coef. d apt. procédé) Cam, Marge d exploitation.. Liste des caractéristiques à analyser finement. Le cap est par défaut de 1,33, pour une production centrée, soit un TNC de 64 ppm Le TNC sur la CAE sera calculé par propagation des Dp dans la chaîne de cotes. L objectif est 0 défaut en clientèle sur la CAE. Un cap mini de 1,67 sur les caractéristiques de la chaîne de cotes de fabrication, pour une production centrée est indispensable. 19

20 5. La faisabilité (retour d expérience). L analyse du retour d expérience à pour but de connaître la dispersion de production (Dp) et l ensemble des problèmes rencontrés sur un produit process de référence. Il est indispensable que le produit / process de référence soit représentatif et que les écarts soient identifiées. L étude de faisabilité s appuie sur le savoir faire de l entreprise et permet d établir une relation entre le retour d expérience et les nouvelles caractéristique à fabriquer. 20

21 5. La faisabilité (retour d expérience). Identification de la faisabilité. Non Faisable Optimiser les chaînes de cotes produit et process Juste acceptable Optimiser les chaînes de cotes produit et process SATISFAISANT Reconduire les résultats de capabilité et le plan de surveillance issus du retour d expérience. Les moyens mis en œuvre ne sont-ils pas trop «riche»? 21

22 5. La faisabilité (optimisation). Equilibrer la faisabilité. 10 ± 0,1 20 ± 0,05 30 ± 0,05 Dp = 0,03 Dp = 0,12 Cap = 0,1 / 0,03 = 3,33 Cap = 0,1 / 0,12 = 0,83 Equilibrer la faisabilité 10 ± 0,1 20 ± 0,02 30 ± 0,08 Dp = 0,03 Cap = 0,04 / 0,03 = 1,33 Dp = 0,12 Cap = 0,16 / 0,12 = 1,33 22

23 5. La faisabilité (identification). Identification des caractéristiques à risques ou infaisables. Après équilibrage des chaînes de cotes, la hiérarchisation produit - process permettra de positionner les caractéristiques en 3 catégories : - Critique - Majeure - Normale Les caractéristiques «Critique» et «Majeure» doivent faire l objet d une analyse de risque pour optimiser la faisabiliter et spécifier le plan de surveillance. 23

24 5. La faisabilité (synthèse). 1 - Analyser le retour d expérience 2 - Transposer les dispersions du procédé, issues du retour d expérience aux nouvelles caractéristiques à fabriquer. 3 - Calculer les indicateurs de capabilité et équilibrer les chaînes de cotes. 4 - Identifier les caractéristiques à risques ou infaisables pour engager l analyse de risques et l optimisation produit - process. 24

25 6. Criticité (préambule). Analyser les risques. C est identifier les paramètres qui influent sur la variabilité du process et rechercher des solutions qui permettront de les maîtriser. Eléments en entrée. Les caractéristiques hiérarchisées : «Critique» et «Majeure» Gamme de fabrication. Moyens prévus pour la fabrication.. Eléments en sortie. Paramètres influents 5M Croisement caract. /Paramètres.. Solutions retenues 5M. Di et marge réévaluées. Analyse des risques- croisement des paramètres influents / caractéristiques Criticité paramètres CdC moyens optimisé 25

26 6. Criticité C est synthétiser par un indicateur, après optimisation, le croisement Produit - Process et classer les caractéristiques en «Critique», «Majeure» et «Normale». Capabilités prévisionnelles Hiérarchisation P/P 26

27 6. Criticité Les caractéristiques sont triées par ordre décroissant de l indice de criticité (Cr). A ce niveau de l étude, le plan de contrôle produit et process n est pas encore établi. 27

28 6. Criticité (synthèse). Synthèse sur la démarche Revoir la conception ( augmenter, répartir les tolérances). Reconsiderer la gamme, le moyen, etc. Contrôle à 100 % avec cafutage des non - conformités et éventuellement un appareillement. Contrôle à 100% avec tri. 28

29 6. Criticité (synthèse). Synthèse sur la démarche Elargir les tolérances de certaines caractéristiques n ayant pas d effet client même après un dépassement de l IT de 1/6. Optimiser les chaînes de cotes par une nouvelle répartition des tolérances. Décider quelles sont les caractéristiques à suivre dans le plan de surveillance (capabilités, MSP, TNC) Plan de surveillance renforcé 29

30 6. Criticité (synthèse). Synthèse sur la démarche Elargir les tolérances de certaines caractéristiques n ayant pas d effet client même après un dépassement de l IT de 1/6. Supprimer des opérations d usinage Alléger le programme de capabilité. Les moyens mis en œuvre ne sont-ils pas trop «riche»? Plan de surveillance standard 30

31 7. Bilan Synthèse : produit / process. AF - TAFT (TNC -CAE) Définition du composant (Conception détaillée) Chaînes de cotes fonctionnelles Classe de gravité Gamme, moyens Chaînes de cotes process Innovations / Evolutions Produit - process Ret. exp Inno HCPP (Analyse des retours d expériences) Liste des caractéristiques non - réalisables ou à risque. Sûreté de fonctionnement AF process, AMDEC, plan d expé., validation de protos - HCCP (optimisation) Gamme de fabrication Chaînes de cotes Sélection des caractéristiques à analyser finement Analyse des risques- croisement des paramètres influents / caractéristiques Criticité paramètres CdC moyens optimisé Plan de surveillance. Plan de maintenance Plan de contrôle process Plan de contrôle produit Capabilités prévisionnelles Hiérarchisation P/P 31

32 8. Conclusion. La présente norme évoque une partie de la méthodologie HCPP. Elle traite principalement de la gravité sans donner plus de détail sur le déclassement de cette gravité. Que devient la faisabilité? Partiellement évoquée, la faisabilité est traitée au travers du TNC. Cette réduction amène de faux concepts. La relation entre une loi de forme et le TNC n est pas triviale. La non-faisabilité et le TNC ne peuvent être aussi simplement traités sur un même axe des abscisses. La criticité est réduite à sa plus simple expression. Globalement la norme est à revoir dans l état car inexploitable. 32

Excel Avancé. Plan. Outils de résolution. Interactivité dans les feuilles. Outils de simulation. La valeur cible Le solveur

Excel Avancé. Plan. Outils de résolution. Interactivité dans les feuilles. Outils de simulation. La valeur cible Le solveur Excel Avancé Plan Outils de résolution La valeur cible Le solveur Interactivité dans les feuilles Fonctions de recherche (ex: RechercheV) Utilisation de la barre d outils «Formulaires» Outils de simulation

Plus en détail

Préparation des données d entrée pour la définition d un plan de validation

Préparation des données d entrée pour la définition d un plan de validation L ingénierie des systèmes complexes Préparation des données d entrée pour la définition d un plan de validation Référence Internet 22745.010 Saisissez la Référence Internet 22745.010 dans le moteur de

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE. Du provisionnement des emprunts à risques

GUIDE PRATIQUE. Du provisionnement des emprunts à risques Ministère de l Égalité des territoires et du Logement Ministère de l Économie et des Finances GUIDE PRATIQUE Du provisionnement des emprunts à risques Application aux Offices Publics de l Habitat à comptabilité

Plus en détail

GESTION DE PROJET. www.ziggourat.com - Tél : 01 44 61 96 00 N enregistrement formation : 11752861675

GESTION DE PROJET. www.ziggourat.com - Tél : 01 44 61 96 00 N enregistrement formation : 11752861675 GESTION DE PROJET www.ziggourat.com - Tél : 01 44 61 96 00 N enregistrement formation : 11752861675 Introduction à la Gestion de Projet... 3 Management de Projet... 4 Gestion de Projet informatique...

Plus en détail

Tableau de Bord. Clas 1.1 Conduite d'un projet de communication

Tableau de Bord. Clas 1.1 Conduite d'un projet de communication Bande de Com! Tableau de Bord Julien Pansier PROJET Clas 1.1 Conduite d'un projet de communication 1.1.1 Prise en charge du dossier de l annonceur C11.1. S approprier la demande de l annonceur - Comprendre

Plus en détail

VERS DE NOUVELLES FILIÈRES DE VALORISATION DE DÉCHETS A DESTINATION DE LA CONSTRUCTION

VERS DE NOUVELLES FILIÈRES DE VALORISATION DE DÉCHETS A DESTINATION DE LA CONSTRUCTION 1 VERS DE NOUVELLES FILIÈRES DE VALORISATION DE DÉCHETS A DESTINATION DE LA CONSTRUCTION Partenaires Centre technologique Construction et Aménagement Durable Centre technologique Industrie Energie Process

Plus en détail

Table des matières. Avant-propos...

Table des matières. Avant-propos... Table des matières Avant-propos................................................. XI Chapitre 1 Découvrir Project 2013.......................... 1 1.1 Introduction.............................................

Plus en détail

EMETTEUR ULB. Architectures & circuits. Ecole ULB GDRO ESISAR - Valence 23-27/10/2006. David MARCHALAND STMicroelectronics 26/10/2006

EMETTEUR ULB. Architectures & circuits. Ecole ULB GDRO ESISAR - Valence 23-27/10/2006. David MARCHALAND STMicroelectronics 26/10/2006 EMETTEUR ULB Architectures & circuits David MARCHALAND STMicroelectronics 26/10/2006 Ecole ULB GDRO ESISAR - Valence 23-27/10/2006 Introduction Emergence des applications de type LR-WPAN : Dispositif communicant

Plus en détail

MAITRISE DE LA CHAINE LOGISTIQUE GLOBALE (SUPPLY CHAIN MANAGEMENT) Dimensionnement et pilotage des flux de produits

MAITRISE DE LA CHAINE LOGISTIQUE GLOBALE (SUPPLY CHAIN MANAGEMENT) Dimensionnement et pilotage des flux de produits MAITRISE DE LA CHAINE LOGISTIQUE GLOBALE (SUPPLY CHAIN MANAGEMENT) Dimensionnement et pilotage des flux de produits Préambule La performance flux, quel que soit le vocable sous lequel on la désigne ( Juste

Plus en détail

Tremplins de la Qualité. Tome 2

Tremplins de la Qualité. Tome 2 Tome 2 CET OUVRAGE EST UN GUIDE D INTERPRETATION DE LA NORME NF EN ISO 9001 VERSION 2000 AVANTPROPOS Ce guide d aide à la rédaction du Manuel de Management de la Qualité a été rédigé par la Fédération

Plus en détail

C11.2 Identifier les solutions à mettre en œuvre C11.3 Préparer le cahier des charges

C11.2 Identifier les solutions à mettre en œuvre C11.3 Préparer le cahier des charges Classe de situation (3) Clas.1.1. Conduite d'un projet de F1 Mise en œuvre et suivi de projets de (3 classes de situations / 10 situations / 12 compétences) Situations (4+2+4) Compétences (6+2+4) Compétences

Plus en détail

CRM. Registre d équilibrage et de mesure du débit, classe d étanchéité 0 ou 4.

CRM. Registre d équilibrage et de mesure du débit, classe d étanchéité 0 ou 4. Registre d équilibrage et de mesure du débit, classe d étanchéité 0 ou 4. Quelques caractéristiques Méthode de mesure agréée Classe de pression A Classé d'étanchéité à l'air 0 ou 4 Facteur de fuite du

Plus en détail

A.3 Les méthodes : L applicabilité

A.3 Les méthodes : L applicabilité SOMMAIRE A. Première partie A.1 Ingénierie système : du besoin au système (produit/service) A.2 SDF, Maintenance et concepts sous-jacents A.3 Les méthodes : L applicabilité A.4 GMAO = GM + AO B. Deuxième

Plus en détail

La fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales.

La fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales. Chapitre 11 LA FONCTION CONTRÔLE DE GESTION REPORTING AUDIT INTERNE Un système de reporting homogène dans toutes les filiales permet un contrôle de gestion efficace et la production d un tableau de bord

Plus en détail

PRXSENTATION D UN GESTIONNAIRE DE DONNEES NUMERIQUES HIERARCHISEES DESTINE AU DE- -POUILLEMENT D ENQUETES

PRXSENTATION D UN GESTIONNAIRE DE DONNEES NUMERIQUES HIERARCHISEES DESTINE AU DE- -POUILLEMENT D ENQUETES 97 PRXSENTATION D UN GESTIONNAIRE DE DONNEES NUMERIQUES HIERARCHISEES DESTINE AU DE- -POUILLEMENT D ENQUETES Jacques Vaugelade & Marie Piron (Demographie et Statistique) (UR 702) Centre ORSTOM de Ouagadougou

Plus en détail

LA COMPTABILITE ET LE BACCALAUREAT PROFESSIONNEL GESTION ADMINISTRATION

LA COMPTABILITE ET LE BACCALAUREAT PROFESSIONNEL GESTION ADMINISTRATION LA COMPTABILITE ET LE BACCALAUREAT PROFESSIONNEL GESTION ADMINISTRATION Objectifs : permettre aux élèves d acquérir des savoirs comptables, sans tomber dans le travers de reproduire en classe l apprentissage

Plus en détail

UN PROCEDE DE SUPERVISION ET TELESURVEILLANCE A DISTANCE : UN OUTIL PEDAGOGIQUE FAVORISANT L INITIATION AU TRAVAIL DE GROUPE

UN PROCEDE DE SUPERVISION ET TELESURVEILLANCE A DISTANCE : UN OUTIL PEDAGOGIQUE FAVORISANT L INITIATION AU TRAVAIL DE GROUPE UN PROCEDE DE SUPERVISION ET TELESURVEILLANCE A DISTANCE : UN OUTIL PEDAGOGIQUE FAVORISANT L INITIATION AU TRAVAIL DE GROUPE Cyril Noirel (1), Didier Theilliol (2), Christophe Aubrun (3), Jean Christophe

Plus en détail

Processus de déploiement d une stratégie CRM

Processus de déploiement d une stratégie CRM CRM odyssey Inc. SYNTHESE DE LA MÉTHODOLOGIE CRM odyssey est aussi la marque de commerce d une méthodologie de déploiement de stratégie CRM dans les entreprises. Elle repose sur un processus dynamique

Plus en détail

AUTRES ASPECTS DU GPS. Partie I : tolérance de Battement Partie II : tolérancement par frontières

AUTRES ASPECTS DU GPS. Partie I : tolérance de Battement Partie II : tolérancement par frontières AUTRES ASPECTS DU GPS Partie I : tolérance de Battement Partie II : tolérancement par frontières 1 Partie I Tolérance de battement Défaut de Battement Défautconjuguéde forme, orientation et position, constatélorsde

Plus en détail

FICHE. La GMAO en quelques lignes OCTOBRE 2008 THÉMATIQUE. Vincent Drecq

FICHE. La GMAO en quelques lignes OCTOBRE 2008 THÉMATIQUE. Vincent Drecq FICHE OCTOBRE 2008 THÉMATIQUE Direction de projets et programmes La GMAO en quelques lignes La G.M.A.O. (Gestion de Maintenance Assistée par Ordinateur) est un logiciel spécialisé qui facilite la réalisation

Plus en détail

Réf. : Loi n 2006-686 du 13 juin 2006 relative à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire, notamment son article 40

Réf. : Loi n 2006-686 du 13 juin 2006 relative à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire, notamment son article 40 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LYON Lyon, le 30 décembre 2011 N/Réf. : CODEP-LYO-2011-072087 Monsieur le Directeur du centre nucléaire de production d'électricité du Tricastin CNPE du Tricastin BP 40009

Plus en détail

Atelier A7. Audit de la gestion globale des risques : efficacité ou conformité?

Atelier A7. Audit de la gestion globale des risques : efficacité ou conformité? Atelier A7 Audit de la gestion globale des risques : efficacité ou conformité? 1 Intervenants Jean-Pierre Hottin Associé, PWC jean-pierre.hottin@fr.pwc.com Annie Bressac Directeur de l audit et du contrôle

Plus en détail

Le CRM en BFI : une approche du pilotage stratégique

Le CRM en BFI : une approche du pilotage stratégique Le CRM en BFI : une approche du pilotage stratégique Sébastien Pasquet, Responsable de missions Le CRM (Customer Relationship Management) s est développé depuis 10 ans essentiellement par l intégration

Plus en détail

d. Tendances du marché...22 e. Une vision européenne...22 III. La distribution en France... 23

d. Tendances du marché...22 e. Une vision européenne...22 III. La distribution en France... 23 Table des matières: 8 PARTIE 1 SYNTHESE... 3 I. Combien d acteurs sur ce marché?... 3 II. Une offre large... 4 III. Facteur de croissance du marché... 4 IV. Impact du cloud computing... 4 V. Homogénéité

Plus en détail

Calc 2 Avancé. OpenOffice.org. Guide de formation avec exercices et cas pratiques. Philippe Moreau

Calc 2 Avancé. OpenOffice.org. Guide de formation avec exercices et cas pratiques. Philippe Moreau OpenOffice.org Calc 2 Avancé Guide de formation avec exercices et cas pratiques Philippe Moreau Tsoft et Groupe Eyrolles, 2007, ISBN : 2-212-12036-2, ISBN 13 : 978-2-212-12036-3 4 - Plages de données 4

Plus en détail

Able Informatique bvba Zakske 16 B-8000 Brugge Belgique Téléphone : + 32 50 34 59 04 www.admiralsoft.com

Able Informatique bvba Zakske 16 B-8000 Brugge Belgique Téléphone : + 32 50 34 59 04 www.admiralsoft.com Able Informatique bvba Zakske 16 B-8000 Brugge Belgique Téléphone : + 32 50 34 59 04 www.admiralsoft.com Logiciel de marketing opérationnel multitâches Votre support de marketing direct Data Quest est

Plus en détail

ACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE SUR LA VALIDATION DES ACQUIS ET DE L EXPERIENCE DU 6 JUIN 2006

ACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE SUR LA VALIDATION DES ACQUIS ET DE L EXPERIENCE DU 6 JUIN 2006 ACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE SUR LA VALIDATION DES ACQUIS ET DE L EXPERIENCE DU 6 JUIN 2006 Entre : La Direction de Distribution Casino France, représentée par M. Gérard MASSUS, Directeur des Ressources

Plus en détail

PUBLIC CONCERNE Toute personne chargée de recruter dans le cadre du placement, du recrutement et de l intérim

PUBLIC CONCERNE Toute personne chargée de recruter dans le cadre du placement, du recrutement et de l intérim v020513 Code : FONDREC DU RECRUTEMENT A LA DELEGATION, LES FONDAMENTAUX D'UNE STRATEGIE CANDIDAT PERFORMANTE OBJECTIFS A l issue de la formation les stagiaires seront capables de : Maîtriser le process

Plus en détail

Réaliser la fiche de lecture du document distribué en suivant les différentes étapes de la méthodologie (consulter le support du TD!

Réaliser la fiche de lecture du document distribué en suivant les différentes étapes de la méthodologie (consulter le support du TD! Réaliser la fiche de lecture du document distribué en suivant les différentes étapes de la méthodologie (consulter le support du TD!) 1. Réaliser la note sur l auteur (bien lire le document, utiliser Internet)

Plus en détail

Évaluer la formation dans l entreprise

Évaluer la formation dans l entreprise L objectif de ce guide méthodologique est de dresser un bilan des actions de formation menées. L évaluation constitue la dernière étape du management de la formation. La démarche permet de : mesurer la

Plus en détail

L AMDEC un outil puissant d optimisation de la maintenance, application à un motocompresseur d une PME marocaine

L AMDEC un outil puissant d optimisation de la maintenance, application à un motocompresseur d une PME marocaine L AMDEC un outil puissant d optimisation de la maintenance, application à un moto d une PME marocaine Brahim HERROU*, Mohamed ELGHORBA** *Ecole Supérieure de Technologie BP. 2427 Route Imouzzer Fes herroubrahim@yahoo.fr

Plus en détail

Première installation : comment réussir en temps de crise?

Première installation : comment réussir en temps de crise? FACULTES DE PHARMACIE DE PARIS V ET PARIS XI Première installation : comment réussir en temps de crise? Animation par Philippe BECKER (Fiducial) Joffrey BLONDEL (Astera) 1 Olivier DUPAYS (Pharmacie de

Plus en détail

Communiqué de presse

Communiqué de presse Les services préventifs avancés de GF AgieCharmilles augmentent la capacité de vos machines pour plus de succès Cinq nouveaux services préventifs avancés viennent compléter les Customer Services de GF

Plus en détail

QUI SOMMES NOUS? Notre équipe se tient à votre disposition pour vous apporter de plus amples informations et vous conseiller.

QUI SOMMES NOUS? Notre équipe se tient à votre disposition pour vous apporter de plus amples informations et vous conseiller. QUI SOMMES NOUS? La CCI Tarbes et Hautes-Pyrénées propose une offre variée de formations s adressant à la fois aux jeunes à la recherche d un métier et aux salariés / Chefs d entreprise en recherche de

Plus en détail

Microsoft Excel : tables de données

Microsoft Excel : tables de données UNIVERSITE DE LA SORBONNE NOUVELLE - PARIS 3 Année universitaire 2000-2001 2ème SESSION SLMD2 Informatique Les explications sur la réalisation des exercices seront fournies sous forme de fichiers informatiques.

Plus en détail

LA METHODE DU COUT CIBLE (TARGET COSTING)

LA METHODE DU COUT CIBLE (TARGET COSTING) LA METHODE DU COUT CIBLE (TARGET COSTING) Finalité de la démarche Optimiser les performances futures de profit du produit sur l ensemble de son cycle de vie. Prérequis Connaissance élémentaire de la problématique

Plus en détail

RAPPORT DE STAGE NUMERIQUE : Aide-mémoire PREPARATION DU RAPPORT AU COURS DU STAGE

RAPPORT DE STAGE NUMERIQUE : Aide-mémoire PREPARATION DU RAPPORT AU COURS DU STAGE Collège Denecourt de Bois Le Roi 3 ème STAGE DE DÉCOUVERTE D UN MILIEU PROFESSIONNEL (SÉQUENCES D OBSERVATION) RAPPORT DE STAGE NUMERIQUE : Aide-mémoire PREPARATION DU RAPPORT AU COURS DU STAGE La règle

Plus en détail

Efficacité des Modules Maintenance dans les ERP.

Efficacité des Modules Maintenance dans les ERP. Efficacité des Modules Maintenance dans les ERP. Les progiciels ERP (Entreprise Ressource Planning) proposent l ensemble des modules permettant de gérer une entreprise. Mais le module Maintenance est souvent

Plus en détail

Plan de Continuité d'activité Concepts et démarche pour passer du besoin à la mise en oeuvre du PCA

Plan de Continuité d'activité Concepts et démarche pour passer du besoin à la mise en oeuvre du PCA Qu est-ce que la Continuité d'activité? 1. Définition 11 2. Les objectifs et enjeux du PCA 12 2.1 Les objectifs 12 2.2 Les enjeux 13 3. Les contraintes et réglementations 14 3.1 Les contraintes légales

Plus en détail

SERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER. d AURILLAC. 1er congrès de l AFGRIS

SERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER. d AURILLAC. 1er congrès de l AFGRIS SERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER henri MONDOR d AURILLAC 1er congrès de l AFGRIS METHODE D ANALYSE ET DE PREVENTION DES RISQUES ET CERTIFICATION ISO 9002 Un couple pertinent pour les services techniques

Plus en détail

MÉTHODOLOGIE PROJET SYSTÈME D INFORMATION DÉCISIONNEL BI - BUSINESS INTELLIGENCE. En résumé :

MÉTHODOLOGIE PROJET SYSTÈME D INFORMATION DÉCISIONNEL BI - BUSINESS INTELLIGENCE. En résumé : En résumé : Phase I : collecte des besoins I - Expression des besoins II - Étude de faisabilité III - Définition des priorités IV - Rédaction puis validation du cahier des charges Phase II : implémentation

Plus en détail

Présentation livre Simulation for Supply Chain Management. Chapitre 1 - Supply Chain simulation: An Overview

Présentation livre Simulation for Supply Chain Management. Chapitre 1 - Supply Chain simulation: An Overview Présentation livre Simulation for Supply Chain Management Chapitre 1 - Supply Chain simulation: An Overview G. Bel, C. Thierry et A. Thomas 1 Plan Gestion de chaînes logistiques et simulation Points de

Plus en détail

Baccalauréat professionnel vente (prospection - négociation - suivi de clientèle) RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION

Baccalauréat professionnel vente (prospection - négociation - suivi de clientèle) RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 16 I. COMPÉTENCES C1. PROSPECTER C11. Élaborer un projet de prospection C12. Organiser une opération de prospection C13. Réaliser une opération de prospection C14. Analyser

Plus en détail

CAPTEURS - CHAINES DE MESURES

CAPTEURS - CHAINES DE MESURES CAPTEURS - CHAINES DE MESURES Pierre BONNET Pierre Bonnet Master GSI - Capteurs Chaînes de Mesures 1 Plan du Cours Propriétés générales des capteurs Notion de mesure Notion de capteur: principes, classes,

Plus en détail

Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau

Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Etude Volumes Prélevables sur les Usses 2010-2012 5 avril 2013 SMECRU Syndicat Mixte d Etude du Contrat de Rivières des Usses Le bassin

Plus en détail

Services Réseaux et Télécom

Services Réseaux et Télécom OFFRE GLOBLE Services Réseaux et Télécom Pour les grands comptes (publics et privés) opérant leur propre réseau et services associés 1 Sommaire Notre Proposition Notre démarche Nos facteurs de réussite

Plus en détail

CONVENTION ASSURANCE QUALITÉ (QAA) FONCTION NÉGOCIANT

CONVENTION ASSURANCE QUALITÉ (QAA) FONCTION NÉGOCIANT 1. Préambule 1.1 Généralités La présente convention d assurance qualité (QAA) définit les exigences posées aux fournisseurs REHAU en matière d assurance qualité. La QAA REHAU constitue des règles destinées

Plus en détail

Langage SQL (1) 4 septembre 2007. IUT Orléans. Introduction Le langage SQL : données Le langage SQL : requêtes

Langage SQL (1) 4 septembre 2007. IUT Orléans. Introduction Le langage SQL : données Le langage SQL : requêtes Langage SQL (1) Sébastien Limet Denys Duchier IUT Orléans 4 septembre 2007 Notions de base qu est-ce qu une base de données? SGBD différents type de bases de données quelques systèmes existants Définition

Plus en détail

M01 : Étude de la faisabilité des OTPL en contexte national

M01 : Étude de la faisabilité des OTPL en contexte national M01 : Étude de la faisabilité des OTPL en contexte national Ce module prépare à l'épreuve E4, il s'appuie exclusivement sur des opérations en contexte national. Faisabilité et évaluation des opérations

Plus en détail

Etude de faisabilité

Etude de faisabilité Etude de faisabilité Modèle de cahier des charges pour chaufferie dédiée Ce modèle de cahier des charges d étude de faisabilité a été réalisé dans le cadre de la Mission Régionale Bois-Energie Il est un

Plus en détail

L évaluation des risques professionnels

L évaluation des risques professionnels LE POINT DES CONNAISSANCES SUR ED 5018 L employeur a l obligation d assurer la sécurité et de protéger la santé de ses salariés. Il dispose pour ce faire d un des principes de prévention énoncé dans le

Plus en détail

SIMULATION HYBRIDE EN TEMPOREL D UNE CHAMBRE REVERBERANTE

SIMULATION HYBRIDE EN TEMPOREL D UNE CHAMBRE REVERBERANTE SIMULATION HYBRIDE EN TEMPOREL D UNE CHAMBRE REVERBERANTE Sébastien LALLECHERE - Pierre BONNET - Fatou DIOUF - Françoise PALADIAN LASMEA / UMR6602, 24 avenue des landais, 63177 Aubière pierre.bonnet@lasmea.univ-bpclermont.fr

Plus en détail

ORACLE PRIMAVERA PORTFOLIO MANAGEMENT

ORACLE PRIMAVERA PORTFOLIO MANAGEMENT ORACLE PRIMAVERA PORTFOLIO MANAGEMENT FONCTIONNALITÉS GESTION DE PORTEFEUILLE Stratégie d approche permettant de sélectionner les investissements les plus rentables et de créer de la valeur Paramètres

Plus en détail

Maintenir son cap en maîtrisant sa rentabilité. www.clipindustrie.com

Maintenir son cap en maîtrisant sa rentabilité. www.clipindustrie.com Maintenir son cap en maîtrisant sa rentabilité www.clipindustrie.com La GPAO, véritable outil de production La GPAO est un ensemble d outils de gestion et de planification intégrant toutes les informations

Plus en détail

Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur

Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Nature de l activité : Réaliser 3 types de productions écrites (réécriture de notes, production d une synthèse de documents, production d une argumentation)

Plus en détail

Surveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique

Surveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique Surveillance et Detection des Anomalies Diagnostic d une digue: rappel méthodologique issu de l expérience d EDF Jean-Paul BLAIS Service Géologie - Géotechnique EDF 1 La méthodologie utilisée par EDF,

Plus en détail

Baromètre des métiers du numérique

Baromètre des métiers du numérique Baromètre des métiers du numérique Introduction Cap Digital pôle de compétitivité et de transformation numérique s est associé à Multiposting pour lancer un baromètre des métiers du numérique, qui présentera,

Plus en détail

Audits de Conformité Logicielle. Nicolas COURAUD Secrétaire Général du CRAI Couraud.nicolas@crai-asso.fr

Audits de Conformité Logicielle. Nicolas COURAUD Secrétaire Général du CRAI Couraud.nicolas@crai-asso.fr Audits de Conformité Logicielle Nicolas COURAUD Secrétaire Général du CRAI Couraud.nicolas@crai-asso.fr Association de Loi 1901 - Janvier 2012 Directions achats et juridiques + de 50 sociétés 300 personnes

Plus en détail

TECHNIQUES STATISTIQUES ET COMMERCE INTERNATIONAL

TECHNIQUES STATISTIQUES ET COMMERCE INTERNATIONAL TECHNIQUES STATISTIQUES ET COMMERCE INTERNATIONAL par W. Edwards Deming Bureau du Budget et Université de New-York Courrier de la Normalisation N 109 Janvier-Février 1953 Le Dr Deming, célèbre mathématicien

Plus en détail

La P N L appliquée à la vente

La P N L appliquée à la vente La P N L appliquée à la vente Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Objectifs : Maîtriser les outils de programmation de la démarche commerciale. Programmer les objectifs de la réussite commerciale.

Plus en détail

INDICATIONS COMPLÉMENTAIRES

INDICATIONS COMPLÉMENTAIRES eduscol Sciences économiques et sociales - Première ES Science économique 4. La monnaie et le financement Ressources pour le lycée général et technologique Fiche 4.3 : Qui crée la monnaie? INDICATIONS

Plus en détail

Management des Systèmes d Information

Management des Systèmes d Information Management des Systèmes d Information Marie-Hélène Delmond delmond@hec.fr Les cours d informatique / de système d information à HEC Formation Fondamentale (L3) Modélisation (Tableur) - Informatique individuelle

Plus en détail

INDICE DE FRÉQUENCE DES ACCIDENTS DE SERVICE

INDICE DE FRÉQUENCE DES ACCIDENTS DE SERVICE INDICATEUR 1 INDICE DE FRÉQUENCE DES ACCIDENTS DE SERVICE Mesurer la fréquence des accidents de service survenus dans l année. Renseigner sur la sinistralité dans le domaine des accidents de service entrainant

Plus en détail

Nathalie OLIVIER, Psychologue du Travail, Conseillère Bilan, CBEN Montpellier (Centre Bilan GRETA) cben.olivier@ac-montpellier.fr

Nathalie OLIVIER, Psychologue du Travail, Conseillère Bilan, CBEN Montpellier (Centre Bilan GRETA) cben.olivier@ac-montpellier.fr 1. Parcours de l intervenant et son poste au CBEN 2. Réseau des 13 CBEN L-R 3. Métiers de l Orientation Professionnelle 4. Bilan de Compétences : loi, déontologie, phases 5. Méthodologie du bilan: concepts,

Plus en détail

Les Cahiers de la FNOGEC

Les Cahiers de la FNOGEC Les Cahiers de la FNOGEC Cahier bancaire décembre 2013 L emprunt bancaire pour les OGEC? Un taux? Une durée? Ce cahier bancaire a été réalisé avec le concours de : Caisse d Epargne Crédit Coopératif Société

Plus en détail

Electricité - Plomberie

Electricité - Plomberie Electricité - Plomberie 2014-2015 Cette analyse a été réalisée avec les données statistiques de la FCGA et de l ANPRECEGA, membres de l UNPCOGA, et de la base DIANE du Bureau Van Dijk. Sommaire Sommaire

Plus en détail

Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation

Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation Applications résidentielles Christophe Delmotte, ir Laboratoire Qualité de l Air et Ventilation CSTC - Centre Scientifique et

Plus en détail

QUESTIONNAIRE DE PRE-AUDIT. Rubrique n 1 : Présentation de l entreprise

QUESTIONNAIRE DE PRE-AUDIT. Rubrique n 1 : Présentation de l entreprise QUESTIONNAIRE DE PRE-AUDIT MISE A NIVEAU DE L ENTREPRISE PAR LE GENIE INDUSTRIEL Pré-audit réalisé le... Rédacteur(s). Rubrique n 1 : Présentation de l entreprise Renseignements généraux - Identité de

Plus en détail

LES ATELIERS DU E- COMMERCE

LES ATELIERS DU E- COMMERCE LES ATELIERS DU E- COMMERCE Dossier de presse 22 octobre 2010 Votre contact presse : Vanessa ERMEL 02 96 78 68 79 vanessa.ermel@cotesdarmor.cci.fr CCI 22 Avril 2006 Page 2 Le développement très important

Plus en détail

Analyse des risques financiers

Analyse des risques financiers Analyse des risques financiers Version du 1 er octobre 2014 Cette fiche s'adresse aux services de l État mandatés pour mener une analyse financière et est susceptible de contribuer à la définition du niveau

Plus en détail

CAISSE REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE MUTUEL D AQUITAINE

CAISSE REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE MUTUEL D AQUITAINE CAISSE REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE MUTUEL D AQUITAINE Eléments d appréciation du prix de rachat des CCI émis par la CRCAM d Aquitaine dans le cadre de l approbation par l'assemblée générale des sociétaires,

Plus en détail

Le 360 T&I Evaluations

Le 360 T&I Evaluations Le 360 T&I Evaluations Du développement personnel à la cartographie managériale Qui sommes-nous? Options RH, un cabinet de conseil spécialisé en Management des Hommes et des Organisations Depuis 14 ans,

Plus en détail

Manuel de validation Fascicule v4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques

Manuel de validation Fascicule v4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques Titre : TTLV100 - Choc thermique dans un tuyau avec condit[...] Date : 02/03/2010 Page : 1/10 Manuel de Validation Fascicule V4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques Document : V4.25.100

Plus en détail

L EQUIPE ÉTUDES ENQUÊTES: Georgeta BOARESCU psychologue coordonateur études enquêtes Florin CIOTEA sociologue

L EQUIPE ÉTUDES ENQUÊTES: Georgeta BOARESCU psychologue coordonateur études enquêtes Florin CIOTEA sociologue L EQUIPE ÉTUDES ENQUÊTES: Georgeta BOARESCU psychologue coordonateur études enquêtes Florin CIOTEA sociologue EuPA EDUCATION EUROPÉENNE EN ADMINISTRATION PUBLIQUE EuPA EDUCATION EUROPÉENNE EN ADMINISTRATION

Plus en détail

LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE

LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de

Plus en détail

Annexe I b. Référentiel de certification

Annexe I b. Référentiel de certification Annexe I b Référentiel de certification Page 15 sur 45 CORRESPONDANCE ENTRE ACTIVITÉS ET COMPÉTENCES ACTIVITÉS ET TÂCHES A1. S ORGANISER, S INTEGRER à une EQUIPE A1-T1 Préparer son intervention et/ou la

Plus en détail

DEMANDE D INFORMATION RFI (Request for information)

DEMANDE D INFORMATION RFI (Request for information) DOD SEICAM RFI Demande d information EVDEC Réf. : RFI_EVDEC- GT5_Outil_reporting_BI_v4.doc Page 1/11 DEMANDE D INFORMATION RFI (Request for information) OUTIL INTÉGRÉ DE REPORTING ET D ANALYSE DÉCISIONNELLE

Plus en détail

Budget participatif des lycées. Règlement d intervention

Budget participatif des lycées. Règlement d intervention 3 CR 72-12 Budget participatif des lycées Règlement d intervention Préambule : La mise en œuvre du budget participatif des lycées manifeste la volonté de la région de poursuivre la démarche de dialogue

Plus en détail

Estimation des charges. «Le travail se dilate jusqu à remplir le temps disponible»

Estimation des charges. «Le travail se dilate jusqu à remplir le temps disponible» «Le travail se dilate jusqu à remplir le temps disponible» Le savoir faire du chef de projet Pas d excès d optimisme Retour sur expérience Toujours garder de la marge Identifier les points à risque Ne

Plus en détail

L indice de SEN, outil de mesure de l équité des systèmes éducatifs. Une comparaison à l échelle européenne

L indice de SEN, outil de mesure de l équité des systèmes éducatifs. Une comparaison à l échelle européenne L indice de SEN, outil de mesure de l équité des systèmes éducatifs. Une comparaison à l échelle européenne Sophie Morlaix To cite this version: Sophie Morlaix. L indice de SEN, outil de mesure de l équité

Plus en détail

CRM et GRC, la gestion de la relation client R A LLER PL US L OI

CRM et GRC, la gestion de la relation client R A LLER PL US L OI 3 R A LLER PL US L OI CRM et GRC, la gestion de la relation client Comment exploiter et déployer une solution de relation client dans votre entreprise? Les usages d une CRM Les fonctionnalités d une CRM

Plus en détail

DIVISION DE CAEN Caen, le 8 août 2014

DIVISION DE CAEN Caen, le 8 août 2014 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE CAEN Caen, le 8 août 2014 N/Réf. : CODEP-CAE-2014-036582 Monsieur le Directeur du CNPE de Paluel BP 48 76 450 CANY-BARVILLE OBJET : Contrôle des installations nucléaires

Plus en détail

RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES. Présentation

RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES. Présentation RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES Présentation Les matériels agricoles, de travaux publics et de manutention, de parcs et jardins sont de plus en plus complexes et l'évolution de leurs technologies

Plus en détail

LA DÉMARCHE DE VEILLE S.A. MARCHAND PREMIERE PARTIE : AUDIT SUR LA COMMUNICATION INTERNE

LA DÉMARCHE DE VEILLE S.A. MARCHAND PREMIERE PARTIE : AUDIT SUR LA COMMUNICATION INTERNE LA DÉMARCHE DE VEILLE S.A. MARCHAND PREMIERE PARTIE : AUDIT SUR LA COMMUNICATION INTERNE La question posée s inscrit dans une démarche d amélioration de la circulation de l information. questionnaire d

Plus en détail

Comment bien référencer mes sites internet? Les 100 SECRETS EN VIDÉO

Comment bien référencer mes sites internet? Les 100 SECRETS EN VIDÉO Comment bien référencer mes sites internet? Les 100 SECRETS EN VIDÉO éditions Page 2/14 A propos de l auteur... Souvent défini comme «sérial-créateur», Jean-Marie PÉRON est à l origine depuis 1992 d entreprises

Plus en détail

ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES

ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES PPB-2006-8-1-CPA ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES Introduction 0. Base légale 1. Le contrôle interne 1.1. Définition et éléments constitutifs 1.2. Mesures

Plus en détail

A-t-on le temps de faire les choses?

A-t-on le temps de faire les choses? A-t-on le temps de faire les choses? A-t-on le temps de faire les choses? Un parcours de 25 ans dans le domaine des Systèmes d'information de 6 grandes entreprises Consultante depuis 19 ans Mission / contrats

Plus en détail

Philippe BANCE Président du Conseil scientifique international du CIRIEC CREAM - Normandie Université

Philippe BANCE Président du Conseil scientifique international du CIRIEC CREAM - Normandie Université Séminaire UEsers du 12 décembre 2014 La libéralisation des SIEG et leur privatisation en Europe Philippe BANCE Président du Conseil scientifique international du CIRIEC CREAM - Normandie Université 1 Sommaire

Plus en détail

Introduction à la méthodologie de la recherche

Introduction à la méthodologie de la recherche MASTER DE RECHERCHE Relations Économiques Internationales 2006-2007 Introduction à la méthodologie de la recherche geraldine.kutas@sciences-po.org Les Etapes de la Recherche Les étapes de la démarche Etape

Plus en détail

La crise économique vue par les salariés français

La crise économique vue par les salariés français La crise économique vue par les salariés français Étude du lien entre la performance sociale et le contexte socioéconomique Baggio, S. et Sutter, P.-E. La présente étude s intéresse au lien entre cette

Plus en détail

Equipement. électronique

Equipement. électronique MASTER ISIC Les générateurs de fonctions 1 1. Avant-propos C est avec l oscilloscope, le multimètre et l alimentation stabilisée, l appareil le plus répandu en laboratoire. BUT: Fournir des signau électriques

Plus en détail

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples. Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste

Plus en détail

FORMATION ECLAIRAGE PUBLIC

FORMATION ECLAIRAGE PUBLIC FORMATION ECLAIRAGE PUBLIC DIR Centre Est Mâcon 22/10/07 1 La norme éclairage NF EN 13 201 Avant : Recommandations AFE : référence pour la profession Février 2005: Application de la norme Éclairage NF

Plus en détail

Plan de modernisation des installations industrielles

Plan de modernisation des installations industrielles Plan de modernisation des installations industrielles 1 Sommaire 1 - Contexte - Introduction 2 - Réglementation 3 - Périmètre 4 - Guides techniques 5 - Synthèse : périmètre-actions 2 1 Contexte - Introduction

Plus en détail

Table des matières CID 50... 3 CID 51... 3 CID 52... 4 CID 53... 4 CID 54... 5

Table des matières CID 50... 3 CID 51... 3 CID 52... 4 CID 53... 4 CID 54... 5 Critères des commissions interdisciplinaires du du Comité national mandat 2012-2016 Table des matières CID 50... 3 CID 51... 3 CID 52... 4 CID 53... 4 CID 54... 5 2 CID 50 Gestion de la recherche La CID

Plus en détail

Julien MATHEVET Alexandre BOISSY GSID 4. Rapport RE09. Load Balancing et migration

Julien MATHEVET Alexandre BOISSY GSID 4. Rapport RE09. Load Balancing et migration Julien MATHEVET Alexandre BOISSY GSID 4 Rapport Load Balancing et migration Printemps 2001 SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 SYNTHESE CONCERNANT LE LOAD BALANCING ET LA MIGRATION... 4 POURQUOI FAIRE DU LOAD BALANCING?...

Plus en détail

Brevet de technicien supérieur MAINTENANCE INDUSTRIELLE

Brevet de technicien supérieur MAINTENANCE INDUSTRIELLE Brevet de technicien supérieur MAINTENANCE INDUSTRIELLE MINISTERE DE L'EDUCATION NATIONALE, DE l ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE Direction de l enseignement supérieur Service des contrats et

Plus en détail

Construire un tableau de bord par Marc Maisonneuve

Construire un tableau de bord par Marc Maisonneuve Construire un tableau de bord par Marc Maisonneuve Le tableau de bord On peut le définir comme la présentation synoptique d indicateurs relatifs au suivi d une bibliothèque, d un projet, d un service.

Plus en détail