CHAPITRE 1 : STOCKAGE DES DECHETS MENAGERS ET INDUSTRIELS
|
|
- André Cloutier
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CHAPITRE 1 : STOCKAGE DES DECHETS MENAGERS ET INDUSTRIELS
2 I. Le paysage français du stockage des déchets 1. Un maillon indispensable de la gestion des déchets Les politiques nationales et communautaires en termes de gestion des déchets prévoient la hiérarchie de priorités suivantes : - prévention, qui implique la limitation de la production de déchets et de leur toxicité ; - valorisation, c'est-à-dire la mise en œuvre d'actions qui permettent le réemploi, le recyclage, ou toute autre action visant à obtenir, à partir des déchets, des matériaux réutilisables ou de l énergie ; - traitement et stockage qui doivent être respectueux de l'environnement. Ainsi, le stockage est mis en œuvre au sein des différentes filières d élimination des déchets en complément des étapes de valorisation et/ou des étapes de traitement. Quels que soient le type de déchets et les moyens de collecte et de traitement mis en œuvre, le stockage constitue une étape indispensable complémentaire. Cependant, selon la nature des déchets concernés et les techniques mises en œuvre en amont, la proportion et la nature des déchets à stocker peuvent être très variables. A titre d'exemple, pour les déchets ménagers, le stockage peut, dans certains cas, concerner une large proportion des ordures ménagères produites (cas des collectivités avec très peu de valorisation matière et pas d'incinération) ; il peut également ne concerner, dans le cas des collectivités avec incinération et valorisation des mâchefers, qu'environ 5 % des tonnages produits, sous forme de déchets dangereux. 2. La notion de déchets ultimes Depuis l'adoption de la loi du 13 juillet 1992 sur la modernisation de la gestion des déchets, l'objectif affiché est que ne soient plus orientés vers le stockage, à compter du 1 er juillet 2002, que des déchets "ultimes". Au sens de la loi, un résidu ultime est "un déchet, résultant ou non d'un traitement d'un déchet qui n'est plus susceptible d'être traité dans les conditions techniques et économiques du moment, notamment par extraction de la part valorisable ou par réduction de son caractère polluant ou dangereux". Dans le domaine des déchets ménagers et assimilés, le déchet ultime a parfois été interprété comme étant le résidu d'incinération. Cependant, la circulaire du 28 avril 1998 redéfinit le déchet ultime, en précisant que peut être considéré comme déchet ultime la
3 "fraction non récupérable des déchets". Ainsi l'incinération n'apparaît plus incontournable dès lors que sont mises en œuvre des opérations d'extraction de certains déchets, tels que les déchets ménagers dangereux, de recyclage matière et organique. Ainsi, la possibilité de définir le déchet ultime en fonction des spécificités locales (zones rurales ) est donnée aux différents départements à l'occasion de la réalisation des Plans départementaux de gestion des déchets ménagers et assimilés. Comme évoqué dans l introduction, en fixant l échéance de 2002, le législateur a souhaité donner un objectif à tous les acteurs de la gestion des déchets, en favorisant la valorisation lorsqu elle est techniquement et économiquement pertinente. Le déchet ultime recouvre une notion complexe, dépendante des conditions locales, qui ne correspond pas à une description précise du déchet. Dans le domaine des déchets ménagers et assimilés, c est une interprétation abusive qui avait conduit à soutenir dans les années 1995 et 1996 que seuls les résidus d'incinération constitueraient des déchets ultimes, ce qui correspondait à un schéma qui aurait systématisé le recours à l incinération. L'une des conséquences est que l'évolution des quantités et des caractéristiques des déchets orientés vers le stockage est beaucoup moins radicale que ce que le grand public avait imaginé lors de l'adoption de la loi de L échéance du 1 er juillet 2002 n'était qu'une étape d un processus d amélioration de la gestion des déchets, processus pouvant diverger d un département à un autre. 3. Les différents centres de stockage en France L'objectif essentiel du stockage est d entreposer les déchets ultimes en veillant à garantir les conditions nécessaires pour maîtriser l'impact des déchets stockés sur l'environnement, notamment à moyen et long terme. Ces conditions concernent aussi bien la nature des déchets susceptibles d'être admissibles en centre de stockage que l'implantation, la conception et l'exploitation des centres de stockage. On distingue ainsi trois types de stockage, selon la nature des déchets concernés. Il s agit des installations de stockage de déchets inertes (décharges de classe III), de déchets ménagers et assimilés ou non dangereux (décharges de classe II) et de déchets dangereux (décharges de classe I). D'une façon générale, les prescriptions d'implantation et d'exploitation sont d'autant plus contraignantes que le caractère dangereux des déchets est marqué.
4 Les déchets liquides, inflammables, radioactifs et déchets d activité de soins et assimilés à risque infectieux sont interdits en centre de stockage Stockage des déchets inertes Définition et origine des déchets inertes Un déchet inerte est un déchet qui ne subit aucune modification physique, chimique ou biologique importante. Les déchets inertes ne se décomposent pas, ne brûlent pas, ne produisent aucune réaction physique ou chimique, ne sont pas biodégradables et ne détériorent pas d autres matières avec lesquelles elles entrent en contact, d une manière susceptible d entraîner une pollution de l environnement ou de nuire à la santé humaine. La production totale de lixiviats et la teneur des déchets en polluants ainsi que l écotoxicité des lixiviats doivent être négligeables et, en particulier, ne doivent pas porter atteinte à la qualité des eaux de surface et/ou des eaux souterraines (Réf. : directive 1999/31/CE). En termes de flux, le stockage de déchets inertes est une activité qui ne fait pas l'objet d'un suivi quantitatif précis, rendant délicat l'affichage au niveau national des tonnages orientés vers de telles installations Les sites de stockage de déchets inertes Dans la mesure où une décharge ne reçoit que des déchets inertes, les règles de conception, qui visent comme objectif principal que la décharge ne doit pas influencer la qualité des eaux des nappes, sont simples. Si certaines implantations doivent être évitées (zones humides, périmètres de captages ), aucune condition géologique particulière en matière d'étanchéité n'est requise. Une couverture est mise en place après et/ou pendant l'exploitation du site afin de limiter les infiltrations d'eau. L installation doit être clôturée et l accès interdit en dehors des heures d ouverture Stockage de déchets ménagers et assimilés Définition et origine des déchets ménagers et assimilés Les déchets ménagers et assimilés comprennent, selon l arrêté ministériel du 9 septembre 1997 modifié, les déchets municipaux et les déchets industriels non dangereux. Ce sont des produits hétérogènes souvent biodégradables, combustibles La répartition de la nature des déchets admis en classe II est présentée dans le tableau 1. Moins de la moitié du tonnage des déchets ménagers et assimilés pris en charge par les collectivités locales et reçus dans des décharges de classe II sont des ordures ménagères
5 (46 %) ; les déchets industriels banals représentent 29 % ; le reste étant principalement constitué de résidus de traitement tels que refus de tri, refus de compostage, mâchefers, boues de station d épuration des eaux usées. Les déchets dangereux ne sont pas admissibles dans des centres de stockage dits de «classe II». Toutefois, les ordures ménagères peuvent contenir en mélange des «déchets toxiques en quantités dispersées» provenant des ménages. Ces déchets dangereux doivent faire l objet d une collecte dédiée et d une élimination dans des installations adaptées. En 2000, les installations de stockage de déchets ménagers et assimilés (DMA) autorisées et de capacité supérieure à 3 000t/an ont admis environ 25 Mt de déchets, dont 10,5 Mt d'ordures ménagères, soit environ 44 % des DMA [Ademe, 2000]. Tableau 1 : répartition des déchets ménagers et assimilés éliminés en 2000 en décharge de classe II autorisée (en tonnes) Nature des déchets Quantité en milliers de tonnes Ordures ménagères Déchets industriels banals Encombrants Résidus de traitement Déblais et gravats Autres TOTAL L'évolution des modes de vie et des pratiques de gestion des déchets a eu et continue d'avoir des influences sur la nature des déchets orientés vers le stockage. Si la quantité d'emballages et la proportion de certaines fractions (plastiques, papiers ) ont largement augmenté dans les déchets produits, le développement de la collecte sélective et du recyclage ont contribué à ce qu'une part significative des déchets ménagers et assimilés ne soit plus orientée vers le stockage. De même, la volonté de voir se développer la valorisation biologique des déchets pourrait contribuer à "sortir" du stockage des fractions organiques très dégradables.
6 Toutefois, malgré ces évolutions notables, et dans la mesure où les politiques de gestion des déchets n'ont pas conduit à définir des règles d'admission des déchets ménagers et assimilés basées sur leurs caractéristiques physico-chimiques, on ne constate pas, au niveau global, de changement majeur dans la nature des déchets orientés vers le stockage. Pour autant, certains déchets particuliers sont d'ores et déjà ou seront prochainement interdits en centre de stockage (boues humides, pneus ). De plus, au niveau local, des évolutions majeures concernant le stockage des déchets ménagers et assimilés peuvent intervenir lorsqu une installation d incinération est mise en service Sites de stockage des déchets ménagers et assimilés Alors que les tonnages orientés en centre de stockage restent globalement stables d'une année sur l'autre, le nombre d'installations est globalement en diminution (399 sites de capacité supérieure à 3000 t/an recensés en 2000 contre 437 en 1999). En plus des sites autorisés, continue d'exister un certain nombre de décharges illégales. Ces décharges, bien que représentant des tonnages faibles, font l'objet de programmes de fermeture et de réhabilitation. Ces déchets ménagers subissent, sous l influence de la pluie et/ou des micro-organismes, une dégradation lente de nature biologique et physico-chimique. Il en résulte la formation de biogaz (effluents gazeux) issu de la fermentation de la matière organique contenue dans les déchets et la formation de lixiviats (effluents liquides) chargés en substances organiques et minérales car résultant de la percolation des eaux à travers les déchets. Aussi, l'objectif principal des règles de construction et d exploitation est d'assurer un confinement efficace et suffisamment durable des déchets ainsi qu'une maîtrise adaptée des émissions générées. Le confinement et les moyens de l'atteindre ont considérablement évolué avec le développement de techniques et l'adoption de réglementations de plus en plus strictes. Ce confinement est recherché dès le choix du site par une sécurité passive (contexte hydrogéologique d implantation du site favorable avec une imperméabilité naturelle du soussol, distance par rapport aux habitations ) complétée par une sécurité active (étanchéité en fond et flancs de site avec l utilisation de géosynthétique, réseau de drainage des lixiviats et du biogaz, mise en place d'une couverture). L étanchéité et le traitement des lixiviats collectés ainsi que la collecte et le traitement du biogaz sont les principes de base de tout nouveau centre de stockage de déchets non dangereux. Enfin, à la fin de la période d exploitation, une couverture étanche est mise en place en surface afin de prévenir toute entrée d'eau dans le massif de déchets et garantir le confinement à long terme.
7 Pour ce qui concerne la gestion des émissions, les prescriptions réglementaires se sont également renforcées au cours du temps. Pour les lixiviats, la réglementation impose des obligations de résultats (normes de rejet à respecter). Les techniques de traitement des lixiviats peuvent donc varier selon leur nature, leur quantité et les objectifs recherchés. Ces techniques sont biologiques, physico-chimiques, de concentration Le biogaz doit être capté et brûlé en torchère ou valorisé en production d énergie (vapeur, électricité) ou comme combustible. Il est important de noter que si les conditions de stockage des déchets ménagers et assimilés ont largement progressé depuis une vingtaine d'années avec l'adoption de diverses réglementations, leur impact est progressif. En effet, les nouveaux équipements et contraintes d'exploitation concernent essentiellement les déchets reçus en stockage après la mise en conformité des sites. Ainsi, compte tenu des durées de dégradation des déchets, ceux enfouis avant l'application des nouvelles contraintes réglementaires continuent donc en grande partie à générer des émissions dans les conditions qui prévalaient avant l'entrée en vigueur des nouveaux textes. Ainsi, peuvent coexister en toute conformité réglementaire diverses situations de stockage de déchets ménagers et assimilés Stockage de déchets dangereux Déchets dangereux : définition et origine Les déchets dangereux comprennent les déchets contenant des substances toxiques, cancérigènes, écotoxiques (les déchets industriels dits spéciaux entrent de fait dans cette catégorie). Ceux admis en centre de stockage, depuis 1994, sont solides et minéraux avec un potentiel polluant constitué de métaux lourds peu mobilisables. Ces déchets, au contenu organique limité, sont très peu réactifs, très peu évolutifs et très peu solubles dans la mesure ou des contraintes sont imposées, pour leur acceptation au stockage, sur la fraction mobilisable par l eau. Les déchets dangereux ne respectant pas, en l état, ces caractéristiques sont, en fonction de leurs propriétés et de leur comportement à la lixiviation, soit dirigés vers d autres filières d élimination, soit soumis à un traitement de stabilisation pour respecter les seuils d admission en stockage. En 1998, les décharges de classe I ont reçu tonnes de déchets dangereux dont tonnes ont fait l objet d une stabilisation. Les résidus d'épuration des fumées d'incinération d'ordures ménagères représentent à eux seuls environ tonnes. Le respect de ces critères avant le stockage des déchets dangereux constitue un niveau de sécurité complémentaire des sécurités actives et passives propres au site.
8 Sites de stockage des déchets dangereux Ce stockage de déchets dangereux est opéré sur 13 sites de stockage en surface. Comme pour les installations de stockage de déchets non dangereux, celles de déchets dangereux doivent comporter une étanchéité en fond de site, constituée d une géomembrane permettant de collecter les lixiviats. Elle évite ainsi de solliciter la barrière passive liée au contexte géologique. Un minimum de 5 m de sol de perméabilité 10-9 m/s ou système équivalent est requis. Un troisième niveau de sécurité consiste en une couverture étanche en surface mise en place en fin d'exploitation afin de prévenir toute entrée d'eau dans le massif de déchet et garantir le confinement à long terme. Par ailleurs, un site de stockage souterrain est autorisé.
MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détailMEMOIRE TECHNIQUE & METHODOLOGIQUE
République Française Institut National de la Recherche Agronomique Centre de Recherche de Clermont-Ferrand Theix Lyon MARCHES PUBLICS DE TRAVAUX MEMOIRE TECHNIQUE & METHODOLOGIQUE Document à remplir et
Plus en détailles outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir
connaître pour agir Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement les enjeux les outils les applications locales Enjeux d une analyse environnementale et leviers d améliorations QU EST-CE
Plus en détailLES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Les pneus sont dangereux dans des piles, pas dans des Earthships.
les pneus sont sécuritaires LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Réutiliser un vieux pneu dans un Earthship, où il devient une ressource utile et passe le reste de son temps dans
Plus en détailLe traitement mécano-biologique des déchets Important pour le Maroc? Casablanca, 23 Mars 2011
Le traitement mécano-biologique des déchets Important pour le Maroc? Casablanca, 23 Mars 2011 Plan de la présentation Partie I Pourquoi le TMB? Partie II Variantes techniques Partie III Conclusions pour
Plus en détailL enfouissement des déchets ultimes
L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E LE CENTRE D ENFOUISSEMENT TECHNIQUE (C.E.T.)
Plus en détailAnnexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets
Annexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets ARTICLE 1 OBLIGATIONS GENERALES 1. La présente Annexe s'applique aux activités
Plus en détailDEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES. Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement
DEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement Liieu--diitt «lle Cognett» Commune de VAUX--SUR--SEULLES
Plus en détailENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS. L exemple de l agence 13/84. Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84
ENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS L exemple de l agence 13/84 Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84 Présentation Rappel de l engagement ISO 14001 de l ONF Quelques généralités sur la gestion
Plus en détailMétallerie / Serrurerie
Votre activité peut être liée à celles de traitement de surface/polissage et de décapage. Si vous êtes dans ce cas, reportezvous aux fiches correspondantes. 1 Les déchets Les déchets issus de votre activité
Plus en détailAutorisation pour le négoce ou le courtage de déchets. Informations pour remplir le formulaire de demande
Autorisation pour le négoce ou le courtage de déchets Informations pour remplir le formulaire de demande Administration de l environnement Division des déchets 1, Avenue du Rock n Roll L-4361 Esch/Alzette
Plus en détailEmis le : 5/08/2011 Mis à jour : 10/2014
Emetteur : CRMA Limousin Page 1 sur 6 1. Quelle réglementation s applique à mon entreprise? Emis le : 5/08/2011 Toute entreprise artisanale ou industrielle est soumise au règlement sanitaire départemental.
Plus en détailLe Plan Régional d Élimination des Déchets Dangereux. Comment mieux maîtriser production et gestion des déchets dangereux?
Le Plan Régional d Élimination des Déchets Dangereux Comment mieux maîtriser production et gestion des déchets dangereux? Qu est-ce qu un Tout le monde produit des déchets dangereux via ses activités quotidiennes
Plus en détailLa récupération de l'énergie issue du traitement des déchets
Conseil général des Mines Juillet 2000 Ministère de l Economie, des finances et de l industrie La récupération de l'énergie issue du traitement des déchets Rapport de Henri Prévot Ingénieur général des
Plus en détailMaximum Yield Technology. Maximum Yield Technolog technologie à rendement maximal
MYT Business Unit Zweckverband Abfallbehandlung Kahlenberg (ZAK) Bergwerkstraße 1 D-77975 Ringsheim Téléphone : +49 (0)7822 8946-0 Télécopie : +49 (0)7822 8946-46 E-mail : info@zak-ringsheim.de www.zak-ringsheim.de
Plus en détailDemande d Autorisation pour l ouverture d une Installation de Stockage de Déchets Inertes (ISDI)
Demande d Autorisation pour l ouverture d une Installation de Stockage de Déchets Inertes (ISDI) Commune d Alixan - 26 Lieu-dit «Les Garennes» Rapport n R1307502 bis Décembre 2013 Demande d Autorisation
Plus en détailTERMES DE REFERENCES I. PREAMBULE
«DEVELOPPEMENT D'UN PROGRAMME D'INVESTISSEMENT PRIORITAIRE VISANT L'AMELIORATION DE LA GESTION DES DECHARGES D'ORDURES MENAGERES SAUVAGES A FORT RISQUE SUR L'ENVIRONNEMENT ET LES RESSOURCES NATURELLES
Plus en détailEcoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets
Ecoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets Présentation d Ecoval Maroc 2 Sommaire Présentation d Ecoval Maroc Perception du Marché de déchets Objectifs de la plateforme Ecoval
Plus en détailBoulangerie AURANT REST Coiffeur
Boula ngeri e ANT R TAU RES Coiffe ur Remerciements Étude réalisée par In Numeri : Laurence HAEUSLER, Anne-Gaelle MORO-GOUBELY, Guillaume BERTHOIN Coordination technique : Christian MATHERY et Pierre GALIO,
Plus en détailP R É F E C T U R E D E L A S E I N E - M A R I T I M E DIRECTION DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE
P R É F E C T U R E D E L A S E I N E - M A R I T I M E DIRECTION DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE Affaire suivie par : Mme Gisèle ATOUBA 02 32 76 53 91 mél : 02 32 76 54 60 gisele.atouba@seine-maritime.pref.gouv.fr
Plus en détailFiche méthodologique pour l élaboration des PLU. Protection des captages d'alimentation en eau destinée à la consommation humaine
Fiche méthodologique pour l élaboration des PLU Dans le cadre de l évolution de l action de l État en Isère, une démarche a été entreprise en vue d élaborer des positions partagées en matière d urbanisme.
Plus en détailEnjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise
Enjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise Journées d échanges franco-suisses sur la gestion des sites et sols pollués 14 15 juin 2012 Hans-Jürg Reinhart Carine
Plus en détailBONNET Matthieu, élève ingénieur de 5 ème année
INSA de Strasbourg Spécialité GENIE CIVIL BONNET Matthieu, élève ingénieur de 5 ème année Projet de Fin d Etudes Recherche et implantation de C.E.T. de classe 3 et de plates-formes de recyclage. Juin 2006
Plus en détailFénelon pour contribuer au tri sélectif et à la valorisation des déchets que nous produisons?
LYCEE FENELON : démarche Qualycée en cours Quels sont les efforts réalisés à Fénelon pour contribuer au tri sélectif et à la valorisation des déchets que nous produisons? 16/03/2015 tri sélectif à Fénelon
Plus en détailCREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN
REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE
Plus en détailQu'est-ce que la biométhanisation?
Qu'est-ce que la biométhanisation? La biométhanisation consiste en une série d'opérations de dégradations biologiques de matières organiques qui se produisent en l'absence d'oxygène. Les produits résultants
Plus en détailFICHE DE DONNEE SECURITE
Degy Anti-fourmis 28/03/12 page1/6 FICHE DE DONNEE SECURITE 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PREPARATION ET DU FOURNISSEUR Désignation commerciale: DEGY ANTI-FOURMIS Utilisation de la préparation : Produit
Plus en détailDemande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact
Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Article R. 122-3 du code de l environnement N 14734*02 Ministère chargé de l'environnement Ce formulaire n est pas applicable
Plus en détailGestion des déchets dangereux dans les entreprises
Actualités Gestion des déchets dangereux dans les entreprises Avril 2012 - Fiche n 1 Rédigée par Margot Liatard CCIR Champagne-Ardenne Qu est ce qu un déchet dangereux? Les déchets dangereux sont des déchets
Plus en détailCOMMENTAiRES/ DECISIONS
Plate-forme d'échanges affichage environnemental des PGC Date : 2009-12-21 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org GT Méthodologie Numéro du document: N
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre
Bilan des émissions de gaz à effet de serre SOMMAIRE 1 Contexte réglementaire 3 2 Description de la personne morale 4 3 Année de reporting de l exercice et l année de référence 6 4 Emissions directes de
Plus en détailDOSSIER DE DEMANDE ECOPOLE TECHNIQUE ENVIRONNEMENTAL DE HAUTE-SAONE (70) D AUTORISATION UNIQUE
ECOPOLE TECHNIQUE ENVIRONNEMENTAL DE HAUTE-SAONE (70) AVRIL 2015 DOSSIER DE DEMANDE D AUTORISATION UNIQUE PIECES 5 et 6 : Etude de dangers et son Résumé Non Technique DE LA SUITEDANS VOS DECHETS Etude
Plus en détail2011 / rev. 01 JDL / 30.12.2
Renens Epalinges Gland Froideville Crissier 11 janvier 17 janvier 18 janvier 19 janvier 19 janvier 2011 / rev. 01 JDL / 30.12.2 tourisme des déchets Lausanne Région (29 communes, ~275 000 habitants) GEDREL
Plus en détailPlan de réduction et de valorisation des déchets Pilier de l économie circulaire
Plan de réduction et de valorisation des déchets Pilier de l économie circulaire 2014-2020 Projet présenté par Madame Ségolène Royal lors de la réunion du conseil national des déchets le 7 novembre 2014
Plus en détailCM2E 2014. Colloque Martinique Energie Environnement. Production d électricité renouvelable : La méthanisation comme agent de régulation
CM2E 2014 Colloque Martinique Energie Environnement Production d électricité renouvelable : La méthanisation comme agent de régulation M. Torrijos, Laboratoire de Biotechnologie de l Environnement, INRA-LBE,
Plus en détailDemande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact
Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Article R. 122-3 du code de l environnement N 14734*02 Ministère chargé de l'environnement Ce formulaire n est pas applicable
Plus en détailSECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise
SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise Identificateur de produit Nom commercial Utilisations identifiées pertinentes de la substance ou du mélange et utilisations
Plus en détailLA MUNICIPALITE DE FROIDEVILLE AU CONSEIL COMMUNAL
Préavis de la Municipalité concernant une demande de crédit extrabudgétaire pour financer les travaux de construction et d aménagement d une déchèterie sur le territoire communal. No 105/2010 LA MUNICIPALITE
Plus en détailpour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux
pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux Préserver la biodiversité dans la commune La commune dispose-t-elle d'un inventaire du patrimoine écologique local? Quelle part de budget
Plus en détailLa production de biogaz : La solution de valorisation énergétique des boues
La production de biogaz : La solution de valorisation énergétique des boues Sommaire 1. Etat des lieux 2. Un contexte favorable à une optimisation énergétique 3. Maximiser la production de biogaz 4. Quelques
Plus en détailDéchèteries du SYELOM. Mode d emploi pour les professionnels
Déchèteries du SYELOM Mode d emploi pour les professionnels Sommaire Page Edito du Président 3 Qu est ce que le SYELOM? 4 Quels sont les professionnels 6 acceptés? Vous êtes professionnels? 7 Vous devez
Plus en détailIntitulé du stage. Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011
Intitulé du stage Dates Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011 Recherche et réduction des rejets de Substances Dangereuses dans l'eau Mardi 20 septembre 2011 Mardi
Plus en détailFondation GoodPlanet Programme Action Carbone. Présentation des projets de compensation carbone
Fondation GoodPlanet Programme Action Carbone Présentation des projets de compensation carbone Fondation GoodPlanet Mettre l écologie au cœur des consciences Fondée en juillet 2005 par Yann Arthus-Bertrand
Plus en détailFiscalité environnementale
Secrétariat général Fiscalité environnementale Février 2009 La réforme de la fiscalité environnementale, adoptée dans la loi de finances pour 2009 et la loi de finances rectificative pour 2008, concrétise
Plus en détail19- LA COLLECTE ET LE TRAITEMENT DES DECHETS
19- LA COLLECTE ET LE TRAITEMENT DES DECHETS Rapport de présentation / Diagnostic Dossier de PLU approuvé 255 19.1 LES ORDURES MENAGERES ET EMBALLAGES MENAGERS RECYCLABLES La prestation de collecte des
Plus en détailValorisation matière (réutilisation, récupération, recyclage, compostage, biométhanisation)
GUIDE JURIDIQUE : LES PRINCIPALES RÉGLEMENTATIONS RELATIVES AUX DÉCHETS Dernière révision du document : février 2013 Ce guide propose une approche simplifiée des textes de lois relatifs aux déchets en
Plus en détailLe développement durable clé en main
Le développement durable clé en main Le développement durable au cœur de la stratégie d Assa Abloy 2 de la sécurité est un marché dynamique, tiré par les évolutions sociétales (besoins de sécurité grandissants,
Plus en détailNotice explicative du formulaire CERFA n 12571*01 relatif au bordereau de suivi des déchets dangereux
Notice explicative du formulaire CERFA n 12571*01 Décret n 2005-635 du 30 mai 2005 Arrêté du 29 juillet 2005 Notice explicative du formulaire CERFA n 12571*01 relatif au bordereau de suivi des déchets
Plus en détailATTESTATION D ASSURANCE
ATTESTATION D ASSURANCE SARL REHANEUF 20 RUE D ESPAGNE 64100 BAYONNE Valable * pour la période du 01/06/2014 au 31/12/2014 Contrat Multirisque Professionnelle : 164160800 V 001 MAAF ASSURANCES S.A. atteste
Plus en détail1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants
Date d impression : 23/08/02 Valable à partir du : 08.08.01 Page: 1/7 1. Identification de la substance ou préparation et de la Société Données relatives au produit : Nom commercial : KNAUF ZADUR Mortier
Plus en détailWaste concern. Observatoire du Management Alternatif Alternative Management Observatory. Initiative
Observatoire du Management Alternatif Alternative Management Observatory Initiative Waste concern Laura Loffler Novembre 2012 Majeure Alternative Management HEC Paris 2012-2013 Loffler Laura Fiche Initiative
Plus en détailLes plastiques en Débat
Les plastiques en Débat Que pensez-vous de l impact des plastiques sur notre environnement? Plutôt positif! Néfaste! Et si on lançait un vrai débat! Collège Raymond GUEUX 70700 GY Le Débat Depuis son invention
Plus en détailDéfi 7/7 Mission Ecogestes
Défi 7/7 Mission Ecogestes - 202 851 habitants (au 1er janvier 2011) Les hommes commencent à se regrouper dans des villes. Les déchets sont jetés dans les rues entraînant de nombreuses épidémies meurtrières
Plus en détailRecycler mes lampes? Une idée lumineuse. En plus d être économiques, les lampes basse consommation se recyclent!
Recycler mes lampes? Une idée lumineuse En plus d être économiques, les lampes basse consommation se recyclent! Prévu par deux règlements européens relatifs à l éco-conception des lampes, le retrait progressif
Plus en détailNe brûlons plus nos déchets verts à l air libre!
En savoir QUIZZ + Plan de Protection de l Atmosphère des Bouches-du-Rhône 1 2 3 4 J ai le droit de brûler mes déchets de tonte de pelouse en petite quantité dans ma cour non exposée à la route. Mes déchets
Plus en détailFiche de données de sécurité selon 1907/2006/CE, Article 31
Page : 1/5 1 Identification de la substance/du mélange et de la société/l'entreprise Identificateur de produit Utilisations identifiées pertinentes de la substance ou du mélange et utilisations déconseillées
Plus en détailLe compost. Un petit écosystème au jardin
Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème
Plus en détailVERS DE NOUVELLES FILIÈRES DE VALORISATION DE DÉCHETS A DESTINATION DE LA CONSTRUCTION
1 VERS DE NOUVELLES FILIÈRES DE VALORISATION DE DÉCHETS A DESTINATION DE LA CONSTRUCTION Partenaires Centre technologique Construction et Aménagement Durable Centre technologique Industrie Energie Process
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR DES DECHETTERIES INTERCOMMUNALES DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DU VAL DE DROME (CCVD) N 10/03-02-04/B
REGLEMENT INTERIEUR DES DECHETTERIES INTERCOMMUNALES DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DU VAL DE DROME (CCVD) N 10/03-02-04/B Les déchetteries intercommunales de la CCVD s inscrivent dans le rôle des collectivités
Plus en détailTPE et PME : comment me situer et justifier de mon statut?
DRC- 10-107725 - 03911 A mars 2010 TPE et PME : comment me situer et justifier de mon statut? Vérification du statut de PME par les micro, petites et moyennes entreprises au sens du règlement REACH Ce
Plus en détailGUIDE DE L'ENTREPRISE : ENVIRONNEMENT / HYGIENE / SECURITE. Plomberie Chauffage
Vous voulez démarrer une activité de plombier chauffagiste. Cette fiche rassemble l essentiel de la réglementation en matière d'environnement et de sécurité et quelques conseils importants pour être en
Plus en détailEAU ET MILIEUX AQUATIQUES. Les 9 es programmes d intervention des agences de l eau 2007-2012
EAU ET MILIEUX AQUATIQUES Les 9 es programmes d intervention des agences de l eau 2007-2012 Janvier 2007 9 es 2007-2012 programmes des agences de l eau «L Europe s est dotée d un cadre communautaire pour
Plus en détailPrincipaux éléments de l emploi en particulier la filière professionnelle, le cadre d emplois correspondant au poste, la durée de travail, etc
MODELE DE FICHE DE POSTE INTITULE DU POSTE : AGENT POLYVALENT DES SERVICES TECHNIQUES OBJECTIF PRINCIPAL DU POSTE : Principaux éléments de l emploi en particulier la filière professionnelle, le cadre d
Plus en détail5-DECHETS INDUSTRIELS BANALS (DIB)
5-DECHETS INDUSTRIELS BANALS (DIB) Les DIB regroupent l'ensemble des pouvant être générés par les activités courantes d'un établissement d'enseignement supérieur, à l'exclusion des présentant un risque
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailNote de présentation du projet de loi n 33-13 relative aux mines
Note de présentation du projet de loi n 33-13 relative aux mines La législation minière actuellement en vigueur au Maroc est consacrée par le dahir du 9 rejeb 1370 (16 avril 1951) portant règlement minier.
Plus en détailCONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel
N 38 Développement durable n 2 En ligne sur le site www.fntp.fr / extranet le 19/02/2013 ISSN 1769-4000 CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L
Plus en détailDISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N
DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N CARACTERE DE LA ZONE Zone faisant l objet d une protection en raison soit de la qualité des sites, des milieux naturels, des paysages et de leur intérêt notamment du
Plus en détailMODE OPERATOIRE NORMALISE : Date d application :
1 / 14 Prénom / Nom Date, signature Rédacteur : Tony Jamault Vérificateur : Anthony Loussouarn Approbation : Isabelle Calard Table des matières 1 OBJECTIF DU MODE OPERATOIRE ET DOMAINE D APPLICATION...
Plus en détailL injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel
L injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel Claire BRECQ GrDF - Délégation Stratégie- Régulation 10 ème Conférence sur le biogaz et le biométhane Montréal, le 24 mai 2012 Présentation de GrDF
Plus en détailUNE MEILLEURE CONNAISSANCE
CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions
Plus en détailProtection de la ressource et Métiers de l Automobile. Intervention du 12 octobre 2009
Protection de la ressource et Métiers de l Automobile Intervention du 12 octobre 2009 Intervention 1. Le CNPA et le Défi de l Environnement 2. Environnement et Métiers de l Automobile 3. Le parcours du
Plus en détailBENOIST BUSSON Cabinet d Avocats 250 bis, boulevard Saint-Germain 75007 PARIS
BENOIST BUSSON Cabinet d Avocats 250 bis, boulevard Saint-Germain 75007 PARIS MonsieurleProcureurdelaRépublique TribunaldeGrandeInstancedeMontauban Placeducoq 82000MONTAUBAN Paris,le20octobre2010 LR+AR
Plus en détailJEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVIII e ÉDITION
JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVIII e ÉDITION Projet de règlement no. 3 : Règlement sur la responsabilisation environnementale PRÉSENTATION Présenté par Monsieur Maxime Maheu-Moisan, membre du comité exécutif,
Plus en détailLE PERMIS D ENVIRONNEMENT A 10 ANS Cadre juridique et évolution
LE PERMIS D ENVIRONNEMENT A 10 ANS Cadre juridique et évolution 11 octobre 2012 LES REGLES DU JEU : L ANCIEN ET LE NOUVEAU Introduction Le cadre légal et réglementaire Les principes généraux La liste des
Plus en détailSECTION 3: Composition/informations sur les composants 3.2. Mélanges % CAS # (EC) No 1272/2008 1999/45/EC Deuterium oxide 99.
FICHE TECHNIQUE SANTE-SECURITE Selon la règlementation (CE) n 1907/2006 Date de la modification: 07/10/14 www.restek.com SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise
Plus en détailQuand les métaux arrivent en ville. Enjeux et stratégies pour les matières premières critiques.
Parole d experts Quand les métaux arrivent en ville. Enjeux et stratégies pour les matières premières critiques. Panel d experts autour de Prof. Eric PIRARD, ULg - GeMMe Avec le soutien de : Les déchets
Plus en détailPartie C1 «Déchets de boues et autres déchets organiques non dangereux produits en 2008»
- Centre de tri ou déchèterie : catégorie à utiliser seulement si la destination finale n'est pas connue. Il s'agit en pratique d'une étape intermédiaire de collecte des déchets. Cette catégorie comprend
Plus en détailLES AUTRES THÈMES BIOMÉTHANISATION
LES AUTRES THÈMES BIOMÉTHANISATION Technologies émergeantes de biométhanisation de la biomasse végétale en Inde H.N. Chanakya, Centre for Sustainable Technologies (formerly ASTRA Centre), Indian Institute
Plus en détailDéchets Ménagers en Rhône-Alpes : cycle de vie et effets suspectés sur la santé
Déchets Ménagers en Rhône-Alpes : cycle de vie et effets suspectés sur la santé LES DOSSIERS SANTÉ- ENVIRONNEMENT DE L ORS MARS 2012 Un peu d histoire... Jusqu à la fin du XIX ème siècle, la rue ne cesse
Plus en détailDES I NSTALLATIONS C LASSÉES POUR LA P R O TECTION DE
12 13 I NSTALLATIONS C LASSÉES POUR LA P ROTECTION DE L ENVIRONNEMENT (ICPE) 1.RÉGLEMENTATION 2.OBJECTIFS 3.LES PRINCIPES 3.1. LES ACTEURS 3.2. DÉCLARATION 3.2.1.PROCÉDURE 3.2.2.CONTENU DU DOSSIER 3.3.
Plus en détailFiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR
Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Les produits d usage domestique comprennent les produits de nettoyage (p. ex., les nettoie-vitres et les produits de nettoyage
Plus en détailLes pneus hors d usage Fiches informatives 1
Les pneus hors d usage Fiches informatives 1 Contexte Les pneus sont principalement composés de caoutchouc synthétique, un dérivé du pétrole, et de caoutchouc naturel, provenant d arbres d Amérique du
Plus en détailARRETE PREFECTORAL. portant enregistrement de l'entrepôt de stockage de matériels électriques de la société GEMFI à Châteaubourg
PREFECTURE Direction de la Coordination Interministérielle et de l'action Départementale Bureau des installations classées ARRETE PREFECTORAL portant enregistrement de l'entrepôt de stockage de matériels
Plus en détailÀ LA RENCONTRE D UN CHERCHEUR DE FUITE
Eau France Le 17 mars 2015 À LA RENCONTRE D UN CHERCHEUR DE FUITE SUEZ environnement s engage pour gérer durablement la ressource Préserver la ressource en eau représente pour SUEZ environnement plus qu
Plus en détailEtude comparative des dangers et des risques liés au biogaz et au gaz naturel DRA 32
RAPPORT D ÉTUDE 10/0 4/2 0 0 6 N 46032 Etude comparative des dangers et des risques liés au biogaz et au gaz naturel DRA 32 Etude comparative des dangers et des risques liés au biogaz et au gaz naturel
Plus en détailCONVENTION POUR LA COLLECTE DES DECHETS D ACTIVITES DE SOINS A RISQUES INFECTIEUX (DASRI)
3, rue Malakoff Immeuble le forum 38031 Grenoble cedex 01 : 04 76 59 59 59 Fax : 04 76 59 57 26 CONVENTION POUR LA COLLECTE DES DECHETS D ACTIVITES DE SOINS A RISQUES INFECTIEUX (DASRI) Convention pour
Plus en détailPour l environnement. Strength. Performance. Passion.
Strength. Performance. Passion. Pour l environnement Réduire les émissions de CO 2 en optimisant les matériaux de construction et les méthodes de production Holcim (Suisse) SA Les fondements de notre avenir
Plus en détailGuide d entretien. de votre assainissement non collectif
juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».
Plus en détailComptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004
Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)
Plus en détailBÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL
BÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL A. PRÉSENTATION : BEST ENTREPRISE SARL est une société de droit sénégalais qui intervient dans les Bâtiments/Travaux Publics, le
Plus en détailLes plastiques en débat 2014
Les plastiques en débat 2014 Pratique Léger Astucieux Solide Transformable Indispensable Qualifié Utile Esthétique 3eD_college_LES_CAMPELIERES Collège Les Campelières 121 Chemin Campelières 06250 Mougins
Plus en détailSECTION 1- Identification de la substance/du mélange et de la société / entreprise
Famille : AMENDEMENT MINERAL BASIQUE ENGRAIS AVEC ADDITIF AGRONOMIQUE NF U 44-204 Amendement calcaire, dolomie et gypse NFU 44-203 avec préparation microbienne : RHIZOCELL (AMM n 1110014) AGRI-BIOTECH
Plus en détailPlate-forme énergie. Filière de la biomasse forestière
Plate-forme énergie Filière de la biomasse forestière Mars 2013 Table des matières 1. Principes généraux... 0 2. Ce qu on entend par économie d énergie... 1 3. Réflexion sur les sources d énergie à privilégier...
Plus en détailFORMULAIRE DE DEMANDE D AUTORISATION CLASSE 2
INFORMATIONS GENERALES Page 1 / 14 1. INFORMATIONS GENERALES N du dossier : Art. 7.7.b «La nature et l emplacement de l établissement, l objet de l exploitation, les installations et procédés à mettre
Plus en détailPOLITIQUE DE BIOSÉCURITÉ
Date d entrée en vigueur: Mai 2006 Remplace/amende: VRS-52/s/o Origine: Vice-rectorat aux services Numéro de référence: VPS-52 DÉFINITION Une substance biologique dangereuse se définit comme un organisme
Plus en détailRègles et prescriptions à respecter pour les permis de construire
Collecte et valorisation des déchets dans le pays de Gex Permis de construire Édition 2013 Règles et prescriptions à respecter pour les permis de construire Prévoir la voirie, les équipements et les zones
Plus en détailÉtude portantsurlaproblématiquedes lieux d enfouissement technique pourl éliminationdes résidus ultimesdel agglomérationdemontréal
Étude portantsurlaproblématiquedes lieux d enfouissement technique pourl éliminationdes résidus ultimesdel agglomérationdemontréal Septembre 2006 Équipe deréalisation: Étude réaliséepar: Karine Dionne
Plus en détailPROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE
Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51
Plus en détail