LES PLATEFORMES MULTI-ACTEURS, UNE ALTERNATIVE POUR L ACCES DES FEMMES AUX PARCS A KARITE : CAS D E L U N I O N D E S
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- Gauthier Ringuette
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1 LES PLATEFORMES MULTI-ACTEURS, UNE ALTERNATIVE POUR L ACCES DES FEMMES AUX PARCS A KARITE : CAS D E L U N I O N D E S G R O U P E M E N T S D E P R O D U C T R I C E S D E S P R O D U I T S D U K A R I T E D U H O U E T D U H O U E T Author Country Sector Traoré Aurokiatou Burkina Faso Agriculture /Oilseeds (Shea) SUMMARY Le karité (Vitellaria paradoxa C.F. Gaertn) est une ressource stratégique pour le Burkina Faso de par sa contribution à l économie, à la sécurité alimentaire et fournissant un revenu à plus de femmes. Cependant, on constate un accès limité des femmes aux arbres à karité situés dans les zones protégées, dans les forêts sacrées villageoises et dans des champs familiaux. Ces zones qui abritent l essentiel des pieds de karité constituent les lieux d approvisionnement des femmes en noix de karité. Cette situation cause des conflits de diverses natures entre des acteurs aux perceptions et intérêts divergents : confits de genre entre hommes propriétaires et femmes collectrices ; conflit entre collectrices et coutumiers ; et entre collectrices et services de l environnement. Le faible accès aux parcs à karité limite le revenu des femmes et influence négativement le rendement des parcs qui ne sont pas entièrement valorisés. Dans ce contexte, la SNV a contribué à la facilitation de l accès et du contrôle des femmes de l Union des Groupements de Productrices des Produits du Karité du Houet (UGPPK/H) sur 5 parcs à karité dans la Province du Houet. Analysant les principaux facteurs limitant l accès des femmes aux arbres à karité et liés principalement à des pesanteurs socio-culturelles et politiques (traditionnellement la femme n a pas un droit de propriété sur les terres), une étude diagnostique a permis l identification des acteurs impliqués dans la gestion des parcs à karité et les relations de pouvoir entre ces acteurs. L intervention de la SNV a facilité le processus de concertation entre ces acteurs. Cette plateforme a impliqué tous les acteurs prenant part à la gestion des ressources naturelles notamment le karité dans la zone de Koundougou : les maires des quatre communes que couvrent l UGPPK/H, les services déconcentrés de l Etat chargés de l Agriculture et de l Environnement, les Directions provinciales de l enseignement de Base et de l Alphabétisation, les coutumiers et les femmes de l UGPPK/H. Les activités de la plateforme sont basées sur le dialogue, sur des ateliers et des journées portes ouvertes. Des actions de renforcement de capacités de négociation, leadership et management ont été aussi conduites à l endroit de l Union. Cette approche participative et consultative a permis une dynamique de réflexion et d action au niveau de tous les acteurs. Des résultats palpables ont été obtenus grâce à cette intervention. La capacité de négociation et le leadership des femmes dans le processus ont été améliorés, ce qui a conduit les femmes de 5 groupements membres de UGPPK/H représentant 300 femmes à demander aux services déconcentrés de l environnement un droit d exploitation des arbres à karité sur les espaces protégés chaque année. Elles ont également obtenu des chefs coutumiers un droit de propriété sur 5 parcs d une dizaine d hectares (environ 550 pieds de karité) situés dans 3 communes (elles sont désormais propriétaires de ces parcs). Cet accès sécurisé incite les femmes à investir dans l entretien et la reforestation de ces parcs, ce qui accroitra leur productivité à moyen terme. Par ailleurs la plateforme multi acteurs créée en début d intervention travaille sur un projet de convention locale collective qui permettra la régulation de la gestion des parcs. Toutes ces actions qui ont permis de réduire les conflits entre les acteurs, auront un impact durable sur la gestion et l exploitation des arbres à karité au profit des femmes et de la communauté entière. La création d un espace de dialogue via la mise en place d une plateforme de concertation multi acteur a été un des facteurs de succès de cette intervention. Cette plateforme permettra la poursuite du dialogue entre acteurs et les résultats obtenus inciteront à la réplication du processus par d autres organisations. SNV Netherlands Development Organisation 1 Case Studies 2012/Burkina_Karité
2 CONTEXT Le karité (Vitellaria paradoxa C.F. Gaertn) est une ressource stratégique pour le Burkina Faso de par sa contribution à l économie, à la sécurité alimentaire et fournissant un revenu à plus de femmes. La collecte des noix est une activité essentiellement féminine. Cependant, on constate un accès limité des femmes aux arbres à karité situés dans les zones protégées, dans les forêts sacrées villageoises et dans des champs individuels et familiaux qui constituent l essentiel des lieux d approvisionnement en noix de karité. Cette situation cause des conflits de diverses natures entre des acteurs aux perceptions et intérêts divergents, notamment entre femmes collectrices et hommes propriétaires des champs individuels et/ou familiaux, conflits entre femmes collectrices et autorités coutumières traditionnellement propriétaires des zones communautaires non cultivées, conflits entre femmes collectrices et services de l état en charge de la protection de l environnement. Ces conflits limitent l approvisionnement et ne permettent pas aux femmes de profiter pleinement de la ressource karité disponible, limitant par conséquent leurs revenus. Une des préoccupations majeures des femmes de cette zone est d avoir un accès stable et sécurisé à la matière première, c est-à-dire aux noix de karité. CLIENTS L Union des Groupements de Productrices de karité du Houet (UGPPK/H) est une union de 35 groupements de femmes totalisant 3106 membres. Elle a été créée en 2001 et est appuyée par la SNV, Organisation Neerlandaise de Développement depuis L union couvre les communes rurales de Koundougou, Fo, Faramana et Dandé, situées dans la région des Haut-bassins et dans le sud-ouest de la Province du Houet. La zone d intervention de l union appartient à une zone qui compte l un des plus importants parcs à karité du Burkina Faso d une superficie de km2, le potentiel en karité de cette zone est estimé à 55 pieds de karité à l hectare, soit approximativement d arbres à karité pour l ensemble de la zone. Ce parc n est exploité que partiellement et peut par conséquent constituer une source importante de revenus pour les femmes de ces communes rurales INTERVENTION LOGIC Réalisation d un diagnostic La démarche a d abord consisté à faire un diagnostic permettant d analyser les principaux facteurs qui influencent l accès des femmes aux arbres à karité. L analyse a également permis d identifier les catégories d acteurs impliqués dans la gestion et l utilisation des parcs à karité et des relations de pouvoir entre ces acteurs. Le diagnostic a permis de montrer que le droit d exploitation ou d usage des arbres à karité varie selon le mode de propriété des terres où se trouvent les arbres à karité. Il ressort de l analyse que certaines conventions sont appliquées dans les villages, dont l interdiction de collecter les noix le lundi et le vendredi. - Dans le cas de la collecte des noix dans les zones communautaires villageoises, appartenant à la communauté mais sous le contrôle des autorités coutumières, le diagnostic a montré que les femmes préfèrent ramasser des noix sur ces terres de libre accès mais éloignés des villages. Cet intérêt s accroit, dans le contexte de l augmentation de la demande globale de produits issus du karité. Dans le cadre de l intervention menés, des groupements de femmes ont négocié avec les autorités coutumières un accès sécurisé et exclusif à certaines de ces zones communautaires. La mairie a par la suite été impliquée dans le processus de formalisation de cet accès. - Dans le cas de la collecte des noix dans les zones protégées par l Etat, qui sont gérées par les services déconcentrés de l environnement, il est apparu que certaines femmes collectent des noix dans ces zones, réservées à la conservation de la diversité biologique. Les services techniques étatiques ont le mandat de contrôler la gestion de ces ressources naturelles. Certaines forêts sont formellement interdites d accès, tandis que d autres peuvent être SNV Netherlands Development Organisation 2 Case Studies 2012/Burkina_Karité
3 exploitées par les populations qui doivent limiter leurs activités à la collecte des fruits. Dans ce cas particulier, les groupements de femmes ont négocié avec les services techniques un droit d exploitation stable et exclusif qui fera l objet de surveillance des activités afin de garantir le respect des règles. - Dans le cas de la collecte des noix dans les champs cultivés, géré par des hommes propriétaire des champs, il est apparu que la ou les femmes du propriétaire ont le droit de récolter les noix des karités sur le champ de leur mari, souvent avec l accord préalable de celui-ci. Dans les familles polygames, les femmes s organisent pour le ramassage équitable des fruits. L accès des arbres est moins évident pour les femmes dont les maris ne sont pas propriétaires de champs, tel que les migrants. L intervention mise en place n a pas touché ce cas Photo : Chef coutumier de Mangorotou à un atelier de renforcement des capacités particulier. - Dans les forêts villageoises sacrées gérées par les autorités coutumières, le diagnostic a montré que des règles strictes régissent ces espaces dont l accès est interdit. Les femmes collectrices respectent cet interdit, d autant plus que toute violation de cette règle doit être réparée par des sacrifices. Les informations collectées ont permis de constater la divergence d intérêts des acteurs, qui dans plusieurs cas entraine des conflits et empêche la pleine exploitation des ressources. Ces divergences d intérêts sont présentées dans le tableau ci-dessous. Acteurs Services de l environnement Femmes collectrices Autorités coutumières Intérêts Conserver les espaces naturels et éviter la surexploitation des ressources naturelles Protéger les espèces menacées respect de la règlementation afin d éviter la dégradation des ressources et du milieu naturel Assurer le développement des communautés locales Accès sécurisé aux terres pour pouvoir s approvisionner en noix et augmenter les revenus Conserver la tradition, perpétuer les coutumes Assurer la préservation de la nature Ces divergences d intérêts et de perceptions entre les différents acteurs ont confirmé la nécessité de créer un cadre de concertation sur la problématique de l accès des femmes à l arbre à karité. OUTCOMES Création d une plateforme de concertation Afin de partager les résultats et conclusions du diagnostic, la SNV a organisé une série de rencontres de concertation impliquant tous les acteurs prenant part à la gestion des parcs à karité dans la zone de Koundougou. Ces rencontres ont permis la création d une plateforme réunissant tous les acteurs ayant participé au diagnostic, soit les femmes de l UGPPK, les autorités coutumières, la mairie de Koundougou, les services déconcentrés de l Etat chargés de l Agriculture et de l Environnement, de même que les Directions provinciales de l enseignement de Base et de l Alphabétisation. Différents types d activités ont été organisées dans ce cadre telles que des rencontres et ateliers de discussion ou des journées portes ouvertes portant sur la protection et l entretien des arbres. Parallèlement, la SNV a mené des actions de renforcement des capacités de l UGPPK/H sur les thèmes de la négociation, leadership, management et gouvernance des ressources, ce qui a aussi été déterminant pour l Union afin d influencer son environnement et obtenir des changements. SNV Netherlands Development Organisation 3 Case Studies 2012/Burkina_Karité
4 Négociation et obtention de parcs à karité par les femmes Les capacités de négociation et le leadership des femmes ont été améliorées, ce qui a conduit les femmes de l UGPPK/H à demander aux services déconcentrés de l environnement un droit d exploitation sur les arbres à karité sur les zones protégées. L accord à leur requête est une opportunité qui permet aux femmes de l union possédant une certification biologique, d augmenter leur approvisionnement en karité biologique. Cet accès stable et formalisé aux zones protégées leur permet d augmenter leur superficie de production biologique. Cinq groupements de l UGPPK/H, représentant environ 300 femmes, ont également négocié et obtenu des chefs coutumiers un droit de propriété sur 5 parcs d une superficie totale d une dizaine d hectares, soit environ 550 arbres de karité. Début 2012, le processus de formalisation des documents a débuté à savoir la délimitation des parcs et l établissement du procès-verbal de palabre en concertation avec les autorités administratives. Les autres groupements pourront reproduire l expérience sur la base de ce premier processus réussi. «Après l atelier, les responsables de l union ont organisé des restitutions dans chacune des 4 communes. Nous nous sommes concertées et nous avons responsabilisé 3 femmes par commune pour rencontrer les chefs coutumiers. Nous leurs avons soumis nos doléances à savoir avoir des parcs à karité à nous pour développer nos activités liées au karité. Les coutumiers nous ont écoutées. Ils nous ont dit qu ils se concerteraient et nous donneraient une réponse. Deux jours après, nous sommes reparties les voir. La réponse était positive. Quelques semaines après, les coutumiers sont allées nous montrer les parcs cédés» Témoignage d une femme membre de l UGPPK. Investissement des femmes dans les parcs à karité Ayant un droit sécurisé sur ces parcs, les femmes investissent désormais dans l entretien et la reforestation. L union a déjà pris des mesures pour protéger et reboiser les parcs obtenus. Elle a lancé un mot d ordre «une femme, un plan de karité». Une des premières actions de l union a été d offrir 3106 plants aux 3106 femmes de l UGPPK afin de mettre en place des pépinières. Par ailleurs, les femmes entretiennent désormais les arbres à karité dans l optique d améliorer leur productivité. L union a entrepris des démarches auprès de la direction de l enseignement de base de Dandé pour sensibiliser et former les élèves à la protection des arbres à karité. Un consensus a déjà été obtenu sur la nécessité de sensibiliser les enfants au travers des modules sur l éducation environnementale. Mise en place d une convention locale collective Début 2012, la plateforme multi acteurs travaillait sur un projet de convention locale collective autour de la gestion durable des ressources naturelles, notamment le karité dans la zone de Koundougou. Dans le cadre de la formulation de cette convention, un espace de dialogue et de participation a été créé afin d impliquer les populations locales et les structures d appui. Toutes ces actions contribueront à réduire les conflits entre les acteurs. Elles auront un impact durable sur la gestion et l exploitation des arbres à karité, au profit des femmes et des communautés. LESSONS LEARNT La création d un espace de dialogue via la mise en place d une plateforme de concertation multi acteur a été un des facteurs de succès de cette intervention. Ce processus de concertation pourra également faciliter la mise en place de projets multi-acteurs, regroupant les différents acteurs de la filière karité et les acteurs étatiques, qui permettront d identifier et de mettre en place des stratégies additionnelles visant à améliorer la gestion et l exploitation durable des parcs à karité. Photo : Réunion UGPP/K avec le chef de terre SNV Netherlands Development Organisation 4 Case Studies 2012/Burkina_Karité
5 «Aujourd hui les choses ont changé, on nous dit que pour que quelque chose dure, il faut impliquer les femmes. Et cela est vrai, car les femmes se battent. Beaucoup d entre elles viennent en aide à leurs maris pour les dépenses de la famille Si les femmes demandent quelque chose il faut le leur donner» Témoignage d un coutumier de Mangorotou. SNV Netherlands Development Organisation 5 Case Studies 2012/Burkina_Karité
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