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1 Les enjeux de la reprise 7 L influence des réseaux sociaux 11 Enquête 2010 sur les logiciels 12 Convention de poste-publications n O T T NOTRE Virtualité Behind the Numbers (2) Plus p. 26 septembre 2010 SPÉCIAL annuel Les exigences de conformité nécessitent souvent la modification des applications TI. Voir la suite... Comment mieux investir : voici dix trucs p. 36 Les régimes de retraite et les IFRS p. 43 Les comités de vérifi cation sous la loupe p. 46

2 Pour que les nombres soient sensés, il faut d abord veiller à ce que les valeurs soient exactes. Lorsqu il est question de portefeuilles immobiliers, on ne peut se permettre de jouer aux devinettes. Consultez un membre accrédités de l ICE pour vous assurer d avoir l information la plus exacte et pertinente possible concernant toutes les facettes de la valeur et des investissements immobiliers. Nos experts se sont préparés à l arrivée des IFRS et sont maintenant prêts à travailler avec vous. Ajoutez un expert en évaluation immobilière - AACI ou CRA - à votre équipe dès aujourd hui. Visitez Services d experts-conseils Consultation Diligence raisonnable Études de faisabilité Évaluation EXPERTS EN ÉVALUATION

3 Le Mot du rédacteur en chef Septembre 2010 Volume 143, n o 7 Rédacteur en chef édition anglaise Directrice artistique Directeur artistique adjoint Rédactrices principales Rédactrice Rédactrice-réviseure Rédactrice en chef édition Internet Producteur, édition Internet Adjointe à la rédaction Directrice de la traduction Collaborateurs Michael Burns, MBA, CA Marcel Côté Okey Chigbo Bernadette Gillen Kevin Pudsey Bernadette Kuncevicius Tamar Satov Yvette Trancoso Marie-Josée Boucher Margaret Craig-Bourdin Alan Vintar Harriet Bruser Suzanne Mondoux Steve Brearton Jim Carroll, FCA John Tabone, MBA Responsables de rubrique et conseillers techniques : Certification Yves Nadeau, CA Droit Jo-Anne Demers, BA, LLB Évaluation d entreprises Stephen Cole, CBV, FCA Finance Peter Hatges, CA, EEE, CF Fiscalité Trent Henry, CA Fiscalité - PME Brigitte Alepin, M.Fisc., MPA, CA Formation Christine Wiedman, PhD, FCA Fraude Roddy Allan, CA IFA Gestion de cabinet Stephen Rosenhek, MBA, CIRP, CA Informatique Yves Godbout, CA IT, CI CISA Insolvabilité Peter Farkas, CBV, CIP, FCA Planification financière Garnet Anderson, CFA, CA Recherche et normes Ron Salole, vice-président, Normalisation Ressources humaines Carolyn Cohen, MSW, CA Éditrice Cairine M. Wilson, MBA, vice-présidente, Services aux membres Responsable, ventes Brian Loney et marketing brian.loney@cica.ca Responsable des ventes Bruce Feaver publicitaires bruce.feaver@cica.ca Représentant publicitaire Serge Gamache au Québec sergegamache@videotron.ca Responsable, Darcey Romeo petites annonces darcey.romeo@cica.ca Coordonnateur de la publicité Michael Marks Responsable du tirage Annette DaRocha Conseil consultatif sur la rédaction de CAmagazine Doug McPhie, FCA, président Blair Davidson, FCA Margaret Albanese, CA Phillip Gaunce, CA Nancy Cheng, FCA Michel Magnan, FCA Toronto : 277, rue Wellington Ouest (Ontario) M5V 3H2. Tél. : Téléc. : Montréal : 680, rue Sherbrooke Ouest, 17 e étage (Québec) H3A 2S3. Tél. : Téléc. : Abonnement : Tél. : ou Téléc. : Internet Courriel camagazine@cica.ca lettres.camagazine@cica.ca annonces.camagazine@cica.ca CAmagazine est publié 10 fois l an (numéros couplés en janvier-février et en juin-juillet) par l Institut Canadien des Comptables Agréés. Les opinions exprimées par les auteurs, les rédacteurs ou dans les publicités n engagent pas la responsabilité de l Institut. Copyright Abonnement : 28 $ pour les membres; 25 $ pour les stagiaires CA; 28 $ pour les nonmembres. L exemplaire se vend 4,75 $. À l étranger : 72 $ par année; l exemplaire se vend 6,50 $. La TPS de 5 % s applique à tous les abonnements souscrits au Canada. On peut obtenir des renseignements sur l abonnement par téléphone au ou au , de 9 heures à 17 heures, du lundi au vendredi, ou par télécopieur au Numéro d enregistrement de la TPS : R IMPRIMÉ AU CANADA : Convention de poste-publications n o Retourner toute correspondance ne pouvant être livrée au Canada à : CAmagazine, Institut Canadien des Comptables Agréés, 277 rue Wellington Ouest, Toronto, ON, M5V 3H2. CAmagazine est membre de Magazine Canada et de la Presse spécialisée du Canada. Textes soumis : CAmagazine reçoit de temps à autre des manuscrits non sollicités, notamment sous forme de courrier des lecteurs. Tous les manuscrits et autres documents soumis à CAmagazine deviennent la propriété de CAmagazine et de l Institut Canadien des Comptables Agréés, son éditeur. Lorsqu ils soumettent des textes, les collaborateurs acceptent d accorder et de céder à l éditeur tous les droits d auteur, y compris les droits de réimpression et les droits électroniques, ainsi que tous les droits, titres et intérêts afférents aux textes en question. L éditeur se réserve le droit d utiliser ces textes, en partie ou en totalité, dans le cadre des activités du magazine ou dans tout autre cadre qu il juge approprié. Aucune partie de la présente publication ne peut être reproduite, stockée dans des systèmes de recherche documentaire ou transmise, sous quelque forme ou par quelque moyen que ce soit, sans le consentement écrit préalable de CAmagazine. C est le temps du Top 10 des enjeux TI Voici le numéro que vous attendiez pour en savoir plus sur les tendances actuelles dans le monde des technologies Voici notre numéro spécial consacré aux technologies de l information (TI) et à leur incidence sur le monde des affaires et la profession comptable. Comme par le passé, nous commençons par les résultats de l enquête du Comité consultatif sur les technologies de l information (CCTI) de l ICCA sur les dix défis TI les plus importants qu aura à relever la profession. Au fil des ans, les entreprises ont dû composer avec nombre de nouvelles normes, que ce soit en matière d information financière ou de technologies. Les exigences de conformité arrivent donc en tête de liste des enjeux. L incidence de la dernière récession arrive en 2 e place; la gestion de l information, la confiance du public et les technologies émergentes occupent les 3 e, 4 e et 5 e rangs. Vous en saurez plus en lisant «Le top 10 des enjeux TI» (p. 18) sous la plume de Robert Parker. Il n y a pas si longtemps, si l on voulait exploiter plusieurs environnements informatiques, il fallait investir considérablement dans les composants matériels. Grâce à la virtualisation, il est maintenant possible d utiliser une seule machine physique pour exploiter plusieurs postes de travail, à un prix bien moindre sans besoin d espace supplémentaire. La virtualisation donne une grande latitude en la matie`re et permet de faire des tests en quelques minutes seulement. Dans «Virtualité Plus» (p. 26), Dwayne Bragonier décrit les nombreux avantages de la virtualisation dans le monde des TI. Le chroniqueur Michael Burns nous rappelle (p. 12) que nous en sommes à notre 12 e édition de l enquête annuelle sur les systèmes ERP, et que, «au fil des ans, nous avons élargi notre enquête pour y inclure de plus en plus de fonctionnalités». Nos rubriques habituelles traitent ce mois-ci de planification financière personnelle (p. 36), de fiscalité (p. 40), de normalisation (p. 43) et de formation (p. 46). De son côté, Jim Carroll signale que les réseaux sociaux sont en train de transformer la façon dont les gens accèdent à l information, ce qui force les entreprises à revoir leur stratégie de publicité et leur marque (Virtualités, p. 11). Enfin, dans Perspectives (p. 52), Marcel Côté estime qu il faut mettre un frein à la spéculation car celle-ci cause plus de tort que de bien. En terminant, permettez-moi de me présenter. Je travaille au magazine depuis 12 ans. J y ai d abord été rédacteur principal pendant deux ans, puis rédacteur en chef de l édition anglaise. Pendant mon intérim au poste de rédacteur en chef, je compte bien maintenir la tradition d excellence de CAmagazine en offrant aux lecteurs des textes de qualité. Okey Chigbo, rédacteur en chef (par intérim) CAmagazine septembre

4 Sommaire avant-scène 4 BoÎte aux lettres 6 personnalités L Ontarien Jeff Sawyer est à la fois un rat de ville et un rat des champs. Associé dans un cabinet, il possède aussi la ferme familiale, et connaît d autant plus les défis du monde agricole. 6 De tout, sur tout, pour tous La Loi de l impôt sur le revenu maintenant disponible dans tous les formats Observations Expertise Chiffrier Tout le monde en parle 9 en pièces DÉtachÉes La sécurité des données : perception et réalité se confondent L accès aux médias sociaux aide à mobiliser les employés Le patron des TI 10 valeur ajoutée Cap sur la lutte aux changements climatiques chroniques 1 le mot Du rédacteur en chef C est le temps du Top 10 des enjeux TI articles de fond 18 Le Top 10 des enjeux TI Parmi les enjeux qui préoccupent le secteur des TI cette année, la récession se fait encore sentir, mais étonnamment, c est la question des exigences de conformité qui figure maintenant en tête de liste. par robert parker virtualités L influence énorme des réseaux sociaux 26 Virtualité Plus 12 processus Enquête 2010 sur les logiciels 52 perspectives Jeux de casino L informatique de bureau franchit une nouvelle étape de développement. L environnement virtuel offre maintenant la possibilité de ne posséder qu un seul ordinateur qui héberge plusieurs machines virtuelles, et à un coût bien moindre. par Dwayne Bragonier couverture: 2 CAmagazine septembre 2010

5 rubriques 36 Planification financière personnelle La stratégie de placement des investisseurs institutionnels peut donner des rendements à long terme très favorables. par Warren mackenzie 6 40 Fiscalité Le jugement de la Cour canadienne de l impôt dans le cas de TD Securities USA LLC devrait susciter beaucoup de discussions. par nik Diksic 43 Normalisation Le CNC a décidé de créer un nouveau chapitre du Manuel plutôt que d adopter la norme IFRS sur le sujet. par nancy A. estey Formation Les comités de vérification sont-ils à la hauteur de la tâche par rapport au renforcement du système d information financière? par Jean bédard et Yves Gendron actualités nouvelles De la profession 17 la normalisation en bref répertoire 50 services professionnels 51 perspectives De CArriÈre Dernières nouvelles, mises à jour en fiscalité, offres d emploi, articles supplémentaires, archives : vous trouverez tout cela (et plus encore) à CAmagazine septembre

6 Boîte aux lettres le débat de la décennie Les comptables doivent avoir des aptitudes pour le calcul et ils doivent être capables d analyser et de raisonner. Dans «Repères temporels» (Boîte aux lettres, juin-juillet 2010), John R. Ellen doute de la capacité de Christian Bellavance à délimiter la fin de la première décennie du présent siècle. Son argument consiste à dire qu il n y a pas eu d année 0 entre l an 1 avant Jésus- Christ et l an 1 après Jésus-Christ. Le tableau ci-contre concorde avec la position de M. Bellavance, selon laquelle la décennie s est terminée le 31 décembre Je suppose qu une décennie compte dix années complètes. Si M. Ellen avait appliqué son argument à notre époque, il aurait réalisé qu il ne s agit pas de savoir s il y a eu un an 0 (l an 2000 est une année 0) entre l an 1 avant J.-C. et l an 1 après J.-C. S il avait fait le décompte des années, tel qu il a été fait dans le tableau ci-contre, il aurait constaté que M. Bellavance avait simplement tenu pour acquis que le début de la décennie passée 1 er janvier 2000 au 31 décembre er janvier 2001 au 31 décembre er janvier 2002 au 31 décembre er janvier 2003 au 31 décembre er janvier 2004 au 31 décembre er janvier 2005 au 31 décembre er janvier 2006 au 31 décembre er janvier 2007 au 31 décembre er janvier 2008 au 31 décembre er janvier 2009 au 31 décembre er janvier 2010 au 31 décembre (de 2000 à 2009) coïncidait avec le début du présent millénaire, soit le 1 er janvier 2000, et non le 1 er janvier De nombreuses personnes ont soutenu que le 1 er janvier 2001 marquait en réalité le début du nouveau siècle (l argument de M. Ellen), puisqu il n y avait pas d année 0 au départ. Toutefois, si on se rappelle les préoccupations soulevées lors du passage à l an 2000, on constate que le 1 er janvier 2000 était généralement considéré comme le début du présent siècle. Dans le cas qui nous occupe, j appuie la position du rédacteur en chef et non celle du CA. Tout cela nous rappelle que même si les chiffres ne mentent pas, on peut leur faire dire ce que l on veut. Fred McCreath, CA Nanaimo, C.-B. au sujet d une zone grise L un des signes que j approche de la retraite est que ma vue n est plus ce qu elle était... L article de la rubrique «Tout le monde en parle» du numéro de juin- juillet 2010 est très difficile à lire en raison de l utilisation de caractères blancs sur fond gris. Un meilleur contraste serait apprécié. Allan Chandler, CA Montréal Les lettres doivent être envoyées au rédacteur en chef de CAmagazine, 277, rue Wellington Ouest Toronto (Ontario) M5V 3H2 (lettres.camagazine@cica.ca) CAmagazine se réserve le droit de modifier ou d abréger leur formulation dans le but de la rendre plus claire. CAmagazine remporte sept médailles à la remise 2010 DES PIX KRW CAmagazine a remporté le plus grand nombre de médailles au gala de la 56 e édition des prix Kenneth R. Wilson de la presse d affaires, qui a eu lieu le 1 er juin 2010 à Toronto. Il a gagné cinq médailles d or, dont celle du meilleur numéro, et deux médailles d argent, en plus d obtenir neuf mentions honorables pour des textes publiés en En tout, 68 magazines d affaires canadiens ont proposé plus de 600 textes dans les 21 catégories liées notamment à l écrit, à l illustration et à l Internet. Rejoignez votre public cible en passant une annonce dans CAmagazine Pour plus d informations, communiquez avec : Serge Gamache au courriel : sergegamache@videotron.ca 4 CAmagazine septembre 2010

7 Guide du praticien canadien (GDP CA) Le GDP CA a été entièrement mis à jour afin d y intégrer les nouvelles Normes canadiennes d audit. Le GDP CA est un guide exhaustif pour la réalisation de missions d audit, d examen et d autres missions de certification et de compilation auprès de PME. Internet/DVD/téléchargement/2 volumes, accompagnés d un CD boutiqueca.ca/gdpca DE PLUS Ajoutez les masques de saisie électroniques à votre abonnement au GDP CA et personnalisez vos missions. 1474

8 Avant-scène De tout, sur tout, pour tous Entre le bureau et la nature En plus d avoir la bosse de la comptabilité, Jeff Sawyer est propriétaire de la ferme familiale et passionné d agriculture. La Loi de l impôt sur le revenu maintenant disponible dans tous les formats Les professionnels de la fiscalité qui se déplacent peuvent maintenant consulter la Loi de l impôt sur le revenu (LIR) sur tous les appareils mobiles, y compris les très populaires iphone et ipad. Publié par Ernst & Young, le livre électronique est la première version de la LIR disponible en formats Mobi et epub, ce qui permet d en visualiser le contenu sur un appareil BlackBerry ou sur les lecteurs et téléphones Sony et Apple. «Il peut arriver qu on soit sur la route et qu on ait besoin de consulter la loi», J dit Margaret Hoffman, vice-présidente eff Sawyer, associé chez BDO Canada à Strathroy (Ontario), ne se soucie pas que de la croissance de ses entreprises clientes. Le CA de 36 ans fait également pousser du blé et du soja sur une ferme de 400 acres près d Alvinston, services d éditique Ernst & Young. de l exploitation et du marketing aux Ontario. «J ai grandi dans cette ferme, dit-il, qui a appartenu à mon père et à «Le livre électronique est conçu pour mon grand-père, et dont les débuts remontent à 1886.» faciliter la navigation. Le type de table Une enfance passée à la ferme supposait nourrir les animaux, nettoyer les des matières utilisé permet d accéder aux stalles, ramasser les œufs et plus tard, sarcler les champs. Au cours de sa dernière dispositions de n importe quel article en année à l université, Jeff Sawyer a acheté la ferme avec son frère cadet, qui est quelques secondes seulement», ajoute décédé subitement plus tard cette même année. Après le décès de son père en Mme Hoffman. mai 1999, le jeune diplômé a pris la relève de l exploitation agricole. «Le travail à la ferme ne semblait pas si exigeant, jusqu à ce que je me retrouve seul.» Ces jours-ci, son travail consiste entre autres à récolter le soja et à semer le blé d hiver. Les profits serviront à rembourser les dettes, à investir dans l achat de nouveaux équipements et, éventuellement, à acquérir de nouvelles terres agricoles, le tout pour permettre à la ferme de rentrer dans ses frais. Lorsque Jeff Sawyer ne se consacre pas à l agriculture, il offre ses services en fiscalité, en comptabilité et en certification à des entreprises de production, de transformation agricole ou encore de commerce des grains. De janvier à avril, il passe six jours par semaine au bureau. Au Cheminement mois de mai, il reprend le travail dans les champs. «Je peux arroser un champ et ensuite participer à une réunion de conseil d administration, ou vice-versa. J ai toujours mon BlackBerry avec moi», dit-il achète la ferme familiale avec son frère 1999 prend en charge l exploitation de la ferme Un ouvrier agricole lui donne aussi un coup de main lorsque nécessaire. Cet équilibre plaît à Jeff Sawyer. «Dans une ferme, on peut voir 1999 obtient le titre de CA (Ontario) 1999 entre au service de BDO, Strathroy (Ontario) nos erreurs, et les résultats sont tangibles. De plus, les agriculteurs 2008 devient associé chez BDO ont des préoccupations particulières, comme la relève qui est, pour eux, très importante. C est valorisant de les aider.» Angela Pirisi LoLA LEAndRA/KLIxPIx 6 CAmagazine septembre 2010

9 Observations DE NOUVEAUX ENJEUX À L HEURE DE LA REPRISE Un récent sondage ICCA/RBC : Tendances conjoncturelles mené auprès de CA occupant des postes de direction indique que la concurrence sur les marchés demeure le principal enjeu auquel doivent faire face les entreprises canadiennes. Par ailleurs, les répondants ont été nettement moins nombreux que l an dernier (69 % en 2009) à indiquer la demande des clients comme enjeu, bien que celle-ci demeure au deuxième rang des préoccupations des entreprises. De plus, la valeur du dollar canadien par rapport au dollar américain est considérée comme un enjeu important ou moyen pour 42 % des répondants, comparativement à 54 % en 2009, et ce, même si notre dollar était en hausse au cours de la période de sondage en Ces résultats suggèrent que les entreprises canadiennes s adaptent à un dollar canadien plus fort. Toutefois, l importance accordée à l offre de main-d œuvre professionnelle et technique (+12 %) et à l accès aux compétences en gestion (+7 %) est toutefois à la hausse comparativement à Ces résultats laissent entendre un resserrement du marché de l emploi au moment où s amorce la reprise économique. Les marchés financiers semblent quant à eux en voie de se rétablir. Seulement 34 % des répondants considèrent l accès aux capitaux comme un enjeu, par rapport à 43 % en Pour consulter les résultats complets du sondage ICCA/RBC : Tendances conjoncturelles, on peut visiter le site à l adresse John Tabone est responsable, Valeur ajoutée et services de recherche, à l ICCA. Q +R EXPERTISE QUI DOIT-ON CITER COMME RÉFÉRENCE SUR SON CV? Les chercheurs d emploi devraient établir une liste de personnes qui pourront témoigner de leurs compétences et caractéristiques professionnelles. Voici quelques conseils pour créer cette liste de façon à vous avantager. Faites des choix judicieux. Ne vous limitez pas aux personnes dont le titre est le plus impressionnant. Choisissez celles qui peuvent discuter de vos compétences et de vos expériences passées directement liées au poste convoité. Par exemple, un ancien collègue pourra parler de vos habiletés en relations interpersonnelles, et un ancien subordonné immédiat pourra témoigner de votre style de gestion. Validez à l avance. Contactez vos références potentielles à l avance pour savoir dans quelle mesure vous pouvez compter sur elles. Prenez soin de remettre à toutes vos références une copie de votre CV, une description du poste souhaité et le nom de la personne susceptible de les contacter. Soyez préparé. Présentez clairement les coordonnées de vos références, y compris leur nom, titre, numéro de téléphone au travail et leur courriel. Donnez une brève explication de la nature de votre relation avec chacune des personnes. Voyez un peu plus grand. Beaucoup d employeurs cherchent des références additionnelles, en ligne ou dans leurs propres réseaux. Vous devriez, si possible, rester en bons termes avec vos anciens collègues et supérieurs et sélectionner prudemment vos contacts sur les réseaux sociaux comme LinkedIn. Remerciez vos références, même si aucun employeur ne les a contactées. Tenez-les au courant de vos recherches d emploi et offrez-leur de leur rendre le même service au besoin. Robert Hosking est directeur principal d OfficeTeam ( CAmagazine septembre

10 # Chiffrier Du téléphone à Facebook Depuis les trois dernières décennies, la manière dont nous utilisons la technologie a radicalement transformé notre façon de travailler. 1 Rang qu occupe Internet parmi les outils d information utilisés par les hauts dirigeants d entreprise. Selon un sondage publié en 2009 par Google et le magazine Forbes, 80 % des dirigeants de 50 ans et moins utilisent le Web quotidiennement comme outil de veille stratégique. 25 Poids moyen en kilos d un téléphone satellite portable en De la dimension d un porte-documents, le téléphone se vendait entre $ US et $ US. Une décennie plus tôt, ce genre d appareil coûtait le double et pouvait peser 100 kilos. 40 Nombre de secondes nécessaires pour télécopier une page en Un télécopieur coûtait alors $. 91 Pourcentage d entreprises canadiennes qui considèrent les appels téléphoniques comme l outil le plus important en affaires, selon un sondage sur les technologies publié en Plus de 90 % des répondants ont affirmé que l envoi de courriels était crucial, alors que 49 % ont nommé la messagerie instantanée Nombre de délégués de l Association internationale des professionnels de la communication (AIPC) répartis dans différentes villes et ayant pris part à la première téléconférence internationale au Canada en Année de lancement du site Web de KPMG, sur lequel on trouvait entre autres un conseil fiscal canadien quotidien. Cette même année, 10 % des Canadiens de 16 ans et plus avaient utilisé Internet au cours des trois derniers mois Nombre d abonnés canadiens aux services de communication sans fil en RIM a lancé le Blackberry 14 ans plus tard. Aujourd hui, 122 millions de messages textes sont envoyés quotidiennement au Canada. Steve Brearton Tout le monde en parle DAvE BODNArChuk, CA PréSIDENT, EvENT IQ Profil : Située à Edmonton, la société Event IQ offre des logiciels et des services en ligne pour tous les aspects de la planification et de la gestion d événements, et pour des services additionnels comme l impression de porte-noms. «Nous offrons des services similaires à ceux de Ticketmaster pour des événements comme les galas, les soirées de Noël et les conférences», précise Dave Bodnarchuk. L entreprise ne comporte qu une dizaine d employés et sert une clientèle provenant principalement de l Alberta et des autres provinces. Le succès se mesure par le nombre de billets vendus ou de personnes inscrites. L entreprise perçoit en général 2 % des recettes totales. Les ventes de billets ont conu une croissance exponentielle de 500 % au cours du dernier trimestre. Elles devraient tripler au cours de la prochaine année. Pourquoi on l aime : Ses produits, sur le marché depuis le début des années 2000, s adressent à ceux qui souhaitent organiser un événement de façon professionnelle, en se servant d une technologie facile à utiliser. «Nos produits permettent aux organisateurs de se concentrer sur l événement, plutôt que sur des tâches administratives complexes qui exigent beaucoup de temps.» Originalité : Le printemps dernier, l entreprise a travaillé avec des écoles secondaires d Edmonton pour les aider à gérer la vente de billets pour les galas de remise des diplômes. L entreprise a enregistré des ventes de billets représentant au total 1,2 million $, et souhaite hausser ce chiffre à 5 millions $ en Il l a dit : «Je nous vois parfois comme les CA de la planification d événements, puisque nous délivrons nos clients de certaines tâches administratives. Ils peuvent donc bien profiter de l événement et avoir du plaisir.» John Shoesmith Seth 8 CAmagazine septembre 2010

11 En pièces détachées Nouvelles brèves + tendances La sécurité des données : perception et réalité se contredisent Même si près de trois organisations sur quatre affirment avoir pris des mesures adéquates pour protéger l information personnelle sensible, plus de la moitié d entre elles indiquent avoir perdu de l information confidentielle au cours des deux dernières années, selon une étude mondiale réalisée par le cabinet de services-conseils Accenture. L étude réalisée auprès de plus de dirigeants d entreprise dans plus de 19 pays, dont le Canada, montre que les grandes entreprises courent davantage de risques d atteinte à la sécurité que les entreprises de petite taille. Près de 70 % des entreprises sondées comptant plus de employés ont perdu des renseignements personnels, tels que le nom, l adresse, la date de naissance, la race, la nationalité, le numéro d assurance sociale et les antécédents médicaux, comparativement à 40 % des entreprises de moins de 500 employés. Cette différence serait attribuable au plus grand nombre d employés et à la dispersion géographique des établissements, lesquels feraient augmenter les risques de perte des renseignements personnels. L accès aux médias sociaux aide à mobiliser les employés Les entreprises qui permettent l accès aux sites de réseautage social ont peut-être un avantage sur le plan de la mobilisation des employés, si l on se fie à un un rapport du Conference Board du Canada. Ces outils font maintenant partie du quotidien et sont de plus en plus utilisés par les jeunes et les moins jeunes pour le réseautage professionnel et le travail en général, selon le rapport Human Ressources Trends and Metrics de «Leur incidence sur la mobilisation est manifeste.» L étude conclut que, dans le contexte actuel de reprise économique et de vieillissement de la population (près de 50 % de la main-d œuvre des entreprises interrogées est âgée de plus de 45 ans), les employeurs ne peuvent pas se permettre de sousestimer l importance de la mobilisation des employés. SETH LE PATRON DES TI Selon un sondage annuel mené par la société Gartner et la Financial Executives Research Foundation, les entreprises spécialisées en technologies de l information (TI) traitent maintenant davantage avec le chef des finances (42 %) qu avec le chef de la direction (33 %) ou tout autre membre de la direction. LES PETITES ENTREPRISES PRENNENT LE VIRAGE VERT Un sondage de la RBC indique que plus de 50 % des propriétaires de PME au Canada ont envisagé de mettre en œuvre un plan vert. Les plans envisagés mettraient l accent sur les normes environnementales (31 %) et la réduction de l approvisionnement (55 %). LES EFFETS D UN MANQUE DE PERSONNEL Votre nouvel ordinateur se fait attendre? C est peut-être à cause d un manque de personnel. Selon un sondage de Robert Half Technology, 64 % des responsables sondés ont dit que le manque de personnel informatique pouvait influer sur l implantation de nouvelles TI. CAmagazine septembre

12 Valeur ajoutée Tendances de l heure en affaires La gestion des RH, la clé de la réussite Selon un nouveau rapport d Ernst & Young, au moment où l économie mondiale semble s améliorer, les entreprises qui ont su valoriser leurs employés seront parmi les premières à «rebondir». Le rapport, intitulé Managing Today s Global Workforce, repose sur un sondage mené auprès de professionnels des ressources humaines, des finances et de la gestion des risques ainsi que de hauts dirigeants de sociétés figurant au palmarès Fortune Le rapport révèle que la mise en place de programmes de gestion favorisant le développement des employés constitue un facteur clé pour se démarquer de la concurrence et réussir sur le marché. Les employés sont précisément à la recherche d initiatives de ce type en cette période de reprise économique. Les organisations qui visent une réussite à long terme ont donc intérêt à intégrer une structure de gestion des effectifs audacieuse qui repose sur la diversité des points de vue. Le rapport révèle également une préoccupation générale à l égard des pénuries futures d employés talentueux pour les postes de techniciens et de cadres intermédiaires. C est pourquoi les entreprises apportent des changements dès maintenant et sont à la recherche de nouvelles façons d attirer et de retenir les employés les plus talentueux. Tandis que les activités des organisations canadiennes continuent de prendre de l expansion à l étranger (60 % des répondants ont des employés expatriés), l intégration de programmes de gestion des talents dans un cadre mondial est plus important que jamais. Voici les trois principales initiatives que les répondants prévoient mettre en œuvre : bâtir leur bassin de talents internes pour combler les besoins futurs (64 %); partager les ressources au niveau mondial pour pourvoir les postes clés (33 %); offrir des stratégies de travail flexibles comme le partage de poste, le télétravail, les horaires flexibles et la retraite progressive (31 %). Pour consulter la version intégrale de cet article, rendezvous à Ronny Aoun est directeur, groupe Capital humain chez Ernst & Young, s.e.n.c.r.l. On peut le joindre à ronny.aoun@ ca.ey.com ou au Cap sur la lutte aux changements climatiques Les changements climatiques figurent maintenant en tête de liste des préoccupations des équipes de haute direction. Selon un nouveau rapport publié par Ernst & Young, 82 % des dirigeants d entreprise canadiens prévoient une hausse immédiate des dépenses à cet égard. Le rapport Action amid uncertainty: the business response to climate change témoigne de la volonté des sociétés d investir dans les initiatives liées à la lutte aux changements climatiques malgré l environnement réglementaire incertain. En fait, 70 % des 300 dirigeants interrogés à l échelle mondiale prévoient que leurs dépenses à ce chapitre augmenteront au cours des deux prochaines années, et cette proportion augmente de 12 % chez les dirigeants canadiens. De plus, près de la moitié des répondants canadiens prévoient consacrer entre 0,5 % et 5 % de leurs revenus à des initiatives liées aux changements climatiques. Pour une société dont le chiffre d affaires est de 1 milliard de dollars, cela représente une dépense prévue de 5 à 50 millions de dollars par année. Plus de 90 % des dirigeants interrogés à l échelle mondiale ont indiqué que la gouvernance en matière de changements climatiques relève des équipes de direction ou des conseils d administration. Cela reflète l importance stratégique croissante des changements climatiques pour de nombreuses organisations, qui comprennent que ces changements permettent de réduire les coûts, d accroître leurs revenus et d acquérir un avantage concurrentiel. Les sociétés canadiennes étendent leurs efforts contre les changements climatiques à l ensemble de leur chaîne d approvisionnement. Ainsi, 43 % des répondants ont dit collaborer directement avec leurs fournisseurs pour réduire leur empreinte carbone. On remarque déjà une hausse considérable des initiatives liées au changement climatique en Colombie-Britannique. L importance stratégique croissante de ces initiatives est notamment mise en évidence par la carboneutralité du secteur public de la province et des Jeux olympiques qui y ont été tenus, et par la loi provinciale sur l énergie verte (Clean Energy Act), qui a été annoncée récemment. Bien que les initiatives liées aux changements climatiques s inscrivent dans un cheminement tourné vers l avenir, 89 % des entreprises canadiennes s attendent à ce qu il soit difficile d atteindre leurs objectifs à cet égard. C est pourquoi il faut commencer à établir une stratégie dès maintenant! Mike Mannella est associé, Services en changements climatiques et développement durable, chez Ernst & Young s.e.n.c.r.l. On peut le joindre à mike.a.mannella@ca.ey.com 10 CAmagazine septembre 2010

13 Virtualités par Jim Carroll Votre guide de la comptabilité et des affaires sur le Web L influence énorme des réseaux sociaux T out le monde sait que les réseaux sociaux sont en pleine expansion. Mettons donc leur essor en perspective : il a fallu 38 ans à la radio pour atteindre 50 millions d utilisateurs. La télévision en a pris 13, l internet quatre et le iphone, trois. En comparaison, 200 millions d utilisateurs se joignent à Facebook tous les mois, et personnes s inscrivent à Twitter chaque jour. Ces statistiques sont ahurissantes, même pour moi qui utilise Internet depuis Cette rapide expansion est en grande partie attribuable aux jeunes générations : 50 % de la population mondiale a moins de 25 ans, et en Amérique du Nord, 96 % des jeunes utilisent Facebook, une statistique stupéfiante. L utilisation des réseaux sociaux augmente puisque les gens utilisent leur appareil mobile pour exprimer leurs idées, accéder aux médias sociaux et s informer de ce que fait leur entourage. Des logiciels tels que Tweetdeck permettent de consulter et de filtrer le flux d informations qui circulent sur Twitter, que celles-ci aient trait à leurs amis ou aux gens qu ils «suivent» ou qu il s agisse des plus récentes actualités. Les réseaux sociaux ne servent pas qu à publier des commentaires plus ou moins intéressants. Ils sont également utilisés pour diffuser en ligne une quantité incroyable de vidéos et de photos. Les administrateurs de Youtube affirment que 24 heures de vidéos sont téléchargées vers le site toutes les minutes. Après le lancement du iphone, le trafic sur le site de Youtube a bondi de %. Les réseaux sociaux sont en train de transformer la façon dont les gens accèdent à l information. Aujourd hui, Facebook est plus populaire que Google pour effectuer des recherches. Twitter, avec 600 millions de recherches par jour, est désormais le moteur de recherche le plus important au monde. Les consommateurs à la recherche d informations sur des produits ou services se tournent maintenant plus souvent vers des membres des réseaux sociaux que vers les entreprises qui offrent ces produits et services. De nos jours, une recherche en ligne sur quatre au sujet d une des 20 plus grandes marques mondiales donne des résultats dont le contenu est généré par des utilisateurs, comme l information qu on retrouve sur les blogues et celle publiée sur Twitter et Facebook. Les entreprises doivent donc réfléchir sur leur stratégie publicitaire et leur marque. Auparavant, une entreprise concevait une stratégie de marketing, créait une campagne publicitaire et la présentait au public. Aujourd hui, les gens discutent de tout et de rien sur Internet, y compris des produits et services qu ils utilisent au quotidien. Les qualités et les défauts d un produit ou d un service aboutissent de plus en plus aux commentaires des internautes qui s ajoutent au message soigneusement élaboré par l entreprise, parfois au détriment de celle-ci. C est la raison pour laquelle les entreprises font des pieds et des mains pour modifier leur stratégie de marketing et de publicité. Avant les vacances estivales, j ai participé, à titre de conférencier, au sommet annuel des chefs de direction membres du Consumer Electronics Association, en Californie. Il était fascinant de voir réunis tous ces hauts dirigeants de multinationales du divertissement et des technologies, et des détaillants qui distribuent leurs produits de par le monde. La vitesse à laquelle se transforme le cyberespace, particulièrement en ce qui a trait aux réseaux sociaux, influence de plus en plus les marchés. Par exemple, on rapporte qu IBM a regroupé une partie de son personnel de marketing et de relations publiques dans le but de gérer les incidences des réseaux sociaux, alors que Pepsi affecte maintenant un tiers de son budget de marketing aux médias interactifs et sociaux. En somme, les entreprises doivent revoir leur façon d atteindre leur clientèle. Jim Carroll ( jcarroll@jimcarroll.com) est un auteur et conférencier réputé. Voyez par Vous-même Facebook stats Youtube stats youtube-statistics Twitter stats CAmagazine septembre

14 Processus PAR MICHAEL BURNS SOLUTIONS D AFFAIRES EN MATIÈRE DE TECHNOLOGIE Enquête 2010 sur les logiciels C royez-le ou non, CAmagazine en est à la 12 e édition de son enquête annuelle sur les progiciels de gestion intégrés (systèmes ERP). Au fil des ans, nous avons élargi notre enquête pour y inclure de de plus en plus de fonctionnalités. Cette fois-ci, il y a du nouveau! En effet, vous pouvez désormais remplir un formulaire en ligne sur les caractéristiques que vous recherchez afin d obtenir un classement des 10 systèmes ERP qui répondent le mieux à vos besoins. Vous pouvez aussi explorer plus en détail les systèmes qui vous intéressent. Le pourcentage de concordance du système avec vos besoins est basé sur la pondération que vous allouez à chacune des caractéristiques (champs personnalisés, sécurité, etc.), et des catégories (caractéristiques sectorielles, technologiques ou financières). Le lien vers l enquête est fourni dans la version électronique de cet article. Comme dans les numéros précédents, nous avons divisé le marché des produits ERP en segments selon le chiffre d affaires, les effectifs des entreprises clientes et le coût du produit. Voici les 10 principales tendances qui se dessinent dans le domaine des produits ERP : Économie : En période d incertitude, il n est pas évident d investir dans des produits ERP. Cependant, selon les fournisseurs, les affaires reprennent. Peut-être les ventes de produits ERP constituent-elles un bon baromètre des tendances économiques? Quoi qu il en soit, les fournisseurs cherchent toujours à renflouer leurs coffres et demeureront concurrentiels, au moins en ce qui concerne les droits de licence. Système ERP pour la vie : Il n y a pas si longtemps, les organisations changeaient de système ERP tous les cinq à dix ans afin de demeurer compétitives, car ces systèmes étaient encore relativement nouveaux. Aujourd hui, de nombreux produits offrent les mêmes fonctions de base, et la plupart des organisations se dotent d un nouveau système uniquement lorsqu elles ont d excellentes raisons de le faire. Intégration : Pour bon nombre d organisations, il s agit encore du plus grand défi à relever. Lorsqu elles considèrent l acquisition d un nouveau système ERP, les entreprises se demandent souvent si elles devraient investir dans un système ERP ou dans le meilleur produit pour une fonction en particulier. Paradoxalement, de nombreux systèmes ERP sont, au fond, des solutions dites «meilleur produit». Les fournisseurs de systèmes ERP ont fait l acquisition de logiciels pour élargir leur gamme de produits, et leurs divers systèmes comportent plusieurs interfaces utilisateurs et bases de données. Idéalement, les bases de données devraient être intégrées et il ne devrait y avoir qu une seule configuration de sécurité. Certains fournisseurs présentent l architecture orientée services (SOA) comme la panacée de l intégration. Cette solution est la plus moderne en matière d intégration d applications, mais elle doit encore faire ses preuves. Logiciels à la demande : Les entreprises sont de plus en plus nombreuses à externaliser la maintenance des logiciels et des données plutôt que de s en occuper elles-mêmes. Elles réduisent ainsi les sommes à investir dans l infrastructure informatique et les ressources en TI. Il existe deux modèles d externalisation : le modèle d hébergement et le modèle de logiciel-service (SaaS). Le modèle d hébergement offre une infrastructure complète de matériel informatique et de logiciels. Il nécessite une installation complète pour chaque client. Dans le cas du modèle de logiciel-service, il n y a qu une seule instance du logiciel, à laquelle plusieurs utilisateurs peuvent accéder au même moment sur le Web. Ce modèle est basé sur une technologie appelée «architecture multilocataire». L avantage du mode SaaS est que la mise à jour du logiciel par le fournisseur entraîne simultanément la mise à jour pour tous les utilisateurs. C est pourquoi le modèle d hébergement est préférable pour les 12 CAmagazine septembre 2010

15 logiciels personnalisés dont le code source doit être modifié. Citrix et Terminal Services sont parfois utilisés dans le modèle d hébergement, mais ne sont pas nécessaires pour les logiciels-services, lesquels sont généralement basés sur le Web. Le modèle de logiciel-service est maintenant largement utilisé pour la gestion de la relation client, mais il a encore du chemin à faire en ce qui concerne les systèmes ERP. L informatique en nuage est une sorte de modèle d hébergement, à la différence qu elle est entièrement basée sur Internet. Le matériel, les logiciels et les réseaux sont donc évolutifs et dynamiques. De plus, ce modèle peut être utilisé pour toutes les applications informatiques. Solutions ERP mobiles : Les solutions ERP mobiles permettent aux utilisateurs d exécuter des tâches de flux de travail (l approbation des bons de commande, par exemple) à partir de leurs appareils mobiles. La forte demande de solutions ERP mobiles aide à expliquer pourquoi SAP a récemment investi 5,8 milliards de dollars dans l acquisition de Sybase, entreprise réputée pour sa technologie mobile. Un seul fournisseur à blâmer : Lorsqu une gamme de logiciels est obtenue auprès d un fournisseur unique, celui-ci en est le seul responsable et ne peut donc pas renvoyer la balle à un autre fournisseur en cas de problème. Cette approche permet également une meilleure intégration des différentes composantes et une performance optimale. Cela dit, elle peut aussi engendrer une dépendance excessive envers un fournisseur et la perte du pouvoir de négociation. Oracle est une entreprise qui fait la promotion d une telle approche : elle offre des solutions ERP, des bases de données, des intergiciels (pour l intégration) et même du matériel (à la suite de l acquisition de Sun, en janvier 2010). Marché des PME ciblé : Tous les fournisseurs de systèmes ERP continuent de se disputer le marché que représentent les PME. Selon l article «SAP in 30 days; with the channel s help» paru sur le site itbusiness.ca (le 26 février 2010) : «Il semble extrêmement audacieux, voire impossible, de mettre en œuvre un progiciel SAP en 30 jours, mais le responsable des réseaux et le président de SAP Canada croient qu ils sont sur la bonne voie, grâce au soutien des partenaires de réseaux [ ]» De toute évidence, SAP cible les PME avec son système Business All-in-One. Il y a de quoi se demander si la solution SAP Business One, destinée au même marché, a toujours sa raison d être. Spécialisation verticale : Certains fournisseurs de systèmes ERP se spécialisent dans un secteur donné et, en plus d offrir des logiciels répondant aux besoins particuliers de ce secteur, donnent des conseils sur les meilleures pratiques. Les principaux fournisseurs de systèmes ERP offrent des solutions qui recouvrent plusieurs secteurs, en adoptant différentes approches. L une d elles consiste à développer des fonctions propres à plusieurs secteurs directement dans un logiciel : SAP Business All-in-One en est un exemple. Une autre consiste à élargir le champ d application du système à de multiples secteurs en faisant appel à des développeurs externes qui ajoutent des fonctions supplémentaires en utilisant les mêmes outils que le fournisseur de systèmes ERP. Il est également possible d acheter tout simplement les logiciels du secteur, comme l a fait Oracle en faisant l acquisition de Retek, dont les produits sont utilisés dans le commerce de détail. Regroupements : Cette tendance n est pas près de disparaître. Les fournisseurs de systèmes ERP doivent déployer de grands efforts pour attirer de nouveaux clients. Mais une fois qu ils ont réussi, ils peuvent leur imposer des frais annuels de 18 % à 22 % pour la maintenance et le soutien. Comme les entreprises conservent longtemps leur système ERP, ces frais annuels sont très intéressants pour les fournisseurs. Et l acquisition d une entreprise est le moyen le plus rapide d accroître leur clientèle. Maintenance assurée Connect par des tiers with : Les organisations n aiment pas verser aux fournisseurs de systèmes ERP des frais annuels de maintenance 125,000 et de soutien de 18 % à 22 %. Elles se tournent donc vers d autres fournisseurs de soutien of Canada s top business si elles sont satisfaites des fonctions existantes ou qu elles n ont pas l impression que le fournisseur de systèmes ERP decision-makers Tous les fournisseurs de systèmes ERP continuent For more information contact Bruce Feaver at bruce.feaver@cica.ca de se disputer le marché que représentent les PME. investit dans des améliorations qui leur seront utiles. Pour la version intégrale du présent article, les données détaillées sur l enquête et le lien vers l outil d analyse des systèmes, allez à Michael Burns, M.B.A., CA TI, est président de 180 Systems ( cabinet-conseil indépendant dont les services comprennent notamment l analyse des processus, la sélection de systèmes, la constitution de dossiers justificatifs et la gestion de projets. On peut le joindre au ou à mburns@180systems.com. Accédez aux vrais décideurs du monde canadien des affaires Pour information : Serge Gamache ou : sergegamache@videotron.ca CAmagazine septembre

16 Nouvelles de la profession Un résumé des initiatives et projets en cours À l icca Entrevue avec Doug Baker I l s en est fallu de peu pour que Doug Baker ne soit pas en mesure de remplir son mandat de deux ans à titre de président du Conseil d administration de l ICCA. En 2008, M. Baker s est effondré au Petroleum Club de Calgary, quelques jours avant une réunion du Conseil de l ICCA. Il a été transporté d urgence à l hôpital, où il a reçu un pronostic plutôt sombre : il était atteint d une tumeur au cerveau et devait subir une chirurgie. L opération, qui s est bien déroulée, a été suivie de quatre autres interventions chirurgicales afin de combattre une infection persistante. M. Baker a eu besoin d un système de perfusion ambulatoire pour la majeure partie de «C était une période intéressante», raconte l homme discret de 57 ans, qui prévoit subir une dernière chirurgie pour remplacer une partie de son crâne par une plaque artificielle, après l expiration de son mandat à l ICCA le 22 septembre Le FCA, qui fait carrière dans le secteur énergétique depuis plus de 25 ans, a eu un avertissement en 2004, lorsqu il a été hospitalisé en raison de douleurs à la poitrine et d hypertension, causées par le stress et un excès de poids. L année suivante, Doug Baker a participé à une randonnée pédestre de 15 jours jusqu au camp de base du Mont Everest au Népal, impressionnant en soi à quelque mètres d altitude. «C était un des moments forts de ma vie, confie-t-il. J ai perdu 11 kilos avant de partir, puis 4,5 kilos supplémentaires pendant l excursion.» Depuis plus de 20 ans, Doug Baker joue un rôle clé dans la formation des nouvelles générations de CA. Il a tout d abord été représentant de l Alberta au sein du Jury de l EFU, puis il a présidé le Jury. Depuis 2000, il siège à la Commission d évaluation des diplômes étrangers à titre de représentant de l Alberta. «On voyait rarement quelqu un qui travaillait à temps plein en entreprise participer autant aux activités de la profession», explique Steve Glover, FCA, ancien directeur général de l Institute of Chartered Accountants of Alberta et ancien collègue de M. Baker à l ordre et en entreprise. Aujourd hui, Doug Baker siège au conseil d administration de sept sociétés ainsi qu à celui de plusieurs organismes sans but lucratif. Comment envisagez-vous l avenir de la profession de CA? À mon avis, nous sommes en très bonne position. Nos membres sont au cœur de la profession de CA, qui continuera d être robuste tant que nous embaucherons des étudiants de premier plan, que nous leur offrirons une excellente formation et que nous fournirons une méthode d évaluation basée sur des normes très élevées. Au cours de votre mandat en tant que président du Conseil, vous avez mis en place un programme qui vise à former davantage Doug Baker a joué un rôle clé dans la formation des nouvelles générations de CA. de CA à l extérieur de cabinets comptables. Pourquoi? Historiquement, il y a toujours eu un risque de goulot d étranglement pour l entrée dans la profession. L accès à la profession étant fonction du nombre de stages offerts par les cabinets d expertise comptable, le nombre d étudiants pouvant se présenter éventuellement à l EFU n était pas contrôlé par la profession, mais dépendait plutôt de ces cabinets. Nous aimerions voir davantage d entreprises s engager dans la formation des étudiants. La formation des étudiants en entreprise accroît donc le nombre de candidats à la profession? Oui. Je crois que c est très important d élargir le bassin de candidats, et c est ce que reconnaît la profession. L expérience acquise en audit chez KPMG, chez Deloitte ou chez E & Y par exemple, est très bonne, mais les cabinets comptables ne sont pas les seuls endroits qui peuvent enseigner les compétences requises. Une société comme BCE, par exemple, emploie plus de 150 comptables agréés à l échelle du pays. Son service des finances regroupe suffisamment de CA pour offrir le même type de mentorat, de leadership et de formation nécessaires pour transmettre les compétences requises dans le cadre d un programme de stage CA. Combien y a-t-il de candidats CA par rapport au nombre de postes de stagiaires disponibles? L année dernière, quelque étudiants ont réussi à l EFU. Mis à part les postes de cheminement traditionnel offerts en audit, on compte probablement environ 200 à 300 postes de stagiaire. À mon avis, au moins à des diplômés de l EFU devraient provenir d un cheminement non traditionnel, soit peut-être un tiers des nouveaux diplômés. J espère que nous pourrons atteindre ce nombre d ici cinq ans, et j aimerais bien qu on atteigne un nombre encore plus élevé. 14 CAmagazine septembre 2010

17 En ce moment, d où provient le personnel du service des finances des sociétés canadiennes? Dans bon nombre de cas, les grandes sociétés embauchent les gens fraîchement diplômés de l université. Elles souhaitent un programme de formation pour leurs étudiants, alors elles se tournent vers ceux de CMA ou de CGA. Notre travail consiste à offrir un programme qui répond aux besoins des entreprises afin qu elles préfèrent former des CA. À l extérieur de la profession, est-ce que les CA occupent une part suffisante du marché comparativement aux CMA et aux CGA? Je ne crois pas que les CA devraient occuper tous les postes en comptabilité sur le marché. Le marché des services d audit et d examen, qui est en train de devenir un enjeu majeur, se développe de plus en plus en Ontario et au Québec pour les autres professions. Dans d autres provinces, des non-ca réalisent des missions d audit depuis des années sans que les CA n aient perdu de part de marché. Je n y vois pas de préoccupation ni de menace pour l instant. Je suis moins inquiet au sujet des CMA et des CGA en ce qui a trait au secteur hors expertise comptable. Dans ce milieu, nous sommes également soumis à la concurrence de la part des M.B.A., des CFA et des détenteurs de titres internationaux. Les CA ont une solide présence parmi les postes de haut niveau en finance dans les sociétés figurant dans le ROB 1000 qui exercent une influence significative sur l économie et sur les marchés des capitaux. Même si nous sommes en bonne position, j aimerais voir davantage de CA intervenir dans ces sociétés et dans l économie. Je crois que c est avantageux pour les marchés financiers que des CA ayant une expertise et des compétences reconnues occupent des postes clés. Chose certaine, si nous ne formons pas assez de CA, ces postes clés seront occupés par d autres. Par d autres? Oui, et c est ce qui m inquiète. Si on regarde le nombre de membres des autres professions, on constate qu il est à la hausse. Les CFA sont de plus en plus nombreux. À certains endroits, on compte même plus d étudiants CMA et CGA que d étudiants CA. Ce sont les détenteurs d autres titres qui occuperont les postes si nous ne prenons pas le taureau par les cornes. La profession CA ne progresse pas aussi rapidement que les autres? Non. En ce moment, nous dominons toujours les postes de haut niveau en finance et en comptabilité, et nous avons une forte présence dans la haute direction, ce que nous voulons conserver. Nous voulons à tout prix éviter que les CA ne deviennent un petit groupe élitiste qui commencerait à perdre de sa pertinence. À votre avis, quels sont les autres défis et possibilités qui attendent la profession? Tout d abord, à l interne, nous sommes en train de mettre en place le programme de stage CA pour les étudiants en entreprise, à l extérieur du cheminement traditionnel en audit. Pour la profession, il est essentiel de bien faire les choses et d avancer avec vigueur. Nous devons constamment surveiller et évaluer ce que nous faisons pour nous assurer que c est attrayant pour les étudiants, qu ils soient en gestion ou non, pour les personnes qui réorientent leur carrière et pour les gens formés à l étranger. Nous voulons également être attrayants, concurrentiels et efficients aux yeux des employeurs qui forment nos nouveaux CA. Je crois que si nous parvenons à offrir aux CA davantage de possibilités de formation pour leur permettre d acquérir les compétences dont ils ont besoin, nous serons mieux préparés à relever certains des défis quant au nombre de CA. Deuxièmement, nous sommes à l ère de l internationalisation. Il y aura graduellement une plus grande harmonisation des normes comptables et des pratiques d audit et de gestion. On le voit déjà avec les IFRS et les nouvelles normes indépendantes d audit. Cela m indique qu au fil du temps, il y aura un besoin moins grand de titres professionnels comptables particuliers d un pays à l autre. Malgré leur petit nombre, les CA canadiens sont très estimés partout dans le monde. On nous dit souvent que les CA canadiens se démarquent sur la scène internationale. Nous devons vraiment déterminer quelle sera notre place dans un monde caractérisé par une convergence sans précédent. Paul Brent Admission à la profession de CA Les exigences modifiées en matière d expérience pratique offrent davantage de souplesse aux employeurs et aux stagiaires Deux modifications ont été apportées aux exigences de la profession en matière d expérience pratique pour Ces modifications font suite aux commentaires de cabinets de CA ainsi que d entreprises et organismes publics agréés à titre de maîtres de stage CA. Les exigences en matière de profondeur et d étendue ont été modifiées pour offrir plus de latitude aux employeurs pour la création de stages. Les employeurs peuvent maintenant demander à être agréés pour proposer des stages dont le domaine de profondeur pourra être l un ou l autre des six domaines de compétence CA : Certification; Mesure de la performance et information; Fiscalité; Gouvernance, Stratégie et gestion des risques; Prise de décisions de gestion; et Finance. Les descriptions des compétences particulières ont été clarifiées afin de mieux refléter les compétences attendues d un CA débutant. Le Dossier d expérience admissible CA (DEA), que chaque stagiaire doit tenir à jour, a donc été modifié en conséquence. Pour connaître le détail de ces modifications, visitez le site ou, pour en comprendre l incidence sur les programmes de stage CA actuels et futurs, communiquez avec le chargé de liaison MSCA de votre région.

18 Les CA commanditent la présentation de Paul Volker Le 6 octobre prochain, la profession de CA sera l un des fiers commanditaires de l événement organisé par le Canadian Economic Forum, intitulé A Conversation with Paul Volker, qui se tiendra au Palais des congrès du Toronto métropolitain. Économiste américain, M. Volker a été président de la Réserve fédérale américaine sous les présidents Jimmy Carter et Ronald Reagan, d août 1979 à août Depuis février 2009, il est président du Economic Recovery Advisory Board qui relève du Président Obama. «Commanditer des événements importants comme celui-ci contribue à favoriser le dialogue sur la conjoncture économique mondiale», a indiqué Kevin Dancey, FCA, président-directeur général de l ICCA. De plus amples précisions sur cet événement à venir sont postées sur le site Web de l ICCA, à Une publication de l ICCA souligne l importance de la diversité Une nouvelle publication de l Institut Canadien des Comptables Agréés (ICCA) aide les conseils d administration à se pencher sur la question de l importance de la diversité au sein des organisations. Le Conseil sur la surveillance des risques et la gouvernance de l ICCA a commandé cette publication spéciale, intitulée Cahier d information sur la diversité Questions que les administrateurs devraient poser. Le document s appuie sur des statistiques réelles et des exemples concrets pour établir le lien entre la diversité et la réussite sur le plan des affaires. Les conseils d administration donnent le ton et devraient effectuer un suivi de l incidence des initiatives de promotion de la diversité sur les objectifs d affaires, tels que le recrutement et la rétention des talents les plus prometteurs, l amélioration de la performance et l augmentation de la part de marché. La publication de l ICCA a été rédigée par trois auteurs d Ernst & Young : Fiona Macfarlane, associée directrice, Gens; Diane Sinhuber, associée et leader canadienne, Services bancaires et marchés financiers; et Tanya Khan, associée, Services consultatifs. «La notion de diversité ne se limite pas à la race et au sexe, et elle englobe divers facteurs dont l âge, la culture, la personnalité, les compétences, la formation, l expérience professionnelle ainsi que le vécu de chacun, a indiqué Mme Macfarlane. Des points de vue variés peuvent favoriser la souplesse et la créativité au sein des organisations. Les sociétés qui s engagent en matière de diversité constatent que cela accroît leur rentabilité et leur performance.» Pour accéder en ligne à la publication de l ICCA, rendezvous à Connaître les nouvelles Normes canadiennes d audit L ICCA a élaboré un cours d introduction pour aider les auditeurs d états financiers et autres personnes intéressées à comprendre les nouvelles Normes canadiennes d audit (NCA). «Tous ceux qui réalisent des audits d états financiers, y compris les stagiaires en audit, auront besoin de comprendre les nouvelles normes», a indiqué Gord Beal, CA, qui dirige le projet de l ICCA, Normes canadiennes en transition. «Le nouveau cours en ligne, intitulé Introduction aux nouvelles normes d audit au Canada, constitue un outil efficace dès la première étape du processus d apprentissage.» Les participants sont guidés tout au long d un audit modèle et acquièrent des connaissances pratiques sur les diverses étapes du processus d audit. Un groupe d experts, dont Cindy Kottoor, de Neverest Inc., Katherine Schamerhorn, directrice de projets chez Grant Thornton, LLP, et Eric Turner, directeur de projets, Certification, à l ICCA, donnent un aperçu de la façon dont les normes doivent être appliquées. Le cours est offert par modules, ce qui facilite son intégration dans l horaire des participants. Il faut compter environ deux heures pour le compléter, y compris les exercices et le test final, et il permet d obtenir des crédits de PPC admissibles. Ce cours s insère dans une ressource appelée Outil d application des NCA que l ICCA a lancée au printemps dernier. L Outil est une ressource interactive qui permet d accéder, à partir d un guichet unique, à l information dont les auditeurs ont besoin pour les quatre étapes du processus d audit : les considérations préalables à l audit, la planification, la réalisation, les conclusions et le rapport d audit. Le cours et l outil d application sont accessibles en ligne sans frais. Les NCA s appliquent aux audits d états financiers des sociétés petites et grandes, des sociétés ouvertes et à celles à capital fermé de tous les secteurs d activité, des OSBL et des gouvernements. La série des 36 NCA qui reflètent les exigences des Normes internationales d audit (ISA) entrera en vigueur au Canada pour les périodes closes à compter du 14 décembre Nombre des nouvelles normes concordent avec la pratique canadienne actuelle en vérification. Toutefois, Gord Beal ajoute que «certaines normes représentent un changement important et exigeront des auditeurs qu ils se préparent en conséquence». On peut accéder au cours Introduction aux nouvelles Normes canadiennes d audit au Canada, à l Outil d application des NCA, etc., à 16 CAmagazine septembre 2010

19 La normalisation en bref Pour rester au fait de l actualité, allez à TEXTES PUBLIÉS RÉCEMMENT Manuel de l ICCA Comptabilité Date de publication Édition de 2010 des Normes internationales d information juin 2010 financière (Partie I) Améliorations apportées aux IFRS en 2010 juillet 2010 Manuel de l ICCA Certification NCMC 3416, «Rapport sur les contrôles d une société de services» août 2010 NOV-46, Communications avec les cabinets d avocats selon août 2010 les nouvelles normes de comptabilité et d audit Manuel de comptabilité de l ICCA pour le secteur public Modifications découlant de l adoption des IFRS au Canada juin 2010 Chapitre SP 2125, «Première application par août 2010 des organismes publics» Chapitre SP 3260, «Passif au titre des sites contaminés» juin 2010 DOCUMENTS DE CONSULTATION PUBLIÉS RÉCEMMENT (au 31 août 2010) Comptabilité Date limite pour commentaires ES Adoption des IFRS par les entités ayant des activités à tarifs réglementés le 31 août 2010 ES Adoption des IFRS par les sociétés de placement le 23 août 2010 ESI Évaluations de la juste valeur Analyse de l incertitude de mesure le 7 septembre 2010 ESI Présentation des autres éléments du résultat global le 30 septembre 2010 ESI Produits tirés de contrats conclus avec les clients le 22 octobre 2010 ESI Régimes à prestations définies (modification de l IAS 19) le 6 septembre 2010 Audit et certification AC Assurance Reports on the Process to Compile Pro Forma le 20 août 2010 Financial Information Included in a Prospectus ESI Utilisation des travaux des auditeurs internes le 6 octobre 2010 Secteur public ES 4 Paiements de transfert le 15 septembre 2010 À VENIR Documents de consultation Propositions de l IASB sur les sujets suivants : Consolidation exemption relative aux sociétés de placement; Contrats d assurance; Instruments financiers comptabilité de couverture; Contrats de location Deuxièmes exposés-sondages du CCSP sur : Instruments financiers et Conversion de devises Légende AC Appel à commentaires DTI Document de travail publié par l IASB ES Exposé-sondage ESI ES fondé sur les normes IFRS/ISA ES 4 Quatrième exposé-sondage Consultez le texte du Manuel pour connaître la date d entrée en vigueur et les dispositions transitoires. Les renseignements présentés ci-dessus étaient à jour au moment de mettre sous presse. Veuillez visiter notre site Web pour obtenir les informations les plus récentes. CAmagazine septembre

20 EN COUVERTURE spécial annuel sur les Ti Quelles sont les préoccupations des CA experts en informatique cette année? Voici les réponses de l enquête Par Robert Parker Le Top dix des enjeux TI L enquête de Cette Année sur Les dix enjeux ti à surveiller fait ressortir un contraste entre les anciennes et les nouvelles technologies et leur incidence sur les entreprises. Dix des 21 questions posées avaient trait à des technologies ou des enjeux bien connus avec lesquels tout le monde se sent à l aise. Les 11 autres portaient sur des technologies moins connues et plus complexes. Si celles-ci peuvent représenter des défis tout aussi importants pour les entreprises, le fait qu elles arrivent plus loin Illustration : RyAn Snook 18 CAmagazine septembre 2010

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