N. BOUDISSA Directeur Général ALGERAC

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "N. BOUDISSA Directeur Général ALGERAC"

Transcription

1 L ACCRÉDITATION AU SERVICE DE L ÉCONOMIE ET DE LA SOCIÉTÉ N. BOUDISSA Directeur Général ALGERAC

2 Accréditation Selon ISO/IEC Accreditation Attestation t ti (5.2) délivrée é par une tierce partie, ayant rapport à un organisme d'évaluation de la conformité (2.5), constituant une reconnaissance formelle de la compétence de ce dernier à réaliser des activités spécifiques d'évaluation de la conformité 2

3 Accréditation L'accréditation i a pour objet: Après évaluation, d'attester que des organismes sont techniquement capables de réaliser des analyses, des étalonnages ou des essais, de procéder à des actions d'inspection ou à des actions de certification (de produits, services, systèmes qualité ou de personnels), 3

4 L'accréditation à l origine: Commerce international: Favoriser les échanges sans entraves techniques Union Européenne : 1990 : harmonisation des outils et des procédures : normes, procédures d'évaluation de la conformité, attestation de la compétence des «évaluateurs» de façon harmonisée. 4

5 ACCREDITATION Rôle : Etablissement de la CONFIANCE Exigences : INDEPENDANCE IMPARTIALITE COMPETENCE résultent de : ISO/CEI pour les accréditeurs 5

6 ACCREDITATION Dimension régionale et internationale ( EA,ILAC & IAF) HARMONISATION des procédures d évaluation de la conformité. RECONNAISSANCE MUTUELLE : (entre les organismes d accréditation). Système mis en place sous l'égide des pouvoirs publics, l'accréditation est une activité à but non lucratif, sans objectifs commerciaux, 6

7 L accréditation est le dernier niveau de contrôle Les accréditeurs ne doivent pas être en situation de concurrence entre eux Les accréditeurs ne doivent pas être en situation de concurrence avec les organismes qu ils accréditent ISO/CEI a) 7

8 Indépendance la décision ne peut être prise par la même personne que celle qui a réalisé l évaluation il est important de garantir que l organisme d accréditation agit dans l intérêt commun et ne privilégie aucun intérêt 8

9 Impartialité Participation de toutes les parties concernées, aux différentes décisions Pouvoirs Publics, Consommateurs Entreprises acheteuses de prestations accréditées Organismes Accrédités OECs 9

10 Objectifs Promouvoir la reconnaissance aux niveaux national, européen et international du système national. Représenter les intérêts des organismes et signer des accords de reconnaissance d équivalence. Développer la confiance du marché dans les prestations réalisées dans le cadre des accréditations. i 10

11 Création: ILAC The International ti Laboratory Accreditation Cooperation Etablie en 1977 afin de promouvoir la communication i entre les organismes nationaux d accréditation de laboratoires notamment : Reconnaissance de laboratoires compétents, essai s et étalonnages ainsi que des organismes d'inspection dans le monde entier Développement de l harmonisation des pratiques d'accréditation. Promotion de l'accréditation de laboratoire comme un outil de facilitation des échanges commerciaux. Aide au développement de systèmes d'accréditation de laboratoire 11

12 Les organismes d accréditation à travers le monde ALGERIE ALGERAC 12

13 Rôle Reconnaissance d organismes de certification compétents, ainsi que des organismes d'inspection dans le monde entier Développement de l harmonisation des pratiques d'accréditation. Assurer que ses membres accréditent seulement les organismes qui sont compétents pour les activités identifiées (certification et inspection) et ne sont pas soumis à des conflits d'intérêt Établir des dispositions de reconnaissance mutuelles entre ses membres - organisme d'accréditation - qui réduisent le risque. L'assurance qu'un certificat d accréditation délivré puisse être accepté n'importe où dans le monde 13

14 Les Accords Multilatéraux té de Reconnaissance Mutuelle Les Accords Multilatéraux au niveau mondial (ILAC et IAF) sont basés essentiellement sur les accords gérés é par les organisations régionales, de façon que les organismes d accréditation signataires des accords régionaux sont signataires des accords ILAC et IAF à la fois. 14

15 Le nouveau cadre législatif Européen Le nouveau cadre législatif Européen : Règlement (EC) 765/2008 portant la «Définition des exigences pour l accréditation et la surveillance sur le marché» et de la Décision 768/2008/EC portant «Sur un cadre commun pour la commercialisation des produits», applicable à partir du 1 Janvier Le règlement ne permet plus les accréditations transfrontalières ( Les organismes d accréditation doivent limiter l activité d accréditation transfrontière aux cas prévus par le règlement). 15

16 ALGERAC Décret exécutif n du 4 Dhou El Kaada décembre 2005 l'organisme algérien d'accréditation «ALGERAC» relatif à sa création, son organisation et son fonctionnement - placé sous la tutelle du ministère de l industrie et de la promotion des investissements STATUTS : Etablissement public à caractère industriel et commercial, doté de la personnalité morale et de l'autonomie Financière (EPIC). 16

17 Missions l accréditation de tout organisme d évaluation de la conformité (OEC). Mettre en place les règles et procédures relatives à l accréditation des organismes d évaluation de la conformité; Examiner les demandes et délivrer les décisions d accréditation aux organismes d évaluation de la conformité, conformément aux normes nationales et internationales pertinentes ; 17

18 Objectifs Harmoniser les différentes pratiques d évaluation des OEC Développer la confiance du marché national dans les prestations réalisées dans le domaine de l accréditation, Promouvoir la reconnaissance, au niveau International, des évaluations et accréditations réalisées par le système Algérien. Représenter les intérêts des organismes Algériens et signer des accords de reconnaissance d équivalence. 18

19 Normes de référence qui s appliquent aux domaines d accréditation ALGERAC ISO/CEI Laboratoires Essais /analyse Etalonnage ISO/CEI 17025, ISO15189 Organismes d Inspection Examen des : - matériels, - produits, - installations, i - usines, - processus, -procédures de travail ou services Organismes de Certification Système, Produits, Personnes ISO/CEI 17021, Guide ISO/CEI 65 ISO /CEI ISO/CEI

20 Organisation et Fonctionnement d ALGERAC Cycle d une accréditation La première accréditation i est valable trois ans, moyennant des visites de surveillance annuelles Elle peut être renouvelée pour des périodes de quatre ans, moyennant des visites de surveillance annuelles Et moyennant une visite de renouvellement 20

21 Etat actuel des institutions en charge de la qualité Les institutions de la qualité qui couvrent plusieurs fonctions (comme la normalisation, la certification, l accréditation et la métrologie) restent insuffisantes et ne correspondent pas encore aux exigences internationales. 21

22 Pour l activité d accréditation Résultats t des évaluation en COACHING : Les évaluations en coaching réalisées sur un échantillonnage représentatif des organismes d évaluation de la conformité (OEC) à savoir les laboratoires, organismes d inspection et de certification ayant entamé la mise en place d un système de management de la qualité et/ou des référentiels d accréditation a révélé que ces organismes qui sont considérés comme des demandeurs potentiels : 1. Disposent d un système encore jeune qui ne répond pas forcément aujourd hui au référentiel international d accréditation: ISO/CEI 17025/2005 pour les laboratoires. 2. Pour les organismes d inspection, pour ceux qui disposent d un système qualité, ce dernier répond beaucoup plus aux exigences de la norme de certification de système de management qualité ISO 9001/2000, et n ont pas entamé la mise en place du référentiel international d accréditation spécifique aux organismes d inspection: ISO/CEI 17020/1998 ; 22

23 Les mesures à préconiser 1. Renforcer les institutions en charge de la normalisation, l accréditation accréditation, la métrologie, et les institutions de certification et de propriété industrielle 2. Mise en place d un «point focal qualité» qui regrouperait toutes les informations traitant de la qualité, qui assurerait la coordination de toutes les structures d appui à la démarche «qualité», qui orienterait les entreprises vers le service et/ou l institution i i en mesure de répondre à ses besoins pour travailler tant sur le marché national qu à l exportation 23

24 Pour cela, la responsabilité des pouvoirs Publics est totalement engagée, ils devraient: - Clarifier la place et le rôle de l infrastructure qualité dans la stratégie industrielle initiée par les pouvoirs publics; - Repenser l organisation et le fonctionnement des fonds inscrits auprès des différents ministères et assurer une meilleures coordination entre les responsables en charge de la gestion de ces fonds; - La sensibilisation des organismes d évaluation de la conformité et surtout des structures ministérielles chargées de la délivrance des agréments pour l exercice de la fonction d évaluation de la conformité, notamment les organismes travaillant pour le compte de l Etat. 24

25 LA COOPERATION INTERNATIONALE : En effet, de grands efforts ont été déployés durant la période 2007,2008 et 2009 en direction des organismes de la coopération internationale en vue de mobiliser l expertise nécessaire à l accompagnement d ALGERAC, il s agit des programmes de coopération finalisés comme suit : 1. LE PROJET JUMELAGE L elaboration de la fiche technique Jumelage et le choix de l Etat membre de l Union Européenne,permettra aux institutions algériennes en charge de la qualité une mise à niveau réelle conformément aux exigences des accords ACCAs. 2. LE PROGRAMME PME II Le Ministère de la Petite et Moyenne Entreprise et de l Artisanat (MPMEA), le Ministère de l Industrie et de la Promotion des Investissements (MIPI) et le Ministère de la Poste et des Technologies de l Information et de la Communication (MPTIC), et leurs agences et autres organismes sous tutelle, constituent les bénéficiaires institutionnels principaux du Programme. 3. LA COOPERATION BILATERALE Actions de formation et de perfectionnement à l adresse des futurs évaluateurs d ALGERAC: Dans le cadre de la coopération Bilatérale l avec l AFNOR- France. 25

26 En somme, la création d ALGERAC et les avantages attendus de la coopération internationale devront créer les conditions nécessaires pour une infrastructure qualité efficiente, capable de répondre aux attentes des pouvoirs publics, protéger les intérêts économiques du pays et assurer une protection du consommateur et de l environnement. L'obtention de l accréditation par un OEC (Organisme d évaluation de la Conformité) qu il soit laboratoire, organisme d inspection ou bien organisme de certification, signifie qu il a atteint un niveau de compétence technique prescrit pour effectuer des types particuliers d essai,de mesure, d étalonnage,d inspection,ou de certification. Il en résulte une assurance que l OEC en question a la capacité de produire des données précises,traçables et reproductibles. 26

27 Merci de votre attention ti Tel : / Mob : Fax : contact@algerac.org laboratoire@algerac.org l inspection@algerac.org certification@algerac.orgorg

TABLE DE MATIERES. Pourquoi les Organisations doivent-elles être accréditées?...

TABLE DE MATIERES. Pourquoi les Organisations doivent-elles être accréditées?... TABLE DE MATIERES Qu est-ce que SADCAS? Pourquoi les Organisations doivent-elles être accréditées?... En quoi les Organismes d Accréditation peuvent être bénéfiques jusqu aux derniers utilisateurs?.. Le

Plus en détail

FLEGT Note d Information

FLEGT Note d Information Série 20 Note FLEGT Note APPLICATION DES REGLEMENTATIONS FORESTIERES, GOUVERNANCE ET ECHANGES COMMERCIAUX Directives sur le Contrôle Indépendant INTRODUCTION Le Plan d action de l UE pour l application

Plus en détail

Organisme luxembourgeois de normalisation (OLN)

Organisme luxembourgeois de normalisation (OLN) Présentation des différents services de l Institut luxembourgeois de la normalisation, de l accréditation, de la sécurité et qualité des produits et services ILNAS Conférence de presse 22 septembre 2008

Plus en détail

République Algérienne Démocratique et Populaire

République Algérienne Démocratique et Populaire République Algérienne Démocratique et Populaire Programme d Appui à la mise en œuvre de l Accord d Association (P3A) République Algérienne Démocratique et Populaire - UE Fiche de Jumelage léger RENFORCEMENT

Plus en détail

GUIDE sur le bon usage

GUIDE sur le bon usage GUIDE sur le bon usage de l accréditation dans la réglementation GUIDE SUR LE BON USAGE DE L ACCREDITATION DANS LA REGLEMENTATION Ce guide est destiné aux personnes en charge de : la rédaction des textes

Plus en détail

N o 6315 CHAMBRE DES DEPUTES. Session ordinaire 2010-2011 PROJET DE LOI

N o 6315 CHAMBRE DES DEPUTES. Session ordinaire 2010-2011 PROJET DE LOI 29.9.2011 N o 6315 CHAMBRE DES DEPUTES Session ordinaire 2010-2011 PROJET DE LOI portant réorganisation de l Institut luxembourgeois de la normalisation, de l accréditation, de la sécurité et qualité des

Plus en détail

ATTESTATION D ACCREDITATION ACCREDITATION CERTIFICATE. N 1-2122 rév. 2

ATTESTATION D ACCREDITATION ACCREDITATION CERTIFICATE. N 1-2122 rév. 2 Convention N 3018 Section Laboratoires ATTESTATION D ACCREDITATION ACCREDITATION CERTIFICATE N 1-2122 rév. 2 Le Comité Français d'accréditation (Cofrac) atteste que : The French Committee for Accreditation

Plus en détail

ARCHITECTURE ET FONCTIONNEMENT DE LA NORMALISATION. Journée du 22-06-2005 sur la Normalisation dans les Transports Publics

ARCHITECTURE ET FONCTIONNEMENT DE LA NORMALISATION. Journée du 22-06-2005 sur la Normalisation dans les Transports Publics ARCHITECTURE ET FONCTIONNEMENT DE LA NORMALISATION Journée du 22-06-2005 sur la Normalisation dans les Transports Publics DEFINITION D UNE NORME UNE NORME EST UN DOCUMENT : *ETABLI PAR CONSENSUS ET APPROUVE

Plus en détail

Documentation du système de management de la qualité

Documentation du système de management de la qualité Documentation du système de management de la qualité ISO/IEC 17025:2005 ISO/TR 10013:2001 Formation Assurance Qualité LNCM, Rabat 27-29 Novembre 2007 Marta Miquel, EDQM-CoE 1 ISO/TR 10013:2001 Lignes directrices

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES À L USAGE DES ORGANISMES RÉALISANT LA CERTIFICATION DE SYSTÈMES DE QUALITÉ POUR LES PROGRAMMES DE CONTRÔLE DU DOPAGE

LIGNES DIRECTRICES À L USAGE DES ORGANISMES RÉALISANT LA CERTIFICATION DE SYSTÈMES DE QUALITÉ POUR LES PROGRAMMES DE CONTRÔLE DU DOPAGE PROGRAMME MONDIAL ANTIDOPAGE LIGNES DIRECTRICES À L USAGE DES ORGANISATIONS ANTIDOPAGE DÉVELOPPANT DES BONNES PRATIQUES POUR LES PROGRAMMES DE CONTRÔLE DU DOPAGE LIGNES DIRECTRICES À L USAGE DES ORGANISMES

Plus en détail

Réglementation. Import/Export CHAPITRE 6

Réglementation. Import/Export CHAPITRE 6 CHAPITRE 6 Réglementation Import/Export Dans ce chapitre: Rubriques / pages Prescriptions du Traité/ 187 Mesures Législatives et Administratives / 191 Conformité / 194 Diffusion / 196 Programme d Assistance

Plus en détail

INVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur.

INVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur. INVESTIR AU TCHAD POURQUOI INVESTIR AU TCHAD Des Potentialités Economiques Enormes Un Environnement Politique et Economique Favorable Une Activité Economique Réglementée Un Cadre Indicatif Favorable. DES

Plus en détail

Convention. Entre. ci-après désignée «Bureau de Business France en Pologne» d une part,

Convention. Entre. ci-après désignée «Bureau de Business France en Pologne» d une part, Convention Entre Business France établissement public industriel et commercial, immatriculé au Registre du commerce et des sociétés de Paris sous le numéro 451 930 051, dont le siège social est sis 77

Plus en détail

POLITIQUE ET LIGNES DIRECTRICES EN MATIERE DE TRACABILITE DES RESULTATS DE MESURE

POLITIQUE ET LIGNES DIRECTRICES EN MATIERE DE TRACABILITE DES RESULTATS DE MESURE BELAC 2-003 Rev 1-2014 POLITIQUE ET LIGNES DIRECTRICES EN MATIERE DE TRACABILITE DES RESULTATS DE MESURE Les versions des documents du système de management de BELAC telles que disponibles sur le site

Plus en détail

GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES

GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES REPUBLIQUE DU BENIN MINISTERE DE LA DECENTRALISATION, DE LA GOUVERNANCE LOCALE, DE L ADMINISTRATION ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES Elaboré par la Direction Générale

Plus en détail

REFERENTIEL DE CERTIFICATION

REFERENTIEL DE CERTIFICATION REFERENTIEL DE CERTIFICATION Référentiel I4 NF 285 Edition : Janvier 2015 N de révision : 4 ORGANISMES CERTIFICATEURS CNPP Cert. Route de la Chapelle Réanville CD 64 - CS 22265 F- 27950 SAINT-MARCEL Tél.

Plus en détail

PROTOCOLE D ENTENTE ENTRE LA COMMISSION CANADIENNE DE SÛRETÉ NUCLÉAIRE. (représentée par le président) LE MINISTÈRE DE LA DÉFENSE NATIONALE

PROTOCOLE D ENTENTE ENTRE LA COMMISSION CANADIENNE DE SÛRETÉ NUCLÉAIRE. (représentée par le président) LE MINISTÈRE DE LA DÉFENSE NATIONALE MDN : 2011010001 CCSN : 3639875 PROTOCOLE D ENTENTE ENTRE LA COMMISSION CANADIENNE DE SÛRETÉ NUCLÉAIRE (représentée par le président) ET LE MINISTÈRE DE LA DÉFENSE NATIONALE (représenté par le sous-ministre

Plus en détail

GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE

GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE Actualisation Mai 2012 Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE

Plus en détail

La boîte à outils de l évaluation de la conformité

La boîte à outils de l évaluation de la conformité La boîte à outils de l évaluation de la conformité La boîte à outils de l évaluation de la conformité Sommaire i) À propos de l ISO ii) À propos de l ONUDI 1 2 50 Chapitre 3 Systèmes particuliers et systèmes

Plus en détail

CARTE PROFESSIONNELLE DECLARATION PREALABLE D ACTIVITE

CARTE PROFESSIONNELLE DECLARATION PREALABLE D ACTIVITE Annexe 1 ACTIVITES IMMOBILIERES DE LA LOI HOGUET (Loi n 70-9 du 2 janvier 1970 décret n 72-678 du 20 juillet 1972) N 15312*01 DEMANDE DE CARTE PROFESSIONNELLE Souscrite par le demandeur de la carte DEMANDE

Plus en détail

IPMA 1. Le référentiel 2. Les processus de certification. Claude Marguerat, IPMA-B www.formationcoaching.ch Congrès des 23 et 24 avril 2014

IPMA 1. Le référentiel 2. Les processus de certification. Claude Marguerat, IPMA-B www.formationcoaching.ch Congrès des 23 et 24 avril 2014 IPMA 1. Le référentiel 2. Les processus de certification Claude Marguerat, IPMA-B www.formationcoaching.ch Congrès des 23 et 24 avril 2014 (c) C. Marguerat avril 2014 2 1.Se certifier, quel intérêt? 2.IPMA

Plus en détail

La mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables

La mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables La mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables Cycle de Conférence à la Cour de Cassation 21 février 2005 Alain Duchâteau Directeur de la Surveillance Générale

Plus en détail

JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE N 05

JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE N 05 8 Article 1er. Le présent décret a pour objet de modifier le décret exécutif n 11-19 du 20 Safar 1432 correspondant au 25 janvier 2011, susvisé. Art. 2. La dénomination de la «direction de wilaya de l'industrie,

Plus en détail

D ITIL à D ISO 20000, une démarche complémentaire

D ITIL à D ISO 20000, une démarche complémentaire D ITIL à D ISO 20000, une démarche complémentaire www.teamup-consulting.com Teamup Consulting - 1 Certificat nºinf/2007/29319 1 ère société de conseil française certifiée ISO 20000-1:2011 Sommaire Introduction

Plus en détail

CHARTE des RELATIONS. entre. les PARTENAIRES. La BANQUE ALIMENTAIRE. BEARN et SOULE

CHARTE des RELATIONS. entre. les PARTENAIRES. La BANQUE ALIMENTAIRE. BEARN et SOULE CHARTE des RELATIONS entre les PARTENAIRES de La BANQUE ALIMENTAIRE en BEARN et SOULE 2 PRÉAMBULE La présente CHARTE vise à définir les relations entre les partenaires sur la base de principes partagés

Plus en détail

OBJECTIFS. Objectif général

OBJECTIFS. Objectif général Le Programme d action pour la promotion et le financement des PME dans l UEMOA est une déclinaison de la Politique Industrielle Commune (PIC) de l UEMOA. Il vise la création de mécanismes de financement

Plus en détail

CATALOGUE DES FORMATIONS

CATALOGUE DES FORMATIONS F O R M A T I O N S 2012 CATALOGUE DES FORMATIONS Faire une différence! www.aqiglobal.org Vos compétences Système de management, Automobile, Secteur Pharmaceutique Notre priorité B ienvenue au monde de

Plus en détail

Présentation de l assurance maladie au Burkina Faso

Présentation de l assurance maladie au Burkina Faso Présentation de l assurance maladie au Burkina Faso Introduction, contexte Le Burkina Faso fait partie des pays d Afrique de l ouest où les indicateurs de santé publique restent des bas et où l espérance

Plus en détail

REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL A DES FINS STATISTIQUES

REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL A DES FINS STATISTIQUES REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL A DES FINS STATISTIQUES UNITES ET VARIABLES A REPERTORIER SEMINAIRE DU CEFIL SUR L AVANCEMENT DES TRAVAUX CONCERNANT LA MISE EN PLACE D UN REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL

Plus en détail

MICRO-CRÉDIT ET CROWDFUNDING AUJOURD HUI

MICRO-CRÉDIT ET CROWDFUNDING AUJOURD HUI MICRO-CRÉDIT ET CROWDFUNDING AUJOURD HUI 16 janvier 2015 Prêts distribués en micro-crédit Crédits distribués (en cours) Prêt moyen accordé Le conseil en investissement participatif «Art. L. 547-1.-I. Les

Plus en détail

HARMONISEZ VOTRE. Insidjam ERP

HARMONISEZ VOTRE. Insidjam ERP HARMONISEZ VOTRE ENTREPRISE AVEC... Insidjam ERP Améliorez la performance de votre entreprise avec ERP Personnalisée et Supportée par IT Solutions, cette version Algérienne d'openerp, qui est le logiciel

Plus en détail

La normalisation : outil d intelligence. économique. Sommaire. Quelques principes de base

La normalisation : outil d intelligence. économique. Sommaire. Quelques principes de base La normalisation : un outil intelligence novembre 2010 Catherine Lubineau 2010 Sommaire Quelques principes e base Le système français ais e normalisation L Union e Normalisation e la Mécanique La normalisation

Plus en détail

LE CETIME votre partenaire pour le progrès et l innovation:

LE CETIME votre partenaire pour le progrès et l innovation: 1 www.cetime.ind.tn LE CETIME votre partenaire pour le progrès et l innovation: met à votre disposition des compétences et des moyens techniques pour vous assister dans vos démarches d innovation et d

Plus en détail

BELAC 2-201 Rev 5-2006. Note valable uniquement pour la version en français:

BELAC 2-201 Rev 5-2006. Note valable uniquement pour la version en français: BELAC 2-201 Rev 5-2006 CRITERES GENERAUX ET LIGNES DIRECTRICES POUR LA MISE EN OEUVRE DE LA NORME NBN EN ISO/IEC 17020 PAR LES ORGANISMES D'INSPECTION CANDIDATS A UNE ACCREDITATION. Note valable uniquement

Plus en détail

Technologies de l information Techniques de sécurité Systèmes de management de la sécurité de l information Vue d ensemble et vocabulaire

Technologies de l information Techniques de sécurité Systèmes de management de la sécurité de l information Vue d ensemble et vocabulaire NORME INTERNATIONALE ISO/CEI 27000 Troisième édition 2014-01-15 Technologies de l information Techniques de sécurité Systèmes de management de la sécurité de l information Vue d ensemble et vocabulaire

Plus en détail

Crowdfunding. Présentation conférence EIFR -18 décembre2014

Crowdfunding. Présentation conférence EIFR -18 décembre2014 Crowdfunding Présentation conférence EIFR -18 décembre2014 Marie-Agnès NICOLET Présidente fondatrice de Regulation Partners marieagnes.nicolet@regulationpartners.com +33.6.58.84.77.40 / +33.1.46.22.65.34

Plus en détail

Food Safety System Certification 22000. fssc 22000

Food Safety System Certification 22000. fssc 22000 Food Safety System Certification 22000 fssc 22000 CERTIFICATION DES SYSTÈMES DE SÉCURITÉ ALIMENTAIRE 22000 Le protocole de certification des systèmes de sécurité alimentaire 22000 (FSSC 22000) est un protocole

Plus en détail

Proposition Technique et Financière (PTF) pour un raccordement au réseau de distribution d électricité

Proposition Technique et Financière (PTF) pour un raccordement au réseau de distribution d électricité Proposition Technique et Financière (PTF) pour un raccordement au réseau de distribution d électricité Résumé Ce modèle présente les composantes techniques et financières de la proposition de raccordement

Plus en détail

1. PROJETS COMMUNS POUR LA MOBILITE DES CHERCHEURS

1. PROJETS COMMUNS POUR LA MOBILITE DES CHERCHEURS AVIS D'APPEL A PROJETS DE RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE DANS LE CADRE DU PROTOCOLE EXECUTIF DE COOPERATION SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE ENTRE L'ITALIE ET L'ALGERIE POUR LES ANNEES 2014-2016

Plus en détail

de faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.

de faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance. 9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation

Plus en détail

ARRETES, DECISIONS ET AVIS

ARRETES, DECISIONS ET AVIS 9 ARRETES, DECISIONS ET AVIS Arrêté du 12 Chaoual 1430 correspondant au 1er octobre 2009 relatif à la souscription de la déclaration et à la délivrance de l attestation pour les transferts de fonds vers

Plus en détail

JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE N 42 11

JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE N 42 11 JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE N 42 11 Décret présidentiel n 14-196 du 8 Ramadhan 1435 correspondant au 6 juillet 2014 portant organisation et gestion de la formation et du perfectionnement

Plus en détail

ACCREDITATION CERTIFICATE. N 3-0810 rév. 7. 1.2.3.4.5 ETOILES DE FRANCE 11 rue des carrières 34430 SAINT JEAN DE VEDAS SIREN : 525195665

ACCREDITATION CERTIFICATE. N 3-0810 rév. 7. 1.2.3.4.5 ETOILES DE FRANCE 11 rue des carrières 34430 SAINT JEAN DE VEDAS SIREN : 525195665 Section Inspection ATTESTATION D ACCREDITATION ACCREDITATION CERTIFICATE Le Comité Français d'accréditation atteste que : The French Committee for Accreditation certifies that : N 3-0810 rév. 7 1.2.3.4.5

Plus en détail

ACCORD DU 27 NOVEMBRE 2013

ACCORD DU 27 NOVEMBRE 2013 MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3364 Convention collective nationale RÉGIME SOCIAL DES INDÉPENDANTS IDCC : 2796. Personnel de direction Brochure

Plus en détail

ATTESTATION D ACCREDITATION. N 2-1528 rév. 2

ATTESTATION D ACCREDITATION. N 2-1528 rév. 2 Convention N 1478 Section Laboratoires ATTESTATION D ACCREDITATION ACCREDITATION CERTIFICATE N 2-1528 rév. 2 Le Comité Français d'accréditation (Cofrac) atteste que : The French Committee for Accreditation

Plus en détail

Parmi elles, deux ont accédé à un statut véritablement mondial et sont aujourd hui entièrement intégrées à l économie mondiale :

Parmi elles, deux ont accédé à un statut véritablement mondial et sont aujourd hui entièrement intégrées à l économie mondiale : Norme ISO ISO signifie International Standards Organization. Il s agit de l organisation internationale de normalisation, qui chapeaute tous les organismes de normalisation nationaux et internationaux.

Plus en détail

FEDERATION DE RUSSIE Certification GOST R INTRODUCTION OBJECTIFS PRINCIPAUX DE LA CERTIFICATION GOST R CERTIFCAT DE CONFORMITE GOST R

FEDERATION DE RUSSIE Certification GOST R INTRODUCTION OBJECTIFS PRINCIPAUX DE LA CERTIFICATION GOST R CERTIFCAT DE CONFORMITE GOST R INTRODUCTION La certification GOST R a été instaurée par le gouvernement russe en 1993 avec l objectif principal d assurer la sécurité et de protéger la santé et l environnement de la population russe.

Plus en détail

Conditions pour la souscription du contrat assurance obsèques :

Conditions pour la souscription du contrat assurance obsèques : ASSURANCE RAPATRIEMENT DE CORPS «AMANA» Formules de souscription : L assurance rapatriement de corps «AMANA», peut être souscrite selon les formules suivantes : Souscriptions individuelles et formules

Plus en détail

Loi n 2013-504 du 14 juin 2013 relative à la sécurisation de l emploi

Loi n 2013-504 du 14 juin 2013 relative à la sécurisation de l emploi Loi n 2013-504 du 14 juin 2013 relative à la sécurisation de l emploi Généralisation de la complémentaire santé pour les salariés Portabilité des droits www.harmonie-mutuelle.fr L accès aux soins pour

Plus en détail

ANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL

ANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL ANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL EXPERIENCES PROFESSIONNELLES Détail des expériences Responsable qualité association secteur SMS : - Conception, mise en œuvre, animation et

Plus en détail

Curriculum Vitae. X Mise à jour. CV mis à jour le (DATE) : 10/08/09 PRENOM NADIA NOM ATROUN. Date de Tél. 0771 13 63 29 17 Avenue de pékin EL MOURADIA

Curriculum Vitae. X Mise à jour. CV mis à jour le (DATE) : 10/08/09 PRENOM NADIA NOM ATROUN. Date de Tél. 0771 13 63 29 17 Avenue de pékin EL MOURADIA Adresse Date de Tél. 0771 13 63 29 17 Avenue de pékin EL MOURADIA naissance ALGER Civilité (M., Mme, Fax Mlle) Code postal et ville 16000 ALGER E-mail nadiaatroun@hotmail.com Pays ALGERIE Expériences professionnelles

Plus en détail

FONDS DE SOUTIEN À L INNOVATION. Règlement du Programme d Appui à l Innovation et au Développement Technologique PTR - Appel à projet ouvert -

FONDS DE SOUTIEN À L INNOVATION. Règlement du Programme d Appui à l Innovation et au Développement Technologique PTR - Appel à projet ouvert - FONDS DE SOUTIEN À L INNOVATION Règlement du Programme d Appui à l Innovation et au Développement Technologique PTR - Appel à projet ouvert - 2014 Sommaire 1. Introduction!... 3 2. Règles de participation!...

Plus en détail

Aix-en-Provence, le 4 octobre 2012

Aix-en-Provence, le 4 octobre 2012 Rectorat Division des examens et concours 2.03 Dossier suivi par Manuella Lecomte Téléphone : 04 42 91 72 01 Fax : 04 42 38 73 45 Mél. manuella.lecomte @ac-aix-marseille.fr Place Lucien Paye 13621 Aix-en-Provence

Plus en détail

Argumentaire du Développement de la Couverture Universelle en Santé au Niger

Argumentaire du Développement de la Couverture Universelle en Santé au Niger Argumentaire du Développement de la Couverture Universelle en Santé au Niger Dr HIM & AGK Niamey, avril 2014 P a g e 1 Introduction La Constitution nigérienne du 25 Novembre 2010 dispose, en son article

Plus en détail

Accréditation Certification Normalisation-Métrologie Promotion de la qualité

Accréditation Certification Normalisation-Métrologie Promotion de la qualité pour une meilleure intégration au commerce international pour une meilleure intégration au commerce international initiative pour le renforcement des capacités commerciales Programme qualité UEMOA Accréditation

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR

BREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR DIRECTION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR BREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR «Services et prestations des secteurs sanitaire et social» Septembre 2007 Arrêté portant définition et fixant les conditions

Plus en détail

MEMENTO Version 0.94 25.08.04

MEMENTO Version 0.94 25.08.04 PREMIER MINISTRE Secrétariat général de la défense nationale Direction centrale de la sécurité des systèmes d information Sous-direction des opérations Bureau conseil Signature électronique Point de situation

Plus en détail

REF01 Référentiel de labellisation des laboratoires de recherche_v3

REF01 Référentiel de labellisation des laboratoires de recherche_v3 Introduction Le présent référentiel de labellisation est destiné aux laboratoires qui souhaitent mettre en place un dispositif de maîtrise de la qualité des mesures. La norme ISO 9001 contient essentiellement

Plus en détail

Rapport BOP 1.2 «Paiements transfrontaliers exécutés pour compte de la clientèle résidente»

Rapport BOP 1.2 «Paiements transfrontaliers exécutés pour compte de la clientèle résidente» Rapport BOP 1.2 «Paiements transfrontaliers exécutés pour compte de la Banque centrale du Luxembourg Sommaire 1 Introduction...3 2 Population déclarante...3 3 Périodicité et délai de communication...3

Plus en détail

Politique d'enregistrement.eus

Politique d'enregistrement.eus Politique d'enregistrement.eus Définitions Cette politique d'enregistrement établi les termes et conditions générales régissant les enregistrements de nom de domaine.eus. Dans cette Politique d'enregistrement

Plus en détail

LA VALEUR AJOUTEÉ DE LA TIERCE PARTIE EN INSPECTION ET CERTIFICATION

LA VALEUR AJOUTEÉ DE LA TIERCE PARTIE EN INSPECTION ET CERTIFICATION INTERNATIONAL CONFEDERATION OF INSPECTION AND CERTIFICATION ORGANISATIONS LA VALEUR AJOUTEÉ DE LA TIERCE PARTIE EN INSPECTION ET CERTIFICATION QUI SOMMES NOUS ET QUE FAISONS NOUS? CEOC international est

Plus en détail

L'opérateur Économique Agréé

L'opérateur Économique Agréé file:///c:/documents%20and%20settings/mbull/bureau/aeo_final%20cs.jpg file:///d:/abartala/monbureau/présentation/aeo_final%20cs.jpg L'opérateur Économique Agréé 1 CLUB DE L'INTERNATIONAL D'AUVERGNE Nouveau

Plus en détail

Harmonisation comptable et mondialisation Alain B urlaud, Professeur au Conservatoire national des arts et metiers

Harmonisation comptable et mondialisation Alain B urlaud, Professeur au Conservatoire national des arts et metiers Harmonisation comptable et mondialisation Alain B urlaud, Professeur au Conservatoire national des arts et metiers Christian Hoarau, Professeur a l'institut d'administration des entreprises de Paris La

Plus en détail

COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet

COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet Les bourses d études ou de stages sont financées par la coopération belge dans le cadre d un accord de coopération

Plus en détail

UNITE U 6.2 : PROJET TECHNIQUE OBJET DE L'EPREUVE.

UNITE U 6.2 : PROJET TECHNIQUE OBJET DE L'EPREUVE. UNITE U 6.2 : PROJET TECHNIQUE OBJET DE L'EPREUVE. Cette épreuve permet de valider les compétences C1, C2, C3 et T2 du référentiel au travers de la démarche de projet 15 que le candidat aura mis en œuvre.

Plus en détail

OBJECTIF DU GUIDE 1-L ENCADREMENT JURIDIQUE DES ACTIVITES D ASSURANCE

OBJECTIF DU GUIDE 1-L ENCADREMENT JURIDIQUE DES ACTIVITES D ASSURANCE OBJECTIF DU GUIDE Présenter au public et en particulier aux investisseurs, les règles de constitution et de fonctionnement des organismes d assurance. Arrêté n 2005-0773 du 14 décembre 2005 fixant les

Plus en détail

Le projet de système des paiements en euros

Le projet de système des paiements en euros Jean-François Pons, Fédération Bancaire Française Le projet de système des paiements en euros (SEPA) =Single Euro Payment Area Conférence de l Union des banques du Maghreb sur la carte bancaire, Hammamet,

Plus en détail

Convention européenne sur la promotion d'un service volontaire transnational à long terme pour les jeunes

Convention européenne sur la promotion d'un service volontaire transnational à long terme pour les jeunes Convention européenne sur la promotion d'un service volontaire transnational à long terme pour les jeunes Strasbourg, 11.V.2000 Préambule Les Etats membres du Conseil de l'europe et les autres Etats Parties

Plus en détail

En outre 2 PDD sont impliqués dans le développement de politiques locales destinées à favoriser l'insertion des personnes handicapées.

En outre 2 PDD sont impliqués dans le développement de politiques locales destinées à favoriser l'insertion des personnes handicapées. PHOES Version : 2.0 - ACT id : 3813 - Round: 2 Raisons et Objectifs Programme de travail et méthodologie Dispositions financières Dispositions organisationnelles et mécanismes décisionnels Procédures de

Plus en détail

DISPOSITIONS LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES DANS LE SECTEUR DE LA DISTRIBUTION ET DE LA GESTION DES CENTRES COMMERCIAUX

DISPOSITIONS LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES DANS LE SECTEUR DE LA DISTRIBUTION ET DE LA GESTION DES CENTRES COMMERCIAUX DISPOSITIONS LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES DANS LE SECTEUR DE LA DISTRIBUTION ET DE LA GESTION DES CENTRES COMMERCIAUX Monsieur AIT ABDERRAHMANE Abdelaziz Directeur Général de la Régulation et de l Organisation

Plus en détail

Le Projet institutionnel. (Un avenir assuré = notre ambition)

Le Projet institutionnel. (Un avenir assuré = notre ambition) VIVRE ENSEMBLE Mutuelle d Aide aux Personnes Handicapées Mentales Siège Social : 5 rue de Breuvery 78100 St Germain en Laye Tél. : 01 34 51 38 80 - Fax : 01 39 73 75 72 e-mail : direction@vivre-ensemble.fr

Plus en détail

SUJET: FORMULAIRE DE REMBOURSEMENT - INDEMNITÉ

SUJET: FORMULAIRE DE REMBOURSEMENT - INDEMNITÉ Nº DE DOSSIER: Mme./M. SUJET: FORMULAIRE DE REMBOURSEMENT - INDEMNITÉ Madame, Monsieur, EN CAS DE DEMANDE DE REMBOURSEMENT: Tous les documents devrons être envoyés à : 1. Option : Si les documents originaux

Plus en détail

Guide sur les mutuelles de formation. Règlement sur les mutuelles de formation

Guide sur les mutuelles de formation. Règlement sur les mutuelles de formation Guide sur les mutuelles de formation Règlement sur les mutuelles de formation ÉDITION AVRIL 2008 Dans le cadre d une entente de délégation prévue par la Loi sur le ministère de l Emploi et de la Solidarité

Plus en détail

PROTOCOLE D ACCORD ENTRE. MERLOT--The Multimedia Educational Repository for Learning and Online Teaching

PROTOCOLE D ACCORD ENTRE. MERLOT--The Multimedia Educational Repository for Learning and Online Teaching Centre National de Télé-enseignement de Madagascar PROTOCOLE D ACCORD ENTRE MERLOT--The Multimedia Educational Repository for Learning and Online Teaching ET Le Centre National de Télé-enseignement de

Plus en détail

compétences entrent désormais indirectement dans le champ de l accréditation 43 Janvier 2009 2 événement éditorial Les vœux du Président

compétences entrent désormais indirectement dans le champ de l accréditation 43 Janvier 2009 2 événement éditorial Les vœux du Président L E M A G A Z I N E D E L A C C R É D I T A T I O N compétences 43 Janvier 2009 éditorial Les vœux du Président état de l art Parution du LAB GTA 09 activité Nouvelles mesures relatives aux fluides frigorigènes

Plus en détail

Découvrez les valeurs de notre entreprise

Découvrez les valeurs de notre entreprise Découvrez les valeurs de notre entreprise Qu est qu une Entreprise? Structure régie par la Loi de Février 2005 : évolution de l Atelier Protégé vers le monde de l entreprise ordinaire. 80% de personnes

Plus en détail

Notre écoute et notre réactivité

Notre écoute et notre réactivité 2010 Manuel Qualité Politique qualité Notre écoute et notre réactivité sont la garantie de notre capacité à réaliser des prestations d un haut niveau de qualité. Il s agit de remplir les missions fixées

Plus en détail

Conditions Générales d Intervention du CSTB pour la délivrance d une HOMOLOGATION COUVERTURE

Conditions Générales d Intervention du CSTB pour la délivrance d une HOMOLOGATION COUVERTURE DEPARTEMENT ENVELOPPES ET REVETEMENTS Constructions Légères et Couvertures Conditions Générales d Intervention du CSTB pour la délivrance d une HOMOLOGATION COUVERTURE Livraison Cahier V1 de Mars 2010

Plus en détail

Plan d action de l ISO pour les pays en développement 2011-2015

Plan d action de l ISO pour les pays en développement 2011-2015 Plan d action de l ISO pour les pays en développement 2011-2015 ISO l Organisation internationale de normalisation L ISO comprend 163* membres qui sont les instituts nationaux de normalisation de pays

Plus en détail

TRACABILITE DANS LE SECTEUR AGROALIMENTAIRE, J-4 mois : ÊTES-VOUS PRÊTS?

TRACABILITE DANS LE SECTEUR AGROALIMENTAIRE, J-4 mois : ÊTES-VOUS PRÊTS? TRACABILITE DANS LE SECTEUR AGROALIMENTAIRE, J-4 mois : ÊTES-VOUS PRÊTS? INTRODUCTION Aujourd hui, dans un contexte de crises sanitaires et de concurrence internationale croissante au niveau du secteur

Plus en détail

Pourquoi se protéger? Croissance exponentielle des incidents. www.cert.org. 2004 Hades Security - Hadès Sécurité

Pourquoi se protéger? Croissance exponentielle des incidents. www.cert.org. 2004 Hades Security - Hadès Sécurité Cours 3 : Sécurité 160000 140000 120000 100000 80000 60000 40000 20000 0 Pourquoi se protéger? 1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 Croissance exponentielle des incidents

Plus en détail

L impact du programme de relance sur le projet régional 19/05/2009 COPIL AMOA 1

L impact du programme de relance sur le projet régional 19/05/2009 COPIL AMOA 1 L impact du programme de relance sur le projet régional 19/05/2009 COPIL AMOA 1 L Identifiant National Santé (INS) Delphin HENAFF-DARRAUD Point du programme sur l INS Le constat L absence d identifiant

Plus en détail

LEXIQUE. Extraits du document AFNOR (Association Française de Normalisation) www.afnor.fr. NF EN ISO 9000 octobre 2005

LEXIQUE. Extraits du document AFNOR (Association Française de Normalisation) www.afnor.fr. NF EN ISO 9000 octobre 2005 LEXIQUE DEFINITIONS NORMALISEES (ISO 9000) Extraits du document AFNOR (Association Française de Normalisation) www.afnor.fr NF EN ISO 9000 octobre 2005 DEFINITIONS NORMALISEES (ISO 9000) - GENERAL ISO

Plus en détail

MODALITES D'APPLICATION DE LA KEYMARK. "Refroidisseurs de lait en vrac à la ferme "

MODALITES D'APPLICATION DE LA KEYMARK. Refroidisseurs de lait en vrac à la ferme Organisme certificateur 11, avenue Francis Le Pressensé F 93571 SAINT-DENIS LA PLAINE CEDEX MODALITES D'APPLICATION DE LA KEYMARK "Refroidisseurs de lait en vrac à la ferme " N d identification AFAQ AFNOR

Plus en détail

Révision des Principes des Nations Unies pour la protection du consommateur. Dernières évolutions. Tunis, 18 mars 2014

Révision des Principes des Nations Unies pour la protection du consommateur. Dernières évolutions. Tunis, 18 mars 2014 Révision des Principes des Nations Unies pour la protection du consommateur Dernières évolutions Tunis, 18 mars 2014 Contenu Contenu des Principes Directeurs des Nations Unies pour la Protection du Consommateur

Plus en détail

ISO/CEI 19770-1. Technologies de l information Gestion des actifs logiciels. Partie 1: Procédés et évaluation progressive de la conformité

ISO/CEI 19770-1. Technologies de l information Gestion des actifs logiciels. Partie 1: Procédés et évaluation progressive de la conformité NORME INTERNATIONALE ISO/CEI 19770-1 Deuxième édition 2012-06-15 Technologies de l information Gestion des actifs logiciels Partie 1: Procédés et évaluation progressive de la conformité Information technology

Plus en détail

LES SYSTÈMES DE CONTRÔLE DE QUALITÉ (TELS QUE LE SYSTEME ISO 9000) POUR L'ÉVALUATION DES SERVICES VÉTÉRINAIRES DANS LE CADRE DU COMMERCE INTERNATIONAL

LES SYSTÈMES DE CONTRÔLE DE QUALITÉ (TELS QUE LE SYSTEME ISO 9000) POUR L'ÉVALUATION DES SERVICES VÉTÉRINAIRES DANS LE CADRE DU COMMERCE INTERNATIONAL LES SYSTÈMES DE CONTRÔLE DE QUALITÉ (TELS QUE LE SYSTEME ISO 9000) POUR L'ÉVALUATION DES SERVICES VÉTÉRINAIRES DANS LE CADRE DU COMMERCE INTERNATIONAL F. Gerster Directeur des Services vétérinaires, 4

Plus en détail

La Section Certifications

La Section Certifications La Section Certifications W : E : info@qualitascert.co.uk : La Section Certifications Our Vision: We aspire in association with our international alliances to become a premier key services & solutions

Plus en détail

ACTIVITES PROFESSIONNELLES DE FORMATION : BACHELIER EN MARKETING

ACTIVITES PROFESSIONNELLES DE FORMATION : BACHELIER EN MARKETING MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION ACTIVITES

Plus en détail

DESCRIPTION DE L ACTIVITE

DESCRIPTION DE L ACTIVITE FICHE TECHNIQUE Intitulé du métier ou de l activité : Entreprise de Gestion de Taxis Codification NAA : II 60 23 / II 63.21 Codification ONS : 60 23 / 63.21 Codification CNRC : 604 103 Inscription de l

Plus en détail

S.BAYNAUD www.haccp.fr

S.BAYNAUD www.haccp.fr Les référentiels qualité et sécurité des aliments pour les IAA Qualité Sécurité Traçabilité des Aliments 2 bis rue Lamoricière CS 10402 44104 Nantes Cedex 4 Tél : 02 51 72 11 22 Fax 02 51 72 11 33 E.mail

Plus en détail

Meilleure appréhension des marchés et du positionnement de la PME :

Meilleure appréhension des marchés et du positionnement de la PME : I Mise à niveau des Petites et Moyennes Entreprises : La mise à niveau est un défi et un enjeu qui s inscrivent dans la démarche globale d amélioration de la compétitivité de l économie nationale en général

Plus en détail

Proximité Ethique Responsabilité

Proximité Ethique Responsabilité Qu est-ce que le développement durable à l échelle de ma TPE-PME? Proximité Ethique Responsabilité cgpme-idf@wanadoo.fr-tel: 01 56 89 09 30 www.cgpme-idf.fr Salon Entreprise Durable 20 octobre 2009 Qu

Plus en détail

Vous conseiller pour les démarches clés

Vous conseiller pour les démarches clés Vous conseiller pour les démarches clés Les principales formalités DANS LES 48 H DANS LA SEMAINE DANS LE MOIS DANS LES 6 MOIS Faire la déclaration de décès au service de l Etat Civil de la mairie pour

Plus en détail

PASCAL DECARY DIRECTEUR ACHATS GROUPE REDACTEUR : BENJAMIN HULOT VERSION - DATE : V1 : 08-12-2014 DATE D APPLICATION : 01-01-2014

PASCAL DECARY DIRECTEUR ACHATS GROUPE REDACTEUR : BENJAMIN HULOT VERSION - DATE : V1 : 08-12-2014 DATE D APPLICATION : 01-01-2014 PROCEDURE DE GESTION GROUPE REPORTING ACHATS DD DAG PASCAL DECARY DIRECTEUR ACHATS GROUPE REDACTEUR : BENJAMIN HULOT VERSION - DATE : V1 : 08-12-2014 DATE D APPLICATION : 01-01-2014 OBJECTIF 1. Définition

Plus en détail

FedISA Congrès 2013 Table ronde du 17 mai "Certification d'un SAE*, normes et référentiels"

FedISA Congrès 2013 Table ronde du 17 mai Certification d'un SAE*, normes et référentiels FedISA Congrès 2013 Table ronde du 17 mai "Certification d'un SAE*, normes et référentiels" Compte-Rendu Date publication : 19/07/2013 *SAE = Système d Archivage Electronique 1 1 Introduction Le présent

Plus en détail

Les signes de qualité des entreprises du bâtiment

Les signes de qualité des entreprises du bâtiment Les signes de qualité entreprises du bâtiment Partie 1 : Les Qualifications, les Appellations Les signes de reconnaissance de la qualité acteurs sont repères (marques de certification, de, appellations,

Plus en détail

Organisme de certification de personnes et d entreprises. Certification en technologies de l information et monétique. www.it-cert.

Organisme de certification de personnes et d entreprises. Certification en technologies de l information et monétique. www.it-cert. Organisme de certification de personnes et d entreprises Certification en technologies de l information et monétique www.it-cert.eu Eric LILLO Directeur Général d IT CERT Fort de plus de vingt ans d expérience

Plus en détail

REGIME D APPUI POUR L INNOVATION DUALE RAPID CAHIER DES CHARGES

REGIME D APPUI POUR L INNOVATION DUALE RAPID CAHIER DES CHARGES REGIME D APPUI POUR L INNOVATION DUALE RAPID CAHIER DES CHARGES RAPID est un dispositif de subvention à des projets d innovation duale portés par une entreprise indépendante de moins de 2000 salariés,

Plus en détail