Allergie aux pollens: aspects cliniques. Première partie

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1 Allergie aux pollens: aspects cliniques. Première partie Caroline Dürr a, Samuel Heimgartner b, Regula Gehrig c, Marco Caversaccio b, Arthur Helbling a a Allergologisch-Immunologische Poliklinik, Klinik für Rheumatologie und Klinische Immunologie/Allergologie, Universitätsspital Bern, b Klinik und Poliklinik für Hals-, Nasen-, Ohrenerkrankungen, Kopf- und Halschirurgie, Universitätsspital Bern, c Bundesamt für Meteorologie und Klimatologie, MeteoSchweiz, Zürich Quintessence L allergie aux pollens est une maladie fréquente. Sa prévalence actuelle en Suisse se situe autour de 15%. Après un accroissement de 1% à 12% dans un intervalle de 70 ans, la prévalence de la pollinose n augmente plus depuis le milieu des années 90. Les causes de l accroissement de la prévalence sont multifactorielles: pollution de l air, ozone, tendance à l urbanisation, style de vie occidental, stress. En Suisse et en Europe centrale, les principaux pollens allergisants sont: le noisetier, le bouleau, le frêne, les graminées et l armoise. L allergie aux pollens est une maladie systémique. Complications: asthme allergique, allergie alimentaire, élargissement du spectre d allergènes et eczémas cutanés. Summary Pollen allergy. Part 1: Clinical aspects Pollen allergy is a common disease with a current prevalence in Switzerland of approximately 15%. Following an increase from 1% to 12% over the last 70 years, the prevalence of pollinosis has remained stable since the nineties of the last century. The rise in the prevalence of pollinosis is due to multiple factors: air pollution, ozone, trend towards urbanisation, western lifestyle, stress. Important marker pollens for Switzerland and central Europe are hazel, birch, ash, grasses and mugwort. Pollen allergy is a systemic disease whose complications are allergic asthma, food allergies, extension of the allergen spectrum and skin eczema. Fréquence de l allergie aux pollens Les données épidémiologiques disponibles en Suisse depuis 1926 montrent que la prévalence de l allergie aux pollens communément appelée parfois rhume des foins est passée chez les adultes de 1% à plus de 12% dans un intervalle de 70 ans. Cette prévalence est plus élevée chez les enfants. Les études SCARPOL, effectuées auprès d enfants et d adolescents âgés de six à quinze ans, indiquent que, depuis le milieu des années 90, la prévalence de la pollinose a cessé d augmenter; depuis lors, la prévalence de la pollinose se situe invariablement à un niveau de 15%, considéré comme élevé [1]. Sur le plan européen, les données sur la prévalence indiquent un niveau aussi élevé qu en Suisse. De nouvelles recherches laissent entrevoir un taux d affections rhino-oculaires d origine allergique atteignant de façon intermittente jusqu à 20% de la population européenne. Causes de la progression de l allergie aux pollens L évaluation des raisons de la progression de l allergie aux pollens varie selon les aspects pris en considération. Ainsi l augmentation des allergies respiratoires se trouve-t-elle corrélée avec la tendance à l urbanisation, le «style de vie occidental» et ses commodités quotidiennes, le contact étroit avec des animaux de compagnie par opposition à l élevage campagnard traditionnel, l amélioration constante de l isolation des appartements et des maisons, qui n autorise plus une circulation d air normale [1 4]. Les citadins sont davantage sujets à des allergies respiratoires que les personnes vivant à la campagne. L essor du statut économique de ces dernières décennies a provoqué des changements dans l espace vital et le spectre de sensibilisations s en est trouvé modifié: les êtres humains ont été de plus en plus sensibilisés à des allergènes provenant de l espace habité [1, 5]. Même si le rôle que joue la pollution atmosphérique dans le développement des allergies est toujours discuté, cette pollution va de pair avec une élévation du risque de sensibilisation, resp. avec une augmentation de la rhinite allergique. L une des thèses prétend que les particules en suspension élèvent l allergénicité et la biodisponibilité des protéines de pollens. Les taux d ozone élevés jouent également un rôle dans l allergie respiratoire. L effet d irritation provoqué par la toxicité de l ozone endommage les muqueuses, ce qui facilite la pénétration des protéines de pollens et l induction de la sensibilisation. Le stress peut également assurer cette fonction de déclenchement:une étude finlandaise, effectuée auprès de étudiants, montre que le risque de contracter de l asthme ou une rhino-conjonctivite allergique est 1,5 à 1,75 fois plus élevé si une situation psychique exceptionnelle (décès d une personne proche; conflits profonds, personnels ou parentaux) s est Vous trouverez les questions à choix multiple concernant cet article à la page 243 ou sur internet sous

2 Pollen de bouleau à Bâle: début et fin de floraison mai 19 mai 29 avr 19 avr 19 avr 30 mars 20 mars 10 mars 29 fév présentée au cours de la période d observation de plus de dix ans [6]. Propriétés des pollens déplacement des dates de floraison Les pollens significatifs en épidémiologie sont les pollens anémophiles (transportés par les vents) et non les pollens entomophiles (véhiculés par les insectes). Ce ne seront donc pas les fleurs parées de couleurs telles que celles des forsythias, des magnolias, des pommiers, des dents-de-lion ou des roses qui entreront en considération, mais bien plutôt les fleurs discrètes des bouleaux, des frênes, des graminées et des armoises. Les plantes anémophiles sont sensibles aux changements météorologiques comme le froid ou la pluie et servent à travers les mesures annuelles effectuées sur les pollens de plantes indicatrices des changements climatiques. Dans la nature, au cours de ces 25 dernières années, les dates de floraison se sont avancées de deux à trois semaines (fig. 1x). Selon des études européennes, la tendance est au prolongement de la période de floraison des plantes des prairies. On ne sait pas encore si la quantité elle-même de pollen augmente, ce qui entraînerait un accroissement de la charge atmosphérique en Tableau 1. Les principaux pollens et leurs allergènes les plus importants. Pollen de Allergène Réactivité croisée (fréquence de sensibilisation) 1992 bouleau Bet v 1 (90%) forte entre différentes espèces d arbres Bet v 2 (10%) oléacées exceptées en raison des allergènes Bet v 4 (20%) homologues de Bet v1 Bet v 6 (12%) frêne Fra e 1 (75%) forte entre oléacées (olivier) graminées Phl p 1 (90%) la plupart des graminées, seigle compris Phl p 5 (80%) armoise Art v 1 (79%) toutes les astéracées Art v 4 (34%) Début de floraison Fin de floraison Droite de régression (début de floraison) Droite de régression (fin de floraison) Figure 1 Dans l ensemble, la saison du pollen de bouleau à Bâle est bien plus tôt qu il y a 25 ans. Elle commence aujourd hui en moyenne 13 jours plus tôt et se termine 9 jours plus tôt qu en 1982 (source: MétéoSuisse). pollens. Pour l ambroisie, des expériences ont montré que la quantité de pollen produite augmente nettement lorsque le taux de CO 2 dans l atmosphère et la température augmentent. Les changements climatiques peuvent induire l adaptation ou la disparition de nouvelles espèces végétales dans une région [7, 8]. Les plus importants pollens pneumallergènes en Suisse La période de floraison varie d une région à l autre en dépendance du climat et de la météorologie. En région méditerranéenne, elle est en général d un mois plus avancée que dans les pays du nord de l Europe. Dans les régions de montagne, elle suit les floraisons de la plaine avec deux à trois semaines de retard. En Suisse, un tout petit groupe d espèces provoque environ 90% des rhino-conjonctivites saisonnières (tab. 1 p) En plus des pollens de plantes ubiquitaires telles que les graminées, les bouleaux, les noisetiers, les aulnes, les frênes et les armoises, il faut compter avec des occurrences régionales, parfois en concentrations élevées, de pollens de platanes et de chênes. On ne connaît pas encore l importance et la signification de ces pollens d arbres dans les pollinoses printanières. Les pollens des charmes et des hêtres pourpres n apparaissent en quantité dans l atmosphère que tous les trois à cinq ans, lors des années de fortes floraisons. Les bouleaux, aulnes, noisetiers, hêtres, chênes et châtaigniers font partie de la famille des fagacées(ordre des fagales): en général, la réactivité croisée est élevée entre leurs pollens. Occasionnellement, surtout dans les régions agricoles, les pollens de plantains peuvent prendre de l importance. On enregistre alors ces pollens dans l atmosphère durant de nombreuses semaines jusqu au mois d août, toutefois dans des concentrations plutôt faibles. Dans les figures 2 x et 3 x, les concentrations de pollens de bouleaux et de graminées mesurées dans deux stations en 2007 (Berne et Davos) sont comparées aux années précédentes ( ). Au niveau régional, certains pollens comme ceux des pariétaires, des cyprès et des ambroisies peuvent devenir des allergènes significatifs. Les pariétaires et les cyprès sont la cause fréquente d allergies aux pollens en région méditerranéenne, d où elles sont originaires. Ces deux plantes se sont adaptées au Tessin et le réchauffement climatique promet leur extension plus large en Suisse. L ambroisie se rencontre en plus fortes quantités en région genevoise et au Tessin. Depuis quelques années, cette plante se rencontre de plus en plus souvent dans le Plateau suisse. Le plus souvent, il s agit de plantes isolées se trouvant dans des jardins privés. On suppose que ces plantes isolées se sont développées à partir de graines pour oiseaux contaminées par des semences d ambroisie.

3 Figure 2 Pollen de bouleau et de graminées en 2007 à Berne. Les concentrations polliniques de bouleau et de graminées en 2007 (barres verticales noires) sont comparées aux moyennes des années (surface grise). La moyenne est représentée par le 80e centile de concentration quotidienne de pollen pour ces années. La saison du bouleau en 2007 commença à une date moyenne et fut très intense mais courte (20 jours seulement). La saison des graminées 2007 commença à Berne 25 jours plus tôt que la moyenne. Cette saison fait partie des années présentant une grande quantité totale de pollen avec une dissémination très forte pendant plusieurs jours (source: MétéoSuisse). Figure 3 Pollen de bouleau et de graminées en 2007 à Davos. Les concentrations de pollen de bouleau et de graminées en 2007 (barres verticales noires) sont comparées aux moyennes des années (surface grise). La moyenne est représentée par le 80e centile de concentration pollinique de ces années. Les valeurs élevées de pollen en avril sont issues de transports longue distance et reflètent la floraison du Plateau suisse. La floraison des graminées commença également 2 à 3 semaines plus tôt qu en moyenne (source: MétéoSuisse). Stations de mesure des pollens Depuis 1993, l Office fédéral de météorologie et de climatologie, MétéoSuisse, opère des relevés de routine des pollens dans quatorze stations de mesure. L appareil de mesure utilisé à cet effet est le capteur de pollen de marque Burkard(fig. 4x) fonctionnant selon un principe volumétrique. Un volume d air défini avec exactitude est aspiré, puis son contenu de pollen se dépose sur une bande de mesure. Les pollens sont analysés à Zurich et à Payerne chaque semaine et les résultats sont publiés ( La plupart des stations de mesure se situent dans les grandes villes de Suisse. La situation pollinique est également mesurée dans le Jura, dans les Alpes et dans les régions de campagne. Caractéristiques des principaux pollens Noisetier (Corylus spp.): le noisetier produit les premiers pollens enregistrés au printemps dans l atmosphère. Période de floraison: de janvier à avril. Aulne (Alnus spp.): sur le Plateau suisse, les aulnes fleurissent au même moment que les noisetiers. L aulne vert (Alnus viridis), une espèce croissant dans les Alpes à une altitude de 1300 à 2300 m, fleurit plus tard, aux mois de mai et juin. Bouleau (Betula spp.): sa floraison ne débute généralement que vers la fin du mois de mars/début d avril et elle dure environ quatre semaines. L allergène majeur du pollen de bouleau (Bet v1) est le plus puissant des allergènes polliniques provenant d arbres en Europe. Frêne (Fraxinus spp.): la période de floraison du frêne se limite généralement à trois semaines durant les mois de mars et avril. Le frêne fait partie de la famille des oléacées (Oleaceae) comme l olivier, le lilas, le jasmin, le troène ou le forsythia. La réactivité croisée est élevée à l intérieur de la famille des oléacées, cependant elle est minime avec les familles de l ordre des Fagales. Graminées (Poaceae): au niveau mondial, ce sont les graminées qui provoquent le plus d allergies respiratoires. En Suisse, leur période de floraison principale se situe entre mai et juillet. Leurs concentrations polliniques maximales dans l atmosphère sont mesurables une à deux semaines après le début de floraison. En 2007, en Suisse, des concentrations polliniques élevées étaient déjà observées entre avril et mai. En raison d un mois d avril exceptionnellement doux, la floraison eut lieu deux à quatre semaines avant la date habituelle. On put même mesurer les premiers pollens de graminées au moment de la floraison des bouleaux. A l exception de quelques rares espèces, comme le chiendent, il existe une forte réactivité croisée entre les graminées d espèces différentes, y compris les céréales comme le seigle. Armoise (Artemisia spp.): comme l ambroisie, l armoise fait partie de la famille des astéracées. Elle fleurit de mi-juillet à début septembre. De grandes concentrations de ses pollens se rencontrent au Valais, au Tessin et dans le nord-ouest de la Suisse. Ambroisie (Ambrosia artemisiifolia): les semences de cette plante ont été introduites en Europe par la contamination des céréales en provenance d Amé- Figure 4 Capteur de pollen de Burkhard (source: MétéoSuisse).

4 rique après la Première et la Seconde Guerre mondiale. L ambroisie prend de l extension en Hongrie, dans les Balkans, dans la plaine du Pô et le long du cours du Rhône en France depuis le milieu du XX e siècle, et de façon plus accentuée depuis les années 90. La floraison de l ambroisie commence en juillet et peut s étendre jusqu au mois d octobre (fig. 5 x). L allergie aux pollens est une maladie systémique symptômes L allergie au pollen se manifeste par une réaction inflammatoire des muqueuses des yeux, des voies respiratoires et du pharynx. Le symptôme principal, chez la plupart des sujets, en est l inflammation rhino-oculaire: conjonctivite bilatérale, prurit nasal et rhinorrhée en sont les manifestations typiques. Ces symptômes classiquement saisonniers permettent de reconnaître facilement la pollinose, raison pour laquelle les patients posent fréquemment eux-mêmes le diagnostic de «rhume des foins». En règle générale,l étendue et l intensité des symptômes sont en corrélation avec l intensité de la concentration pollinique dans l atmosphère. Les symptômes se développent à partir d un seuil généralement admis de 10 à 50 graines depollen/m 3,selonlespollens.Lapollinose,comme toutes les allergies respiratoires, est une maladie systémique. Outre les organes respiratoires, d autres organes aussi peuvent être impliqués dans cette pathologie: la peau (eczémas), les voies digestives, y compris l œsophage (œsophagite éosinophile). Même si les sensibilisations peuvent se déterminer à un âge précoce, les rhinites allergiques, saisonnières ou pérennes, débutent rarement avant l âge de cinq ans. Complications de la pollinose Figure 5 Ambroisie au début de la floraison: la plante peut atteindre un demi-mètre de hauteur; le meilleur moment pour l arracher est avant la production de pollen; se protéger les mains avec des gants (source: Agroscope ACW). Tableau 2. Aliments présentant une réactivité croisée au pollen de bouleau. 1 Allergène Allergène alimentaire Aliment principal homologue Bet v1 Cor a 1 noisette Gly m 4 soja Mal d 1 pomme Pru av 1 cerise Pru ar 1 abricot Pyr c1 poire Dau c 1 carotte Bet v2 Ana c 1 ananas Agi g 4 céleri Ara h 5 arachide Cor a 2 noisette Dau c 1 carotte Gly m 3 soja Mus xp 1 banane Lyc e 1 tomate Pru av 4 cerise Pyr c 4 poire 1 Modifié par M. Henzgen et al. Allergologie 2005;28: Asthme La majorité des patients (>50%) souffrant d une pollinose développe une hyperréactivité bronchique temporaire lors d une période de concentration pollinique continue de une à trois semaines, ou après quelques années dans leur évolution longitudinale. Souvent la pollinose ne se déclare seulement que lors d un effort physique comme de «courir pour attraper le bus» ou de s adonner au jogging, ou encore lors d un changement de température. Le tiers de ces patients est atteint d asthme à caractère saisonnier. Si l on ne traite pas ces symptômes bronchiques, le processus d inflammation pulmonaire, généralement déclenché par les éosinophiles, peut se développer et atteindre une forme persistante. Cette évolution dépend largement de l exposition à l allergène et du spectre de sensibilisation. Allergies alimentaires Presque la moitié des personnes souffrant de pollinose sont également atteintes d une forme spécifique d allergie alimentaire, désignée sous le nom de syndrome allergique oral. Ces patients ressentent des démangeaisons aux lèvres, aux joues, sur le palais ou dans la gorge, peu après le début du repas. Ces sensations de démangeaison, de prurit, d urticaire ou d engourdissement apparaissent parfois en association avec un gonflement des muqueuses. Dans cette allergie alimentaire réelle,

5 transmise par des IgE, les allergènes alimentaires, homologues aux substances Bet v1, plus rarement Bet v2 ou Bet v6 provenant de noix, ou de fruits frais et crus, à pépin ou à noyau, ont un rôle à jouer (tab. 2 p). Elargissement du spectre d allergènes Si aucune thérapie immunologique spécifique, ciblée et précoce, ne vient contrer l allergie aux pollens, le spectre des allergènes peut s étendre dans le cours de l évolution longitudinale. Cela signifie qu une personne souffrant de pollinose pour autant qu elle soit exposée à des sources de pollens puissants (dans la profession, les loisirs ou l habitat) peut se sensibiliser peu à peu à d autres allergènes présents dans son environnement (par ex. les animaux domestiques, le latex, les acariens). Même si la pollinose semble être une maladie insignifiante dans la pratique journalière du médecin, l importance clinique du «rhume des foins» dans l évolution à long terme de la personne allergique est largement sous-estimée. Correspondance: Prof. Arthur Helbling Allergologisch-Immunologische Poliklinik Klinik für Rheumatologie und Klinische Immunologie/Allergologie Universitätsspital CH-3010 Bern arthur.helbling@insel.ch Références 1 Braun-Fahrlander C et al. Prevalence of hay fever and allergic sensitization in farmer s children and their peers living in the same rural communitiy: SCARPOL team: Swiss study on childhood allergy and respiratory symptoms with respect to air pollution. Clin Exp Allergy. 1999;29: Mösges R, Klimek L. Todays allergic rhinitis patients are different: new Factors that may play a role. Allergy Sep; 62(9): D Amato G et al. Allergenic pollen and pollen allergy in Europe. Allergy Sep;62(9): von Ehrenstein OS, von Mutius E, Illi S, Baumann L, Bohn O, von Kries R. Reduced risk of hay fever and asthma among children and farmers. Clin Exp Allergy. 2000;30: Frew AJ. Advances in environmental and occupational diseases J Allergy Clin Immunol. 2005;115: Kilpelainen M, Koskenvuo M, Helenius H, Terho EO. Stressful life events promote the manifestation of asthma and atopic diseases. Clin Exp Allergy. 2002;32: Jäger S. Allergies in the 20th and 21st century: start, duration and intensity of the pollen season. International Conference 5-7 December 2001, Wageningen, The Netherlands. 8 Rogers CA, Wayne PM, Mackling EA, Muilenberg ML, Wagner CJ, Epstein PR, Bazzaz FA. Interaction of the Onset of Spring and Elevated Atmospheric CO2 on Ragweed (Ambrosia artemisifolia L.) Pollen Production. Environmental Health Perspectives. 2006;Vol 114,No.6:865 9.

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