OSTEOPOROSE - actualités
|
|
- Eloi Julien
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 OSTEOPOROSE - actualités - quelques rappels - les médicaments - mises au point nov 2008
2
3
4 L ostéoporose : une maladie fréquente aux conséquences dramatiques
5 Propriété exclusive des Laboratoires MSD-Chibret. Reproduction intégrale ou partielle interdite Femmes > 50 ans Femmes ostéoporotiques > 50 ans Femmes ostéoporotiques > 50 ans et fracturées 10,5 millions 3,5 millions 2,4 millions Femmes de 50 ans : de risque de fractures dues à l ostéoporose Melton L. J et al. How many women have osteoporosis. J Bone Miner Res 1992: 7: INSEE : Recensement de 1999 Rapport annuel IOF : Novembre 2003 Site AFSSAPS Avis de la Transparence INSERM, Ostéoporose : stratégie de prévention et de traitement, 1996 Delmas P, Fontana A. L ostéoporose : épidémiologie, cliniques et approches thérapeutiques : M/S n 12, vol. 17, décembre 2001
6 Propriété exclusive des Laboratoires MSD-Chibret. Reproduction intégrale ou partielle interdite Chaque année (1) fractures du poignet fractures vertébrales fractures de la hanche 20 % des femmes décèdent dans l année qui suit une fracture de la hanche (2) 50 % des patientes survivant à une fracture de la hanche restent handicapées à vie (2) 1. INSERM, Ostéoporose : Stratégies de prévention et de traitement, Meunier P.J. et al. Guide pratique de l ostéoporose, MMI éditions, 1999.
7
8 LE DIAGNOSTIC Clinique Radiologique Densitométrique Biologique
9 CLINIQUE Contexte : femme ménopausée; age; IMC Perte de taille ATCD de fracture périphérique => trauma de faible énergie ATCD familiaux ATCD de corticothérapie ATCD de troubles hormonaux
10 Les fractures vertébrales ne sont pas reconnues.
11 DENSITOMETRIQUE Le logiciel d imagerie médicale reporte les informations et situe le Tscore sur un graphique
12 Evolution de la masse osseuse *
13 Prise en charge par la Sécurité Sociale de l ostéodensitométrie : décision de l UNCAM du 11 mars 2006 publiée au JO du 30 juin 2006 A compter du 1 er juillet 2006 méthode par absorptiométrie biphotonique à double énergie 2 sites Conditions => si le résultat de l examen peut, a priori, conduire à une modification de la prise en charge thérapeutique du patient tarif de l acte PAQK007 : 39,96 euros taux de remboursement : 70 % Dans la population générale, l âge et le sexe : En cas de signes d ostéoporose : Découverte ou confirmation radiologique d une fracture vertébrale sans contexte traumatique Antécédent personnel de fracture périphérique survenue sans traumatisme majeur (à l exclusion des fractures du crâne, des orteils, des doigts, du rachis cervical) En cas de pathologie ou traitement potentiellement inducteur d ostéoporose : Corticothérapie systémique ( 3 mois consécutifs, dose > 7,5 mg/j d équivalent prednisone) Antécédent documenté de pathologie ou de traitement potentiellement inducteur d ostéoporose Pour un 1 er examen Chez la femme ménopausée : indications supplémentaires (par rapport à la population générale) : Antécédent de fracture du col fémoral sans traumatisme majeur chez un parent au 1 er degré Indice de masse corporelle < 19 kg/m 2 Ménopause avant 40 ans, la cause Antécédent de prise de corticoïdes ( 3 mois consécutifs, dose > 7,5 mg/j d équivalent prednisone) A l arrêt du traitement anti-ostéoporotique chez la femme ménopausée (en dehors de l arrêt précoce pour effet indésirable) Pour un 2 ème examen Chez la femme ménopausée sans fracture, lorsqu un traitement n a pas été mis en route après une 1 ère ostéodensitométrie montrant une valeur normale ou une ostéopénie : Une 2 ème ostéodensitométrie peut être proposée 3 à 5 ans après la 1 ère en fonction de l apparition de nouveaux facteurs de risque
14 BIOLOGIQUE Les examens biologiques sont normaux NFS VS CRP Calcémie Créatininémie Phosphatases alcalines Protéinogramme Calciurie des 24 heures => PTH (15-65 pg/ml) vit D (> 30 ng/ml)
15 Carence en estrogènes Apport en calcium Apport et Synthèse en vit D Calcémie Vieillissement PTH Autres facteurs: génétiques maladies médicaments alcool, tabac Formation osseuse Perte osseuse Résorption osseuse
16 Facteurs de risque de fracture DMO basse Âge Antécédent personnel de fracture Fracture ostéoporotique Faible poids Antécédent de fracture du col chez la mère Autres facteurs de risque Corticothérapie prolongée Afssaps, 2006
17
18 LES MEDICAMENTS
19 LE CALCIUM Besoins calciques selon l âge - en mg/j Enfant : de 1 à 12 ans Adolescent 1200 Femme : Homme : 1000 de 25 à 50 ans > 50 ans sans TSH 1500 de 25 à 65 ans 1000 > 65 ans
20 LA VITAMINE D 800 UI/jour Inadapté DANGER Carence Insuffisance ng/ml nmol/l Serum 25(OH)D 30ng/ml (i.e 75nmol/l) représente la valeur seuil de 25 (OH) D dans le serum pour limiter le risque de fracture Vitamin D deficiency <9 ng/ml; vitamin D inadequacy <30 ng/ml Adapted from Institute of Medicine. Dietary Reference Intakes for Calcium, Phosphorus, Magnesium, Vitamin D, and Fluoride. Institute of Medicine, National Academy Press; 1997; Friedman PA. Agents affecting mineral ion homeostasis and bone turnover. In: Brunton LL, Lazo JS, Parker KL, eds. Goodman & Gilman s The Pharmacological Basis of Therapeutics. 11th ed. New York: McGraw-Hill Medical Publishing Division; 2006: ; Lips P, et al. J Intern Med. 2006;260: ; Thomas MK, et al. N Engl J Med. 1998;338: ; Binkley N, et al. J Clin Endocrinol Metab. 2004;89: ; Grant WB, et al. Altern Med Rev. 2005;10:94 111; Chapuy MC, et al. Osteoporos Int. 1997;7: ; Malabanan A, et al. Lancet. 1998;351: ; Bischoff-Ferrari HA, et al. Am J Clin Nutr. 2006;84:18 28; Dawson-Hughes B, et al. Osteoporos Int. 2005;16:
21 Origine et métabolisme de la vitamine D Soleil Provitamine D 3 (7-dehydrocholesterol) Previtamine D 3 Vitamine D 3 Peau Foie Vitamine D 3 Vitamine D 2 25(OH)D Rein Augmentation absorption phospho calcique Intestin PTH (+) 1,25(OH) 2 D hypophosphatémie Homéostasie phosphocalcique Os Mobilisation des réserves calciques Fonctions Metaboliques Santé Osseuse Fonctions neuromusculaires UVB = ultraviolet B; 25(OH)D=25-hydroxyvitamin D; PTH = parathyroid hormone; 1,25(OH) 2 D=1,25-dihydroxyvitamin D Adapted from Holick MF. Osteoporos Int. 1998;8(suppl 2):S24 S29.
22 L ACTIVITE PHYSIQUE À tout age INDISPENSABLE pour les os.. et le reste
23 En cas d OSTEOPENIE DMO entre 1 & -2.5 Association Ca + vitamine D => SUFFISANT Nombreuses présentations Ca & vit D seuls ou Ca-vit D En cas d insuffisance en vit D, faire des apports importants (Uvédose; Stérogyl; Zymad ) Attention à l hyper-calciurie Stt vérifier l observance (constipation - prise de poids - goût pâteux ) varier dans le temps
24 Les traitements anti-ostéoporotiques THS RALOXIFENE BIPHOSPHONATES RANELATE de STRONTIUM TERIPARATIDE
25 THS Ralentit la déminéralisation osseuse par l effet oestrogènique Apporte un confort dans la ménopause Expose à des effets secondaires en cours d évaluation (K sein; pb coro ) N est pas codifié dans sa durée
26 SERM raloxifène (evista - optruma) Actif sur les fractures vertébrales Facile à prendre Protège le sein Expose aux pb thrombo-emboliques À proposer chez la femme en post-ménopause récente de préférence
27 BIPHOSPHONATES 1 ETIDRONATE (didronel) abandonné ALENDRONATE (fosamax-vance; adrovance) - actif sur les fract verte et périphériques - prise à jeun ne pas se recoucher - prise hebdomadaire - forme associé avec vit D - oesophagite possible
28 BIPHOSPHONATES 2 RISEDRONATE (actonel combi) - actif sur les fract vertébrales et périphériques - prise à jeun - posologie hebdomadaire ou mensuelle (2 jours) - forme associée avec Ca + vit D
29 BIPHOSPHONATES 3 IBANDRONATE (bonviva 150 mg per os) - actif sur les fractures vertébrales - prise à jeun - posologie mensuelle - forme injectable trimestrielle (3 mg IV)
30 BIPHOSPHONATES 4 ACIDE ZOLEDRONIQUE (Aclasta 5 mg) - actif sur les fract. vertébrales et périphériques - une IV annuelle - déjà utilisé dans le PAGET - déjà connu sous le nom de Zométa 4 mg dans les pathologies néoplasiques osseuses - Vérifier calcémie & fonction rénale
31 TERIPARATIDE (FORSTEO) Action ostéo-formatrice de la parathormone Actif sur les fractures vertébrales et périphériques Médicament à prescription d exception Indiqué si au moins 2 fractures Injection par stylo pour 18 mois max Vérifier les critères d ostéoporose Vérifier la calcémie et la fonction rénale
32 RANELATE de STRONTIUM (protélos) Actif sur les fract. vertébrales & périphériques Prise quotidienne au coucher de préférence Anti-résorbeur et ostéo-formateur Majore la DMO DRESS syndrome (risque cutané allergique) À éviter si ATCD thrombo-emboliques
33 NOUVEAUX MEDICAMENTS DENOSUMAB Nouvelle classe très actif sur les fract vert. 2 injections par an LASOFOXIFENE (SERM) Mêmes avantages que raloxifène + fract. nonvertébrales
34 COMMENT UTILISER CES PRODUITS? Il n y a pas de protocole pré-établi En fonction des critères bio-radio-cliniques Possibilité de changer À poursuivre indéfiniment Et surtout => LES PRESCRIRE
35
36 POLEMIQUE sur les biphosphonates
37 Quid des ostéonécroses de la mâchoire - mécanisme (inconnu) - bibliographie (maigre) - confusion Aclasta Zométa & posologies - les précautions de bon sens - mythe ou réalité? attendre la pharmaco-vigilance
38
39
40 L insuffisance en vitamine D Très peu d aliments contiennent de la vitamine D Propriété exclusive des Laboratoires MSD-Chibret. Reproduction intégrale ou partielle interdite (400UI/jour) Ration quotidienne nécessaire pour couvrir tous les besoins en vitamine D = entre 400 et 800 Ul/j
41 Vitamine D et muscle La vitamine D améliore le tonus musculaire en se fixant sur un récepteur musculaire spécifique (VDR) Holick. Recent results cancer Res 2003: 163:3-28
42 Résumé de l importance de la vitamine D dans le traitement de l ostéoporose La vitamine D est essentielle à l absorption du calcium et à la santé osseuse La supplémentation en vitamine D diminue les risques de fractures et de chutes La limite supérieure acceptable des apports en vitamine D est de UI/j sans effets secondaires Adapted from Chen TC, et al. Arch Biochem Biophys. 2007;460: ; Holick MF. Osteoporosis Int. 1998;8(suppl 2):S24 S29; Parfitt AM, et al. Am J Clin Nutr. 1982;36: ; Bettica P, et al. Osteoporos Int. 1999;9: ; Lips P, et al. J Clin Endocrinol Metab. 2001;86: ; Lips P, et al. J Intern Med. 2006;260: ; Trivedi DP, et al. BMJ. 2003;326:469; Bischoff HA, et al. J Bone Miner Res. 2003;18: ; Bischoff-Ferrari HA, et al. Osteoporos Int. 2007;18:
43 L insuffisance en vitamine D Propriété exclusive des Laboratoires MSD-Chibret. Reproduction intégrale ou partielle interdite 1. AFSSA. Les apports nutritionnels conseillés pour la population française. 3 e édition. Paris : Editions EC & DOC ; Dietary Reference Intakes for Calcium, Phosphorus, Magnesium, Vitamin D, and Fluoride. Washington, DC : Institute of Medicine, National Academy Press ; AFSSAPS. Traitements médicamenteux de l ostéoporose post-ménopausique. Actualisation octobre 2004.
44 Facteurs susceptibles d influencer négativement la synthèse en vitamine D provenant des radiations solaires latitude et saison " Au-dessus de 35º de latitude, la totalité de la population ne peut pas produire suffisamment de prévitamine D 3 pendant les mois d hiver (Holick M, Am J Clin Nutr 2004;79:362) Vieillissement réduction d efficacité de la synthèse en 7-déhydrocholestérol Pigmentation cutanée Habillage se couvrir la peau de façon importante, pour des raisons médicales, sociales, culturelles ou religieuses peut laisser une surface de peau insuffisante exposée aux radiations solaires Utilisation d écran solaire Travaux confinés à l intérieur Pollution de l air dans les villes?
45 Valeurs recommandées en vitamined par des experts en 2007 Selon le Dr Bischoff-Ferrari : «La dose de vitamine D dans le traitement de l ostéoporose ne doit pas être moins de. En effet, la dose de vitamine D optimale doit augmenter les concentrations sériques de 25 (OH) D à 75nmol/l (i.e. 30ng/ ml)» Selon un consensus d experts, (i.e 75nmol/l) de 25 (OH)D est la concentration à laquelle les personnes agées sont à faible risque de fracture» Osteoporos Int (2007) 18: «How to select the doses of vitamine D in the management of osteoporosis H.A. Bischoff-Ferrari Estimates of optimal vitamin D status Osteoporos In 16 (7) : Dawson-Hughes B, Heaney R.P, Holick MF, Lips P, Meunier PL, Vieth.
46 Vitamine D : les recommandations officielles Calcium et vitamine D : Recommandations de l Afssaps La recherche et la correction des déficits éventuels en calcium et vitamine D sont un préalable indispensable à la mise en route d un traitement anti-ostéoporotique. AFSSAPS. Traitements médicamenteux de l ostéoporose post-ménopausique. Argumentaire court. Actualisation octobre 2004.
47 La vitamine D dans la prise en Recommandations de l Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé charge de l ostéoporose 1 médicament efficace capable de diminuer le risque de fracture Des apports suffisants en calcium et vitamine D " Avant la mise en route du traitement " Pendant toute sa durée Une activité physique en charge est également recommandée (marche, gymnastique) Traitement de l'ostéoporose :
Evaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool)
Evaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool) F. FLAISLER Service de Rhumatologie Groupe Hospitalo-Universitaire CAREMEAU, Nîmes OSTÉOPOROSE DEFINITION AFSSAPS «Maladie diffuse
Plus en détailTraitement de l ostéoporose post-ménopausique Janv ier 2006 TRAITEMENT MEDICAMENTEUX DE L OSTEOPOROSE POST-MENOPAUSIQUE RECOMMANDATIONS
TRAITEMENT MEDICAMENTEUX DE L OSTEOPOROSE POST-MENOPAUSIQUE RECOMMANDATIONS Actualisation 2006 Afssaps - 143/ 147, bd Anatole France F-93285 Sai nt-denis Cedex t él. +33 (0)1 55 87 30 00 www.afssaps.sante.fr
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailOstéoporose chez l homme
le point sur Ostéoporose Rev Med Suisse 2013 ; 9 : 1260-4 E. Biver B. Uebelhart Drs Emmanuel Biver et Brigitte Uebelhart Service des maladies s Département des spécialités de médecine HUG et Faculté de
Plus en détailLe point sur la vitamine D
Formation continue Vol. 23 No. 4 2012 Le point sur la vitamine D Aude Tonson la Tour*, Alexandra Wilhelm-Bals*, Elsa Gonzalez Nguyen Tang*, Eric Girardin*, Genève Introduction La vitamine D est une vitamine
Plus en détailCinq stratégies essentielles pour prendre soin de ses os après 50 ans. www.iofbonehealth.org
Cinq stratégies essentielles pour prendre soin de ses os après 50 ans www.iofbonehealth.org QU EST-CE QUE L OSTÉOPOROSE? L ostéoporose est une maladie qui fragilise les os, conduisant à une augmentation
Plus en détailTRAITEMENT MEDICAMENTEUX DE L OSTÉOPOROSE CORTISONIQUE
Recommandation de Bonne Pratique TRAITEMENT MEDICAMENTEUX DE L OSTÉOPOROSE CORTISONIQUE RECOMMANDATIONS 1 GROUPE DE TRAVAIL Docteur Christian ROUX, Président, Rhumatologue, Paris Docteur Bertrand MOURA,
Plus en détailUtilité clinique du dosage de la vitamine D
NOTE DE CADRAGE Utilité clinique du dosage de la vitamine D Date de validation par le collège : Janvier 2013 Service évaluation des actes professionnels Cette note de cadrage est téléchargeable sur www.has-sante.fr
Plus en détailL OSTÉOPOROSE INVOLUTIVE DE LA FEMME : STRATÉGIE THÉRAPEUTIQUE Un point de vue actualisé du Belgian Bone Club*
L OSTÉOPOROSE INVOLUTIVE DE LA FEMME : STRATÉGIE THÉRAPEUTIQUE Un point de vue actualisé du Belgian Bone Club* J.M. Kaufman (1), J.J. Body (2), S. Boonen (3), J.P. Devogelaer (4), F. Raeman (5), S. Rozenberg
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailrévention Pdes fractures
révention Pdes fractures liées à l ostéoporose nutrition de la personne âgée Groupe de travail La base rédactionnelle de ce guide a été élaborée à la demande de la Direction Générale de la Santé par un
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailOstéoporose au cours des hépatopathies chroniques en 2006
Ostéoporose au cours des hépatopathies chroniques en 2006 Gérard Chalès Service de Rhumatologie, CHU Rennes Hôpital Sud, Rennes Points clés L ostéoporose et non l ostéomalacie est la complication la plus
Plus en détailOSTÉOPOROSE PRÉVENIR ET AGIR À TOUT AGE
OSTÉOPOROSE PRÉVENIR ET AGIR À TOUT AGE www.grio.org L'ostéoporose est une maladie qui a été longtemps méconnue et dont les conséquences ont été sous estimées. On sait maintenant qu'il s'agit d'une maladie
Plus en détailepm > nutrition Formation & Conseil
CATALOGUE FORMATIONS THEME : NUTRITION et SANTE Septembre 2011 Juin 2012 Journée Spéciale pour les Pharmaciens «Conseils Nutritionnels en Officine» Journées de Formation sur Paris «Nutrition de l Adulte»
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailMédecine interne. VitamineDetfoie. Vitamin D and liver. Hegel Vol. 5 N 1-2015 DOI : 10.4267/2042/56334. Pierre Toulemonde. Résumé. Mots-clés.
10 DOI : 10.4267/2042/56334 VitamineDetfoie Vitamin D and liver Pierre Toulemonde Clinique Saint-Jean Languedoc pierre.toulemonde@wanadoo.fr Médecine interne Résumé Le rôle de la vitamine D sur l organisme
Plus en détailEffets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux
Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne
Plus en détailImplantologie et Bisphosphonates
Société Française de Stomatologie et Chirurgie Maxillo-Faciale DD Implantologie et Bisphosphonates Recommandations de Bonne Pratique Juillet 2012 1 SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 CONTEXTE... 5 BISPHOSPHONATES
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailSurveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône
Santé travail Maladies chroniques et traumatismes Surveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône Étude du syndrome du canal carpien opéré 2008-2009 Septembre 2011 F. Sillam 1,
Plus en détailL ostéoporose. Fiche 3.4.1. Saviez-vous que...
Fiche 3.4.1 L ostéoporose Santé des os et prévention des fracturesž Saviez-vous que... L'ostéoporose est un processus graduel qui entraîne à la longue une perte de masse osseuse. Comme son nom le suggère,
Plus en détailMarseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique
Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier
Plus en détailCatherine Prost Squarcioni Centre de Références Maladies Rares NET-DBAI-IDF Hôpital Saint Louis et hôpital Avicenne
1 PREVENTION DES COMPLICATIONS DE LA CORTICOTHERAPIE GENERALE DANS LES PEMPHIGUS DE L ADULTE Catherine Prost Squarcioni Centre de Références Maladies Rares NET-DBAI-IDF Hôpital Saint Louis et hôpital Avicenne
Plus en détailTRAITEMENT HORMONAL SUBSTITUTIF DE LA MENOPAUSE. RISQUES ET BENEFICES SFAR Rachida.
TRAITEMENT HORMONAL SUBSTITUTIF DE LA MENOPAUSE. RISQUES ET BENEFICES SFAR Rachida. Malgré une prescription qui date maintenant de quelques dizaines d années, le traitement hormonal substitutif de la ménopause
Plus en détailGrande journée de Charleroi. Cas cliniques en biologie clinique: quoi de neuf docteur? M.Lambert
Grande journée de Charleroi 15 janvier 2010 Cas cliniques en biologie clinique: quoi de neuf docteur? M.Lambert Cas N 1: bilan phospho-calcique Femme 64 ans Polyarthrite rhumatoide R/ methylprednisolone
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailLes compléments alimentaires
Les compléments alimentaires Vigilance et Respect des bonnes pratiques Les cahiers du collectif Eps N 2 Olivier COSTE Médecin conseiller Direction régionale Jeunesse, Sports et Cohésion Sociale «C Définition
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailL ANGINE. A Epidémiologie :
L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable
Plus en détailProblèmes locomoteurs
VOLUME 2 Aspects cliniques Chapitre 10 Problèmes locomoteurs Problèmes locomoteurs 343 Problèmes locomoteurs J.P. Praet, T. Mets Les problèmes locomoteurs sont fréquents et le deviennent de plus en plus
Plus en détailepm > nutrition Formation & Conseil
CATALOGUE FORMATIONS THEME : Nutrition et Santé Septembre 2014 Décembre 2015 Vous exercez déjà une profession ou souhaitez le faire et vous voulez vous former en Nutrition pour donner des Conseils en Nutrition,
Plus en détailPrésentation de l IPhEB
Présentation de l IPhEB L Institut Pharmaco-épidémiologique belge (IPhEB) est une asbl, cogérée par des représentants de médecins et de pharmaciens. Elle a pour objectif de contribuer à l interprétation
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailAprès chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse
Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse Généralités / Contexte La chirurgie bariatrique: pas de relation quantitative claire entre
Plus en détailPrévention osseuse dans le traitement du cancer de la prostate
73 Volume 1 - Février 11 - Supplément 1 Progrès en urologie (11) 1, supplément, S5-S Journées d Onco-Urologie Médicale : La pratique, les protocoles 5 et juin 1 ISSN 11-77 Prévention osseuse dans le traitement
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailMéthodes radiographiques d évaluation des fractures vertébrales ostéoporotiques Radiographic methods for evaluating osteoporotic vertebral fractures
Revue du Rhumatisme 76 (2009) 397 404 Mise au point Méthodes radiographiques d évaluation des fractures vertébrales ostéoporotiques Radiographic methods for evaluating osteoporotic vertebral fractures
Plus en détailTransplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale
Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la
Plus en détailLogiciel «My-Labo Cool!»
Capitalisez vos Connaissances et votre Expérience des Compléments Alimentaires! Logiciel «My-Labo Cool!» La Solution pour optimiser votre Compétence sur les Compléments Alimentaires, que vous soyez Thérapeute
Plus en détailÉcho-Doppler thyroïdien : impact sur la prise en charge des hyperthyroïdies iodo-induites. Hervé Monpeyssen AHP
Écho-Doppler thyroïdien : impact sur la prise en charge des hyperthyroïdies iodo-induites Hervé Monpeyssen AHP Hyper Type 1 Hyper Type2 Mécanismes I - «carburant» Iodo-toxique Thyropathie Goitre/TAI/
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailQue représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil
Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions
Plus en détailA. Ne u p r e z (1), H. Jo h a n s s o n (2), J.A. Ka n i s (2), E.V. McCl o s k e y (2), A. Od é n (2), O. Br u y è r e (3),
Rationalisation du remboursement des médicaments de l ostéoporose : de la mesure isolée de la densité osseuse à l intégration des facteurs cliniques de risque fracturaire. Validation de l algorithme FRAX
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailL Incontinence Urinaire au FEMININ. Examen paraclinique. Résidu Post Mictionnel. Examen pelvien
L Incontinence Urinaire au FEMININ Dr Isabelle Kaelin-Gambirasio Erika Vögele Dr Johanna Sommer Examen pelvien Inspection : Atrophie vulvovaginale Inflammation vaginale Pertes d urines à la toux Prolapsus
Plus en détailActivité physique et diabète de type 2
Activité physique et diabète de type 2 D après le référentiel de la Société francophone du diabète : Duclos M et al, Médecine des maladies Métaboliques. 2011; 6 : 80-96 Forum Santé Vertolaye Le 10/10/2013
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailInformation pour les patients dialysés qui prennent du chlorhydrate de sévélamer (RENAGEL)
Les autorités de santé de l Union Européenne ont assorti la mise sur le marché du médicament RENAGEL de certaines conditions. Le plan obligatoire de minimalisation des risques en Belgique, dont cette information
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailPROCEDURE D EVALUATION ET DE PREVENTION DU RISQUE DE CHUTE ET DE MAINTIEN DE LA MOBILITE
PROCEDURE D EVALUATION ET DE PREVENTION DU RISQUE DE CHUTE ET DE MAINTIEN DE LA MOBILITE Nb de pages : 8 Date de création 03/12/2013 Rédaction : Dr Robert ABADIE Dr Jean FAVAREL Date d application Vérification
Plus en détailOrdonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie
Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailspecial greffe ii numéro LA REVUE SEMESTRIELLE GRATUITE DE LA LIGUE REIN ET SANTÉ MARS 2012 - SEPT. 2012 DOSSIER GREFFE ET DIABÈTE page 41 à 47
n 12 MARS 2012 - SEPT. 2012 LA REVUE SEMESTRIELLE GRATUITE DE LA LIGUE REIN ET SANTÉ numéro special greffe ii DOSSIER GREFFE RÉNALE page 5 à 26 AIDE MÉMOIRE DU TRANSPLANTÉ page 26 à 40 DOSSIER GREFFE ET
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 19 octobre 2011 PEDIAVEN AP-HP G15, solution pour perfusion 1000 ml de solution en poche bi-compartiment, boîte de 4 (CIP: 419 999-0) PEDIAVEN AP-HP G20, solution pour
Plus en détailPLACE DES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX CHEZ LE SUJET AGE
Journée Club NeuroVasculaire Ile-de-France 27 mai 2014 PLACE DES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX CHEZ LE SUJET AGE Eric PAUTAS Hôpital Charles Foix UFR Médecine G.H. Pitié-Salpêtrière-Ch.Foix Inserm U765
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailLa maladie de Horton Artérite temporale Artérite à cellules géantes
Artérite temporale Artérite à cellules géantes La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est
Plus en détailCas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?
Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte
Plus en détailPREVENTION DE LA MALADIE THROMBO- EMBOLIQUE VEINEUSE (MTEV) EN PERI- OPERATOIRE QUOI DE NEUF?
PREVENTION DE LA MALADIE THROMBO- EMBOLIQUE VEINEUSE (MTEV) EN PERI- OPERATOIRE QUOI DE NEUF? Chokri Ben Hamida Service de réanimation médicale de Sfax La Thrombose une réalité qui tue La maladie thrombo-embolique
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailPour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir.
Dépistage Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Par contre, nous pouvons tenter de le dépister plus tôt afin d'avoir plus de chances de
Plus en détailLa chirurgie bariatrique est actuellement reconnue comme une procédure
REVUES GENERALES 25 A. SALLE Département d Endocrinologie, Diabétologie, Nutrition, CHU, ANGERS. La chirurgie bariatrique est actuellement le traitement de choix de l obésité morbide. Cette chirurgie n
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailTrucs du métier. L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis. clinicien@sta.ca. Avez-vous un truc? Son épidémiologie et son expression
L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis Trucs du métier Son épidémiologie et son expression Le psoriasis est une maladie cutanée inflammatoire chronique qui touche de 1 % à 3 % de la population
Plus en détailLE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE
LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailEvaluation d un appareil quantitatif ultrasonore utilisant des matrices (Beam scanner):précision standardisée
Evaluation d un appareil quantitatif ultrasonore utilisant des matrices (Beam scanner):précision standardisée M-A Gomez, M Nasser-Eddin, M Defontaine, B Giraudeau, F Jacquot, F Patat INTRODUCTION L ostéoporose
Plus en détailCLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE
CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE BAXTER_CLINIMIX N9G15 E et N12G20E_Avis CT_14-02-2007.pdf BAXTER_CLINIMIX N9G15E N12G20E N14G30 N17G35_Avis CT_12-12-2001.pdf BAXTER_CLINIMIX changement
Plus en détailChirurgie bariatrique : que doit savoir un pharmacien?
pharmacothérapie Chirurgie bariatrique : que doit savoir un pharmacien? Isabelle Giroux Résumé Objectifs : Revoir la littérature scientifique concernant les déficiences en vitamines et minéraux et les
Plus en détailPrise en Charge de la Fracture du Col du Fémur. Dr Christine LAFONT Service de Gériatrie C.H.U. TOULOUSE
Prise en Charge de la Fracture du Col du Fémur Dr Christine LAFONT Service de Gériatrie C.H.U. TOULOUSE Épidémiologie «Problème médical, social et économique» Incidence : France : 50/100 000 hab. Augmente
Plus en détailSuivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation
SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation Novembre 2007 OBJECTIF Assurer une qualité optimale du suivi et de
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détail*Test sur 20 femmes présentant des taches de sénescence sur les 2 mains et sur le visage. Age moyen 59 ± 1 an. Test par colorimétrie.
WHITE RESOLUTION SOIN ÉCLAIRCISSANT ANTI-TÂCHES, ANTI-ÂGE AU WHITESPHERE TM PREMIUM ET IPARZINE -4A PERFORMANCE PRODUIT Ce soin est une formule ultra-active qui permet de lutter efficacement contre les
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailDermatologie courante du sujet âgé. Printemps Médical de Bourgogne 31 Mars 2012 Dr Claude Plassard Gériatre CHI Châtillon/Montbard
Dermatologie courante du sujet âgé Printemps Médical de Bourgogne 31 Mars 2012 Dr Claude Plassard Gériatre CHI Châtillon/Montbard Mécanismes du vieillissement cutané En vieillissant, la peau se ride, s
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détail