Fiche 11 La méthode de calcul des coûts complets.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Fiche 11 La méthode de calcul des coûts complets."

Transcription

1 Analyse des coûts Fiche 11 La méthode de calcul des coûts complets. Remarque liminaire : Le contenu de cette fiche ne saurait préjuger de ce qui sera défini dans le cadre des travaux en crs relatifs à la mise en œuvre de la loi organique relative aux lois de finances du 1 er août Définition. La méthode des coûts complets (méthode des centres d analyse, anciennement dénommée méthode des sections homogènes) est une méthode de comptabilité de gestion qui permet d abtir au calcul des coûts de revient d un produit, d une prestation, d un service de tte activité. Il s agit de l ensemble des coûts directs affectables et des coûts indirects répartis et imputés au travers d un processus de répartition et de déversement. Les coûts indirects sont ventilés entre les produits, prestations activités selon les étapes suivantes (remarque importante : cette ventilation est conventionnelle) : l organisation est décpée en centres d analyse (à distinguer de la notion de «centre de responsabilité»: cf. fiche 7) qui doivent s approcher autant que possible d une division réelle de l organisation de l exercice d une responsabilité et, tt à la fois, tenir compte de la logique du processus de production. En pratique, la notion de centre d analyse peut correspondre à un centre de responsabilité à une subdivision de centre de responsabilité. On distingue deux types de centres d analyse : les centres principaux qui font partie intégrante du cycle approvisionnement/production/distribution et les centres auxiliaires qui gèrent les facteurs de production et contribuent à l organisation interne de la structure (services fonctionnels) ; les charges incorporables en comptabilité de gestion sont affectées aux centres d analyse auxiliaires et principaux (répartition primaire des charges) ; les coûts des centres auxiliaires sont répartis entre les centres principaux au moyen d unités d œuvre de clés de répartition (répartition secondaire des charges, qui consiste à ventiler l ensemble des charges des centres d analyse auxiliaires sur les centres principaux) : - une unité d œuvre est un critère de ventilation des charges d un centre d analyse, qui doit permettre à la fois de mesurer l activité du centre d analyse et d imputer les charges (exemple : nombre de jrnées de formation pr répartir les coûts d un centre d analyse service formation) ; - une clé de répartition est un procédé permettant de répartir forfaitairement les charges indirectes entre les différents centres d analyse (exemple : ventilation des charges de chauffage d un immeuble au prorata des surfaces occupées par les services) ; à l issue de la répartition des coûts sur les centres d analyse, les coûts définitifs des centres principaux (charges directes issues de la répartition primaire et charges indirectes reventilées) sont imputés aux différents produits/prestations/activités. La répartition est réalisée sur la base des unités d œuvre consommées par ces produits (processus d imputation des charges). Quels tils pr quels besoins? 1075

2 Ainsi, la méthode d analyse des coûts complets revient à l analyse et à la répartition suivantes : Coûts directs produit 1 produit 2 produit 3 produit 4 Coûts indirects Part de la prestation du produit 1 Part de la prestation du produit 2 Part de la prestation du produit 3 Part de la prestation du produit 4 Allocation aux prestations aux produits en fonction de l unité de la clé de répartition choisie 2. Les utilisations possibles. Elle permet de mieux connaître la réalité des coûts, de sensibiliser les gestionnaires les consommateurs à la réalité de certaines charges, en prenant en compte l intégralité des coûts afférents à une production donnée. Son objectif premier, dans un service public, peut être la fixation de prix, de tarif de prix de cession interne. Par ailleurs, même s il convient d être prudent dans ce cas, cette méthode peut être utile dans les problématiques du «faire faire faire». Elle permet de déterminer un coût qui puisse servir de comparaison avec le prix proposé par un prestataire, même si ce dernier incorpore une notion de bénéfice que la méthode du coût complet dans le secteur public ne prend pas en compte. Il convient ttefois d être prudent dans la comparaison et de faire ressortir les charges irréversibles (charges qui ne disparaîtront pas même si l activité est ss-traitée et externalisée, comme par exemple certaines charges de personnel). 3. Acteurs concernés. Ce sont, pr l essentiel, les services vendant en interne en externe leurs productions leurs prestations, plus généralement ceux ayant besoin d une répartition fine de leurs coûts entre différentes productions relativement récurrentes. La LOLF prévoit également la possibilité de calculer des coûts complets par gestionnaire, par activité et par programme. 108 Quels tils pr quels besoins?

3 Fiche Comment faire? Quelques étapes essentielles peuvent être identifiées pr mettre en œuvre la méthode du coût complet : définir les produits prestations dont on veut calculer le coût; inventorier les coûts du périmètre à analyser ; établir le plan de comptes analytiques (décpage en centres d analyse, définition des comptes de produits ); affecter les charges directes par rapport aux centres d analyse ; affecter les charges directes aux coûts des prestations des produits ; choisir les unités d œuvre les clés de répartition représentatives pr chaque type de charges indirectes entre centres d analyse (principal et/ auxiliaire) ; aller les coûts indirects aux produits et prestations ; calculer le coût de revient complet pr chacun des produits prestations ; il peut être utile de réaliser une étude de sensibilité des résultats aux hypothèses de calcul (clé de répartition, répartition des charges ). 5. Les points de vigilance - Les conditions de réussite. Définir précisément le degré de finesse attendu des coûts. Cette méthode est relativement complexe à mettre en œuvre puisqu elle impose de décper l organisation en centres d analyse et de définir des unités d œuvre. Il importe de bien choisir les unités d œuvre clés de répartition, représentatives de l activité des centres d analyse. Les coûts indirects sont répartis de manière conventionnelle et varient selon le choix de l unité d œuvre déterminée. Or la part de ces coûts dans les productions de l administration étant svent importante, il convient d accorder une attention particulière au choix des unités d œuvre. Vérifier l équilibre entre intérêt/nécessité de mise en œuvre de cette méthode et coûts/difficultés de mise en œuvre, et arbitrer entre faisabilité technique et opérationnelle de l til. S assurer de la participation des agents au choix des hypothèses retenues pr décrire leur activité, afin de s assurer de la validité de ces hypothèses. Actualiser régulièrement le modèle de calcul des coûts qui doit évoluer en fonction de l organisation et des processus de production (décpage des centres d analyse, choix des unités d œuvre ). La complexité de sa mise en œuvre exclut en pratique qu elle soit utilisée pr des études ponctuelles. Quels tils pr quels besoins? 1095

4 6. Exemple : description du système analytique du budget annexe de l aviation civile (BAAC) Une méthode d analyse (méthode des coûts complets et suivi des coûts par centre d analyse) répondant aux objectifs assignés à la comptabilité de gestion du BAAC lors de sa mise en place en L objectif est de reconstituer le coût complet des différentes missions de la direction générale de l aviation civile (DGAC) retracées dans le BAAC, dont la plus lrde en termes économiques, la mission «navigation aérienne», donne lieu à perception de redevances pr services rendus. Pr ce faire, la méthode des coûts complets doit être appliquée. Pr répondre à un objectif de pilotage interne et donc de suivi des coûts directs des entités, des équipements et des projets, la DGAC a également mis en place un suivi des coûts par centres d analyse, c està-dire par entités organisationnelles (établissements et centres de coûts) et par installations (équipements, matériels projets) Un til intégrant les comptabilités budgétaire, générale et analytique. La DGAC a fait le choix d un système d information de gestion financière intégré (SIGEF), cvrant les comptabilités budgétaire, générale et analytique. L til est constitué de différents applicatifs, un premier pr la comptabilité budgétaire, un deuxième pr les comptabilités générale et analytique, un troisième pr la gestion des immobilisations, un quatrième pr la gestion des achats et des stocks. En revanche, les dépenses de personnel sont traitées hors SIGEF, mais un interfaçage permet d alimenter le système analytique Description du système analytique : les centres d analyse, les produits, la pyramide analytique. Les centres d analyse de la comptabilité de gestion : établissements analytiques, centres de coûts et installations. Les établissements analytiques correspondent aux services de la DGAC dont le suivi des coûts est jugé nécessaire. Les établissements sont au nombre de 88 pr Ils sont décpés en centres de coûts (environ 650). Le décpage en installations permet de suivre les coûts de revient directs des équipements et matériels utilisés, des projets, études et autres opérations dont on shaite suivre les coûts (environ 1600). L affectation des charges sur les centres d analyse est effectuée via un code analytique. Les produits de la comptabilité de gestion : activités et missions. Trois types d activités sont distingués : les activités opérationnelles (19) correspondant aux prestations de la DGAC dont le suivi des coûts directs est jugé nécessaire et deux activités relais, l activité «administration générale» qui regrpe les fonctions de direction, de stien logistique, de gestion financière, de gestion du personnel, et l activité «prestations des organismes non DGAC» concernant les organismes extérieurs à la DGAC (Eurocontrol Météo France par exemple) qui contribuent à l exercice des missions de la DGAC et auxquels le BAAC effectue des versements en contrepartie. 110 Quels tils pr quels besoins?

5 Fiche 11 Huit missions, qui sont des agrégats d activités, sont distinguées par le système analytique de la DGAC : navigation aérienne, tre-mer, sécurité aéronautique, formation aéronautique, sûreté, infrastructures, transport aérien et divers. Le coût complet de chacune des missions est calculé en additionnant les coûts des activités opérationnelles la concernant, en incluant la part des coûts issus des deux activités relais après ventilation. La pyramide analytique et les clés de répartition. Dans l application SIGEF, la pyramide analytique est constituée de huit niveaux: quatre niveaux de base et quatre niveaux d agrégations. A/ Le schéma d alimentation des quatre niveaux de base, pr un établissement analytique, est le suivant : Charges à répartir Imputation sur un centre de coûts Imputation sur une installation NIVEAU 1 Niveau élémentaire Clés A 100 % 100 % NIVEAU 2 Niveau intermédiaire NIVEAU 3 Niveau installations Centre de coûts Clés C Installation «via activité» Installation 100 % Clés B Installation 100 % Clés D NIVEAU 4 Niveau activités Activités de l établissement Le total des charges est identique à chaque niveau. Le niveau 1 (niveau d affectation des charges) est alimenté directement par les mandats ordonnances. Les niveaux suivants sont alimentés par déversement des coûts à l aide des clés. Le niveau 2 intègre les charges à répartir (pr le fonctionnement crant) qui concernent plusieurs centres de coûts d un établissement. Les charges à répartir sont regrpées par familles et se répartissent, en fonction des familles, selon des clés fondées sur les effectifs, le réalisé de l année n-1 les surfaces occupées (clés A) ; Le niveau 3 permet de déterminer le coût des installations à partir des coûts directs (déjà imputés sur l installation) et, le cas échéant, du déversement de centres de coûts (clés B) ; Quels tils pr quels besoins? 1115

6 Le niveau 4 permet de déterminer le coût des activités par établissement, soit par le déversement des centres de coûts (clés C), soit par le déversement des installations (clés D). B/ Les quatre niveaux d agrégation sont : Au niveau de l établissement : centre de coûts ; établissement. Au niveau de la DGAC : activités; DGAC. C/ Traitement hors SIGEF : La répartition des coûts d administration générale et des organismes extérieurs, permettant de déterminer le coût des missions, est réalisée hors SIGEF. 7. Pr aller plus loin Consulter les fiches suivantes : - «La mise en place d une comptabilité de gestion» ; - «La typologie des coûts» ; - «La gestion stratégique des coûts» ; - «La méthode ABC» ; - «Fixation des prix de cession interne». Bibliographie : - Comptabilité analytique et contrôle de gestion. 1 : calcul des coûts complets. Analyse des coûts et des marges, C. Gjet, Christiane et Christian Raulet, Dunod (2001) ; - Comptabilité de gestion : détermination et analyse des coûts : processus 7, P. Nikita, J. Tuszynski, Nathan Technique (2001). 112 Quels tils pr quels besoins?

Analyse des coûts. 1 ère année DUT GEA, 2005/2006 Analyse des coûts

Analyse des coûts. 1 ère année DUT GEA, 2005/2006 Analyse des coûts Analyse des coûts Les techniques de calcul et d analyse des coûts portent le nom de comptabilité analytique ou comptabilité de gestion. Ces deux termes seront utilisés indifféremment dans ce cours. Contrairement

Plus en détail

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX

Plus en détail

Formation PME Comptabilité analytique (ou comptabilité d exploitation)

Formation PME Comptabilité analytique (ou comptabilité d exploitation) Formation PME Comptabilité analytique (ou comptabilité d exploitation) Fit for Business (PME)? Pour plus de détails sur les cycles de formation PME et sur les businesstools, aller sous www.banquecoop.ch/business

Plus en détail

CONCOURS GÉNÉRAL SÉNÉGALAIS 1/6 Durée : 6 heures Série : G SESSION 2004 CLASSES DE TERMINALE

CONCOURS GÉNÉRAL SÉNÉGALAIS 1/6 Durée : 6 heures Série : G SESSION 2004 CLASSES DE TERMINALE CONCOURS GÉNÉRAL SÉNÉGALAIS 1/6 Durée : 6 heures Série : G SESSION 2004 T E C H N I Q U E C O M P T A B L E DOSSIER I : COMPTABILITE ANALYTIQUE La société K fabrique deux produits P 1 et P 2 et un sous

Plus en détail

SEP 2B juin 20. Guide méthodologique de calcul du coût d une prestation

SEP 2B juin 20. Guide méthodologique de calcul du coût d une prestation SEP 2B juin 20 12 Guide méthodologique de calcul du coût d une Sommaire Préambule 3 Objectif et démarche 3 1 Les objectifs de la connaissance des coûts 4 2 Définir et identifier une 5 Calculer le coût

Plus en détail

La comptabilité analytique : un outil indispensable pour la gestion et le suivi des projets.

La comptabilité analytique : un outil indispensable pour la gestion et le suivi des projets. La comptabilité analytique : un outil indispensable pour la gestion et le suivi des projets. STAND 114 SOMMAIRE 1. Rôles et objectifs de la comptabilité analytique a) Rôle b) Objectifs 2. Organisation

Plus en détail

BUREAUTIQUE. 1 Journée. Maîtriser les fonctions de base du logiciel

BUREAUTIQUE. 1 Journée. Maîtriser les fonctions de base du logiciel BUREAUTIQUE Maîtriser les fonctions de base du logiciel Premiers pas dans Word - Présentation de l interface - Mode affichage écran - Méthode de Sélection, de Déplacement - La gestion crante des documents

Plus en détail

Le pilotage d'un parc informatique par le TCO

Le pilotage d'un parc informatique par le TCO Le pilotage d'un parc informatique par le TCO Propriétés Intitulé long Intitulé court Formation concernée Matière Description Exonet sur la gestion financière d'un parc informatique et plus particulièrement

Plus en détail

FICHE EXPERT HYALIN LE NOUVEAU STATUT D IOBSP

FICHE EXPERT HYALIN LE NOUVEAU STATUT D IOBSP FICHE EXPERT HYALIN LE NOUVEAU STATUT D IOBSP 01 78 41 44 60 DEFINITION D UN IOB / IOBSP L article L. 519-1 du CMF reprend, en la précisant, la définition assurantielle, en déclarant : «Est un intermédiaire

Plus en détail

MISE EN PLACE D UNE COMPTABILITÉ ANALYTIQUE AU SEIN DES EPSCP RECUEIL DES FICHES TECHNIQUES ET MÉTHODOLOGIQUES

MISE EN PLACE D UNE COMPTABILITÉ ANALYTIQUE AU SEIN DES EPSCP RECUEIL DES FICHES TECHNIQUES ET MÉTHODOLOGIQUES MISE EN PLACE D UNE COMPTABILITÉ ANALYTIQUE AU SEIN DES EPSCP RECUEIL DES FICHES TECHNIQUES ET MÉTHODOLOGIQUES F I N A N C E S LES DOSSIERS DE L AGENCE MISE EN PLACE D UNE COMPTABILITÉ ANALYTIQUE AU SEIN

Plus en détail

Gestion budgétaire et financière

Gestion budgétaire et financière Élaboration et suivi de la programmation budgétaire Exécution budgétaire et comptable Aide au pilotage et contrôle financier externe Expertise financière et juridique Ministère de la Culture et de la Communication

Plus en détail

L ANALYSE COUT-EFFICACITE

L ANALYSE COUT-EFFICACITE L ANALYSE COUT-EFFICACITE 1 Pourquoi utiliser cet outil en évaluation? L analyse coût-efficacité est un outil d aide à la décision. Il a pour but d identifier la voie la plus efficace, du point de vue

Plus en détail

FINANCE, COMPTABILITE Inter entreprises petits groupes (6 stagiaires maximum par session)

FINANCE, COMPTABILITE Inter entreprises petits groupes (6 stagiaires maximum par session) Octobre à juillet FINANCE, COMPTABILITE Intitulé Objectifs principaux (programme détaillé sur demande) Dates - Les principales fonctions statistiques, financières, de recherche Excel appliqué à la gestion

Plus en détail

ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE

ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE Cours de M. Di Roberto Université Victor Segalen Bordeaux 2 Bibliographie Ce cours s inspire largement des ouvrages essentiels suivants. Merci à leurs auteurs. BOSSERELLE

Plus en détail

12 Les partenariats publics privés

12 Les partenariats publics privés 12 Les partenariats publics privés Quelles références budgétaires et comptables? Instruction M14 Tome 1 Le cadre comptable Annexe 53 Instruction M52 Tome 1 Le cadre comptable Annexe 50 Instruction M71

Plus en détail

REGLES D IMPUTATION DES DEPENSES Fiche de gestion financière

REGLES D IMPUTATION DES DEPENSES Fiche de gestion financière REGLES D IMPUTATION DES DEPENSES Fiche de gestion financière Ce document a pour objet de décrire l ensemble des règles d imputation des dépenses et de préciser les biens pouvant être considérés comme des

Plus en détail

COPROPRIETE Elaboration par des organisations professionnelles d un contrat-cadre de syndic

COPROPRIETE Elaboration par des organisations professionnelles d un contrat-cadre de syndic Circulaire d information N 35 14 mai 2008 COPROPRIETE Elaboration par des organisations professionnelles d un contrat-cadre de Pr des informations complémentaires contacter : Lionel ALDEGUER E-mail : lionel.aldeguer@unpi.fr

Plus en détail

CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES

CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Élaboration du volet «éolien» du schéma régional du climat, de l air et de l énergie DREAL Nord Pas de Calais Service ECLAT CCTP volet éolien du SRCAE page 1

Plus en détail

MANUEL UTILISATEUR : RECETTES TABLE DES MATIERES PIE : PRESTATIONS INTERNES ET EXTERNES

MANUEL UTILISATEUR : RECETTES TABLE DES MATIERES PIE : PRESTATIONS INTERNES ET EXTERNES JEFYCO MANUEL UTILISATEUR : RECETTES TABLE DES MATIERES PIE : PRESTATIONS INTERNES ET EXTERNES 2 1 GENERER UNE FACTURE HORS CATALOGUE 2 1.1 SAISIE DU CLIENT 3 1.2 SAISIE DU FOURNISSEUR 4 1.3 PREPARATION

Plus en détail

Examen de Guide de palanquée ANMP

Examen de Guide de palanquée ANMP Examen de Guide de palanquée ANMP (Brevet de plongeur niveau 4) Epreuves et Critères techniques L organisation générale du niveau 4 ANMP est définie dans la fiche info N A07 «Organisation d une formation

Plus en détail

ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI. Contribuer à la performance de l entreprise. Novembre 1999. GT015-rev octobre 2002

ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI. Contribuer à la performance de l entreprise. Novembre 1999. GT015-rev octobre 2002 GT015-rev octobre 2002 ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI Enquête IPSOS Novembre 1999 Contribuer à la performance de l entreprise 153 rue de Courcelles 75817 Paris cedex 17 Tél. 01 44 15 60

Plus en détail

MASTER I : Responsable en Gestion Métiers du Management Commercial Titre RNCP II

MASTER I : Responsable en Gestion Métiers du Management Commercial Titre RNCP II MASTER I : Responsable en Gestion Métiers du Management Commercial Titre RNCP II Sommaire 1.Les Tourelles en quelques mots... 2 2. Le CNAM en quelques mots... 3 3. Objectifs de la formation... 4 4. Poursuites

Plus en détail

Evaluation des engagements de retraite des fonctionnaires de l Etat en France

Evaluation des engagements de retraite des fonctionnaires de l Etat en France 16/01/06 1/10 11 ème colloque de l Association de Comptabilité Nationale (ACN) Evaluation des engagements de retraite des fonctionnaires de l Etat en France Jusqu à l intervention de la loi organique relative

Plus en détail

Guide d établissement des budgets des propositions soumises aux appels à projets de

Guide d établissement des budgets des propositions soumises aux appels à projets de Guide d établissement des budgets des propositions soumises aux appels à projets de l ANR 1. INTRODUCTION...3 2. PRINCIPES GENERAUX...4 2.1. Assiette et taux de l aide... 4 2.2. TVA... 5 2.3. Règles spécifiques

Plus en détail

Guide synthétique de la comptabilité des dépenses engagées

Guide synthétique de la comptabilité des dépenses engagées Guide synthétique de la comptabilité des dépenses engagées La tenue de la comptabilité d engagement ou comptabilité administrative est de la responsabilité de l exécutif de la collectivité. Le CGCT prévoit

Plus en détail

PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2006 GUIDE DE LECTURE DES NOUVEAUX DOCUMENTS BUDGÉTAIRES PAR MISSION DU BUDGET DE L ÉTAT

PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2006 GUIDE DE LECTURE DES NOUVEAUX DOCUMENTS BUDGÉTAIRES PAR MISSION DU BUDGET DE L ÉTAT PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2006 GUIDE DE LECTURE DES NOUVEAUX DOCUMENTS BUDGÉTAIRES PAR MISSION DU BUDGET DE L ÉTAT LES NOUVEAUX BLEUS BUDGÉTAIRES ET LES PROJETS ANNUELS DE PERFORMANCES Les documents

Plus en détail

Mieux connaître et gérer votre patrimoine immobilier avec SAP Real Estate Management

Mieux connaître et gérer votre patrimoine immobilier avec SAP Real Estate Management Mieux connaître et gérer votre patrimoine immobilier avec SAP Real Estate Management Agenda 1. Pourquoi un système d information pour la gestion immobilière? 2. Présentation de la solution SAP REM 3. Reporting

Plus en détail

relatif aux opérations d assurance réalisées dans le cadre d un «patrimoine d affectation»

relatif aux opérations d assurance réalisées dans le cadre d un «patrimoine d affectation» COMITE DE LA REGLEMENTATION COMPTABLE Règlement n 2004-11 du 23 novembre 2004 relatif aux opérations d assurance réalisées dans le cadre d un «patrimoine d affectation» Le Comité de la réglementation comptable,

Plus en détail

Pierre Avenir 3 Société Civile de Placement Immobilier

Pierre Avenir 3 Société Civile de Placement Immobilier Pierre Avenir 3 Société Civile de Placement Immobilier Communication à caractère promotionnel BNP Paribas REIM, société de gestion de portefeuille, lance une nouvelle SCPI Scellier, «label BBC» : Pierre

Plus en détail

Partager l expérience de l ASECNA dans la mise en œuvre du SMS et du SMQ :

Partager l expérience de l ASECNA dans la mise en œuvre du SMS et du SMQ : Objet de la présentation Partager l expérience de l ASECNA dans la mise en œuvre du SMS et du SMQ : Défis rencontrés Avantages acquis Contenu de la présentation Qu est ce que l ASECNA? Planification de

Plus en détail

Présentation des guides d audit et du processus d audit d un réseau académique de formation continue

Présentation des guides d audit et du processus d audit d un réseau académique de formation continue Décembre 2011 Inspection générale de l'administration de l'éducation nationale et de la Recherche Inspection générale de l'éducation nationale Présentation des guides d audit et du processus d audit d

Plus en détail

Relatif aux règles comptables applicables au Fonds de réserve des retraites

Relatif aux règles comptables applicables au Fonds de réserve des retraites CONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITÉ Note de présentation Avis n 2003-07 du 24 juin 2003 Relatif aux règles comptables applicables au Fonds de réserve des retraites Sommaire 1 - Présentation du Fonds de

Plus en détail

DEMANDE D ADHÉSION SÉCURITÉ SANTÉ. (Sous réserve d acceptation par l association ANDAC, et le cas échéant de la résiliation du précédent contrat)

DEMANDE D ADHÉSION SÉCURITÉ SANTÉ. (Sous réserve d acceptation par l association ANDAC, et le cas échéant de la résiliation du précédent contrat) (Ss réserve d acceptation par l association ANDAC, Réception avant le 15 : effet 1 er du mois en crs Régimes Salariés Agricoles, Commerçants, Artisans, Professions libérales du conseiller : ADHÉSION NOUVELLE

Plus en détail

Qualiac Finances MULTI-LANGUES / MULTI-LEGISLATIONS. MULTI-ENTITES (groupe, société, établissement)

Qualiac Finances MULTI-LANGUES / MULTI-LEGISLATIONS. MULTI-ENTITES (groupe, société, établissement) Qualiac Finances Qualiac Finances est le fruit de plus de trente années d expérience en édition de logiciels comptables et financiers. Qualiac propose aux moyennes et grandes entreprises nationales et

Plus en détail

La saisie des rubriques sera effectuée dans l application FARANDOLE avec les autres éléments du PAP. Autorisations d engagement

La saisie des rubriques sera effectuée dans l application FARANDOLE avec les autres éléments du PAP. Autorisations d engagement ANNEXE 2 EXPLICITATION DES RUBRIQUES La saisie des rubriques sera effectuée dans l application FARANDOLE avec les autres éléments du PAP. 1. Récapitulation des crédits destinés aux opérateurs de l État

Plus en détail

CE : comment obtenir vos budgets

CE : comment obtenir vos budgets Droit en du pratique CE Pour fonctionner ou proposer des ASC aux salariés, le CE a forcément besoin de moyens financiers! Or sa principale ressource en la matière, c est l employeur, puisque c est lui

Plus en détail

NORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS

NORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS NORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS UNIVERSITE NANCY2 Marc GAIGA - 2009 Table des matières NORMES IAS 32/39 : INSTRUMENTS FINANCIERS...3 1.1. LA PRÉSENTATION SUCCINCTE DE LA NORME...3 1.1.1. L esprit

Plus en détail

1 - Le catalogue d états prêts à l emploi p.2

1 - Le catalogue d états prêts à l emploi p.2 Nouveau Sage 100 Gestion Commerciale Edition Pilotée Plus simple, plus riche, plus métier! Sage 100 Gestion Commerciale Edition Pilotée est la solution de référence pour vous accompagner dans votre gestion

Plus en détail

Le Guide. Dynamisation des actifs immobiliers des établissements hospitaliers. Mission Nationale d Appui à l Investissement Hospitalier

Le Guide. Dynamisation des actifs immobiliers des établissements hospitaliers. Mission Nationale d Appui à l Investissement Hospitalier Mission Nationale d Appui à l Investissement Hospitalier Le Guide 1 ère Edition Octobre 2005 Dynamisation des actifs immobiliers des établissements hospitaliers PREAMBULE Le présent guide est le fruit

Plus en détail

Demande de carte professionnelle (Demande de première carte ou de renouvellement)

Demande de carte professionnelle (Demande de première carte ou de renouvellement) Demande de carte professionnelle (Demande de première carte de renvellement) Livre VI du code de la sécurité intérieure Décret n 2009-137 du 9 février 2009 modifié Ce formulaire vs permet d obtenir de

Plus en détail

FORMATIONS OpenERP/Odoo ORIENTEES METIERS. THEME : COMMENT OpenERP/ODOO PEUT AMELIORER LES PERFORMANCES DE VOTRE ENTREPRISE

FORMATIONS OpenERP/Odoo ORIENTEES METIERS. THEME : COMMENT OpenERP/ODOO PEUT AMELIORER LES PERFORMANCES DE VOTRE ENTREPRISE FORMATIONS OpenERP/Odoo ORIENTEES METIERS THEME : COMMENT OpenERP/ODOO PEUT AMELIORER LES PERFORMANCES DE VOTRE ENTREPRISE - Présenter les fonctionnalités d OpenERP/ODOO, le large périmètre métier couvert

Plus en détail

Elaboration et Suivi des Budgets

Elaboration et Suivi des Budgets Elaboration et Suivi des Budgets 1 1- La Notion Du contrôle de Gestion 2- La Place du Contrôle de Gestion dans le système organisationnel 3- La Notion des Centres de responsabilité 4- La procédure budgétaire

Plus en détail

Ministère des finances et des comptes publics Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes

Ministère des finances et des comptes publics Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction de la sécurité sociale Ministère des finances et des comptes publics Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Ss-direction de l accès aux soins, des prestations familiales

Plus en détail

Ici, le titre de la. Tableaux de bords de conférence

Ici, le titre de la. Tableaux de bords de conférence Ici, le titre de la Tableaux de bords de conférence pilotage d entreprise, indicateurs de performance reporting et BI quels outils seront incontournables à l horizon 2010? Les intervenants Editeur/Intégrateur

Plus en détail

N o t e m é t h o d o l o g i q u e. Art. 60 du règlement n 1083/2006 et art. 13 du règlement n 1828/2006 - voir annexe n 1.

N o t e m é t h o d o l o g i q u e. Art. 60 du règlement n 1083/2006 et art. 13 du règlement n 1828/2006 - voir annexe n 1. Modalités de réalisation du contrôle de service fait des opérations cofinancées au titre des programmes du Fonds social européen, pour la période 2007-2013 N o t e m é t h o d o l o g i q u e Sources règlementaires

Plus en détail

Information financière pro forma 2012 consolidée Icade-Silic

Information financière pro forma 2012 consolidée Icade-Silic COMMUNIQUE DE PRESSE Paris, le 27 mars 2013 Information financière pro forma 2012 consolidée Icade-Silic Conformément à ce qui avait été annoncé lors de la publication des comptes annuels, Icade publie

Plus en détail

LA SOLUTION DE GESTION D'AFFAIRES

LA SOLUTION DE GESTION D'AFFAIRES LA SOLUTION DE GESTION D'AFFAIRES DES PRESTATAIRES DE SERVICES INDUSTRIELS Sous-traitance & Maintenance Industrielle Ingénierie, Etudes Techniques Energies Nouvelles Fabrication d'équipements «NaviOne

Plus en détail

PROCEDURES DE CONTROLE INTERNE RAPPORT CONTROLE INTERNE. Enjeux du Contrôle interne au sein du Groupe Cegedim

PROCEDURES DE CONTROLE INTERNE RAPPORT CONTROLE INTERNE. Enjeux du Contrôle interne au sein du Groupe Cegedim RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION SUR LES CONDITIONS DE PRÉPARATION ET D ORGANISATION DES TRAVAUX DU CONSEIL AINSI QUE SUR LES PROCÉDURES DE CONTRÔLE INTERNE MISES EN PLACE PAR LA SOCIÉTÉ

Plus en détail

Technicien territorial RAPPORT TECHNIQUE À PARTIR D UN DOSSIER SUR LA SPÉCIALITÉ

Technicien territorial RAPPORT TECHNIQUE À PARTIR D UN DOSSIER SUR LA SPÉCIALITÉ 10/10/11 Document élaboré par les membres d une cellule pédagogique nationale associant des représentants des centres de gestion de la fonction publique territoriale, du CNFPT, de la profession Technicien

Plus en détail

Bordeaux, le 22 mars 2010. Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992. Monsieur le Président,

Bordeaux, le 22 mars 2010. Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992. Monsieur le Président, Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992 Bordeaux, le 22 mars 2010 Monsieur le Président, Par lettre du 9 septembre 2008, vous avez été informé que la Chambre régionale des comptes

Plus en détail

L impact des réformes en cours sur la budgétisation des dépenses de personnel

L impact des réformes en cours sur la budgétisation des dépenses de personnel L impact des réformes en cours sur la budgétisation des dépenses de personnel Atelier régional sur le pilotage de la masse salariale Abidjan, 8 au 12 avril 2013 Bruno Imbert, Conseiller résident AFRITAC

Plus en détail

Développement rural 2007-2013. Document d orientation

Développement rural 2007-2013. Document d orientation Développement rural 2007-2013 MANUEL RELATIF AU CADRE COMMUN DE SUIVI ET D EVALUATION Document d orientation Septembre 2006 Direction générale de l agriculture et du développement rural TABLE DES MATIÈRES

Plus en détail

Règlement intérieur. Les réservations ne pourront être enregistrées qu au maximum 18 mois à l avance.

Règlement intérieur. Les réservations ne pourront être enregistrées qu au maximum 18 mois à l avance. Règlement intérieur Article 1 er : Objet La mise à disposition des locaux de l espace multifonction La Maillette est accordée exclusivement pr l organisation de la manifestation que prévoit le contrat

Plus en détail

Comptabilité à base d activités (ABC) et activités informatiques : une contribution à l amélioration des processus informatiques d une banque

Comptabilité à base d activités (ABC) et activités informatiques : une contribution à l amélioration des processus informatiques d une banque Comptabilité à base d activités (ABC) et activités informatiques : une contribution à l amélioration des processus informatiques d une banque Grégory Wegmann, Stephen Nozile To cite this version: Grégory

Plus en détail

Présentation des macroprocessus SOMMAIRE

Présentation des macroprocessus SOMMAIRE Présentation des macroprocessus SOMMAIRE Edition de mars 2009 Table des Matières 1. Liminaire... 5 2. Qu est ce que le référentiel des macro-processus?... 6 2.1. La mise en œuvre de la LOLF...6 2.2. Une

Plus en détail

M740. Guide de l utilisateur

M740. Guide de l utilisateur M740 Guide de l utilisateur Table des matières Description 1 Votre M740 1 Raccordements 2 Accessoires pr le M740 2 Conseils et sécurité 3 Présentation du M740 4 L afficheur du poste 6 Utiliser le navigateur

Plus en détail

LA COMPTABILITE MATIERE

LA COMPTABILITE MATIERE INFORMATIONS CONSEIL ET ASSISTANCE AUX E.P.L.E. DE LA GUADELOUPE LA COMPTABILITE MATIERE S O M M A I R E 1 - Rappel des dispositions réglementaires page 2 2 - Modalités de mise en œuvre de la comptabilité

Plus en détail

Note méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1.

Note méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1. Version intégrale Note méthodologique 1. Les tableaux des ressources et des emplois dans les comptes nationaux L élaboration des comptes nationaux de la Belgique s effectue conformément à la méthodologie

Plus en détail

SOMMAIRE ETUDE SERDALAB : «DEMATERIALISATION DES PROCESSUS DOCUMENTAIRES : MARCHE ET TENDANCES EN 2013-2015»

SOMMAIRE ETUDE SERDALAB : «DEMATERIALISATION DES PROCESSUS DOCUMENTAIRES : MARCHE ET TENDANCES EN 2013-2015» SOMMAIRE ETUDE SERDALAB : «DEMATERIALISATION DES PROCESSUS DOCUMENTAIRES : MARCHE ET TENDANCES EN 2013-2015» PARUTION MARS 2013 SOMMAIRE 3 PRESENTATION ALAIN BENSOUSSAN AVOCATS 6 REMERCIEMENTS 11 EXECUTIVE

Plus en détail

GESTION DES CARTES «ACHAT»

GESTION DES CARTES «ACHAT» Page 1/12 Destinataires : Agence Comptable Logistique Contrôle de Gestion Domaine concerné : Thème concerné : Sous thème concerné : Mot-clé : ACHAT, COMPTABILITE, GESTION, BUDGET Organisation de la gestion

Plus en détail

Achats de prestations logistiques : les bonnes pratiques

Achats de prestations logistiques : les bonnes pratiques Salon Logistics 360 2011 Parc Exposition La Beaujoire Nantes Achats de prestations logistiques : les bonnes pratiques par Philippe de COUESBOUC, cabinet conseil Creach Partenaire, administrateur CDAF (Compagnie

Plus en détail

Le Groupe Lea au service de votre mobilité

Le Groupe Lea au service de votre mobilité 1 Qu est-ce que le Fleet Management Lea Easy Mobility? Le Fleet Management consiste à confier la gestion de sa flotte automobile à un prestataire, tout en restant propriétaire de ses véhicules. C est une

Plus en détail

Exo7. Calculs de déterminants. Fiche corrigée par Arnaud Bodin. Exercice 1 Calculer les déterminants des matrices suivantes : Exercice 2.

Exo7. Calculs de déterminants. Fiche corrigée par Arnaud Bodin. Exercice 1 Calculer les déterminants des matrices suivantes : Exercice 2. Eo7 Calculs de déterminants Fiche corrigée par Arnaud Bodin Eercice Calculer les déterminants des matrices suivantes : Correction Vidéo ( ) 0 6 7 3 4 5 8 4 5 6 0 3 4 5 5 6 7 0 3 5 4 3 0 3 0 0 3 0 0 0 3

Plus en détail

Sage 30 pour les petites entreprises

Sage 30 pour les petites entreprises Informations France : 0 825 825 603 (0.15 TTC/min) Informations Export : +33 (0)5 56 136 988 (hors France métropolitaine) www.sage.fr/pme Sage 30 pour les petites entreprises Abordez votre gestion en toute

Plus en détail

UDSG CLASSIFICATION DOSSIER DOCUMENTAIRE

UDSG CLASSIFICATION DOSSIER DOCUMENTAIRE UDSG CLASSIFICATION DOSSIER DOCUMENTAIRE 2 SOMMAIRE I. LES FAMILLES PROFESSIONNELLES... 5 II. LES FONCTIONS GENERIQUES... 12 FAMILLE ETUDES ET CONCEPTION......... 15 ASSISTANT D ETUDES ET CONCEPTION...16

Plus en détail

Données des SIM. Données signalétiques (nom, adresse), Historique d achat, Réactions passées aux actions de promotion

Données des SIM. Données signalétiques (nom, adresse), Historique d achat, Réactions passées aux actions de promotion Données des SIM Bases de données produits Identification, caractéristiques techniques, caractéristiques commerciales (prix, unités de vente, fournisseurs), état des stocks, ventes réalisées Bases de données

Plus en détail

Le compte épargne temps

Le compte épargne temps 2010 N 10-06- 05 Mi à jour le 15 juin 2010 L e D o i e r d e l a D o c 1. Définition Sommaire 2. Modification iue du décret n 2010-531 3. Principe du compte épargne temp Bénéficiaire potentiel Alimentation

Plus en détail

La fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales.

La fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales. Chapitre 11 LA FONCTION CONTRÔLE DE GESTION REPORTING AUDIT INTERNE Un système de reporting homogène dans toutes les filiales permet un contrôle de gestion efficace et la production d un tableau de bord

Plus en détail

LES OBLIGATIONS D UN ADMINISTRATEUR

LES OBLIGATIONS D UN ADMINISTRATEUR LES OBLIGATIONS D UN ADMINISTRATEUR Vs avez incorporé une compagnie vs y songez sérieusement? Plusieurs bonnes raisons vs incitent en effet à exploiter votre entreprise ss une forme incorporée 1. Les compagnies

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE PROTECTION SOCIALE

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE PROTECTION SOCIALE PROTECTION SOCIALE ASSURANCE MALADIE, MATERNITÉ, DÉCÈS MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, DE LA FONCTION PUBLIQUE ET DE LA RÉFORME DE L ÉTAT MINISTÈRE

Plus en détail

Mission Provisions Note d analyse de l exécution budgétaire 2014

Mission Provisions Note d analyse de l exécution budgétaire 2014 Mission Provisions Note d analyse de l exécution budgétaire 2014 Provisions - Dotation pour dépenses accidentelles destinée à faire face à des calamités et pour dépenses imprévisibles - Dotation pour mesures

Plus en détail

Marchés publics de fournitures et services EMISSION DE CARTES D ACHATS ET PRESTATIONS ANNEXES CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (C.C.T.P.

Marchés publics de fournitures et services EMISSION DE CARTES D ACHATS ET PRESTATIONS ANNEXES CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (C.C.T.P. Marchés publics de fournitures et services EMISSION DE CARTES D ACHATS ET PRESTATIONS ANNEXES CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (C.C.T.P.) Pouvoir adjudicateur : Ecole supérieure d art des Pyrénées

Plus en détail

Séminaire des chefs de centre

Séminaire des chefs de centre Hammamet Juin 2014 www.cnam.nat.tn Séminaire des chefs de centre Tableau de bord de gestion à mettre à la disposition d un chef de centre Achref GHORBEL Direction de Coordination Régionale Email: achref.ghorbel@cnam.nat.tn

Plus en détail

RÈGLES ET PRATIQUES EN COMPTABILITÉ DE GESTION FACTURATION INTERNE Août 2000

RÈGLES ET PRATIQUES EN COMPTABILITÉ DE GESTION FACTURATION INTERNE Août 2000 A Hydro-Québec Requête R-3401-98 RÈGLES ET PRATIQUES EN COMPTABILITÉ DE GESTION FACTURATION INTERNE Original : 2000-11-21 HQT-13, Document 1.1.2 (En liasse) 1 1. PRINCIPES ET RÈGLES DE FACTURATION INTERNE

Plus en détail

RECOMMANDATIONS COMMISSION

RECOMMANDATIONS COMMISSION L 120/20 Journal officiel de l Union européenne 7.5.2008 RECOMMANDATIONS COMMISSION RECOMMANDATION DE LA COMMISSION du 6 mai 2008 relative à l assurance qualité externe des contrôleurs légaux des comptes

Plus en détail

GROUPE GRANDS MOULINS DE STRASBOURG

GROUPE GRANDS MOULINS DE STRASBOURG GRANDS MOULINS DE STRASBOURG S.A. SERVICES ADMINISTRATIFS : 1, Place Henry Levy B.P. 10080-67016 STRASBOURG CEDEX SIEGE SOCIAL : 61, AVENUE D IENA 75116 PARIS CODE ISIN : FR0000064180 Strasbourg le 23

Plus en détail

1. STRUCTURATION FEDERALE BI POLAIRE

1. STRUCTURATION FEDERALE BI POLAIRE ADDITIF EXPLICATIF 1. STRUCTURATION FEDERALE BI POLAIRE Organisation de deux «secteurs» clairement identifiés dans leurs objectifs et missions. Sous la responsabilité d un pilotage unique, ces deux «secteurs»

Plus en détail

Table des matières. Avant-propos. Chapitre 2 L actualisation... 21. Chapitre 1 L intérêt... 1. Chapitre 3 Les annuités... 33 III. Entraînement...

Table des matières. Avant-propos. Chapitre 2 L actualisation... 21. Chapitre 1 L intérêt... 1. Chapitre 3 Les annuités... 33 III. Entraînement... III Table des matières Avant-propos Remerciements................................. Les auteurs..................................... Chapitre 1 L intérêt............................. 1 1. Mise en situation...........................

Plus en détail

Systèmes et réseaux d information et de communication

Systèmes et réseaux d information et de communication 233 DIRECTEUR DES SYSTÈMES ET RÉSEAUX D INFORMATION ET DE COMMUNICATION Code : SIC01A Responsable des systèmes et réseaux d information FPESIC01 Il conduit la mise en œuvre des orientations stratégiques

Plus en détail

LE BACCALAUREAT PROFESSIONNEL GESTION ADMINISTRATION Janvier 2012 Page 1

LE BACCALAUREAT PROFESSIONNEL GESTION ADMINISTRATION Janvier 2012 Page 1 LE BACCALAUREAT PROFESSIONNEL GESTION ADMINISTRATION Janvier 2012 Page 1 La rénovation de la voie professionnelle, filière du tertiaire administratif a conduit à la création du baccalauréat professionnel

Plus en détail

www.btsag.com 31 Coûts complets

www.btsag.com 31 Coûts complets www.btsag.com 31 Coûts complets Claude Terrier btsag.com 1/24 11/10/2010 Pérennisation de l entreprise Auteur : C. Terrier; mailto:webmaster@btsag.com ; http://www.btsag.com Utilisation: Reproduction libre

Plus en détail

Quelques missions d Amedrys

Quelques missions d Amedrys Quelques missions d Amedrys Les misions longues Pour une coopérative agro-alimentaire Objectif de notre client, le DAF de l entité Construire et déployer un ERP sur sa branche légume 1 ère gamme S appuyer

Plus en détail

Formation Continue 2014

Formation Continue 2014 Formation Continue 2014 Union Régionale Interfédérale des Organismes Privés non lucratifs Sanitaires et Sociaux Management RH Comptabilité Gestion Tarification Vie & Pilotage des établissements & Services

Plus en détail

Chapitre 2 Introduction aux objectifs des coûts. Pr. Zoubida SAMLAL-Doctorante en Risk Management MBA, CFA

Chapitre 2 Introduction aux objectifs des coûts. Pr. Zoubida SAMLAL-Doctorante en Risk Management MBA, CFA Chapitre 2 Introduction aux objectifs des coûts Pr. Zoubida SAMLAL-Doctorante en Risk Management MBA, CFA Objectif du chapitre Faire la différence entre les coûts et les charges Définir les inducteurs

Plus en détail

LE CHAMP D APPLICATION

LE CHAMP D APPLICATION LES TEXTES Loi n 2001-420 du 15 mai 2001 relative aux nouvelles régulations économiques (art. 54 et 55) Décret n 2002-231 du 21 février 2002 modifiant le décret du 7 mars 2001 portant code des marchés

Plus en détail

COMPLEMENTAIRE SANTE GENERALISÉE :

COMPLEMENTAIRE SANTE GENERALISÉE : COMPLEMENTAIRE SANTE GENERALISÉE : SYNAMI S ENGAGER POUR CHACUN AGIR POUR TOUS UNE NEGOCIATION ABOUTISSANT À UNE BONNE COUVERTURE Pourquoi, pour qui? D ici au 1er Janvier 2016, la loi du 14 juin 2013 relative

Plus en détail

Les Eléments clés du projet

Les Eléments clés du projet THE GLOBAL LEADER IN CLOUD BI & CPM Les Eléments clés du projet 1 THE GLOBAL LEADER IN CLOUD BI & CPM Les Eléments clés du projet Périmètre fonctionnel 2 Le Core Model Le point central de constitution

Plus en détail

NORME IAS 20 LES SUBVENTIONS PUBLIQUES

NORME IAS 20 LES SUBVENTIONS PUBLIQUES NORME IAS 20 LES SUBVENTIONS PUBLIQUES UNIVERSITE NANCY2 Marc GAIGA - 2009 Table des matières NORME IAS 20 : LES SUBVENTIONS PUBLIQUES...3 1.1. LA PRÉSENTATION SUCCINCTE DE LA NORME...3 1.1.1. L esprit

Plus en détail

Le management des risques de l entreprise Cadre de Référence. Synthèse

Le management des risques de l entreprise Cadre de Référence. Synthèse Le management des risques de l entreprise Cadre de Référence Synthèse SYNTHESE L incertitude est une donnée intrinsèque à la vie de toute organisation. Aussi l un des principaux défis pour la direction

Plus en détail

Reximmo Patrimoine 2

Reximmo Patrimoine 2 G E S T I O N D E P A T R I M O I N E Reximmo Patrimoine 2 SCPI DE TYPE «MALRAUX» Un investissement indirect dans de l immobilier ancien au cœur des villes historiques Souscription ouverte jusqu au 20

Plus en détail

Sage 1000 Suite Financière est une solution complète de gestion comptable et financière qui vous permet de piloter à 360 vos processus financiers.

Sage 1000 Suite Financière est une solution complète de gestion comptable et financière qui vous permet de piloter à 360 vos processus financiers. Sage 1000 FRP Sage 1000 Suite Financière Demandez plus à votre gestion comptable et financière Sage 1000 Suite Financière est une solution complète de gestion comptable et financière qui vous permet de

Plus en détail

U S A. Nombre de CENTRES D APPELS Nombre de Téléconseillers. En France : 210.000 0,7% - 1700. En Europe : 1.300.000 1% Canada. Pop.

U S A. Nombre de CENTRES D APPELS Nombre de Téléconseillers. En France : 210.000 0,7% - 1700. En Europe : 1.300.000 1% Canada. Pop. 1/ PANORAMA ACTIVITE CENTRE D APPELS Canada U S A EN EUROPE + 22000 Source DATAMONITOR Nombre de CENTRES D APPELS Nombre de Téléconseillers EN FRANCE 3500 Pop.act - 10000 1997 2002-1700 1997 2004 En France

Plus en détail

QUESTIONNAIRE Responsabilité Civile

QUESTIONNAIRE Responsabilité Civile QUESTIONNAIRE Responsabilité Civile RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNELLE DE LA SECURITE : ACTIVITES DE SURVEILLANCE ET DE GARDIENNAGE (activités régies par le livre VI du Code de la sécurité intérieure)

Plus en détail

LES COÛTS PRÉÉTABLIS ET LES ÉCARTS TOTAUX

LES COÛTS PRÉÉTABLIS ET LES ÉCARTS TOTAUX 7 LES COÛTS PRÉÉTABLIS ET LES ÉCARTS TOTAUX 1. LES PRINCIPES 196 2. L ÉLABORATION DES COÛTS PRÉÉTABLIS 198 3. MODÈLE GÉNÉRAL D ANALYSE DES ÉCARTS 202 4. LES ÉCARTS TOTAUX 203 5. PREMIÈRE ANALYSE DES ÉCARTS

Plus en détail

Sujets d actualité, débats, perspectives, enjeux Tendances Achats vous donne la parole et analyse pour vous le monde des Achats.

Sujets d actualité, débats, perspectives, enjeux Tendances Achats vous donne la parole et analyse pour vous le monde des Achats. Sujets d actualité, débats, perspectives, enjeux Tendances Achats vous donne la parole et analyse pour vous le monde des Achats. DEMATERIALISATION DES FACTURES FOURNISSEURS : PROJET ACHATS OU PROJET D

Plus en détail

CATALOGUE FORMATION CONTINUE

CATALOGUE FORMATION CONTINUE CATALOGUE FORMATION CONTINUE 3ème trimestre 2014 SOMMAIRE INFORMATIQUE BUREAUTIQUE 4 COMMERCIAL VENTE 5-6 COMPTABILITE GESTION 7-8 JURIDIQUE SECURITE 9 SE FORMER, MODE D EMPLOI 10-12 BULLETIN D INSCRIPTION

Plus en détail

Taux de cotisation dans les différents régimes

Taux de cotisation dans les différents régimes CONSEIL D'ORIENTATION DES RETRAITES Réunion plénière du 21 mars 2001 "Comparaisons entre régimes" "Compensation et transferts financiers" Taux de cotisation dans les différents régimes Les taux de cotisations

Plus en détail

III.2 Rapport du Président du Conseil

III.2 Rapport du Président du Conseil III.2 Rapport du Président du Conseil de Surveillance sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques Rapport du directoire rapports du conseil de surveillance 2012 1 Obligations légales

Plus en détail