LES CANCERS DES VOIES AÉRODIGESTIVES SUPÉRIEURES

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LES CANCERS DES VOIES AÉRODIGESTIVES SUPÉRIEURES"

Transcription

1

2 ATLAS DE LA MORTALITÉ PAR CANCER EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ÉVOLUTION LES CANCERS DES VOIES AÉRODIGESTIVES SUPÉRIEURES UNE TRÈS NETTE SURMORTALITÉ MASCULINE Les tumeurs des voies aérodigestives supérieures (VADS) regroupent les tumeurs malignes de la bouche, du pharynx, du larynx et les localisations oesophagiennes. Malgré des facteurs de risque communs (alcool, et dans une moindre mesure le tabac), des spécificités associées au cancer de l'œsophage justifient une présentation séparée de cette localisation et des autres cancers des VADS. Pour l ensemble de ces cancers, responsables de près de décès en 2004, la surmortalité masculine est un fait majeur, et ce malgré une diminution des écarts entre sexes depuis la fin des années LES CANCERS DE L ŒSOPHAGE Codes CIM 8: «1» CIM 9: «1» CIM 10: «C15» UNE NETTE DIMINUTION DE LA MORTALITÉ POUR LES HOMMES Depuis les années 19, le nombre de décès par cancer de l œsophage stagne pour les femmes, aux alentours de 0 décès par an, alors que l incidence a progressé sur la même période [Belot et al, 2008]. En revanche, pour les hommes, les effectifs de décès diminuent depuis le milieu des années quatre-vingt. De décès annuels dans les années soixante-dix, l effectif est passé à un peu plus de décès au début des années Cette diminution se traduit également par une diminution forte des taux standardisés, divisés par 2 sur cette période. Cette décroissance est conforme à la diminution de l incidence : elle est à mettre en relation avec les changements intervenus dans les comportements alcoolotabagiques des hommes depuis les années cinquante [Bosetti et al, 2008]. Le nombre de décès masculins, comme les taux, restent cependant plus de trois fois supérieurs à ceux des femmes. Le taux de survie à 5 ans reste faible, de l ordre de 10 %. UN ENSEMBLE NORD-OUEST DE SURMORTALITÉ PERSISTANTE La géographie de la mortalité pour ce cancer reste fortement structurée, sur l ensemble de la période. Elle oppose un grand ensemble nord-ouest de surmortalité comprenant la Bretagne, la Basse Normandie et le nord des Pays de la Loire à la France méridionale en situation de sousmortalité. Même si elle est moins marquée pour les femmes, cette configuration se confirme pour les deux sexes et évolue assez peu dans le temps. Elle est proche de l organisation spatiale de la mortalité observée pour les causes de décès associées directement aux fortes consommations d alcool (cirrhoses alcooliques et psychoses alcooliques). Cette permanence traduit la persistance de comportements régionaux dans les consommations d alcool, aussi bien au niveau des fréquences de consommations que de certains modes de consommation (alcool chaud notamment), ainsi que dans les comportements nutritionnels (rôle protecteur des consommations de fruits et de légumes dans le sud de la France) [Launoy et al, 1997]. UNE NETTE AMÉLIORATION EN BRETAGNE ET EN NORMANDIE Des changements locaux importants doivent toutefois être soulignés. En Normandie, les taux diminuent plus rapidement que dans les autres régions et se rapprochent ainsi de la moyenne nationale. Le bassin rennais est également marqué par une nette amélioration de sa situation, témoignant de profonds changements sociaux et culturels. En revanche, la quasi-stagnation des taux dans le Nord-Pasde-Calais place cette région parmi les régions de nette surmortalité en fin de période. Dans les DOM, la situation est très variable. Pour les hommes, les taux ont tendance à être inférieurs à ceux de la métropole, à l exception de la Réunion où le taux de mortalité est deux fois plus élevé. Pour les femmes en revanche, à l exception de la Guyane, les taux sont systématiquement supérieurs au taux métropolitain. >>>

3 42 ATLAS DE LA MORTALITÉ PAR CANCER EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ÉVOLUTION EFFECTIFS DE DÉCÈS PAR CANCER DE L ŒSOPHAGE HOMMES/FEMMES - FRANCE MÉTROPOLITAINE TAUX STANDARDISÉS DE MORTALITÉ PAR CANCER DE L ŒSOPHAGE HOMMES/FEMMES - FRANCE MÉTROPOLITAINE

4 ATLAS DE LA MORTALITÉ PAR CANCER EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ÉVOLUTION PART DE LA MORTALITÉ PAR CANCER DE L ŒSOPHAGE DANS LES DÉCÈS PAR CANCER - HOMMES/FEMMES FRANCE MÉTROPOLITAINE >>>

5 44 ATLAS DE LA MORTALITÉ PAR CANCER EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ÉVOLUTION RATIOS STANDARDISÉS DE MORTALITÉ PAR CANCER DE L ŒSOPHAGE DES HOMMES À L ÉCHELLE DES ZONES D EMPLOI EN FRANCE MÉTROPOLITAINE = 100 (Taux = 25,0 pour hommes) 1982 = 100 (Taux = 22,3 pour hommes) % 15.80% = 100 (Taux = 18,7 pour hommes) 1999 = 100 (Taux = 13,9 pour hommes) % 19.82%

6 ATLAS DE LA MORTALITÉ PAR CANCER EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ÉVOLUTION RATIOS STANDARDISÉS DE MORTALITÉ PAR CANCER DE L ŒSOPHAGE DES FEMMES À L ÉCHELLE DÉPARTEMENTALE EN FRANCE MÉTROPOLITAINE = 100 (Taux = 2,47 pour femmes) 1982 = 100 (Taux = 2,15 pour femmes) % 16.66% = 100 (Taux = 2,11 pour femmes) 1999 = 100 (Taux = 2,04 pour femmes) % % >>>

7 46 ATLAS DE LA MORTALITÉ PAR CANCER EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ÉVOLUTION TAUX DE VARIATION ANNUEL MOYEN DE MORTALITÉ PAR CANCER DE L ŒSOPHAGE DES HOMMES À L ÉCHELLE DES ZONES D EMPLOI EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ( ) TAUX DE VARIATION ANNUEL MOYEN DE MORTALITÉ PAR CANCER DE L ŒSOPHAGE DES FEMMES À L ÉCHELLE DÉPARTEMENTALE EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ( ) Taux en % 2,93 0,00-1,43-2,29-3,20-4,43-8,11 Absence d'information Taux en % 4,22 2,11 0,00-0, -1,66-4,15-6, % 29.16%

8 ATLAS DE LA MORTALITÉ PAR CANCER EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ÉVOLUTION TAUX STANDARDISÉS DE MORTALITÉ PAR CANCER DE L ŒSOPHAGE À L ÉCHELLE DÉPARTEMENTALE EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ( ) Hommes Femmes (Taux = 12,6 pour hommes) Taux pour hommes 25,99 21,25 14,77 11,39 9,55 7,52 7,00 (Taux = 1,98 pour femmes) Taux pour femmes 3,42 3,26 2,25 1,93 1,37 0,76 0,33 25% 25% LE POINT SUR LES DONNÉES RÉCENTES DANS LES DOM EFFECTIFS, PARTS ET TAUX STANDARDISÉS DE MORTALITÉ PAR CANCER DE L OESOPHAGE DANS LES DOM HOMMES FEMMES Effectifs (1) Parts (2) Taux Effectifs (1) Parts (2) Taux moyens annuels des décès standardisés (3) moyens des décès standardisés (3) par cancer de décès annuels par cancer de décès Guadeloupe 14 4,2 10,5 3 1,5 2,4 Martinique 16 4,4 13,0 3 1,2 2,3 Guyane 1 2,5 8,7 0 Réunion 40 7,8 23,4 6 1,9 2, ,7 12, ,1 1,9 (1) valeur nulle = moins de 1 décès par an Source : CépiDC INSERM/INSEE (2) en pourcentage de tous les décès par cancer sur la période (3) Méthode directe, population de référence =, 1999, pour habitants >>>

9 48 ATLAS DE LA MORTALITÉ PAR CANCER EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ÉVOLUTION LES AUTRES CANCERS DES VADS (BOUCHE, PHARYNX ET LARYNX) Codes CIM 8: « », «161» CIM 9: « », «161» CIM 10: «C00-C14», «C32» UNE AUGMENTATION DE LA MORTALITÉ FÉMININE Les autres cancers VADS (bouche, larynx, et pharynx) sont responsables en 2004 d'environ décès masculins et de décès féminins. Les tendances sont globalement les mêmes que pour les cancers de l œsophage, avec une très nette surmortalité masculine, des effectifs de décès et des taux standardisés diminuant fortement pour les hommes dès la fin des années soixante-dix. En revanche, pour les femmes, les effectifs et les taux de mortalité augmentent légèrement, mais régulièrement sur l ensemble de la période, traduisant en partie les changements dans les comportements tabagiques féminins depuis la fin des années soixante [Belot et al, 2008]. UNE FORTE MORTALITÉ MASCULINE DANS LE NORD DE LA FRANCE Les disparités spatiales sont importantes mais les ensembles régionaux sont moins nets que pour les cancers de l œsophage. Si pour les hommes le sud-ouest et le sud-est de la France constituent des zones de faible mortalité, l ensemble nord-ouest de surmortalité ne marque pas les mêmes continuités. La Bretagne est partagée entre les espaces intérieurs (mortalité moyenne) et les zones côtières (mortalité élevée). La Normandie est en situation de mortalité moyenne, tandis que le Nord et la Picardie s affirment comme des régions de nette surmortalité. Pour les femmes, les départements les plus urbanisés (bassin parisien, pourtour méditerranéen) représentent des zones de surmortalité. Les distributions spatiales, sans se recouper entièrement, se rapprochent davantage de celles de la mortalité par cancers broncho-pulmonaires. Cette similitude renvoie au poids des pratiques tabagiques, facteurs prépondérant, dans la survenue de ces cancers. Pour les DOM, la situation est à nouveau très spécifique pour la Réunion où le taux masculin de mortalité est largement supérieur au taux métropolitain. En revanche, on ne retrouve pas la surmortalité féminine constatée pour le cancer de l œsophage. EFFECTIFS DE DÉCÈS PAR CANCER DES VOIES AÉRO-DIGESTIVES- SUPÉRIEURES - HOMMES/FEMMES - FRANCE MÉTROPOLITAINE

10 ATLAS DE LA MORTALITÉ PAR CANCER EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ÉVOLUTION TAUX STANDARDISÉS DE MORTALITÉ PAR CANCER DES VOIES AÉRO- DIGESTIVES-SUPÉRIEURES - HOMMES/FEMMES - FRANCE MÉTROPOLITAINE PART DE LA MORTALITÉ PAR CANCER DES VOIES AÉRO-DIGESTIVES-SUPÉRIEURES DANS LES DÉCÈS PAR CANCER HOMMES/FEMMES - FRANCE MÉTROPOLITAINE >>>

11 ATLAS DE LA MORTALITÉ PAR CANCER EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ÉVOLUTION RATIOS STANDARDISÉS DE MORTALITÉ PAR CANCER DES VOIES AÉRO-DIGESTIVES-SUPÉRIEURES DES HOMMES À L ÉCHELLE DES ZONES D EMPLOI EN FRANCE MÉTROPOLITAINE = 100 (Taux = 42,7 pour hommes) 1982 = 100 (Taux = 41,5 pour hommes) % 16.% = 100 (Taux = 32,9 pour hommes) 1999 = 100 (Taux = 22,4 pour hommes) % 16.37%

12 ATLAS DE LA MORTALITÉ PAR CANCER EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ÉVOLUTION RATIOS STANDARDISÉS DE MORTALITÉ PAR CANCER DES VOIES AÉRO-DIGESTIVES-SUPÉRIEURES DES FEMMES À L ÉCHELLE DÉPARTEMENTALE EN FRANCE MÉTROPOLITAINE = 100 (Taux = 2,80 pour femmes) 1982 = 100 (Taux = 2,86 pour femmes) % 16.66% = 100 (Taux = 2,81 pour femmes) 1999 = 100 (Taux = 2,61 pour femmes) % 20.83%

13 52 ATLAS DE LA MORTALITÉ PAR CANCER EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ÉVOLUTION TAUX DE VARIATION ANNUEL MOYEN DE MORTALITÉ PAR CANCER DES VADS DES HOMMES À L ÉCHELLE DES ZONES D EMPLOI EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ( ) TAUX DE VARIATION ANNUEL MOYEN DE MORTALITÉ PAR CANCER DES VADS DES FEMMES À L ÉCHELLE DÉPARTEMENTALE EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ( ) Taux en % 1,12 0,00-1,74-2,51-3,28-4,56-7,34 Absence d'information Taux en % 3,26 2,12 0,55 0,00-1,05-3,15-4, % 20.83%

14 ATLAS DE LA MORTALITÉ PAR CANCER EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ÉVOLUTION TAUX STANDARDISÉS DE MORTALITÉ PAR CANCER DES VADS À L ÉCHELLE DÉPARTEMENTALE EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ( ) Hommes Femmes (Taux = 18,5 pour hommes) Taux pour hommes 35,10 27,52 21,02 17,86 15,33 11,67 8,40 (Taux = 2,58 pour femmes) Taux pour femmes 4,26 3,55 2,92 2,42 1,98 1,24 0,60 25% 25% LE POINT SUR LES DONNÉES RÉCENTES DANS LES DOM EFFECTIFS, PARTS ET TAUX STANDARDISÉS DE MORTALITÉ PAR CANCER DES VADS DANS LES DOM HOMMES FEMMES Effectifs (1) Parts (2) Taux Effectifs (1) Parts (2) Taux moyens annuels des décès standardisés (3) moyens des décès standardisés (3) par cancer de décès annuels par cancer de décès Guadeloupe 26 7,5 20,7 3 1,2 1,8 Martinique 20 5,6 12,2 3 1,2 1,1 Guyane 3 6,5 12,8 0 Réunion 47 9,3 27,6 6 1,9 2, ,6 18, ,4 5,3 (1) valeur nulle = moins de 1 décès par an Source : CépiDC INSERM/INSEE (2) en pourcentage de tous les décès par cancer sur la période (3) Méthode directe, population de référence =, 1999, pour habitants >>>

Estimations 2014 des consommations de produits psychoactifs à 17 ans

Estimations 2014 des consommations de produits psychoactifs à 17 ans Estimations des consommations de produits psychoactifs à 17 ans Stanislas Spilka, Olivier Le Nézet et François Beck Note 2015-02 du 21 avril 2015 L enquête ESCAPAD Cette note présente les premières exploitations

Plus en détail

La Lettre de l IMSEPP

La Lettre de l IMSEPP La Lettre de l IMSEPP N 46 27 janvier 2015 Marché du travail 2014 en Martinique : Bilan d une année de demandes d emploi Page 1 16 Synthèse : Au mois de décembre 2014, la baisse tendancielle du nombre

Plus en détail

BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI

BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI DANS L ECONOMIE SOCIALE EN 2013 Cécile BAZIN Marie DUROS Amadou BA Jacques MALET Octobre 2014 INTRODUCTION Pour la septième année consécutive, l Association des Régions de

Plus en détail

Les diplômes. Session 2008

Les diplômes. Session 2008 note d informationdécembre 09.28 À la session 2008, 444 0 diplômes de l enseignement professionnel des niveaux IV et V ont été délivrés en France par le ministère de l Éducation nationale. Ce nombre atteint

Plus en détail

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards

Plus en détail

ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00

ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00 ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE Atelier de 14h30 16h00 Objectifs Identifier les zones en difficultés afin d éviter des fermetures De maintenir des effectifs suffisants dans les CFA

Plus en détail

ORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur. La santé au travail. les régions de France

ORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur. La santé au travail. les régions de France Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé ORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur La santé au travail dans les régions de France Collection

Plus en détail

3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT

3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT 3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT 3 - L offre d hébergement Définitions Dans ce chapitre sont présentés les parcs d hébergement marchand et non marchand qui constituent l offre touristique française. Le

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR

Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales

Plus en détail

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

La mobilité. Au service des Outre-mer

La mobilité. Au service des Outre-mer La mobilité Au service des Outre-mer L Agence de l Outre-mer pour la Mobilité (LADOM) est une agence d Etat au service des originaires et résidents des collectivités d outre-mer. LADOM a pour mission première

Plus en détail

Le cancer. les régions de France. dans. Mortalité Incidence Affections de longue durée Hospitalisations. Collection «Les études du réseau des ORS»

Le cancer. les régions de France. dans. Mortalité Incidence Affections de longue durée Hospitalisations. Collection «Les études du réseau des ORS» F N O R S Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé ORS de Bretagne, Franche-Comté, Languedoc-Roussillon, Limousin, Pays de la Loire, Rhône-Alpes Le cancer dans les régions de Mortalité

Plus en détail

I) Evolution de la demande d emploi mensuelle

I) Evolution de la demande d emploi mensuelle Document rédigé le 27/04/2015 LES ESSENTIELS DE L EMPLOI - Chiffres de mars 2015 Plan : I) Evolution de la demande d emploi mensuelle (pages 1 et 2) - Catégorie A - Catégorie ABC - Entrées et sorties/offres

Plus en détail

REPONSE AUX QUESTIONS PORTANT SUR LA MISE EN CONCURRENCE DES CONTRATS ACS. Document du 20 janvier 2015. I. Candidature

REPONSE AUX QUESTIONS PORTANT SUR LA MISE EN CONCURRENCE DES CONTRATS ACS. Document du 20 janvier 2015. I. Candidature REPONSE AUX QUESTIONS PORTANT SUR LA MISE EN CONCURRENCE DES CONTRATS ACS Document du 20 janvier 2015 I. Candidature Un organisme complémentaire qui ne dispose pas de l agrément dit «branche 2» peut-il

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE :

TARIFICATION BANCAIRE : TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 25 janvier 2013 Pour ce palmarès 2013, la CLCV et Mieux Vivre Votre Argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février

Plus en détail

OBSERVATOIRE DES TARIFS BANCAIRES IEDOM

OBSERVATOIRE DES TARIFS BANCAIRES IEDOM OBSERVATOIRE DES TARIFS BANCAIRES IEDOM RAPPORT D ACTIVITÉ 2011 INSTITUT D ÉMISSION DES DÉPARTEMENTS D OUTRE-MER Établissement public national 164, rue de Rivoli - 75001 PARIS Tél. 01 53 44 41 41 Rapport

Plus en détail

Données sur la mortalité par arme à feu en France

Données sur la mortalité par arme à feu en France Convention d étude INSERM DGS n 06 du 22 novembre 2002 Rapport final Mars 2004 Données sur la mortalité par arme à feu en France (statistique nationale des causes médicales de décès 1979 1999) Suicides,

Plus en détail

Observatoire des tarifs bancaires aux particuliers dans les DOM et la collectivité de Saint-Pierre-et-Miquelon

Observatoire des tarifs bancaires aux particuliers dans les DOM et la collectivité de Saint-Pierre-et-Miquelon Infos financières Avril 215 Observatoire des tarifs bancaires aux particuliers dans les DOM et la collectivité de Saint-Pierre-et-Miquelon L IEDOM établit l observatoire public des tarifs bancaires dans

Plus en détail

Synthèse. Dynamique de l emploi. L0Z-Secrétaires

Synthèse. Dynamique de l emploi. L0Z-Secrétaires L0Z-Secrétaires Synthèse En moyenne sur la période 2007-2009, 484 000 personnes exercent le métier de secrétaire, assurant des fonctions de support, de coordination, de gestion et de communication. Les

Plus en détail

la création d entreprise en nord-pas de calais

la création d entreprise en nord-pas de calais Nord-Pas de Calais N 184 SEPTEMBRE 2014 la création d entreprise en nord-pas de calais Près de 24 000 créations d entreprise en 2013 en Nord-Pas de Calais En 2013, les créations ont légèrement baissé en

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

Etude statistique des données fournies par la CCIJP

Etude statistique des données fournies par la CCIJP Etude statistique des données fournies par la CCIJP Sommaire Introduction : Stagnation du nombre de cartes accordées en 2012... 4 1. Dans quels secteurs d activité les journalistes encartés travaillent-ils?

Plus en détail

Assurances de biens et de responsabilité

Assurances de biens et de responsabilité Enquête Juin 2011 Assurances de biens et de responsabilité Inondations du Var des 15 et 16 juin 2010 Bilan chiffré au 31 mai 2011 1 LES INONDATIONS DU VAR DES 15 ET 16 JUIN 2010 SYNTHESE Les conséquences

Plus en détail

Tableau de bord Tableau de bord. Le diabète. à La Réunion

Tableau de bord Tableau de bord. Le diabète. à La Réunion Tableau de bord Tableau de bord Le diabète à La Réunion Décembre 2012 2 Sommaire Introduction 4 Définitions 6 Répertoire des sigles 7 Contexte 8 Prévalence du diabète traité à La Réunion 10 Admissions

Plus en détail

IMMOBILIER D ENTREPRISE CROISSANT OUEST POINT SECOND SEMESTRE 2013

IMMOBILIER D ENTREPRISE CROISSANT OUEST POINT SECOND SEMESTRE 2013 IMMOBILIER D ENTREPRISE CROISSANT OUEST POINT SECOND SEMESTRE 2013 68 avenue des Guilleraies 92000 NANTERRE Téléphone : 01 55 17 00 00 Fax : 09 81 70 68 48 Mail : contact@street-office.fr DECEMBRE 2013

Plus en détail

2004 2014 : un risque a chassé l autre

2004 2014 : un risque a chassé l autre 2004 2014 : un risque a chassé l autre En 10 ans, le profil des conducteurs français a évolué, leur rapport à la conduite aussi. Pour autant le poids des bons et mauvais conducteurs est resté stable, de

Plus en détail

ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires

ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com Octobre 2013 1/52 UNIVERS ETUDIE ET RAPPELS METHODOLOGIQUES

Plus en détail

Surveillance des toxi infections alimentaires collectives

Surveillance des toxi infections alimentaires collectives Nombre de foyers Surveillance des toxi infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2011 En 2011, 1 153 foyers de toxi infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés

Plus en détail

P opulation. ATLAS DES POPULATIONS IMMIGRÉES en Ile-de-France / Regards sur l immigration / Population 2. Photo : Philippe Desmazes/AFP

P opulation. ATLAS DES POPULATIONS IMMIGRÉES en Ile-de-France / Regards sur l immigration / Population 2. Photo : Philippe Desmazes/AFP P opulation Photo : Philippe Desmazes/AFP Près de 40 % des immigrés résidant en métropole vivent en Ile-de-France en 1999. Environ 15 % de la population francilienne est immigrée, c est une proportion

Plus en détail

9,8 % de l emploi 2,1 millions de salariés 203 000 établissements employeurs

9,8 % de l emploi 2,1 millions de salariés 203 000 établissements employeurs DONNÉES AU 31/12/2006 SOURCE INSEE-CLAP 1 - DÉCEMBRE 2008 Panorama de l'économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Ce document est la première publication réalisée par l Observatoire national de l

Plus en détail

REGION HAUTE-NORMANDIE

REGION HAUTE-NORMANDIE Évaluation des effets d une fusion de la Région Haute-Normandie et de la Région Basse-Normandie REGION HAUTE-NORMANDIE Évaluation des effets d une fusion de la région Haute-Normandie et de la région Basse-Normandie

Plus en détail

Mortalité observée et mortalité attendue au cours de la vague de chaleur de juillet 2006 en France métropolitaine

Mortalité observée et mortalité attendue au cours de la vague de chaleur de juillet 2006 en France métropolitaine Mortalité observée et mortalité attendue au cours de la vague de chaleur de uillet en France métropolitaine FOUILLET A 1, REY G 1, JOUGLA E, HÉMON D 1 1 Inserm, U75, Villeuif, France. Inserm CépiDc, IFR9,

Plus en détail

SECRETAIRE GENERAL H/F

SECRETAIRE GENERAL H/F SECRETAIRE GENERAL Rattaché (e) à la Direction Générale des sociétés du Groupe, vous serez en charge du suivi juridique et administratif de la holding et des filiales. Assurer le suivi juridique des sociétés

Plus en détail

Les diplômes. Session 2012

Les diplômes. Session 2012 note d information 13.05 AVRIL À la session 2012, 557 600 diplômes de l enseignement des niveaux IV et V ont été délivrés en France, dont 90 % par le ministère de l éducation nationale. 40 % de ces diplômes

Plus en détail

Fiche d application Aération. Ventilation d hygiène des pièces de service BÂTIMENTS D HABITATION NEUFS. Réglementations Thermique Acoustique Aération

Fiche d application Aération. Ventilation d hygiène des pièces de service BÂTIMENTS D HABITATION NEUFS. Réglementations Thermique Acoustique Aération Réglementations Thermique Acoustique Aération Fiche d application Aération Départements d Outre-Mer Version 1.0 Ventilation d hygiène des pièces de service BÂTIMENTS D HABITATION NEUFS Ministère de l'écologie,

Plus en détail

Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon

Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto

Plus en détail

PROTECTION ANTI-GRÊLE SUR VIGNE ET RAISIN DE TABLE

PROTECTION ANTI-GRÊLE SUR VIGNE ET RAISIN DE TABLE www.filpack-agricole.com PROTECTION ANTI-GRÊLE SUR VIGNE ET RAISIN DE TABLE POURQUOI INSTALLER DES TOILES ANTI-GRÊLE? LE SERVICE FILPACK LES DIFFERENTS SYSTEMES D INSTALLATION LE FILET ANTI-GRÊLE AVEC

Plus en détail

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013 La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité

Plus en détail

Panorama. de l économie sociale et solidaire

Panorama. de l économie sociale et solidaire Panorama de l économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Réalisée par l Observatoire National de l Economie Sociale et Solidaire, cette nouvelle édition du «Panorama de l économie sociale en France

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE :

TARIFICATION BANCAIRE : TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 30 janvier 2009 Des packages plus chers que les services à la carte dans plus de 50 % des banques, des prix globalement à la baisse

Plus en détail

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015 Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la

Plus en détail

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX

Plus en détail

RAPPORT D ACTIVITE 2002

RAPPORT D ACTIVITE 2002 1 RAPPORT D ACTIVITE 2002 C M U Fonds de financement de la protection complémentaire de la couverture universelle du risque maladie Tour Onyx 10, rue Vandrezanne 75013 PARIS SOMMAIRE SOMMAIRE... 2 AVANT

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE

TARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE TARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Pour ce palmarès 2015, 140 banques de métropole et d outre-mer ont été passées à la loupe. Les tarifs analysés? Ceux en

Plus en détail

Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010

Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010 Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010 Opportunités de croissance ou créations d entreprise, plus de 44 000 commerces ou industries

Plus en détail

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et

Plus en détail

Infos financières Avril 2013

Infos financières Avril 2013 Infos financières Avril 213 Observatoire des tarifs bancaires aux particuliers dans les DOM et la collectivité de Saint-Pierre-et-Miquelon L IEDOM établit l observatoire public des tarifs bancaires dans

Plus en détail

N 13 S É N A T. 30 octobre 2014 PROJET DE LOI

N 13 S É N A T. 30 octobre 2014 PROJET DE LOI N 13 S É N A T SESSION ORDINAIRE DE 2014-2015 30 octobre 2014 PROJET DE LOI relatif à la délimitation des régions, aux élections régionales et départementales et modifiant le calendrier électoral. (procédure

Plus en détail

LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE

LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE :

TARIFICATION BANCAIRE : TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux vivre votre argent 27 janvier 2012 Pour ce palmarès 2012, la CLCV et Mieux vivre votre argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février

Plus en détail

Tarif. Ligne Analogique. 1. Mise en service. Les prix sont indiqués en euro hors taxes.

Tarif. Ligne Analogique. 1. Mise en service. Les prix sont indiqués en euro hors taxes. Tarif Analogique Les prix sont indiqués en euro hors taxes. 1. Mise en service La mise en service inclut, au cas où l installation du Client n en possède pas, la fourniture : - d une (ou 2) prise(s) téléphonique

Plus en détail

Tarif des mutuelles santé : un écart de prix de 60% selon le département

Tarif des mutuelles santé : un écart de prix de 60% selon le département Tarif des mutuelles santé : Communiqué de presse Lille, le 1er septembre 2011 Tarif des mutuelles santé : un écart de prix de 60% selon le département Le cabinet de conseil Fact&Figures prévoyait en juillet

Plus en détail

Deuxième partie : Objectifs résultats et moyens du dernier exercice clos

Deuxième partie : Objectifs résultats et moyens du dernier exercice clos Deuxième partie : résultats et moyens du dernier exercice clos La présentation des résultats du dernier exercice clos et des objectifs pour les années à venir est structurée autour de deux grands objectifs

Plus en détail

L évolution de l illettrisme en France

L évolution de l illettrisme en France une comparaison dans le temps établie avec les mêmes outils de mesure L évolution de l illettrisme en France Agence Nationale de Lutte Contre l Illettrisme Pour l accès de tous à la lecture, à l écriture

Plus en détail

Dépendance et rayonnement. des établissements franciliens

Dépendance et rayonnement. des établissements franciliens ILE -DE- FRANCE études études Mai 2006 Dépendance et rayonnement des établissements franciliens Document réalisé dans le cadre du Schéma Directeur Régional de l'ile-de-france Julie Roy Insee Ile-de-France

Plus en détail

Barome tre DegroupTest des connexions Internet fixes du premier semestre 2013

Barome tre DegroupTest des connexions Internet fixes du premier semestre 2013 Barome tre DegroupTest des connexions Internet fixes du premier semestre 2013 L internaute français surfe en moyenne à un débit de 8,76 Mb/s L analyse des résultats des 3,9 millions de tests de débit effectués

Plus en détail

SOMMAIRE. I - Synthèse de l'activité 2014... 2. II - Secteur "Logement" métropole... 4

SOMMAIRE. I - Synthèse de l'activité 2014... 2. II - Secteur Logement métropole... 4 SOMMAIRE I - Synthèse de l'activité 2014... 2 II - Secteur "Logement" métropole... 4 ACTIVITE LOGEMENTS NEUFS + EXISTANTS... 4 ACTIVITE LOGEMENTS NEUFS... 9 ACTIVITE LOGEMENTS EXISTANTS... 13 ACTIVITE

Plus en détail

Tableau de bord Tableau de bord. Les addictions. à La Réunion

Tableau de bord Tableau de bord. Les addictions. à La Réunion Tableau de bord Tableau de bord Les addictions à La Réunion Décembre 2011 Tableau de bord sur les addictions à La Réunion Décembre 2011 Page 2 sur 52 SOMMAIRE INTRODUCTION...... 5 OFFRE ET PRODUCTION....

Plus en détail

Garder et faire garder son enfant

Garder et faire garder son enfant Garder et faire garder son enfant Nathalie Blanpain* L arrivée d un enfant au sein d un foyer est pour ses parents un événement majeur générateur de changements en termes de rythme de vie et d organisation,

Plus en détail

Annexe 1 à l'acte d'engagement. Bordereaux des prix (lot 2)

Annexe 1 à l'acte d'engagement. Bordereaux des prix (lot 2) Annexe 1 à l'acte d'engagement Bordereaux des prix (lot 2) Procédure n MEN-SG-AOO-13066 Fourniture de licences VMware et réalisation de prestations associées couvrant les usages des agents des services

Plus en détail

CoordinationNationaleInfirmière

CoordinationNationaleInfirmière CoordinationNationaleInfirmière Direction générale de l action sociale Sous-direction des institutions, des affaires juridiques et financières Bureau de la réglementation financière et comptable (5B) Circulaire

Plus en détail

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013 12/07/2013 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33

Plus en détail

Les parcs de logements et leur occupation. dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence. Situation 2005 et évolution 1999-2005

Les parcs de logements et leur occupation. dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence. Situation 2005 et évolution 1999-2005 Les parcs de logements et leur occupation dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence Situation 2005 et évolution 1999-2005 Décembre 2008 Le territoire d étude 2 Agence de développement et d urbanisme

Plus en détail

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015 02/09/2015 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33

Plus en détail

Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens

Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens au 1er Juin 2015 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale

Plus en détail

Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes

Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données

Plus en détail

Le secteur de la restauration commerciale : données économiques, évolution des prix et du nombre de plaintes du secteur

Le secteur de la restauration commerciale : données économiques, évolution des prix et du nombre de plaintes du secteur N 28 juillet 2014 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix Auteur : Nicolas ROUX 1 Le secteur de la

Plus en détail

DÉCLARATION PAR UN RÉSIDENT

DÉCLARATION PAR UN RÉSIDENT N 3916 N 11916 * 05 N 50869 # 05 DÉCLARATION PAR UN RÉSIDENT D UN COMPTE OUVERT HORS DE FRANCE 1. IDENTITÉ DU (OU DES) DÉCLARANT(S) (CODE GÉNÉRAL DES IMPÔTS : ART. 1649 A, 2 e ET 3 e AL. ; ART. 1758 ET

Plus en détail

Règlement du concours de dessin «Mon éolienne est la plus originale»

Règlement du concours de dessin «Mon éolienne est la plus originale» Règlement du concours de dessin «Mon éolienne est la plus originale» Article 1 : Organisateur du concours L association France Energie Eolienne, située au 12 rue Vivienne, 75002 Paris, SIRET n 432 446

Plus en détail

au 1er novembre 2013

au 1er novembre 2013 au 1er novembre 2013 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE 2014. Maisons Kerbéa. La franchise du Groupe Fousse Constructions à la conquête du territoire français

DOSSIER DE PRESSE 2014. Maisons Kerbéa. La franchise du Groupe Fousse Constructions à la conquête du territoire français DOSSIER DE PRESSE 2014 Maisons Kerbéa La franchise du Groupe Fousse Constructions à la conquête du territoire français SOMMAIRE Franchise Kerbéa: gagnants dans tous les K Les Maisons Kerbéa à la conquête

Plus en détail

ASSEMBLÉE DES COMMUNAUTÉS DE FRANCE

ASSEMBLÉE DES COMMUNAUTÉS DE FRANCE ASSEMBLÉE DES COMMUNAUTÉS DE FRANCE L évolution des effectifs intercommunaux NOTE TECHNIQUE Juillet 2012 1. Une augmentation des effectifs dans les collectivités locales La fonction publique territoriale

Plus en détail

FIP PME 974 n 3. FIP éligible à la réduction d ISF* ou IR*

FIP PME 974 n 3. FIP éligible à la réduction d ISF* ou IR* la marque d OTC Asset Management FIP PME 974 n 3 FIP éligible à la réduction d ISF* ou IR* Agrément AMF du 03.10.2014 sous le numéro FNS 20140038 Document non contractuel édité en octobre 2014. Ce document

Plus en détail

TABLEAU DE BORD SUR LES ADDICTIONS

TABLEAU DE BORD SUR LES ADDICTIONS TABLEAU DE BORD SUR LES ADDICTIONS A LA REUNION réalisé par l Observatoire Régional de la Santé de La Réunion 5 ème édition : octobre 27 En 21, le Comité de Lutte contre la Drogue et de Prévention des

Plus en détail

Cancers de l hypopharynx

Cancers de l hypopharynx Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome

Plus en détail

Comment utilisons-nous notre argent?

Comment utilisons-nous notre argent? Comment utilisons-nous notre argent? L'alimentation et le logement constituent les deux dépenses les plus importantes des ménages antillo-guyanais. C'est pour leur logement que les ménages dépensent le

Plus en détail

Présentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS

Présentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS Présentation du Programme PHARE Les achats hospitaliers, levier majeur de performance pour les établissements Achats hospitaliers : 18 Milliards d euros en 2009 Non médicaux 42% Achats Hospitaliers Médicaux

Plus en détail

COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS?

COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? Par Philippe et Marie-Noëlle LENOIR Un couple du Volontaires du Progrès qui travaille à GALIM Département des Bamboutos, Province de l Ouest, nous adresse cette fiche

Plus en détail

Analyse des mesures anthropométriques et de la composition corporelle des cégépiens et des cégépiennes

Analyse des mesures anthropométriques et de la composition corporelle des cégépiens et des cégépiennes Analyse des mesures anthropométriques et de la composition corporelle des cégépiens et des cégépiennes (PA2002-006) Rapport synthèse 2 Points saillants Luc Chiasson Enseignant-chercheur Cégep de Lévis-Lauzon

Plus en détail

Commentaire. Décision n 2013-301 QPC du 5 avril 2013. Mme Annick D. épouse L.

Commentaire. Décision n 2013-301 QPC du 5 avril 2013. Mme Annick D. épouse L. Commentaire Décision n 2013-301 QPC du 5 avril 2013 Mme Annick D. épouse L. (Cotisations et contributions sociales des travailleurs non salariés non agricoles outre-mer) La Cour de cassation a renvoyé

Plus en détail

L éducation au Québec : L état de la situation

L éducation au Québec : L état de la situation Préscolaire Primaire Secondaire Collégial Universitaire 43101 45 509 93969 68 331 110 297 151 845 241019 251 612 240 980 251 237 L éducation au Québec : L état de la situation L éducation est un des sujets

Plus en détail

Construction de logements

Construction de logements COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n 640 Mai 2015 Construction de logements Résultats à fin avril 2015 (France entière) OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Rappel À compter des

Plus en détail

SOMMAIRE INTRODUCTION... 3

SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 I - PRESENTATION DE L ENQUETE... 5 A - OBJECTIFS DE L ENQUETE...5 B - CHAMP DE L ENQUETE...5 C - DETERMINATION DES «GROUPES» DE SOCIETES...6 II - VUE D ENSEMBLE DES CESSIONS...

Plus en détail

de l artisanat Tableau économique ÉTUDES et Recherches Cahier III : Les entreprises artisanales dans l économie des territoires

de l artisanat Tableau économique ÉTUDES et Recherches Cahier III : Les entreprises artisanales dans l économie des territoires ÉTUDES et Recherches de l Institut Supérieur des Métiers Tableau économique de l artisanat MAI 2014 Cahier III : Les entreprises artisanales dans l économie des territoires Tableau économique de l artisanat

Plus en détail

1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE

1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE 1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE 2 1985 / 2009 : 25 ans de concours du crédit-bail au financement de l d entreprise* 1.Introduction : le crédit-bail,

Plus en détail

En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures

En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures 1 Introduction I Cette étude considère l urbanisation comme

Plus en détail

SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL

SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL Etat du tissu associatif et bilan de l emploi du secteur non lucratif en 2013 En bref Le Centre de ressources DLA (CRDLA) du champ social, médico-social et santé poursuit son

Plus en détail

"La santé des étudiants en 2009"

La santé des étudiants en 2009 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2009" 6ème Enquête Nationale Communiqué de presse. p 2 L USEM et les mutuelles étudiantes régionales.......... p 4 Présentation de l enquête santé... p 5 Méthodologie

Plus en détail

Portrait statistique des entreprises et des salariés

Portrait statistique des entreprises et des salariés Portrait statistique des entreprises et des salariés Commerce de détail de l Habillement et des articles textiles Comité Paritaire de Pilotage de l Observatoire Portrait statistique des entreprises et

Plus en détail

Groupe X-MEDIA. La solution. Alice. Abonnements Diffusion Presse VAD / VPC Relations Clients

Groupe X-MEDIA. La solution. Alice. Abonnements Diffusion Presse VAD / VPC Relations Clients Groupe X-MEDIA La solution Alice Abonnements Diffusion Presse VAD / VPC Relations Clients Qu est ce que la solution Alice? Alice est un progiciel conçu pour gérer les abonnements la vente au numéro la

Plus en détail

Faut-il développer la scolarisation à deux ans?

Faut-il développer la scolarisation à deux ans? Faut-il développer la scolarisation à deux ans? 01 L école maternelle française est fréquemment citée comme l un des points forts de notre système éducatif et la pression de certaines familles est aujourd'hui

Plus en détail

document de travail L offre d accueil collectif des enfants de moins de trois ans en 2011 SÉRIE STATISTIQUES N 184 AOÛT 2013

document de travail L offre d accueil collectif des enfants de moins de trois ans en 2011 SÉRIE STATISTIQUES N 184 AOÛT 2013 Direction de la recherche, des études, de l évaluation et des statistiques DREES document de travail SÉRIE STATISTIQUES N 184 AOÛT 2013 L offre d accueil collectif des enfants de moins de trois ans en

Plus en détail

LANCEMENT DE IPRAALOX, 20 mg Pantoprazole

LANCEMENT DE IPRAALOX, 20 mg Pantoprazole COMMUNIQUE DE PRESSE LANCEMENT DE IPRAALOX, 20 mg Pantoprazole Paris, le 7 Mars 2012 Sanofi annonce la mise à disposition dans les officines de Ipraalox 20 mg, à base de pantoprazole, une nouvelle marque

Plus en détail

Le financement et les effectifs de l apprentissage

Le financement et les effectifs de l apprentissage CNEFOP Le financement et les effectifs de l apprentissage Données 2012 Janvier 2015 CNEFOP 2 Introduction Le rapport sur le financement et les effectifs de l apprentissage (données 2012) s inscrit dans

Plus en détail

Les Français et le don d organes

Les Français et le don d organes Les Français et le don d organes Rapport Version n 2 Date : 8 Février 2011 De: Nadia AUZANNEAU et Stéphanie CHARDRON A: Jean-Pierre SCOTTI et Saran SIDIBE OpinionWay, 15 place de la République, 75003 Paris.

Plus en détail

Les systèmes d'information et d'alerte par SMS Vers une stratégie de communication directe

Les systèmes d'information et d'alerte par SMS Vers une stratégie de communication directe CLEVER SMS - MEMO GUARD Marketing direct, e-démocratie, gestion de crise. 1 Le SMS, une opportunité à saisir SMS : Short Message Service Taux de lecture dépassant les 90% Taux de retour supérieur aux autres

Plus en détail

Surveillance épidémiologique de la mortalité et investigation d agrégats spatio-temporels en entreprise PRINCIPES GÉNÉRAUX ET DONNÉES NÉCESSAIRES

Surveillance épidémiologique de la mortalité et investigation d agrégats spatio-temporels en entreprise PRINCIPES GÉNÉRAUX ET DONNÉES NÉCESSAIRES Surveillance épidémiologique de la mortalité et investigation d agrégats spatio-temporels en entreprise PRINCIPES GÉNÉRAUX ET DONNÉES NÉCESSAIRES et investigation d agrégats spatio-temporels en entreprise

Plus en détail

Dossier de partenariat

Dossier de partenariat Dossier de partenariat C 008-20 2 s e n u e j e n ampag le don du sang : un autre moyen de vivre une expérience forte 09 L EFS : un acteur majeur de santé publique L EFS Créé en 2000, l Etablissement Français

Plus en détail