IOA-arthrite 1 Pr M DUPON SMIT - Hôpital Pellegrin Bordeaux Cedex. Pr M. Dupon

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "IOA-arthrite 1 Pr M DUPON SMIT - Hôpital Pellegrin Bordeaux Cedex. Pr M. Dupon"

Transcription

1 IOA-arthrite 1 Pr M DUPON SMIT - Hôpital Pellegrin Bordeaux Cedex Pr M. Dupon

2 Un homme de 55 ans présente brusquement une fièvre à 38 7C et u douleur du genou droit. Son médecin traitant constate le lendemain genou douloureux à la mobilisation mais sans épanchement in articulaire. Il découvre une plaie consécutive à une activité de jardinage la face antérieure de la jambe droite au 1/3 supérieur, il y a 7 jours, néglig par le patient, et inflammatoire. Il prescrit de l amoxicilline 1 g x 2/j p avec du paracétamol. Deux jours après, en raison de frissons avec des pic 39 C et de la majoration des douleurs de genou, il le fait hospitaliser. A l examen aux urgences, il est céphalalgique, en fait depuis le début température est à 39 1C, la TA à 155/82 mmhg. Le genou droit difficilement mobilisable, douloureux, chaud, augmenté de volume avec choc rotulien. Le reste de l examen est normal. Dans les antécédents colique néphrétique il y a 4 ans ayant conduit à u lithotritie (lithiase oxalocalcique). Il n a pas fait de séjour récent à l étrang mais s est rendu au Bénin il y a 2 ans, pendant 4 semaines. Deux semai auparavant, à l occasion d une promenade en forêt, il a été piqué au niv de la cuisse gauche par une tique retirée le soir même. Poids 80 kg pour 1,68m.

3 Un homme de 55 ans présente brusquement une fièvre à38 7C et une douleur du genou droit. Son mé traitant constate le lendemain un genou douloureux à la mobilisation mais sans épanchement articulaire. Il découvre une plaie consécutive à une activité de jardinage sur la face antérieure de la j droite au 1/3 supérieur, il y a 7 jours, négligée par le patient, et inflammatoire. Il prescrit de l amoxicilli x 2/j p.o., avec du paracétamol. Deux jours après, en raison de frissons avec des pics à 39 C et majoration des douleurs de genou, il le fait hospitaliser. A l examen aux urgences, il est céphalalgique, en fait depuis le début; la température est à 39 1C, la 155/82 mmhg. Le genou droit est difficilement mobilisable, douloureux, chaud, augmenté de volume un choc rotulien. Le reste de l examen est normal. Dans les antécédents colique néphrétique il y a 4 ans ayant conduit à une lithotritie (lithiase oxalocalc Il n a pas fait de séjour récent àl étranger, mais s est rendu au Bénin il y a 2 ans, pendant 4 semaines. semaines auparavant, à l occasion d une promenade en forêt, il a été piqué au niveau de la cuisse g par une tique retirée le soir même. Poids 80 kg pour 1,68m. Question 1 (QRM) Quel(s) diagnostic(s) suspectez-vous? A- arthrite infectieuse aiguë B -maladie de Lyme C crise de goutte D bursite pré-rotulienne E érysipèle du membre inférieur

4 Un homme de 55 ans présente brusquement une fièvre à38 7C et une douleur du genou droit. Son mé traitant constate le lendemain un genou douloureux à la mobilisation mais sans épanchement articulaire. Il découvre une plaie consécutive à une activité de jardinage sur la face antérieure de la j droite au 1/3 supérieur, il y a 7 jours, négligée par le patient, et inflammatoire. Il prescrit de l amoxicilli x 2/j p.o., avec du paracétamol. Deux jours après, en raison de frissons avec des pics à 39 C et majoration des douleurs de genou, il le fait hospitaliser. A l examen aux urgences, il est céphalalgique, en fait depuis le début; la température est à 39 1C, la 155/82 mmhg. Le genou droit est difficilement mobilisable, douloureux, chaud, augmenté de volume un choc rotulien. Le reste de l examen est normal. Dans les antécédents colique néphrétique il y a 4 ans ayant conduit à une lithotritie (lithiase oxalocalc Il n a pas fait de séjour récent àl étranger, mais s est rendu au Bénin il y a 2 ans, pendant 4 semaines. semaines auparavant, à l occasion d une promenade en forêt, il a été piqué au niveau de la cuisse g par une tique retirée le soir même. Poids 80 kg pour 1,68m. Question 1 (QRM) Quel diagnostic suspectez-vous? A- arthrite infectieuse aiguë V* B -maladie de Lyme F C crise de goutte F D bursite pré-rotulienne F E érysipèle du membre inférieur F

5 uestion 1 (QRM) uel diagnostic suspectez-vous? A- arthrite infectieuse aiguë V* B -maladie de LymeF C crise de goutte F D bursite pré-rotulienne F E érysipèle du membre inférieur F Arthrite infectieuse aiguë, vraissemblablementpar contiguité(monoarthrite, syndrome infectieux brusqu hyperleucocytose, plaie) Arthrite aiguëdans un contexte de maladie de Lymee général moins aigue, beaucoup plus tard par rapport à l inoculation, hyperleucocytose Arthrite microcristalline (chondrocalcinose plus que go tableau identique àune arthrite infectieuse, mais pas d antécédents de goutte Bursite prérotulienne: en général inoculation en regar rotule et pas d arthrite du genou (placard antérieur sous:cutané devant la rotule, fluctuation). Erysipèle placard inflammatoire douloureux fébrile (dermohypodermite sans arthrite) peut se deveolpper une plaie

6 uestion 2 (QRM) ne arthrite septique siège le souvent? - sur plusieurs articulations - sur une grosse articulation - sur une sacro-iliaque -sur un poignet -sur un genou

7 uestion 2 (QRM) ne arthrite septique siège le souvent? - sur plusieurs articulations F - sur une grosse articulation V - sur une sacro-iliaque F -sur un poignet F -sur un genou V

8 Siège des arthrites septiques Le plus souvent atteinte mono-articulaire Une arthrite septique non gonococcique peut toucher n importe quelle articulation. Cependant plus souvent : les grosses articulations / genoux, hanches puis épaules, poignets et chevilles (Genou : 50% des cas) Rarement : articulations interphalangiennes mains Autres sièges plus atypiques : sacro-iliaques (brucellose possible), articulations sterno-claviculaires ou chondro-costales (vus notamment chez les toxicomanes, en cas de cathéter conséquence d une migration bactérienne àpartir des veines sous clavières adjacentes) Articulations siège d anomalies préexistantes

9 uestion 3 (QRM) es facteurs de risque d arthrite septique sont? -l obésité -le diabète -une polyarthrite rhumatoïde -un âge élevé -un matériel étranger intra-articulaire

10 uestion 3 (QRM) es facteurs de risque d arthrite septique sont? - l obésité F -le diabète V - une polyarthrite rhumatoïde V -un âge élevév - un matériel étranger intra-articulaire V

11 Pertuiset Rev. Prat 2007;57:

12 Physiopathologie arthrite septique Inoculation directe (post-traumatique, chirurgie, infiltration) Dissémination par voie sanguine à partir d un foyer situé à distance; le plu fréquent : infection articulaire par voie hématogène suite àune bactériémie. Rechercher systématiquement porte d entrée (dentaire, sin cutanée, urologique, endocarditique ) A partir d un foyer de voisinage : rare

13 uestion 4 (QRU) examen le plus discriminant pour le diagnostic d arthrite septiqu st? -la ponction articulaire - La scintigraphie aux polynucléaires neutrophiles -L IRM - L échographie - L examen clinique

14 uestion 4 (QRU) examen le plus discriminant pour le diagnostic d arthrite septiqu st? - la ponction articulaire V - La scintigraphie aux polynucléaires neutrophiles F -L IRM F - L échographie F - L examen clinique F

15 Le premier bilan biologique effectué aux urgences montre : Hb 15 g/dl, leucocytes 15,7 G/l dont 13,8 G/l polynucléaires neutrophiles, plaquettes 276 G/l, CRP 209 mg/l, créatininémie 98 micromol/l. La radio du genou droit est normale. Le médecin des urgences réalise une ponction articulaire qui ramène 50 ml de liquide trouble. Au vu ce résultat, et après avoir réalisé deux hémocultures, il débute un traitement antibiotique, associé à une hydratation par 1,5 l/24h par un cristalloïde.

16 Le premier bilan biologique effectué aux urgences montre : Hb 15 g/dl, leucocytes 15,7 G/l do 13,8 G/l polynucléaires neutrophiles, plaquettes 276 G/l, CRP 209 mg/l, créatininémie 98 micromol/l. La radio du genou droit est normale. Le médecin des urgences réalise une ponctio articulaire qui ramène 50 ml de liquide trouble. Au vu de ce résultat, et après avoir réalisé deu hémocultures, il débute un traitement antibiotique, associé à une hydratation par 1,5 l/24h par cristalloïde. Question 5 (QRM) En cas de présomption d une arthrite septique sans sepsis sévère faut démarrer une antibiothérapie : A- avant tout prélèvement B- après avoir réalisé des hémocultures C-après avoir réaliséune ponction articulaire urgente D- après résultat du prélèvement articulaire E- associée à un traitement antiinflammatoire

17 uestion 5 (QRM) n cas de présomption d une arthrite septique sans sepsis sévère aut démarrer une antibiothérapie : - avant tout prélèvement F - après avoir réalisé des hémocultures V - après avoir réalisé une ponction articulaire urgente V - après résultat du prélèvement articulaire F - associée à un traitement antiinflammatoire F

18 Le premier bilan biologique effectué aux urgences montre : Hb 15 g/dl, leucocytes 15,7 G/l do 13,8 G/l polynucléaires neutrophiles, plaquettes 276 G/l, CRP 209 mg/l, créatininémie 98 micromol/l. La radio du genou droit est normale. Le médecin des urgences réalise une ponctio articulaire qui ramène 50 ml de liquide trouble. Au vu de ce résultat, et après avoir réalisé deu hémocultures, il débute un traitement antibiotique, associé à une hydratation par 1,5 l/24h par cristalloïde. Question 6 (QRM) Quelle sont les conditions à respecter pour la ponction articulair d une arthrite septique? A- avant tout traitement antibiotique B- conditions d asepsie «chirurgicale» C-analyses cytologique, biochimique, bactériologique D- prélèvement sur flacon à billes stérile E- sous échographie ou scanner pour certaines articulations

19 Le premier bilan biologique effectué aux urgences montre : Hb 15 g/dl, leucocytes 15,7 G/l do 13,8 G/l polynucléaires neutrophiles, plaquettes 276 G/l, CRP 209 mg/l, créatininémie 98 micromol/l. La radio du genou droit est normale. Le médecin des urgences réalise une ponctio articulaire qui ramène 50 ml de liquide trouble. Au vu de ce résultat, et après avoir réalisé deu hémocultures, il débute un traitement antibiotique, associé à une hydratation par 1,5 l/24h par cristalloïde. Question 6 (QRM) Quelle sont les conditions à respecter pour la ponction articulair d une arthrite septique? A- avant tout traitement antibiotique V B- conditions asepsie «chirurgicale» V C- aspect du liquide, analyses cytologique, biochimique, bactériologique V D- prélèvement sur flacon à billes stérile V E- sous échographie ou scanner pour certaines articulations V

20 Diagnostic d une arthrite septique Ponction articulaire +++ indispensable, avant tout traitement antibiotiqu Parfois réalisée sous échographie ou scanner (pour certaines articulation Conditions asepsie «chirurgicale» Prélèvement sur flacon à billes pour éviter coagulation (riche en protéine Aspect du liquide, analyse cytologique, biochimique, bactériologique (examen direct avec Gram et culture :pyogènes, BK), recherche de cristau Ensemencement dans des flacons d HC (intérêt pour les germes fragiles ; pour les infections à faible inoculum bactérien) PCR si nécessaire Prélèvement porté rapidement au laboratoire

21 Le résultat de l examen direct du liquide articulaire montre la présence de leucocytes/ml, dont 90% de polynucléaires neutrophiles sans cristaux. L examen direct par la coloration de Gra est négatif. Le traitement débuté associe deux antibiotiques.

22 Le résultat de l examen direct du liquide articulaire montre la présence de 90 0 leucocytes/ml, dont 90% de polynucléaires neutrophiles sans cristaux. L exam direct par la coloration de Gram est négatif. Le traitement débuté associe deux antibiotiques. Question 7 (QRM) Les 2 espèces bactériennes les plus fréquemment en cause dans les arthrites septique sont? A-Chlamydiae trachomatis B- Streptocoques C- Gonocoques D- Anaérobies E-Staphylocoques

23 Le résultat de l examen direct du liquide articulaire montre la présence de 90 0 leucocytes/ml, dont 90% de polynucléaires neutrophiles sans cristaux. L exam direct par la coloration de Gram est négatif. Le traitement débuté associe deux antibiotiques. Question 7 (QRM) Les 2 espèces bactériennes les plus fréquemment en cause dans les arthrites septique sont? A- Chlamydiae trachomatis F* B- Streptocoques V C- Gonocoques F D- Anaérobies F* E- Staphylocoques V

24 Pertuiset Rev. Prat 2007;57

25 Le résultat de l examen direct du liquide articulaire montre la présence de 90 0 leucocytes/ml, dont 90% de polynucléaires neutrophiles sans cristaux. L exame direct par la coloration de Gram est négatif. Le traitement débuté associe deux antibiotiques. Question 8 (QRM) Quelle(s) est(sont) l (les)association(s) antibiotique(s) qui vous parait(ssent) la(les) plus pertinente(s)? A- Cloxacilline (ou Oxacilline) IV associée à Gentamicine IV 1 fois/j B- Vancomycine en perfusion continue associée à la Gentamicine 1 fois/j C- Vancomycine en perfusion continue associée à ciprofloxacine IV D- Amoxicilline + acide clavulanique IV associée à la Gentamicine IV 1 fois E- Clindamycine IV associée à la Gentamicine IV 1 fois/j

26 uestion 8 (QRM) uelle(s) est(sont) l (les)association(s) antibiotique(s) qui vous parait(ssent a(les) plus pertinente(s)? -Cloxacilline (ou Oxacilline) (100 mg/kg/24 h en 4 à6 injections voire en perfusion ontinue) et Gentamicine (3 à5 mg/kg sur 30 mn, une fois/j, sous réserve d une fonction énale normale) V - Vancomycine (30 mg/kg/jour en perfusion continue précédée d une dose de charge dministrée sur 30 minutes) associée à la Gentamicine (idem) F - Vancomycine (30 mg/kg/jour en perfusion continue précédée d une dose de charge d dministrée sur 30 minutes) associée àciprofloxacine 400 mg x 2 à3/ IV (ou lévofloxaci 00 mg x 2/j IV) F -Amoxicilline + Acide clavulanique (conditionnement 2 grammes, 6 g/jour en 3 à4 njections) associée à la Gentamicine (idem) V -Clindamycine 600 à 900 mg x 3:/j IV associée àla Gentamicine (idem) V

27 Traitement probabiliste arthrite septique * Classiquement, association anti-staphylococcique de : -Cloxacilline (ou Oxacilline) (100 mg/kg/24 h en 4 à6 injections voire en perfusion continue). - et de Gentamicine (3 à5 mg/kg sur 30 mn, une fois/jour, sous réserve d une fonction rénale normale) x 1 à3j. * chirurgie articulaire récente, risque de résistance àla méticilline : - Vancomycine (30 mg/kg/jour en perfusion continue précédée d une dose de charge d 1 gramme administrée sur 30 minutes) - associée à la Gentamicine (idem). * traumatisme, contiguité à une plaie, (présence possible de streptocoques, de bacille Gram négatif, voire d anaérobies) : - Amoxicilline + Acide clavulanique (conditionnement 2 grammes, 6 à 8 g/jour en 3 injections) -associée àla Gentamicine (idem).

28 A 36h, la culture de liquide articulaire et les deux hémocultures son positives avec, à l examen direct, la présence de cocci à Gram posit en amas, secondairement identifiés comme S. aureus. Le traitemen antibiotique initial est maintenu. Au troisième jour d évolution, la température reste aux alentours de 38 38,5 C, il n y a plus de frissons, mais le genou reste douloureu et augmenté de volume. Le bilan biologique montre une leucocytos à 12,4 G/l dont 8,3 G/l polynucléaires neutrophiles, une CRP à 146 mg/l. Les hémocultures pratiquées après 48 h de traitement antibiotique sont stériles après 24h d incubation.

29 A 36h, la culture de liquide articulaire et les deux hémocultures sont positives avec, à l examen direct, la présence de cocci à Gram positif, en amas, secondairement identifiés comme S. aure péni R, oxacilline S, gentamicine S. Le traitement antibiotique initial est maintenu. Au troisième jour d évolution, la température reste aux alentours de 38 38,5 C, il n y a plus d frissons, mais le genou reste douloureux, et augmenté de volume. Le bilan biologique montre u leucocytose à 12,4 G/l dont 8,3 G/l polynucléaires neutrophiles, une CRP à 146 mg/l. Les hémocultures pratiquées après 48 h de traitement antibiotique sont stériles après 24h d incubation. Question 9 (QRM) Parmi les autres mesures thérapeutiques, laquelle s impose pour patient? A-Synovectomie B-Ponctions répétées C-Lavage articulaire par arthroscopie D-Corticothérapie E-AINS

30 uestion 9 (QRM) armi les autres mesures thérapeutiques, laquelle (lesquelles) impose(nt) pour ce patient? - Synovectomie F - Ponctions répétées V - Lavage articulaire par arthroscopie V* - Corticothérapie F -AINS F*

31 A 36h, la culture de liquide articulaire et les deux hémocultures sont positives avec, à l examen direct, la présence de cocci à Gram positif, en amas, secondairement identifiés comme S. aure péni R, oxacilline S, gentamicine S. Le traitement antibiotique initial est maintenu. Au troisième jour d évolution, la température reste aux alentours de 38 38,5 C, il n y a plus d frissons, mais le genou reste douloureux, et augmenté de volume. Le bilan biologique montre u leucocytose à 12,4 G/l dont 8,3 G/l polynucléaires neutrophiles, une CRP à 146 mg/l. Les hémocultures pratiquées après 48 h de traitement antibiotique sont stériles après 24h d incuba Question 10 (QRM) Parmi les autres mesures thérapeutiques d une arthrite septique laquelle (lesquelles) n est(ne sont) pas recommandée(s)? A-immobilisation de l articulation en position de fonction B-rééducation avec mobilisation passive dès que la douleur le permet C-rééducation avec mobilisation active dès que la douleur le permet D- antalgiques non AINS E- Prévention de thrombophlébites si immobilisation membre inférieur

32 uestion 10 (QRM) armi les autres mesures thérapeutiques d une arthrite septique aquelle (lesquelles) n est(ne sont) pas recommandée(s)? - immobilisation articulaire pendant 3 semaines en position de fonction V - rééducation avec mobilisation passive dès que la douleur le permet F - rééducation avec mobilisation active dès que la douleur le permet V -antalgiques non AINS F - Prévention de thrombophlébites si immobilisation membre inférieur F

33 Mesures accessoires Drainage par lavage articulaire +++, réaliséen urgence, par arthroscopie ou arthrotomieplus invasive, particulièrement pour les grosses articulations (genou, hanche, épaule). Les ponctions répétées dans le cas d articulations facilement accessibles et d une évolution rapidement favorable dans les 5 j sont une alternative Permet de diminuer l inoculum bactérien, de soulager le patient en diminuant la pression intra-articulaire et d évacuer le liquide participant à la destruction articulair Immobilisation antalgique en position de fonction, pendant quelques jours, suiv d une mobilisation passive et d une remise en charge progressive rapidement dès la douleur le permet pour lutter contre enraidissement. Synovectomie parfois nécessaire en cas d épanchement ou de synovite persistante.

34 Question 11 ouverte Voici une radiographie de genou chez un patient dont le diagnostic d arthrite infectieuse a été porté avec retard. Décrivez les lésions indiquées par les flèches

35 Question 11 ouverte Voici une radiographie de genou chez un patient dont le diagnostic d arthrite infectieuse a étéportéavec retard. Décrivez les lésions indiquées par les flèches éminéralisation sseuse (lésions steolytiques de os adjacent) rosions rticulaires (lésions estructrices) Pincement articulaire (destruction cartilagineuse

Item 182 : Accidents des anticoagulants

Item 182 : Accidents des anticoagulants Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome

Plus en détail

Cette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.

Cette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise. Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se

Plus en détail

Accidents des anticoagulants

Accidents des anticoagulants 30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER

Plus en détail

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Plus en détail

Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée

Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux

Plus en détail

Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie

Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux

Plus en détail

Genou non traumatique

Genou non traumatique Epidémiologie Genou non traumatique Laure Brulhart (Paola Chevallier) 25 37% des patients >50 ans souffrent de gonalgie 50% restriction dans les AVQ 33% consultent leur généraliste Facteurs associés avec

Plus en détail

Anatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13

Anatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13 Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers

Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante

Plus en détail

Item 154 : Tumeurs des os primitives et secondaires (Évaluations)

Item 154 : Tumeurs des os primitives et secondaires (Évaluations) Item 154 : Tumeurs des os primitives et secondaires (Évaluations) Date de création du document 2008-2009 CAS CLINIQUE : CAS CLINIQUE N 1 Scénario : Monsieur A., vingt-cinq ans, étudiant vétérinaire, vient

Plus en détail

Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins

Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections

Plus en détail

Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée

Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,

Plus en détail

Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE

Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING

Plus en détail

La maladie de Still de l adulte

La maladie de Still de l adulte La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée

Plus en détail

Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes

Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault

Plus en détail

L arthrose, ses maux si on en parlait!

L arthrose, ses maux si on en parlait! REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une

Plus en détail

SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008

SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008 SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Spondylarthrites Décembre 2008 OBJECTIFS - Mieux identifier les patients atteints de spondylarthrite afin de raccourcir le délai entre l apparition des symptômes

Plus en détail

LA PROTHESE TOTALE DE GENOU

LA PROTHESE TOTALE DE GENOU LA PROTHESE TOTALE DE GENOU Introduction : La destruction du cartilage est fréquente au niveau du genou qui est une articulation très sollicitée et soumise à tout le poids du corps. La conséquence de cette

Plus en détail

Douleurs des mains. Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements. C.Zenklusen septembre 2013

Douleurs des mains. Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements. C.Zenklusen septembre 2013 Douleurs des mains Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements C.Zenklusen septembre 2013 Causes de douleurs aux mains Articulations (origine articulaire) Nerfs (origine nerveuse)

Plus en détail

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200

Plus en détail

E04a - Héparines de bas poids moléculaire

E04a - Héparines de bas poids moléculaire E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique

Plus en détail

I Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie :

I Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie : ANNEXE A : Formulaire de première demande Formulaire de première demande de remboursement de la spécialité HUMIRA pour une spondylarthrite axiale sévère sans signes radiographiques de spondylarthrite ankylosante

Plus en détail

4eme réunion régionale des référents en antibiothérapie des établissements de Haute-Normandie

4eme réunion régionale des référents en antibiothérapie des établissements de Haute-Normandie 4eme réunion régionale des référents en antibiothérapie des établissements de Haute-Normandie Infection pulmonaire du sujet âgé A. Barrel CH Darnetal Omedit Rouen 20 juin 2013 Cas clinique Mme H. Patiente

Plus en détail

L ANGINE. A Epidémiologie :

L ANGINE. A Epidémiologie : L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable

Plus en détail

A. Bourgeois SMIT. CHRU de Montpellier

A. Bourgeois SMIT. CHRU de Montpellier A. Bourgeois SMIT. CHRU de Montpellier Homme, 41 ans, sans ATCD Séjour en Guyane (Cayenne et alentours) du 28/12/19 au 12/01/10 Hospitalisé du 09 au 11/02/10 pour érysipèle d évolution défavorable sous

Plus en détail

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression

Plus en détail

INFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE

INFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE Livret LAM page 1 INFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE Dans certains cas les symptômes et le traitement peuvent différer de ce que y est présenté dans ce livret. A tout moment

Plus en détail

Carte de soins et d urgence

Carte de soins et d urgence Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase

Plus en détail

HTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice

HTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive

Plus en détail

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible

Plus en détail

Diagnostic différentiel des infections ostéoarticulaires

Diagnostic différentiel des infections ostéoarticulaires Diagnostic différentiel des infections ostéoarticulaires Emmanuelle Vignot Hôpital Edouard Herriot, Lyon Unité Inserm UMR1033 Lyon emmanuelle.vignot@chu-lyon.fr Arthrite septique (1) 1/ Monoarthrite :

Plus en détail

CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE

CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil

Plus en détail

o Non o Non o Oui o Non

o Non o Non o Oui o Non Enquête générale (à remplir une fois) [ ] = plusieurs réponses possibles o = une seule réponse possible Date de votre réponse à ce questionnaire Nombre de lits dans l'unité Connaissez-vous l incidence

Plus en détail

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :

Plus en détail

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE

Plus en détail

La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde

La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant

Plus en détail

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur

Plus en détail

INFORMATION CONCERNANT L OSTEOTOMIE DU GENOU

INFORMATION CONCERNANT L OSTEOTOMIE DU GENOU INFORMATION CONCERNANT L OSTEOTOMIE DU GENOU Votre état nécessite la réalisation d'une ostéotomie au niveau du genou. Cette fiche est destinée à vous en expliquer les grands principes, le but et les bénéfices

Plus en détail

SOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles

SOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du

Plus en détail

Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012

Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012 Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab

Plus en détail

Item 95 Maladies sexuellement transmissibles : infections urogénitales à gonocoque et Chlamydia trachomatis (en dehors de la maladie de Nicolas-Favre)

Item 95 Maladies sexuellement transmissibles : infections urogénitales à gonocoque et Chlamydia trachomatis (en dehors de la maladie de Nicolas-Favre) Annales de dermatologie et de vénéréologie (2012) 139, A57 A61 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com I. MODULES TRANSDISCIPLINAIRES Module 7 : Santé et environnement, maladies transmissibles Item

Plus en détail

QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?

QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem

Plus en détail

Sang, plasma, plaquettes...

Sang, plasma, plaquettes... Guide des dons Sang, plasma, plaquettes... et vous, que donnerez-vous? Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors

Plus en détail

Les Arbres décisionnels

Les Arbres décisionnels Les Arbres décisionnels Les aides à la décision plainte-traitement (ou arbres décisionnels ) sont tirés de travaux effectués dans le cadre de l Organisation Mondiale de la Santé. Ils sont destinés à soutenir

Plus en détail

Cas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?

Cas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème? Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte

Plus en détail

La chirurgie dans la PC

La chirurgie dans la PC La chirurgie dans la PC GF PENNECOT Marchant ou déambulant Grand handicapé Kinésith sithérapie Appareillage Médicaments Chirurgie neuro ortho LESION NEUROLGIQUE STABLE Spasticité Perte de la sélectivit

Plus en détail

PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.

PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions

Plus en détail

1 ère Edition, septembre 2010. La Rhumatologie au Quotidien Dr RALANDISON D. Stéphane Page 1

1 ère Edition, septembre 2010. La Rhumatologie au Quotidien Dr RALANDISON D. Stéphane Page 1 Dr RALANDISON D. Stéphane 1 ère Edition, septembre 2010 La Rhumatologie au Quotidien Dr RALANDISON D. Stéphane Page 1 C l i q u e z s u r l e s l i e n s S o m m a i r e R é s u m é d e s c h a p i t r

Plus en détail

Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.

Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de

Plus en détail

Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)

Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie

Plus en détail

Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil

Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions

Plus en détail

La drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)

La drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans) La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.

Plus en détail

REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE

REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et

Plus en détail

LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD

LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres

Plus en détail

Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales

Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan

Plus en détail

Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se

Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées

Plus en détail

Problèmes locomoteurs

Problèmes locomoteurs VOLUME 2 Aspects cliniques Chapitre 10 Problèmes locomoteurs Problèmes locomoteurs 343 Problèmes locomoteurs J.P. Praet, T. Mets Les problèmes locomoteurs sont fréquents et le deviennent de plus en plus

Plus en détail

Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé

Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Réunion GERES du 6 juillet 2007 : D Abiteboul,, E Bouvet, A Buonaccorsi,, G Carcelain,, M Domart-Rançon,

Plus en détail

neurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004

neurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004 11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE

Plus en détail

Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde

Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde 1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie

Plus en détail

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension

Plus en détail

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?

Plus en détail

ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité

ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est

Plus en détail

Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida.

Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida. Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida. L.Aribi, F.Kaouane, S.Oukid, C.Boucherit, M.K.Benlabiod, Y.M.Bouchakor, M.T.Abad

Plus en détail

Définition de l Infectiologie

Définition de l Infectiologie Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage

Plus en détail

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures

Plus en détail

Collection Soins infirmiers

Collection Soins infirmiers Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic

Plus en détail

o Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre

o Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des

Plus en détail

L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS

L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS Le traitement de votre maladie nécessite une Chimiothérapie intensive. Cette chimiothérapie qui utilise de fortes doses de médicaments antimitotiques est plus efficace

Plus en détail

Sang, plasma, plaquettes...

Sang, plasma, plaquettes... Sang, plasma, plaquettes... Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors de son accouchement à reprendre des forces,

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 novembre 2009

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 novembre 2009 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 novembre 2009 LEDERTREXATE 5 mg, solution injectable B/1 ampoule de 2 ml (Code CIP : 315 012-5) LEDERTREXATE 25 mg, solution injectable B/1 ampoule de 1 ml (Code CIP

Plus en détail

Les Centres de Référence pour les Infections Ostéo-articulaires

Les Centres de Référence pour les Infections Ostéo-articulaires Les Centres de Référence pour les Infections Ostéo-articulaires Brest RENNES Orléans Angers Nantes TOURS Poitiers du Grand Ouest Octobre 2011 Présentation du CRIOGO Les réunions de concertation pluridisciplinaires

Plus en détail

Introduction générale

Introduction générale Introduction générale Touchant près de 600 nouvelles personnes chaque année en France, la leucémie myéloïde chronique est une maladie affectant les cellules du sang et de la moelle osseuse (située au cœur

Plus en détail

Don d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper

Don d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale

Plus en détail

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en

Plus en détail

Existe t il des effets pervers à l identification du portage de BMR?

Existe t il des effets pervers à l identification du portage de BMR? Existe t il des effets pervers à l identification du portage de BMR? J P Bedos, Réanimation, Hôpital Mignot Journée Antibio Résistance et Infections, 5 décembre 2013 Effets pervers des Conflits d intérêt

Plus en détail

Tuméfaction douloureuse

Tuméfaction douloureuse Santé bucco-dentaire Médecin de 1 er recours et problèmes dentaires fréquents Dre May SALMAN, médecin dentiste HUG Dr Jean-Pierre RIEDER, médecin interniste HUG Plan de présentation Santé bucco-dentaire

Plus en détail

DON DE SANG. Label Don de Soi

DON DE SANG. Label Don de Soi DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7

Plus en détail

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

Au programme. Les blessures fréquentes chez les coureurs de fond

Au programme. Les blessures fréquentes chez les coureurs de fond Au programme Les blessures fréquentes chez les coureurs de fond Club La Foulée 5 août 2004 Dre Mireille Belzile La lombo-sciatalgie Inflammation du périoste au site d insertion des muscles du mollet Erreur

Plus en détail

Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1

Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur

Plus en détail

Pseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).

Pseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR). Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».

Plus en détail

La polyarthrite rhumatoïde est-elle une maladie courante parmi la patientèle d'un rhumatologue?

La polyarthrite rhumatoïde est-elle une maladie courante parmi la patientèle d'un rhumatologue? Association Française des Polyarthritiques & des Rhumatismes Inflammatoires Chroniques 9, rue de Nemours - 75011 Paris E-mail : afp@nerim.net - www.polyarthrite.org Tél. : 01 400 30 200 - Fax : 01 400

Plus en détail

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

Parasites externes du chat et du chien

Parasites externes du chat et du chien Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?

Plus en détail

PROTHÈSE TOTALE DE GENOU

PROTHÈSE TOTALE DE GENOU Dr Alain CAZENAVE chirurgien orthopédiste traumatologie sportive 52 rue du Dr calot 62600 BERCK/mer FRANCE tel: 03 21 89 20 44 site web : www.orthopale.org PROTHÈSE TOTALE DE GENOU QUELQUES GÉNÉRALITÉS

Plus en détail

Modifications par rapport à la Version 1.56 / Release 22.07.2013:

Modifications par rapport à la Version 1.56 / Release 22.07.2013: Modifications par rapport à la Version 1.56 / Release 22.07.2013: Nouvelles décisions: Numéro 14001 : Supplément à la valeur intrinsèque de la position tarifaire 00.1325 1/37 Numéro 03033 Facturation des

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

Prothèse Totale de Genou

Prothèse Totale de Genou Hôpital de Martigny Prothèse Totale de Genou Informations patients 2 Impressum Editeur: Hôpital du Valais (RSV), Direction générale, Communication, 1950 Sion Auteur: Hôpital de Martigny, Service d orthopédie

Plus en détail

Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones

Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones d Angéiologie 8 Janvier 2010 Historique 1550 Falloppio

Plus en détail

Mise au point sur le bon usage des aminosides administrés par voie injectable : gentamicine, tobramycine, nétilmicine, amikacine

Mise au point sur le bon usage des aminosides administrés par voie injectable : gentamicine, tobramycine, nétilmicine, amikacine Mise au point mars 2011 MAP Mise au point sur le bon usage des aminosides administrés par voie injectable : gentamicine, tobramycine, nétilmicine, amikacine Sommaire ~ ~ ~ ~ ~ ~ d un traitement par aminosides

Plus en détail

Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle)

Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Le traitement des calculs urétéraux et rénaux a beaucoup changé depuis 1980 avec la venue d un appareil

Plus en détail

Dossier de presse. Le don de sang sur les lieux fixes de collecte. Juin 2013. Contact presse :

Dossier de presse. Le don de sang sur les lieux fixes de collecte. Juin 2013. Contact presse : Dossier de presse Le don de sang sur les lieux fixes de collecte Juin 2013 Contact presse : EFS Île-de-France Pôle Relations institutionnelles et communication d image Audrey Larquier : audrey.larquier@efs.sante.fr

Plus en détail

Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire

Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique?

Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique? Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique? Références : Pr Samama Journée de Biologie Praticienne Décembre 2011 I. Gouin-Thibault Journée de Biologie Clinique 2012

Plus en détail

CRPP. Syndrome MYH9. Centre de Référence des Pathologies Plaquettaires. Livret destiné au patient

CRPP. Syndrome MYH9. Centre de Référence des Pathologies Plaquettaires. Livret destiné au patient CRPP Centre de Référence des Pathologies Plaquettaires Syndrome MYH9 Macrothrombocytopénies constitutionnelles liées à MYH9 (Anomalie de May-Hegglin, Syndrome de Sebastian, d Epstein, de Fechtner, d Alport-like

Plus en détail